:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

Pour cramer un stade, tu peux te faire les dents sur celui de Envigado avec un salopard dedans. :smiling_imp:

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Toujours sympa de retrouver un de ses anciens joueurs :slight_smile:

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RĂ©pondre aux lecteurs

@gwendil35 c’est une idĂ©e :hoho:

@Sythax en effet. Pour le coup j’avais trouvĂ© ça sympa tout en Ă©tant un move logique pour le club.

- Mercato Estival 2035 -

Mercato relativement calme dans le sens des arrivĂ©es, ou seul Diego Callai arrive pour remplacer Wander. CĂŽtĂ© dĂ©part outre le portier, Breno Danko avait donc rejoint Bournemouth. Les déçus Nicolas Valentini et Roberto Meniconi avait eu gain de cause. Le premier avait rejoint Flamengo tandis que le second Ă©tait parti rejoindre Carlos TĂ©vĂšz en prĂȘt.

Hugo Herrera au placard depuis ses dĂ©clarations tapageuses avait Ă©tĂ© vendu Ă  la Fiorentina. Enfin Ivanilson sur lequel compter Ă©normement avait rejoint Tottenham. Gabriel Jesus avait vu le move arrivĂ© depuis que le jeune joueur eu changĂ© d’agent et refusĂ© de prolonger son contrat mais avec Anibal ils espĂ©raient que le temps de jeu accordĂ© leur ferait changer d’avis. En vain.

_
Scr Nat IdentitĂ© Club Prix Âge
:entre: :desktop_computer: :brazil: Diego Callai :brazil: :santos: Santos 1.4M€ 31
TOTAL :entre: -1.4M€
:sort: :argentina: Nicolas Valentini :brazil: :flamengo: Flamengo 6.5M€ 34
:sort: :brazil: Breno Danko :england: :bournemouth: Bournemouth 34.5M€ 26
:sort: :brazil: Wander :tr: :galatasaray:Galatasaray SK 13.25M€ 26
:sort: :argentina: Hugo Herrera :italy: :fiorentina: AC Fiorentina 11M€ 27
:sort: :brazil: Roberto Meniconi :brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre PrĂȘt 22
:sort: :brazil: Ivanilson :england: :spurs: Tottenham Hotspurs 5M€ 18
:sort: TOTAL +69,25M€
:sort: :entre: BALANCE +67,85M€ :green_circle: :green_circle:
- Chapitre 396 -
- Callai remplace Wander -
- Chapitre 398 -
Coming SOON - 30/11
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Encore une clause libĂ©ratoire! Je ne sais pas ce qu’à FM a avec ça au BrĂ©sil :rofl:

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Sur papier, c’est plutît une bonne pioche ce Callai

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Le bilan financier de ce mercato est largement positif, tout patron serait content surtout si les résultats suivent :grin:

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Et l’argent coula à flot!!! :money_with_wings::money_with_wings::money_with_wings::money_with_wings::money_with_wings:

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De grosses ventes, une recrue qui va bien combler le départ du gardien titulaire, Palmeiras est dans les meilleures dispositions pour attaquer la fin de saison et rafler tous les trophées !

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RĂ©ponses aux lecteurs

@toopil c’est une spĂ©cialitĂ© au BrĂ©sil et en Espagne notamment.

@Rhino oui et puis je l’avais bien aimĂ© en saison 1 au Sporting B.

@alexgavi je fais souvent des beaux mercatos :hoho:

@Tiien Manque plus que les putes :pasrire:

@Manthyz On espĂšre oui.

- Le commando Vermelho entre en action -

Le soleil de SĂŁo Paulo dĂ©clinait derriĂšre la skyline, projetant des ombres longues sur la ville bouillonnante. Anibal se tenait dans son bureau Ă  l’Allianz Parque, les rideaux tirĂ©s, le regard perdu sur un Ă©cran rempli de donnĂ©es tactiques. Mais ses pensĂ©es Ă©taient ailleurs, prisonniĂšres des inquiĂ©tudes qui tournaient en boucle depuis des semaines. La pression du cartel Gallindo, ce spectre colombien qui semblait s’étendre insidieusement jusque sur le sol brĂ©silien, devenait chaque jour plus oppressante.

