Pour ce que reprĂ©sente son histoire, lâEgypte serait top. AprĂšs, câest vrai que le contexte nâest pas des plus simples, Ă voir ce que ça donne en 2035
LâĂgypte ne semble pas vraiment idĂ©al. Et au Qatar, sa femme va bien sâemmerder.
Pour une pige courte avant de tenter un retour en Europe, le Moyen-Orient semble ĂȘtre une bonne piste : des clubs avec de gros moyens, la dĂ©couverte dâun troisiĂšme continent avec la possibilitĂ© de remporter la LDC asiatique, et cĂŽtĂ© sĂ©curitĂ©, ça devrait le faire !
Bon, jâai rattrapĂ© !
Le tirage est easy, ça annonce encore une belle fessée et une nouvelle paire de fesses bien rouge tout ça !!
Le dĂ©part de Danko chez les rosbeef, bah, bon dĂ©barras, il nâavait pas lâair trĂšs investi vu son dĂ©part. Quand il va voir que le soleil nâest lĂ que 2 mois sur 12 et quâil va bouffer des haricots tous les jours, il reviendra la queue entre les jambes et te suppliera de le reprendre
Enfin, le choix de destination, bahâŠ
Si Anibal veut un dĂ©fi sympa dans un pays plus tranquille pour lui, le Japon peut ĂȘtre une bonne solution. Câest peut ĂȘtre plus sympa Ă vivre que le Qatar
Aller dans les pays arabe, là ou il fait vachement chaud et désertique
Et surtout là ou les femmes sont méprisées et endoctrinées; mauvaise idée pour Yessica et Beatriz
RĂ©ponses aux lecteurs
@alexgavi oui câest tentant mais le background pourrait sâavĂ©rer complexe.
@Sythax on verra si sa femme lui impose des choix ou pas
@Manthyz oui a voir ce qui est dispo aussi. reste quand mĂȘme la contrainte ingame.
@CaptainAmericka il a fait son choix ce hmar. on verra ce que ça aura donné dans quelques saisons.
@Rhino pourquoi pas, mais faut un poste dispo dans un club qui a des ambitions. si jây vais pour une periode courte faut quâil y ai des trophĂ©es Ă gagner. Câest vrai pour tout club ceci dit.
@celiavalencia câest aussi ce qui joue en dĂ©faveur de ces pays.
Sous le soleil Ă©clatant de SĂŁo Paulo, le centre dâentraĂźnement de Palmeiras Ă©tait en effervescence. Anibal GuimarĂŁes et Gabriel Jesus, le directeur sportif, orchestrĂšrent le mercato dâune main de maĂźtre. Ensemble, ils avaient rĂ©ussi lâimpossible : convaincre William, lâailier virevoltant, et Gilson, le jeune prodige en attaque, de finir la saison au club malgrĂ© les nombreuses offres allĂ©chantes venues dâEurope.
Le duo de dirigeants avait su utiliser tout son charisme et son sens de la persuasion pour maintenir une Ă©quipe compĂ©titive et prĂȘte Ă relever les dĂ©fis continentaux et nationaux.
« William, je sais que Chelsea te veut, et lâInter te suit de prĂšs, » avait dit Anibal lors dâune longue discussion avec son joueur. « Mais ici, tu es la clĂ© de notre succĂšs. Nous pouvons encore accomplir de grandes choses ensemble. Imagine la lĂ©gende que tu deviendras si tu nous aides Ă remporter une nouvelle Copa Libertadores. »
William, touchĂ© par les paroles de son coach, avait fini par hocher la tĂȘte, Ă©mu par la passion quâAnibal portait pour Palmeiras. Gilson, lui, avait Ă©tĂ© plus difficile Ă convaincre. Le jeune attaquant rĂȘvait de lâEurope, mais Anibal et Gabriel Jesus lui avaient promis un plan de dĂ©veloppement ambitieux, un tremplin idĂ©al avant de sâenvoler pour le Vieux Continent.
Pendant ce temps, un autre membre essentiel de lâĂ©quipe dâAnibal prĂ©parait une aventure qui allait marquer un tournant dans sa carriĂšre. Saldanha, lâadjoint dâAnibal et futur coach dĂ©signĂ© de Palmeiras, avait pris la dĂ©cision de franchir une Ă©tape cruciale pour valider son diplĂŽme dâentraĂźneur. GrĂące aux connexions dâAnibal, Saldanha sâapprĂȘtait Ă vivre une expĂ©rience unique : un sĂ©jour en Europe, oĂč il allait suivre de prĂšs la prĂ©paration et le dĂ©but de saison du Real Valladolid, mentorĂ© par nul autre que Pep Guardiola.
Le dĂ©part de Saldanha avait Ă©tĂ© un moment Ă©mouvant. Anibal, qui voyait en lui plus quâun simple adjoint, un hĂ©ritier spirituel et un homme de confiance, avait longuement parlĂ© avec lui avant son envol pour lâEspagne.
