Eh allez encore 1
Une nouvelle pĂ©pite prĂȘte Ă faire briller les couleurs de Palmeiras !
Déjà un quadruplé pour cette saison, les cases sont cochées une à une !
RĂ©ponses aux lecteurs
@Manthyz RIIIIIIEEEEEN
@CaptainAmericka on parie que ce sera pas le cas bro ?
@Heisen il a un certain style câest pas faux
@VertPourToujours le prochain il perds (spoil)
@alexgavi oui une belle pépite. Ils veulent pas me battre aussi
« Je veux voir Anibal entrainer Boca »
Dans une interview exclusive accordĂ©e Ă Relevo, la lĂ©gende et actuel directeur sportif de Boca Juniors, Juan-Roman Riquelme, sâest exprimĂ© sur la quĂȘte ardente du club pour un nouvel entraĂźneur de renom. Lâombre de la retraite prochaine de lâactuel coach de Boca, qui a su maintenir le club argentin Ă un niveau Ă©levĂ© ces derniĂšres saisons, plane sur la Bombonera.
Alors que le club se prĂ©pare Ă Ă©crire un nouveau chapitre, Riquelme a dĂ©voilĂ© ce qui semble ĂȘtre un rĂȘve obsessionnel : convaincre Anibal GuimarĂŁes, lâentraĂźneur portugais qui a rĂ©cemment impressionnĂ© le monde du football sud-amĂ©ricain, de prendre les rĂȘnes de lâĂ©quipe.
Dans lâinterview, Riquelme ne cache pas son admiration pour GuimarĂŁes. âCâest un coach qui a prouvĂ© sa valeur partout oĂč il est passĂ©,â dĂ©clare lâancienne icĂŽne de Boca, son regard brillant dâambition. âQue ce soit en Europe avec Valladolid, oĂč il a rĂ©alisĂ© des miracles, ou ici en AmĂ©rique du Sud avec Envigado puis Palmeiras, Anibal a ce don de transformer les Ă©quipes en machines de guerre, tout en faisant progresser des jeunes talents incroyables.â
Pour Riquelme, câest justement ce profil de formateur, mais aussi de stratĂšge hors pair, qui rend GuimarĂŁes si attrayant pour Boca Juniors. âNous avons toujours Ă©tĂ© un club oĂč lâon attend plus quâune simple victoire. On attend du spectacle, de la passion, et Anibal incarne tout cela. Il a une vision du jeu qui sâaligne parfaitement avec ce que nous voulons offrir Ă nos fans : de lâĂ©motion, du rythme, de la crĂ©ativitĂ©.â
Ce nâest pas la premiĂšre fois que le club xeneize tente de sĂ©duire le tacticien portugais. Les rumeurs de discussions entre les deux parties remontent Ă plusieurs annĂ©es, mais des obstacles, notamment la volontĂ© dâAnibal de sâĂ©tablir dans des contextes plus sĂ©curisĂ©s pour lui et sa famille, ont toujours compliquĂ© les nĂ©gociations. âNous avons approchĂ© Anibal plusieurs fois,â avoue Riquelme avec un sourire mĂ©lancolique. âMais soit il Ă©tait dĂ©jĂ engagĂ© ailleurs, soit des circonstances extĂ©rieures rendaient les choses impossibles.â
Cependant, le dossier GuimarĂŁes reste complexe, et Riquelme en est bien conscient. âIl ne sâagit pas seulement de football,â explique-t-il. âNous savons que la sĂ©curitĂ© dâAnibal et de sa famille est devenue une prioritĂ© absolue, surtout aprĂšs les rĂ©cents incidents impliquant des menaces liĂ©es au cartel Gallindo lorsquâil Ă©tait en Colombie.â La situation a entraĂźnĂ© des complications pour lâentraĂźneur, qui, bien quâĂ©panoui sportivement en AmĂ©rique du Sud, doit composer avec des dĂ©fis auxquels il nâavait jamais Ă©tĂ© confrontĂ© en Europe.
