RĂ©ponses aux lecteurs
@Sythax merci pour le soutien frérot, mais il faut tourner la page.
@toopil ça ne me surprends guère de ta part
@celiavalencia je suis tout à fait d’accord. Mais laissons lui une seconde chance. Après peut être qu’il sait des choses et qu’Anibal n’est pas tout blanc dans cette histoire.
@Manthyz c’est pas prêt d’arriver je pense
@Nehoc c’est un peu ça il faut passer à autre chose, Campos est une salope et c’est tout
Alors que le Real Valladolid s’apprêtait à annoncer la nomination de Paulo Fonseca comme nouveau coach, une onde de mécontentement et de nostalgie secouait les rangs de l’équipe. Diego Mauricio, en pleine concentration avec la sélection brésilienne pour la Coupe du Monde, avait du mal à se concentrer. Assis dans sa chambre d’hôtel, il ne pouvait s’empêcher de penser à l’avenir incertain qui se dessinait pour lui à Valladolid.
Lors d’une entrevue avant un entraînement, il déclara d’une voix posée mais ferme : « Anibal Guimarães est notre guide, celui qui nous a menés vers les sommets. Il a insufflé une unité et une passion dans cette équipe. Pour moi, il est indispensable pour continuer à écrire l’histoire du Real Valladolid. »
Diego savait que ses paroles pourraient avoir des répercussions. Il était conscient que l’arrivée imminente de Paulo Fonseca pourrait signifier des changements importants dans l’équipe, y compris pour son propre avenir. Mais il croyait en l’importance de la continuité et de la stabilité que Guimarães apportait.
Au camp de base de la Seleçao, à Ryad, Joao Infante, le héros de la finale de la Conference League, avait également exprimé ses sentiments. Lors d’une conférence de presse avec la sélection portugaise, il avait déclaré avec un soupir : « Je suis reconnaissant envers Valladolid pour tout ce qu’ils m’ont apporté, mais dans l’état actuel des choses, je dois envisager mon avenir avec prudence. Anibal a été plus qu’un coach pour moi ; il a été un mentor, un guide. C’est avec lui que j’ai atteint mes plus grands succès jusqu’à présent. »
Les médias espagnols et portugais s’emparèrent de ces déclarations, amplifiant encore plus les rumeurs et la tension qui régnait autour du club. Certains joueurs, dans l’anonymat, avaient commencé à exprimer leur soutien sans faille à Guimarães, craignant les bouleversements qu’un nouveau coach pourrait apporter.
Pendant ce temps, Anibal Guimarães suivait l’évolution des événements depuis l’Arabie Saoudite, où il assistait à la Coupe du Monde avec un mélange d’émotions. Il se demandait ce que l’avenir lui réservait, mais une chose était certaine : ses joueurs lui manquaient, et les voir se battre pour son retour lui donnait l’espoir que cette histoire avec Valladolid n’était pas encore terminée.