Réponses aux lecteurs
@celiavalencia methode de pute clairement
Le début de la Coupe du Monde avait apporté son lot d’excitation et de débats enflammés, mais au Portugal, une controverse éclipsait le spectacle sur le terrain : le renvoi d’Anibal Guimarães par le Real Valladolid. Alors que les Lusitaniens célébraient la victoire inaugurale contre l’Équateur, les médias se concentraient sur le sort du coach portugais.
Dans les studios de télévision de Lisbonne, José Mourinho, l’homme au tempérament volcanique, s’installa devant les caméras pour exprimer son indignation. Le plateau était électrique, vibrant de l’émotion suscitée par la situation de Guimarães.
« Je ne comprends pas. Comment pouvez-vous renvoyer un homme qui a mené votre club à une saison historique? Anibal Guimarães mérite plus qu’un simple merci. Il mérite une statue pour ce qu’il a accompli avec Valladolid. Et qu’on ne me parles pas des déclarations volé devant le centre d’entrainement. Demandez vous, qui a rameuté la presse si vite, qui a validé la sortie d’un communiqué horrible sans prévenir la personne concernée en amont ? » déclara Mourinho, ses sourcils froncés, son ton impérieux résonnant dans le studio.
À ses côtés, Ronaldo, l’ancien président emblématique du Real Valladolid, acquiesça gravement. « Anibal est un professionnel d’exception. Il a su unir cette équipe, l’amener à des sommets inédits. C’est incompréhensible de le traiter ainsi, je ne comprends ce qu’il a pu se passer en si peu de temps au club… »
Les commentateurs sportifs et les analystes se joignaient au chœur de protestations. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #JusticeForAnibal devint rapidement viral, des milliers de supporters exprimant leur soutien au coach portugais déchu.
Pendant ce temps, à des milliers de kilomètres de là , Anibal Guimarães regardait lui aussi les émissions, assis dans sa chambre d’hôtel en Arabie Saoudite. Il ne pouvait s’empêcher de ressentir une bouffée de chaleur dans sa poitrine en voyant tant de personnes se dresser en sa défense.
Son téléphone vibra. C’était un message de José Soares. « Anibal, nous sommes en train de faire bouger les choses. Reste fort. Nous allons régler ça. Crois-moi tu en sortiras grandis. Valladolid ne s’en sortira pas comme ça, on va faire valoir tes droits. »
Anibal posa son téléphone, le cœur serré mais rempli d’une détermination renouvelée. La Coupe du Monde se poursuivait, mais pour lui, le plus grand match était en train de se jouer dans les coulisses, où des voix s’élevaient pour défendre son honneur et son talent.