:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Anibal se retrouve avec une sĂ©curitĂ© digne 
 d’un chef de mafia au final !! :grin:
Par contre, Yessica en est a quoi, son 16e mois de grossesse non ?? :thinking:

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18 mois pour découvrir le vrai football :smiling_face_with_three_hearts:

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@Manthyz au final pas loin pour la sécurité. Justement maintenant que tu en parles :hoho: Mais non on durée normal :dsk:

@toopil :hoho:

- Anibal et Yessica acceuille leur princesse -

RecroquevillĂ© dans sa villa ultra sĂ©curisĂ©e, Anibal GuimarĂŁes ne se serait jamais imaginĂ© vivre un tel contraste d’émotions en ce jour particulier. La tension permanente qui enveloppait sa vie depuis son arrivĂ©e au BrĂ©sil Ă©tait plus palpable que jamais. Des agents de sĂ©curitĂ© patrouillaient autour de la maison, des gardes armĂ©s se tenant Ă  chaque entrĂ©e. Mais, au milieu de ce dispositif presque militaire, quelque chose de miraculeux s’apprĂȘtait Ă  se produire.

Yessica, sa femme, allongĂ©e sur le lit mĂ©dicalisĂ© installĂ© dans la piĂšce la plus sĂ©curisĂ©e de la villa, Ă©tait entourĂ©e de mĂ©decins et de sages-femmes. Anibal tenait fermement sa main, essayant de lui transmettre la force qu’il puisait tant bien que mal dans son amour pour elle. Chaque cri de douleur de Yessica dĂ©chirait son cƓur, mais il ne pouvait s’empĂȘcher de ressentir une vague d’espoir et d’anticipation grandissante.

Les heures s’égrainĂšrent, semblant s’étirer Ă  l’infini. Puis, finalement, le moment tant attendu arriva. Le premier cri de leur fille rĂ©sonna dans la piĂšce, un son fragile mais si puissant qu’il brisa les murs d’inquiĂ©tude qui avaient enserrĂ© le cƓur d’Anibal ces derniers mois. Il sentit une explosion d’émotions, un mĂ©lange de soulagement, d’amour et d’émerveillement qui le submergea. Les larmes qu’il avait trop souvent retenues coulaient dĂ©sormais librement sur ses joues.

La sage-femme, un sourire bienveillant sur le visage, plaça le nourrisson contre la poitrine de Yessica. Le bébé, chaud et vivant, se blottit instinctivement contre sa mÚre, et Anibal, assis juste à cÎté, contempla la scÚne comme un homme qui venait de découvrir le vrai sens du bonheur.

Yessica, le visage marquĂ© par la fatigue et la douleur, tourna lentement la tĂȘte vers Anibal. Ses yeux brillaient d’un amour et d’une tendresse sans bornes. « Ani
 » murmura-t-elle, sa voix faible mais teintĂ©e d’une profonde Ă©motion.

Il se pencha vers elle, leur front se touchant presque. « Je suis lĂ , mon amour, » rĂ©pondit-il d’une voix brisĂ©e par l’émotion.

Yessica prit une inspiration laborieuse, ses doigts caressant doucement les cheveux du petit ĂȘtre nichĂ© contre elle. « On a tellement discutĂ© de son prĂ©nom
 » Un sourire se dessina sur ses lĂšvres fatiguĂ©es. « Mais, finalement
 J’ai changĂ© d’avis. »

Anibal fronça lĂ©gĂšrement les sourcils, surpris. Il avait Ă©tĂ© persuadĂ© que leur petite princesse s’appellerait Isabella, comme ils l’avaient convenu. Mais il n’en dit rien, attendant que sa femme continue.

Dans un souffle poussif, presque comme un murmure, Yessica leva les yeux vers lui. « Je veux l’appeler Beatriz
 Comme ta mĂšre. »

Le temps sembla s’arrĂȘter. Anibal se figea, l’air se bloquant dans ses poumons. Le prĂ©nom de sa dĂ©funte mĂšre rĂ©sonna dans son esprit, un Ă©cho douloureux mais doux, empreint d’un amour et d’un souvenir qu’il chĂ©rissait avec tant de ferveur. Son cƓur, dĂ©jĂ  rempli d’amour pour sa fille, se serra encore plus fort. Il regarda Yessica, la gorge nouĂ©e par l’émotion, incapable de parler pendant un moment.