Riquelme ne veut cependant pas perdre espoir. âNous devons tout faire pour le rassurer,â dit-il avec dĂ©termination. âSi nous voulons vraiment quâAnibal vienne ici, Ă Boca, il faut lui offrir un environnement sĂ©curisĂ©, un contexte oĂč il pourra travailler sans crainte pour lui ou sa famille. Nous sommes prĂȘts Ă Ă©tudier toutes les options possibles pour cela.â
Riquelme a conscience que la Bombonera, avec son atmosphĂšre lĂ©gendaire, pourrait ĂȘtre un argument dĂ©cisif. âJe crois que tout entraĂźneur rĂȘve de diriger un jour Boca dans ce stade. Les vibrations, la ferveur, la communion avec les fans⊠câest unique. Et je suis sĂ»r quâAnibal le sait.â Pourtant, mĂȘme le cadre magique de la Bombonera ne suffit pas toujours Ă faire oublier des prĂ©occupations bien plus profondes.
MalgrĂ© lâincertitude, lâancien numĂ©ro 10 de Boca reste optimiste. âNous avons quelques semaines devant nous pour voir ce quâil se passe,â confie-t-il. âJe veux y croire. Anibal serait parfait pour nous, et je pense quâil pourrait aimer cette aventure. Mais au final, câest Ă lui de dĂ©cider, et nous respecterons son choix, quâil soit en faveur de la sĂ©curitĂ© de sa famille ou de la grandeur de Boca.â
Pour lâinstant, tout reste ouvert. GuimarĂŁes, dont la situation Ă©voluera trĂšs bientĂŽt, doit encore peser le pour et le contre. Mais Riquelme, fidĂšle Ă lui-mĂȘme, continue de rĂȘver. âLa porte de Boca lui sera toujours ouverte,â conclut-il, espĂ©rant que le vent tournera en leur faveur et quâAnibal GuimarĂŁes Ă©crira un jour lâhistoire du club argentin.
Lâinterview de Riquelme, entre passion et pragmatisme, laisse entendre que le rĂȘve de voir Anibal sur le banc de Boca Juniors nâest pas encore Ă©teint. Mais lâavenir reste incertain, marquĂ© par des questions de sĂ©curitĂ© qui pourraient bien dĂ©cider du prochain grand chapitre de la carriĂšre de lâentraĂźneur portugais.
Je suis comme la fosseâŠ
Pas sur quâil ait envie de rester en AmSud mĂȘme siâŠ
En blanc? La fosse en blanc!
Si ça arrive, câest truquĂ© frĂ©rot
LâintĂ©rĂȘt de Boca est stylĂ©, câest un bon club ! Mais pas pour tout de suite.
Non scĂšptique
Je ne crois pas Ă un passage dâAnibal du cĂŽtĂ© du Boca. Autant rester Ă Palmeiras
RĂ©ponses aux lecteurs
@VertPourToujours pourquoi pas, si il y a offre il étudiera ça en famille avec ses conseils.
@toopil tu sors
@CaptainAmericka youâll see
@VertPourToujours tu sors aussi
@Rhino on ne sait pas ce quâil peut se passer, offre irrefusableâŠ
Alors que Palmeiras avait connu quelques turbulences pendant le mercato, le club allais dĂ©sormais pouvoir se concentrer sur le sprint finale de sa saison harassante. Le club avait sept matchs de championnat devant lui avant de retrouver la Copa Libertadores pour des demi finales annoncĂ©s endiablĂ©s. Le club commença par un nul un peu dĂ©cevant contre Vila nova malgrĂ© des buts de Rodrygo et Gilson. Mais le club se repris rapidement en faisant tomber Paranaense avec un doublĂ© de lâinĂ©vitable Gilson. Guillherme et Rodrygo se sont aussi signalĂ©.
