:storygreen: :s13: 🗾 :grootnagoya: O Leão de Lisboa

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka si seulement mais non.

@Manthyz Faudrait que je fasse des recherches en vrai.

@toopil les histoires d’amour durent 3 ans il parait

- Anibal voit vers l’avenir -

Après le limogeage de Luis Campos de Valladolid, une onde de choc a traversé le monde du football, ébranlant les bases mêmes du club espagnol. Le cheikh Al Fayed, propriétaire visionnaire et passionné, caresse l’espoir secret de voir Anibal Guimarães revenir à la tête de l’équipe.

Mais, dans une déclaration empreinte de gravité et de détermination, l’entraîneur portugais a mis fin à ces spéculations avec une fermeté implacable.

Anibal, visage marqué par la fatigue et la réflexion, a pris la parole lors d’une conférence de presse très attendue. « Je comprends l’attente et les espoirs placés en moi, mais il est temps d’être clair : je ne reviendrai pas à Valladolid », a-t-il affirmé, ses yeux reflétant la profondeur de sa décision. Il a expliqué qu’il avait besoin de quelques jours pour se poser, pour analyser sereinement les diverses options qui se présentent à lui. « Je veux prendre le temps de bien analyser toutes les opportunités avant de prendre une décision. Ce n’est pas une décision à prendre à la légère, » a-t-il ajouté, sa voix trahissant la lourdeur de la responsabilité qui pèse sur ses épaules.

Interrogé sur les rumeurs l’envoyant à Chelsea ou au Real Madrid, Anibal a été catégorique, presque dramatique dans son rejet : « Avec tout le respect que j’ai pour ces institutions, ces options ne sont pas sur la table pour moi. Ce sont de grands clubs, mais je ne suis pas intéressé par ces projets. C’est trop tôt pour moi, j’ai un plan de carrière clair » Cependant, lorsque les journalistes ont évoqué les spéculations le liant à des clubs prestigieux comme le Milan AC, la Lazio Rome ou la Juventus de Turin, l’entraîneur a laissé planer un suspense palpable. « Je ne veux pas commenter ces rumeurs pour le moment », a-t-il déclaré, son silence en disant long sur les possibilités excitantes et complexes qui pourraient s’ouvrir à lui.

Anibal a également profité de l’occasion pour exprimer son soulagement quant au départ de Luis Campos, un homme avec lequel il avait eu de nombreuses tensions et confrontations publiques. « Le départ de Luis Campos est une bonne nouvelle pour Valladolid. J’espère que le club pourra désormais avancer sereinement et continuer à progresser sans lui », a-t-il affirmé, sa voix se chargeant d’une note de soulagement et de libération. « La page est définitivement tournée pour moi, » a-t-il ajouté, comme pour se convaincre lui-même autant que son auditoire.

Cette déclaration dramatique a laissé les supporters de Valladolid partagés entre le regret et l’espoir. En dépit de l’incertitude entourant son avenir immédiat, Anibal Guimarães reste un entraîneur très convoité. Sa capacité à transformer les équipes, à les mener au sommet et à remporter des trophées lui a valu une réputation d’innovateur et de stratège de premier ordre. Chaque mot prononcé, chaque silence observé par Anibal, a ajouté à l’aura de mystère et de respect qui l’entoure.

Le monde du football attend avec impatience de voir où Anibal choisira de poursuivre sa carrière. En attendant, Valladolid doit se préparer à une nouvelle ère sans lui, tout en espérant pouvoir bâtir sur les fondations solides qu’il a laissées. Les prochains jours seront cruciaux pour Anibal, alors qu’il pèse ses options et envisage la prochaine étape de son incroyable parcours. Dans cette période d’incertitude, une chose est claire : le nom d’Anibal Guimarães continuera de résonner dans les stades et dans les cœurs des supporters de football à travers le monde.