« Saldanha, ce que tu vas vivre Ă Valladolid avec Pep est une opportunitĂ© en or, » lui dit Anibal en lui serrant la main, le regard empli de fiertĂ©. « Observe tout, absorbe tout ce que tu peux. Mais nâoublie jamais qui tu es. Tu es Saldanha, un enfant de Palmeiras, un homme de principes et de talent. Reviens-nous avec de nouvelles idĂ©es, prĂȘt Ă nous aider Ă aller encore plus loin. »
Saldanha avait souri, un mĂ©lange de nervositĂ© et dâexcitation se lisant sur son visage. « Merci, Ani. Je te promets de donner le meilleur de moi-mĂȘme et de revenir plus fort. Et qui sait ? Peut-ĂȘtre que Guardiola aura des conseils Ă partager pour nous. »
LâarrivĂ©e de Saldanha en Espagne avait Ă©tĂ© tout aussi marquante. Pep Guardiola, bien que maintenant en charge de Valladolid, avait chaleureusement accueilli le jeune entraĂźneur brĂ©silien, intriguĂ© par la rĂ©putation que Saldanha avait dĂ©jĂ acquise aux cĂŽtĂ©s dâAnibal. Saldanha suivit les sessions dâentraĂźnement avec une attention mĂ©ticuleuse, Ă©tudiant les mĂ©thodes du lĂ©gendaire coach catalan, tout en partageant ses propres expĂ©riences du football sud-amĂ©ricain.
Pour Valladolid, ce partenariat temporaire nâĂ©tait pas seulement un moyen de partager des idĂ©es tactiques, mais aussi de renforcer les liens avec Palmeiras, un club qui se maintenait au sommet sous la direction dâAnibal. Guardiola, avec son Ă©ternel sourire et sa passion pour le beau jeu, apprĂ©ciait les Ă©changes intellectuels avec Saldanha.
« Vous avez une philosophie unique lĂ -bas, » confia Pep un jour Ă Saldanha, alors quâils discutaient sur le terrain dâentraĂźnement. « Cette intensitĂ©, cette crĂ©ativité⊠Apprenons les uns des autres, câest comme ça que le football Ă©volue. »
De retour Ă SĂŁo Paulo, Anibal continuait de jongler avec les multiples enjeux de la saison. Bien que le dĂ©part temporaire de Saldanha crĂ©ait un vide, il Ă©tait aussi synonyme dâune croissance future pour son adjoint. Anibal savait que, lorsque Saldanha reviendrait, il serait prĂȘt Ă prendre les rĂȘnes, enrichi par son expĂ©rience europĂ©enne.
Le plan dâAnibal Ă©tait simple mais ambitieux : consolider lâĂ©quipe, prĂ©parer la transition, et, surtout, viser encore plus haut. La saison de Palmeiras sâannonçait palpitante, et avec la stabilitĂ© des joueurs clĂ©s comme William et Gilson, et lâapprentissage de Saldanha auprĂšs de Guardiola, tout semblait possible.
Les dĂ©fis ne manqueraient pas, mais Anibal avait toujours aimĂ© lâidĂ©e de transformer lâincertitude en opportunitĂ©, de forger des destins en or avec ceux qui lui faisaient confiance. Et tandis que le soleil se couchait sur SĂŁo Paulo, il sentait que cette saison serait une autre grande aventure dans son incroyable parcours.
TrĂšs bon choix de garder ces joueurs pour aller au bout de la saison et des objectifs ! Par contre, moins bon dâun point de vue personnel : avec le dĂ©part de Gilson, je remportais mon pari sur le meilleur buteur⊠Fait chier, mon coup de pouce pour le faire partir nâa pas marchĂ©
TrĂšs beau projet pour Saldanha !
Et sinon, ça fait un moment quâon nâa pas vu Amorim ?
RĂ©ponses aux lecteurs
@CaptainAmericka On essaye mais faut que ça tienne. Amorim hiberne pour le moment.
Le soleil de Porto Alegre brillait haut dans le ciel lorsque Carlos TĂ©vez, lâApache argentin devenu entraĂźneur, fit des dĂ©clarations qui enflammĂšrent les mĂ©dias brĂ©siliens et sud-amĂ©ricains. AccoudĂ© Ă une table devant un parterre de journalistes avides de polĂ©mique, TĂ©vez, le regard perçant et les bras tatouĂ©s croisĂ©s sur la poitrine, sâexprima sans dĂ©tour. Le coach de GrĂȘmio ne mĂąchait pas ses mots lorsquâil sâagissait de critiquer Anibal GuimarĂŁes, lâentraĂźneur en vogue, celui qui semblait tout rĂ©ussir cette saison avec Palmeiras.
