:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

Anibal feels like this :

proud homer simpson GIF

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FĂ©licitations !
Par contre Saldanha va bien pas rigoler tous les jours pour réussi à faire aussi bien par la suite :open_mouth:

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Il me semblait avoir prĂ©dit ça en dĂ©but de saison


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Et de 6, le compte est bon ! Anibal peut passer la main sans regrets :smiley:

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Manthyz :pasrire: En tout cas quelle saison :hoho:

@Sythax justement je crois qu’il viens de perdre ses balls :hoho:

@VertPourToujours felicitations :clap:

@alexgavi Veni Vedi Ani

- Saldanha veut apprendre un an de plus ! -

Le ciel de SĂŁo Paulo s’illuminait encore de feux d’artifice, la ville vibrant des chants et des acclamations des supporters de Palmeiras. Le club, sous la direction de son entraĂźneur portugais Anibal GuimarĂŁes, avait accompli l’impensable : une saison parfaite, sans dĂ©faite, et des trophĂ©es rĂ©coltĂ©s les uns aprĂšs les autres. La Copa Libertadores, le BrasileirĂŁo, la Copa do Brasil, le PaulistĂŁo, la Recopa, la Supercopa Rey


Toutes ces compĂ©titions avaient cĂ©dĂ© sous la domination d’une Ă©quipe menĂ©e de main de maĂźtre par celui que l’on surnommait dĂ©sormais Il Imperatore invicto.

Le surnom d’Anibal, issu de la presse brĂ©silienne et adoptĂ© avec amour par les fans, Ă©tait une reconnaissance de son rĂšgne incontestĂ©. Il avait transformĂ© Palmeiras en une machine de guerre, faisant taire les sceptiques qui, Ă  son arrivĂ©e, doutaient de sa capacitĂ© Ă  s’imposer dans un contexte aussi complexe que le football brĂ©silien. Mais maintenant, aprĂšs ce triomphe inĂ©galĂ©, l’heure des choix approchait, et Anibal se retrouvait face Ă  un dilemme : partir en hĂ©ros ou rester pour consolider son empire.

Le lendemain de la fĂȘte mĂ©morable, alors que le calme revenait doucement sur le centre d’entraĂźnement, Anibal se promenait parmi les terrains avec son fidĂšle adjoint, Javi Sanchez. C’est alors que Saldanha, son protĂ©gĂ© et successeur dĂ©signĂ©, fit irruption avec Gabriel Jesus, le directeur sportif du club. Saldanha, les yeux brillants de passion, exprima son dĂ©sir de continuer Ă  apprendre aux cĂŽtĂ©s d’Anibal.

“Anibal,” dit Saldanha d’une voix presque tremblante, “j’ai beaucoup rĂ©flĂ©chi. Je pensais ĂȘtre prĂȘt, mais aprĂšs cette saison historique
 je sens qu’il me reste tant Ă  apprendre. Je voudrais rester dans ton ombre encore un an, si tu veux bien de moi. Apprendre un peu plus de ce que signifie ĂȘtre O Imperatore.”

Gabriel Jesus, bras croisĂ©s et sourire aux lĂšvres, hocha la tĂȘte pour approuver. “C’est une idĂ©e qui nous plaĂźt, Anibal. L’équipe, les supporters
 tout le monde souhaite te voir rester. Mais la dĂ©cision te revient.”

Anibal se retrouva pris de court. La proposition de Saldanha le toucha profondĂ©ment, un Ă©lan de chaleur lui envahissant le cƓur. Ce jeune homme, qu’il avait vu Ă©voluer, Ă©tait prĂȘt Ă  mettre ses propres ambitions de cĂŽtĂ© pour continuer Ă  s’élever. Mais au-delĂ  de l’émotion, Anibal sentit la lourdeur du choix peser sur lui.

Il baissa les yeux, contemplant la pelouse encore marquĂ©e des crampons de ses joueurs champions. “Je
 je ne sais pas,” murmura-t-il. “Cette saison a Ă©tĂ© un rĂȘve, un accomplissement au-delĂ  de tout ce que j’espĂ©rais. Mais il y a tellement de choses Ă  considĂ©rer
 Ma famille, la sĂ©curitĂ©, l’énergie qu’il faut pour rester au sommet. Je ne suis pas sĂ»r de pouvoir rĂ©itĂ©rer une saison pareille”

Javi posa une main rassurante sur l’épaule de son ami. “Nous comprenons, Ani. Ce que tu as accompli ici, personne ne pourra jamais te l’enlever, mĂȘme si tu dĂ©cides de partir, tu sais bien que te suivrais partout. Mais si tu restes, nous serons avec toi, comme toujours.”

