:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

Je rejoins @Manthyz sur Zidane. Avec le palmarùs d’Anibal, on pensera à lui dùs qu’un gros club sera disponible.

Par contre, j’ai l’impression qu’il nous fait un petit coup de blues Ă  chaque changement de club le Ani ! :joy: Faut garder la tĂȘte haute pĂ©pĂšre !

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Une année sabbatique lui fera le plus grand bien. Il pourra en profiter pour voir des matchs ou il veut, découvrir des équipes en se promenant partout dans le monde avec sa famille dans les grandes métropoles


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RĂ©ponses aux lecteurs

@Manthyz c’est sĂ»r d’autant que le soucis est surtout extrasportif avec les menaces sur sa famille. AprĂšs Zidane a pas Ă©tĂ© accusĂ© de corruption :sac:

@Rhino ça doit etre la saison, il est dĂ©pressif le boug :rofl: J’espĂšre qu’il en cassera encore :hoho:

@CaptainAmericka oui il a du mal à gérer ses émotions.

@VertPourToujours pourquoi pas en effet.

- La proposition de Ji-Sung Park -

Par une matinée tranquille dans sa maison portugaise, Anibal Guimarães reçut un appel inattendu. Le numéro affiché sur son téléphone ne lui était pas familier, mais il répondit, intrigué.

“Anibal ! C’est Ji-Sung Park.” Un large sourire se dessina sur le visage du coach portugais. Cela faisait des annĂ©es qu’il n’avait pas parlĂ© Ă  l’ancien international sud-corĂ©en, devenu agent influent et maintenant actionnaire des Ulsan Hyundai, un des clubs phares de la K-League.

“Ji-Sung ! Quelle surprise ! Que deviens-tu ?” AprĂšs un Ă©change chaleureux sur leurs souvenirs passĂ©s, notamment Ă  Vianense, oĂč Ji-Sung avait aidĂ© Anibal Ă  signer deux jeunes talents corĂ©ens, Park entra dans le vif du sujet. “Écoute, Anibal. Je vais ĂȘtre direct. Nous avons de grandes ambitions Ă  Ulsan Hyundai. Nous venons de nous qualifier pour la Ligue des champions asiatique, et nous visons le titre en championnat. Mais pour cela, il nous faut un entraĂźneur de renom, quelqu’un qui peut maximiser notre potentiel. Tu es cet homme.”

Anibal resta silencieux un instant, surpris par la proposition. “C’est flatteur, Ji-Sung. Mais tu sais, je suis en pleine rĂ©flexion sur mon avenir, et je ne suis pas sĂ»r d’ĂȘtre prĂȘt pour un contrat Ă  long terme.” L’expĂ©rimentĂ© corĂ©en ne lĂącha pas et tenta de jouer sur la fibre sentimental pour convaincre le coach. “Je comprends. Mais tu devrais venir visiter nos installations. Viens rencontrer notre prĂ©sident, voir notre vision. Je suis certain que cela te parlera. On a un projet qui pourrait vraiment te sĂ©duire.”

TouchĂ© par l’insistance et la sincĂ©ritĂ© de son ancien ami, Anibal accepta.

Quelques jours plus tard, Anibal atterrit Ă  Ulsan. Ji-Sung l’accueillit Ă  l’aĂ©roport, souriant et enthousiaste. La visite commença rapidement, et Anibal fut impressionnĂ© par les infrastructures modernes du club. Le centre d’entraĂźnement Ă©tait digne des plus grands clubs europĂ©ens, et le stade Ă©tait une vĂ©ritable cathĂ©drale du football asiatique. “On ne plaisante pas ici, Anibal,” expliqua Ji-Sung en lui montrant les installations. “Nous avons les moyens de nos ambitions. Et crois-moi, nos fans sont passionnĂ©s. Ce serait une aventure unique.”

