:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@toopil tu rĂŞves, je compte bien les poutrer :dsk:

@alexgavi Toujours plus fort dans l’adversité mon bon monsieur :dsk:

- Breno Danko file à l’anglaise -


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- - - BRENO
DANKO - - -
Âge
27
Nationalité :brazil: Brésilien
Apparitions 190 apparitions
Buts 15 buts
Assists 22 Passes décisives
ANNEES CLUB APP Buts Assists
:brazil: 2032 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 26 2 3
:brazil: 2033 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 70 2 9
:brazil: 2034 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 55 1 6
:brazil: 2035 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 39 10 4
32-35 TOTAL - - - - - - - 190 15 22

Le mercato approchait à grands pas, et comme à son habitude, Anibal Guimarães avait pris le soin de planifier méticuleusement cette période charnière. Il avait rencontré ses joueurs individuellement, analysant leurs aspirations, anticipant les mouvements possibles, et se préparant à toutes les éventualités.

Le coach portugais savait que pour défendre ses titres, il ne pouvait se permettre de perdre des éléments importants sans solution de rechange. Pourtant, malgré sa préparation, une nouvelle inattendue allait bousculer ses plans.

Un après-midi ensoleillé, alors qu’Anibal finalisait les dossiers de ses entretiens avec ses adjoints Saldanha et Javi Sanchez, le téléphone de Gabriel Jesus, le directeur sportif de Palmeiras, sonna avec insistance. Le visage de Gabriel se crispa en entendant la nouvelle, et il se tourna vers Anibal, visiblement contrarié.

« Bournemouth a levé la clause de Breno Danko, » annonça-t-il, l’air grave. « 30 millions de dollars, c’est fait. Il part. »

Anibal haussa un sourcil, plus surpris par la rapidité de la transaction que par le départ lui-même. Breno Danko n’était pas le joueur le plus indispensable de son effectif, mais sa polyvalence était un atout précieux. Joueur de couloir capable de jouer aussi bien en défense qu’en attaque, il avait souvent été une carte maîtresse pour renforcer ou dynamiser les flancs selon les besoins du match. Mais ce qui le surprit le plus, c’était le comportement de Danko.

En quelques heures, le joueur avait fait ses valises, rempli les formalités administratives, et quitté le Brésil pour l’Angleterre sans dire un mot à personne. Ni au staff, ni à ses coéquipiers, pas même à ses amis proches dans l’équipe. Anibal apprit que Danko avait simplement envoyé un message laconique dans le groupe de l’équipe, remerciant tout le monde pour « ces moments incroyables » avant de quitter le chat sans plus d’explications. C’était un départ abrupt, presque impoli, qui laissa un goût amer dans la bouche de certains.

Pourtant, lors de la conférence de presse suivante, Anibal se montra imperturbable. Il s’assit devant les journalistes, son expression calme et détendue, comme si rien ne pouvait le déstabiliser.

« Breno Danko ? Oui, il est parti, » déclara-t-il d’un ton détaché, répondant à la question d’un journaliste. « C’est le football. Nous savons que les clauses libératoires sont là pour une raison, et Bournemouth a décidé de l’activer. Cela fait partie du jeu, et nous ne pouvons rien y faire. »

Un autre journaliste insista, cherchant à obtenir une réaction plus émotionnelle du coach. « Mais coach, vous perdez un joueur polyvalent, cela ne vous inquiète-t-il pas pour la suite de la saison ? »

Anibal secoua doucement la tête, un sourire énigmatique sur les lèvres. « Thiago s’est imposé ces dernières semaines, » répondit-il. « Il a démontré qu’il pouvait remplir le rôle avec brio, et nous avons d’autres options. Le départ de Danko est une opportunité pour d’autres joueurs de s’exprimer. Je fais confiance à mon effectif. »

Dans les vestiaires, certains joueurs ne cachèrent pas leur étonnement face à la sérénité d’Anibal. Pour eux, le départ soudain de Danko était un coup dur, surtout pour ceux qui étaient proches de lui. Mais Anibal, fidèle à son style de management, savait qu’il devait montrer une façade solide. L’équipe ne pouvait pas se permettre de douter ou de se déconcentrer, surtout avec les échéances importantes qui approchaient.

En privé, Anibal réunit son staff pour discuter des ajustements tactiques. « Nous devons nous assurer que la transition est fluide, » expliqua-t-il à Saldanha et Javi. « Thiago a montré de belles choses, mais il faudra surveiller ses performances. Si besoin, on pourra ajuster. »

Gabriel Jesus, qui avait assisté à la réunion, hocha la tête, impressionné par le calme et la détermination de l’entraîneur. Anibal avait ce don unique de transformer une situation potentiellement déstabilisante en une opportunité de renforcer l’équipe. Et bien que certains joueurs murmuraient encore à propos du départ étrange de Danko, la majorité du groupe se concentra rapidement sur l’essentiel : continuer à gagner, à se battre pour chaque titre.

Le départ de Breno Danko, bien que soudain, n’ébranla pas le navire Palmeiras. Grâce à l’approche stratégique d’Anibal et à sa confiance inébranlable en son effectif, le Verdão poursuivait sa route, plus motivé que jamais. Le message était clair : peu importe les obstacles, l’objectif restait le même.

- Chapitre 390 -
- Tirage accessible pour le VerdĂŁo -
- Chapitre 392 -
Coming SOON - 26/11
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