:storygreen: :s22: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

J’ai trouvĂ© les raisons du succĂ©s d’Anibal !
Regardez bien l’image : Il joue minimum en 4232 et sans gardien !
en plus d’ici Ă  ce qu’un magnet soit cachĂ© derriĂšre son bras qui tiens le feutre, il n’y a pas loin. :joy:

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Il y a pas de secret. Quand on a des jeunes talents dans son groupe, on est toujours susceptible de se faire piller par plus grand. Une donnée à prendre en compte pour le coach

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@Akasha enfoirĂ©. C’est juste qu’on travaille les offensives avec gardien. :sac:

@Rhino oui c’est le jeu.

Poke @Manthyz

@FC_Guimaraes

- Lamar : « C’était Javi Sanchez le vrai coach ! Â» -

La saison venait de s’achever dans une explosion de feux d’artifice et de champagne. Le Real Valladolid, contre toute attente, avait signĂ© un triplĂ© historique, la Pucela avait remportĂ©e La Liga, arrachĂ©e au Real lors d’un sprint final haletant, La Copa del Rey, gagnĂ©e contre l’AtlĂ©tico aux tirs au but. Et surtout, la Champion’s League, tournoi suprĂȘme pour tout grand club europĂ©en.

Javi SĂĄnchez, coach discret, posĂ©, Ă©lĂšve d’AnĂ­bal GuimarĂŁes pendant prĂšs de huit saisons, Ă©tait dĂ©sormais sous le feu des projecteurs. Son football — rigoureux, audacieux, vertical sans ĂȘtre naĂŻf — avait enflammĂ© l’Espagne.

Mais ce n’était pas lui qui attira l’attention ce jour-lĂ . C’était Lamar Jackson.

Lors d’un entretien fleuve accordĂ© Ă  The Guardian, l’ex-quarterback devenu coach visionnaire de Wrexham FC, et dĂ©sormais figure montante du football globalisĂ©, lĂącha une phrase lourde.

«Javi SĂĄnchez est l’un des meilleurs entraĂźneurs de cette gĂ©nĂ©ration. Et il aurait dĂ» briller bien plus tĂŽt. Il est restĂ© trop longtemps dans l’ombre. Pas dans l’ombre d’un club. Dans l’ombre d’un homme : AnĂ­bal GuimarĂŁes. »

Un silence. Puis un sourire.

« Soyons honnĂȘtes. Certains des trophĂ©es que vous associez Ă  AnĂ­bal
 c’est Javi qui les a dessinĂ©s. Le style, la structure, la rĂ©invention tactique : c’était lui, souvent. »

Les mots claquĂšrent comme une gifle en plein banquet.

Dans les couloirs de Valladolid, dans les coupes encore pleines, le nom d’Aníbal revenait. Pas comme un souvenir. Comme une comparaison.

Car si Javi avait Ă©tĂ© l’adjoint fidĂšle, le soldat silencieux du temps des conquĂȘtes Ă  Valladolid, puis Ă  Turin, Envigado, Palmeiras, Nagoya, Tijuana et Lisbonne, il n’avait jamais exigĂ© la lumiĂšre. Il avait attendu. Appris. Peaufiner. Mais certains se souvenaient.

Du pressing millimétré de 2032. Et les archives étaient là. Les caméras. Les réunions.

Javi parlait. Aníbal tranchait. Mais qui avait vraiment inventé ?

À Viana, AnĂ­bal GuimarĂŁes ne rĂ©agit pas.

Officiellement. Mais RĂșben Amorim, joint par Record, rĂ©pondit avec un demi-sourire :

« Ce que Lamar ne comprend pas, c’est que dans l’ombre aussi, on transmet la lumiĂšre. AnĂ­bal n’a jamais volĂ© de titre. Il a juste appris Ă  s’entourer des meilleurs. C’est aussi ça, ĂȘtre un grand. DerriĂšre chaque coach il y a des adjoints, de tout temps. »

Et pendant ce temps, Javi SĂĄnchez gardait le silence.

