:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

Mon dieu mais quel suspense !!!

1 « J'aime »

Gagner sur tous les continents serait Ă©norme ! Si ça peut l’éloigner de Reyes au passage :relieved:

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@Tiien Oh non pas Bardella :pasrire: On verra bien ce que l’avenir rĂ©serve au coach.

@gwendil35 je sais pas si c’est mieux :sac:

@Sythax oui et non, plus l’envie de suivre un peu le scĂ©nario que j’avais en tĂȘte.

@CaptainAmericka C’est sur que c’est peut etre le plus simple pour s’éloigner.

@VertPourToujours :hoho:

@alexgavi ce sera pas possible je crois que certains sont pas actifs.

- Anibal quitte le Brésil invaincu -

Les discussions avaient Ă©tĂ© longues, pesantes, et les rĂ©flexions intenses. Anibal GuimarĂŁes, assis dans son bureau Ă  l’intĂ©rieur de la villa ultra-sĂ©curisĂ©e de Vianense, sentait la fin d’une Ăšre approcher. L’air froid de l’hiver se mĂ©langeait Ă  la nostalgie qui l’habitait en pensant Ă  cette annĂ©e passĂ©e Ă  la tĂȘte de Palmeiras, oĂč il avait tout remportĂ©, oĂč il avait vĂ©cu des moments inoubliables malgrĂ© les pressions, les menaces et les dĂ©fis.

Le premier coup de tĂ©lĂ©phone qu’il passa ce soir-lĂ , Ă  l’approche des fĂȘtes de NoĂ«l, fut destinĂ© Ă  Saldanha, son adjoint et son successeur dĂ©signĂ©. Le jeune entraĂźneur, dont Anibal avait Ă©tĂ© le mentor, dĂ©crocha rapidement, la voix pleine d’énergie. Il n’avait aucune idĂ©e de ce qui allait suivre.

« Ani ! Tu as des nouvelles pour moi ? » demanda Saldanha, le ton jovial.

Anibal prit une profonde inspiration. « Saldanha
 Je voulais te dire que j’ai pris ma dĂ©cision. Je vais quitter Palmeiras. »

Il y eut un silence Ă  l’autre bout de la ligne, un moment suspendu. Anibal s’empressa de continuer : « Je suis tellement fier de ce qu’on a accompli ensemble. Tu es prĂȘt. Je n’ai aucun doute que tu continueras Ă  faire briller ce club. Le travail que nous avons mis en place
 c’est entre de bonnes mains avec toi. »

Saldanha, un peu Ă©branlĂ©, finit par rĂ©pondre, sa voix lĂ©gĂšrement tremblante d’émotion. « Je
 Je ne sais pas quoi dire. Tu as Ă©tĂ© plus qu’un mentor, Ani. Mais je promets de continuer Ă  honorer ce qu’on a bĂąti ici. »

Un sourire triste se dessina sur les lĂšvres d’Anibal. « Je sais que tu le feras. Fais en sorte que Palmeiras reste invincible, que cette annĂ©e ne soit que le dĂ©but de quelque chose de plus grand. »

Anibal savait que la prochaine conversation serait tout aussi difficile. Il composa le numĂ©ro de Gabriel Jesus, le directeur sportif qui avait Ă©tĂ© son bras droit tout au long de cette saison magique. Gabriel dĂ©crocha rapidement, conscient que cet appel Ă©tait celui qu’il attendait depuis des jours.

« Gabriel, j’ai pris ma dĂ©cision, » commença Anibal d’une voix posĂ©e. « Je vais partir. Je ne continuerai pas Ă  Palmeiras. »

Gabriel resta un instant sans voix. « Je m’y attendais un peu
 mais ça fait toujours mal de l’entendre, » avoua-t-il, sa voix emplie de regret.

