:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

Une mauvaise nouvelle pour Anibal ça. Un dĂ©part risque d’ĂȘtre compliquĂ© Ă  organiser

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RĂ©ponses aux lecteurs

@CaptainAmericka c’est un peu ça mais ça lui pendait au nez.

@VertPourToujours Parce qu’il a un contrat avec une option de prolongation pour le club :pasrire:

@Rhino Ă  suivre.

- Anibal arrive au Brésil pour palmeiras -

De retour en Colombie pour une sĂ©rie de rendez-vous avec les avocats d’Envigado, Anibal sentait la pression monter. Ce retour dans le pays n’avait rien d’anodin. Sa relation avec le club devenait de plus en plus complexe, et l’influence du nouveau propriĂ©taire, Ezekiel Reyes, ajoutait une ombre menaçante Ă  chaque discussion. L’ambiance Ă©tait lourde, teintĂ©e d’incertitudes. Cependant, au beau milieu de cette tourmente, une lueur inattendue apparut sous la forme d’un appel de Rafaela Pimienta, son agent fidĂšle.

« Anibal ! Devine oĂč je suis ? »

Anibal se sentait excitĂ© de dĂ©couvrir le pourquoi de l’appel de Rafaela. « Si tu m’appelles avec cette Ă©nergie, j’imagine que tu es quelque part qui pourrait changer mon avenir
 »

La truculente agente ne put cacher ses intentions plus longtemps et annonça Ă  Anibal qu’il devait l’a rejoindre. « Exactement ! Je suis Ă  SĂŁo Paulo, et j’ai un rendez-vous pour toi avec Palmeiras. Ils sont trĂšs sĂ©rieux, Ani. Ils veulent que tu les rencontres le plus vite possible. »

Le nom de Palmeiras rĂ©sonna dans l’esprit d’Anibal. Le club lĂ©gendaire du football brĂ©silien, aurĂ©olĂ© de gloire, venait de dominer la scĂšne sud-amĂ©ricaine et souhaitait conserver son titre national et continental. Il en avait parlĂ© quelques semaines avant avec Diego Mauricio et EstevĂŁo. « Palmeiras ? Ils viennent de tout gagner. Pourquoi voudraient-ils de moi, alors qu’ils pourraient choisir quelqu’un avec une trajectoire sans taches ? »

Rafaela expliqua alors Ă  son client le concours de circonstances qui avait ouvert les portes du VerdĂŁo au coach. « Justement, ils pensent que ton expĂ©rience est ce qu’il leur faut. Ils ont une lĂ©gende prĂȘte Ă  prendre le poste, mais il lui manque encore un an pour finaliser ses diplĂŽmes d’entraĂźneur aprĂšs sa retraite sportive. Ils veulent que tu les Ă©paules en attendant, pour guider l’équipe et faire briller leurs jeunes joueurs. »

Anibal, d’abord surpris, sentit une Ă©tincelle d’enthousiasme naĂźtre en lui. La perspective de se mesurer au niveau brĂ©silien le sĂ©duisait. Mais il savait aussi que toute dĂ©cision devait ĂȘtre prise en accord avec Yessica, sa femme, et en pensant Ă  leur vie de famille. Sans hĂ©siter, il rĂ©pondit : « Donne-moi quelques heures, Rafaela. J’ai besoin de rĂ©flĂ©chir Ă  ça sĂ©rieusement, et surtout de parler Ă  Yessica. »

Quelques heures plus tard, Anibal dĂ©barquait Ă  l’aĂ©roport de Rio sans avoir parler avec sa femme, accueilli par Rafaela qui l’emmena directement au siĂšge de Palmeiras. LĂ , il fut introduit auprĂšs du prĂ©sident du club, accompagnĂ© des dirigeants et du directeur sportif. Les discussions furent intenses et trĂšs chaleureuses. Gabriel Jesus, ancien pro passĂ© par Manchester City et Arsenal, retraitĂ© et devenu directeur sportif expliqua Ă  Anibal l’intĂ©ret de son club. « Anibal, nous savons ce que tu as accompli en Europe et ici en AmĂ©rique du Sud. Ce que nous voulons, c’est que tu insuffles cette expĂ©rience Ă  notre Ă©quipe, particuliĂšrement Ă  nos jeunes. L’objectif est simple : prĂ©server nos titres et prĂ©parer le terrain pour l’avenir du club. »

Anibal flattĂ© remercia Gabriel. « C’est un grand dĂ©fi que vous me proposez. Le groupe actuel est excellent, et je sais qu’il y a des talents incroyables dans le centre de formation. Mais pour ĂȘtre honnĂȘte, j’ai besoin de stabilitĂ© pour ma famille. J’ai eu quelques annĂ©es agitĂ©es et ma femme aspire Ă  un environnement serein. Je ne sais pas si c’est le bon moment.»