Elle lui sourit faiblement, consciente de la profondeur de sa proposition. « Ta mĂšre t’a donnĂ© tant de force, » murmura-t-elle. « Je veux que notre fille en hĂ©rite
 Je veux qu’elle porte ce prĂ©nom avec fiertĂ©. »

Anibal ne put contenir un sanglot. Il se pencha pour embrasser tendrement Yessica, ses lĂšvres effleurant son front en signe de gratitude infinie. « Merci
 » dit-il, sa voix brisĂ©e par l’émotion. « Merci pour ce cadeau, mon amour. »

Il se redressa ensuite pour regarder leur fille, Beatriz, son cƓur dĂ©bordant d’une tendresse et d’une promesse silencieuse : il ferait tout pour la protĂ©ger, pour lui offrir un monde plus sĂ»r, un avenir oĂč elle n’aurait jamais Ă  connaĂźtre les ombres de son passĂ©.

- Chapitre 387 -
- Anibal et Anaya sous protection -
- Chapitre 389 -
Coming SOON - 25/11
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Ca y est et voila que l’histoire se transforme en « Les Feux de l’Amour Â» :rofl: :rofl: :rofl:

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On dérive, on dérive coach ! Nous on veut la bagarre, le FBI qui pÚte la gueule de Reyes !! :joy:

Non, sans rire, joli geste de la part de Yessica ! :heart_hands:

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grosse sécurité, dis donc !

bravo à anibal et yessica pour le bébé !

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Anibal, c’est quand mĂȘme un sacrĂ© lover ^^ Maintenant, faut espĂ©rer que la suite de sa belle histoire familiale ne prenne pas un tour dramatique Ă  cause des menaces qui planent au-dessus de sa tĂȘte

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@VertPourToujours t’abuse de ouf :pasrire:

@CaptainAmericka mdr toujours ça veut du sang :hoho:

@celiavalencia il en faut vu la situation.

@Rhino Heuresement c’est pas un sacrĂ© baiseur.

- Toujours invaincu ! -

LancĂ© dans le championnat national, le VerdĂŁo commença Mai avec un nul stĂ©rile en championnat contre le Fluminense. Ses hommes visiblement Ă©moussĂ©, Anibal fit tourner contre Belgrano pour le dernier match de Libertadores. Si le club concĂ©da un nul Meniconi et Vitor ont marquĂ©. Le club a repris sa marche en avant en faisant tomber Coritiba avec des buts de Vini Jr et Auribertinho. Le club fait un nouveau nul contre Santos avec un but tardif de Breno Danko. Durant ce match, le club aura longtemps cru s’incliner pour la premiĂšre fois de la saison.

Suite Ă  un enchainement plus simple contre Vila Nova et CearĂĄ, les alviverdes ont repris confiance. Gilson a mis un triplĂ© tandis que Vini Jr marquĂ© contre les premiers nommĂ©s. Lors de l’opposition suivante le jeune Thiago signa un doublĂ©. A la reprise Saulo marqua son premier but en pro sur une frappe de loin avant que Vini Jr ne marque en toute fin de match. Pour la neuviĂšme journĂ©e, le club fit tomber l’AmĂ©rica Mineiro grĂące aux buts de Rodrygo et Ruan Indio.

C’est ensuite la Copa qui a dĂ©butĂ© avec une double opposition contre Fluminense. Le match aller fut beaucoup moins sĂ©rrĂ© que lors de la quatriĂšme journĂ©e de BrasileirĂŁo. Guilherme a scorĂ© pour fĂȘtĂ© sa titularisation avant que Talles Magno ne double la mise. Dans la foulĂ©e le jeune Ivanilson marquait Ă  son tour. Quelques minutes plus tard Ruan Indio ajoutĂ© lui aussi un nouveau but enterinant quasiment la qualification.

Entre ces deux matchs le club tapa Vasco de Gama sur un triplĂ© de Rodrygo plein de classe. Le retour contre Fluminense fut animĂ© avec de nouveau quantitĂ© de buts. Talles Magno s’offrit un triplĂ© tandis que Ivanilson et Guilherme y allais de leurs buts confirmant qu’il faudrait compter sur tout le monde cette saison pour atteindre les objectifs du club.