Anibal rencontra ensuite le prĂ©sident du club, Kim Min-Jae, un homme d’affaires charismatique et dĂ©terminĂ©. L’entretien dura prĂšs de deux heures. Kim expliqua en dĂ©tail les objectifs du club : dominer la K-League, se hisser au sommet de l’Asie, et construire une Ă©quipe capable de rivaliser avec les meilleures au Japon, en Chine et au Moyen-Orient. “Nous ne cherchons pas juste un entraĂźneur, Anibal. Nous voulons un leader, un bĂątisseur. Vous avez prouvĂ© partout oĂč vous ĂȘtes passĂ© que vous savez maximiser les talents locaux tout en crĂ©ant une culture de la victoire. Nous avons besoin de cela.”

Le contrat proposĂ© par Ulsan Hyundai Ă©tait solide : un salaire compĂ©titif, une villa sĂ©curisĂ©e pour sa famille, et des garanties sur le recrutement. Mais il y avait un bĂ©mol. Le club souhaitait un engagement d’au moins trois ans, une durĂ©e que le coach portugais hĂ©sitait Ă  accepter.

De retour Ă  son hĂŽtel aprĂšs la visite, Anibal rĂ©flĂ©chit longuement. Yessica, restĂ©e au Portugal, fut la premiĂšre qu’il appela. Anibal lui raconta sa visite “Les installations sont incroyables, Yessica. Tout est moderne, bien pensĂ©. C’est un projet excitant.” Yessica sentant que son intonation cachait quelque chose tenta d’en savoir plus. “Et toi, qu’en penses-tu vraiment ?” demanda-t-elle. Anibal expliqua alors ses doutes “C’est lĂ  que je suis bloquĂ©. Ils veulent un engagement long. Trois ans. Je ne sais pas si je peux me projeter aussi loin, surtout aprĂšs tout ce qu’on a vĂ©cu rĂ©cemment.”

Yessica prit un instant pour rĂ©flĂ©chir avant de rĂ©pondre. “Tu sais que je te soutiendrai quoi que tu dĂ©cides. Mais pense Ă  nous. La CorĂ©e est relativement saine et sĂ©curisĂ©, cela nous changerait et le systĂšme Ă©ducatif est assez rĂ©putĂ©. Cela pourrait ĂȘtre enrichissant pour nous Ani"

Le lendemain, Anibal reprit son vol pour le Portugal, laissant Ji-Sung et le prĂ©sident d’Ulsan dans l’expectative. À son retour, il se plongea dans une rĂ©flexion profonde. L’offre Ă©tait sĂ©duisante, le projet prometteur, mais la durĂ©e du contrat restait un obstacle. “Trois ans, c’est long,” confia-t-il Ă  Rafaela Pimienta, son agente qui tenta de dĂ©dramatiser. “Long, oui, mais c’est peut-ĂȘtre aussi ce qu’il te faut. Une stabilitĂ©, une chance de te poser, de construire sans avoir Ă  tout recommencer chaque saison.”

Alors qu’il pesait le pour et le contre, Anibal se promit de ne pas prendre de dĂ©cision Ă  la hĂąte. Ji-Sung avait rĂ©ussi Ă  Ă©veiller son intĂ©rĂȘt, mais il savait que ce choix pourrait ĂȘtre dĂ©terminant pour la suite de sa carriĂšre et pour sa famille. La balance penchait, mais vers quel cĂŽtĂ© ? Seul le temps le dirait.

- Chapitre 413 -
- Anibal en plein doute -
- Chapitre 415 -
Coming SOON - 09/12
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je suis pour la Corée du sud !! plus grand que les 3 derniÚres propositions !

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Il vieillit mal le garçon, il devient bougon et tatillon. C’est une offre qui lui permet effectivement de se poser et de travailler sereinement. Personnellement j’abandonnerai l’idĂ©e de l’annĂ©e sabbatique, surtout que Yasmina est partante.

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On va bien avoir un retournement de situation :slight_smile:

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Question sĂ©curitĂ©, la CorĂ©e c’est quand mĂȘme pas mal
 si tu occultes la menace du Nord !
Sur le plan sportif, ce serait une destination de qualitĂ© et pour la durĂ©e du contrat, rien n’oblige Anibal d’aller au bout !

Et sinon qu’est ce que fout une baleine derriùre lui ? :thinking:

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Et puis rien emĂȘchera dans 18 mois qu’un club europĂ©en vienne le dĂ©baucher !

