Jâai trouvĂ© les raisons du succĂ©s dâAnibal !
Regardez bien lâimage : Il joue minimum en 4232 et sans gardien !
en plus dâici Ă ce quâun magnet soit cachĂ© derriĂšre son bras qui tiens le feutre, il nây a pas loin.
Il y a pas de secret. Quand on a des jeunes talents dans son groupe, on est toujours susceptible de se faire piller par plus grand. Une donnée à prendre en compte pour le coach
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@Akasha enfoirĂ©. Câest juste quâon travaille les offensives avec gardien.
@Rhino oui câest le jeu.
Poke @Manthyz
La saison venait de sâachever dans une explosion de feux dâartifice et de champagne. Le Real Valladolid, contre toute attente, avait signĂ© un triplĂ© historique, la Pucela avait remportĂ©e La Liga, arrachĂ©e au Real lors dâun sprint final haletant, La Copa del Rey, gagnĂ©e contre lâAtlĂ©tico aux tirs au but. Et surtout, la Championâs League, tournoi suprĂȘme pour tout grand club europĂ©en.
Javi SĂĄnchez, coach discret, posĂ©, Ă©lĂšve dâAnĂbal GuimarĂŁes pendant prĂšs de huit saisons, Ă©tait dĂ©sormais sous le feu des projecteurs. Son football â rigoureux, audacieux, vertical sans ĂȘtre naĂŻf â avait enflammĂ© lâEspagne.
Mais ce nâĂ©tait pas lui qui attira lâattention ce jour-lĂ . CâĂ©tait Lamar Jackson.
Lors dâun entretien fleuve accordĂ© Ă The Guardian, lâex-quarterback devenu coach visionnaire de Wrexham FC, et dĂ©sormais figure montante du football globalisĂ©, lĂącha une phrase lourde.
«Javi SĂĄnchez est lâun des meilleurs entraĂźneurs de cette gĂ©nĂ©ration. Et il aurait dĂ» briller bien plus tĂŽt. Il est restĂ© trop longtemps dans lâombre. Pas dans lâombre dâun club. Dans lâombre dâun homme : AnĂbal GuimarĂŁes. »
Un silence. Puis un sourire.
« Soyons honnĂȘtes. Certains des trophĂ©es que vous associez Ă AnĂbal⊠câest Javi qui les a dessinĂ©s. Le style, la structure, la rĂ©invention tactique : câĂ©tait lui, souvent. »
Les mots claquĂšrent comme une gifle en plein banquet.
Dans les couloirs de Valladolid, dans les coupes encore pleines, le nom dâAnĂbal revenait. Pas comme un souvenir. Comme une comparaison.
Car si Javi avait Ă©tĂ© lâadjoint fidĂšle, le soldat silencieux du temps des conquĂȘtes Ă Valladolid, puis Ă Turin, Envigado, Palmeiras, Nagoya, Tijuana et Lisbonne, il nâavait jamais exigĂ© la lumiĂšre. Il avait attendu. Appris. Peaufiner. Mais certains se souvenaient.
Du pressing millimétré de 2032. Et les archives étaient là . Les caméras. Les réunions.
Javi parlait. AnĂbal tranchait. Mais qui avait vraiment inventĂ© ?
Ă Viana, AnĂbal GuimarĂŁes ne rĂ©agit pas.
Officiellement. Mais RĂșben Amorim, joint par Record, rĂ©pondit avec un demi-sourire :
« Ce que Lamar ne comprend pas, câest que dans lâombre aussi, on transmet la lumiĂšre. AnĂbal nâa jamais volĂ© de titre. Il a juste appris Ă sâentourer des meilleurs. Câest aussi ça, ĂȘtre un grand. DerriĂšre chaque coach il y a des adjoints, de tout temps. »
Et pendant ce temps, Javi SĂĄnchez gardait le silence.
Lui qui avait tout gagné, refusa de commenter.
Mais certains assurĂšrent quâil avait glissĂ© Ă ses joueurs, dans lâintimitĂ© du vestiaire :
« On ne choisit pas dâoĂč lâon vient. Mais on peut choisir ce quâon devient. »
Alors que Valladolid fĂȘtait son triplĂ©, et que les flammes des projecteurs dansaient sur ses murs, une question restait en suspens :
Et si les plus grandes Ćuvres dâun homme portaient parfois les empreintes dâun autre ?
Alors lui il est aussi merdique que Tevez !!! Mais dâun autre cĂŽtĂ©, il est peut-ĂȘtre entrain de creuser sa tombeâŠ
Câest peut-ĂȘtre bien Javi Sanchez qui va le remplacer Ă la tĂȘte de WrexhamâŠ
Les dĂ©parts des joueurs majeurs que tu ne peux pas retenir⊠La seule chose positive, câest quâelle te permet / force Ă mettre un jeune Ă la place et que peut-ĂȘtre, il peut Ă©clore et se rĂ©vĂ©ler.