Semblant calĂ© sur un sacrĂ© rythme de croisiĂšre, Palmeiras se paya les Corinthians avec un nouveau doublĂ© de GĂ­lson renforcĂ© par un but de William. Le club concĂ©da ensuite deux nuls contre Flamengo et Gremio malgrĂ© des buts de GĂ­lson, Rodrygo et VinĂ­ Jr. Mais cela renforçait la sĂ©rie d’invincibilitĂ© du club. Le club repris sa marche en avant en faisant tomber en fin de match SĂŁo Paulo avec des nouveaux buts de Rodrygo et Breno Danko. Puis en faisant tomber le champion de seconde division CriciĂșma avec des buts de VinĂ­ Jr et William.

Le club termina la pĂ©riode avec une nouvelle victoire contre Botafogo avec des buts de Gildo, GĂ­lson pour un doublĂ© et VinĂ­ Jr. Cela donnait dĂ©jĂ  45 matchs sans dĂ©faite cette saison pour Palmeiras sous la direction d’Anibal alors que le dangereux mercato allais ouvrir ses portes.

Date Club Score Buteurs
:serieabre: J4 5/5/2035 :fluminense: Fluminense 0 - 0 -
:grootliberta: M6 8/5/2035 :belgrano: Belgrano 2 - 2 R.Meniconi (16), J.VĂ­tor (76)
:serieabre: J5 13/5/2035 :coritiba: Coritiba 0 - 2 VinĂ­ Jr (17), Auribertinho (87)
:serieabre: J6 16/5/2035 :santos: Santos 1 - 1 B.Danko (90)
:serieabre: J7 20/5/2035 :vila_nova: Vila Nova 3 - 0 GĂ­lson (17, 71), VinĂ­ Jr (33)
:serieabre: J8 23/5/2035 :ceara: CearĂĄ 4 - 0 Thiago (7, 9), Saulo (46), VinĂ­ Jr (86)
:serieabre: J9 26/5/2035 :america_mineiro: AmĂ©rica Mineiro 0 - 2 Rodrygo (49), R.Índio (87)
:copa_brazil: T4 30/5/2035 :fluminense: Fluminense 0 - 4 G.Henrique (7), T.Magno (62), Ivanilson (63), R.Índio (68)
:serieabre: J10 3/6/2035 :vasco_de_gama: Vasco da Gama 3 - 1 Rodrygo (pen 10, 25, 29)
:copa_brazil: T4 6/6/2035 :fluminense: Fluminense 5 - 2 T.Magno (17, 68, 81), Ivanilson (32), G.Henrique (60)
:serieabre: J11 9/6/2035 :corinthians: Corinthians 3 - 0 GĂ­lson (9, 55), William (54)
:serieabre: J12 14/6/2035 :flamengo: Flamengo 2 - 2 GĂ­lson (40), VinĂ­ Jr (48)
:serieabre: J13 17/6/2035 :gremio: GrĂȘmio 1 - 1 Rodrygo (20)
:serieabre: J14 20/6/2035 :sao_paulo: SĂŁo Paulo 1 - 2 Rodrygo (8), B.Danko (74)
:serieabre: J15 24/6/2035 :criciuma: CriciĂșma 2 - 0 VinĂ­ Jr (2), William (28)
:serieabre: J16 30/6/2035 :botafogo: Botafogo 2 - 4 Gildo (37), GĂ­lson (45+2, 74), VinĂ­ Jr (85)

- Classificação | Brasileirão -

Clt
Équipe
J G N P Bm Be Diff Pts
1er :grootliberta: :palmeiras: Palmeiras 16 12 4 0 39 9 +30 40
2e :grootliberta: :flamengo: Flamengo 17 10 4 3 40 25 +15 34
3e :grootliberta: :gremio: GrĂȘmio 16 9 4 3 36 17 +19 31
4e :grootliberta: :international_pa: Internacional 14 8 4 2 24 13 +11 28
5e :grootliberta: :sao_paulo: SĂŁo Paulo 16 8 3 5 21 19 +2 27
6e :grootliberta: :botafogo: Botafogo 15 7 4 4 33 26 +7 25
7e :grootliberta: :vasco_de_gama: Vasco da Gama 16 6 6 4 24 20 +4 24
8e :grootsuda: :fluminense: Fluminense 14 7 2 5 23 21 +2 23
9e :grootsuda: :vila_nova: Vila Nova 17 7 1 9 19 21 -2 22
10e :grootsuda: :santos: Santos 16 6 3 7 25 26 -1 21
11e :grootsuda: :corinthians: Corinthians 13 5 4 4 29 25 +4 19
12e :grootsuda: :bragantino: Bragantino 15 5 4 6 20 21 -1 19
13e :grootsuda: :america_mineiro: América Mineiro 16 5 4 7 14 23 -9 19
14e :cruzeiro: Cruzeiro 13 4 5 4 12 9 +3 17
15e :atletico_paranaense: Athletico Paranaense 16 4 5 7 17 21 -4 17
16e :juventude: Juventude 17 4 5 8 19 30 -11 17
17e :coritiba: Coritiba 16 5 1 10 22 32 -10 16
18e :seriebbre: :bahia: Bahia 18 4 3 11 16 35 -19 15
19e :seriebbre: :ceara: CearĂĄ 14 2 4 8 10 26 -16 10
20e :seriebbre: :criciuma: CriciĂșma 17 2 2 13 16 40 -24 8