Le VerdĂŁo a enchainĂ© les performances en demi teintes en alternant matchs nuls contre Cruzeiro ou Vasco de Gama otout en se payant CearĂĄ, lâAmerica Mineiro ou lâAthletico Paranaense sur des scores plus que flatteurs. On notera notamment les grosses performances du trio offensif Rodrygo, Gilson et VinĂcius Jr dĂ©cisifs Ă presque tous les matchs. En Libertadores, la demi finale fut plus accrochĂ© que prĂ©vu dans des matchs aux hachoirs contre le Gremio de Tevez. Lâaller se solda par un nul avec un but tardif de Rodrygo. Au retour en revanche, Palmeiras libĂ©rĂ© de la pression du championnat fit tomber Gremio en cinq minutes avec des buts de Saulo et william provoquant lâexclusion de Tevez a nouveau frustrĂ© par le jeu de GuimarĂŁes qui venait en plus dâĂȘtre sacrĂ© contre le Corinthians justement devant le Gremio !
QualifiĂ© en finale de la Copa Libertadores, Palmeiras sâest contentĂ© de finir la saison tranquillement en cĂ©lĂ©brant son titre de champion dans tous les stades visitĂ©s. Flamengo, Cruzeiro, Sao Paulo, CriciĂșma et Botafogo sâinclinĂšrent notamment devant le champion. Gremio privĂ© de Carlos Tevez fit concĂ©dĂ© un dernier nul au Palmeiras qui finis tout de mĂȘme le championnat national invaincu. Avec une sĂ©rie de 44 matchs sans dĂ©faite, Palmeiras et Anibal font tomber le record de Botafogo en 1977 et deviens le premier champion invaincu de lâhistoire du BrasileirĂŁo.
Date | Club | Score | Buteurs | |||
J25 | 2/9/2035 | Vila Nova | 2 - 2 | Rodrygo (pen 33), GĂlson (75) | ||
J26 | 5/9/2035 | Athletico Paranaense | 0 - 4 | GĂlson (18, 59), G.Henrique (21), Rodrygo (36) | ||
J27 | 8/9/2035 | CearĂĄ | 0 - 2 | Rodrygo (49), William (76) | ||
J28 | 19/9/2035 | Cruzeiro | 1 - 1 | William (6) | ||
J29 | 29/9/2035 | AmĂ©rica Mineiro | 5 - 0 | Rodrygo (2, 26), J-S.Anaya (7), GĂlson (32), Thiago (45+1) | ||
J30 | 6/10/2035 | Vasco da Gama | 1 - 1 | Auribertinho (26) | ||
J31 | 13/10/2035 | Athletico Paranaense | 5 - 0 | VinĂ Jr (9, 42), William (17), GĂlson (45+2), Thiago (72) | ||
1/2 | 17/10/2035 | GrĂȘmio | 1 - 1 | Rodrygo (80) | ||
J32 | 20/10/2035 | Corinthians | 0 - 2 | R.Ăndio (28), E.Macachero (82) | ||
1/2 | 24/10/2035 | GrĂȘmio | 1 - 2 | Saulo (64), William (67) | ||
J33 | 27/10/2035 | Flamengo | 3 - 0 | William (31), GĂlson (36), Rodrygo (41) | ||
J34 | 31/10/2035 | Cruzeiro | 0 - 1 | William (62) | ||
J35 | 3/11/2035 | GrĂȘmio | 1 - 1 | VinĂ Jr (22) | ||
J36 | 10/11/2035 | SĂŁo Paulo | 2 - 1 | Rodrygo (pen 45), R.Ăndio (84) | ||
J37 | 18/11/2035 | CriciĂșma | 0 - 5 | G.Henrique (8), GĂlson (24), Gildo (28, 45+4), R.Ăndio (56) | ||
J38 | 25/11/2035 | Botafogo | 3 - 2 | Rodrygo (32, pen 70), J-S.Anaya (40) |
Clt | Ăquipe |
J | G | N | P | Bm | Be | Diff | Pts | ||
1er | Palmeiras | 38 | 28 | 10 | 0 | 91 | 21 | +70 | 94 | ||
