:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka bien joué bro, qui sait ?

@VertPourToujours Tu sembles oubliĂ© qu’il ne peut entrainer en Europe pour le moment.

@Sythax il te remercie ^^

@Manthyz tu sembles le plus clairvoyant ce coup-ci :hoho:

@alexgavi on n’est jamais sur de rien sauf de mourir un jour :no:

- Boca juniors discute avec pimenta pour ani -

Anibal Ă©tait perdu dans ses pensĂ©es, en pleine rĂ©flexion sur son avenir, lorsque son tĂ©lĂ©phone sonna. Le nom de son agent, Rafaela Pimienta, s’afficha sur l’écran. Curieux, il dĂ©crocha immĂ©diatement.

“Anibal, j’ai du nouveau. J’espùre que tu es assis.”

“Je t’écoute. Qu’est-ce qui se passe ?” lui rĂ©pondit calmement Anibal

“Boca Juniors est trĂšs intĂ©ressĂ©. Ils veulent te rencontrer pour discuter d’une proposition.”

Anibal ne pu cacher sa surprise. “Boca ? IntĂ©ressant
 Mais Rafaela, tu sais Ă  quel point ma situation est compliquĂ©e.”

Rafaela essaya de convaincre Ani “Justement, Anibal. Ils sont conscients de tout et semblent prĂȘts Ă  te fournir les conditions nĂ©cessaires pour que tu te sentes en sĂ©curitĂ©. Laisse-moi gĂ©rer cette partie, je pense pouvoir nĂ©gocier quelque chose de solide.”

Anibal se tut un instant, pesant le pour et le contre. “D’accord, nĂ©gocie pour moi une nouvelle fois. Mais sois ferme sur mes conditions. Je veux un contrat d’un an, avec une option pour moi de prolonger. Ensuite, il faudra une villa sĂ©curisĂ©e, un peu Ă  l’écart, et deux agents de sĂ©curitĂ© pour protĂ©ger ma famille, nous ne pouvons prendre de risques avec ce qu’il s’est passĂ© cette annĂ©e.”

Rafaela : “Je vais ĂȘtre claire sur ces conditions. Pour le moment, prĂ©pare-toi simplement Ă  Ă©changer avec Boca sur le projet sportif. Je te tiens au courant dĂšs que j’ai plus de dĂ©tails.”

Quelques jours plus tard, au téléphone avec Juan Roman Riquelme

AprÚs plusieurs discussions, Rafaela avait organisé un appel avec Juan Roman Riquelme, directeur sportif de Boca Juniors.

“Anibal, tout d’abord, c’est un honneur pour nous d’avoir cette conversation. Nous te suivons depuis longtemps, et ton parcours parle de lui-mĂȘme. Boca Juniors cherche Ă  retrouver sa grandeur, et je pense que tu es l’homme idĂ©al pour ça.”

Anibal flattĂ© par un tel acceuil remercia son homologue. “Merci, Juan. Boca est un club mythique, je le sais bien. J’ai beaucoup de respect pour le club et pour toi. Mais soyons directs : je suis ici pour gagner. J’ai besoin de savoir si Boca peut m’offrir un effectif capable de viser haut.”

Juan Roman savait qu’il essayait de ferer un gros poisson et ne tergiversa pas. “Tu es un compĂ©titeur, Anibal, et c’est ce qu’on recherche. Pour ce qui est de l’effectif, il y a du potentiel, mais je ne te cache pas qu’il y aura besoin de renforts pour rĂ©ellement dominer sur tous les fronts.”

Anibal se montra alors hĂ©sitant. “Cela pourrait ĂȘtre un frein pour moi, Juan. Si je viens, c’est pour tout gagner, pas seulement en Argentine, mais sur le continent. Je dois savoir que j’ai un effectif solide.”