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RĂ©ponses aux lecteurs

@celiavalencia trĂšs clairement c’est mon option prĂ©fĂ©rĂ©, in game j’ai l’accord avec le club, j’attends juste 1 semaine voir si j’ai mieux #RAT.

@VertPourToujours il se pose beaucoup de question. Il a besoin de calme pour reprendre confiance sur l’extra perso je pense. Yasmina c’est qui par contre ?

@Tiien pas Ă  chaque fois bro.

@Manthyz au Nord ça file droit au moins :sac: Sportivement c’est pas mal. Faut qu’Anibal arrĂȘte de vouloir tout planifier et respecter tout ses contrats :smiley: La baleine c’est un monument Ă  Ulsan, le Jangsaengpo Whale Culture Village :sac:

@Sythax tout Ă  fait.

- Anibal récompensé au Gala de la FIFA -

Le gala annuel de la FIFA Ă©tait l’un des moments les plus attendus de l’annĂ©e dans le monde du football. Zurich, scintillant sous les projecteurs, accueillait les plus grandes figures du sport. Anibal GuimarĂŁes, bien que discret ces derniers mois, Ă©tait prĂ©sent parmi les invitĂ©s d’honneur. Sa saison parfaite avec Palmeiras lui avait valu une reconnaissance continentale, et il venait recevoir le prix d’EntraĂźneur de l’annĂ©e en AmĂ©rique du Sud, dĂ©cernĂ© par la CONMEBOL ainsi que le trophĂ©e « The Best Â» de coach de l’annĂ©e.

Cependant, ce n’était pas les noms ses joueurs qui rĂ©sonnaient dans les catĂ©gories phares. Le trophĂ©e “The Best” Ă©chappa Ă  Rodrygo, l’un des piliers offensifs de son Palmeiras invincible, au profit de Lamine Yamal, dont la saison Ă©clatante avait captivĂ© l’Europe. Ivano Di Giacobbe, le gardien italien d’Arsenal passĂ© par Valladolid, fut Ă©lu Gardien de l’annĂ©e aprĂšs une saison exceptionnelle. Quant Ă  Lambertus Smet, le prodige du Bayern Munich, il repartit avec le prix de Jeune de l’annĂ©e.

Anibal ne bouda cependant pas son plaisir. Recevoir une récompense continentale et une récompense mondiale lors de ce gala mondial soulignait son influence et sa capacité à transcender les frontiÚres culturelles et sportives.

La cĂ©rĂ©monie terminĂ©e, un cocktail rassembla les invitĂ©s dans une atmosphĂšre dĂ©tendue. Au dĂ©tour d’un Ă©change, Anibal croisa ArsĂšne Wenger, l’entraĂźneur emblĂ©matique d’Arsenal. À 85 ans, Wenger rayonnait encore d’une sagesse et d’une passion intactes pour le football.

AprĂšs les salutations d’usage, Wenger aborda le sujet de la tactique et fĂ©licita Anibal pour son travail Ă  Palmeiras. “Votre Palmeiras Ă©tait un rĂ©gal pour les yeux cette annĂ©e. Vinicius Jr. et Rodrygo, ces deux-lĂ , sous vos ordres, ont brillĂ© d’une intensitĂ© rare. Je dois vous dire, la maniĂšre dont votre Ă©quipe attaquait avec autant de variations m’a rappelĂ© mes plus belles annĂ©es Ă  Arsenal.”

Anibal, flattĂ©, esquissa un sourire. “Merci, Monsieur Wenger. Votre Arsenal Ă©tait une source d’inspiration pour moi, surtout dans la fluiditĂ© offensive. Mon travail, c’est de maximiser le potentiel des joueurs, et ces garçons ont Ă©tĂ© exceptionnels. Votre annĂ©e 2004 avec un Henry Ă  son prime, une masterglass qui a façonnĂ© toute une gĂ©nĂ©ration.”