« Anibal ? » commença TĂ©vez, un sourire en coin. « Je ne vois pas pourquoi tout le monde sâextasie sur lui. Regardez ses Ă©quipes, toujours remplies de stars. Vous appelez ça du mĂ©rite, vous ? Moi, je vois un homme qui a perdu sa grinta. Ă Vianense, Valladolid, lĂ , il y avait du cĆur, du vrai. Mais aujourdâhui, câest un coach qui sâest engraissĂ© dans le succĂšs. Il ne construit rien, il se contente de profiter des infrastructures et des moyens que dâautres lui offrent. Ă Turin ? Jây ai jouĂ©, il avait tout pour rĂ©ussir et il fait une saison dĂ©cevante vu lâeffectif, il rebondit Ă Envigado ? LâĂ©quipe jouait dĂ©jĂ le titre national et continental⊠Palmeiras ? Câest le tenant du titre national et continental. Je ferais aussi bien avec ses moyens. »
Les journalistes, suspendus Ă ses lĂšvres, ne manquĂšrent pas de saisir lâampleur de ses propos. TĂ©vez savait pertinemment quâil venait de jeter un pavĂ© dans la mare. Mais il nâen avait pas fini. Ses yeux se plissĂšrent, une lueur de dĂ©fi y brillait.
« Et puis, on ne peut pas ignorer son passĂ©, nâest-ce pas ? » poursuivit-il, son ton se faisant plus grave. « Ces histoires avec des organisations⊠disons, douteuses. Comment peut-on ĂȘtre certain quâil nâutilise pas encore des mĂ©thodes discutables pour arriver en tĂȘte ? On a tous entendu les rumeurs. Corruption, pressions, qui sait ce quâil se passe rĂ©ellement dans lâombre de ses succĂšs ? Il a Ă©tĂ© suspendu non ? Il nây a pas de fumĂ©e sans feu. »
Le silence se fit un instant, comme si lâassemblĂ©e de journalistes retenait son souffle. TĂ©vez, lui, se redressa, satisfait de lâeffet de ses paroles.
De lâautre cĂŽtĂ© de SĂŁo Paulo, Anibal Ă©tait en train de diriger une sĂ©ance dâentraĂźnement intense avec ses joueurs de Palmeiras lorsque les dĂ©clarations de TĂ©vez lui furent rapportĂ©es. Dâabord, il ne rĂ©agit pas, se concentrant sur ses jeunes prodiges, Saulo et Gilson, qui perfectionnaient leurs mouvements sous ses yeux exigeants. Mais Ă la fin de lâentraĂźnement, alors quâil sâasseyait pour un moment de calme, lâorage intĂ©rieur se dĂ©clencha.
Anibal Ă©tait furieux. TĂ©vez venait de toucher un point sensible, remuant de vieilles histoires et insinuant des choses quâil avait essayĂ© dâoublier. Yessica, sa femme, lâavait souvent encouragĂ© Ă ne pas laisser les mots de ses rivaux lâatteindre, mais cette fois, câĂ©tait diffĂ©rent. TĂ©vez avait Ă©voquĂ© des liens quâAnibal voulait dĂ©sespĂ©rĂ©ment voir effacĂ©s de sa rĂ©putation.
Javi SĂĄnchez, lâadjoint fidĂšle dâAnibal, sâapprocha de lui en voyant son air prĂ©occupĂ©. « Ani, ne laisse pas ça te ronger. Ce sont juste des mots dâun homme jaloux de tes succĂšs. Il cherche Ă dĂ©stabiliser, câest tout. »
Anibal prit une profonde inspiration, le regard perdu dans le vide. « Javi, ce nâest pas quâune question de jalousie. Ce que TĂ©vez dit, ça peut coller Ă la peau. Surtout avec tout ce que jâai traversĂ©. »
Javi posa une main rassurante sur son Ă©paule. « Alors montre-leur. Montre Ă tout le monde que ce que tu as construit ici, câest bien plus que des stars et des millions. Câest du travail, de la stratĂ©gie, et de la passion. »
Lors de la confĂ©rence de presse qui suivit, Anibal, vĂȘtu de sa veste verte de Palmeiras, se prĂ©senta face aux journalistes avec son calme lĂ©gendaire, mĂȘme si ses yeux trahissaient une certaine fatigue.
« Jâai entendu ce que Carlos a dit, » commença-t-il, le micro devant lui capturant chaque nuance de sa voix. « Tout dâabord, je respecte Carlos TĂ©vez en tant quâancien joueur et entraĂźneur. Il a accompli beaucoup avec GrĂȘmio malgrĂ© des moyens limitĂ©s, et pour ça, il mĂ©rite tout le respect du monde. »
Il sâarrĂȘta un instant, mesurant ses mots. « Mais dire que je nâai aucun mĂ©rite, que je surfe simplement sur des effectifs dĂ©jĂ formĂ©s ? Regardez Palmeiras. Regardez les jeunes que jâai promus, comme Saulo ou Gilson. Ce club a une histoire, oui, mais ce que nous faisons ici, câest du travail de fond. Dire que jâai perdu ma grinta, câest ne pas comprendre ce que signifie diriger un club comme celui-ci. Mais je ne lui en veut pas, il nâa jamais rien gagnĂ© comme coach. Il faut ĂȘtre honnĂȘte construire un groupe dans la durĂ©e, il ne lâa jamais fait, sa vision est biasĂ©eâŠÂ»
Anibal posa ses mains sur le pupitre, son regard se durcissant. « Quant aux insinuations sur mon passĂ©, câest blessant. Jâai fait des erreurs, comme tout le monde. Mais si on veut me juger sur mon prĂ©sent, alors quâils viennent me voir ici, sur le terrain. Car câest ici que je prouve ma valeur, chaque jour. Rappelez moi dâailleurs quelque chose, qui Ă©tait dans une affaire de corruption entre West Ham et Corinthians en 2003âŠÂ»
Les caméras clignotÚrent, les journalistes notÚrent chaque mot, conscients que cette guerre des mots entre Tévez et Guimarães ne faisait que commencer.