Juan-Roman tenta de le rassurer comme il pouvait. “Je comprends parfaitement. Écoute, nous avons dĂ©jĂ  des plans pour renforcer plusieurs postes clĂ©s. Nous sommes prĂȘts Ă  investir sur deux ou trois joueurs expĂ©rimentĂ©s et quelques jeunes prometteurs d’AmĂ©rique du Sud. Et bien sĂ»r, tu auras une certaine flexibilitĂ© pour modeler l’équipe comme tu l’entends.”

Anibal resta ferme sur sa position. “D’accord, mais je veux ĂȘtre clair : si je ressens que le groupe manque de profondeur ou de qualitĂ©, je vais pousser pour des renforts. Je ne ferai pas de compromis lĂ -dessus.”

“C’est tout ce que nous espĂ©rions entendre. On te donnera les moyens, Anibal. Mais je dois aussi ĂȘtre honnĂȘte avec toi : nous sommes encore dans une phase de transition. Il y aura des dĂ©fis, notamment en Libertadores. Cela dit, avec toi aux commandes, on pense vraiment pouvoir faire la diffĂ©rence.”

Anibal passa rapidement sur un sujet tout aussi important Ă  ses yeux “Bien. Et concernant mes conditions de sĂ©curitĂ© et de logement ? J’ai besoin d’une certaine tranquillitĂ© pour me concentrer sur le football.”

“Rafaela a Ă©tĂ© trĂšs claire lĂ -dessus. La villa sĂ©curisĂ©e est en cours de sĂ©lection. Deux agents de sĂ©curitĂ© seront dĂ©diĂ©s Ă  ta famille pour toute la durĂ©e de ton sĂ©jour. À Buenos Aires, on s’engage Ă  ce que tu te sentes en sĂ©curitĂ©. C’est une prioritĂ© pour nous.”

Anibal prit un instant de réflexion avant de répondre.

Anibal rĂ©pondit positivement tout en attendant d’avoir analyser les forces en prĂ©sence. “TrĂšs bien, Juan. Boca est une aventure qui me tente
 mais je veux sentir cette ambition Ă  chaque instant, des joueurs jusqu’aux supporters. Je ne viens pas pour rester en retrait. Je vais etudier l’effectif et j’emettrais un retour quand Rafaela aura validĂ© le contrat.”

Riquelme pouvait savourĂ© il avait rĂ©ussit son projet. “Parfait. Boca t’attend, Anibal. Nous avons confiance que tu peux nous emmener loin. Donne-nous ton feu vert, et on officialise tout.”




Boca

- - - Boca
Football club - - -
- - - Club Atletico
Boca Juniors - - -
fondation 1882
:ligaargentina: Primera Division :2nd_place_medal:
:scarg: Super League Argentina 1/4
:copaarg: Copa Argentina 1/4
:tdcarg: Supercopa International Argentina :trophy:
:grootliberta: Copa Libertadores 1/4
M Buteur / M Passeur C.Cardozo (19 B) / C.Medina (12 A)
- Chapitre 354 -
- Anibal, Yessica et l’annonce de Viana -
- Chapitre 356 -
Coming SOON - 27/10
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C’est dĂ©jĂ  plus loin. Mais est-ce suffisant ? L’Argentine n’est pas non plus un pays hyper calme


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Ca sent le faux départ, Anibal ne va pas aller à Boca, on va avoir un rebondissement

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En tout cas, Ă  sa femme ce n’était pas dans la boca que ça a fini :sac:

3 « J'aime »

Ça peut ĂȘtre trĂšs intĂ©ressant Boca pour 2 saisons. il peut redorer son image et faire monter les enchĂšres pour son retour

1 « J'aime »

La dĂ©cision semble trop rapide, par rapport Ă  d’habitude. Ca sent le rebondissement Ă  plein nez ça ! On commence Ă  le pratiquer le @Groot :pasrire:

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Réponses aux lecteurs

@Sythax C’est le principal sujet avec cette destination.

@Tiien tu me connais peut ĂȘtre trop bien. Ou pas :sac:

@toopil Avec toi non plus j’ai pas fini dans la boca :dsk:

@VertPourToujours c’est un projet plaisant en effet.