Wenger, avec son regard perspicace, sonda Anibal "Et votre avenir alors ? J’ai appris que vous aviez dĂ©missionnĂ© de Palmeiras ? Avez-vous pensĂ© au Japon ? Vous savez, j’y ai travaillĂ© avant Arsenal, et ce fut l’une des expĂ©riences les plus enrichissantes de ma carriĂšre. Leur philosophie, leur rigueur, leur discipline
 Vous pourriez y apprendre des choses incroyables pour enrichir votre palette tactique.”

Ces mots, venant d’une figure aussi respectĂ©e que Wenger, rĂ©sonnĂšrent dans l’esprit d’Anibal. L’idĂ©e de s’immerger dans une culture aussi diffĂ©rente, dans un environnement Ă  la fois exigeant et disciplinĂ©, Ă©veilla sa curiositĂ©, il avait dĂ©jĂ  rĂ©flĂ©chit Ă  l’Egypte, Ă  la CorĂ©e mais est-ce que son avenir n’était pas au Japon finalmement ?

AprĂšs la cĂ©rĂ©monie, alors qu’il discutait avec Rafaela Pimienta, son agente, il Ă©voqua cette conversation. “Rafaela, Wenger m’a parlĂ© du Japon. Je dois dire, c’est intrigant. Il a mentionnĂ© leur philosophie, leur approche. Tu sais s’il y a des opportunitĂ©s lĂ -bas ?”

Rafala ne tarda pas Ă  lui confier ses trouvailles, elle qui Ă©tudiait les offres de tout horizon. “Ça tombe bien. J’ai vu passer quelques ouvertures rĂ©cemment. Trois clubs sont actuellement en recherche : Vissel Kobe, Tokyo Verdi, et Nagoya Grampus. Ce sont de beaux projets, je crois savoir que Verdi a plus ou moins choisit Keito Nakamura l’ancien international mais
 ce serait un grand saut.”

Anibal sembla emballĂ© par ces destinations. “Peut-ĂȘtre que c’est exactement ce qu’il me faut. Une expĂ©rience pour me recentrer, loin des tumultes que j’ai connus rĂ©cemment.”

De retour dans sa chambre d’hĂŽtel, Anibal repensa longuement Ă  sa discussion avec Wenger et aux opportunitĂ©s mentionnĂ©es par Rafaela. Le Japon, un territoire inconnu, une chance d’apprendre, de grandir encore, tout en s’éloignant des pressions intenses qui avaient marquĂ© son parcours rĂ©cent.

Mais il savait que ce choix devait ĂȘtre mĂ»rement rĂ©flĂ©chi. Une dĂ©cision aussi importante ne pouvait ĂȘtre prĂ©cipitĂ©e et puis il fallait que ces clubs s’intĂ©resse Ă  lui
 Anibal dĂ©cida de prendre son temps, tout en se renseignant davantage sur ces clubs japonais. Peut-ĂȘtre que le pays du soleil levant Ă©tait l’étape suivante pour l’Imperator.

- Chapitre 414 -
- La proposition de Ji-Sung Park -
- Chapitre 416 -
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C’est son deuxiĂšme prĂ©nom

Ok je sors :sac:

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Non! SĂ©oul, c’est juste Ă  quelques kilomĂštres de la CorĂ©e du Nord, tu as la Chine qui emmerde le Monde en mer de Chine. En plus, le prĂ©sident a enclenchĂ© la loi martiale, comme ça, pour rien. Donc dĂ©finitivement, non!

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Wenger qui conseille le Japon, c’est bî

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RĂ©ponses aux lecteurs

@VertPourToujours :hoho: le con

@toopil c’est une fiction oublie Cnews :sac:

@Rhino grave. Le maestro.

- Anibal vers l’Asie -

Dans le calme de sa villa Ă  Viano do Castelo, Anibal GuimarĂŁes s’accordait un rare moment de rĂ©flexion. Depuis son dĂ©part de Palmeiras, il s’était efforcĂ© de retrouver un Ă©quilibre, profitant de sa famille tout en mĂ©ditant sur son avenir. Mais l’agitation extĂ©rieure ne cessait de croĂźtre. Les offres s’empilaient sur le bureau de son agente, Rafaela Pimienta, et la question n’était plus de savoir si Anibal allait entraĂźner, mais oĂč.