- Classificação dos goleadores -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :brazil: :italy: GĂ­lson 38 30 5
:2nd_place_medal: :brazil: :spain: Rodrygo 39 (5) 29 14
:3rd_place_medal: :brazil: :spain: VinĂ­cius JĂșnior 38 (5) 16 17
:brazil: Talles Magno 7 (20) 12 1
:brazil: :spain: Auribertinho 27 (6) 9 3

- Classificação dos colonos -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :colombia: Juan SebastiĂĄn Anaya 37 (6) 3 17
:2nd_place_medal: :brazil: :spain: VinĂ­cius JĂșnior 38 (5) 16 17
:3rd_place_medal: :brazil: :portugal: Yan Couto 34 (8) 1 16
:brazil: :spain: Rodrygo 39 (5) 29 14
:brazil: William 35 7 8
- Chapitre 388 -
- Anibal et Yessica acceuille leur princesse -
- Chapitre 390 -
Coming SOON - 25/11
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Malgré quelques partages ici et là, le classement est trÚs trÚs impressionnant. Difficile de trouver un concurrent sérieux à ce Palmeiras

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Toujours invaincu, mais toujours sous protection policiùre, donc il ferait bien de pas trop fanfaronner le p’tit Anibal. :sac:

Par contre, comment ça la petite ne s’appelle pas Tara ? C’est quoi ce bordel ? :no:

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ALLEZ RODRYGO, LACHE PAS BORDEL, TU VAS L’ECRASER CE GILSON !!! BOUFFE LE !!! :rofl: :rofl: :rofl:

Merde, pardon ! DĂ©solĂ© je m’emballe sur les rares situations oĂč il reste du suspense, car en championnat on sait comment ça va finir : au final, c’est Anibal qui leur Ă©clate Ă  tous le trou de balle ! :sac:

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Et allez ça continue de gagner. MĂȘme pas perturbĂ© par les menaces de Reyes

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@Rhino honnĂȘtement lui mĂȘme :sac:

@Malakai Toujours vivant :pasrire: mdr

@CaptainAmericka tu m’as tuĂ©s de rire enfoirĂ©


grootLibertadores

150914 215440 303815

- Tirage accessible pour Palmeiras -

La tension Ă©tait palpable au siĂšge de la CONMEBOL Ă  AsunciĂłn alors que le tirage au sort des huitiĂšmes de finale de la Copa Libertadores battait son plein. Anibal GuimarĂŁes, entourĂ© de son staff technique, scrutait les Ă©crans gĂ©ants dans la salle de rĂ©union du centre d’entraĂźnement de Palmeiras, son regard concentrĂ© et ses doigts tapotant nerveusement la table.

L’équipe avait fait une saison jusqu’à prĂ©sent irrĂ©prochable sous sa direction, remportant le PaulistĂŁo et affichant une forme Ă©tincelante sur la scĂšne continentale. Mais tout le monde le savait : les huitiĂšmes de finale de la Libertadores Ă©taient une toute autre histoire.

Les supporters Ă©taient impatients et confiants, mais aussi conscients du poids qui pesait sur leurs Ă©paules. Palmeiras Ă©tait le champion en titre, et avec ce statut venait la pression d’un club que tous les autres voulaient abattre. Les mĂ©dias ne cessaient de rappeler la sĂ©rie d’invincibilitĂ© impressionnante du VerdĂŁo depuis l’arrivĂ©e d’Anibal, soulignant que chaque adversaire ferait de son mieux pour mettre fin Ă  ce parcours sans dĂ©faite.

