:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka j’aime bien aussi.

@Rhino coquinou, toujours prêt à montrer ta corne toi mon salaud.

@RedM1nd Sur le banc du Brésil pourquoi pas à voir, après je l’ai déjà dit je suis pas trop sélection à FM.

@alexgavi on va essayer.

- Anibal : « C’est un grand jour pour moi » -

L’Estádio José Alvalade était en ébullition ce jour-là. La salle de presse était comble pour accueillir Anibal Guimarães, nouvel entraîneur principal du Sporting Clube de Portugal, qui revenait 15 ans après avoir quitté le club en tant qu’entraineur de l’équipe réserve prometteur. Accompagné de Hugo Viana, directeur sportif, et de Paulo Fonseca, directeur technique, Anibal répondait aux nombreuses questions des journalistes.

Anibal, vous avez démarré votre carrière de coach ici comme entraineur de la réserve il y a une quinzaine d’années, qu’est-ce que cela vous fait de revenir au Sporting après autant de temps ?

Anibal ouvrit la conférence avec un sourire empreint d’émotion. “C’est une immense fierté et une grande responsabilité de revenir ici, au Sporting, après toutes ces années. Ce club m’a formé, pas seulement comme entraineur, mais aussi comme homme. Revenir aujourd’hui en tant qu’entraîneur principal est un honneur que je savoure pleinement. Ce club a une histoire, une âme, et je suis déterminé à contribuer à écrire un nouveau chapitre.”

Il marqua une pause, le regard tourné vers les journalistes.

“Beaucoup de choses ont changé, mais les valeurs du Sporting restent les mêmes. C’est cette identité que je veux renforcer : un club qui forme, qui gagne, et qui inspire.”

Vous allez travailler avec Ruben Amorim, votre ancien mentor, devenu votre rival, puis votre ami. Comment sont vos relations avec lui ?

Anibal éclata d’un léger rire avant de répondre.

“Avec Ruben, c’est une relation qui a toujours évolué. Il a été mon mentor lorsque je faisais mes premiers pas dans ce métier. Ensuite, nous sommes devenus des rivaux acharnés sur le terrain. Les faits à l’époque faisait qu’une concurrence avait été installé entre nous. Nous avons mené de belles batailles avec nos clubs respectifs et aujourd’hui, nous sommes avant tout des amis et des collègues. Ruben a une intelligence footballistique rare, et je suis ravi de pouvoir collaborer avec lui pour ce projet.”

Il ajouta, avec une pointe d’humour :

“Je vais peut-être encore apprendre quelques astuces de lui. Mais ce qui est certain, c’est que nous partageons la même passion pour ce club.”

Un journaliste tenta d’évoquer les polémiques entourant le passé d’Anibal, notamment les rumeurs de ses aventures en Asie et en Amérique.

Anibal, votre nom a souvent défrayé la chronique ces dernières années. Vous avez été suspendu par l’UEFA puis votre nom a souvent été cité dans des deals douteux en Colombie, au Brésil puis au Japon. Qu’avez-vous à répondre ?

Avant qu’Anibal ne puisse répondre, Hugo Viana intervint fermement.

“Nous sommes ici pour parler du présent et de l’avenir du Sporting. Anibal a prouvé à travers son travail et ses résultats qu’il mérite cette opportunité. Je vous demande donc de vous concentrer sur l’actualité du club et sur ce projet ambitieux que nous lançons ensemble.”

Anibal, visiblement reconnaissant, ajouta calmement :

“Je préfère montrer sur le terrain qui je suis aujourd’hui plutôt que de m’attarder sur le passé. Mon focus est totalement sur le Sporting.”

Revenons à votre style de jeu. Comment comptez-vous faire jouer l’équipe ? Allez-vous réutiliser votre système à trois défenseurs qui avait fait votre succès avec Valladolid ?

Lorsqu’on lui posa la question sur son approche tactique, Anibal devint plus animé.

“Je veux une équipe qui joue avec ambition et intensité. Nous devons être capables de contrôler les matchs, avec un pressing agressif et une transition rapide. Mais plus que tout, je veux que mes joueurs comprennent qu’ils ne jouent pas seulement pour eux, mais pour les valeurs et les attentes du Sporting. Jouer à trois derrière est une possibilité.”

Il précisa que ses systèmes de jeu seraient flexibles :

“J’ai mes préférences tactiques, mais elles ne sont jamais figées. Je m’adapte toujours aux qualités de mes joueurs. L’objectif est de tirer le meilleur de l’effectif tout en respectant notre philosophie. Voyons déjà quels joueurs seront avec nous cette saison.”