Anibal repensa aux moments passĂ©s avec sa fille, Beatriz, et sa femme Yessica, qui avaient traversĂ© avec lui des Ă©preuves incommensurables. Le BrĂ©sil, malgrĂ© ses dĂ©fis, avait commencĂ© Ă  se sentir comme un foyer. Mais ce sentiment Ă©tait encore fragile. La menace du cartel s’était quelque peu apaisĂ©e, mais elle n’avait jamais totalement disparu, flottant comme une ombre menaçante Ă  l’horizon. Était-il vraiment raisonnable de rester, mĂȘme aprĂšs une saison aussi glorieuse ?

“Je vous remercie,” dit Anibal, la voix pleine d’émotion. “Saldanha, j’ai adorĂ© apprendre Ă  tes cĂŽtĂ©s cette saison. Ta volontĂ© d’apprendre m’honore, et je ne prendrai pas cette dĂ©cision Ă  la lĂ©gĂšre. Je veux ce qu’il y a de mieux pour ce club et pour vous tous. Mais laissez-moi
 laissez-moi y rĂ©flĂ©chir.”

Saldanha comprit, ses traits marquĂ©s par le respect. “Prends tout le temps qu’il te faut, Mister. Quoi que tu dĂ©cides, nous te suivrons.”

Les jours suivants furent marquĂ©s par l’incertitude. Les mĂ©dias spĂ©culaient, les fans retenaient leur souffle, et Anibal, lui, s’isolait de plus en plus pour peser le pour et le contre. Ses promenades dans le jardin de sa villa, avec sa fille dans les bras, Ă©taient devenues son rituel pour apaiser son esprit tourmentĂ©.

Il savait qu’il avait dĂ©jĂ  laissĂ© une trace indĂ©lĂ©bile dans l’histoire de Palmeiras, mais la perspective de continuer cette aventure avec Saldanha, ce jeune entraĂźneur si prometteur, et de vivre une saison de plus avec des joueurs qui lui avaient donnĂ© tant de joie, le faisait hĂ©siter. Il Imperatore Ă©tait en pleine rĂ©flexion, et seul le temps dirait s’il choisirait de poursuivre son rĂšgne au BrĂ©sil, ou de s’envoler vers d’autres horizons.

Les prochaines semaines promettaient d’ĂȘtre dĂ©cisives, tant pour l’avenir de Palmeiras que pour l’hĂ©ritage d’Anibal GuimarĂŁes, le stratĂšge portugais qui avait conquis le cƓur de tout un pays.

- Chapitre 404 -
- Back to Back pour Palmeiras -
- Chapitre 406 -
Coming SOON - 05/12
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Le dĂ©fi est grand ! Recommencer une saison historique comme celle ci lui offre Ă  coup sĂ»r une statue devant le stade ! Apprendre un an de plus Ă  Saldanha peut ĂȘtre bĂ©nĂ©fique aux deux.

Mais ça dĂ©pend Ă©galement des offres qui vont arriver pour lui. Finalement, le BrĂ©sil est bien trop simple pour lui


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RĂ©ponses aux lecteurs

-BILAN DE LA SAISON-
QuadruplĂ© historique et une Copa Sudamericana pour l’histoire

:grootrecopa: :grootliberta: :campeonato_paulista:
:grootrecopa: :grootliberta: :campeonato_paulista:
Recopa
Sudamericana
Copa
Libertadores
Campeonato
Paulista
:trophy: :trophy: :trophy:
:serieabre: :copa_brazil: :supercopa_bre:
BrasileirĂŁo
Serie A
Copa
do Brasil
Supercopa
Rey
:trophy: :trophy: :trophy:
MJ V N D %V BP BC Diff BP/M BC/M
MJ V N D %V BP BC Diff BP/M BC/M
80 66 14 0 82.5% 227 52 +175 2.84 0.65

- Anibal : « O Imperatore Invicto Â» -

AnibalSport

MATCHS JOUES 80 BUTS MARQUES 227
MATCHS GAGNES 66 BUTS ENCAISSES 52
MATCHS NULS 14 DIFFERENCE DE BUTS +175
MATCHS PERDUS 0 POURCENTAGE DE VICTOIRES 82.5%

AprĂšs une annĂ©e complexe sur le plan extrasportif en Colombie mais trĂšs rĂ©ussi sportivement, Anibal avait donc fait le choix de rejoindre le champion brĂ©silien Palmeiras. Au terme d’une nouvelle saison harassante de 80 matchs a reussit Ă  faire le tour de force se reconcentrer malgrĂ© quelques accroc extrasportif avec le cartel qui a retrouvĂ© Anibal et Anaya Ă  SaĂ” Paulo.