Le duel entre Palmeiras et GrĂȘmio sâintensifia. Les mots de TĂ©vez avaient jetĂ© de lâhuile sur le feu, et chaque match entre les deux Ă©quipes devint une bataille acharnĂ©e, un combat de titans. Les supporters de Palmeiras se ralliĂšrent derriĂšre leur coach, chantant son nom Ă chaque rencontre, tandis que les fans de GrĂȘmio soutinrent TĂ©vez avec la mĂȘme ferveur.
La saison promettait dâĂȘtre longue et palpitante, chaque rencontre entre Palmeiras et GrĂȘmio Ă©tant dĂ©sormais bien plus quâun simple match : câĂ©tait une question dâhonneur, de fiertĂ©, et de rivalitĂ© alimentĂ©e par les mots dâun homme cherchant Ă Ă©branler un autre, aussi solide quâun roc.
Il y a du vrai dans les deux conférences de presse
Octogone ! Aigri le pÚre Tevez, du genre a tapé sous la ceinture.
Si bataille il y a, ce sera sur le terrain
1 partout, balle au centre ! Vivement la seconde période !
La bagarre ! La bagarre ! La bagarre !
RĂ©ponses aux lecteurs
@toopil tu te mouilles pas salaud.
@Manthyz imagine combat de catch aprĂšs le match
@alexgavi on va les poutrer.
@CaptainAmericka ça arrive vite.
@Rhino DU SANG
Alors que lâhiver approchait, le VerdĂŁo allait faire face Ă un double dĂ©fi; dâune part le club allait devoir faire face au dĂ©but de la phase finale de Copa Libertadores tout en approchant les 40-50 matchs depuis le dĂ©but de saison tout en devant gĂ©rer le mercato europĂ©en et son impact sur les autres continents. La puissance financiĂšre europĂ©enne ne pouvant ĂȘtre ignorĂ©e.
Lâhiver commmença avec des retrouvailles entre Gremio et Anibal en Copa do Brasil. Anibal commençait a bien connaitre le club formateur de Ronaldinho aprĂšs les avoir croisĂ©s en championnat mais aussi en finale de Sudamericana. Ces retrouvailles sentaient dâautant plus le souffre que leur coach, lâApache Carlos TĂ©vĂšz avait dĂ©glinguĂ© Anibal dans la presse. La double confrontation fut animĂ© et accrochĂ©e. Lors de lâaller si Rodrygo ouvrit le score aprĂšs seulement cinq minutes de jeu, Palmeiras a tremblĂ© parce que non seulement Gremio est vite revenu au score, il a en outre finis la mi-temps avec un but dâavance, et cela aurait pu faire deux sans le but de GĂlson. En seconde pĂ©riode en revanche Palmeiras renversa la situation en quelques minutes. VinĂcius utilisa sa sens du dribble pour Ă©galisĂ© puis pour faire un raid dont il a le secret pour que Rodrygo ne redonne lâavantage Ă son club. Gremio tenta de revenir mais concĂ©da finalement un pĂ©nalty que transforma Talles Magno en toute fin de match. Le match retour fut tendu et ce nâest pas le but prĂ©coce de GĂlson formĂ© au GrĂ©mio qui allais faire redescendre la tempĂ©rature. FrustrĂ© et menĂ© de trois buts sur la double opposition Gremio commença Ă jouer sale comme lâaime son coach. Cela entrainera la blessure dâIvanilson et de Rodrygo mais aussi lâexclusion des deux coachs rĂ©putĂ©s sanguins. Il faut dire que le contentieux devenait serieux entre les deux. Ce qui nâempĂȘcha pas Anibal de fĂȘter comme il se doit la qualification en demi finale de la Copa oĂč le club affrontera lâInternacional dans un nouveau duel avec Porto Alegre. Anibal sâoffrit une rĂ©plique dont il a le secret en confĂ©rence de presse. « Si je nâai pas de couilles, on est en lice pour un nouveau titre. Alors quâil me les bouffe lâApache. »
En championnat le club prĂ©para de la meilleure façon lâopposition avec Melgar en Libertadores. Dâabord en faisant tomber la Juventude avec des buts de Talles Magnos et de Thiago puis en concĂ©dant un nul intĂ©ressant contre lâInternacional avec un but en fin de match de JoĂŁo Vitor. La montĂ©e en rĂ©gime continua avec une belle victoire contre Santos de Casemiro. GĂlson ouvrit le score Ă la demi-heure de jeu puis William doubla la mise en seconde pĂ©riode faisant oublier le dĂ©part dĂ©cevant de Danko. En toute fin de match Auribertinho marqua un nouveau but. PrĂȘtĂ© par Valladolid, le milieu formĂ© Ă Gremio rĂ©alise une excellente saison. Il se dit de plus en plus que Saldanha et Gabriel Jesus envisage de lever lâoption dâachat pour le garder mais cela passe par une saison pleine financiĂšrement.