Bravo Ă Javi mais sâil nâavait pas passĂ© autant de temps auprĂšs dâAnibal, se serait-il lancĂ© ? Aurait-il eu autant de bagage tactique ? Il a beaucoup appris dans lâombre et tant mieux si ça lui sert aujourdâhui.
En mĂȘme temps, tu viens de dĂ©crire le job dâadjoint, trou du culâŠ
Tiens, Lamar est sorti de silence médiatique
Ăa sent un peu la dĂ©prime du cĂŽtĂ© de Vianense, entre le dĂ©part de Raimundo, et tous les requins qui tournent autour des jeunes
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@VertPourToujours faut bien avoir des rivaux Ce serait marrant en vrai
@CaptainAmericka Façon vu les tarifs on a pas trop le choix on va pas se mentir. Et pour Javi on saura jamais en soit.
@toopil tu mâas tuĂ©
@alexgavi laissons le. Non ça va on a des jeunes ça va le faire. Câest surtout que câest le premier mercato avec des gros dĂ©parts.
Carlos TĂ©vez en avait rĂȘvĂ©. Pas sur un tableau noir ou dans une salle vidĂ©o.
Mais comme un homme rĂȘve dâun nom, dâune silhouette, dâun souvenir.
Depuis quâil avait posĂ© ses valises Ă lâEstĂĄdio JosĂ© Alvalade XXI, il rĂ©pĂ©tait Ă ses proches, Ă ses adjoints, aux recruteurs :
âIl y a un latĂ©ral Ă Viana. Un vrai. Un pur. Il doit revenir.â
Ce nom, câĂ©tait Elton Duarte.
FormĂ© au Sporting, exilĂ© trop tĂŽt, rattrapĂ© in extremis par la petite porte Ă Vianense, Elton sâĂ©tait transformĂ©. En quatre saisons, il Ă©tait passĂ© de promesse discrĂšte Ă cavalier flamboyant. Un latĂ©ral Ă lâancienne, coureur infatigable, passeur gĂ©nĂ©reux, buteur instinctif.
87 matchs. 12 buts. 23 passes décisives.
Mais plus que les chiffres, il avait Ă©tĂ© un Ă©tendard. De ces joueurs quâon suit dans la tempĂȘte, mĂȘme sans savoir oĂč lâon va. MalgrĂ© ses dĂ©rapages.
Alors quand le Sporting CP posa 24 millions dâeuros sur la table, personne Ă Vianense ne fut surpris. Ni fĂąchĂ©.
Le travail avait été bien fait. Le joueur, respectueux du club avait personnellement appelé son coach. Le départ, digne.
Le communiquĂ© du club fut simple, sobre, Ă lâimage du garçon :
âLe SC Vianense remercie Elton Duarte pour son professionnalisme, son implication et son exemplaritĂ© durant ces quatre saisons. Bonne route, Cavalier.â
Mais ce fut AnĂbal GuimarĂŁes lui-mĂȘme qui ajouta la touche la plus personnelle :
â « Elton est un joueur rare. Et surtout, un homme. Il part par la grande porte. Il revient lĂ oĂč tout a commencĂ©. Il a grandit, murĂźt et cela paye. Câest beau, non ? »
Et sur Instagram, dans un post sans filtre, sans logo, sans marque : Une photo dâElton, 17 ans, sous la pluie Ă Vianense, avec un maillot trempĂ©, les bras levĂ©s.
Et en légende :
âObrigado Vianense. Merci pour mâavoir cru. Merci de mâavoir offert un foyer. Aujourdâhui je rĂ©alise un rĂȘve. Jouer au JosĂ© Alvalade, chez moi, avec le cĆur plein. Mais je nâoublierai jamais dâoĂč je viens. Uma vez cavaleiro, sempre cavaleiro.â
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Rien à voir avec le départ de Raimundo, quelques jours plus tÎt.
Lui Ă©tait parti sans un mot. Sans regard. Presque comme sâil fuyait.
Elton, lui, partait comme un homme quitte sa maison pour retrouver sa famille .
Et Ă Viana, ce soir-lĂ , les supporters ne brĂ»lĂšrent pas son maillot. Ils lâaccrochĂšrent dans les bars.
à cÎté de celui de Saqkeem, Tiago Sousa, de Afonso Valente, de tous ceux qui étaient partis sans renier.