Gabriel hocha la tĂȘte, comprĂ©hensif. « Je comprends parfaitement, Anibal. C’est aussi notre prioritĂ©. Si tu acceptes, nous nous engageons Ă  mettre Ă  disposition une villa sĂ©curisĂ©e, on en a dĂ©jĂ  identifiĂ© plusieurs, ainsi que tous les moyens nĂ©cessaires pour assurer la sĂ©curitĂ© et la tranquillitĂ© de ta famille. »

Le regard d’Anibal s’illumina un peu plus. La proposition de Palmeiras Ă©tait complĂšte, respectueuse de ses besoins personnels et professionnels. AprĂšs plusieurs heures de discussions, il avait presque pris sa dĂ©cision, mais une ultime demande le ramena Ă  la rĂ©alitĂ©. « Je suis honorĂ© de votre proposition. Mais
 pourriez-vous me laisser une semaine pour me dĂ©cider ? J’ai besoin d’en parler Ă  Yessica ma femme. Sans compter qu’il me faudra rĂ©gler quelques formalitĂ©s avec Envigado quelque soit ma dĂ©cision. »

Les dirigeants acquiescĂšrent, respectueux de cette nĂ©cessitĂ© familiale. Une fois de retour Ă  son hĂŽtel, Anibal appela immĂ©diatement sa femme. « Yessica, j’ai besoin de ton avis. Palmeiras est prĂȘt Ă  m’offrir un contrat pour une saison, et ils sont trĂšs sĂ©rieux. Ils nous offrent un cadre de vie stable, une villa sĂ©curisĂ©e, tout pour nous permettre de vivre sereinement. »

Sa femme compris que la proposition brĂ©silienne avait fait mouche, et elle se souvenait des mots de Diego Mauricio « Ani, je vois bien que cette proposition te touche. Et si c’est ce que tu veux
 je te suivrai. Mais, avant de dire oui, pense aussi Ă  notre Ă©quilibre. On doit ĂȘtre en sĂ©curitĂ© et vivre dans la tranquillitĂ© pour accueillir notre enfant. Il faut que l’on en discute ensemble. »

Anibal (hĂ©sitant mais touchĂ©) : « C’est justement ce qui me retient. J’ai tant Ă  donner encore, mais je veux ĂȘtre prĂ©sent pour toi et notre enfant. »

Le lendemain, seul dans sa chambre, Anibal passa des heures Ă  peser le pour et le contre. La pression du choix Ă©tait pesante face aux options qui s’ouvraient devant lui.


Palmeiras

- - - sociedad Esportiva
Football club - - -
- - - SE
palmeiras - - -
fondation 1882
:serieabre: Brasileirao :trophy:
:campeonato_paulista: Campeonato Paulista :3rd_place_medal:
:copa_brazil: Copa Brasil T3
:grootliberta: Copa Libertadores :trophy:
M Buteur
M Passeur
E.Macachero (23 B)
Vinicius Jr (19 A)
- Chapitre 358 -
- Ezekiel Reyes, nouveau propriétaire -
- Chapitre 359 -
Coming SOON - 30/10
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Ahhhh lo Brazil L’Internacional, el Gremio, Fluminense, Flamenco, Santos les grands clubs de ma jeunesse

Il va avoir de quoi s’amuser avec les jeunes pĂ©pites.

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Ca ne peut que lui faire du bien d’aller là-bas !! Il a tout à y gagner ! Fonce Ani !!

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Bonne destination, en espĂ©rant que Reyes n’ait pas des accointances avec les cartels locaux, sinon, cela ne sera que dĂ©placer le problĂšme 


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Sur papier, une belle destination. Mais on est pas à l’abri d’un retournement de situation

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Bien-sĂ»r qu’il y a du foot Ă  Cusco. Rien qu’en D1, on trouve Cenciano, Cusco FC et Deportivo Garcilaso.