Pour Anibal et Juan-Sebastian Anaya, la menace ne se limitait plus Ă  des lettres anonymes ou des intimidations : des rumeurs Ă©voquaient l’implantation imminente du cartel au BrĂ©sil, une expansion violente qui les mettait tous deux en grand danger.

Juan-Sebastian Anaya, le jeune latĂ©ral prodige, semblait lui aussi accablĂ© par la tension. À l’entraĂźnement, il perdait parfois de sa vivacitĂ© habituelle, et Anibal s’inquiĂ©tait de voir son protĂ©gĂ© porter le poids d’une guerre de l’ombre qui dĂ©passait de loin les prĂ©occupations sportives. Mais alors que la situation semblait dĂ©sespĂ©rĂ©e, un coup de main imprĂ©vu fit irruption dans cette atmosphĂšre lourde et menaçante.

C’était un mardi soir lorsque le tĂ©lĂ©phone d’Anibal vibra, le faisant sursauter. Le numĂ©ro qui s’affichait lui Ă©tait familier, mais il ne l’avait pas vu apparaĂźtre depuis des mois : celui de Diego Mauricio. Le lĂ©gendaire milieu de terrain, aujourd’hui Ă  son apogĂ©e au Real Valladolid et star incontournable de la Seleção brĂ©silienne, avait Ă©tĂ© l’un des protĂ©gĂ©s d’Anibal, un joueur qu’il avait formĂ© et accompagnĂ© depuis ses dĂ©buts prometteurs jusqu’au sommet du football mondial.

« Coach, c’est Diego, » dit la voix chaleureuse Ă  l’autre bout du fil, Ă©teignant pour un bref instant les angoisses du coach portugais. « Je suis au courant pour ce qui se passe
 le cartel Gallindo. Je n’allais pas rester les bras croisĂ©s. »

Anibal se redressa, le cƓur battant. « Diego
 Comment
 Comment tu sais tout ça ? »

Il y eut un silence, comme si Diego rĂ©flĂ©chissait Ă  ses mots. « J’ai mes sources, vous le savez bien, » rĂ©pondit-il enfin. « J’ai grandi dans les favelas, coach. Et mĂȘme si ma vie a changĂ©, je n’ai pas oubliĂ© mes racines ni les gens qui m’ont aidĂ© Ă  en sortir. »

Diego Mauricio expliqua alors qu’il avait contactĂ© des amis d’enfance, des membres influents du Commando Vermelho, l’un des gangs les plus redoutĂ©s du BrĂ©sil. MalgrĂ© son succĂšs et sa vie Ă  l’international, Diego avait toujours gardĂ© des liens avec ceux qui avaient grandi avec lui dans les rues dangereuses de Sao Paulo. Ces amis, fidĂšles Ă  Diego, avaient acceptĂ© de fournir protection et sĂ©curitĂ© Ă  Anibal et Ă  Juan-Sebastian Anaya.

« Le Commando Vermelho ? » murmura Anibal, Ă  la fois surpris et perplexe. « Diego, je ne veux pas dĂ©clencher une guerre de gangs
 »

« Ce n’est pas ça, » rĂ©pondit Diego avec un calme rassurant. « Ils ne vont pas s’engager dans un conflit armĂ©. Mais ils connaissent les codes, les rues, les hommes. Ils peuvent nous aider Ă  comprendre ce que le cartel Gallindo prĂ©voit et Ă  sĂ©curiser vos arriĂšres, discrĂštement. »

Anibal sentit une bouffĂ©e de soulagement. Pour la premiĂšre fois depuis des semaines, il entrevoyait une lueur d’espoir. Mais il restait prudent, conscient des risques qu’impliquait une telle alliance. « Et toi, Diego
 Tu prends des risques pour nous en faisant ça. »

Diego Ă©clata de rire, un rire franc qui rĂ©sonna comme un baume. « Coach, vous m’avez appris Ă  ne jamais fuir un dĂ©fi. Si je suis le joueur que je suis aujourd’hui, c’est grĂące Ă  vous. Je ne vous laisserais pas tomber. »

Le lendemain, Anibal se rendit au centre d’entraĂźnement, oĂč il trouva Anaya en train de peaufiner ses dribbles. Le jeune joueur avait entendu parler de l’appel de Diego et de l’implication du Commando Vermelho. MalgrĂ© la menace toujours prĂ©sente, il se sentait rĂ©confortĂ© par cette solidaritĂ© qui s’étendait au-delĂ  des frontiĂšres et des gĂ©nĂ©rations de joueurs.