Quelles sont les ambitions du club cette saison ? Cela fait quelques saisons que vous êtes en retrait du FC Porto ou du Benfica. On a même pu voir Braga vous rattraper…

Anibal prit un ton sérieux. “Les ambitions sont claires : remettre le Sporting au sommet du football portugais et redevenir compétitif en Europe progressivement. Cela prendra peut-être du temps, mais avec le soutien des dirigeants, du staff, et des supporters, je suis convaincu que nous pouvons y parvenir.”

Il ajouta :

“Nous devons aussi redevenir une référence pour nos jeunes joueurs. L’Académie Sporting a toujours été une fierté, et elle doit continuer de produire les stars de demain.”

Le club doit vendre c’est un fait établi, verra-t-on des jeunes débuter en pro ? Et des anciens pourraient-ils revenir aider ?

Sur la question des ventes et des jeunes, Anibal se montra pragmatique. “Oui, le club doit vendre pour rester stable financièrement. Mais cela ne doit pas être vu comme un problème. C’est une opportunité. Nous avons une académie exceptionnelle, et je suis impatient de voir de jeunes talents débuter en équipe première. J’ai déjà pu échanger avec Ruben sur certains profils. Ils sont l’avenir de ce club. Ils auront l’été pour nous convaincre.”

Quant à un éventuel retour des anciens, il répondit avec un sourire :

“Pourquoi pas ? Si des joueurs expérimentés, qui connaissent le Sporting et ses valeurs, souhaitent revenir pour aider l’équipe, je serais ravi d’en discuter. Mais leur engagement doit être total.”

Gonçalo Iñacio, João Infante, Ivan Fresneda ou Geovanny sont actuellement tous plus ou moins disponible notamment

Anibal éluda le sujet autant qu’il le pouvait. “Je ne vous répondrai pas aujourd’hui. Ces joueurs sont pour la plupart sous contrat ailleurs donc par respect pour ces clubs, je garderais le silence. João Infante est un cas à part. Il est libre et m’a montré qu’il avait la rage à Tijuana. Mais as-til le niveau pour revenir en Europe ? En a t’il envie ?”

Anibal termina la conférence avec un message direct aux supporters.

“Je veux que vous soyez fiers de votre équipe. Vous avez toujours été la force de ce club, et nous aurons besoin de vous à chaque match. Ensemble, nous pouvons réaliser de grandes choses.”

Les applaudissements éclatèrent dans la salle, marquant le début d’une nouvelle ère pour le Sporting Clube de Portugal et son enfant prodige revenu pour écrire une nouvelle page de son histoire.

- Chapitre 500 - - Anibal reviens par la grande porte -	- Chapitre 502 - Coming SOON - 24/01

[Sythax]

Oh oui, Infante, on est pas encore lassé de lui
(sinon on peut espérer secrètement d’une nouvelle guerre avec Amorim ? )

[gwendil35]

En fait Amorim est un gendre de Reyes…

[VertPourToujours]

Les couleurs sont bonnes mais tu es trop au sud

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Sythax à voir vu notre effectif. Peu probable pour la guerre avec Amorim.

@gwendil35

@VertPourToujours faut savoir mdr

- Boussemart et Daoudi visent grand -

Dans une salle de réunion du Sporting Clube de Portugal, Anibal Guimarães et Hugo Viana travaillaient d’arrache-pied pour dessiner les contours de l’effectif de la prochaine saison. Si le duo partageait une vision ambitieuse pour le club, la réalité financière imposait des choix stratégiques et des compromis. Alors qu’ils échangeaient sur les forces et les faiblesses de l’équipe, le téléphone de Hugo vibra. À l’écran, un nom familier : Jorge Mendes.

Le célèbre agent, bien qu’officiellement non impliqué dans plusieurs dossiers, avait toujours une influence importante sur certains joueurs du Sporting. Attiré par les rumeurs d’un contexte financier difficile au club, Mendes saisit l’occasion pour placer son intérêt dans la discussion. Il rappela à Hugo que deux de ses clients, Youness Daoudi et Julien Boussemart, suscitaient des convoitises sur le marché des transferts.

“Hugo, je sais que le Sporting doit équilibrer ses comptes. Youness et Julien sont des talents convoités. Si le club est prêt à discuter, je peux vous apporter de belles offres dans les semaines à venir.”