Anibal poursuivit, sincĂšre : « Je veux que tu saches que ça n’a rien Ă  voir avec le club, ni avec toi. J’ai adorĂ© cette annĂ©e, vraiment. C’était exceptionnel. Mais
 les menaces, le stress, l’insĂ©curité  je dois prendre soin de ma famille, surtout avec ma fille maintenant. »

Gabriel soupira, comprenant. « Je respecte ta dĂ©cision, Ani. Tu as sacrifiĂ© beaucoup, plus que ce que la plupart des gens savent. Mais
 tu as dĂ©jĂ  des plans ? »

Anibal hocha la tĂȘte, bien que Gabriel ne puisse le voir. « Je n’irai pas en AmĂ©rique, ni Ă  Boca Juniors, ni en MLS, malgrĂ© leurs offres. Mon avenir
 il se trouve sĂ»rement en Afrique ou en Asie. Des horizons diffĂ©rents, de nouveaux dĂ©fis. »

Un silence rĂ©gna de nouveau, avant que Gabriel ne reprenne, Ă©mu : « Merci, Anibal. Pour tout. Pour cette annĂ©e invincible, pour ta passion, ton investissement. Tu resteras toujours un symbole pour Palmeiras, quoi qu’il arrive. »

AprĂšs avoir raccrochĂ©, Anibal sentit une vague de soulagement et de tristesse Ă  la fois. Son aventure avec Palmeiras avait Ă©tĂ© une montagne russe d’émotions, un succĂšs indĂ©niable, mais il Ă©tait temps de partir, de tourner la page. Il se tenait debout, dans son bureau, contemplant une photo de l’équipe soulevant le trophĂ©e de la Copa Libertadores, et il ne put s’empĂȘcher de sourire.

Sa femme, Yessica, entra doucement dans la piĂšce, leur fille Beatriz endormie dans ses bras. Elle le regarda, lisant dans ses yeux l’émotion du moment. « Tu as pris ta dĂ©cision ? » murmura-t-elle.

Il hocha la tĂȘte, posant un regard tendre sur sa famille. « Oui. Il est temps de partir, mais je suis prĂȘt pour ce qui nous attend. »

Yessica s’approcha de lui, un sourire de soutien sur le visage. « Tant que nous sommes ensemble, Ani. »

Il l’embrassa sur le front, sentant la chaleur et la stabilitĂ© qu’elle apportait dans sa vie. Les prochaines semaines seraient dĂ©cisives, mais pour l’instant, Anibal voulait savourer ces instants prĂ©cieux, ces moments oĂč tout semblait encore possible, mĂȘme au milieu des incertitudes. L’avenir l’attendait, et avec lui, de nouveaux dĂ©fis, de nouveaux horizons, et, il l’espĂ©rait, la paix qu’il recherchait depuis si longtemps.

- Chapitre 409 -
- la pression monte sur palmeiras-
- Chapitre 411 -
Coming SOON - 08/12
9 « J'aime »

Ou va-t-il atterrir ? Quelles merdes vont encore lui tomber dessus ?

1 « J'aime »

Égypte, Arabie Saoudite, Japon ???

1 « J'aime »

le japon ! le japon !

World Cup Football GIF by FIFA

2 « J'aime »

Bon, on comprend que ça sera soit l’Asie soit l’Afrique
 Peu mieux faire comme destination mais bon.

En tout cas, plutĂŽt Ă©mouvant de le voir quitter un club qui l’idolĂątre et l’aime au-delĂ  de tout.

1 « J'aime »

Il va rester en Amérique du Sud :smirk:

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@Sythax je ne saurais te dire (en fait si mais chut :sac:) Il va peut ĂȘtre enfin vivre normalement :sac:

@VertPourToujours Peut ĂȘtre qu’un de ces pays sera le bon. Qui sait :hoho:

@celiavalencia idée intéressante.

@CaptainAmericka Il peut toujours pas rentrer en Europe donc soit il continue en AmĂ©rique du Sud oĂč il a tout gagnĂ© dans deux pays, soit il va en Afrique, Asie, OcĂ©anie, Moyen-Orient. Sachant que l’Am Nord c’est un peu KO.

@toopil et pourquoi pas mais oĂč ?

- Pas de MLS pour Anibal -

Anibal GuimarĂŁes passait des journĂ©es entiĂšres Ă  peser ses options, un mĂ©lange d’ambition et de prudence pesant lourdement sur ses Ă©paules. InstallĂ© dans le calme relatif de sa villa en Europe, il pensait Ă  toutes les discussions qu’il avait eues avec des franchises de la Major League Soccer (MLS) : Atlanta United et Los Angeles FC avaient Ă©tĂ© les plus insistantes, proposant des projets sĂ©duisants.