Lui qui avait tout gagné, refusa de commenter.

Mais certains assurĂšrent qu’il avait glissĂ© Ă  ses joueurs, dans l’intimitĂ© du vestiaire :

« On ne choisit pas d’oĂč l’on vient. Mais on peut choisir ce qu’on devient. »

Alors que Valladolid fĂȘtait son triplĂ©, et que les flammes des projecteurs dansaient sur ses murs, une question restait en suspens :

Et si les plus grandes Ɠuvres d’un homme portaient parfois les empreintes d’un autre ?

- Chapitre 673 -
- Une défense à reconstruire -
- Chapitre 675 -
Coming SOON - 18/05
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Alors lui il est aussi merdique que Tevez !!! Mais d’un autre cĂŽtĂ©, il est peut-ĂȘtre entrain de creuser sa tombe

C’est peut-ĂȘtre bien Javi Sanchez qui va le remplacer Ă  la tĂȘte de Wrexham


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Les dĂ©parts des joueurs majeurs que tu ne peux pas retenir
 La seule chose positive, c’est qu’elle te permet / force Ă  mettre un jeune Ă  la place et que peut-ĂȘtre, il peut Ă©clore et se rĂ©vĂ©ler.

Bravo Ă  Javi mais s’il n’avait pas passĂ© autant de temps auprĂšs d’Anibal, se serait-il lancĂ© ? Aurait-il eu autant de bagage tactique ? Il a beaucoup appris dans l’ombre et tant mieux si ça lui sert aujourd’hui.

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En mĂȘme temps, tu viens de dĂ©crire le job d’adjoint, trou du cul


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Tiens, Lamar est sorti de silence médiatique :grin:

Ça sent un peu la dĂ©prime du cĂŽtĂ© de Vianense, entre le dĂ©part de Raimundo, et tous les requins qui tournent autour des jeunes :grimacing:

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@VertPourToujours faut bien avoir des rivaux :hoho: Ce serait marrant en vrai :hoho:

@CaptainAmericka Façon vu les tarifs on a pas trop le choix on va pas se mentir. Et pour Javi on saura jamais en soit.

@toopil tu m’as tuĂ© :pasrire:

@alexgavi laissons le. Non ça va on a des jeunes ça va le faire. C’est surtout que c’est le premier mercato avec des gros dĂ©parts.

@FC_Guimaraes

- TévÚz signe le retour de Duarte à la maison -

Carlos TĂ©vez en avait rĂȘvĂ©. Pas sur un tableau noir ou dans une salle vidĂ©o.

Mais comme un homme rĂȘve d’un nom, d’une silhouette, d’un souvenir.

Depuis qu’il avait posĂ© ses valises Ă  l’EstĂĄdio JosĂ© Alvalade XXI, il rĂ©pĂ©tait Ă  ses proches, Ă  ses adjoints, aux recruteurs :

“Il y a un latĂ©ral Ă  Viana. Un vrai. Un pur. Il doit revenir.”

Ce nom, c’était Elton Duarte.

FormĂ© au Sporting, exilĂ© trop tĂŽt, rattrapĂ© in extremis par la petite porte Ă  Vianense, Elton s’était transformĂ©. En quatre saisons, il Ă©tait passĂ© de promesse discrĂšte Ă  cavalier flamboyant. Un latĂ©ral Ă  l’ancienne, coureur infatigable, passeur gĂ©nĂ©reux, buteur instinctif.

87 matchs. 12 buts. 23 passes décisives.

Mais plus que les chiffres, il avait Ă©tĂ© un Ă©tendard. De ces joueurs qu’on suit dans la tempĂȘte, mĂȘme sans savoir oĂč l’on va. MalgrĂ© ses dĂ©rapages.

Alors quand le Sporting CP posa 24 millions d’euros sur la table, personne Ă  Vianense ne fut surpris. Ni fĂąchĂ©.

Le travail avait été bien fait. Le joueur, respectueux du club avait personnellement appelé son coach. Le départ, digne.