Anaya s’approcha d’Anibal, essuyant la sueur de son front. « Coach, » dit-il avec une lueur de dĂ©termination dans les yeux. « On va s’en sortir. »

Anibal posa une main sur l’épaule de son joueur. « Oui, Juan-Sebastian, on va s’en sortir. Mais il faudra ĂȘtre plus forts que jamais, sur et en dehors du terrain. »

Ils savaient tous deux que le chemin serait semĂ© d’embĂ»ches. Mais pour l’instant, ils avaient une raison d’y croire. L’espoir, symbolisĂ© par le soutien d’un ancien protĂ©gĂ© et par les liens indĂ©fectibles du football, leur donnait la force d’avancer, un jour de plus, dans cette lutte de l’ombre.

Les jours suivants, la prĂ©sence discrĂšte du Commando Vermelho se fit sentir. Des hommes en civil, aguerris aux dangers des rues brĂ©siliennes, patrouillaient autour du centre d’entraĂźnement et de la villa d’Anibal. Les dĂ©placements du club furent encadrĂ©s avec une vigilance accrue, et Anibal et Anaya se sentirent un peu plus en sĂ©curitĂ©.

Mais Anibal savait que cette trĂȘve fragile ne durerait qu’un temps. Le cartel Gallindo ne reculerait pas, et il leur faudrait bientĂŽt trouver une solution dĂ©finitive. En attendant, le football reprit ses droits, et Anibal se concentra sur ce qu’il faisait de mieux : diriger son Ă©quipe avec passion et continuer de croire que, mĂȘme dans l’obscuritĂ©, la lumiĂšre finit toujours par percer.

- Chapitre 397 -
- Mercato Hivernal -
- Chapitre 399 -
Coming SOON - 01/12
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Je ne sais pas pourquoi, mais je sens une fusillade a venir ciblant Anibal sans succÚs mais avec Anaya comme perte collatérale 


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MRW the reaper comes knocking - GIF - Imgur

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Ça devient tentaculaire :sweat_smile:
Si Anibal a des contacts aux US et que Reyes a des intĂ©rĂȘts lĂ -bas, la bonne vieille loi d’extradition peut le calmer (coucou Pablo) :eyes:

Bon, les résultats sont toujours aussi bons, parfait !

L’arrivĂ©e de ton ancien gardien colle parfaitement Ă  l’histoire, trĂšs bien !

La protection grĂące Ă  l’un de tes anciens protĂ©gĂ©s, excellent !

On coche toutes les cases d’une histoire trĂšs bien Ă©crite, bravo Mr Groot, vous mĂ©ritez les fĂ©licitations ! :relieved:

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Manthyz Pauvre gosse :hoho: J’ai pas encore franchi le cap de tuer un personnage tiens :hoho:

@Tiien ah oui direct :dsk:

@alexgavi On appelle ça un bordel international :hoho:

@CaptainAmericka Merci chef. Tu penseras Ă  voir dans les votes de la story de l’annĂ©e :sac:

- Eugénio fait sensation ! -

L’Allianz Parque Ă©tait en Ă©bullition. Chaque siĂšge semblait trembler sous l’excitation des supporters de Palmeiras, qui chantaient avec ferveur. Les alviverde rĂ©alisaient une saison spectaculaire sous la houlette d’Anibal GuimarĂŁes, en lice pour dĂ©crocher le titre de champion du BrasileirĂŁo et avançant Ă  grands pas en Copa Libertadores. Mais ce jour-lĂ , l’attention du public Ă©tait attirĂ©e par autre chose que la simple performance de leur Ă©quipe : une rumeur courait dans les travĂ©es du stade.