Les promesses d’un football en plein essor, d’infrastructures modernes, et de la sĂ©curitĂ© qu’il recherchait pour sa famille s’étaient alignĂ©es avec ses propres ambitions de conquĂȘte. Mais il savait au fond de lui que malgrĂ© l’attrait de ces propositions, la situation actuelle ne lui permettait pas de rester sur le continent amĂ©ricain.

La dĂ©cision de quitter les AmĂ©riques ne venait pas sans sacrifices. Les menaces d’Ezekiel Reyes, la tension palpable autour de sa sĂ©curitĂ© et celle de ses proches, l’avaient poussĂ© Ă  considĂ©rer des territoires plus sĂ»rs. Pourtant, la rumeur de son arrivĂ©e imminente en MLS s’était rĂ©pandue comme une traĂźnĂ©e de poudre dans la presse amĂ©ricaine. Les spĂ©culations s’étaient intensifiĂ©es, certains mĂ©dias allant mĂȘme jusqu’à annoncer un contrat de plusieurs annĂ©es dĂ©jĂ  bouclĂ©, ne laissant Ă  Anibal qu’à signer sur la ligne pointillĂ©e pour dĂ©buter cette nouvelle aventure.

Le bruit de la “propagande” mĂ©diatique devenait assourdissant, et les fans d’Atlanta United s’étaient mis Ă  rĂȘver de voir le tacticien portugais sur leur banc. L’idĂ©e d’avoir un coach de la stature d’Anibal, avec son hĂ©ritage de succĂšs europĂ©en et sud-amĂ©ricain, avait fait briller les yeux des supporters. Les discussions dans les forums et les rĂ©seaux sociaux se multipliaient, et les journalistes accouraient aux confĂ©rences de presse du prĂ©sident d’Atlanta pour obtenir des confirmations.

Cependant, tout ce battage mĂ©diatique prit fin de maniĂšre brutale quelques jours avant NoĂ«l. Lors d’une confĂ©rence de presse attendue, le prĂ©sident d’Atlanta United, Matthew Goldstein, mit les choses au clair. D’un ton ferme, il coupa court aux rumeurs : « Je comprends l’excitation et l’intĂ©rĂȘt autour de l’idĂ©e de voir Anibal GuimarĂŁes ici, mais il est temps de clarifier les faits. La piste Anibal est close depuis plusieurs mois. Nous avons discutĂ©, certes, et nous Ă©tions enthousiasmĂ©s par cette possibilitĂ©. Mais il est important de comprendre que la Major League Soccer a refusĂ© l’homologation de tout contrat potentiel avec lui, et ce, malgrĂ© la dĂ©cision de la CONCACAF de l’autoriser Ă  entraĂźner en AmĂ©rique du Nord. »

Le dĂ©menti fut un choc pour les fans, qui n’avaient jamais imaginĂ© que les problĂšmes administratifs puissent se dresser en obstacle insurmontable. La MLS, dans sa position de ligue stricte sur la question des licences et des qualifications, avait prĂ©fĂ©rĂ© prendre des prĂ©cautions supplĂ©mentaires, refusant de valider la candidature d’Anibal en raison des sanctions europĂ©ennes qui continuaient de peser sur lui.

Pour Anibal, ce fut un coup dur, mais il s’était prĂ©parĂ© Ă  cette issue. Il regarda la retransmission de la confĂ©rence de presse dans son salon, un mĂ©lange de soulagement et de dĂ©ception gravĂ© sur son visage. Yessica, sa femme, Ă©tait Ă  ses cĂŽtĂ©s, posant une main rĂ©confortante sur son Ă©paule.

« Tu avais dĂ©jĂ  pris ta dĂ©cision, Ani, » murmura-t-elle doucement, cherchant Ă  apaiser son cƓur. « Tu savais que l’AmĂ©rique ne serait pas pour nous. »

Il hocha la tĂȘte, pensif. « C’est vrai. Mais j’espĂ©rais que ça se fasse proprement, sans ce genre de dĂ©nouement. » Anibal soupira, pensant Ă  tous ces fans qui avaient placĂ© tant d’espoir en lui, Ă  toutes les promesses qu’il n’avait jamais pu faire mais qui avaient Ă©tĂ© projetĂ©es sur lui malgrĂ© tout.