Youness Daoudi, le numéro 10 hispano-marocain, était une figure emblématique du Sporting, avec près de 200 matchs au compteur. Cependant, des murmures avaient circulé sur son envie de découvrir un nouveau défi. À 28 ans, Daoudi était à un tournant de sa carrière, et plusieurs clubs espagnols et anglais s’étaient montrés intéressés.

En aparté, Anibal exprima son opinion à Hugo.

“Youness a du talent, mais son influence sur le jeu est en déclin. Je ne le vois pas dans mon projet à long terme, surtout si lui-même est ouvert à un départ. Et le fait qu’il soit lié à Mendes… disons que ça ne me rassure pas.”

Hugo acquiesça, réfléchissant aux options possibles.

L’autre joueur en question, Julien Boussemart, était un attaquant français arrivé de Rome il y a deux ans avec de grandes attentes. Mais son adaptation avait été difficile, et il peinait à justifier l’investissement consenti pour son transfert.

“Julien n’a pas trouvé sa place ici,” confia Anibal. “Il a du potentiel, mais il n’a pas répondu aux attentes. Nous avons besoin d’un buteur régulier, et je pense que Julien aurait tout intérêt à chercher un club où il pourrait repartir sur de bonnes bases.”

Hugo, pragmatique, répondit :

“D’accord. On met les deux sur le marché. Mendes veut ouvrir des portes pour eux, laissons-le faire. Mais on reste fermes sur nos conditions.”

De retour à l’appel avec Mendes, Hugo fit preuve de diplomatie, tout en indiquant clairement la position du club.

“Jorge, merci pour ton intérêt. Concernant Youness et Julien, nous sommes ouverts à écouter des offres, mais seulement si elles reflètent la valeur de nos joueurs. Nous ne braderons personne, même avec nos contraintes financières.”

Mendes, habitué à ces négociations, sourit sans doute à l’autre bout du fil.

“Tu sais que je peux amener les bonnes offres, Hugo. Fais-moi confiance.”

Après l’appel, Anibal et Hugo discutèrent plus en détail de ce que signifieraient ces départs pour l’équipe. Pour Anibal, c’était une opportunité de remanier l’effectif selon sa vision.

“Ces ventes peuvent nous permettre d’intégrer de jeunes talents et d’apporter des profils plus adaptés à notre projet. J’ai déjà des idées pour renforcer certains postes. Et puis, si on promeut quelques jeunes, ça enverra un signal fort : le Sporting revient à ses fondamentaux. Par contre qu’on soit clair je ne veux pas être mêlé à ces opérations Hugo…”

Hugo acquiesça, partageant l’enthousiasme de l’entraîneur pour cette nouvelle ère.

Avec Mendes prêt à activer ses réseaux, les prochains jours allaient être cruciaux pour finaliser les départs de Daoudi et Boussemart. Pour Anibal, c’était un premier pas vers un effectif renouvelé, basé sur des joueurs motivés, alignés avec les ambitions du club.

Le Sporting s’apprêtait à entrer dans une période de transition, mais sous la houlette d’Anibal Guimarães et avec le soutien de Hugo Viana, cette nouvelle ère promettait d’être construite sur des bases solides, à la fois sportives et économiques.

- Chapitre 501 - - Ani : « C’est un grand jour pour moi » -	- Chapitre 503 - Coming SOON - 25/01

[VertPourToujours]

Je pensais que tu voulait une statue devant le chaudron…
Et n’oublies pas que le début de l’épopée européenne de L’ASSE démarra par l’élimination du Sporting en 16ème de finale de la coupe d’Europe des clubs champions 74-75

[alexgavi]

Et il y a un petit joueur pas mal qui joue au Mexique, comment il s’appelle déjà ? Calvache ?

[CaptainAmericka]

Mais ?? Calvache a déjà été acheté par le Sporting ! Il est déjà au club ?

Il a raison de dégager les recrues estampillées Mendes !

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@VertPourToujours J’ai pas dit quel chaudron Peut etre qu’on croisera l’ASSE !

@alexgavi connais pas ce boug

@CaptainAmericka tu en sauras plus plus tard. et oui dehors Mendes.

- Radojičić prolonge son contrat -

Alors que le Sporting Clube de Portugal traverse une période de transition, une nouvelle est venue illuminer le cœur des supporters : Marko Radojičić, pilier de l’équipe, a décidé de prolonger son contrat jusqu’en 2040, repoussant ainsi les avances insistantes de clubs prestigieux, notamment le Napoli. Avec cette prolongation, Marko entame sa onzième saison au Sporting, poursuivant une aventure exceptionnelle débutée en 2027, lorsqu’il avait rejoint le club en provenance du Vojvodina.