Quand le nom du FBC Melgar apparut Ă  l’écran, une vague de soulagement parcourut l’assemblĂ©e. Les PĂ©ruviens Ă©taient une Ă©quipe respectĂ©e, mais loin de la puissance de feu de certaines Ă©quipes brĂ©siliennes ou argentines. ComparĂ©s aux gĂ©ants que Palmeiras aurait pu affronter, Melgar reprĂ©sentait un tirage abordable. Les murmures se transformĂšrent en discussions animĂ©es, et quelques sourires se dessinaient dĂ©jĂ  sur les visages des membres du staff. Mais Anibal restait impassible, son regard toujours aussi perçant.

Dans la salle de presse, un journaliste posa la question que tout le monde avait en tĂȘte : « Coach, pensez-vous que ce tirage plutĂŽt favorable assure une qualification facile ? »

Anibal esquissa un sourire prudent avant de rĂ©pondre. « Rien n’est jamais facile en Copa Libertadores, » commença-t-il, sa voix calme mais teintĂ©e de dĂ©termination. « Melgar mĂ©rite notre respect. Ils ne sont pas arrivĂ©s Ă  ce stade par hasard. Nous avons vu des Ă©quipes supposĂ©ment infĂ©rieures causer des surprises par le passĂ©, et je ne veux pas que mes joueurs tombent dans ce piĂšge. Nous aborderons ce match comme n’importe quel autre, avec sĂ©rieux et humilitĂ©. »

Les camĂ©ras cliquetĂšrent, capturant son expression rĂ©solue. Il savait que les huitiĂšmes de finale Ă©taient un test de caractĂšre autant qu’un test de talent. La Copa Libertadores Ă©tait pleine de surprises, et mĂȘme un adversaire considĂ©rĂ© comme modeste pouvait se rĂ©vĂ©ler dangereux s’il Ă©tait sous-estimĂ©.

Dans les jours qui suivirent le tirage, l’excitation des supporters de Palmeiras monta en flĂšche. Les rĂ©seaux sociaux Ă©taient inondĂ©s de messages d’encouragement, et les discussions dans les cafĂ©s de SĂŁo Paulo tournaient toutes autour des chances du VerdĂŁo de poursuivre sa quĂȘte vers un nouveau sacre continental. Pourtant, derriĂšre l’enthousiasme gĂ©nĂ©ral, Anibal ne laissait rien au hasard. Les sĂ©ances d’entraĂźnement se faisaient encore plus intenses, et le staff analysait chaque dĂ©tail des matchs de Melgar.

Anibal avait conscience que cette Copa Libertadores Ă©tait l’occasion parfaite de cimenter son hĂ©ritage au BrĂ©sil. Le tirage avait peut-ĂȘtre Ă©tĂ© clĂ©ment, mais il savait qu’un moment de relĂąchement pourrait tout compromettre. C’est avec cette mentalitĂ© qu’il prĂ©para son Ă©quipe, dĂ©terminĂ© Ă  prouver que le VerdĂŁo n’était pas seulement le tenant du titre, mais qu’il Ă©tait prĂȘt Ă  dĂ©fendre son trĂŽne avec la mĂȘme fĂ©rocitĂ© qu’il l’avait conquis.

Alors que le jour du match approchait, SĂŁo Paulo vibrait d’une Ă©nergie palpable. Le stade se prĂ©parait Ă  accueillir un public en fusion, prĂȘt Ă  porter son Ă©quipe vers une victoire. Anibal, lui, restait concentrĂ©, sachant qu’une seule chose comptait dĂ©sormais : ĂȘtre prĂȘt, quel que soit l’adversaire.

- Chapitre 389 -
- Toujours invaincus -
- Chapitre 391 -
Coming SOON - 26/11
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https://fmslife.fr/t/1-jour-1-club/14947/10?u=toopil

Du coup, j’espĂšre ta dĂ©faite en Libertadores :smirk:

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Et bien, il s’est passĂ© beaucoup de choses en peu de temps. La naissance de la petite, la bunkerisation de la maison, et toujours invaincu.