Dans les jours qui suivirent, la presse amĂ©ricaine se calma, et les spĂ©culations cessĂšrent. Atlanta United et les autres franchises de MLS se mirent en quĂȘte d’autres options pour leur poste d’entraĂźneur. Anibal, quant Ă  lui, devait rĂ©orienter ses pensĂ©es et ses efforts. Si l’AmĂ©rique du Nord s’était refermĂ©e comme une porte trop sĂ©curisĂ©e pour lui, d’autres horizons, comme l’Afrique et l’Asie, se dessinaient en arriĂšre-plan. Le coach portugais savait que l’avenir restait incertain, mais il Ă©tait dĂ©terminĂ© Ă  ne jamais perdre de vue ce qui l’avait portĂ© jusque-lĂ  : sa passion pour le football et la volontĂ© de toujours chercher de nouveaux dĂ©fis, mĂȘme dans les contextes les plus complexes.

- Chapitre 410 -
- Anibal quitte le brésil invaincu -
- Chapitre 127 -
Coming SOON - 08/12
9 « J'aime »

Le Mexique? :sac:

2 « J'aime »

Quel dommage pour la MLS, il y aurait eu du spectacle !

1 « J'aime »

Le Mexique est trop prĂšs de la Colombie et au niveau sĂ©curitĂ© ça se pose la


1 « J'aime »

Pour la MLS il fallait s’y attendre

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@toopil si une offre arrive peut ĂȘtre mais ça semble compliquĂ©.

@CaptainAmericka c’est sĂ»r que ça aurait pu ĂȘtre cool.

@VertPourToujours C’est un peu l’idĂ©e oui.

- Match Ă  trois pour Anibal ! -

AprĂšs avoir conquis l’AmĂ©rique du Sud avec Palmeiras et signĂ© une saison invincible qui restera gravĂ©e dans les annales du football, Anibal GuimarĂŁes est Ă  un tournant crucial de sa carriĂšre. En pleine pĂ©riode de rĂ©flexion, trois clubs se battent Ăąprement pour arracher la signature du tacticien portugais : Zamalek en Égypte, les Orlando Pirates en Afrique du Sud, et le MC Alger en AlgĂ©rie.

Dans un bal de dĂ©clarations et de spĂ©culations mĂ©diatiques, chaque prĂ©tendant tente de vanter ses mĂ©rites et de sĂ©duire Anibal, qui a jusqu’ici soigneusement Ă©vitĂ© de dĂ©voiler ses intentions. Du cĂŽtĂ© de Zamalek, l’offre semble claire : un projet ambitieux visant Ă  reconquĂ©rir la Ligue des Champions de la CAF avec un effectif expĂ©rimentĂ© et des infrastructures modernes. Les dirigeants Ă©gyptiens insistent sur leur capacitĂ© Ă  offrir Ă  Anibal un environnement professionnel de haut niveau, compatible avec sa rĂ©putation d’excellence tactique.

Les Orlando Pirates, quant Ă  eux, proposent un dĂ©fi tout aussi excitant mais plus axĂ© sur le dĂ©veloppement. Avec une fanbase passionnĂ©e et des ressources financiĂšres en pleine croissance, le club sud-africain veut se positionner comme une rĂ©fĂ©rence continentale et voit en Anibal l’homme idĂ©al pour mener cette transformation. Enfin, le MC Alger mise sur l’aspect sentimental et historique. Le club algĂ©rien, en quĂȘte de renouer avec son glorieux passĂ©, propose Ă  Anibal un rĂŽle central dans un projet qui mĂȘlerait succĂšs sportif et rayonnement culturel. Avec une base de supporters enflammĂ©s et un marchĂ© du football algĂ©rien en pleine mutation, les dirigeants espĂšrent convaincre Anibal que c’est Ă  Alger qu’il pourra laisser une empreinte indĂ©lĂ©bile.