Le communiquĂ© du club fut simple, sobre, Ă  l’image du garçon :

“Le SC Vianense remercie Elton Duarte pour son professionnalisme, son implication et son exemplaritĂ© durant ces quatre saisons. Bonne route, Cavalier.”

Mais ce fut AnĂ­bal GuimarĂŁes lui-mĂȘme qui ajouta la touche la plus personnelle :

— « Elton est un joueur rare. Et surtout, un homme. Il part par la grande porte. Il revient lĂ  oĂč tout a commencĂ©. Il a grandit, murĂźt et cela paye. C’est beau, non ? »

Et sur Instagram, dans un post sans filtre, sans logo, sans marque : Une photo d’Elton, 17 ans, sous la pluie Ă  Vianense, avec un maillot trempĂ©, les bras levĂ©s.

Et en légende :

“Obrigado Vianense. Merci pour m’avoir cru. Merci de m’avoir offert un foyer. Aujourd’hui je rĂ©alise un rĂȘve. Jouer au JosĂ© Alvalade, chez moi, avec le cƓur plein. Mais je n’oublierai jamais d’oĂč je viens. Uma vez cavaleiro, sempre cavaleiro.” :blue_heart: :lion:

Rien à voir avec le départ de Raimundo, quelques jours plus tÎt.

Lui Ă©tait parti sans un mot. Sans regard. Presque comme s’il fuyait.

Elton, lui, partait comme un homme quitte sa maison pour retrouver sa famille .

Et Ă  Viana, ce soir-lĂ , les supporters ne brĂ»lĂšrent pas son maillot. Ils l’accrochĂšrent dans les bars.

À cĂŽtĂ© de celui de Saqkeem, Tiago Sousa, de Afonso Valente, de tous ceux qui Ă©taient partis sans renier.

- - - Elton
Duarte - - -
Âge 21
Nationalité
:cape_verde: :portugal:
Cap Verdien
Apparitions 87
Buts 12
Assists 23
ANNEES CLUB :groot_played: :groot_scored: :groot_assist:
:portugal: 35/37 [U19] :grootsporting: Sporting CP 6 0 2
:portugal: 35/37 [B] :grootsporting: Sporting CP B 24 2 3
:portugal: 37/38 [U19] :vianense: SC Vianense 62 3 28
:portugal: 37/38 [B] :vianense: SC Vianense B 16 1 1
:portugal: 37/38 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 1 0 0
:portugal: 38/39 :ligaportugal2: [PRO] :vianense: SC Vianense 22 4 3
:portugal: 39/40 :ligaportugal2: [PRO] :vianense: SC Vianense 30 3 12
:portugal: 40/41 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 34 5 8
:cape_verde: 32/40 :caf: [A] :grootcapeverde: Cap Vert 11 0 6
35-41 TOTAL - - - - - 87 12 23
- Chapitre 674 -
- « C’était Javi Sanchez le vrai coach Â» -
- Chapitre 676 -
Coming SOON - 18/05
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Un dĂ©part en bon terme, mais qui fait mal. Surtout que c’est pour renforcer le Sporting de Tevez

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Difficile de voir partir un joueur chez un gros de son championnat mais difficile de le retenir aussi !
C’est la preuve que tu as fait du bon boulot !

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@Rhino ça me fait du mal de voir oĂč il pars mais c’est bon pour le storytelling.

@CaptainAmericka C’est ce que je me dit aussi.

- « L’institution au dessus de tout Â» -

Les camĂ©ras clignotaient, les micros frĂ©missaient. Le mercato battait son plein, et Vianense, dĂ©sormais club scrutĂ©, Ă©tait devenu cible. Raimundo Ă©tait dĂ©jĂ  parti. Elton Duarte venait d’en faire de mĂȘme. D’autres suivraient peut-ĂȘtre. Et ce jour-lĂ , AnĂ­bal GuimarĂŁes, fidĂšle Ă  lui-mĂȘme, n’avait pas fui.

Il entra dans la salle de presse sans lunettes de soleil, sans sourire de façade.