@CaptainAmericka Mais comment dois je faire pour encore vous surprendre ? :sac:

- Anibal profite d’un repos mĂ©ritĂ© -

Anibal, tout sourire, descendait les gradins du stade JosĂ© Zorrilla de Valladolid, rempli de l’euphorie d’avoir vu son ancien club battre le puissant Real Madrid 3-1. Depuis son dĂ©part de la Pucela, assister Ă  un match ici en simple spectateur avait une saveur particuliĂšre. Voir le Real Valladolid briller ainsi le comblait de fiertĂ©. Aux cĂŽtĂ©s de sa femme Yessica, il se laissait porter par la chaleur de la victoire, heureux de constater que son ancien club continuait de prospĂ©rer.

AprĂšs le match, Anibal et Yessica rejoignirent deux figures familiĂšres pour un dĂźner dans un petit restaurant rustique et charmant du vieux quartier de Valladolid : Diego Mauricio, l’explosif mezzala devenu pilier de Valladolid, et EstevĂŁo, prodige rĂ©cemment transfĂ©rĂ© au Real Madrid qui retrouve l’Espagne aprĂšs quatre ans en Angleterre. Les retrouvailles furent chaleureuses. Anibal embrassa les deux joueurs et les fĂ©licita chaleureusement pour leurs performances : Diego pour sa domination au milieu de terrain et EstevĂŁo pour avoir intĂ©grĂ© l’un des clubs les plus prestigieux du monde avec autant de dignitĂ©.

Anibal (riant) : “Ah, vous me rendez fier ! Diego, tu maĂźtrises le jeu au milieu comme jamais. Et EstevĂŁo, je t’ai vu sur ce terrain, t’as fait tourner leurs tĂȘtes Ă  tes anciens coĂ©quipiers. Bravo, les gars.”

Yessica, souriante, Ă©coutait attentivement les Ă©changes et les anecdotes que racontait Anibal sur son temps passĂ© Ă  Valladolid, comment il avait recrutĂ© Diego avec insistance et dĂ©couvert EstevĂŁo, encore un diamant brut Ă  l’époque. Ils riaient des entraĂźnements marquĂ©s par l’exigence d’Anibal, de certaines victoires inoubliables, des dĂ©fis relevĂ©s ensemble.

Mais derriĂšre ce sourire, Anibal portait le poids de l’annĂ©e Ă©coulĂ©e. Les deux jeunes joueurs, qui le connaissaient bien, devinĂšrent vite qu’il y avait plus dans ses yeux qu’un simple bonheur de retour. Diego, prenant un ton sĂ©rieux, lui demanda comment il allait vraiment, et ce qu’il prĂ©voyait pour la suite. Anibal posa sa fourchette, rĂ©flĂ©chissant un instant, avant de rĂ©vĂ©ler les moments sombres qui avaient marquĂ© sa derniĂšre annĂ©e, des menaces qui avaient pesĂ© sur lui en Colombie jusqu’à l’isolement de ces mois de suspension. MalgrĂ© tout cela, il confia Ă  ses anciens joueurs qu’il sentait toujours cette flamme en lui, cette soif d’entraĂźner.

Diego : “Alors, pourquoi ne pas te lancer dans quelque chose de nouveau ?”

Anibal sourit, pensif. Diego et EstevĂŁo partagĂšrent avec lui des anecdotes sur le football brĂ©silien, un monde passionnant qui, Ă  les entendre, offrait de nombreux dĂ©fis mais aussi un environnement de respect et de passion. Contrairement aux clichĂ©s de violence, ils lui parlĂšrent d’un BrĂ©sil prĂȘt Ă  l’accueillir et Ă  lui offrir une tranquillitĂ© que les rĂ©cents mois ne lui avaient pas accordĂ©e.