- Chapitre 204 - - Valladolid s’enfonce dans la crise -	- Chapitre 206 - Coming SOON - 08/07

[CaptainAmericka]

Il ne manque pas de courtisans !

[Duchesse_Du_Buisson]

Mais @Groot cette présentation de ouf pour cette story

[Nehoc]

Changement de couleur pour le thème. Le violet à laissé la place au rouge et noir.

[Manthyz]

Je me suis fait la même réflexion, donc je met une petite pièce sur le Milan AC !!

[Rhino]

On est vraiment sur une série de fou. Je suis admiratif de ton travail @Groot

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka en effet mais il va falloir faire le bon choix et ce sera pas évident.

@Duchesse_Du_Buisson je suis resté sur le délire de mon skin ça rendait pas mal

@Nehoc j’ai pas vu où j’ai mis du noir . Par contre la couleur du thème c’est plus violet car ça concerne Valladolid et rouge car Anibal est portugais Faut pas y voir un indice sur son futur club à ce stade

@Manthyz j’aime l’idée.

@Rhino tu penses ? Je me fais un sacré kif en tout cas.

- Al-fayed nomme Edwards à la tête de la pucela -

Après une période tumultueuse marquée par des scandales financiers et des tensions internes, le Real Valladolid tente de ramener la sérénité au sein de son club. Le cheikh Al Fayed, propriétaire du club, a pris une décision significative en nommant Michael Edwards, ancien directeur sportif de Liverpool, à la tête de la direction sportive de Valladolid.

Edwards, qui avait pris du recul après avoir quitté Liverpool en 2022, a exprimé son enthousiasme à l’idée de reprendre du service après trois ans de repos. Connu pour son expertise et son talent dans la gestion des recrutements et la construction d’équipes compétitives, il s’est montré déterminé à bâtir sur l’existant pour continuer le développement du club espagnol. « C’est un honneur de rejoindre le Real Valladolid, un club avec une histoire riche et un potentiel immense », a-t-il déclaré lors de sa première conférence de presse.

Son principal objectif est de stabiliser Valladolid dans les places européennes, une ambition réaliste mais exigeante. Edwards a souligné l’importance de la continuité et de l’amélioration progressive. Cependant, lorsqu’il a été interrogé sur le nom du futur entraîneur, il a refusé de donner des indications précises, créant ainsi un suspense autour de cette question cruciale. « Nous évaluons plusieurs options avec sérieux et prudence », a-t-il déclaré. Bien que la rumeur d’un retour d’Anibal Guimarães, l’entraîneur qui avait mené le club à ses succès récents, soit persistante, Edwards n’a pas confirmé cette possibilité.

En parallèle, des informations ont émergé selon lesquelles Edwards aurait profité de la Coupe du Monde à Ryad pour rencontrer plusieurs candidats potentiels pour le poste d’entraîneur. Parmi les noms mentionnés figurent Domenico Tedesco, Marco Rose et Roberto De Zerbi. Ces rencontres discrètes ajoutent à l’excitation et au suspense autour de la future direction de l’équipe.

Les supporters de Valladolid, avides de stabilité après des années de tumultes, suivent de près chaque développement. L’arrivée de Michael Edwards est perçue comme un signal fort de changement et de renouveau. Son expérience au plus haut niveau du football européen et sa réputation de bâtisseur d’équipes performantes suscitent beaucoup d’espoirs.

Pour Edwards, le défi est de restaurer la confiance et la cohésion au sein du club tout en planifiant méticuleusement l’avenir sportif de Valladolid. Son approche méthodique et sa vision à long terme seront des atouts précieux dans cette nouvelle étape pour le club espagnol.

Ainsi, sous la direction d’un homme déterminé à faire avancer les choses avec méthode et vision, le Real Valladolid s’apprête à entamer un nouveau chapitre de son histoire, plein d’espoirs et d’attentes pour l’avenir.