Anibal allait lancer une pĂ©pite, un talent si jeune que l’idĂ©e mĂȘme de le voir fouler la pelouse du Brasileirao relevait de l’audace pure.

EugĂ©nio, 16 ans et quelques jours, se tenait prĂȘt sur le bord du terrain, recevant les derniĂšres consignes de son entraĂźneur. L’ailier, aux boucles platine et au regard dĂ©terminĂ©, sentait le poids de l’instant sur ses Ă©paules. Les projecteurs, les chants des supporters, les journalistes rivĂ©s sur lui
 tout cela formait un cocktail de sensations qu’il n’oublierait jamais. Anibal, qui avait su dĂ©celer son potentiel dĂšs ses premiers entraĂźnements avec l’équipe premiĂšre, posa une main rassurante sur l’épaule du jeune joueur.

“Écoute, EugĂ©nio,” murmura le coach portugais, avec son accent encore marquĂ©. “Tu n’as rien Ă  prouver aujourd’hui. Joue comme tu sais, amuse-toi, et fais ce que tu fais de mieux : rendre le football magique.”

EugĂ©nio hocha la tĂȘte, le cƓur battant Ă  tout rompre, avant de s’élancer sur le terrain.

DĂšs sa premiĂšre touche de balle, le public sentit qu’il se passait quelque chose d’exceptionnel. EugĂ©nio n’était pas un adolescent ordinaire. Il reçut un ballon dans le couloir gauche, et sans hĂ©siter, il accĂ©lĂ©ra, Ă©liminant un premier dĂ©fenseur d’un crochet net, puis un deuxiĂšme avec un dribble en deux temps. Les murmures d’admiration se transformĂšrent en rugissements d’émerveillement. Les gestes techniques rappelaient les plus grands, ceux qui avaient marquĂ© l’histoire du football brĂ©silien. Certains supporters crurent mĂȘme voir en lui un reflet de Neymar Ă  ses dĂ©buts, ou de Vinicius Jr dans ses premiĂšres annĂ©es Ă©clatantes.

Il ne marqua pas ce jour-lĂ , ni ne dĂ©livra de passe dĂ©cisive, mais il n’en eut pas besoin pour marquer les esprits. À chaque prise de balle, EugĂ©nio apportait du danger, de la crĂ©ativitĂ©, cette imprĂ©visibilitĂ© propre aux prodiges du football brĂ©silien. Ses dribbles enflammaient le public, et mĂȘme les adversaires semblaient parfois hĂ©siter, fascinĂ©s par ce jeune talent.

Le lendemain, les journaux sportifs brĂ©siliens n’avaient que son nom Ă  la bouche. “EugĂ©nio, le futur du VerdĂŁo” titrait un quotidien, tandis qu’un autre Ă©crivait : “Anibal a encore frappĂ© : un prodige de 16 ans prĂȘt Ă  conquĂ©rir le continent.” Les experts dĂ©battaient de l’audace de GuimarĂŁes, qui avait fait le pari risquĂ© de lancer un joueur si jeune dans le championnat brĂ©silien, et plus tard dans une rencontre de Copa Libertadores oĂč l’intensitĂ© ne pardonne pas.

Anibal, interrogĂ© en confĂ©rence de presse, resta Ă©gal Ă  lui-mĂȘme. “EugĂ©nio est un joueur spĂ©cial,” dĂ©clara-t-il, avec un sourire en coin. “Son Ăąge n’a aucune importance quand vous voyez ce qu’il peut faire avec un ballon. Ce n’était qu’une premiĂšre, et il a encore beaucoup Ă  apprendre, mais je voulais qu’il goĂ»te Ă  ce que c’est d’ĂȘtre sur ce terrain, sous cette pression. Le reste viendra avec le temps.”

Dans les jours qui suivirent, EugĂ©nio continua de s’entraĂźner avec l’équipe premiĂšre, recevant des conseils prĂ©cieux de ses coĂ©quipiers plus expĂ©rimentĂ©s. Rodrygo, revenu au BrĂ©sil pour apporter son expĂ©rience, prit le jeune sous son aile, lui donnant des conseils sur la gestion de la pression et l’importance de rester humble, mĂȘme face aux Ă©loges.