Alors que les assiettes se vidaient, Diego s’interrompit en consultant une notification sur son tĂ©lĂ©phone. Son visage s’illumina de surprise. “Attends, Jemerson a quittĂ© Palmeiras pour Arsenal ! Il laisse le VerdĂŁo aprĂšs avoir tout gagnĂ© avec eux !”

Le groupe se regarda un instant en silence, chacun saisissant les possibilitĂ©s que cela ouvrait. EstevĂŁo, amusĂ©, se pencha vers Anibal avec un sourire en coin. “Alors, coach, tentĂ© par le dĂ©fi brĂ©silien ? Palmeiras, c’est un club de guerriers ! Et puis, avec ton style, tu ferais des ravages lĂ -bas.”

Anibal, laissant planer un soupçon de mystĂšre, rĂ©pondit simplement en haussant les Ă©paules avec un sourire Ă©nigmatique. “Et si ?”

Cette rĂ©ponse fit sourire Diego et EstevĂŁo, mais attira aussi un regard noir de Yessica. Elle n’avait qu’un dĂ©sir : voir son mari trouver un poste serein et stable, oĂč ils pourraient enfin mener une vie paisible, loin des troubles et des pressions qu’ils avaient subies. Elle murmura doucement Ă  Anibal, d’un ton rempli de tendresse mais ferme. “Ani, je te connais. Mais est-ce vraiment ça que tu veux ? Et nous alors ? La stabilitĂ©, ce n’est pas Ă  Palmeiras que tu la trouveras, tu sais.”

Anibal lui prit la main, lui adressant un sourire rassurant. “Ne t’en fais pas, Yessica. Tu sais que je rĂ©flĂ©chis toujours pour nous. J’écoute, je pĂšse, mais c’est toi et notre famille qui passez en premier. Seulement
 tu me connais aussi. Un dĂ©fi pareil, ça ne se refuse pas facilement. Mais ne t’en fais pas il n’y a rien. Si je dois attendre plusieurs mois pour qu’on ai environnement stable, alors soit.”

Le dĂźner se poursuivit, mais le doute s’installa comme un convive invisible. Anibal se leva pour trinquer, faisant tourner dans sa tĂȘte les perspectives qu’offrirait Palmeiras, ce club mythique du football brĂ©silien, quand bien mĂȘme il faudrait avant tout qu’il soit sur la shortlist du club. Ce soir-lĂ , Ă  Valladolid, il se rendit compte que la dĂ©cision qu’il prendrait influerait bien plus que sur sa carriĂšre.

- Chapitre 355 -
- Boca Jr discute avec Pimienta pour Ani -
- Chapitre 357 -
Coming SOON - 28/10
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Les dĂ©mons vont-ils l’emporter ?

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Il va finir par se mettre sa femme Ă  dos Anibal :sac:

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Vu la situation de Jessica, c’est l’inverse qui s’est passĂ© ! :grin:

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ok, j’ai ri :rofl: :rofl:

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Réponses aux lecteurs

@VertPourToujours Je préfÚre les vampires :sac:

@Rhino mais non rhooooo

@Manthyz :sac:

@toopil coquin

- Yessica aimerait rester en Amérique du Sud -

Yessica observait son mari depuis plusieurs jours, bien consciente de son combat intĂ©rieur. Anibal, le regard souvent perdu dans ses pensĂ©es, n’était plus le mĂȘme depuis des semaines. Elle sentait qu’il hĂ©sitait, tiraillĂ© entre son amour pour le terrain et le besoin d’un cadre stable pour accueillir sereinement leur fille Ă  naĂźtre. Sa carriĂšre, qui avait autrefois Ă©tĂ© une source de fiertĂ© et de passion inĂ©branlable, semblait dĂ©sormais plus lourde qu’autre chose.