2e | GrĂȘmio | 38 | 22 | 10 | 6 | 75 | 36 | +39 | 76 | ||
3e | Botafogo | 38 | 20 | 8 | 10 | 80 | 56 | +24 | 68 | ||
4e | Flamengo | 38 | 20 | 7 | 11 | 80 | 50 | +30 | 67 | ||
5e | Internacional | 38 | 18 | 12 | 8 | 63 | 39 | +24 | 66 | ||
6e | Corinthians | 38 | 19 | 8 | 11 | 83 | 60 | +23 | 65 | ||
7e | Fluminense | 38 | 20 | 4 | 14 | 66 | 58 | +8 | 64 | ||
8e | Vasco da Gama | 38 | 15 | 12 | 11 | 60 | 51 | +9 | 57 | ||
9e | Santos | 38 | 15 | 9 | 14 | 55 | 55 | 0 | 54 | ||
10e | SĂŁo Paulo | 38 | 14 | 11 | 13 | 60 | 56 | +4 | 53 | ||
11e | CearĂĄ | 38 | 13 | 9 | 16 | 40 | 64 | -24 | 48 | ||
12e | Cruzeiro | 38 | 12 | 9 | 17 | 31 | 38 | -7 | 45 | ||
13e | Bragantino | 38 | 11 | 11 | 16 | 49 | 51 | -2 | 44 | ||
14e | Athletico Paranaense | 38 | 11 | 11 | 16 | 49 | 64 | -15 | 44 | ||
15e | América Mineiro | 38 | 11 | 8 | 19 | 40 | 69 | -29 | 41 | ||
16e | Vila Nova | 38 | 11 | 6 | 21 | 40 | 58 | -18 | 39 | ||
17e | Bahia | 38 | 11 | 6 | 21 | 45 | 69 | -24 | 39 | ||
18e | Juventude | 38 | 9 | 9 | 20 | 35 | 67 | -32 | 36 | ||
19e | Coritiba | 38 | 9 | 7 | 22 | 46 | 71 | -25 | 34 | ||
20e | CriciĂșma | 38 | 5 | 5 | 28 | 29 | 84 | -55 | 20 |
Ce sera donc un duel entre clubs brĂ©siliens qui aura lieu en finale de la Copa Libertadores cette annĂ©e, Palmeiras retrouvera Botafogo troisiĂšme du championnat qui a sorti lâAtletico Nacional en demi finale.
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
Rodrygo | 67 (7) | 50 | 24 | ||||
GĂlson | 70 | 47 | 11 | ||||
VinĂ Jr | 69 (6) | 26 | 25 | ||||
William | 63 (6) | 15 | 17 | ||||
Talles | Magno | 12 (36) | 15 | 5 |
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Nat | Nat | Prénom | Nom | MJ | Buts | Assists | |
VinĂ Jr | 69 (6) | 26 | 25 | ||||
Juan SebastiĂĄn | Anaya | 69 (7) | 6 | 24 | |||
Rodrygo | 67 (7) | 50 | 24 | ||||
Yan | Couto | 58 (13) | 2 | 20 | |||
William | 63 (6) | 15 | 17 |
Cette saison, elle donne chaud Palmeiras X Anibal, câest lâamour du foot
bravo pour le titre dans cette saison de malade !
Encore une épopée incroyable !!
Rodrygoooooooo qui termine meilleur buteur !!! (Non, Gilson ne claquera pas son triplé ou alors Rodrygo plantera un petit but )
Trop facile cette saison
Quelle saison exceptionnelle (est-ce vraiment Ă©tonnant avec Anibal ?).
Mais jâespĂšre que tu resteras une saison de plus, Boca câest nul.
Saison exceptionnelle de bout en bout !
Reste plus quâune seule Ă©chĂ©ance
RĂ©ponses aux lecteurs
@Rhino Clairement on est pas venu au BrĂ©sil pour enfiler des perles. Je dirais quâAnibal essaye de se mettre le plus en valeur possible pour susciter de lâintĂ©ret de lâEurope pour quand il pourra revenir.
@celiavalencia Merci
@CaptainAmericka et oui tu avais eu le nez fin
@toopil oui un peu trop facile clairement.