“Ne laisse jamais l’euphorie te faire oublier le travail,” lui dit Rodrygo un aprĂšs-midi, alors qu’ils s’entraĂźnaient Ă  peaufiner leurs mouvements. “Tu as du talent, c’est sĂ»r. Mais c’est l’effort et la discipline qui te feront atteindre les sommets.”

EugĂ©nio buvait les paroles de ses mentors, motivĂ© Ă  donner le meilleur de lui-mĂȘme. Les entraĂźnements Ă©taient durs, la compĂ©tition fĂ©roce, mais il savait qu’il avait une opportunitĂ© rare entre les mains, celle de grandir aux cĂŽtĂ©s de lĂ©gendes et de se faire un nom dans l’histoire de Palmeiras.

Les supporters, qui voient en EugĂ©nio une nouvelle source d’espoir, commencent Ă  rĂȘver d’un avenir encore plus radieux pour leur club. Ce jeune ailier, qui a grandi dans les rues humbles de SĂŁo Paulo, a dĂ©sormais la tĂąche de devenir l’un des joyaux du VerdĂŁo. Et sous la tutelle d’Anibal GuimarĂŁes, connu pour polir les talents bruts en vĂ©ritables pierres prĂ©cieuses, le rĂȘve semble tout Ă  fait rĂ©alisable.

L’histoire ne fait que commencer pour EugĂ©nio. Mais ce que tout le monde sait dĂ©jĂ , c’est que ce gamin de 16 ans a l’ñme d’un gĂ©ant, prĂȘt Ă  enflammer les stades du BrĂ©sil, et peut-ĂȘtre un jour, du monde entier.

- Chapitre 398 -
- Le commando Vermelho entre en action -
- Chapitre 400 -
Coming SOON - 30/11
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Il doit avoir une clause libératoire :sac:

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Le futur grand talent brĂ©silien. J’espĂšre qu’il restera quelques annĂ©es au pays avant de s’exporter vers l’Europe

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RĂ©ponses aux lecteurs

@toopil j’ai prolongĂ© son contrat, la clause est Ă  28M :hoho:

@Rhino j’espùre aussi mais bon j’y crois pas trop.

- Le VerdĂŁo remporte la Copa do Brasil -

La tension Ă©tait palpable Ă  l’EstĂĄdio do MaracanĂŁ ce soir-lĂ , oĂč Palmeiras affrontait Flamengo dans un choc au sommet pour la finale aller de la Copa do Brasil 2035. L’enjeu Ă©tait Ă©norme : Palmeiras, invaincu depuis le dĂ©but de la saison sous la houlette d’Anibal GuimarĂŁes, voulait tout rafler sur son passage, tandis que Flamengo espĂ©rait briser cette sĂ©rie d’invincibilitĂ© et prendre un avantage avant le match retour.

Le coup d’envoi Ă  peine donnĂ©, Palmeiras a mis le pied sur l’accĂ©lĂ©rateur. Leur intention de dominer le match Ă©tait claire, et ils ne tardĂšrent pas Ă  le montrer. DĂšs la septiĂšme minute, une attaque fulgurante orchestrĂ©e par Vinicius Jr. mit la dĂ©fense de Flamengo en difficultĂ©. L’ancien attaquant du Real Madrid rĂ©alisa une accĂ©lĂ©ration dĂ©vastatrice sur l’aile gauche, laissant deux dĂ©fenseurs derriĂšre lui avant de centrer en retrait pour Gilson. Ce dernier, parfaitement placĂ© au point de penalty, dĂ©cocha une frappe imparable dans la lucarne droite, laissant le gardien sans rĂ©action. L’ouverture du score plongea les supporters de Palmeiras dans une frĂ©nĂ©sie.