Ce matin-là, Rafaela avait décidé de clarifier les choses. Elle arriva avec un épais dossier sous le bras et un regard déterminé.

Assis Ă  la terrasse, face Ă  l’ocĂ©an Atlantique, Anibal accueillit Rafaela avec un sourire fatiguĂ©. Cette derniĂšre ne tarda pas Ă  entrer dans le vif du sujet. “Ani, il est temps de trancher. Cela fait dĂ©jĂ  quelques semaines que Zamalek et les Orlando Pirates attendent une rĂ©ponse. Ils sont impatients, et pour ĂȘtre honnĂȘte, ils commencent Ă  s’impatienter.”

Anibal savait qu’il avait fait traĂźner les choses mais en son fort intĂ©rieur, il ne se sentait pas complĂ©tement emballĂ© par ces dĂ©fis. (en hochant la tĂȘte) “Je sais. Je comprends leur enthousiasme, mais
 l’Afrique ne m’attire pas. Pas maintenant. Je respecte ces clubs, mais ce n’est pas le dĂ©fi que je recherche.”

Rafaela s’attendait Ă  cette rĂ©ponse et incita son client Ă  officialiser sa position. “C’est bien ce que je pensais. Dans ce cas, il faut leur donner une rĂ©ponse claire pour qu’on puisse avancer. Cela tombe bien, parce que j’ai autre chose Ă  te dire.”

Elle sortit un document marquĂ© du logo du club corĂ©en Ulsan Hyundai. “C’est officiel, Ani. Ulsan a commencĂ© les nĂ©gociations. Ils sont sĂ©rieux et prĂȘts Ă  faire des efforts pour te convaincre. Ils voient en toi le profil parfait pour leurs ambitions : un coach qui sait construire sur la durĂ©e tout en obtenant des rĂ©sultats immĂ©diats.”

Anibal prit le document, parcourut les premiĂšres lignes, puis le posa doucement. Si le dĂ©fi Ă©tait plaisant, la volontĂ© corĂ©enne de s’engager sur la durĂ©e effrayait un peu Anibal. Il ne se voyait pas dĂ©raciner durablement sa famille dans une culture si diffĂ©rente sans avoir pu dĂ©couvrir en amont celle-ci. “Ulsan
 Ça pourrait ĂȘtre intĂ©ressant. J’ai toujours Ă©tĂ© curieux de l’Asie, et ce club semble avoir une vraie vision. Mais, Rafaela, dis-moi, est-ce la meilleure opportunitĂ© lĂ -bas ? Leur volontĂ© de me faire signer un long contrat me fait peur. Et si ma famille ne se plait pas lĂ  bas
”

Rafaela tenta de rassurer Anibal sur le projet d’Ulsan et des conditions offertes par le club corĂ©en. “Pour l’instant, c’est la plus avancĂ©e. D’autres clubs asiatiques pourraient se manifester, mais Ulsan est un choix solide. Leur projet est ambitieux. Ils veulent dominer la K-League et briller en Ligue des champions asiatique. Et ils ont les moyens de leurs ambitions.”

Anibal se leva, les mains croisĂ©es derriĂšre le dos, et fit quelques pas en silence avant de partager son mindset avec son agent. “Tu sais, Rafaela, aprĂšs tout ce que j’ai vĂ©cu en Colombie et au BrĂ©sil, je veux un projet oĂč je peux vraiment m’immerger mais sans trop m’engager. J’ai besoin de calme. Pas de distractions, pas de drames. Juste du football. L’Asie me semble ĂȘtre ce havre de paix que je recherche. Mais est-ce que je suis prĂȘt Ă  m’engager sur trois saisons comme ça ?”

Rafaela tenta de le rassurer lui rappelant ses qualitĂ©s tout en prĂ©cisant qu’elle pouvait nĂ©gocier certains aspect avec le club corĂ©en. “Ani, repartir de zĂ©ro, c’est ce que tu fais de mieux. Et honnĂȘtement, un an en CorĂ©e pourrait ĂȘtre exactement ce qu’il te faut pour reconstruire, te recentrer et surtout montrer que tu peux t’adapter Ă  un nouveau continent. Et si vous vous plaisez lĂ  bas, peut ĂȘtre rester un peu plus longtemps. Je vais pousser la nĂ©gociation en ce sens.”