La cible que porte Anibal sur le dos, commence Ă  devenir de plus en plus grande, aussi bien sur le terrain que dans sa vie :grin:

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@toopil tu rĂȘves, je compte bien les poutrer :dsk:

@alexgavi Toujours plus fort dans l’adversitĂ© mon bon monsieur :dsk:

- Breno Danko file à l’anglaise -


image image

- - - BRENO
DANKO - - -
Âge
27
Nationalité :brazil: Brésilien
Apparitions 190 apparitions
Buts 15 buts
Assists 22 Passes décisives
ANNEES CLUB APP Buts Assists
:brazil: 2032 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 26 2 3
:brazil: 2033 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 70 2 9
:brazil: 2034 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 55 1 6
:brazil: 2035 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 39 10 4
32-35 TOTAL - - - - - - - 190 15 22

Le mercato approchait à grands pas, et comme à son habitude, Anibal Guimarães avait pris le soin de planifier méticuleusement cette période charniÚre. Il avait rencontré ses joueurs individuellement, analysant leurs aspirations, anticipant les mouvements possibles, et se préparant à toutes les éventualités.

Le coach portugais savait que pour défendre ses titres, il ne pouvait se permettre de perdre des éléments importants sans solution de rechange. Pourtant, malgré sa préparation, une nouvelle inattendue allait bousculer ses plans.

Un aprĂšs-midi ensoleillĂ©, alors qu’Anibal finalisait les dossiers de ses entretiens avec ses adjoints Saldanha et Javi Sanchez, le tĂ©lĂ©phone de Gabriel Jesus, le directeur sportif de Palmeiras, sonna avec insistance. Le visage de Gabriel se crispa en entendant la nouvelle, et il se tourna vers Anibal, visiblement contrariĂ©.

« Bournemouth a levĂ© la clause de Breno Danko, » annonça-t-il, l’air grave. « 30 millions de dollars, c’est fait. Il part. »

Anibal haussa un sourcil, plus surpris par la rapiditĂ© de la transaction que par le dĂ©part lui-mĂȘme. Breno Danko n’était pas le joueur le plus indispensable de son effectif, mais sa polyvalence Ă©tait un atout prĂ©cieux. Joueur de couloir capable de jouer aussi bien en dĂ©fense qu’en attaque, il avait souvent Ă©tĂ© une carte maĂźtresse pour renforcer ou dynamiser les flancs selon les besoins du match. Mais ce qui le surprit le plus, c’était le comportement de Danko.

En quelques heures, le joueur avait fait ses valises, rempli les formalitĂ©s administratives, et quittĂ© le BrĂ©sil pour l’Angleterre sans dire un mot Ă  personne. Ni au staff, ni Ă  ses coĂ©quipiers, pas mĂȘme Ă  ses amis proches dans l’équipe. Anibal apprit que Danko avait simplement envoyĂ© un message laconique dans le groupe de l’équipe, remerciant tout le monde pour « ces moments incroyables » avant de quitter le chat sans plus d’explications. C’était un dĂ©part abrupt, presque impoli, qui laissa un goĂ»t amer dans la bouche de certains.

Pourtant, lors de la confĂ©rence de presse suivante, Anibal se montra imperturbable. Il s’assit devant les journalistes, son expression calme et dĂ©tendue, comme si rien ne pouvait le dĂ©stabiliser.

« Breno Danko ? Oui, il est parti, » dĂ©clara-t-il d’un ton dĂ©tachĂ©, rĂ©pondant Ă  la question d’un journaliste. « C’est le football. Nous savons que les clauses libĂ©ratoires sont lĂ  pour une raison, et Bournemouth a dĂ©cidĂ© de l’activer. Cela fait partie du jeu, et nous ne pouvons rien y faire. »

Un autre journaliste insista, cherchant à obtenir une réaction plus émotionnelle du coach. « Mais coach, vous perdez un joueur polyvalent, cela ne vous inquiÚte-t-il pas pour la suite de la saison ? »

Anibal secoua doucement la tĂȘte, un sourire Ă©nigmatique sur les lĂšvres. « Thiago s’est imposĂ© ces derniĂšres semaines, » rĂ©pondit-il. « Il a dĂ©montrĂ© qu’il pouvait remplir le rĂŽle avec brio, et nous avons d’autres options. Le dĂ©part de Danko est une opportunitĂ© pour d’autres joueurs de s’exprimer. Je fais confiance Ă  mon effectif. »

Dans les vestiaires, certains joueurs ne cachĂšrent pas leur Ă©tonnement face Ă  la sĂ©rĂ©nitĂ© d’Anibal. Pour eux, le dĂ©part soudain de Danko Ă©tait un coup dur, surtout pour ceux qui Ă©taient proches de lui. Mais Anibal, fidĂšle Ă  son style de management, savait qu’il devait montrer une façade solide. L’équipe ne pouvait pas se permettre de douter ou de se dĂ©concentrer, surtout avec les Ă©chĂ©ances importantes qui approchaient.