Mais Palmeiras n’allait pas s’arrĂȘter lĂ . À la 20Ăšme minute, une rĂ©cupĂ©ration haute de William permit aux visiteurs de lancer une contre-attaque Ă©claire. Rodrygo, toujours aussi percutant, s’échappa sur le cĂŽtĂ© droit et dĂ©posa un centre millimĂ©trĂ© dans la surface. Gilson surgit Ă  nouveau, rĂ©alisant une tĂȘte puissante qui ne laissa aucune chance au gardien de Flamengo. En Ă  peine vingt minutes, Palmeiras avait dĂ©jĂ  frappĂ© deux fois, et les joueurs de Flamengo semblaient sonnĂ©s par l’intensitĂ© de leurs adversaires.

Cependant, Flamengo ne comptait pas se laisser abattre si facilement, surtout devant son public. À la 27Ăšme minute, Matheus Gonçalves, le jeune prodige de Flamengo, se fraya un chemin dans la dĂ©fense de Palmeiras. GrĂące Ă  un jeu de passes rapides avec Pedro, Gonçalves reçut le ballon en pleine course et trompa le gardien d’une frappe subtile Ă  ras de terre, ramenant son Ă©quipe dans le match. L’atmosphĂšre s’enflamma, et les supporters cariocas reprirent espoir.

MalgrĂ© ce sursaut de Flamengo, Palmeiras resta maĂźtre de son sujet. Leur dĂ©fense, dirigĂ©e par le jeune Saulo, fit preuve d’une soliditĂ© exemplaire, tandis que le milieu de terrain, emmenĂ© par l’infatigable Auribertinho, contenait les assauts adverses. Le match devint plus physique, avec des duels intenses au milieu de terrain, mais Palmeiras gĂ©rait habilement les temps forts et faibles.

Puis, Ă  la 77Ăšme minute, Palmeiras frappa de nouveau. Une combinaison entre William et Anaya permit Ă  ce dernier de dĂ©livrer un centre tendu depuis l’aile gauche. Guillherme Henrique, montĂ© sur une action offensive, jaillit de nulle part et plaça une tĂȘte croisĂ©e imparable qui fit trembler les filets. Ce troisiĂšme but scella le sort du match aller, offrant Ă  Palmeiras une avance confortable avant le retour.

Club
:copa_brazil: Finale :copa_brazil:
Estadio
MaracanĂŁ
322
1 - 3
329
Flamengo
Club Regatas
Sociedad Esportiva
Palmeiras
:but: M.Gonçalves (27’) Gilson (7’, 20’) :but: :but:
G.Henrique (77’) :but:

La finale retour de la Copa do Brasil 2035 avait attirĂ© une foule immense Ă  l’Allianz Parque, un stade en Ă©bullition, prĂȘt Ă  cĂ©lĂ©brer ce qui pouvait devenir un nouveau triomphe pour Palmeiras sous la direction d’Anibal GuimarĂŁes. L’avantage de deux buts acquis lors du match aller laissait prĂ©sager un affrontement oĂč les Alviverde avanceraient avec une certaine sĂ©rĂ©nitĂ©, mais la tension Ă©tait palpable. Flamengo, dos au mur, n’avait rien Ă  perdre, et dĂšs le coup d’envoi, ils se jetĂšrent Ă  l’attaque.

Flamengo, menĂ© par ses attaquants affamĂ©s de buts, imposa un rythme effrĂ©nĂ© dĂšs les premiĂšres secondes. Les Cariocas mirent toute leur Ă©nergie dans un pressing haut, cherchant Ă  Ă©touffer Palmeiras dans sa propre moitiĂ© de terrain. Mais alors qu’ils dominaient les dĂ©bats, le VerdĂŁo, fidĂšle Ă  sa rĂ©putation de machine impitoyable, ne tarda pas Ă  frapper.

À la 5Ăšme minute, une rĂ©cupĂ©ration Ă©claire de Vinicius Jr. permit Ă  Palmeiras de lancer une contre-attaque foudroyante. Vinicius remonta le terrain avec sa vitesse lĂ©gendaire, semant les dĂ©fenseurs de Flamengo comme des fĂ©tus de paille. ArrivĂ© Ă  l’entrĂ©e de la surface, il servit Rodrygo d’une passe subtile. L’ancien prodige du Real Madrid ne se fit pas prier : il ajusta une frappe chirurgicale dans le petit filet gauche, faisant exploser l’Allianz Parque. 1-0 pour Palmeiras, et le rĂȘve de Flamengo s’éloignait dĂ©jĂ .