Lâopposition en Libertadores commença au PĂ©rou et tourna complĂ©tement Ă lâavantage de Palmeras. Saulo marqua sur corner dĂšs la quatriĂšme minute avant de voir Rodrygo doubler la mise sur pĂ©nalty en fin de premiĂšre pĂ©riode. Le match tomba ensuite dans un faux rythme toute la seconde pĂ©riode avant que Diaz ne trompe son propre gardien. Dans la foulĂ©e GĂlson ajouta un quatriĂšme but et annihila en grande partie les chances de qualifications pĂ©ruviennes. Entre les deux oppositions, Palmeiras concĂ©da un nul contre Bragantino avec un nouveau but de GĂlson et un csc. Les alviverdes nâont pas ratĂ© leur retour Ă la maison et les hommes dâAnibal ont vite mis fin Ă tout dĂ©bat. Rodrygo calma toutes ambitions pĂ©ruviennes en moins de dix minutes avec un doublĂ© plein de classe. Moins de 6 minutes aprĂšs ce second but Vini y alla de son but puis ce fut le tour de GĂlson. ComplĂ©tement asphyxiĂ©s VinĂ Jr signa un doublĂ© avec un nouveau but. En seconde pĂ©riode William assĂ©na le coup finale sur coup franc permattant Ă Palmeiras de rejoindre les demi finales.
Date | Club | Score | Buteurs | |||
1/4 | 5/7/2035 | GrĂȘmio | 5 - 3 | Rodrygo (5, 59), GĂlson (44), VinĂ Jr (55), T.Magno (pen 89) | ||
1/4 | 12/7/2035 | GrĂȘmio | 1 - 2 | GĂlson (8), Anderson (83) | ||
J17 | 15/7/2035 | Juventude | 0 - 2 | T.Magno (53), Thiago (71) | ||
J18 | 18/7/2035 | Internacional | 1 - 1 | J.VĂtor (82) | ||
J19 | 22/7/2035 | Santos | 3 - 0 | GĂlson (36), William (63), Auribertinho (85) | ||
1/8 | 25/7/2035 | FBC Melgar | 0 - 4 | Saulo (4), Rodrygo (pen 45+1), L.DĂaz c.s.c. (88) , GĂlson (90) | ||
J20 | 28/7/2035 | Bragantino | 2 - 2 | M.Troilo c.s.c. (7) , GĂlson (50) | ||
1/8 | 1/8/2035 | FBC Melgar | 6 - 1 | Rodrygo (5, 9), VinĂ Jr (15, 35), GĂlson (25), William (74) |
AprĂšs une qualification facile, le tenant du titre allait se voir opposer Ă un candidat plus sĂ©rieux avec les brĂ©siliens de lâAtlĂ©tico Paranaense. Si le tirage Ă©tait excitant, il laissait un goĂ»t amĂšre dans la bouche dâAnibal, le Para venait en effet de faire tomber son ancien club Envigado. Et au vu de la situation, Anibal aurait bien aimĂ© sâoffrir sur un plateau la tĂȘte de Reyes sur le plan sportif. Palmeiras devra dans tous les cas se montrer solide pour rejoindre les demi finales de la Libertadores.
Avant de penser Ă ce quart de finale, Palmeiras se devait de continuer Ă faire le boulot en championnat et Rodrygo en grande forme explosa Ă lui seul le club de Batexte en grashia. DĂ©cidĂ©ment sur tous les fronts, Anibal et ses hommes se tournĂšrent alors sur la double opposition en Copa do Brasil contre lâInternacional. La premiĂšre mi-temps fut serrĂ©, Palmeiras profita de la baisse physique de son adversaire en seconde pĂ©riode pour faire la diffĂ©rence, Auribertinho dâabord sur une frappe lointaine avant que Talles Magno ne provoque et transforme un pĂ©nalty. Avant de penser au retour, les alviverde se sont dĂ©fait du Fluminense sur un coup franc de Juan-SebastiĂĄn Anaya suivi dâun but solitaire de VinĂ Jr en fin de premiĂšre pĂ©riode. Lors du retour, Internacional concĂ©da le nul malgrĂ© un nouveau but de Rodrygo. MalgrĂ© cela, Palmeiras disputa prochainement la finale de Copa pour un nouveau sacre potentiel.
Les deux clubs se sont retrouvĂ© en championnat avant le quart de finale de Libertadores. RemaniĂ© il aura fallu attendre un but tardif de Emerson Macachero pour voir Palmeiras sâimposer. Le match aller contre le Para commença mal, Gonzalo ouvrant le score aprĂšs seulement trois minutes. Il fallu attendre la pause et une dispute mĂ©morable entre Anibal et son capitaine Yan Couto pour que son groupe change dâattitude. Les spectateurs prĂ©sent virent tout de suite la diffĂ©rence. VinĂcius trouva dâabord la faille aprĂšs une belle combinaison Ă trois avec Anaya et Thiago. Câest ensuite le revenant Macachero qui marqua aprĂšs avoir remplacĂ© Gilson blessĂ© et absent quelques temps. Dans la minute qui suivit Rodrygo ajouta un nouveau but permettant au VerdĂŁo de basculer avec deux buts dâavance.