Palmeiras est l’un des clubs forts brĂ©silien des derniĂšres annĂ©es et avait remportĂ© l’an passĂ© championnat et Copa Libertadores. Anibal avait signĂ© pour un contrat court d’une saison et savait qu’il Ă©tait trĂšs attendu. S’il faisait pour gagner il ne s’attendait certainement pas Ă  faire carton plein comme il l’a fait. Anibal a gagnĂ© cette saison le surnom « Imperatore Invicto Â» pour sanctifier une saison bĂ©ni des dieux qui a vu Palmeiras finirent invaincu sur une sĂ©rie de plus de 80 matchs. Le club aura rafflĂ© championnat rĂ©gional et national, aura conservĂ© la Copa Libertadores et aura remportĂ© la copa mais aussi la Supercoupe et la Recopa.

C’est une nouvelle prouesse pour le coach portugais qui rafle tout ce qu’il pouvait lors de ses deux saisons sud-amĂ©ricaines. Et tout cela avec des soucis extra-sportif liĂ© aux cartels colombiens.

- Une Ă©quipe jeune et talentueuse -

En arrivant au BrĂ©sil, Anibal a fait le choix de laisser le recrutement Ă  son adjoint Saldanha vouait Ă  lui succĂ©der et le club n’a recrutĂ© que deux joueurs pour mettre en avant les jeunes issus de son centre de formation. On notera une nouvelle fois le flair d’Anibal qui n’hĂ©sita pas Ă  sacrifier le 14Ăšme meilleur buteur de l’histoire du club pour faire la place Ă  Gilson. Ce dernier le lui a bien rendu en inscrivant 47 buts cette saison.

On pourra aussi parler de la saison magnifique des trois vĂ©tĂ©rans Yan Couto, Vini Jr et Rodrygo qui ont marchĂ© sur l’eau toute la saison.

Si l’équipe a connu pas mal de dĂ©parts au cours de la saison, l’effectif ne devrait pas trop bouger. Le club misant sur la continuitĂ© pour rester au top.

- Rodrygo nommé joueur de la saison par le public ! -

Plusieurs joueurs aurait pu mĂ©ritĂ© ce titre au vu de la saison magnifique du club. Mais c’est la lĂ©gende du Real Madrid Rodrygo qui a obtenu le plus de suffrage. Revenu au BrĂ©sil l’an passĂ© aprĂšs un court intermĂ©de saoudien, le vĂ©tĂ©ran de l’attaque avait dĂ©jĂ  fait une bonne saison. Mais que dire de l’actuelle. 74 apparitions pour 50 buts et 24 assists.

A 34 ans, Rodrygo a surement rĂ©alisĂ© sa meilleure saison au point de revenir en sĂ©lection et d’ĂȘtre nommĂ© Ă  son tour au trophĂ©e The Best. Rodrygo a mĂȘme fait un retour remarquĂ© dans les nominĂ©s au Ballon d’Or.


19306929 image

- - -
Rodrygo - - -
Âge
34
Nationalité :brazil: :spain: Brésilien
valeur 16-17M€
Salaire 309k€/m
Fin de contrat 31 DĂ©cembre 2035
ANNEES CLUB APP Buts Assists
:brazil: 13/19 :serieabre: [PRO] :santos: Santos 80 17 8
:spain: 19/33 :primera_federacion: [PRO] :realmadrid: Castilla 3 2 0
:spain: 19/20 :liga_easport: [PRO] :realmadrid: Real Madrid 615 220 135
:saudi_arabia: 33/34 :saudi_pro_league: [PRO] :al_alhy_sa: Al-Ahly 80 69 24
:brazil: 34/35 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 25 13 12
:fifa: 19/35 :comnebol: [A] :brazil: Brésil 90 22 26
13-35 TOTAL - - - - - 800 319 205

- RIVALITÉS -

CARLOS TÉVÈZ

950298

CARLOS TÉVÈZ
MATCHS JOUES 7 BUTS MARQUES 14
MATCHS GAGNES 4 BUTS ENCAISSES 9
MATCHS NULS 3 DIFFERENCE DE BUTS +5
MATCHS PERDUS 0 POURCENTAGE DE VICTOIRES 57,3%
Club L Score Buteurs
Club L Score Buteurs
:brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre :grootsuda: 2 - 1 S.Castillo (31’), L-A.Diaz (84’)
:brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre :serieabre: 1 - 1 Rodrygo (20’)
:brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre :copa_brazil: 5 - 3 Rodrygo (5, 59), GĂ­lson (44), VinĂ­ Jr (55), T.Magno (pen 89)
:brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre :copa_brazil: 1 - 2 GĂ­lson (8), Anderson (83)
:brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre :grootliberta: 1 - 1 Rodrygo (80’)
:brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre :grootliberta: 1 - 2 Saulo (64), William (67)
:brazil: :gremio: Gremio Porto Alegre :serieabre: 1 - 1 Vini Jr (22’)

- Bilan Financier -

On constate des finances solides. Ce n’est pas dĂ©connant pour un club si important au BrĂ©sil


LĂ©gende 2034
club :palmeiras:
Partenariats 56.15M€
Evùnements d’Entreprise 4.1M€
Finances - Jour de Matchs 1.05M€
Revenus de diffusion 72.09M€
Primes de CompĂ©titions 55.48M€
Nombre d’AbonnĂ©es 37 444
Nombre de Spectateurs 41 549
Nombre de Followers 23.7M
Ventes de produits dĂ©rivĂ©s 27.46M€
Vente de maillots 106 111

- Affluences -

Les taux de remplissage sont bons, il faut dire que le jeu proposé depuis quelques saisons est au rendez vous.