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RĂ©ponses aux lecteurs

@VertPourToujours ta jeunesse :hoho: ça nous rajeunit pas :sac:

@CaptainAmericka on va voir, y’a plusieurs paramùtres à prendre en compte.

@Manthyz c’est aussi une donnĂ©e Ă  ne pas nĂ©gliger.

@Rhino ZIP IT

@toopil <3

- L’heure du choix, Anibal consulte Yessica -

Anibal, l’esprit embrumĂ© par les choix qui s’accumulaient, composa le numĂ©ro de Yessica. Il savait que sa voix douce et rassurante serait un ancrage dans cette mer de dĂ©cisions incertaines. Alors que le tĂ©lĂ©phone sonnait, il inspira profondĂ©ment, prĂȘt Ă  Ă©voquer toutes ces propositions qui tournaient en boucle dans son esprit.

« Hola, amor. Comment ça va ? »

Yessica sentit tout de suite qu’Ani Ă©tait prĂ©occupĂ© « Ça va, mon chĂ©ri. Mais toi, tu sembles ailleurs
 »

Anibal ne pu cacher sa prĂ©occupation du moment. « Tu me connais trop bien. Je suis complĂštement perdu entre ces opportunitĂ©s. J’ai besoin de ton avis, sincĂšrement. »

Yessica resta silencieuse un instant, consciente de l’importance de cette conversation. Anibal lui expliqua alors en dĂ©tail chaque proposition qui se prĂ©sentait Ă  lui : Boca Juniors en Argentine, Palmeiras au BrĂ©sil, et enfin, de maniĂšre plus inattendue, le Vissel Kobe au Japon. « Pour le Japon, c’est tentant
 Ils m’offrent une stabilitĂ© qu’on ne peut pas nier. Le Vissel Kobe est un club respectĂ©, le championnat est compĂ©titif, et les conditions sont excellentes. Mais
 je ne sais pas si c’est l’endroit oĂč je veux accueillir notre fille. »

Yessica confirma les craintes d’Anibal sur la proposition nippone « Et moi alors ? » rit-elle doucement. « Anibal, tu me vois donner naissance Ă  notre fille lĂ -bas, si loin de nos cultures, de nos langues ? Ce serait une expĂ©rience unique, oui, mais
 pas pour y faire nĂąitre un enfant avec le stress qui va avec. Mais pourquoi pas prochainement. »

Ils Ă©changĂšrent un regard complice Ă  travers l’écran de leurs tĂ©lĂ©phones, une comprĂ©hension muette s’établissant entre eux. L’option japonaise fut mise de cĂŽtĂ©, et ils se tournĂšrent vers les deux autres possibilitĂ©s. « Alors il reste deux options. Boca Juniors en Argentine, ce serait une ambiance incroyable. L’idĂ©e de coacher un club aussi mythique, avec toute l’énergie de Buenos Aires
 Imagine l’adrĂ©naline ! »

Yessica aimait bien l’idĂ©e mais l’éloignement des clubs en Argentine lui faisait peur, tout comme la montĂ©e rĂ©cente des extrĂȘmes dans le paysage politique local. « Oui, c’est sĂ»r que l’énergie y serait folle. Tu as toujours rĂȘvĂ© de vivre ce genre de passion. Mais l’Argentine, ça veut aussi dire des dĂ©placements frĂ©quent dans tous le pays, un environnement chargĂ©. Les tensions y sont parfois extrĂȘmes. Je veux dire, c’est Boca, aprĂšs tout. »

Anibal rĂ©flĂ©chit, sachant que Yessica avait raison. La ferveur argentine, si sĂ©duisante soit-elle, venait aussi avec ses dĂ©fis. Mais c’est alors que la proposition brĂ©silienne de Palmeiras entra Ă  nouveau en scĂšne. « Et puis il y a Palmeiras. Le BrĂ©sil, on en a parlĂ© tellement de fois
 Leur projet est simple, bien structurĂ©. Je serais lĂ  pour une saison, pour stabiliser l’équipe et transmettre mes compĂ©tences Ă  leurs jeunes talents. C’est plus serein, on aurait un cadre de vie plus stable, plus familier, et
 EstevĂŁo et Diego Mauricio ne nous ont jamais cachĂ© que Rio ou SĂŁo Paulo sont bien plus sĂ»rs qu’on pourrait le croire. »

