RĂ©ponses aux lecteurs
@Nehoc merci c’est gentil copain. Je me suis bien éclaté sur cet arc et encore c’est pas comme ça que je l’avais pensé de base avec @Akasha 
J’aime bien le projet mi-reconstruction, mi ambitions bien plus elevé. Je suis souvent impatient dans mes games donc je sais pas trop quoi en penser.
@Raspou merci vraiment c’est gentil. J’ai longtemps cru à la 4ème place sans pouvoir l’accrocher in fine.
@RedM1nd Merci frérot 
J’adorerais lire de nouveau tes exploits bro 
@celiavalencia oh non je n’ai pas cette prétention. Je n’en serais pas capable je pense. Tu sais pour en arriver à ce récit qui est je pense l’un voir le plus aboutis que j’ai pu faire y’a probablement une dizaine d’année à faire un récit annuel. Les plus anciens s’en souviennent peut etre encore que je doute qu’ils en restent réellement. Peut être @Kristo ou @Rhino qui pourrait témoigner de l’évolution.
Le luxe discret et la splendeur du Georges V à Paris étaient l’écrin parfait pour une rencontre inattendue et significative. Anibal Guimarães, en voyage pour quelques jours de repos bien mérité, s’installait confortablement dans l’un des salons privés de l’hôtel. La ville lumière offrait une pause bienvenue après des semaines tumultueuses. Mais cette tranquillité allait être brièvement interrompue.
À sa grande surprise, Michael Edwards, le nouveau directeur sportif du Real Valladolid, fit son apparition. Anibal, malgré sa volonté de tourner la page, ne put cacher son étonnement. L’air grave et respectueux, Michael s’approcha et salua l’entraîneur portugais.
« Anibal, je te remercie de m’accorder cette entrevue, » commença Michael, son ton empreint de sincérité. « Je suis venu ici spécifiquement pour toi. »
Anibal, méfiant mais curieux, invita Michael à s’asseoir. La tension était palpable, mais la démarche inattendue de Michael éveillait une certaine curiosité chez le coach.
« Tout d’abord, je tiens à te présenter mes plus plates excuses pour le traitement que tu as subi, » poursuivit Michael. « Le cheikh Al Fayed partage également ce sentiment et m’a demandé de te transmettre ses excuses personnelles. »
Les yeux d’Anibal se plissèrent légèrement. « Je t’écoute, saches toutefois que je te reçois par courtoisie avec le déplacement fait, mais je n’ai pas changé d’avis.» répondit-il, son ton neutre mais ouvert à la discussion.
Michael prit une profonde inspiration avant de continuer. « Je sais que tu es très convoité en ce moment. Le Real Madrid, Chelsea, Milan AC… Je sais aussi que tu as personnellement rencontré Zlatan, mais nous espérons pouvoir te convaincre de revenir à Valladolid pour finir ce que tu as commencé. L’histoire n’est pas finie. »
Anibal resta silencieux, ses yeux scrutant attentivement Michael. Sentant l’opportunité, Michael se lança dans une présentation convaincante.
« Si tu acceptes de revenir, tu auras des prérogatives élargies. Aucun recrutement ne sera validé sans ton aval, et tu auras une totale maîtrise sur la composition de ton effectif. Seule condition : maintenir une saine compétitivité du club. De plus, nous sommes prêt à revoir significativement les conditions salariales que nous t’offrons, d’une part pour refléter la qualité de ton travail, mais aussi pour repartir sur une base saine. »
L’offre était généreuse, mais Anibal, toujours prudent, ne se laissa pas séduire, l’homme était marqué profondémment. « C’est une proposition intéressante, Michael. Mais pourquoi devrais-je croire que les choses seront différentes cette fois-ci ? »
Michael hocha la tête, comprenant la réticence du coach. « Anibal, je suis ici pour te montrer notre engagement. Nous avons fait des erreurs, mais nous sommes prêts à tout mettre en œuvre pour les corriger. Tu es essentiel à notre projet, et nous voulons te donner les moyens de réussir. Contrairement à ce que peut dire la presse, et tu pourras le vérifier, je n’ai rencontré aucun autre entraineur. Tu es ma seule et unique priorité. »
La discussion continua, Anibal posant des questions pointues sur les projets futurs, les attentes et les conditions de travail. Michael répondit avec honnêteté et transparence, cherchant à regagner la confiance perdue du coach.
Après un long échange, Anibal finit par accepter les excuses, reconnaissant les efforts faits par Michael et le cheikh. « Je vais réfléchir à ta proposition, notamment par respect pour le passé et pour ta démarche, mais j’ai besoin de temps. » conclut-il.
Michael acquiesça, respectant la décision d’Anibal. « Prends tout le temps qu’il te faut. Nous espérons vraiment que tu choisiras de revenir. »
La rencontre se termina sur une note cordiale, mais Anibal savait qu’il avait des décisions importantes à prendre. Alors qu’il se préparait à quitter le Georges V, il sentait le poids des possibilités peser sur ses épaules. L’avenir s’annonçait incertain, mais rempli de promesses, rejoindre Milan et un nouveau projet ? Reprendre le fil de l’histoire à Valladolid ou aller se reposer au pays et prendre soin de sa famille ?