@Malakai tu dit ça mais il a pas connu que des saisons parfaites dans son parcours. Souviens toi du Sporting B, des années à Vianense et certaines années à Valladolid ou celle à la Juve Je sais pas pour la saison pro
@alexgavi lâheure approche frĂ©rot.
La soirĂ©e du Gala de la FIFA, oĂč se rĂ©unissent les plus grands noms du football, fut marquĂ©e par une cĂ©lĂ©bration unique : un hommage appuyĂ© Ă lâentraĂźneur portugais Anibal GuimarĂŁes, qui a consacrĂ© une grande partie de sa carriĂšre Ă la formation des jeunes joueurs et Ă lâamĂ©lioration des infrastructures dans les clubs quâil a dirigĂ©s. En 12 ans de mĂ©tier, Anibal nâa pas seulement accumulĂ© des trophĂ©es et des titres, il a surtout laissĂ© un hĂ©ritage profond qui continue dâavoir un impact aujourdâhui.
Lorsque le prĂ©sident de la FIFA, accompagnĂ© de plusieurs lĂ©gendes du football, appela Anibal sur scĂšne pour lui remettre lâAward dâHonneur pour son travail exceptionnel dans la formation, lâentraĂźneur portugais, souvent connu pour son sĂ©rieux et sa dĂ©termination, ne put cacher son Ă©motion. âJe ne suis rien sans mes joueurs, sans leur volontĂ© de progresser et de se dĂ©passerâ, dĂ©clara-t-il dâune voix Ă©mue, les yeux brillants de reconnaissance. âPour moi, la victoire nâa jamais Ă©tĂ© seulement sur le terrain. CâĂ©tait aussi de voir ces jeunes grandir, sâaffirmer et devenir les lĂ©gendes de demain.â
Anibal GuimarĂŁes a toujours cru en la jeunesse, et ce, dĂšs ses dĂ©buts. Ă Vianense, son premier club familial, il avait dĂ©jĂ mis en place un systĂšme pour donner plus de temps de jeu aux jeunes, malgrĂ© les risques sportifs. Mais câest surtout Ă Valladolid, sa vĂ©ritable terre de gloire, que lâentraĂźneur a marquĂ© de son empreinte. LĂ -bas, il nâa pas seulement ramenĂ© le club au sommet de lâEspagne, mais il a aussi insistĂ© pour investir dans le centre de formation. Des jeunes talents comme Joao Infante, Diego Mauricio, et Gilson sont devenus des icĂŽnes, des joueurs dont les performances ont Ă©clairĂ© les plus grands stades dâEurope aprĂšs sâĂȘtre dĂ©veloppĂ©s sous la coupe dâAnibal. Le dernier classement de lâIFFHS, qui place le Real Valladolid comme le troisiĂšme meilleur centre de formation du monde, est une preuve Ă©clatante de cette rĂ©ussite.
Mais lâhĂ©ritage dâAnibal ne sâarrĂȘte pas lĂ . AprĂšs son dĂ©part de Valladolid, il a continuĂ© son travail de formateur Ă la Juventus, oĂč il a encore amĂ©liorĂ© les infrastructures du club et misĂ© sur les jeunes talents italiens et internationaux. Le centre de formation de la Juventus est aujourdâhui classĂ© cinquiĂšme au monde, une prouesse qui porte la marque du Portugais. âAnibal a transformĂ© la maniĂšre dont on voit la formation des jeunes en Italieâ, tĂ©moigne un dirigeant de la Vieille Dame. âIl a fait des choix audacieux, mais ils ont portĂ© leurs fruits.â
Lorsquâil sâest envolĂ© pour lâAmĂ©rique du Sud, beaucoup pensaient quâil se contenterait de diriger des Ă©quipes professionnelles. Mais Ă Envigado et Palmeiras, deux clubs avec une tradition de formation, Anibal a encore une fois laissĂ© son empreinte. Envigado, en Colombie, est devenu le quatriĂšme centre de formation mondial, grĂące aux talents qui continuent de sortir et de briller, comme Juan-Sebastian Anaya. De mĂȘme, Palmeiras, aujourdâhui neuviĂšme dans ce classement prestigieux, a vu des jeunes comme Saulo et EugĂ©nio sâĂ©panouir sous lâĆil avisĂ© de lâentraĂźneur portugais.