Yessica se remĂ©mora les mots rassurants de ses amis de longue date, EstevĂŁo et Diego, qui avaient encouragĂ© Anibal Ă  se rapprocher de leurs racines brĂ©siliennes, assurant que la vie Ă  Rio pouvait offrir une stabilitĂ© surprenante. « Je pense que nos amis n’avaient pas tort, Ani. Le BrĂ©sil, c’est comme un juste milieu, non ? On serait prĂšs de tout ce qui nous est cher, mais on aurait aussi un cadre pour accueillir notre enfant sans les inquiĂ©tudes que l’on a connues en Colombie. Je sais qu’il y a moins de dĂ©placement entre le championnat rĂ©gional et les nombreux clubs Ă  Rio. En plus ce sont aussi tes origines. Ce serait
 moins chaotique, tu ne trouves pas ? »

Anibal acquiesça lentement. Il imaginait ce projet Ă  Palmeiras comme une porte ouverte vers un dernier dĂ©fi en AmĂ©rique du Sud, mais dans un contexte plus Ă©quilibrĂ©. En tant que pĂšre en devenir, il souhaitait que sa famille puisse s’épanouir dans un environnement moins intense, tout en restant dans un cadre qui vibrerait d’émotion et de passion pour le football. « Oui, je crois que le BrĂ©sil pourrait ĂȘtre ce qu’il nous faut. Palmeiras m’a impressionnĂ©. Leur centre de formation est remarquable, et j’aurai la chance d’entraĂźner des jeunes, de transmettre quelque chose de durable, sans les turbulences qui entourent Boca. Et si ce n’est que pour un an, ça pourrait nous convenir Ă  tous les deux. Et je vais pas te cacher que voir notre fille naĂźtre dans la ville de mes ancĂȘtes aurait une saveur des plus singuliĂšres. »

Ils Ă©changĂšrent encore un instant, chacun visualisant leur possible vie au BrĂ©sil. Au-delĂ  de tout cela, Anibal rĂ©alisa que le choix ne concernait pas seulement sa carriĂšre, mais le bien-ĂȘtre de sa famille, leur sĂ©curitĂ©, et leur stabilitĂ©. Yessica le soutenait pleinement, mais sa dĂ©claration suivante scella sa dĂ©cision. « Ani, je te suivrai oĂč tu iras, mais je veux qu’on soit tous les trois heureux, en paix. Si c’est le BrĂ©sil qui te donne cette opportunitĂ©, alors
 je crois que c’est lĂ  que notre fille devrait voir le jour. Ta mĂšre serait si fiĂšre de nous. »

Ce fut la rĂ©vĂ©lation ultime. La perspective de s’établir dans une culture passionnĂ©e, mais moins mouvementĂ©e que l’Argentine, lui sembla soudain comme la dĂ©cision la plus sage. Anibal sentit alors que Palmeiras pourrait ĂȘtre le lieu oĂč il pourrait, pour une saison, mĂȘler passion du football et sĂ©rĂ©nitĂ© familiale. « C’est dĂ©cidĂ© alors. Demain, je donnerai ma rĂ©ponse Ă  Rafaela pour qu’elle entame les derniĂšres nĂ©gociations. On se dirige vers le BrĂ©sil, amor. »

Leurs regards s’illuminĂšrent de soulagement, de bonheur, et de sĂ©rĂ©nitĂ© face Ă  cette nouvelle perspective de vie. Pour Anibal, c’était le dĂ©but d’une aventure diffĂ©rente, un tournant autant personnel que professionnel, une promesse de stabilitĂ© pour lui et sa future famille au cƓur du football brĂ©silien.

- Chapitre 359 -
- Anibal arrive au Brésil pour Palmeiras -
- Chapitre 361 -
Coming SOON - 31/10
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Sao Paulo - Rio ce n’est pas non plus Ă  cĂŽté  mais c’est vrai que ça devrait ĂȘtre plus calme que la Colombie ou mĂȘme Buenos Aires

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Trùs bon choix ça ! Le temps d’un instant, se faire plaisir une saison, se poser sereinement.

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RĂ©ponses aux lecteurs

@VertPourToujours t’inquiĂšte pas pour la gĂ©ographie. Oui on espĂ©re du calme. On verra.

@CaptainAmericka c’est l’idĂ©e.

