RĂ©ponses aux lecteurs
@Nehoc voyons si ça continue 
@Sythax 3 ans au club et au top sportivement, forcément vu comment c’est fait ça ne plait pas forcément. Mais il va s’y faire t’inquiète. Mais vu le temps passée, je trouve important de voir aussi comment le club va surmonter cette affaire.
@CaptainAmericka Sacré Campos n’est-ce pas. Je te répondrais quand Anibal aura choisit son futur. 
- Al-Fayed reprends la main et licencie luis campos -
Dans les couloirs feutrés du siège social du Real Valladolid, une tension palpable pesait lourdement sur les épaules des dirigeants. La crise qui secouait le club semblait atteindre des proportions inquiétantes, et les décisions radicales devenaient inévitables pour restaurer la stabilité et l’harmonie.
C’était dans ce climat de mécontentement généralisé que le cheikh Al-Fayed, propriétaire du club, prit une décision qui fit l’effet d’une bombe : Luis Campos, l’architecte controversé mais reconnu du projet sportif, fut licencié sans préavis. Cette nouvelle se répandit comme une traînée de poudre dans les médias sportifs, suscitant choc et consternation parmi les supporters.
Campos, réputé pour sa poigne et sa vision stratégique, avait été le pivot de nombreuses décisions de recrutement et de gestion financière au sein du club. Sa relation avec Anibal Guimarães, maintenant loin dans les mémoires, avait été scrutée sous tous les angles, alimentant rumeurs et spéculations dans la presse spécialisée.
Pour beaucoup, le licenciement de Campos signifiait non seulement la fin d’une ère, mais aussi une période d’incertitude et de changements potentiels dans le staff technique et la stratégie globale du club. Les supporters, déjà secoués par les récents événements tumultueux, regardaient désormais vers l’avenir avec anxiété et curiosité.
En parallèle, Paulo Fonseca, initialement pressenti pour succéder à Guimarães, décida finalement de rester à l’Atletico Madrid, renforçant ainsi le soulagement parmi les fervents supporters des Matelassiers. Son choix de ne pas rejoindre Valladolid fut perçu comme un signe de stabilité et de confiance dans le projet de son club actuel, apaisant quelque peu les esprits agités dans la capitale espagnole.
Pendant que le Real Valladolid entamait une période de réflexion et de restructuration, les regards étaient rivés sur les prochaines décisions à venir : qui succéderait à Luis Campos et quel cap le club prendrait-il pour surmonter cette crise sans précédent ? La réponse ne tarderait pas à émerger, mais pour l’instant, le grand flou régnait en maître sur Zorrilla.