Les visiteurs, pourtant sonnĂ©s par cette ouverture prĂ©coce, ne baissĂšrent pas les bras. Leur insistance offensive finit par payer Ă  la 14Ăšme minute. AprĂšs un corner bien tirĂ©, le ballon rebondit dans la surface et trouva les pieds de Britez, qui rĂ©ussit Ă  contourner la dĂ©fense de Palmeiras avant de dĂ©cocher une frappe imparable sous la barre transversale. 1-1, et Flamengo reprenait espoir, galvanisĂ© par ce sursaut d’orgueil.

Mais malgré cette égalisation, Palmeiras ne sembla jamais perdre le contrÎle du match. Anibal, debout sur la ligne de touche, donnait ses consignes avec une calme autorité, rassurant ses joueurs et orchestrant chaque mouvement. Le milieu de terrain Auribertinho se montra impérial, récupérant ballon sur ballon, tandis que la défense, dirigée par Saulo, fermait tous les espaces.

En seconde pĂ©riode, Flamengo continua de tenter sa chance, mais leurs assauts se brisaient sur une dĂ©fense bien en place, tandis que Palmeiras attendait patiemment le moment de porter l’estocade. Ce moment arriva Ă  la 74Ăšme minute. Sur une action initiĂ©e par William, qui trouva un espace dans la dĂ©fense adverse, le ballon fut rapidement dĂ©calĂ© Ă  Vinicius Jr. Celui-ci s’infiltra sur le cĂŽtĂ© gauche et envoya un centre millimĂ©trĂ© en direction de Gilson. Le jeune attaquant sauta plus haut que tout le monde et plaça une tĂȘte puissante qui fila au fond des filets. 2-1 pour Palmeiras, et le stade explosa de joie, la victoire se dessinant dĂ©finitivement.

Le reste du match ne fut qu’une formalitĂ© pour le VerdĂŁo. Flamengo, Ă  bout de forces, ne parvint pas Ă  revenir une seconde fois, et l’arbitre siffla la fin du match sous une clameur assourdissante. Palmeiras venait de remporter la Copa do Brasil, leur quatriĂšme titre de la saison aprĂšs la Supercopa Rey, la Recopa Sudamericana, et le PaulistĂŁo. Une annĂ©e parfaite qui allait assurĂ©ment inscrire Anibal GuimarĂŁes dans la lĂ©gende du club malgrĂ© sa prĂ©sence rĂ©cente au sein du club lĂ©gendaire.

Les joueurs se rassemblĂšrent autour de leur entraĂźneur, cĂ©lĂ©brant ensemble un triomphe qui restera gravĂ© dans les mĂ©moires. Anibal, Ă©mu mais digne, leva les bras vers le ciel, reconnaissant du parcours exceptionnel de son Ă©quipe. L’Allianz Parque Ă©tait une mer verte de joie, le nom d’Anibal scandĂ© par des milliers de supporters, conscients d’avoir vĂ©cu un moment historique.

Club
:copa_brazil: Finale :copa_brazil:
Allianz
Parque
329
2 - 1
322
Sociedad Esportiva
Palmeiras
Flamengo
Club Regatas
:but: Rodrygo (5’) D.Britez (14’) :but:
:but: Gilson (74’)
- Chapitre 399 -
- EugĂȘnio fait sensation -
- Chapitre 401 -
Coming SOON - 23/04
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Il ne laissera rien à ses adversaires 


Revenge Of The Sith Evil Laugh GIF by Star Wars

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FrĂ©rot comment tu veux qu’il y ait match ??!! J’ai espoir d’essayer de te concurrencer mais comme avec tous tes clubs dans ta story, tu vas Ă©craser tout le monde et ne rien laisser Ă  tes adversaires ! :smiling_face_with_tear: :smiling_face_with_tear: :smiling_face_with_tear:

Tiens, qu’est-ce que je disais
 :smiling_face_with_tear: :smiling_face_with_tear: :smiling_face_with_tear:

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Et un titre de plus dans la besace !

Toujours aussi fan des costumes d’Anibal. :no_mouth:

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