Costume bleu marine, chemise blanche impeccable, Ă©cusson du club soigneusement brodĂ© sur le coeur, regard fixe. Une Ă©paule tendue. L’autre relĂąchĂ©e.

Le message était déjà dans sa posture.

Il s’assit, et d’un signe discret, donna le feu vert.

La premiùre question fut l’une des plus douces.

« Mister, pouvez-vous commenter le début de mercato de votre club ? »

Il acquiesça lentement.

« On a Ă©tĂ© clairs en interne. Certains joueurs ont reçu un bon de sortie. Pas tous ne partiront. On a anticipĂ©. On s’est prĂ©parĂ©s. Le club avance. »

Il marqua une pause. Puis ajouta, d’une voix plus grave :

« Et surtout : le club est plus grand que n’importe quel joueur. Ceux qui pensent l’inverse savent oĂč se trouve la sortie. »

La phrase, nette, tomba comme une lame. Plusieurs tĂȘtes se tournĂšrent.

Alors une question fusa. Celle que tout le monde attendait :

« Mister
 ce message s’applique-t-il au dĂ©part de Raimundo ? »

AnĂ­bal se redressa, puis posa franchement les deux mains sur la table.

« Oui. »

« Raimundo a Ă©tĂ© soutenu ici, quand il a quittĂ© le Sporting. Il a Ă©tĂ© protĂ©gĂ©, accompagnĂ©, lancĂ©. Il a une seule saison pleine en pro. Une seule. Et dĂ©jĂ , il pense savoir mieux que ceux qui l’ont fait jouer. »

« Je ne suis pas en colĂšre. Je suis déçu. DĂ©cu par l’Homme. »

Il regarda droit dans les yeux celui qui avait posé la question.

« On parle de millions, de clauses, de projecteurs. Moi je parle de trajectoires. Et lĂ , je vois un gamin mal conseillĂ©. Et je vous le dis ici : il ne fera pas la carriĂšre qu’on lui promet. »

Silence dans la salle. Certains journalistes prirent une respiration plus courte que les autres.

Mais Aníbal n’avait pas fini.

« Heureusement, ce club ne manque pas de talents. DerriÚre ceux qui partent, il y a des jeunes qui grattent à la porte. Qui veulent vraiment. Qui respectent ce maillot. Qui ont faim. »

Il se leva. Lentement. Sans geste brusque.

« Ce mercato n’est pas une fin. C’est une mue. Et on verra, en mai, qui aura eu raison. »

Ce soir-lĂ , Ă  Viana, les radios nationales diffusĂšrent en boucle ses mots.

Et dans les rues, on commença déjà à parler de Francisco Maior, de Diogo Guimarães, de Nhlanhla.

Car derriĂšre chaque dĂ©part, AnĂ­bal ne voyait pas une perte. Il voyait un appel d’air .

- Chapitre 675 -
- TévÚz signe le retour de Duarte -
- Chapitre 677 -
Coming SOON - 20/05
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Ah, un peu difficile à digérer ce départ
 :joy:

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Il peut y voir une rentrĂ©e d’argent Ă  rĂ©investir sur de belles promesses :man_shrugging:

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@CaptainAmericka non non mais faut remettre l’église au centre du village :sac:

@toopil pas vraiment en lifeban chef.

Poke @Manthyz

@FC_Guimaraes

- Anibal remplacé par Ilaix pour la préparation -

Viana do Castelo. Juillet. Des battements de cƓur, une tempĂȘte.

Le soleil s’était levĂ© doucement sur la cĂŽte nord, mais dans la villa des GuimarĂŁes, le jour avait commencĂ© dans l’urgence. YĂ©ssica, Ă  huit mois et demi de grossesse, avait senti les premiĂšres douleurs. Moins vives que prĂ©vu, mais prĂ©cises. Le moment Ă©tait venu.