Anibal la regarda, pensif. Il se sentait compris mais souhaitait encore garder ses options ouvertes. “Je veux que tu creuses encore un peu. Assure-toi que l’offre d’Ulsan est la meilleure possible, pas seulement financiĂšrement, mais aussi en termes de conditions pour ma famille. Et reste ouverte Ă  d’autres opportunitĂ©s en Asie. Si quelque chose d’encore plus attractif se prĂ©sente, je veux ĂȘtre prĂȘt Ă  l’évaluer.”

Le soir venu, aprĂšs une longue journĂ©e de discussions, Anibal se retrouva seul avec Yessica. Alors qu’ils mettaient leur fille Beatriz au lit, il partagea ses rĂ©flexions. “Ulsan semble ĂȘtre la meilleure option Ă  ce stade Yessi. Rafaela est confiante, et je sens que ce club pourrait m’offrir ce que je cherche. Mais toi, qu’en penses-tu ? La CorĂ©e tu nous y vois ?”

Yessica ne laissa pas Anibal doutĂ© et le rassura. “Je pense que l’Asie pourrait ĂȘtre un bon endroit pour nous. La CorĂ©e est sĂ»re, moderne, et je pourrais y Ă©lever Beatriz sereinement pour un an ou plus. Mais Ani, tu dois ĂȘtre sĂ»r de ton choix. Si c’est Ulsan, alors va-y Ă  fond. Mais si tu as des doutes, prends encore un peu de temps.” Anibal se sentait touchĂ© par les mots de sa femme, toujours prĂȘte Ă  l’accompagner, peut importe la destination. “Tu as raison. J’hĂ©site vraiment. Je ne veux pas me prĂ©cipiter, mais je sens que c’est peut-ĂȘtre le bon moment pour dĂ©couvrir quelque chose de nouveau.”

Les jours suivants furent marquĂ©s par des Ă©changes constants entre Rafaela et Ulsan. Les discussions portaient sur les termes du contrat, les attentes du club, et les infrastructures mises Ă  disposition pour sa famille. En parallĂšle, Rafaela restait attentive Ă  toute nouvelle opportunitĂ© en Asie, prĂȘte Ă  ajuster la stratĂ©gie si nĂ©cessaire.

Pour Anibal, ce fut une pĂ©riode de rĂ©flexion intense. Entre les promenades sur la plage avec Yessica et les moments de jeu avec Beatriz, il commençait Ă  se projeter sur les terrains corĂ©ens. L’idĂ©e de relever un nouveau dĂ©fi dans un environnement apaisĂ© semblait de plus en plus sĂ©duisante.

La dĂ©cision finale approchait. Ulsan Hyundai avait clairement pris une longueur d’avance, mais pour Anibal, chaque dĂ©tail comptait. Ce nouveau chapitre devait ĂȘtre Ă  la hauteur des attentes qu’il avait pour lui-mĂȘme et pour sa famille.

- Chapitre 415 -
- Anibal récompensé au gala de la FIFA -
- Chapitre 417 -
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La CorĂ©e du Nord, pour la sĂ©curitĂ© et la tranquillitĂ©, je ne peux que conseiller. Il ne sera pas emmerdĂ© tant qu’il ferme sa gueule :sac:

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Pour sûr, le football asiatique serait parfait !
Cependant, il s’épanouirait plus au Japon ! Faut pousser pour ouvrir une brĂšche japonaise ! L’un des 3 clubs citĂ©s doit forcĂ©ment ĂȘtre attirĂ© par son profil !

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Le Japon semble plus attirant mais la Corée du Sud est plus original :smiley:

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RĂ©ponses aux lecteurs

@toopil le problùme c’est qu’il aime pas trop la fermer ce con :hoho:

@CaptainAmericka le japon est intéressant mais il est proche de la Corée du Sud. On verra bien.

@Sythax c’est pas faux.