- Chapitre 205 - - Anibal voit vers l’avenir -	- Chapitre 207 - Coming SOON - 08/07

[Rhino]

Une bonne pioche pour remplacer Campos

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino assez d’accord

- Anibal refuse de rencontre Edwards -

Les vagues turquoise de Zanzibar se fracassaient doucement contre les plages de sable blanc, offrant à Anibal Guimarães une sérénité bienvenue après les turbulences récentes. Depuis son départ tumultueux du Real Valladolid, l’entraîneur portugais s’était réfugié dans cet havre de paix, cherchant à apaiser son esprit.

Cependant, même dans ce coin de paradis, les réalités du football le rattrapèrent. Son téléphone vibra une énième fois. José Soares, son agent, tentait de le joindre depuis plusieurs jours, mais Anibal avait préféré ignorer les appels, désireux de se couper du monde.

Ce matin-là, quelque chose le poussa à répondre.

« José, qu’est-ce qui se passe ? Je voulais me reposer…» demanda-t-il, la voix empreinte de fatigue.

« Désolé Anibal, mais je pense que c’est important. Tu es assis ? Tu ne vas pas le croire. Michael Edwards, le nouveau directeur sportif de Valladolid, veut que tu reprennes ton poste. Pour lui tu es sous contrat et il t’attends le 25 Juin pour discuter de la reprise.» lâcha le jeune agent.

Un silence lourd s’installa. Anibal sentit la colère monter en lui. Comment osaient-ils, après l’humiliation publique qu’il avait subie ?

« Ils pensent que je vais revenir après tout ce qu’ils m’ont fait ? C’est une plaisanterie. » répondit-il, ses mots chargés de ressentiment.

José tenta de le calmer, expliquant qu’Edwards souhaitait faire amende honorable et qu’il serait sage d’écouter ce qu’il avait à dire. Mais Anibal était inflexible. Les cicatrices de son licenciement étaient encore trop fraîches.

« Non, José. Je ne vais pas leur donner cette satisfaction. J’ai été loyal envers eux et ils m’ont traité comme un vulgaire pion. J’en ai fini avec Valladolid, » déclara-t-il avec une détermination inébranlable.

José soupira, comprenant la douleur de son client. « Très bien, Anibal. Qu’est-ce que tu veux faire alors ? »

Anibal savait déjà la réponse. « Réponds à l’appel de l’AC Milan. Dis-leur que je suis prêt à rencontrer Zlatan Ibrahimovic et à discuter des opportunités là-bas. »

José acquiesça. « Je vais organiser ça. Mais réfléchis bien, Anibal. Assure-toi que c’est ce que tu veux vraiment. »

« C’est ce que je veux, José. Valladolid m’a tourné le dos, il est temps pour moi de regarder vers l’avenir. »

La décision était prise. Tandis que le soleil se couchait sur Zanzibar, Anibal ressentit un mélange de soulagement et de tristesse. Son passage à Valladolid avait été couronné de succès, mais les blessures de la trahison étaient trop profondes pour être guéries rapidement. Milan offrait une nouvelle chance, un nouveau défi, et surtout, une opportunité de tourner la page.

Le lendemain, alors qu’Anibal profitait de ses dernières heures de tranquillité sur l’île, José lui confirma le rendez-vous avec Zlatan. Un nouveau chapitre de sa carrière de dessinait déjà, loin des tumultes de Valladolid.

- Chapitre 206 - - Al Fayed nomme Edwards -	- Chapitre 208 - Coming SOON - 09/07

[Groot]

@Manthyz

Je me suis fait la même réflexion, donc je met une petite pièce sur le Milan AC !!

[CaptainAmericka]

Ah, ça se précise !!
Par contre faut qu’il réduise la Super Bock le Anibal là

[Groot]

Résumé

@CaptainAmericka ça se précise en effet. Il est enervé, c’est un homme blessé. Faut dire que ça s’est fait très rapidement et de façon pas très classe.