- Envigado veut utiliser la clause pour ani -

De retour en Colombie, Anibal se rendit au siĂšge du club pour rencontrer Ezekiel Reyes. Sa dĂ©cision de rejoindre Palmeiras Ă©tant prise, il espĂ©rait maintenant une sortie rapide et discrĂšte, mais il savait que la tĂąche serait ardue. Reyes n’était pas un homme Ă  accepter facilement la dĂ©sertion, surtout lorsqu’il voyait en Anibal la clĂ© pour propulser Envigado dans la prestigieuse Libertadores.

Anibal pĂ©nĂ©tra dans le bureau de Reyes, oĂč ce dernier l’attendait, confortablement installĂ© dans un large fauteuil en cuir. DerriĂšre lui, une fenĂȘtre offrait une vue imprenable sur la ville, rappelant implicitement l’étendue de son influence sur MedellĂ­n et ses environs. L’atmosphĂšre pesante laissait prĂ©sager un entretien tendu. « Anibal ! Content de te voir. Alors, que puis-je faire pour toi ? On parle renforts pour la Libertadores ? »

Anibal lui ne voyait pas les choses de cette façon et ne tergiversa pas. « Reyes
 Je suis venu te parler de mon dĂ©part. Je te remercie de l’opportunitĂ©, mais cette aventure s’arrĂȘte ici pour moi. »

Le sourire de Reyes s’évanouit instantanĂ©ment, remplacĂ© par un regard glacial. « Ton dĂ©part ? Pas question, Anibal. Tu as menĂ© cette Ă©quipe en haut du classement et jusqu’à un titre continental ! La Libertadores nous attend. On t’a engagĂ© pour aller jusqu’au bout, et c’est ce que tu feras. Nous avons une option pour prolonger ton contrat.»

Anibal prit une profonde inspiration, dĂ©cidant de ne pas se laisser intimider. « Reyes, tu sais trĂšs bien pourquoi ça ne fonctionnera pas. AprĂšs ce qu’il s’est passĂ© l’an dernier avec ma famille et la pression exercĂ©e, tu ne peux pas t’attendre Ă  ce que je continue comme si de rien n’était. Laissez-moi partir. J’ai donnĂ© tout ce que je pouvais ici. »

Reyes croisa les bras, esquissant un sourire narquois. « Anibal, ce qui s’est passĂ© l’an dernier Ă©tait
 regrettable, j’en conviens. Mais c’est du passĂ©, non ? Et puis, tu as rĂ©ussi, tu es devenu un hĂ©ros pour la ville. Et maintenant tu veux abandonner, me laisser sans coach pour la Libertadores ? »

Avec ces mots, Reyes ne fit qu’accentuer la volontĂ© de son coach d’en finir. « Regrettable, c’est le mot ? » Anibal eut un rictus amer. « Mes joueurs ? Ils avaient des prolongations qui leur auraient assurĂ© un avenir stable ici, et ton cartel a tout sabordĂ©. Beaucoup ont quittĂ© le club Ă  cause de ça, Reyes. Et tu t’attends Ă  ce que je reste lĂ , les bras croisĂ©s, pour en voir d’autres partir ? »

Reyes resta silencieux un moment, jaugeant l’entraĂźneur, mais ses yeux trahissaient une colĂšre sourde. « Tu n’as pas compris, Anibal. Je ne te laisserai pas partir aussi facilement. Nous avons un accord, et je compte bien te voir l’honorer. »

Anibal savait que la nĂ©gociation classique ne mĂšnerait Ă  rien. Il dĂ©cida alors de jouer une carte plus risquĂ©e. « Bien. Alors Ă©coute-moi, Reyes. Je n’ai aucun problĂšme Ă  me retirer du football. Je pourrais mĂȘme prendre ma retraite aujourd’hui. Mais avant, je prendrais le soin d’expliquer au monde comment fonctionne ton petit systĂšme ici. Imagine ce que diraient les mĂ©dias s’ils apprenaient l’envers du dĂ©cor d’Envigado. »

Les traits de Reyes se durcirent, son regard devenant aussi froid que l’acier. « Tu es fou de menacer quelqu’un comme moi, Anibal. Tu sembles oublier Ă  qui tu parles. »

Mais Anibal savait qu’il n’y avait qu’une façon de se sortir de ce guĂ©pier. « Et toi, tu sembles oublier Ă  qui tu parles, Reyes. Tu me menaces ? Vas-y. Mais je ne crains plus rien de toi. J’ai dĂ©jĂ  perdu bien assez, et je suis prĂȘt Ă  tout pour retrouver ma libertĂ©. Si tu persistes Ă  vouloir me garder ici contre mon grĂ©, c’est moi qui parlerai. »

Reyes fixa Anibal, son visage fermĂ© trahissant une fureur retenue. Il se leva lentement et tourna le dos, observant la ville depuis la fenĂȘtre.