Avec plus de 315 matchs sous le maillot vert et blanc, Radojičić est devenu une véritable institution au José Alvalade. Ailier gauche intraitable et leader sur le terrain, il symbolise à la fois la régularité et l’attachement aux valeurs du club.

Lors de l’annonce officielle de sa prolongation, Marko s’est exprimé avec émotion :

“Le Sporting est ma maison. C’est ici que j’ai grandi en tant que joueur et en tant qu’homme. Je sais que le club traverse une période délicate, mais je ne pouvais pas partir maintenant. Je veux aider cette équipe à retrouver la place qu’elle mérite, au sommet du football portugais.”

Cette prolongation a d’autant plus de saveur que Marko était courtisé par le Napoli, qui voyait en lui le renfort idéal pour sa défense. Les Italiens auraient été prêts à offrir une somme conséquente pour le recruter, mais Radojičić, fidèle à ses principes, a préféré rester loyal au Sporting.

Un proche du joueur a confié :

“Marko a beaucoup réfléchi, mais il n’a jamais vraiment envisagé de quitter le Sporting. Il est attaché à ce club et à ses supporters. Son choix reflète ses valeurs et son amour pour le maillot.”

Dans les travées du José Alvalade, les discussions vont bon train : avec cette prolongation et son statut de leader naturel, Marko pourrait bien devenir le nouveau capitaine du Sporting. Aux côtés de Marco Casado, autre joueur expérimenté, il incarnerait une figure de stabilité et de responsabilité dans une équipe en reconstruction.

Interrogé sur cette possibilité, Anibal Guimarães, récemment nommé entraîneur principal, a laissé entendre que Marko jouera un rôle central dans son projet :

“Marko est un exemple pour tous, sur et en dehors du terrain. C’est le type de joueur qui inspire ses coéquipiers et porte les valeurs du Sporting. La question du brassard n’est pas encore tranchée, mais il est clair qu’il fait partie de nos leaders.”

Cette prolongation envoie un signal positif aux supporters du Sporting. Alors que le club cherche à se reconstruire sous la direction d’Anibal et de Hugo Viana, la fidélité de Radojičić montre que même dans l’adversité, certains joueurs restent profondément attachés à l’institution.

Pour les jeunes joueurs de l’académie, Marko devient un modèle à suivre : un joueur qui a su conjuguer talent, régularité et loyauté, tout en restant fidèle à son club.

Avec sa prolongation, Marko Radojičić s’apprête à écrire un nouveau chapitre de son histoire avec le Sporting. Plus qu’un simple joueur, il est désormais une figure emblématique du club, un leader prêt à tout pour ramener les Leões au sommet.

Alors que la saison débute, les supporters espèrent que sa détermination et son engagement insuffleront une énergie nouvelle à l’équipe, marquant le début d’une ère où le Sporting retrouvera enfin sa grandeur.

- Chapitre 502 - - Boussemart et Daoudi visent grand -	- Chapitre 504 - Coming SOON - 26/01

[Rhino]

Un joueur expérimenté, qui connait la maison. Une bonne idée que cette prolongation. Voilà un cadre sur lequel Anibal pourrait s’appuyer pour faire passer son message au groupe

[Groot]

Réponse au lecteur

@Rhino oui et puis il a des bonnes stats le con

- Inácio fait son retour à Lisbonne -

Après une carrière extraordinaire qui l’a vu briller sur les plus grandes scènes du football européen, Gonçalo Inácio, 35 ans et 100 sélections avec le Portugal, a décidé de rentrer à la maison pour une dernière saison au Sporting Clube de Portugal, là où tout a commencé. Cet été, l’annonce de son retour a enflammé les supporters des Leões, qui voient en lui non seulement une légende, mais aussi un leader capable d’insuffler son expérience à une équipe en reconstruction.

Formé à l’académie du Sporting, Inácio avait quitté le club il y a douze ans pour rejoindre Manchester City, où il est devenu l’un des meilleurs défenseurs centraux de sa génération. Après cinq années couronnées de succès en Angleterre, il avait poursuivi sa carrière au Real Madrid, remportant plusieurs trophées majeurs et gravant son nom dans l’histoire du football.