Année Club Afflu + Faible Afflu + Elevée Record de Recette Afflu Moyenne Taux de Remplissage
2035 :palmeiras: 35 029 :ituano: 43 603 :belgrano: 1.72M€ :belgrano: 38 991 89%

- Point sur les temps de jeu -

-
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts P.Dec
:brazil: :japan: JoĂŁo VĂ­tor 70 (6) 5 2
:colombia: Juan SebastiĂĄn Anaya 69 (7) 6 24
:brazil: :spain: VinĂ­cius JĂșnior 69 (6) 26 25
:brazil: :spain: Rodrygo 67 (7) 50 24
:brazil: :portugal: Yan Couto 58 (13) 2 20
:brazil: :italy: GĂ­lson 70 47 11
:brazil: William 63 (6) 15 17
:brazil: Saulo 64 (2) 3 4
:brazil: Anderson 18 (48) 1 4
:brazil: :spain: Auribertinho 37 (27) 12 6
:brazil: :portugal: Gildo 48 (6) 3 2
:brazil: Talles Magno 12 (36) 15 5
:brazil: Thiago 38 (9) 5 11
:brazil: Guilherme Henrique 10 (35) 6 4
:brazil: Wander 41 0 0
:brazil: Emerson Macachero 2 (39) 7 0
:brazil: Breno Danko 15 (24) 10 4
:brazil: Wesley Nunes Melo 22 (16) 0 4
:brazil: Ruan Índio 8 (23) 5 3
:brazil: :italy: Diego Callai 28 0 0
:argentina: :brazil: Alan Morinigo 8 (20) 0 5
:paraguay: :brazil: NicolĂĄs PĂ©rez 13 (13) 0 1
:brazil: Robério Meniconi 16 2 3
:brazil: :spain: Nalbert 3 (11) 0 0
:argentina: :italy: NicolĂĄs Valentini 12 0 1
:brazil: Carlos Eduardo 11 0 0
:brazil: Ivanilson Moraes 6 3 0
:brazil: Lucas JĂșnior 2 (4) 0 0
:argentina: Hugo Herrera 1 (3) 0 0
:brazil: EugĂȘnio 2 0 0

- Hall of Fame -

- Jogadores mais convocados -
joueurs les plus capés

-
Nat Nat Rank Identité APP buts
:brazil: :portugal: - → 9 YAN COUTO 530 75

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Melhores marcadores -
Meilleurs buteurs

-
Nat Nat Rank Identité APP buts
:brazil: 14 → 14 Emerson Macachero 271 102

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Melhores Passadores -
Meilleurs Passeurs

-
Nat Nat Rank Identité APP buts
:brazil: :portugal: 1 → 1 Yan Couto 530 168
:brazil: 4 → 3 Talles Magno 362 59
:brazil: - → 11 Rodrygo 99 36
:brazil: - → 16 Vinicius Jr 89 28
:brazil: - → 17 Juan-Sebastian Anaya 76 24

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Chapitre 405 -
- Saldanha veut apparendre une année de plus -
- Chapitre 407 -
Coming SOON - 05/12
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RĂ©ponses aux lecteurs

@CaptainAmericka on va voir

- Statistiques du récit -
- Sporting B - Vianense SC - Real Valladolid cf - Juventus Turin - Envigado fc - SE Palmeiras -

- joueurs les plus capés -

-
Club Nat Prénom Nom App Buts Passes
:sporting_portugal: :vianense: :real_valladolid: :portugal: JoĂŁo Infante 286 158 18
:real_valladolid: :brazil: :portugal: GĂ­lson Bressan 212 26 55
:real_valladolid: :japan: :germany: Hiroto Hiraoka 212 8 14
:real_valladolid: :italy: Ivano Di Giacobbe 199 5 0
:real_valladolid: :guinea: :spain: Ilaix Moriba 189 31 24
:real_valladolid: :spain: Alberto Luengo 174 6 34
:real_valladolid: :argentina: :spain: Thiago Rubio 158 38 58
:real_valladolid: :brazil: :portugal: PaixĂŁo 156 29 11
:real_valladolid: :brazil: Diego MaurĂ­cio 156 20 29
:real_valladolid: :spain: :baskonia: Javi LĂłpez 154 1 21
:real_valladolid: :spain: Javi SĂĄnchez 150 7 5
:real_valladolid: :palmeiras: :brazil: :spain: Auribertinho 144 17 13
:real_valladolid: :colombia: :spain: Simon Moya 141 39 34
:vianense: :real_valladolid: :portugal: Tiago AraĂșjo 138 27 20
:envigado_fc: :palmeiras: :colombia: Juan SebastiĂĄn Anaya 133 9 46
:real_valladolid: :argentina: :italy: Claudio Echeverri 121 32 19
:real_valladolid: :juventus_rose: :saudi_arabia: Abdullah Al-Dossari 105 6 18
:real_valladolid: :serbia: Ćœeljko Marković 105 1 7
:real_valladolid: :italy: Domenico Imparato 104 18 3
:real_valladolid: :netherlands: :algeria: Fares BenaĂŻssa 104 25 24