- Anibal en pole position pour le Milan AC -

La lumière tamisée du restaurant chic parisien contrastait avec le tumulte du monde extérieur. Assis à une table discrète, Anibal Guimarães et Zlatan Ibrahimovic, directeur sportif du Milan AC, échangeaient des regards et des paroles pleines de promesses et d’incertitudes.

La presse, toujours en quête de scoops, ne manqua pas de remarquer la présence des deux figures du football dans ce lieu prestigieux. Les flashs des caméras et les murmures curieux des clients du restaurant créaient une atmosphère électrique. Malgré cela, Anibal et Zlatan restaient concentrés sur leur discussion.

« Anibal, je suis ravi que tu sois venu, » commença Zlatan, son regard perçant ne quittant pas celui de l’entraîneur portugais. « Milan a besoin d’un renouveau, et tu es l’homme idéal pour mener cette transformation. J’ai conscience que tu sors d’une fin d’expérience compliquée mais cette saison que tu su mener avec Valladolid. Quelle leçon. »

Anibal écoutait attentivement, pesant chaque mot. Il connaissait la réputation de Zlatan non seulement comme joueur, mais aussi comme leader visionnaire. Zlatan continua, expliquant que le Milan AC avait une moyenne d’âge élevée et qu’un rajeunissement de l’effectif était impératif. Il voyait en Anibal l’homme capable de faire éclore les jeunes talents du centre de formation tout en maintenant une compétitivité au plus haut niveau.

« Nous avons des jeunes prometteurs, mais ils ont besoin d’un guide, d’un mentor qui peut les façonner. Et ce mentor, c’est toi, » déclara Zlatan avec une conviction inébranlable.

Anibal réfléchissait. Le projet était ambitieux, mais il avait des réserves. « Zlatan, je comprends votre vision, mais il y a des cadres dans cette équipe qui sont essentiels pour garder une stabilité. Mike Maignan et Rafael Leao sont indispensables, j’ai bien étudié les différents briefs et vos plans pour le mercato sont très pertinents.» souligna-t-il.

Zlatan hocha la tête, un sourire approbateur se dessinant sur son visage. « Absolument. Maignan et Leao sont des piliers, et ils resteront nos leaders. »

Cependant, les doutes d’Anibal persistaient. « Je dois admettre que j’ai des interrogations sur la compétitivité actuelle de Milan. J’ai conscience des efforts que tu prépares pour modeler l’effectif à mon image. Mais je ne sais pas si c’est ce dont Milan a besoin. Je respecte énormément cette institution. Replonger si vite dans un projet de construction après ce qui s’est passé à Valladolid… Je ne sais pas si je suis prêt pour ça. De plus, j’ai toujours laissé les agents et les directeurs sportifs piloter le recrutement. Je me demande si ce n’est pas trop tôt malgré tout le respect que j’ai pour toi.»

Zlatan, imperturbable, répondit avec une assurance déconcertante. « Anibal, je te comprends. Mais sache que je serai là à chaque étape. Nous bâtirons cette équipe ensemble, et tu auras tout le soutien nécessaire. Tu n’as rien à craindre du recrutement, tu en es capable. C’est un projet à long terme, et je crois fermement que tu es l’homme de la situation. »

La passion et la détermination de Zlatan étaient palpables, rendant difficile pour Anibal de ne pas se laisser séduire. Pourtant, il restait prudent. Ce rendez-vous à Paris était une surprise pour beaucoup, et le choix qu’il ferait pourrait définir la suite de sa carrière.

Alors que la soirée touchait à sa fin, Anibal se leva pour partir, laissant Zlatan avec une poignée de main ferme et un regard pensif. « Je vais y réfléchir, Zlatan. Donne-moi quelques jours. »

Zlatan, confiant, acquiesça. « Prends ton temps, Anibal. Milan sera prêt quand tu le seras. J’ai l’intime conviction que nous travaillerons ensemble un jour. Un jour prochain même je l’espère.»