Le club dâAnibal continua sa marche en avant en faisant tomber Coritiba. Rodrygo ouvrit le score sur un penalty provoquĂ© par Macachero avant que ce dernier ne marque Ă nouveau en fin de match. Macachero en pleine forme en est Ă trois buts en trois matchs depuis la blessure de Gilson. Dans la foulĂ©e et alors que le mercato europĂ©en touchait Ă sa fin, Palmeiras assura sa qualification en demi finale avec une nouvelle victoire. VinĂcius ouvrit le score sur coup franc puis servit idĂ©alement JoĂŁo Vitor en toute fin de match. Alors que lâĂ©quipe fĂȘtait sa qualification en demi finale de Copa Libertadores, Wander en profita pour faire un dernier tour dâhonneur. Si personne nâĂ©tait dupe, lâintĂ©ret europĂ©en pour Wander venait de se concrĂ©tiser. En effet Wander et le staff apprirent Ă la mi-temps que le Galatasaray avait levĂ© la clause de 15M du portier brĂ©silien rĂ©cemment devenu international brĂ©silien.
Date | Club | Score | Buteurs | |||
J21 | 5/8/2035 | Bahia | 0 - 2 | Rodrygo (6, 9) | ||
1/2 | 8/8/2035 | Internacional | 2 - 0 | Auribertinho (75), T.Magno (pen 90+2) | ||
J22 | 12/8/2035 | Fluminense | 2 - 1 | J-S.Anaya (21), VinĂ Jr (37) | ||
1/2 | 15/8/2035 | Internacional | 1 - 1 | Rodrygo (26) | ||
J23 | 18/8/2035 | Internacional | 0 - 1 | E.Macachero (90+3) | ||
1/4 | 21/8/2035 | Athletico Paranaense | 1 - 3 | VinĂ Jr (54), E.Macachero (85), Rodrygo (86) | ||
J24 | 25/8/2035 | Coritiba | 2 - 0 | Rodrygo (pen 21), E.Macachero (87) | ||
1/4 | 30/8/2035 | Athletico Paranaense | 2 - 0 | VinĂ Jr (15), J.VĂtor (88) |
Clt | Ăquipe |
J | G | N | P | Bm | Be | Diff | Pts | ||
1er | Palmeiras | 24 | 18 | 6 | 0 | 54 | 13 | +41 | 60 | ||
2e | GrĂȘmio | 25 | 15 | 5 | 5 | 53 | 24 | +29 | 50 | ||
3e | Flamengo | 27 | 14 | 6 | 7 | 54 | 36 | +18 | 48 | ||
4e | Botafogo | 25 | 13 | 6 | 6 | 55 | 41 | +14 | 45 | ||
5e | Corinthians | 24 | 13 | 5 | 6 | 53 | 37 | +16 | 44 | ||
6e | Internacional | 26 | 12 | 8 | 6 | 39 | 27 | +12 | 44 | ||
7e | SĂŁo Paulo | 27 | 12 | 6 | 9 | 38 | 37 | +1 | 42 | ||
8e | Fluminense | 25 | 12 | 2 | 11 | 42 | 42 | 0 | 38 | ||
9e | Vasco da Gama | 26 | 9 | 10 | 7 | 39 | 34 | +5 | 37 | ||
10e | Santos | 27 | 9 | 6 | 12 | 39 | 47 | -8 | 33 | ||
11e | América Mineiro | 26 | 9 | 6 | 11 | 28 | 36 | -8 | 33 | ||
12e | CearĂĄ | 27 | 8 | 9 | 10 | 27 | 39 | -12 | 33 | ||
13e | Bragantino | 27 | 8 | 7 | 12 | 35 | 40 | -5 | 31 | ||
14e | Vila Nova | 26 | 9 | 2 | 15 | 29 | 41 | -12 | 29 | ||
15e | Bahia | 26 | 8 | 4 | 14 | 30 | 47 | -17 | 28 | ||
16e | Cruzeiro | 23 | 7 | 7 | 9 | 20 | 20 | 0 | 28 | ||
17e | Athletico Paranaense | 25 | 7 | 7 | 11 | 32 | 37 | -5 | 28 | ||
18e | Coritiba | 26 | 8 | 3 | 15 | 35 | 46 | -11 | 27 | ||
19e | Juventude | 27 | 6 | 7 | 14 | 28 | 50 | -22 | 25 | ||
20e | CriciĂșma | 27 | 4 | 2 | 21 | 23 | 59 | -36 | 14 |
Fort dâune qualification brillante contre lâAthletico Paranaense, Palmeiras attendait fĂ©brilement le tirage au sort des demi finales de la Libertadores. En demi finale, lâopposition sera de taille. Alors que Palmeiras et Anibal aurait pu dĂ©fier lâAtletico Nacional ou Botafogo, ce sera finalement le Gremio Porto Alegre de Carlos TĂ©vĂšz, nouveau meilleur ami dâAnibal. En huitiĂšmes de finale, Gremio sâest offert le Junior FC leader du championnat colombien deux points devant Envigado puis en quart, le club de Porto Alegre sâest dĂ©fait du vainqueur 2033 du BrasileirĂŁo, le Red Bull Bragantino. Lâapache a dĂ©jĂ dĂ©gainĂ© en affirmant devant la presse quâil ferait taire Anibal comme lui a su faire taire les cartels de Bueno Aires durant son enfance. De quoi rajouter encore un peu dâhuile sur la relation quâil entretiens avec son homologue.