AprĂšs un long silence, Reyes parla d’une voix rĂ©signĂ©e mais chargĂ©e de mĂ©pris. « TrĂšs bien, Anibal. Pars, si c’est ce que tu veux. Mais crois-moi
 un jour, nos chemins se croiseront de nouveau. Et ce jour-lĂ , tu paieras pour ce coup de thĂ©Ăątre. »

Anibal ne rĂ©pondit rien, mais il savait qu’il venait de frĂŽler la ligne dangereuse. Pourtant, pour la premiĂšre fois depuis longtemps, il se sentit libĂ©rĂ©. Alors qu’il quittait le bureau sans se retourner, il savait que le poids des menaces n’avait pas totalement disparu, mais il avait gagnĂ© une chose prĂ©cieuse : sa libertĂ©.

- Chapitre 360 -
- L’heure du choix, anibal consulte Yessica -
- Chapitre 362 -
Coming SOON - 01/11
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Un faux air de Ron Perlman ce Reyes

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Ne jamais s’attaquer Ă  un pĂšre de famille qui sent sa famille menacĂ©e, tu devrais le savoir, Reyes !

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sons of anarchy fx GIF by HULU

L’assurance vie d’Anibal couvre-t-elle un Ă©ventuel retour Ă  Envigado dans le cadre d’un compĂ©tition continentale ? :eyes:

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Mais tellement!!!

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j’avais cru le voir l’acteur quand j’ai vu l’image

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Belle paire de couilles Anibal !! :clap:t4:

N’oublie pas, si t’as besoin, j’ai un contact vite fait comme ça
 :upside_down_face:

The Blacklist Television GIF by NBC

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Ohhh Reyes, la menace de la vengeance à peine dissimulée


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RĂ©ponses aux lecteurs

@Rhino @alexgavi @Tiien @celiavalencia c’est normal je m’en suis servi comme modĂšle. TrĂšs clairement pour l’arc Envigado je me suis inspirĂ© d’une de mes sĂ©ries prĂ©fĂ©rĂ©s « Son Of anarchy Â» comme l’avait un peu remarquĂ© @Malakai. D’ailleurs pour info Ezekiel Reyes est le personnage principal de la sĂ©rie dĂ©rivĂ©e de SOA, Mayans MC.

@gwendil35 ah ça, il a voulu jouĂ© avec le feu, il s’est brĂ»lĂ©

@CaptainAmericka tu savais pas encore ? Pour le moment on saura se passer de lui :sac:

@VertPourToujours gageons qu’il reste loin de nous.

- Anibal nouveau coach de Vini Jr !! -

La nouvelle est tombĂ©e comme une bombe dans le monde du football sud-amĂ©ricain : Anibal GuimarĂŁes, l’entraĂźneur portugais au parcours exceptionnel, dĂ©barque Ă  Palmeiras. DĂšs son arrivĂ©e Ă  l’aĂ©roport de SĂŁo Paulo, une foule en dĂ©lire s’est rassemblĂ©e pour accueillir celui qui est perçu comme le sauveur du club pour cette saison de transition. Des centaines de fans vĂȘtus du cĂ©lĂšbre vert de Palmeiras scandaient son nom, agitant banderoles et drapeaux, impatients de voir Anibal faire renaĂźtre la flamme de leur Ă©quipe.

AprĂšs plusieurs semaines de nĂ©gociations, Anibal a rĂ©siliĂ© son contrat avec Envigado en Colombie, tournant ainsi la page d’une aventure riche en succĂšs et en pĂ©ripĂ©ties. Ce dĂ©part de Colombie, souvent Ă©voquĂ© mais encore incertain, se concrĂ©tisait sous les yeux des supporters brĂ©siliens. Palmeiras n’était pas la seule Ă©quipe Ă  convoiter le coach portugais : des offres sĂ©rieuses en provenance de clubs de renom en Argentine et au Japon lui avaient Ă©tĂ© faites, mais c’est finalement le dĂ©fi brĂ©silien qui a conquis le cƓur d’Anibal. Son arrivĂ©e a Ă©tĂ© orchestrĂ©e dans le but prĂ©cis de prĂ©parer la lĂ©gende locale Saldanha, qui a rĂ©cemment pris sa retraite, Ă  prendre les rĂȘnes de l’équipe l’an prochain.