Dans l’intimitĂ© de leur salon portugais, aprĂšs un dĂźner tranquille, Yessica prit le temps d’initier une conversation profonde avec Anibal. Elle savait que son mari, dans l’incertitude qui l’enveloppait, avait besoin de cette Ă©coute patiente et comprĂ©hensive. Elle lui attrapa doucement la main, regardant dans ses yeux assombris. “Ani, je sais Ă  quel point tu aimes ce mĂ©tier, Ă  quel point cela te passionne, mais j’ai aussi vu ce qu’il t’a coĂ»tĂ© cette annĂ©e. Je te connais mieux que personne, et je sens ce poids en toi, cette envie de te poser, de prendre une pause, mais aussi cette crainte de te retrouver loin des terrains.”

Anibal dĂ©tourna le regard, visiblement Ă©mu et incapable de cacher les sentiments qui bouillonnaient en lui. Il inspira profondĂ©ment, pesant chaque mot. “Yessica, je ne sais plus
 Ce mĂ©tier est toute ma vie, et pourtant, je me demande aujourd’hui si cela en vaut vraiment la peine. Partout oĂč j’ai Ă©tĂ©, la pression a fini par m’envahir, les menaces m’ont suivi. Peut-ĂȘtre que
 que le plus sage serait d’arrĂȘter, au moins un temps. Peut-ĂȘtre qu’une annĂ©e sabbatique est ce dont j’ai besoin, pour nous retrouver, pour accueillir notre fille sans cette anxiĂ©tĂ© permanente.”

Yessica serra sa main dans la sienne, comprĂ©hensive. Elle savait l’importance de sa carriĂšre pour lui, mais elle savait aussi que tout empĂȘcher pourrait laisser un sentiment d’inachevĂ© dans son cƓur. Elle ne voulait pas ĂȘtre celle qui lui demanderait de renoncer Ă  son rĂȘve. “Ani, je ne te demanderai jamais d’arrĂȘter. Si tu as encore cette flamme, ce dĂ©sir de mener une Ă©quipe, alors je te soutiendrai, oĂč que cela nous mĂšne. Mais il y a une condition. Ce que nous vivons aujourd’hui, nous devons le vivre avec calme. Nous devons nous installer dans un contexte stable, sĂ©curisĂ©, oĂč notre fille pourra grandir loin des dangers. Si on doit rester ici, on reste. Mais si tu sens que l’AmĂ©rique du Sud est ta place, alors on se lance ensemble. Mais je veux pouvoir ĂȘtre sereine pour notre enfant.”

Anibal resta silencieux, touchĂ© par la sincĂ©ritĂ© de Yessica. Il savait qu’elle faisait ce compromis pour lui, qu’elle acceptait de le suivre malgrĂ© ses propres doutes. Cela rendait sa dĂ©cision plus complexe encore, mais aussi plus claire. Il caressa tendrement la main de Yessica, reconnaissant de la force qu’elle lui donnait. “Tu as raison, Yessica. Peut-ĂȘtre que l’AmĂ©rique du Sud est la solution. Ce continent a son lot de dĂ©fis, mais il m’a aussi beaucoup donnĂ©, et je pense que nous pourrions y trouver cet Ă©quilibre que nous cherchons. Peut-ĂȘtre Ă  Rio, ou Buenos Aires, ou ailleurs, un endroit oĂč on pourrait s’installer sans regarder constamment par-dessus notre Ă©paule.”

Yessica sourit, voyant que cette conversation l’avait aidĂ© Ă  y voir plus clair. Elle savait que leur vie serait encore pleine de changements, mais elle voyait aussi qu’Anibal Ă©tait prĂȘt Ă  faire le nĂ©cessaire pour que leur bonheur Ă  trois soit au cƓur de ses choix. “Alors, on prend notre temps, on cherche ce qui nous convient. Mais souviens-toi, Ani, qu’importe oĂč cela nous mĂšne, je serai lĂ . Notre fille aura une famille forte, aimante et stable, oĂč que nous soyons. C’est tout ce qui compte pour moi.”

Anibal, Ă©mu, embrassa tendrement sa femme, reconnaissant de ce soutien inĂ©branlable qui lui permettait de continuer Ă  rĂȘver.