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Meilleurs Buteurs -

-
Club Nat Prénom Nom App Buts Passes
:sporting_portugal: :vianense: :real_valladolid: :portugal: JoĂŁo Infante 233 135 14
:envigado_fc: :brazil: Deivid Washington 65 54 6
:palmeiras: :brazil: :spain: Rodrygo 74 50 24
:palmeiras: :brazil: :italy: GĂ­lson 70 47 11
:vianense: :trinidad_tobago: Saqkeem Joseph 87 38 24
:vianense: :portugal: Tiago Sousa 58 37 4
:real_valladolid: :brazil: :portugal: EstĂȘvĂŁo 100 36 23
:real_valladolid: :argentina: :italy: Claudio Echeverri 121 32 19
:real_valladolid: :guinea: :spain: Ilaix Moriba 162 31 19
:vianense: :real_valladolid: :portugal: Tiago AraĂșjo 138 27 20
:vianense: :portugal: Afonso Valente 102 27 16
:palmeiras: :brazil: :spain: VinĂ­cius JĂșnior 75 26 25
:real_valladolid: :argentina: :spain: Thiago Rubio 109 26 45
:real_valladolid: :brazil: :portugal: GĂ­lson 164 23 44
:real_valladolid: :colombia: :spain: Simon Moya 90 22 19
:envigado_fc: :colombia: Luis Ángel Díaz 66 21 3
:envigado_fc: :colombia: José Ramos 75 20 21
:real_valladolid: :brazil: :portugal: PaixĂŁo 107 19 7
:envigado_fc: :colombia: Santiago Castillo 71 17 14
:envigado_fc: :colombia: Deyman CelemĂ­n 71 17 13

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Meilleurs Passeurs -

-
Club Nat Prénom Nom App Buts Passes
:envigado_fc: :palmeiras: :colombia: Juan SebastiĂĄn Anaya 133 9 46
:real_valladolid: :argentina: :spain: Thiago Rubio 109 26 45
:real_valladolid: :brazil: :portugal: GĂ­lson 164 23 44
:vianense: :portugal: Pedro AraĂșjo 102 5 32
:palmeiras: :brazil: :spain: VinĂ­cius JĂșnior 75 26 25
:palmeiras: :brazil: :spain: Rodrygo 74 50 24
:vianense: :trinidad_tobago: Saqkeem Joseph 87 38 24
:envigado_fc: :colombia: José Blanco 72 16 24
:real_valladolid: :spain: Alberto Luengo 128 1 23
:real_valladolid: :brazil: :portugal: EstĂȘvĂŁo 100 36 23
:envigado_fc: :colombia: Carlos De Ávila 65 4 22
:envigado_fc: :colombia: José Ramos 75 20 21
:palmeiras: :brazil: :portugal: Yan Couto 71 2 20
:vianense: :real_valladolid: :portugal: Tiago AraĂșjo 138 27 20
:vianense: :portugal: JoĂŁo VigĂĄrio 75 1 20
:real_valladolid: :guinea: :spain: Ilaix Moriba 162 31 19
:real_valladolid: :argentina: :italy: Claudio Echeverri 121 32 19
:real_valladolid: :brazil: Diego MaurĂ­cio 109 9 19
:real_valladolid: :colombia: :spain: Simon Moya 90 22 19
:vianense: :portugal: André Gonçalves 35 11 19

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Chapitre 406 -
- Bilan de fin de saison -
- Chapitre 408 -
Coming SOON - 25/10
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OUIIIIII MON RODRYGO !!!
Excited Ric Flair GIF

Carlos Tevez est ta pute :sac:

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RĂ©ponses aux lecteurs

@CaptainAmericka Oui et toui :hoho:

- L’intimidation de trop ? -

Le ciel de SĂŁo Paulo Ă©tait lourd et orageux, une parfaite allĂ©gorie du climat qui pesait sur la vie d’Anibal GuimarĂŁes. MalgrĂ© les efforts du FBI et la protection musclĂ©e assurĂ©e par le Comando Vermelho, Ezequiel Reyes, le magnat sombre et redoutĂ© du cartel Gallindo, s’était rendu en personne dans la mĂ©tropole brĂ©silienne. Son arrivĂ©e glaça l’atmosphĂšre dĂ©jĂ  tendue, et un frisson invisible parcourut l’échine des joueurs et du staff de Palmeiras.

