RĂ©ponses aux lecteurs
@celiavalencia très clairement c’est mon option préféré, in game j’ai l’accord avec le club, j’attends juste 1 semaine voir si j’ai mieux #RAT.
@VertPourToujours il se pose beaucoup de question. Il a besoin de calme pour reprendre confiance sur l’extra perso je pense. Yasmina c’est qui par contre ?
@Tiien pas Ă chaque fois bro.
@Manthyz au Nord ça file droit au moins Sportivement c’est pas mal. Faut qu’Anibal arrête de vouloir tout planifier et respecter tout ses contrats La baleine c’est un monument à Ulsan, le Jangsaengpo Whale Culture Village
@Sythax tout Ă fait.
Le gala annuel de la FIFA était l’un des moments les plus attendus de l’année dans le monde du football. Zurich, scintillant sous les projecteurs, accueillait les plus grandes figures du sport. Anibal Guimarães, bien que discret ces derniers mois, était présent parmi les invités d’honneur. Sa saison parfaite avec Palmeiras lui avait valu une reconnaissance continentale, et il venait recevoir le prix d’Entraîneur de l’année en Amérique du Sud, décerné par la CONMEBOL ainsi que le trophée « The Best » de coach de l’année.
Cependant, ce n’était pas les noms ses joueurs qui résonnaient dans les catégories phares. Le trophée “The Best” échappa à Rodrygo, l’un des piliers offensifs de son Palmeiras invincible, au profit de Lamine Yamal, dont la saison éclatante avait captivé l’Europe. Ivano Di Giacobbe, le gardien italien d’Arsenal passé par Valladolid, fut élu Gardien de l’année après une saison exceptionnelle. Quant à Lambertus Smet, le prodige du Bayern Munich, il repartit avec le prix de Jeune de l’année.
Anibal ne bouda cependant pas son plaisir. Recevoir une récompense continentale et une récompense mondiale lors de ce gala mondial soulignait son influence et sa capacité à transcender les frontières culturelles et sportives.
La cérémonie terminée, un cocktail rassembla les invités dans une atmosphère détendue. Au détour d’un échange, Anibal croisa Arsène Wenger, l’entraîneur emblématique d’Arsenal. À 85 ans, Wenger rayonnait encore d’une sagesse et d’une passion intactes pour le football.
Après les salutations d’usage, Wenger aborda le sujet de la tactique et félicita Anibal pour son travail à Palmeiras. “Votre Palmeiras était un régal pour les yeux cette année. Vinicius Jr. et Rodrygo, ces deux-là , sous vos ordres, ont brillé d’une intensité rare. Je dois vous dire, la manière dont votre équipe attaquait avec autant de variations m’a rappelé mes plus belles années à Arsenal.”
Anibal, flatté, esquissa un sourire. “Merci, Monsieur Wenger. Votre Arsenal était une source d’inspiration pour moi, surtout dans la fluidité offensive. Mon travail, c’est de maximiser le potentiel des joueurs, et ces garçons ont été exceptionnels. Votre année 2004 avec un Henry à son prime, une masterglass qui a façonné toute une génération.”
Wenger, avec son regard perspicace, sonda Anibal "Et votre avenir alors ? J’ai appris que vous aviez démissionné de Palmeiras ? Avez-vous pensé au Japon ? Vous savez, j’y ai travaillé avant Arsenal, et ce fut l’une des expériences les plus enrichissantes de ma carrière. Leur philosophie, leur rigueur, leur discipline… Vous pourriez y apprendre des choses incroyables pour enrichir votre palette tactique.”
Ces mots, venant d’une figure aussi respectée que Wenger, résonnèrent dans l’esprit d’Anibal. L’idée de s’immerger dans une culture aussi différente, dans un environnement à la fois exigeant et discipliné, éveilla sa curiosité, il avait déjà réfléchit à l’Egypte, à la Corée mais est-ce que son avenir n’était pas au Japon finalmement ?
Après la cérémonie, alors qu’il discutait avec Rafaela Pimienta, son agente, il évoqua cette conversation. “Rafaela, Wenger m’a parlé du Japon. Je dois dire, c’est intrigant. Il a mentionné leur philosophie, leur approche. Tu sais s’il y a des opportunités là -bas ?”
Rafala ne tarda pas à lui confier ses trouvailles, elle qui étudiait les offres de tout horizon. “Ça tombe bien. J’ai vu passer quelques ouvertures récemment. Trois clubs sont actuellement en recherche : Vissel Kobe, Tokyo Verdi, et Nagoya Grampus. Ce sont de beaux projets, je crois savoir que Verdi a plus ou moins choisit Keito Nakamura l’ancien international mais… ce serait un grand saut.”
Anibal sembla emballé par ces destinations. “Peut-être que c’est exactement ce qu’il me faut. Une expérience pour me recentrer, loin des tumultes que j’ai connus récemment.”
De retour dans sa chambre d’hôtel, Anibal repensa longuement à sa discussion avec Wenger et aux opportunités mentionnées par Rafaela. Le Japon, un territoire inconnu, une chance d’apprendre, de grandir encore, tout en s’éloignant des pressions intenses qui avaient marqué son parcours récent.
Mais il savait que ce choix devait être mûrement réfléchi. Une décision aussi importante ne pouvait être précipitée et puis il fallait que ces clubs s’intéresse à lui… Anibal décida de prendre son temps, tout en se renseignant davantage sur ces clubs japonais. Peut-être que le pays du soleil levant était l’étape suivante pour l’Imperator.