À peine sorti de l’aĂ©roport, Anibal a Ă©tĂ© pris dans l’effervescence de l’accueil. Les mĂ©dias, avides d’une premiĂšre dĂ©claration, s’agglutinaient autour de lui. Mais fidĂšle Ă  sa discrĂ©tion habituelle, il s’est contentĂ© de saluer briĂšvement la foule et de lancer un sourire confiant, laissant prĂ©sager l’ambition qui l’anime pour cette saison.

Le directeur sportif de Palmeiras, en annonçant officiellement l’arrivĂ©e d’Anibal, a dĂ©crit le choix du club comme un mĂ©lange parfait entre l’expĂ©rience et la formation. « Nous savions qu’Anibal Ă©tait la personne idĂ©ale pour transmettre son savoir Ă  Saldanha, notre propre icĂŽne », a-t-il dĂ©clarĂ©. « Nous attendons beaucoup de cette collaboration, qui marque une nouvelle Ăšre pour Palmeiras. »

L’association entre Anibal et Saldanha s’annonce riche en promesses. Ce dernier, ancien capitaine et lĂ©gende vivante de Palmeiras, s’est montrĂ© enthousiaste Ă  l’idĂ©e de travailler sous les ordres de celui qu’il considĂšre comme un mentor. MalgrĂ© son statut de retraitĂ©, Saldanha rejoint le staff avec l’humilitĂ© d’un jeune apprenti, conscient de la chance unique qui s’offre Ă  lui.

AprĂšs une nuit de repos bien mĂ©ritĂ©e, Anibal a dĂ©butĂ© sa premiĂšre journĂ©e Ă  la Cidade Palmeiras, le centre d’entraĂźnement du club. Dans une atmosphĂšre solennelle, entourĂ© de Saldanha et des cadres de l’équipe, il a exposĂ© sa vision pour la saison. « Cette saison sera la fondation de ce que Palmeiras peut devenir dans les annĂ©es Ă  venir. Je suis ici pour vous faire grandir et pour apprendre Ă  vos cĂŽtĂ©s, mais aussi pour mettre en place une structure solide pour l’avenir », a-t-il dĂ©clarĂ© aux joueurs.

Le dĂ©fi qui l’attend ne sera pas simple : Palmeiras traverse une phase de transition aprĂšs avoir tout gagnĂ©, et le championnat brĂ©silien regorge de clubs ambitieux et de talents rivalisant pour le titre. Anibal devra Ă©galement guider l’équipe en Copa Libertadores, la compĂ©tition reine en AmĂ©rique du Sud, oĂč l’attendent des adversaires redoutables. Mais loin d’intimider le Portugais, ces dĂ©fis semblent le galvaniser.

Alors qu’il bouclait cette premiĂšre journĂ©e intense et inspirante, Anibal observa Saldanha, prenant des notes et Ă©coutant avec une attention absolue chaque conseil et observation du coach portugais. Leur collaboration, pour l’instant Ă  ses balbutiements, prend dĂ©jĂ  la forme d’une passerelle unique entre le passĂ© glorieux de Palmeiras et son avenir ambitieux.

La question reste cependant en suspens : Anibal restera-t-il uniquement une saison ? Pour l’heure, les supporters semblent prĂȘts Ă  tout pour le garder, mais le coach sait que la mission de transition est capitale. « Mon but, c’est que Palmeiras devienne une force encore plus redoutĂ©e. Ce n’est pas juste une saison, c’est une nouvelle direction. Mais au final, le club et Saldanha devront prendre leur envol », a-t-il confiĂ© en conclusion, laissant entendre que, peut-ĂȘtre, le BrĂ©sil pourrait bien ĂȘtre plus qu’une simple Ă©tape.

- Chapitre 361 -
- Reyes veut activer la clause d’Ani -
- Chapitre 363 -
Présentation de palmeiras - 01/11
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TrĂšs bon choix mĂȘme si je prĂ©fĂšre Flamengo ! Let’s go les nibbards sur les plages​:rofl::sweat_smile:

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