Au centre d’entraĂźnement de Palmeiras, l’agitation habituelle de fin de saison Ă©tait prĂ©sente : joueurs qui riaient, jeunes talents qui faisaient des passes, le staff qui commençait Ă  ranger les Ă©quipements pour la trĂȘve. Mais l’arrivĂ©e de Reyes, mĂȘme Ă  distance, avait le pouvoir de paralyser l’activitĂ©. Les regards se faisaient fuyants, les voix s’éteignaient, et chacun ressentait une tension qui ne s’expliquait que par le fantĂŽme de la menace qui rĂŽdait.

Juan-Sebastian Anaya, le jeune latĂ©ral colombien, marchait d’un pas lourd vers les vestiaires. Le visage crispĂ©, il venait de cĂ©der face Ă  la pression. Le cartel Gallindo avait exigĂ© une part consĂ©quente de son salaire, et mĂȘme si son cƓur criait Ă  la trahison, Anaya n’avait pas eu le choix. Pour protĂ©ger son pĂšre, membre influent de l’organisation, il avait acceptĂ© de se soumettre.

Anibal, lui, Ă©tait d’une autre trempe. Le coach portugais, malgrĂ© les menaces toujours plus explicites et effrayantes, refusait de se plier. Assis Ă  son bureau, il triait quelques documents, rangeait ses notes et prĂ©parait ses affaires avant de partir en vacances bien mĂ©ritĂ©es. Mais mĂȘme dans ces moments oĂč il devait ĂȘtre concentrĂ© sur des tĂąches banales, il sentait cette prĂ©sence sinistre, ce poids sur sa poitrine qui ne voulait pas le quitter.

C’est alors qu’on frappa violemment Ă  la porte de son bureau. Javi Sanchez, son fidĂšle adjoint, entra, le visage grave. « Ani
 il est lĂ . Reyes. Il est sur le parking, entourĂ© de ses gorilles. »

Anibal soupira, le regard fatigué. « Que veut-il cette fois ? Me voir implorer sa pitié ? »

Javi posa une main sur l’épaule de son ami. « On doit partir d’ici. Ce n’est plus sĂ»r. »

Mais Anibal se leva, dĂ©cidĂ©, le feu dans les yeux. « Non. Je ne lui montrerai pas ma peur. Pas maintenant. » Il serra les poings, sa voix tremblante d’une rage qu’il contenait depuis trop longtemps. « J’ai dĂ©jĂ  tout perdu, Javi. Ma mĂšre, ma dignitĂ©, et presque ma famille. Je ne peux pas cĂ©der maintenant. »

Anibal sortit de son bureau, le cƓur battant Ă  tout rompre, mais l’apparence imperturbable. Il marcha Ă  travers le centre d’entraĂźnement, croisant les regards inquiets de ses joueurs et de ses collĂšgues. Anaya l’aperçut et se figea, conscient du poids des choix qui se jouaient Ă  cet instant prĂ©cis.

Reyes attendait prĂšs des terrains, vĂȘtu d’un costume impeccable, son regard de prĂ©dateur scrutant chaque mouvement de l’entraĂźneur portugais. Il sourit en le voyant approcher, un sourire froid et menaçant.

« Anibal, » commença Reyes d’une voix mielleuse, « tu es un homme tĂȘtu. C’est une qualitĂ© que j’apprĂ©cie, mais mĂȘme les hommes les plus forts finissent par plier
 ou disparaĂźtre. »

Anibal le toisa, les mĂąchoires serrĂ©es. « Si tu es venu pour me faire peur, Reyes, sache que c’est peine perdue. »

Le sourire de Reyes s’élargit, mais ses yeux restĂšrent de glace. « La peur n’est pas le but. Le contrĂŽle, oui. Ta femme, ton enfant Ă  venir, mĂȘme ce club
 tout peut disparaĂźtre en un claquement de doigts. Alors, sois raisonnable. »

Anibal sentit sa colĂšre bouillonner, mais il savait que perdre son sang-froid ne servirait Ă  rien. Il pensa Ă  Yessica, Ă  leur fille qui venait de naĂźtre, et Ă  la vie qu’il voulait leur offrir. Il pensa Ă  tous les sacrifices qu’il avait dĂ©jĂ  faits. Mais mĂȘme dans cette spirale de terreur, il ne se voyait pas plier.

Reyes se pencha vers Anibal, son visage Ă  quelques centimĂštres du sien. « ConsidĂšre ceci comme un avertissement final. Il n’y aura pas de seconde chance. »

Avant qu’Anibal ne puisse rĂ©pondre, des hommes de la Policia Federal et du Comando Vermelho s’approchĂšrent, les armes prĂȘtes, forçant Reyes et ses hommes Ă  reculer. Mais le mal Ă©tait fait. Anibal savait que cette rencontre n’était qu’un prĂ©lude Ă  ce qui pourrait arriver s’il continuait Ă  rĂ©sister.