La rencontre laissait présager de grandes choses. Pour Anibal Guimarães, ce moment à Paris était le début d’une réflexion profonde sur son avenir, sur ce qu’il voulait vraiment accomplir et sur la manière dont il souhaitait le faire. Les prochains jours allaient être décisifs.

- Chapitre 207 - - Anibal refuse de rencontrer Edwards -	- Chapitre 209 - Coming SOON - 23/04

[Nehoc]

C’est tellement bien écrit. Il est inspiré notre @groot quand même.

Milan serait une très belle destination mais n’est-ce pas trop tôt pour Anibal ?

[Raspou]

Tu devrais arrêter cette story, vraiment.

Et plutôt carrément réaliser une série TV !

Je voyais le club finir 4° c’est dommage, mais au vu des titres glanés en parallèle ça devient secondaire ! Sacrée saison… et sacrés revirements de situation !

[RedM1nd]

Cette Story c’est un BANGER ! ça me donne envie de ressortir ma plume !

[celiavalencia]

Y va nous faire des romans ou une serie Tv

j’aimerais pourvoir écrire comme Groot et d’autres

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Nehoc merci c’est gentil copain. Je me suis bien éclaté sur cet arc et encore c’est pas comme ça que je l’avais pensé de base avec @Akasha J’aime bien le projet mi-reconstruction, mi ambitions bien plus elevé. Je suis souvent impatient dans mes games donc je sais pas trop quoi en penser.

@Raspou merci vraiment c’est gentil. J’ai longtemps cru à la 4ème place sans pouvoir l’accrocher in fine.

@RedM1nd Merci frérot J’adorerais lire de nouveau tes exploits bro

@celiavalencia oh non je n’ai pas cette prétention. Je n’en serais pas capable je pense. Tu sais pour en arriver à ce récit qui est je pense l’un voir le plus aboutis que j’ai pu faire y’a probablement une dizaine d’année à faire un récit annuel. Les plus anciens s’en souviennent peut etre encore que je doute qu’ils en restent réellement. Peut être @Kristo ou @Rhino qui pourrait témoigner de l’évolution.

- Edwards tente le tout pour le tout -

Le luxe discret et la splendeur du Georges V à Paris étaient l’écrin parfait pour une rencontre inattendue et significative. Anibal Guimarães, en voyage pour quelques jours de repos bien mérité, s’installait confortablement dans l’un des salons privés de l’hôtel. La ville lumière offrait une pause bienvenue après des semaines tumultueuses. Mais cette tranquillité allait être brièvement interrompue.

À sa grande surprise, Michael Edwards, le nouveau directeur sportif du Real Valladolid, fit son apparition. Anibal, malgré sa volonté de tourner la page, ne put cacher son étonnement. L’air grave et respectueux, Michael s’approcha et salua l’entraîneur portugais.

« Anibal, je te remercie de m’accorder cette entrevue, » commença Michael, son ton empreint de sincérité. « Je suis venu ici spécifiquement pour toi. »

Anibal, méfiant mais curieux, invita Michael à s’asseoir. La tension était palpable, mais la démarche inattendue de Michael éveillait une certaine curiosité chez le coach.

« Tout d’abord, je tiens à te présenter mes plus plates excuses pour le traitement que tu as subi, » poursuivit Michael. « Le cheikh Al Fayed partage également ce sentiment et m’a demandé de te transmettre ses excuses personnelles. »

Les yeux d’Anibal se plissèrent légèrement. « Je t’écoute, saches toutefois que je te reçois par courtoisie avec le déplacement fait, mais je n’ai pas changé d’avis.» répondit-il, son ton neutre mais ouvert à la discussion.

Michael prit une profonde inspiration avant de continuer. « Je sais que tu es très convoité en ce moment. Le Real Madrid, Chelsea, Milan AC… Je sais aussi que tu as personnellement rencontré Zlatan, mais nous espérons pouvoir te convaincre de revenir à Valladolid pour finir ce que tu as commencé. L’histoire n’est pas finie. »

Anibal resta silencieux, ses yeux scrutant attentivement Michael. Sentant l’opportunité, Michael se lança dans une présentation convaincante.