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
Rodrygo | 51 (6) | 39 | 18 | ||||
GĂlson | 52 | 36 | 6 | ||||
VinĂ Jr | 53 (5) | 22 | 23 | ||||
Talles | Magno | 9 (29) | 15 | 2 | |||
Auribertinho | 34 (14) | 11 | 4 |
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
VinĂ Jr | 53 (5) | 22 | 23 | ||||
Juan SebastiĂĄn | Anaya | 52 (7) | 4 | 20 | |||
Yan | Couto | 48 (9) | 1 | 19 | |||
Rodrygo | 51 (6) | 39 | 18 | ||||
William | 47 (3) | 9 | 11 |
Ohhh le Carlos fait un peu trop le barbot Ă mon goĂ»t. Il va falloir vite lui rabattre son caquetâŠ
Il a rien perdu de sa grande gueule
Sur lâimage, il a foutu le feu au stade?
Câest une dĂ©monstration quel que soit le terrain ! Si seulement, Tevez pouvait se faire capturer par Reyes, Ă la place dâAnibal
Décidément, Palmeiras et le Gremio ne se quittent plus
@toopil ce serait pas le premier
RĂ©ponses aux lecteurs
@VertPourToujours on lâa dĂ©jĂ bien calmĂ© le salaud
@Sythax ah ça mais bon personne pour gagner des trophées
@toopil non câest des fumiĂšgenes, yâa pas la LFP pour faire chier
@alexgavi câest une idĂ©e jâavoue
Le dernier jour du mercato brĂ©silien sâannonçait comme lâun des plus tendus de la saison pour Palmeiras. La veille, lâannonce avait secouĂ© tout le club : Galatasaray avait levĂ© la clause libĂ©ratoire de Wander, le gardien de but emblĂ©matique qui avait Ă©tĂ© un pilier de la dĂ©fense du VerdĂŁo pendant prĂšs de 300 matchs. La somme de 14 millions dâeuros versĂ©e par le club turc avait Ă©tĂ© une aubaine financiĂšre, certes, mais laissait Palmeiras dans une position pĂ©rilleuse, sans gardien titulaire, et ce, Ă lâaube dâun sprint final oĂč le club pouvait encore prĂ©tendre Ă tous les titres majeurs : le BrasileirĂŁo, la Copa do Brasil, et la prestigieuse Copa Libertadores. Sans oublier lâenjeu symbolique de prĂ©server leur invincibilitĂ©.
Le directeur sportif Gabriel Jesus, le coach Anibal GuimarĂŁes, et Saldanha, fraĂźchement revenu de son passage formateur Ă Valladolid sous la tutelle de Pep Guardiola, se rĂ©unirent en urgence. Dans le bureau exigu du centre dâentraĂźnement de Palmeiras, lâambiance Ă©tait Ă©lectrique. Des feuilles de statistiques, des profils de joueurs, et des noms griffonnĂ©s sur un tableau blanc tĂ©moignaient des longues heures de rĂ©flexion qui avaient dĂ©jĂ eu lieu.
« Câest la pire situation possible, » dĂ©clara Gabriel Jesus, les bras croisĂ©s, un air soucieux creusant des rides sur son front. « Nous avons besoin de quelquâun dâexpĂ©rimentĂ©, mais qui sâadapte vite Ă la pression, au style de jeu⊠et qui soit disponible immĂ©diatement. »
Anibal, habituellement calme et mĂ©thodique, tapotait nerveusement sur la table en bois. « Wander Ă©tait un pilier. Il faut quelquâun capable de gĂ©rer lâampleur des matchs Ă venir. La Libertadores ne pardonne pas, ni le BrasileirĂŁo. Nous ne pouvons pas nous permettre de faire un mauvais choix. »
Saldanha, son jeune adjoint, regarda les deux hommes. « Je sais que le timing est terrible, mais nous avons été dans des situations difficiles avant, Ani. On va trouver. »
Les heures passĂšrent sans solution Ă©vidente. Les discussions semblaient tourner en rond, jusquâĂ ce quâun coup de fil inattendu vienne chambouler la donne. Le tĂ©lĂ©phone dâAnibal vibra sur la table. Le nom de Kia Joorabchian, agent influent bien connu du milieu du football, sâafficha sur lâĂ©cran.
Anibal dĂ©crocha, une lueur dâespoir dans le regard. « Kia, dis-moi que tu as une solution miracle, » dit-il, Ă moitiĂ© en plaisantant.