- - - Elton |
Duarte - - - |
Ăge | 21 |
Nationalité | ![]() ![]() |
Apparitions | 87 |
Buts | 12 |
Assists | 23 |
ANNEES | CLUB | ![]() |
![]() |
![]() |
||||
![]() |
35/37 | [U19] | ![]() |
Sporting CP | 6 | 0 | 2 | |
![]() |
35/37 | [B] | ![]() |
Sporting CP B | 24 | 2 | 3 | |
![]() |
37/38 | [U19] | ![]() |
SC Vianense | 62 | 3 | 28 | |
![]() |
37/38 | [B] | ![]() |
SC Vianense B | 16 | 1 | 1 | |
![]() |
37/38 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
SC Vianense | 1 | 0 | 0 |
![]() |
38/39 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
SC Vianense | 22 | 4 | 3 |
![]() |
39/40 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
SC Vianense | 30 | 3 | 12 |
![]() |
40/41 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
SC Vianense | 34 | 5 | 8 |
![]() |
32/40 | ![]() |
[A] | ![]() |
Cap Vert | 11 | 0 | 6 |
35-41 | TOTAL - - - - - | 87 | 12 | 23 |
Un dĂ©part en bon terme, mais qui fait mal. Surtout que câest pour renforcer le Sporting de Tevez
Difficile de voir partir un joueur chez un gros de son championnat mais difficile de le retenir aussi !
Câest la preuve que tu as fait du bon boulot !
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@Rhino ça me fait du mal de voir oĂč il pars mais câest bon pour le storytelling.
@CaptainAmericka Câest ce que je me dit aussi.
Les camĂ©ras clignotaient, les micros frĂ©missaient. Le mercato battait son plein, et Vianense, dĂ©sormais club scrutĂ©, Ă©tait devenu cible. Raimundo Ă©tait dĂ©jĂ parti. Elton Duarte venait dâen faire de mĂȘme. Dâautres suivraient peut-ĂȘtre. Et ce jour-lĂ , AnĂbal GuimarĂŁes, fidĂšle Ă lui-mĂȘme, nâavait pas fui.
Il entra dans la salle de presse sans lunettes de soleil, sans sourire de façade.
Costume bleu marine, chemise blanche impeccable, Ă©cusson du club soigneusement brodĂ© sur le coeur, regard fixe. Une Ă©paule tendue. Lâautre relĂąchĂ©e.
Le message était déjà dans sa posture.
Il sâassit, et dâun signe discret, donna le feu vert.
La premiĂšre question fut lâune des plus douces.
« Mister, pouvez-vous commenter le début de mercato de votre club ? »
Il acquiesça lentement.
« On a Ă©tĂ© clairs en interne. Certains joueurs ont reçu un bon de sortie. Pas tous ne partiront. On a anticipĂ©. On sâest prĂ©parĂ©s. Le club avance. »
Il marqua une pause. Puis ajouta, dâune voix plus grave :
« Et surtout : le club est plus grand que nâimporte quel joueur. Ceux qui pensent lâinverse savent oĂč se trouve la sortie. »
La phrase, nette, tomba comme une lame. Plusieurs tĂȘtes se tournĂšrent.
Alors une question fusa. Celle que tout le monde attendait :
« Mister⊠ce message sâapplique-t-il au dĂ©part de Raimundo ? »
AnĂbal se redressa, puis posa franchement les deux mains sur la table.
« Oui. »
« Raimundo a Ă©tĂ© soutenu ici, quand il a quittĂ© le Sporting. Il a Ă©tĂ© protĂ©gĂ©, accompagnĂ©, lancĂ©. Il a une seule saison pleine en pro. Une seule. Et dĂ©jĂ , il pense savoir mieux que ceux qui lâont fait jouer. »
« Je ne suis pas en colĂšre. Je suis déçu. DĂ©cu par lâHomme. »
Il regarda droit dans les yeux celui qui avait posé la question.
« On parle de millions, de clauses, de projecteurs. Moi je parle de trajectoires. Et lĂ , je vois un gamin mal conseillĂ©. Et je vous le dis ici : il ne fera pas la carriĂšre quâon lui promet. »
Silence dans la salle. Certains journalistes prirent une respiration plus courte que les autres.
Mais AnĂbal nâavait pas fini.
« Heureusement, ce club ne manque pas de talents. DerriÚre ceux qui partent, il y a des jeunes qui grattent à la porte. Qui veulent vraiment. Qui respectent ce maillot. Qui ont faim. »
Il se leva. Lentement. Sans geste brusque.
« Ce mercato nâest pas une fin. Câest une mue. Et on verra, en mai, qui aura eu raison. »
Ce soir-lĂ , Ă Viana, les radios nationales diffusĂšrent en boucle ses mots.
Et dans les rues, on commença déjà à parler de Francisco Maior, de Diogo Guimarães, de Nhlanhla.
Car derriĂšre chaque dĂ©part, AnĂbal ne voyait pas une perte. Il voyait un appel dâair .