- Jun Suzuki invite Anibal Ă  Londres -

Anibal GuimarĂŁes se trouvait en pleine rĂ©flexion sur son avenir, de plus en plus sĂ©duit par l’idĂ©e de rejoindre Ulsan Hyundai en CorĂ©e du Sud. Il savourait un rare moment de tranquillitĂ© dans sa villa de Viana do Castelo;

Sa femme Yessica vint alors le tirer de ses pensĂ©es. “Ani, tu as reçu un appel
 d’un certain Jin Suzuki. Il a laissĂ© un message pour toi.” Anibal haussa un sourcil. Le nom ne lui Ă©tait pas familier. Yessica lui dĂ©tailla le message de son mystĂ©rieux interlocuteur. “Il a dit qu’il voulait te rencontrer pour te parler d’un projet. Il t’a aussi invitĂ© Ă  l’Emirates pour le North London Derby. Il a rĂ©servĂ© deux places VIP pour toi et moi. C’est intriguant, non ?”

Anibal esquissa un sourire amusĂ©. “C’est
 original. Pourquoi pas ? Allons-y, ça peut ĂȘtre intĂ©ressant. Et puis, qui refuserait de voir un Arsenal-Tottenham en VIP ? Je vais voir si on peut manger avec Ivano aprĂšs le match. C’est le gardien d’Arsenal dĂ©sormais.”

Quelques jours plus tard, Anibal et Yessica se rendirent Ă  Londres. L’Emirates Stadium Ă©tait en effervescence. L’ambiance des grands soirs rĂ©gnait, et les chants des supporters rĂ©sonnaient dans les gradins. Une fois installĂ©s dans leurs siĂšges VIP, ils profitĂšrent du spectacle offert par deux des meilleurs clubs d’Angleterre.

À la mi-temps, un steward vint les chercher pour les conduire Ă  un salon privĂ©. LĂ , dans une ambiance feutrĂ©e, deux figures les attendaient : Jin Suzuki, un homme Ă©lĂ©gant et charismatique, et ArsĂšne Wenger, la lĂ©gende vivante du football londonien.

AprĂšs des prĂ©sentations cordiales, Jin Suzuki entra dans le vif du sujet. “Anibal, merci d’avoir acceptĂ© mon invitation. Permettez-moi de me prĂ©senter. Je suis le prĂ©sident du Nagoya Grampus. Notre club dĂ©tient le record de titres en J.League, mais ces derniĂšres annĂ©es si nous brillons sur la scĂšne nationale nous peinons Ă  briller sur la scĂšne continentale. Nous avons un projet ambitieux, et votre nom est revenu souvent dans nos discussions internes.”

Anibal, curieux, jeta un regard vers ArsĂšne Wenger, qui prit la parole. “Je suis intervenu pour plaider votre cause, Anibal. Votre parcours m’a toujours impressionnĂ©, et je pense que vous ĂȘtes l’homme idĂ©al pour donner un nouvel Ă©lan Ă  Nagoya. C’est un club qui a tout : des infrastructures modernes, une acadĂ©mie prometteuse, et des ambitions Ă  l’échelle asiatique.”

Anibal croisa les bras, attentif. “C’est flatteur, mais pourquoi moi, alors qu’il existe tant d’entraĂźneurs avec une grande expĂ©rience en Asie ?”

Ce a quoi Suzuki ne prie que quelques secondes pour expliquer son choix. “Parce que nous ne cherchons pas seulement un entraĂźneur, mais un bĂątisseur. Vous avez montrĂ© Ă  Vianense, Valladolid, Envigado et Ă  Palmeiras, que vous savez allier formation, rĂ©sultats, et adaptation Ă  des contextes diffĂ©rents. ArsĂšne nous a convaincus que vous pourriez faire de Nagoya une rĂ©fĂ©rence non seulement au Japon, mais dans toute l’Asie.”

Wenger flatta aussi Anibal, et lui rappela que lui aussi avait fait Ă©tape au Japon pour relever le dĂ©fi. “Et puis, Anibal, vous ĂȘtes un homme de dĂ©fis. AprĂšs avoir conquis l’AmĂ©rique du Sud, pourquoi ne pas essayer de marquer l’Asie de votre empreinte ? Vous avez terminĂ© invaincu avec Palmeiras vous avez tout gagnĂ© ! Pourquoi ne pas tenter la mĂȘme chose sur un autre continent.”