En privé, Anibal réunit son staff pour discuter des ajustements tactiques. « Nous devons nous assurer que la transition est fluide, » expliqua-t-il à Saldanha et Javi. « Thiago a montré de belles choses, mais il faudra surveiller ses performances. Si besoin, on pourra ajuster. »

Gabriel Jesus, qui avait assistĂ© Ă  la rĂ©union, hocha la tĂȘte, impressionnĂ© par le calme et la dĂ©termination de l’entraĂźneur. Anibal avait ce don unique de transformer une situation potentiellement dĂ©stabilisante en une opportunitĂ© de renforcer l’équipe. Et bien que certains joueurs murmuraient encore Ă  propos du dĂ©part Ă©trange de Danko, la majoritĂ© du groupe se concentra rapidement sur l’essentiel : continuer Ă  gagner, Ă  se battre pour chaque titre.

Le dĂ©part de Breno Danko, bien que soudain, n’ébranla pas le navire Palmeiras. GrĂące Ă  l’approche stratĂ©gique d’Anibal et Ă  sa confiance inĂ©branlable en son effectif, le VerdĂŁo poursuivait sa route, plus motivĂ© que jamais. Le message Ă©tait clair : peu importe les obstacles, l’objectif restait le mĂȘme.

- Chapitre 390 -
- Tirage accessible pour le VerdĂŁo -
- Chapitre 392 -
Coming SOON - 26/11
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C’est fou dans FM comme les BrĂ©siliens ont des clauses libĂ©ratoires. C’est toujours utile quand tu cherches un joueur :smirk:

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Une perte qui peut ĂȘtre compensĂ©. Cet effectif a dĂ©jĂ  beaucoup de qualitĂ©

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Mince, gros départ. Le mec semble avoir tourné la page rapidement :sweat_smile:
Bon, il y a de quoi faire pour le remplacer, Ă  voir si un petit jeune en interne en profite

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@toopil une vrai plaie ouais :sadpepe:

@Rhino j’ai dĂ©jĂ  deux trois joueurs qui se partageait le poste.

@alexgavi J’ai William à son poste.

- Anibal prĂ©pare l’avenir avec Rafaela -

Dans l’intimitĂ© de sa villa ultra-sĂ©curisĂ©e Ă  SĂŁo Paulo, Anibal GuimarĂŁes profitait des rares moments de calme que lui offrait la trĂ©pidante vie de coach de Palmeiras. Les journĂ©es Ă©taient longues et intenses, remplies de sĂ©ances d’entraĂźnement, de briefings tactiques, et de discussions continues avec Saldanha, son adjoint dĂ©signĂ© pour prendre sa suite.

Pourtant, mĂȘme dans le feu de l’action, Anibal gardait une partie de son esprit tournĂ©e vers l’avenir. Il savait que sa mission au BrĂ©sil n’était qu’une Ă©tape, et le moment venu, il devrait songer Ă  son prochain dĂ©fi.

En privĂ©, ces rĂ©flexions Ă©taient souvent partagĂ©es avec sa femme Yessica, qui l’avait soutenu Ă  travers tant de turbulences ces derniĂšres annĂ©es. Un soir, alors qu’ils sirotaient un verre de jus tropical sous la vĂ©randa, l’esprit d’Anibal Ă©tait dĂ©jĂ  accaparĂ© par les dĂ©tails logistiques de leur futur dĂ©mĂ©nagement. Yessica, dĂ©sormais mĂšre attentive de leur petite Beatriz, observait son mari, le front plissĂ© par l’anticipation. Elle comprenait que malgrĂ© leur vie apparemment idyllique sous le soleil brĂ©silien, Anibal ne pouvait s’empĂȘcher de penser Ă  la sĂ©curitĂ© de sa famille, surtout aprĂšs ce qu’ils avaient vĂ©cu en Colombie.