MalgrĂ© l’agitation mĂ©diatique, Anibal, fidĂšle Ă  sa mĂ©thode, reste silencieux et garde ses cartes prĂšs de la poitrine. Selon des sources proches de son entourage, il Ă©tudie avec attention chaque proposition, pesant soigneusement les aspects sportifs, financiers, et surtout humains de chaque projet.

La presse portugaise, toujours avide de nouvelles concernant l’enfant prodige, rapporte qu’Anibal privilĂ©gie un projet qui lui permettra de se concentrer pleinement sur le football tout en garantissant la sĂ©curitĂ© de sa famille. Ce facteur est devenu central dans ses dĂ©cisions depuis ses expĂ©riences mouvementĂ©es en Colombie et au BrĂ©sil.

Alors que les spĂ©culations vont bon train, une prise de parole d’Anibal est attendue lors du prochain gala de la CONMEBOL, oĂč il pourrait recevoir plusieurs distinctions en reconnaissance de son travail avec Palmeiras et de son influence sur le football sud-amĂ©ricain.

Les mĂ©dias anticipent que cette soirĂ©e pourrait ĂȘtre le moment choisi par Anibal pour clarifier son avenir. Mais le tacticien portugais pourrait tout aussi bien dĂ©cider de faire durer le suspense.

Quel que soit le club choisi, une chose est certaine : l’arrivĂ©e d’Anibal GuimarĂŁes sera un Ă©vĂ©nement marquant pour son futur employeur. Avec son palmarĂšs impressionnant et sa rĂ©putation de bĂątisseur, il est l’homme qui peut transformer un club en puissance continentale. Mais pour l’heure, le coach portugais savoure la libertĂ© de son statut et prend le temps de choisir la prochaine Ă©tape de son incroyable parcours.

En attendant, la lutte entre Zamalek, les Orlando Pirates, et le MC Alger ne fait que renforcer l’idĂ©e qu’Anibal est l’un des entraĂźneurs les plus convoitĂ©s de sa gĂ©nĂ©ration.

- Chapitre 411 -
- Pas de MLS pour Anibal -
- Chapitre 413 -
Coming SOON - 08/12
10 « J'aime »

Si c’est la sĂ©curitĂ© qui est au premier plan dans le choix d’Anibal, je ne le vois pas aller en Afrique du Sud ou en Égypte

l’AlgĂ©rie pourrait ĂȘtre un bon choix avec sa proximitĂ© avec l’Europe, mais cela donne quand mĂȘme l’impression d’une grosse baisse d’ambition aprĂšs ses derniers clubs 


1 « J'aime »

Le MC Alger veut juste se faire un coup de pub!

2 « J'aime »

C’est Ă  dire que l’AmĂ©rique du Sud Ă©tait dĂ©jĂ  trĂšs faible pour lui, lĂ , c’est le mode amateur qui l’attend !

2 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@Manthyz C’est complexe il doit analyser toutes les offres qu’il peut avoir ou ne pas avoir. L’ambition est là, mais son parcours reste complexe.

@toopil C’est probable oui.

@CaptainAmericka EspĂ©rons qu’il reste pro alors :hoho:

- Anibal en plein doute -

InstallĂ© dans le calme de leur rĂ©sidence portugaise, Anibal GuimarĂŁes passait de longues heures Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  son avenir. Sa femme, Yessica, observait son mari avec une attention mĂȘlĂ©e d’inquiĂ©tude et de comprĂ©hension. Depuis leur retour en Europe aprĂšs une annĂ©e intense et mouvementĂ©e au BrĂ©sil, le coach portugais semblait tiraillĂ© entre plusieurs sentiments : fiertĂ© pour ses accomplissements rĂ©cents, lassitude face aux dĂ©fis constants, et envie de stabilitĂ© pour leur famille, dĂ©sormais agrandie par la petite Beatriz.

En fin d’aprĂšs-midi, alors qu’ils prenaient un cafĂ© dans le jardin ensoleillĂ©, Anibal finit par rompre le silence qui pesait depuis des jours.

“Yessica, je ne sais plus quoi faire
” lĂącha-t-il d’une voix fatiguĂ©e. “J’ai l’impression que je cours sans cesse derriĂšre des dĂ©fis, mais Ă  quoi bon si je ne peux pas en profiter pleinement avec vous ?”