AprĂšs cet Ă©change inspirant, Jin Suzuki exposa les termes de la proposition. “Nous souhaitons vous proposer un contrat d’un an, avec une option pour une seconde annĂ©e. Nous connaissons votre envie de revenir en Europe ensuite. Nous savons que votre sĂ©curitĂ© est une prioritĂ©, donc nous mettrons Ă  votre disposition une villa sĂ©curisĂ©e et veillerons Ă  ce que vous et votre famille soyez en parfaite tranquillitĂ©. Mais les cartels colombiens ne sĂ©vissent pas dans cette zone du globe.”

Anibal Ă©changea un regard complice avec Yessica, qui semblait intriguĂ©e par cette perspective. “C’est une proposition intĂ©ressante. Mais pourquoi un an ? Vous savez que les projets ambitieux nĂ©cessitent du temps. J’imagine que vous avez discutĂ© avec mon agent dĂ©jĂ  non ?”

Le dirigeant expliqua comprendre le point de vue d’Anibal mais aussi vouloir assurer l’avenir de son club, lui qui est aussi rĂ©putĂ© pour essorer les entraineurs. “Nous voulons que vous dĂ©couvriez notre culture avant de vous engager peut-ĂȘtre pour plus longtemps. Nous voulons nous assurer que cette collaboration est mutuellement satisfaisante. Si tout se passe bien, je suis convaincu que nous prolongerons cette aventure pour plusieurs annĂ©es.”

De retour Ă  leurs siĂšges pour la seconde mi-temps, Anibal et Yessica n’avaient plus les yeux sur le terrain. La proposition occupait toutes leurs pensĂ©es. “Ani, qu’en penses-tu ? Cela semble ĂȘtre une opportunitĂ© sĂ©rieuse, et ils ont pris en compte notre besoin de temps, d’adaptation et de sĂ©curitĂ©. Mais c’est peut ĂȘtre trop beau ?” face Ă  la rĂ©action de sa compagne Anibal rĂ©vĂ©la ĂȘtre troublĂ© par la situation lui qui avait peut ĂȘtre dĂ©jĂ  un peu la tĂȘte en CorĂ©e du Sud. “C’est tentant, mais il y a aussi Ulsan Ă  considĂ©rer. Je dois peser chaque dĂ©tail. Ce projet avec Nagoya a un certain charme, surtout avec la recommandation d’ArsĂšne. Mais je veux m’assurer que c’est le bon choix pour nous.”

De retour dans leur hĂŽtel londonien, Anibal contacta son agente Rafaela Pimienta pour lui faire part de cette nouvelle opportunitĂ©. “Rafaela, ajoute Nagoya Ă  la liste des possibilitĂ©s. Leur prĂ©sident m’a fait une forte impression, et je veux que tu analyses leur projet en dĂ©tail. Je ne veux pas passer Ă  cĂŽtĂ© d’une belle aventure.”

Son agent sentait la passion dans le positionnement rĂ©cent d’Anibal. Elle lui rappela comment il avait fait ses choix ces derniĂšres annĂ©es. “Entendu, Ani. Mais souviens-toi, les meilleures dĂ©cisions sont celles qui rĂ©sonnent autant avec ton cƓur qu’avec ta tĂȘte.”

Avec Ulsan toujours en lice et dĂ©sormais Nagoya Grampus dans la course, Anibal savait que son choix ne serait pas simple. Mais une chose Ă©tait claire : l’Asie continuait de l’attirer irrĂ©sistiblement.

- Chapitre 416 -
- Anibal vers l’Asie -
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GO GO GO !!! :japan: :japan: Sur recommandation de Mr Wenger en plus !

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Choix cornélien. Japon ou Corée perso je choisirai la Corée car il a déjà été invité là-bas

Les japonais sont arrivés aprÚs
 mais bon nous savons tous que la décision est déjà prise :wink:

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Je ne m’attendais pas Ă  un tel retournement de situation et Ă  un dĂ©part en Asie, mais je dois dire que ça me plaĂźt pas mal !

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