« Rafaela m’a dit qu’elle allait explorer les options, » dit-il Ă  sa femme, la voix lĂ©gĂšrement tendue. « Le Qatar et l’Égypte semblent les plus prometteurs pour l’instant. Le Moyen-Orient offre une sĂ©curitĂ© qu’on ne peut pas nĂ©gliger et leurs championnats demeurent des challenges sportifs intĂ©ressants. »

Yessica hocha la tĂȘte en silence, ses yeux se perdant dans les jardins verdoyants qui les entouraient. « L’important, c’est que nous soyons ensemble et en sĂ©curitĂ©, » murmura-t-elle. « Mais
 tu sais que je prĂ©fĂ©rerais un endroit oĂč Beatriz pourrait grandir sereinement, sans trop de bouleversements. »

Anibal lui prit la main, reconnaissant de la sagesse de ses mots. Yessica avait raison, comme toujours, mais le coach portugais savait aussi que le football dictait souvent leurs choix. C’est pourquoi il ne cessait de relancer son agent, Rafaela Pimienta, pour explorer les pistes avec une rigueur obsessionnelle.

Un aprĂšs-midi, aprĂšs une session d’entraĂźnement particuliĂšrement intense, Anibal se retira dans son bureau du centre d’entraĂźnement de Palmeiras. Il dĂ©crocha son tĂ©lĂ©phone et appela Rafaela, qui dĂ©crocha rapidement. Sa voix professionnelle mais amicale rĂ©sonna dans l’écouteur.

« Ani, j’espĂ©rais ton appel, » dit-elle, toujours efficace. « J’ai eu des discussions prometteuses avec les clubs qataris. Les infrastructures sont fantastiques, et ils garantissent un cadre sĂ©curisĂ©. Quant Ă  l’Égypte, Al Ahly et Zamalek ont Ă©galement manifestĂ© leur intĂ©rĂȘt. Ce sont des institutions puissantes, mais il faudra s’assurer que la stabilitĂ© politique est lĂ . »

Anibal Ă©couta en silence, rĂ©flĂ©chissant Ă  chaque mot. « Je veux que tout soit prĂȘt, Rafaela, » rĂ©pondit-il. « Si nous devons dĂ©mĂ©nager, je ne veux pas revivre ce que nous avons traversĂ© en Colombie. Et je veux m’assurer que Saldanha pourra continuer Ă  progresser sans ĂȘtre impactĂ© par mon dĂ©part. »

Rafaela comprit l’urgence et la dĂ©termination de son client. « Je te promets de tout gĂ©rer avec prĂ©caution. Mais sois certain d’une chose : le prochain dĂ©mĂ©nagement sera calculĂ©, sĂ©curisĂ©, et planifiĂ© jusqu’au moindre dĂ©tail. »

Anibal raccrocha, le cƓur un peu plus lĂ©ger. Il savait que Rafaela Ă©tait la meilleure dans son domaine, une alliĂ©e redoutable qui avait dĂ©jĂ  prouvĂ© sa valeur maintes fois. Mais malgrĂ© cette assurance, il restait prĂ©occupĂ©. Une carriĂšre d’entraĂźneur Ă©tait faite de hauts et de bas, de victoires Ă©clatantes et de dĂ©cisions impitoyables. Il devait tout anticiper, tout prĂ©parer, pour sa famille et pour lui-mĂȘme.

En attendant, il se plongea encore plus intensĂ©ment dans son rĂŽle au Palmeiras. La progression de Saldanha Ă©tait au cƓur de ses prĂ©occupations, et chaque session d’entraĂźnement devenait une leçon, un moment d’apprentissage. Anibal prenait soin de transmettre non seulement son savoir tactique, mais aussi la rĂ©silience nĂ©cessaire pour survivre dans ce monde parfois impitoyable. Saldanha Ă©tait un Ă©tudiant exemplaire, absorbant chaque dĂ©tail, et Anibal voyait en lui un futur grand coach.

Pour le moment, le dĂ©fi Ă©tait clair : maintenir Palmeiras au sommet et viser la gloire continentale. Mais dans un coin de son esprit, le coach savait que la question de son avenir restait en suspens. Une dĂ©cision devait ĂȘtre prise, et cette fois, il espĂ©rait que ce serait dans un lieu oĂč lui et sa famille pourraient enfin respirer sans la menace constante de l’insĂ©curitĂ©.

Anibal ferma les yeux un instant, imaginant ce que pourrait ĂȘtre une vie tranquille, loin des tumultes. Puis il les rouvrit, dĂ©terminĂ©. Avant de penser Ă  la retraite, il y avait encore tant Ă  accomplir. Et quel que soit le pays oĂč il poserait ses valises, une chose Ă©tait certaine : il y mettrait tout son cƓur, comme il l’avait toujours fait.

- Chapitre 391 -
- Breno Danko file à l’anglaise -
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Coming SOON - 27/11
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