« Si tu acceptes de revenir, tu auras des prérogatives élargies. Aucun recrutement ne sera validé sans ton aval, et tu auras une totale maîtrise sur la composition de ton effectif. Seule condition : maintenir une saine compétitivité du club. De plus, nous sommes prêt à revoir significativement les conditions salariales que nous t’offrons, d’une part pour refléter la qualité de ton travail, mais aussi pour repartir sur une base saine. »

L’offre était généreuse, mais Anibal, toujours prudent, ne se laissa pas séduire, l’homme était marqué profondémment. « C’est une proposition intéressante, Michael. Mais pourquoi devrais-je croire que les choses seront différentes cette fois-ci ? »

Michael hocha la tête, comprenant la réticence du coach. « Anibal, je suis ici pour te montrer notre engagement. Nous avons fait des erreurs, mais nous sommes prêts à tout mettre en œuvre pour les corriger. Tu es essentiel à notre projet, et nous voulons te donner les moyens de réussir. Contrairement à ce que peut dire la presse, et tu pourras le vérifier, je n’ai rencontré aucun autre entraineur. Tu es ma seule et unique priorité. »

La discussion continua, Anibal posant des questions pointues sur les projets futurs, les attentes et les conditions de travail. Michael répondit avec honnêteté et transparence, cherchant à regagner la confiance perdue du coach.

Après un long échange, Anibal finit par accepter les excuses, reconnaissant les efforts faits par Michael et le cheikh. « Je vais réfléchir à ta proposition, notamment par respect pour le passé et pour ta démarche, mais j’ai besoin de temps. » conclut-il.

Michael acquiesça, respectant la décision d’Anibal. « Prends tout le temps qu’il te faut. Nous espérons vraiment que tu choisiras de revenir. »

La rencontre se termina sur une note cordiale, mais Anibal savait qu’il avait des décisions importantes à prendre. Alors qu’il se préparait à quitter le Georges V, il sentait le poids des possibilités peser sur ses épaules. L’avenir s’annonçait incertain, mais rempli de promesses, rejoindre Milan et un nouveau projet ? Reprendre le fil de l’histoire à Valladolid ou aller se reposer au pays et prendre soin de sa famille ?

- Chapitre 208 - - Anibal en pole pour Milan -	- Chapitre 210 - Coming SOON - 23/04

[Akasha]

C’est vrai qu’en moyenne j’ai le droit à une primo lecture.

[Nehoc]

Moi je dis qu’Anibal va rester !

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Manthyz du coup pour te répondre maintenant que la fin est révélée ce qui m’a inspiré cet arc de base c’est ce qu’il s’est passé au LOSC en 2009 juste avant le titre et qui est pas archi connu. Mais en gros un an après son arrivée, il a été limogé par le directeur général de l’époque pour des raisons obscures. Certains parlais de plaintes de cadres (Tafforeau, Malicki, Fauvergue), ça a aussi été archi tendu toute la saison entre Roudi et son DG, pour d’autres Roudi voulait trop imposer son mercato. Derrière on va approcher Denoueix et PLG pour finalement réintégré Roudi et virer le DG avec la suite fabuleuse qu’on connait et le titre conquis par Hazard, Gervinho et Sow. du coup oui ça peut arriver IRL

@CaptainAmericka Bravo tu avais le premier à call un retour d’anibal Et du coup je peux te répondre, je n’ai pas été viré in-game on est sur du pur récit sur ce coup là

@Akasha je devrais te créditer en co-auteur et encore j’ai jamais sorti la fin qu’on avait prévu pour le coach de Goias

@Nehoc bien vu frérot T’as kiffé l’arc quand même malgré son ending ?