Avec plus de 800 matchs professionnels et un palmarès impressionnant comprenant des titres en Premier League, en Liga, et en Ligue des Champions, Inácio revient au Sporting avec une richesse d’expérience inestimable.

Anibal Guimarães, nouvel entraîneur du Sporting, avait évoqué cette possibilité dès son arrivée, voyant en Gonçalo Inácio une figure idéale pour encadrer les jeunes joueurs et apporter une stabilité à l’équipe.

“J’avais parlé à Gonçalo il y a quelques semaines, et il m’a confié son envie de finir sa carrière là où tout a commencé. Sa décision montre l’attachement qu’il a pour ce club, et je suis ravi de pouvoir travailler avec lui.”

Lors de sa présentation officielle, Gonçalo Inácio a exprimé son émotion de revenir à Lisbonne :

“Le Sporting est ma maison. C’est ici que j’ai grandi, que j’ai appris à aimer le football. Revenir pour une dernière saison, c’est un rêve. Je veux tout donner pour ce club, pour ses supporters, et pour transmettre mon expérience aux plus jeunes.”

Avec son retour, Gonçalo Inácio n’apportera pas seulement ses qualités de joueur, mais aussi son leadership. Son rôle au sein de l’équipe sera double : stabiliser la défense et jouer le mentor auprès des jeunes talents issus de l’académie.

Anibal a déjà précisé ses attentes envers lui :

“Gonçalo ne revient pas seulement pour jouer. C’est un leader naturel, quelqu’un qui connaît l’ADN du Sporting. Il sera essentiel, non seulement sur le terrain, mais aussi dans le vestiaire, pour guider la nouvelle génération.”

L’annonce du retour d’Inácio a déclenché une vague d’enthousiasme parmi les supporters. Lors de son arrivée à Lisbonne, des centaines de fans se sont rassemblés à l’aéroport pour l’accueillir avec des chants et des banderoles. Sur les réseaux sociaux, les messages de bienvenue se sont multipliés, rappelant l’attachement du public pour ce joueur formé au club.

Pour Gonçalo Inácio, cette dernière saison au Sporting est une occasion de boucler la boucle. Son objectif est clair : aider le club à retrouver le sommet tout en écrivant la dernière page de sa carrière avec la passion et la détermination qui l’ont toujours caractérisé.

Les supporters, eux, savent que ce retour est bien plus qu’un simple transfert : c’est un chapitre chargé d’émotions, une célébration de l’héritage d’un joueur qui n’a jamais oublié ses racines. Et, peut-être, une opportunité pour Gonçalo Inácio de finir en apothéose, en ramenant un trophée au José Alvalade.

- - - Gonçalo	Inácio - - -
Âge	36
Nationalité	Portugais
valeur	13-14M€
Salaire	610k€/m
Fin de contrat	30 Juin 2038

		Légende de la défense

	ANNEES				CLUB	APP	Buts	Assists
	20/25		[PRO]		Sporting Portugal	166	11	3
	25/30		[PRO]		Manchester City	196	4	12
	30/36		[PRO]		Real Madrid CF	313	15	20
	36/37		[PRO]		Chelsea FC	47	0	3
	37/38		[PRO]		Sporting Portugal	0	0	0
	20/25		[U21]		Portugal	16	3	0
	23/38		[A]		Portugal	100	5	2
	20-38				TOTAL - - - - -	722	38	40

- Chapitre 503 - - Radojičić prolonge son contrat -	- Chapitre 505 - Coming SOON - 27/01

[Manthyz]

Je n’ai jamais été fan de faire revenir les anciens grands joueurs dans leurs clubs, surtout à cet âge … A voir mais je suis dubitatif

[Sythax]

Le risque c’est que ces vieux joueurs réclament beaucoup de temps de jeu alors qu’ils n’ont plus le niveau. Mais si il revient pour vraiment aider le club et effectuer une transition vers le staff, ça ne peut qu’être bénéfique au club.

[RedM1nd]

Punaise, la légende revient mais pas pour 3 sous. 610K/mois, c’est un véritable pont d’or. J’espère qu’il parviendra à jouer encore un moment étant donné ses émoluments.

[volatil]

Vous n’avez pas la foi ! Je suis sur que le vieux en a encore sous le’pied ! J’ai confiance en Aníbal !

[CaptainAmericka]

Génial son retour pour boucler la boucle ! C’est parfait pour l’histoire

Par contre, il est devenu bridé avec l’âge et a changé de prénom ? Sur le screen il s’appelle Junma Gondo

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Manthyz moi non plus mais il a un profil de porc, j’ai confiance.