Ah, un peu difficile Ă digĂ©rer ce dĂ©partâŠ
Il peut y voir une rentrĂ©e dâargent Ă rĂ©investir sur de belles promesses
Réponses aux lecteurs
@CaptainAmericka non non mais faut remettre lâĂ©glise au centre du village
@toopil pas vraiment en lifeban chef.
Poke @Manthyz
Viana do Castelo. Juillet. Des battements de cĆur, une tempĂȘte.
Le soleil sâĂ©tait levĂ© doucement sur la cĂŽte nord, mais dans la villa des GuimarĂŁes, le jour avait commencĂ© dans lâurgence. YĂ©ssica, Ă huit mois et demi de grossesse, avait senti les premiĂšres douleurs. Moins vives que prĂ©vu, mais prĂ©cises. Le moment Ă©tait venu.
Ă des centaines de kilomĂštres de lĂ , AnĂbal dirigeait la prĂ©paration estivale du SC Vianense, Ă Marbella. Mais dĂšs le premier appel, il nâavait pas hĂ©sitĂ©. Le club lâavait libĂ©rĂ©. Son fidĂšle adjoint, Ilaix Moriba, prendrait le relais.
AnĂbal roula toute la nuit.
Ă lâhĂŽpital SĂŁo SebastiĂŁo, dans une chambre aux murs pĂąles et Ă la lumiĂšre tamisĂ©e, le monde bascula une premiĂšre fois.
Luisa. Petite, calme, déjà la grùce de sa mÚre dans les traits.
Et puis, sans prĂ©venir â quelques minutes plus tard, un cri.
Pedro.
MĂȘme bouche. MĂȘme yeux. Mais une peau Ă©bĂšne, une carnation profonde, hĂ©ritĂ©e dâun ailleurs.
Dans la piĂšce, il y eut dâabord un flottement.
Puis le mĂ©decin sourit. Un de ces sourires quâon ne voit quâune fois.
« Câest rare, mais ça arrive. Une naissance sur cinq cents. Deux jumeaux. Deux teintes. MĂȘme pĂšre. MĂȘme mĂšre. Juste⊠lâADN qui joue avec la mĂ©moire des ancĂȘtres. »
Mais dehors, le monde ne souriait pas.
Quelques heures plus tard, un paparazzi, embusquĂ© devant lâhĂŽpital, capta les premiers clichĂ©s.
Deux nourrissons, une mÚre alitée. Un choc visuel, volé sans autorisation.
Et la rumeur sâemballa. Encore. Comme toujours. AnĂbal perdit le contrĂŽle.
Il sortit de lâhĂŽpital, repĂ©ra lâhomme derriĂšre lâobjectif. Il nây eut ni Ă©change, ni cri. Juste une main. Un geste.
Lâappareil photo fut arrachĂ©. JetĂ© au sol. BrisĂ©.
« Tu publies ça, tu ne photographieras plus rien. »
Le silence sâabattit comme une chape de plomb. Face au tumulte, le couple rĂ©agit. Ni interview. Ni plateau. Ni dĂ©menti théùtral.
Juste un communiqué officiel, simple et droit :
CommuniquĂ© â Famille GuimarĂŁes
âNous avons la joie de vous annoncer la naissance de nos enfants, Luisa et Pedro.
Tous deux sont nĂ©s le mĂȘme jour, et comblent dĂ©jĂ leurs parents Yessica et Anibal.Une double naissance rare, mais parfaitement naturelle, due Ă un hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique commun, comme cela arrive dans 1 cas sur 500. Les tests ADN ont confirmĂ© sans Ă©quivoque ce que nous avons toujours su : ils sont nos enfants. Ensemble. Ăgaux. AimĂ©s.
Nous demandons Ă chacun de respecter leur intimitĂ©, et de laisser la science rĂ©pondre lĂ oĂč la rumeur veut faire du bruit.
Merci Ă ceux qui nous aiment. Et silence aux autres.â
Ă Viana, ce communiquĂ© fit plus de bruit que nâimporte quel transfert. Mais il imposa le respect.
Et sur les réseaux du club, les Cavaliers furent clairs :
âBienvenue Ă Luisa et Pedro. Le sang du Lion. Le cĆur des Cavaliers.â
bravo aux parents
oui la génétique va chercher loin des fois
moi par exemple: jâai le sang A- alors parents et grand parents sont A+, ça remonte Ă plus loin
La génétique « Lamar Jackson »
On veut voir les résultats du test ADN, on y croit pas !
Sauf quâil faudrait un rapport commun Ă 3 pour que ça soit Lamar le pĂšre (je doute de la partouze) ou IVG
Câest beau quâAnibal nâait pas mis sa main ailleurs que dans lâappareil photo
Nous sachons, Coach GuimarĂŁesâŠ
Ahhhh⊠On nâempĂȘchera jamais les gens de parler.