- le retour du roi ! -

Le téléphone sonna dans la suite d’Anibal Guimarães à Paris. Après mûre réflexion, il décide de répondre à son agent, José Soares. José, toujours pragmatique, l’informe que l’AC Milan a augmenté son offre pour le recruter, une proposition alléchante qui reflète l’importance qu’ils accordent à son talent.

Mais Anibal avait déjà pris sa décision. « José, j’ai appelé Ibrahimovic directement pour décliner l’offre, » annonce-t-il calmement. « J’ai décidé de revenir à Valladolid, convaincu par le discours de Michael Edwards. J’ai aussi pris en compte tes conseils. Les différentes marques d’affection reçus m’ont touchés. João m’appelle tous les jours et me harcèle, les joueurs veulent mon retour. Je te demande de régler les détails avec Michael. »

Surpris mais respectueux de la décision de son client, José acquiesce. « Très bien, Anibal. Je vais m’occuper de tout. Je pense que tu fais le bon choix, tu es un homme de conviction. »

« Une dernière chose, » ajoute Anibal. « Je ne veux pas de l’augmentation de salaire. Ce n’est pas une question d’argent. »

Quelques jours plus tard, Michael Edwards organisa une conférence de presse pour annoncer le retour d’Anibal Guimarães à la tête du Real Valladolid. Les journalistes, les fans, et les joueurs étaient tous impatients de connaître les détails de cette nouvelle ère.

Michael Edwards pris la parole en premier. « Aujourd’hui, je suis extrêmement heureux d’annoncer le retour d’Anibal Guimarães au Real Valladolid. Anibal a montré un engagement exceptionnel envers le club, allant même jusqu’à refuser une augmentation salariale par amour pour la Pucela. Nous sommes là pour finir l’histoire. Il était pour nous inconcevable de relever le défi de l’Europa sans lui.»

Anibal, vêtu de son costume noir impeccable, monta sur scène sous une salve d’applaudissements. « Merci, Michael, et merci à tous d’être ici. C’est avec une grande émotion que je reviens à Valladolid. Je suis ici en mission : faire rayonner ce club que j’aime tant. »

Les journalistes ne tardèrent pas à poser leurs questions, cherchant à comprendre les motivations profondes derrière ce retour. Anibal répond avec passion et détermination, expliquant qu’il croit fermement en l’avenir du club et qu’il est prêt à tout donner pour atteindre les objectifs fixés.

Sur les réseaux sociaux, les joueurs exprimèrent leur joie et leur soulagement. Ilaix, João Infante, et Ivano Di Giaccobe publièrent des messages enthousiastes, se réjouissant du retour de leur coach adoré.

« Il est de retour ! Allons chercher de nouveaux titres ! » tweeta João Infante.

« Prêt à donner le meilleur de moi-même sous ses ordres. Bienvenue à nouveau, coach ! » écrivit Ilaix sur Instagram.

Ivano Di Giaccobe, quant à lui, posta une photo de l’équipe célébrant la victoire en Conference League avec la légende : « La famille est réunie. »

En réponse aux questions sur les mouvements de l’effectif, Anibal fit une annonce significative. « Je tiens à confirmer que Damian Muller rejoindra Naples pour 75 millions d’euros. Notre aventure commune fut brêve mais nous voulons des joueurs pleinement impliqués. Nous lui souhaitons tout le succès possible dans sa nouvelle aventure. Mais le chemin est plus important pour nous que la destination. »

Cette décision, bien que difficile, montra la détermination d’Anibal prêt à prendre les décisions nécessaires pour le bien du club. Le départ de Muller ouvrait la voie à de nouvelles opportunités et à une stratégie renouvelée pour renforcer l’équipe.

La conférence se termina sur une note positive, laissant entrevoir un avenir prometteur pour le Real Valladolid sous la direction de son coach dévoué. Anibal Guimarães était de retour, et avec lui, l’espoir et l’ambition de continuer à écrire l’histoire du club.

- Chapitre 209 - - Edwards tete le tout pour le tout -	- Chapitre 210 - Coming SOON - 10/07