- Chapitre 356 -
- Anibal profite d’un repos mĂ©ritĂ© -
- Chapitre 358 -
Coming SOON - 29/10
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Cuzco, c’est une belle ville pour une vie de famille! Je dis ça, je dis rien :sac:

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Tellement de choix et de possibilitĂ©s s’offrent Ă  notre hĂ©ros !

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Boca nous voilà


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Ce que femme veut 


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Si Anibal cherche un club sans risque pour sa vie de famille, cela s’annonce compliquĂ© en AmĂ©rique du sud quand mĂȘme


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Réponses aux lecteurs

@toopil c’est une idĂ©e y’a du foot lĂ  bas ? :sac: je connais que l’empereur mĂ©galo moi :hoho:

@CaptainAmericka et oui

@VertPourToujours Ce serait beau en effet.

@Heisen femme a

@Manthyz c’est pas faux :sac:

- Ezekiel Reyes officiellement propriétaire -

En pleine rĂ©flexion sur la suite Ă  donner Ă  sa carriĂšre, Anibal se sentait tiraillĂ©. Les sollicitations affluaient de la part de clubs intĂ©ressĂ©s par son profil, certains avec des propositions concrĂštes, d’autres simplement curieux, cherchant Ă  jauger s’il Ă©tait prĂȘt Ă  faire un retour en force sur le banc. L’idĂ©e d’un nouveau projet l’attirait, mais il restait incertain sur le lieu et le contexte. Anibal rĂȘvait d’un environnement stable, un cadre oĂč il pourrait enfin conjuguer son mĂ©tier de coach avec un quotidien plus paisible pour sa famille. Sa rĂ©cente conversation avec Yessica lui avait donnĂ© un nouvel Ă©lan, une certitude : il Ă©tait temps de choisir le chemin qui leur permettrait Ă  tous deux d’avancer sereinement.

Mais en pleine rĂ©flexion, son tĂ©lĂ©phone vibra, brisant le calme apparent de son bureau. Anibal consulta l’écran et son cƓur se serra : un message d’un ancien collaborateur lui confirmait une nouvelle qui pesait lourd. Ezekiel Reyes, figure incontournable du cartel Gallindo et entrepreneur controversĂ©, venait d’officialiser le rachat d’Envigado FC. Cette simple notification avait des allures de coup de massue pour Anibal, car Reyes devenait dĂ©sormais le propriĂ©taire du club
 et donc, en thĂ©orie, son nouveau patron.

La premiĂšre question qui traversa l’esprit d’Anibal fut celle de son accord avec l’ancien propriĂ©taire, Eusebio Cortes. Cortes lui avait promis qu’en cas de proposition allĂ©chante d’un autre club, il serait libre de partir sans obstacle, le tout pour le remercier de l’incroyable saison qu’il avait offerte Ă  Envigado. Cet accord verbal, passĂ© entre deux hommes de parole, n’avait pas de trace Ă©crite, mais il reposait sur une base de confiance que Cortes et Anibal partageaient depuis le premier jour. Cependant, tout bascula avec ce rachat. Reyes n’avait probablement aucun intĂ©rĂȘt Ă  respecter cet arrangement, d’autant plus qu’il connaissait la valeur d’Anibal et l’influence que celui-ci exerçait sur le groupe.

Anibal sentit une tension monter en lui. Son esprit s’embrouillait tandis qu’il tentait de dĂ©nouer les implications d’un tel rachat. Il comprenait que Reyes ne verrait probablement pas d’un bon Ɠil son dĂ©part, d’autant plus qu’il connaissait la place cruciale qu’il occupait au sein de l’équipe. Anibal prit une profonde inspiration et composa le numĂ©ro de Rafaela Pimienta, son agent, pour lui exposer la situation. Elle dĂ©crocha immĂ©diatement devant qui plus est discuter avec son poulain. “Anibal ! Ça fait plaisir d’avoir de tes nouvelles. Dis-moi, je viens d’échanger avec quelques clubs, mais ils attendent encore ton feu vert pour faire des offres plus concrĂštes.”