La voix de lâagent, calme et assurĂ©e, rĂ©sonna de lâautre cĂŽtĂ© de la ligne. « Ani, jâai peut-ĂȘtre ce que tu cherches. Tu te souviens de Diego Callai. »
Anibal haussa les sourcils, intriguĂ©. Le nom Ă©veillait de vieux souvenirs. Il se souvenait de Diego Callai, ce jeune gardien portugais quâil avait contribuĂ© Ă lancer au Sporting Portugal. Un talent brut, qui sâĂ©tait ensuite affirmĂ© avec Ruben Amorim et qui avait multipliĂ© les expĂ©riences Ă Cruzeiro, Braga, Strasbourg, et derniĂšrement Santos. Il venait tout juste de retourner en France, mais semblait dĂ©jĂ prĂȘt Ă relever un nouveau dĂ©fi.
Kia continua. « Callai a la double nationalitĂ© brĂ©silienne et portugaise. Il a tout le pedigree quâil te faut : expĂ©rience en Europe, un passage solide au BrĂ©sil avec Santos, et il nâattend quâune opportunitĂ© de briller avec un grand club comme Palmeiras. Trois millions dâeuros suffiraient pour le faire signer. »
Anibal Ă©changea un regard avec Gabriel Jesus et Saldanha, qui Ă©coutaient attentivement. Le plan semblait se dessiner.
« Diego est un battant, » dĂ©clara Anibal. « Il connaĂźt la pression, il sait ce que câest que de jouer pour des titres. Et il a dĂ©jĂ Ă©tĂ© dans des environnements difficiles. Il est parfait pour ce quâon traverse. »
Gabriel Jesus hocha la tĂȘte, calculant rapidement les implications financiĂšres. « Trois millions, câest abordable. Mais il faut ĂȘtre sĂ»r quâil est prĂȘt Ă plonger dans cette folie. Il a 31 ans, on nâa pas de successeur immĂ©diatement prĂȘt Ă arriver en pro.»
En quelques heures, les nĂ©gociations furent entamĂ©es, menĂ©es tambour battant par Kia Joorabchian et lâĂ©quipe dirigeante de Palmeiras. Diego Callai, contactĂ© Ă Strasbourg oĂč il Ă©tait en train de finaliser un dĂ©mĂ©nagement dĂ©finitif, fut touchĂ© par lâappel personnel dâAnibal. Le coach portugais lui rappela les dĂ©buts de sa carriĂšre, la confiance quâil lui avait donnĂ©e, et lui parla de lâopportunitĂ© de gagner des titres majeurs dans son pays natal.
« Diego, ce nâest pas juste une mission. Câest une chance dâĂ©crire lâhistoire avec Palmeiras, tu as grandis en temps quâHomme au Portugal mais tu es nĂ© ici. » lui dit Anibal. « Tu sais ce que ce club reprĂ©sente, et tu sais que nous avons besoin de quelquâun comme toi. »
TouchĂ© par les paroles de son ancien mentor, Diego Callai ne mit pas longtemps Ă rĂ©flĂ©chir. « Coach, si câest avec vous et pour Palmeiras, alors je suis prĂȘt. Je veux cette chance. »
Quelques heures plus tard, le transfert Ă©tait bouclĂ©. Diego Callai atterrit Ă SĂŁo Paulo, acclamĂ© par quelques fans qui avaient eu vent de la signature imminente. Ă peine le contrat signĂ©, il rejoignit lâentraĂźnement de Palmeiras, sous le regard attentif de ses nouveaux coĂ©quipiers.
« Bienvenue, Diego, » lança Saldanha, un sourire encourageant. « On a une saison à terminer, et on compte sur toi. »
Diego Callai, les gants en main et lâĂ©quipement du VerdĂŁo sur le dos, sentit le poids de la responsabilitĂ© sur ses Ă©paules. Mais il Ă©tait prĂȘt, comme Anibal lâavait dit, Ă Ă©crire un nouveau chapitre de sa carriĂšre. Et pour Palmeiras, le rĂȘve de gloire continuait, mĂȘme aprĂšs un mercato mouvementĂ©.
- - - Diego |
Callai - - - |
Ăge | 31 |
Nationalité | |
valeur | 3-6.4M⏠|
app | 57 app |
buts / assists | 3 buts / 22 assists |
ANNEES | CLUB | APP | Buts Enc | Clean Sheets | ||||
21/30 | [B] | Sporting B | 73 | 52 | 30 | |||
19/31 | [PRO] | Sporting Portugal | 18 | 16 | 8 | |||
30/31 | [PRO] | Portimonense | 32 | 36 | 10 | |||
31/33 | [B] | Sporting Braga B | 3 | 1 | 1 | |||
31/33 | [PRO] | Sporting Braga | 15 | 11 | 7 | |||
2032 | [PRO] | Cruzeiro | 24 | 28 | 8 | |||
33/35 | [PRO] | Santos FC | 48 | 47 | 17 | |||
34/35 | [PRO] | RC Strasbourg Alsace | 18 | 24 | 4 | |||
19-35 | TOTAL - - - - - - - - - - | 231 | 215 | 85 |