Alors qu’il retournait Ă  son bureau, Anibal sentit le poids de l’échec et de la vulnĂ©rabilitĂ©. MĂȘme s’il refusait de cĂ©der, combien de temps pourrait-il encore tenir ? Ses convictions vacillaient, mais son amour pour sa famille et son dĂ©sir de protĂ©ger ceux qu’il aimait restaient ses seuls boucliers dans cette guerre silencieuse mais mortelle.

Yessica, qui l’attendait chez eux, le regarda revenir avec une tristesse qu’elle ne parvenait plus Ă  cacher. « Jusqu’oĂč devrons-nous aller, Anibal ? » demanda-t-elle, des larmes aux yeux.

Anibal la prit dans ses bras, le cƓur lourd. « Jusqu’à ce qu’ils comprennent que nous ne nous rendrons jamais. » Mais au fond de lui, il savait que les prochains jours dĂ©cideraient de tout : de leur survie, de son avenir, et peut-ĂȘtre mĂȘme de leur bonheur.

- Chapitre 407 -
- Statistiques de fin de saison -
- Chapitre 409 -
Coming SOON - 06/12
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courage , faut résister
y a une bonne protection, qu’ils fassent leur boulot !

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RĂ©cit Ă©pique, stats Ă©pique, palmarĂšs Ă©pique :fire:

Visiblement, on se rapproche toujours plus vers le dénouement !

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Une balle dans sa sale gueule et c’est tout. Ça montrera Ă  tout le monde que Reyes Ă©tait une merde et qu’il ne faut pas provoquer un pĂšre de famille qui ne fait rien de mal.

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J’ai ton homme

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Ça sent la fin de l’axe sud-amĂ©ricain

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RĂ©ponses aux lecteurs

@celiavalencia Mais y’a t’il un intĂ©rĂ©t rĂ©el Ă  se battre ici ?

@alexgavi merci frérot. on approche on approche. Enfin tout dépends de quel dénouement tu parles.

@gwendil35 :pasrire: Si c’était si simple.

@Tiien Un cavalier qui surgit hors de la nuiiiiitttttt. Oh wait je me suis trompé de Z.

@Sythax ou pas :sac:

- La pression monte sur Palmeiras -

Le ciel d’Europe Ă©tait gris, lourd, et chargĂ© de ce froid piquant typique de la fin de l’annĂ©e. Anibal GuimarĂŁes, emmitouflĂ© dans un manteau long, profitait des fĂȘtes en famille, un moment prĂ©cieux qu’il n’avait pas goĂ»tĂ© depuis des annĂ©es. Autour de lui, ses proches s’affairaient Ă  prĂ©parer un rĂ©veillon chaleureux, et des Ă©clats de rires s’élevaient de la piĂšce voisine. Pourtant, malgrĂ© l’atmosphĂšre festive, Anibal ne parvenait pas Ă  trouver la paix intĂ©rieure.

Il observait Yessica, sa femme, et Beatriz, leur petite fille, assises sur un tapis Ă©pais, riant aux Ă©clats alors qu’elles jouaient ensemble. L’image aurait dĂ» lui rĂ©chauffer le cƓur, mais elle ne faisait qu’accentuer l’inquiĂ©tude profonde qui le rongeait. Le BrĂ©sil Ă©tait dĂ©sormais loin, mais les ombres de son passĂ©, notamment celles d’Ezekiel Reyes et du cartel Gallindo, n’avaient pas totalement disparu de son esprit.

En parallĂšle, Palmeiras continuait de maintenir le contact avec son entraĂźneur prodige. Anibal Ă©changeait rĂ©guliĂšrement avec Gabriel Jesus, le directeur sportif, ainsi qu’avec Saldanha, son adjoint et successeur dĂ©signĂ©. Le club, aprĂšs avoir tout remportĂ© cette saison, rĂȘvait de prolonger la magie. Ils espĂ©raient qu’Anibal puisse rempiler pour une saison supplĂ©mentaire afin de solidifier leur dynastie footballistique. Mais dans chaque appel, chaque rĂ©union virtuelle, le coach portugais semblait distant, comme si son esprit et ses ambitions l’avaient dĂ©jĂ  emmenĂ© ailleurs.

La presse brĂ©silienne relayait ces doutes et spĂ©culations, tandis que les supporters de Palmeiras, dĂ©sireux de maintenir leur rĂšgne, exprimaient leur crainte de voir leur “Imperatore” s’éloigner dĂ©finitivement. Pendant ce temps, des bruits inquiĂ©tants parcouraient le globe : les tabloĂŻds portugais avaient rĂ©vĂ©lĂ© que Yessica et Beatriz avaient quittĂ© le BrĂ©sil pour de bon, cherchant une stabilitĂ© et une sĂ©curitĂ© que leur ancienne demeure ne pouvait plus offrir.