À des centaines de kilomĂštres de lĂ , AnĂ­bal dirigeait la prĂ©paration estivale du SC Vianense, Ă  Marbella. Mais dĂšs le premier appel, il n’avait pas hĂ©sitĂ©. Le club l’avait libĂ©rĂ©. Son fidĂšle adjoint, Ilaix Moriba, prendrait le relais.

AnĂ­bal roula toute la nuit.

À l’hĂŽpital SĂŁo SebastiĂŁo, dans une chambre aux murs pĂąles et Ă  la lumiĂšre tamisĂ©e, le monde bascula une premiĂšre fois.

Luisa. Petite, calme, déjà la grùce de sa mÚre dans les traits.

Et puis, sans prĂ©venir — quelques minutes plus tard, un cri.

Pedro.

MĂȘme bouche. MĂȘme yeux. Mais une peau Ă©bĂšne, une carnation profonde, hĂ©ritĂ©e d’un ailleurs.

Dans la piùce, il y eut d’abord un flottement.

Puis le mĂ©decin sourit. Un de ces sourires qu’on ne voit qu’une fois.

« C’est rare, mais ça arrive. Une naissance sur cinq cents. Deux jumeaux. Deux teintes. MĂȘme pĂšre. MĂȘme mĂšre. Juste
 l’ADN qui joue avec la mĂ©moire des ancĂȘtres. »

Mais dehors, le monde ne souriait pas.

Quelques heures plus tard, un paparazzi, embusquĂ© devant l’hĂŽpital, capta les premiers clichĂ©s.

Deux nourrissons, une mÚre alitée. Un choc visuel, volé sans autorisation.

Et la rumeur s’emballa. Encore. Comme toujours. Aníbal perdit le contrîle.

Il sortit de l’hĂŽpital, repĂ©ra l’homme derriĂšre l’objectif. Il n’y eut ni Ă©change, ni cri. Juste une main. Un geste.

L’appareil photo fut arrachĂ©. JetĂ© au sol. BrisĂ©.

« Tu publies ça, tu ne photographieras plus rien. »

Le silence s’abattit comme une chape de plomb. Face au tumulte, le couple rĂ©agit. Ni interview. Ni plateau. Ni dĂ©menti théùtral.

Juste un communiqué officiel, simple et droit :

:scroll: CommuniquĂ© — Famille GuimarĂŁes

“Nous avons la joie de vous annoncer la naissance de nos enfants, Luisa et Pedro.
Tous deux sont nĂ©s le mĂȘme jour, et comblent dĂ©jĂ  leurs parents Yessica et Anibal.

Une double naissance rare, mais parfaitement naturelle, due Ă  un hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique commun, comme cela arrive dans 1 cas sur 500. Les tests ADN ont confirmĂ© sans Ă©quivoque ce que nous avons toujours su : ils sont nos enfants. Ensemble. Égaux. AimĂ©s.

Nous demandons Ă  chacun de respecter leur intimitĂ©, et de laisser la science rĂ©pondre lĂ  oĂč la rumeur veut faire du bruit.

Merci à ceux qui nous aiment. Et silence aux autres.”

À Viana, ce communiquĂ© fit plus de bruit que n’importe quel transfert. Mais il imposa le respect.

Et sur les réseaux du club, les Cavaliers furent clairs :

“Bienvenue à Luisa et Pedro. Le sang du Lion. Le cƓur des Cavaliers.”

- Chapitre 676 -
- L’institution au dessus de tout -
- Chapitre 678 -
Coming SOON - 23/04
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bravo aux parents

oui la génétique va chercher loin des fois

moi par exemple: j’ai le sang A- alors parents et grand parents sont A+, ça remonte à plus loin

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La gĂ©nĂ©tique « Lamar Jackson Â»

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On veut voir les résultats du test ADN, on y croit pas !

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Sauf qu’il faudrait un rapport commun à 3 pour que ça soit Lamar le pùre (je doute de la partouze) ou IVG :wink:
C’est beau qu’Anibal n’ait pas mis sa main ailleurs que dans l’appareil photo

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Nous sachons, Coach Guimarães


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Ahhhh
 On n’empĂȘchera jamais les gens de parler.

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