Yessica posa sa tasse et attrapa doucement la main de son mari. “Ani, tu n’es pas obligĂ© de te prĂ©cipiter. Regarde tout ce que tu as accompli. Peut-ĂȘtre que le moment est venu de lever le pied, de prendre du recul.”

Anibal hocha la tĂȘte, mais son regard trahissait son trouble. “J’y pense, crois-moi. Dix-huit mois, juste pour moi, pour toi, pour Beatriz. Mais
 et si je perdais mon Ă©lan ? Si les offres ne revenaient pas aprĂšs ? J’ai peur de tomber dans l’oubli.”

Yessica sourit doucement, consciente de l’importance de son rĂŽle dans ce moment charniĂšre. “Ani, tu es Anibal GuimarĂŁes. Le monde du football ne t’oubliera pas parce que tu prends un peu de temps pour toi. Et puis, ces dix-huit mois, tu peux les mettre Ă  profit pour te former, pour rĂ©flĂ©chir Ă  des projets, ou mĂȘme pour Ă©crire tes mĂ©moires.”

Les mots de sa femme apaisĂšrent quelque peu Anibal, mais il restait hantĂ© par une question. “Mais si je pars, Yessica, qui aidera ces jeunes talents Ă  grandir ? Qui continuera ce que j’ai toujours voulu construire ?” Yessica haussa lĂ©gĂšrement les Ă©paules avant de poser une main rassurante sur l’épaule de son mari. “Ani, tu as dĂ©jĂ  laissĂ© une empreinte Ă©norme partout oĂč tu es passĂ©. Valladolid, Envigado, Palmeiras
 Ils s’en souviendront toujours. Et ces jeunes dont tu t’inquiĂštes tant, ils ont maintenant des bases solides grĂące Ă  toi. Tu mĂ©rites aussi de penser Ă  toi, et Ă  nous.”

Alors que la nuit tombait, Anibal resta assis dans le jardin, plongĂ© dans ses pensĂ©es. L’idĂ©e d’une annĂ©e sabbatique Ă©tait sĂ©duisante, mais elle ne lui venait pas naturellement. Il avait l’habitude de se battre, de courir aprĂšs des objectifs, de jongler avec la pression. S’arrĂȘter, mĂȘme temporairement, ressemblait Ă  une montagne Ă  gravir.

Mais la perspective de profiter pleinement de Yessica et de leur petite fille pesait de plus en plus lourd dans la balance. AprĂšs tout, depuis qu’il Ă©tait entrĂ© dans le monde du football professionnel, il n’avait jamais eu de vĂ©ritable pause. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le moment de s’accorder ce luxe, pour revenir plus fort, plus serein, et prĂȘt pour un nouveau chapitre, oĂč qu’il puisse se situer.

Anibal savait que la dĂ©cision ne pourrait pas attendre indĂ©finiment. Les offres continuaient Ă  affluer, et les attentes autour de son nom ne faisaient qu’ajouter Ă  la pression. Mais ce soir-lĂ , pour la premiĂšre fois depuis longtemps, il se permit de ne pas avoir toutes les rĂ©ponses.

Il tourna son regard vers Yessica et Beatriz, endormies dans la quiĂ©tude de leur maison. Peut-ĂȘtre que pour l’instant, la seule chose Ă  faire Ă©tait de savourer ce moment de paix, en attendant que le chemin Ă  suivre s’éclaire de lui-mĂȘme.

- Chapitre 412 -
- Match Ă  trois pour Anibal -
- Chapitre 414 -
Coming SOON - 09/12
13 « J'aime »

18 mois de pause, cela pourrait faire effectivement du bien Ă  Anibal, ne serait-ce que pour profitez un peu de la vie, de sa famille et recharger les batteries !!
Et pour le reste, aucun problĂšme, Zidane ça fait trois ans qu’il ne bosse pas et pourtant on parle de lui dĂšs qu’un gros club vire son coach, donc vu son palmarĂšs, aucun risque qu’Anibal ne soit pas sollicitĂ© !!

1 « J'aime »

Faut qu’il se reprenne Anibal. La paternitĂ© c’est bien mais nous on veut le voir casser des culs dans un nouveau championnat :grin:

2 « J'aime »