Anibal, de son cĂŽtĂ©, avait du mal Ă  se concentrer pleinement sur le prĂ©sent. Il n’avait jamais Ă©tĂ© du genre Ă  se reposer sur ses lauriers. L’adrĂ©naline de la compĂ©tition, le besoin de se mesurer aux plus grands dĂ©fis, c’était ce qui le dĂ©finissait. Et c’est lĂ  que l’Égypte entrait en scĂšne, un pays qui avait rĂ©cemment fait battre son cƓur plus vite. D’aprĂšs des sources proches de son entourage, Al-Jazira rapportait que le coach portugais serait en discussions avancĂ©es avec un club Ă©gyptien majeur, sans doute Al Ahly ou Zamalek, pour un projet de trois saisons visant Ă  conquĂ©rir la Ligue des Champions africaine.

Cette perspective enflammait son ambition. Gagner une Ligue des Champions sur un nouveau continent, marquer l’histoire en gravant son nom sur un autre territoire lĂ©gendaire
 c’était une aventure irrĂ©sistible. Anibal avait dĂ©jĂ  laissĂ© son empreinte en Europe et en AmĂ©rique du Sud, et l’Afrique semblait ĂȘtre le prochain chapitre d’une carriĂšre riche en rebondissements.

Un soir, assis seul sur une terrasse recouverte de givre, Anibal passa un appel vidéo avec Gabriel Jesus. Le directeur sportif de Palmeiras tentait une derniÚre fois de le convaincre.

« Anibal, on a besoin de toi. La saison prochaine, on peut encore tout gagner, on peut bĂątir un hĂ©ritage jamais vu. Saldanha est prĂȘt Ă  apprendre encore une annĂ©e Ă  tes cĂŽtĂ©s, les joueurs te respectent plus que jamais
 », plaida Gabriel, son visage crispĂ© par l’angoisse.

Anibal Ă©couta attentivement, ses traits calmes mais son regard ailleurs. « Je comprends, Gabriel, vraiment. Palmeiras est devenu une part de moi. Mais ma famille
 » Il s’interrompit, la voix brisĂ©e. « Ma famille ne se sent plus en sĂ©curitĂ©. Et je dois aussi penser Ă  moi, Ă  ce qui reste Ă  accomplir dans ma carriĂšre. »

Il y eut un silence, lourd, douloureux. Gabriel hocha la tĂȘte, comprenant l’ampleur de la situation. « Fais ce que tu dois faire, Ani. On te soutiendra toujours, quoi que tu dĂ©cides. »

Une fois l’appel terminĂ©, Anibal rentra dans la maison. Yessica l’attendait, inquiĂšte. Elle s’approcha de lui, posa une main douce sur sa joue. « Qu’est-ce que tu vas faire ? »

Il la regarda, ses yeux reflĂ©tant le poids de ses responsabilitĂ©s. « Je pense que c’est le moment, Yessica. Le BrĂ©sil, c’est terminĂ©. L’Afrique m’appelle, l’Asie aussi, et peut-ĂȘtre que lĂ -bas, je pourrais enfin trouver un peu de paix
 tout en continuant de vivre ma passion. »

Elle hocha la tĂȘte, le cƓur lourd mais comprĂ©hensive. « OĂč que tu ailles, on te suivra. Mais promets-moi
 promets-moi qu’on restera ensemble, en sĂ©curitĂ©. »

Anibal la serra contre lui, conscient que chaque dĂ©cision qu’il prenait avait des consĂ©quences bien au-delĂ  du football. Sa carriĂšre l’avait conduit dans des recoins lumineux mais aussi sombres du globe, et il espĂ©rait que ce nouveau chapitre lui apporterait la sĂ©rĂ©nitĂ© qu’il recherchait dĂ©sespĂ©rĂ©ment. Les prochaines semaines seraient dĂ©cisives, mais pour la premiĂšre fois depuis longtemps, il se sentait prĂȘt Ă  affronter ce qui l’attendait, oĂč que cela soit.

- Chapitre 408 -
- L’intimidation de trop ? -
- Chapitre 410 -
Coming SOON - 23/04
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Alors en Asie, on va voir dĂ©barquer les Yakusa et en Afrique Jordan Bardella
 ah non, ça c’est pas possible :rofl:
L’Asie serait pas mal, mais le souci, sa rĂ©putation d’entraineur risque de prendre un coup dans l’aile

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C’est plus Wagner et Xi Jinping plutît, pour l’Afrique
 :sac:

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Une ambition de tour du monde footballistique ?

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Un nouveau continent pour une nouvelle aventure ! En espĂ©rant qu’il s’éloigne pour de bon de l’autre tocard !

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