@Sythax Alors clairement il arrive pour être titulaire. Dans ma défense à trois vu son niveau ça devrait pas poser problème. A voir s’il performe.

@RedM1nd c’est un investissement mais il a encore un niveau de goret. Et puis c’est que pour uen saison.

@volatil enfin un croyant.

@CaptainAmericka J’ai mis à jour le skin

- Javi Sanchez et Afonso Valente rejoignent le staff d’Anibal -

À quelques semaines du début de la saison, Anibal Guimarães continue de poser les bases de son projet au Sporting Clube de Portugal. Après avoir déjà marqué les esprits avec des décisions fortes concernant l’effectif, l’entraîneur portugais a désormais finalisé les contours de son staff technique, confirmant l’arrivée de plusieurs collaborateurs de confiance qui l’ont accompagné ou marqué au fil de sa carrière.

Comme lors de ses précédentes expériences, Javi Sánchez s’engage à nouveau en tant qu’entraîneur adjoint d’Anibal. Le duo, dont la complicité et l’efficacité ne sont plus à prouver, a déjà connu de nombreux succès ensemble, que ce soit à Valladolid, Palmeiras, Envigado, Nagoya ou Tijuana. Leur complémentarité repose sur une compréhension mutuelle de leurs rôles et une vision commune du football.

Lors de l’annonce, Anibal a salué l’arrivée de Javi avec enthousiasme :

“Javi est plus qu’un adjoint, c’est un partenaire de confiance. Il sait comment je travaille, il connaît mes attentes, et surtout, il apporte ses propres idées qui enrichissent constamment notre approche tactique. Sa présence est essentielle pour construire une équipe compétitive.”

Le staff personnel d’Anibal s’agrandit également avec les arrivées de deux anciens joueurs qu’il a entraînés lors de son passage au Vianense. Afonso Valente, préparateur physique, et Tiago Estevão, entraîneur des gardiens, viennent compléter une équipe technique déjà solide.

Afonso Valente, reconnu pour son expertise dans la préparation athlétique, a exprimé sa fierté de retrouver Anibal :

“Anibal m’a marqué comme entraîneur à Vianense, et aujourd’hui, je suis honoré de pouvoir contribuer à son projet au Sporting. Mon objectif est d’apporter ma rigueur et mes connaissances pour optimiser les performances de l’équipe.”

De son côté, Tiago Estevão, ancien gardien, a également partagé son enthousiasme :

“Revenir travailler avec Anibal, c’est une immense opportunité. En tant qu’entraîneur des gardiens, je veux transmettre mon expérience et tirer le meilleur de nos portiers.”

Avec ces arrivées, Anibal Guimarães continue de bâtir un environnement de travail basé sur la confiance, la compétence, et la loyauté. Chaque membre du staff apporte une expertise spécifique, mais surtout une connaissance approfondie des méthodes de l’entraîneur principal.

Anibal a résumé son état d’esprit lors de la présentation de son équipe technique :

“Un entraîneur n’est rien sans un staff compétent. Avec Javi, Afonso, Tiago, et les autres, je sais que nous avons les bases pour réussir. Ce sont des personnes en qui j’ai une totale confiance, et ensemble, nous allons tout faire pour ramener le Sporting au sommet.”

Cette structuration minutieuse du staff est un signe fort pour les joueurs et les supporters. Elle montre la détermination d’Anibal à poser des bases solides pour ce nouveau chapitre de sa carrière et de l’histoire du Sporting Clube de Portugal.

Les supporters, déjà galvanisés par le retour de figures comme Gonçalo Inácio, peuvent désormais être rassurés de voir leur équipe entre les mains d’un groupe technique expérimenté et soudé. Une nouvelle ère commence au Sporting, et elle semble déjà promesse d’ambitions élevées et de cohérence.

- Chapitre 504 - - Inácio fait son retour à Lisbonne -	- Chapitre 506 - Coming SOON - 28/01

[Manthyz]

De bons renforts dans le staff, mais il serait peut-être temps pour Javi Sanchez de voler de ses propres ailes et de devenir coach principal plutôt que de vivre toujours dans l’ombre d’Anibal …

[CaptainAmericka]

Javi Sanchez c’était attendu en effet ! Il est pour Anibal ce que Stephan est pour Deschamps
Sympa cependant que d’anciens joueurs le rejoignent dans son staff !

[volatil]

Et qui tournerait la touillette dans le café d’Anibal sans Javi Sanchez ?