Lâun des moments forts de la soirĂ©e fut lorsque des joueurs quâil a permis dâĂ©clore, comme Joao Infante et Diego Mauricio, apparurent sur Ă©cran pour rendre hommage Ă leur mentor. âAnibal, câest un pĂšre pour nousâ, dĂ©clara Diego Mauricio, visiblement Ă©mu. âIl nous a appris Ă croire en nos rĂȘves, mais aussi Ă travailler dur pour les rĂ©aliser.â Anibal, touchĂ© par ces tĂ©moignages, rappela humblement que rien de tout cela nâaurait Ă©tĂ© possible sans la volontĂ© des clubs dâinvestir dans la jeunesse et la patience des supporters.
En coulisses, le directeur sportif de Palmeiras, Gabriel Jesus, souligna lâimpact durable de lâentraĂźneur : âCe nâest pas juste une question de football, câest une question de valeurs. Anibal a montrĂ© que croire en la jeunesse est un pari gagnant, mais aussi un acte de foi en lâavenir.â
Alors que la cĂ©rĂ©monie touchait Ă sa fin, Anibal GuimarĂŁes conclut son discours avec une promesse. âJe continuerai Ă me battre pour que chaque club, partout dans le monde, voie la formation comme une chance, pas un fardeau. Le football doit offrir aux jeunes des opportunitĂ©s, et je veux ĂȘtre un de ceux qui le rendent possible.â
Les applaudissements rĂ©sonnĂšrent longtemps aprĂšs ses paroles, et lâhĂ©ritage dâAnibal GuimarĂŁes brilla encore plus fort ce soir-lĂ . Dans un monde oĂč le football devient souvent une affaire dâargent et de stars, il a rappelĂ© Ă tous que le vrai trĂ©sor rĂ©side dans le potentiel des jeunes qui rĂȘvent de briller un jour sur la plus grande des scĂšnes.
Une véritable récompense qui apporte une reconnaissance profonde pour son travail ! Les résultats sont bien, mais tout le travail en amont est un dur labeur !
La formation, il nây a que ça de vrai !!!
Anibal reçoit la reconnaissance quâil mĂ©rite !
Câest quand mĂȘme des gros faux-culs, ils auraient pu prendre des dispositions concernant la lourde suspension
RĂ©ponses aux lecteurs
@CaptainAmericka câest ça. Il fait un gros travail pour mettre en avant des jeunes talents.
@VertPourToujours câest satisfaisant de dĂ©velopper les jeunes talents.
@alexgavi oui et non la FIFA est hors du dossier.
Dans une soirĂ©e historique au MaracanĂŁ, Palmeiras a Ă©crit une page mĂ©morable de lâhistoire du football sud-amĂ©ricain en remportant la Copa Libertadores, marquant ainsi un sixiĂšme titre cette saison. Sous la direction magistrale dâAnibal GuimarĂŁes, le VerdĂŁo a survolĂ© la finale, imposant son style de jeu et confirmant une saison invincible qui a captivĂ© les cĆurs des supporters et conquis le continent.
Le coup dâenvoi de la finale Ă©tait accompagnĂ© dâune tension palpable. Les supporters de Palmeiras, vĂȘtus de vert, emplissaient les tribunes de chants et dâespoir, tandis que les fans adverses espĂ©raient voir leur Ă©quipe dĂ©fier lâinvincibilitĂ© du gĂ©ant brĂ©silien. Mais dĂšs les premiĂšres minutes, il Ă©tait clair que Palmeiras ne comptait pas se laisser dĂ©stabiliser.