Mais Anibal ne l’a laissa pas terminer “Rafaela
 il y a un problùme. Ezekiel Reyes vient de racheter Envigado.”

“Reyes ? Celui du cartel ? Bon sang, je pensais qu’il s’en Ă©tait dĂ©tournĂ© aprĂšs l’épisode de la tentative de rachat
 Comment tu te sens avec ça ?” rĂ©pondit paniquĂ© Rafaela.

“Pas bien, pour tout dire. Ce type n’a jamais eu d’intention honnĂȘte envers le club, et surtout, il ne respectera jamais l’accord que j’avais passĂ© avec Cortes. Je crains qu’il m’enferme ici pour son propre intĂ©rĂȘt.”

Un silence s’installa au bout de la ligne, et Anibal imagina Rafaela peser chaque mot avant de lui rĂ©pondre. “Écoute, Ani. Si tu veux vraiment partir, on trouvera un moyen. Mais Reyes est un type influent, et je crains que ses mĂ©thodes soient bien Ă©loignĂ©es des nĂŽtres. On doit rĂ©flĂ©chir avec stratĂ©gie. Si on joue mal nos cartes, il pourrait compliquer ton dĂ©part
 et peut-ĂȘtre mĂȘme rendre ta situation intenable.”

Anibal ferma les yeux, la tĂȘte appuyĂ©e contre son fauteuil. Les perspectives semblaient de plus en plus restreintes, et la tension de cette annĂ©e difficile l’avait Ă©puisĂ© bien plus qu’il n’osait l’admettre. Mais la voix rassurante de Rafaela lui donna un regain de courage. “Je suis prĂȘt Ă  jouer le jeu pour le moment, Rafaela. Je vais rester, mais uniquement si je sens que je peux quitter ce club au moment oĂč une opportunitĂ© sĂ©rieuse se prĂ©sentera. Je n’ai aucune envie de servir les intĂ©rĂȘts de Reyes ou de son rĂ©seau.”

Rafaela tenta de rassurer Anibal une nouvelle fois. “Bien, je comprends. Je vais contacter Cortes, voir si l’on peut lui rappeler cette promesse. Peut-ĂȘtre que Reyes se montrera plus conciliant si je lui expose la situation.”

AprĂšs l’appel, Anibal se sentit lĂ©gĂšrement soulagĂ©, mais il savait que cette situation serait complexe Ă  dĂ©nouer. Quelques jours plus tard, il croisa Reyes dans les couloirs du club. L’homme affichait un sourire Ă©nigmatique, l’air de celui qui tenait toutes les cartes en main. “Alors, coach, prĂȘt Ă  faire encore mieux cette saison ? Sachez que je compte sur vous pour renforcer la rĂ©putation du club
 Et pour rester Ă  Envigado, n’est-ce pas ?”

Anibal, bien que souriant en surface, ressentait un malaise profond. Cependant, il rĂ©pondit d’un ton calme, se rappelant les conseils de Rafaela. “Envigado est un club formidable, et j’y ai mis tout mon cƓur. Mais j’espĂšre que vous comprenez aussi, Monsieur Reyes, qu’un coach doit parfois s’adapter Ă  des dĂ©fis plus grands encore.”

Reyes hocha la tĂȘte, mais dans son regard transparaissait une ombre de dĂ©fi. Il savait ce qu’il en Ă©tait, tout comme Anibal. La lutte Ă©tait loin d’ĂȘtre terminĂ©e, et le coach comprenait qu’il ne pourrait probablement plus dĂ©cider de son avenir seul.

- Chapitre 357 -
- Yessica veut rester en Amérique du Sud -
- Chapitre 127 -
Coming SOON - 30/10
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AĂŻe ! Anibal vient de voir les fils d’une marionnette s’installer au-dessus de sa tĂȘte là
 :cold_face:

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Mais pourquoi y est-il retourné 

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