DĂšs la 21Ăšme minute, la pĂ©pite Gilson, qui avait tant brillĂ© tout au long de la saison, frappa le premier. Tout commença par une combinaison entre Auribertinho et Rodrygo sur le cĂŽtĂ© droit. Rodrygo, avec sa vision et sa technique, trouva Gilson dans lâespace avec une passe millimĂ©trĂ©e. Gilson, rapide et incisif, sâinfiltra dans la surface, et dâune frappe croisĂ©e imparable, il trompa le gardien adverse, dĂ©clenchant une explosion de joie dans les gradins. 1-0 pour Palmeiras, et le match venait de basculer en leur faveur.
Loin de relĂącher la pression, le VerdĂŁo continua dâattaquer avec intensitĂ©. Ă la 31Ăšme minute, Vinicius Jr, toujours aussi dĂ©terminĂ© et imprĂ©visible, sâempara du ballon prĂšs de la ligne mĂ©diane. Il effectua un long raid solitaire, se jouant de deux dĂ©fenseurs avec sa vitesse et sa technique, avant de pĂ©nĂ©trer dans la surface. Dâune feinte de frappe, il Ă©limina son dernier adversaire avant dâenvoyer un tir puissant sous la barre transversale. 2-0 pour Palmeiras, et le MaracanĂŁ semblait sur le point dâimploser tant les supporters exultaient.
Pourtant, lâadversaire ne se laissa pas abattre et chercha Ă rĂ©agir. Juste avant la pause, Paulinho, lâun des joueurs les plus dangereux de lâĂ©quipe adverse, trouva lâouverture. Profitant dâun moment de relĂąchement dĂ©fensif, il rĂ©ceptionna un centre parfaitement dosĂ© et, dâune volĂ©e imparable, rĂ©duisit le score Ă 2-1. Ce but redonna espoir Ă leurs supporters, et la pause arriva avec une ambiance Ă©lectrique.
Mais Anibal GuimarĂŁes nâest pas un entraĂźneur qui laisse les choses au hasard. Pendant la mi-temps, il galvanisa ses hommes, les rappelant Ă la concentration et Ă lâexcellence qui les avaient portĂ©s tout au long de cette saison historique. Palmeiras revint sur le terrain avec une dĂ©termination renouvelĂ©e.
Ă la 64Ăšme minute, le coup de grĂące fut portĂ© par Yan Couto, le latĂ©ral au dynamisme dĂ©vastateur. Sur un corner rapidement jouĂ©, Vinicius Jr servit Couto qui avait suivi lâaction de prĂšs. Sans hĂ©sitation, Yan Couto dĂ©cocha une frappe puissante qui fila dans le petit filet. 3-1 pour Palmeiras, et lâissue ne faisait plus de doute : le titre de la Copa Libertadores allait rejoindre les autres trophĂ©es dans lâimpressionnante collection du VerdĂŁo.
Les derniĂšres minutes furent une dĂ©monstration de maĂźtrise de Palmeiras, qui gĂ©ra son avance avec une maturitĂ© impressionnante. Le coup de sifflet final dĂ©clencha des scĂšnes de liesse incroyables. Anibal GuimarĂŁes, Ă©mu aux larmes, fut portĂ© en triomphe par ses joueurs, cĂ©lĂ©brant lâapogĂ©e dâune saison parfaite et un exploit jamais rĂ©alisĂ© auparavant : terminer invaincu en conquĂ©rant tous les titres en jeu.
Le MaracanĂŁ, tĂ©moin de tant de moments historiques, en vit un autre ce soir-lĂ . Le surnom dââImperatoreâ nâavait jamais Ă©tĂ© aussi mĂ©ritĂ© pour Anibal, qui entra dans la lĂ©gende du football sud-amĂ©ricain. Le coach portugais, humble mais fier, leva les bras vers le ciel, reconnaissant du parcours incroyable de son Ă©quipe et de la passion inĂ©branlable de ses supporters.
Club | ||||
---|---|---|---|---|
Finale | ||||
Estadio Maracaña |
||||
3 | - | 1 | ||
Sociedad Esportiva Palmeiras |
Botafogo |
|||
Gilson (21â) | Paulinho (44â) | |||
Vini Jr (31â) | ||||
Y.Couto (64â) |