:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

Tamo Junto Soccer GIF by SE Palmeiras

Je crois qu’on vient de trouver le futur garde du corps d’Anibal !! :grin:

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je me suis inspirĂ© d’une de mes sĂ©ries prĂ©fĂ©rĂ©s « Son Of anarchy

SĂ©rie gĂ©niale ! Du moment qu’Anibal ne finit pas comme Jax, ça me va :sweat_smile:

Go Palmeiras !

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Je ne suis pas un grand suiveur du foot brĂ©silien, mais peu importe oĂč ira Anibal, je le suivrais. Fanboy jusqu’au bout :grin:

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On va voir du football là et plein de jeunes pépites inconnues

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RĂ©ponses aux lecteurs

@CoachLudo y’en faut pour tous. Mon club prĂ©fĂ©rĂ© au brĂ©sil c’est aussi Flamengo :rofl:

@Manthyz c’est une idĂ©e pourquoi pas.

@alexgavi prions

@Rhino :hoho:

@VertPourToujours on espére on espÚre.

- Sociedade Esportiva Palmeiras -


Palmeiras

-
FONDATION 1914
PRÉSIDENT
:brazil:
Leila Pereira
DIRECTEUR SPORTIF
:brazil:
Gabriel Jesus
ENTRAINEUR
:portugal:
Anibal GuimarĂŁes
DIVISION
:brazil: :serieabre:
Brasileirao
FINANCES Saines
MEILLEUR BUTEUR
:brazil:
Heitor - 327 buts
JOUEUR LE PLUS CAPÉ
:brazil:
Ademir da Guia - 901 matchs

- Fundação -
1914 - 1920

Au dĂ©but du XXe siĂšcle, plusieurs jeunes Italiens ont dĂ©cidĂ© de crĂ©er un club dont l’objectif principal Ă©tait de former une Ă©quipe de football reprĂ©sentative de la communautĂ© italienne et d’affronter les grands noms de l’élite footballistique de SĂŁo Paulo. Un peu plus de trois dĂ©cennies auparavant, l’Italie avait Ă©tĂ© unifiĂ©e - un fait qui n’était pas connu de certains Italo-BrĂ©siliens et de certains BrĂ©siliens non italiens.

Il existait de nombreux clubs italiens, mais chacun d’entre eux reprĂ©sentait une province italienne ou Ă©tait orientĂ© vers des activitĂ©s autres que le football. À l’époque, le football commençait Ă  s’implanter et attirait de nombreux joueurs et supporters.

Les fondateurs du club s’adressent au journal Fanfulla, mĂ©dia qui dĂ©fend les intĂ©rĂȘts des Italiens au BrĂ©sil, et confient au jeune Vincenzo Ragognetti - un autre partisan de l’idĂ©e - le soin de rĂ©diger une invitation aux personnes intĂ©ressĂ©es par la crĂ©ation d’un club sportif.

AprĂšs plusieurs rĂ©unions, 46 personnes intĂ©ressĂ©es (dirigĂ©es par Luigi Marzo et Luigi Cervo) se rĂ©unissent dans la salle de l’Alhambra, sur l’actuelle Rua do Riachuelo, et fondent le 26 aoĂ»t 1914 un club sportif pour tous les Italo-BrĂ©siliens, baptisĂ© « Palestra Italia ». Ezequiel Simone est nommĂ© prĂ©sident du club. Le consulat d’Italie Ă  SĂŁo Paulo s’intĂ©resse au nouveau club parce qu’il contribue Ă  faire connaĂźtre aux Italiens que leur pays a dĂ©sormais un seul drapeau et un seul hymne.

AprĂšs quelques difficultĂ©s initiales, Palestra Italia a jouĂ© son premier match dans la ville de Votorantim (État de SĂŁo Paulo), battant Savoia 2-0 grĂące Ă  des buts de Bianco et d’Alegretti pour remporter la Taça Savoia, le premier titre du club.

- Primeiro Campeonato e novo estĂĄdio -
1920 - 1945

En 1916, l’équipe rejoint la principale ligue sportive de la ville et dispute son premier match de championnat officiel. L’annĂ©e suivante, elle est vice-championne de l’État de SĂŁo Paulo et affronte les Corinthians pour la premiĂšre fois. Palestra remporte ce premier match 3-0 grĂące Ă  trois buts de Caetano; il gagne Ă©galement le match retour 3-1 de ce qui deviendra le principal rival de l’équipe. En 1920, Palestra Italia a remportĂ© le championnat de l’État de SĂŁo Paulo grĂące Ă  une victoire sur la robuste Ă©quipe de Paulistano dans le match dĂ©cisif.

Palestra a continuĂ© Ă  se dĂ©velopper en tant que club sportif et a commencĂ© Ă  acquĂ©rir de nouveaux actifs. L’EstĂĄdio Palestra ItĂĄlia, achetĂ© en 1920, a Ă©tĂ© remodelĂ© et agrandi en 1933, date Ă  laquelle il est devenu le premier stade brĂ©silien avec des tribunes en bĂ©ton et des clĂŽtures en fil de fer barbelĂ©. À partir de 1964, le terrain de jeu est suspendu, ce qui permet aux supporters d’avoir une vue complĂšte et large et de libĂ©rer de l’espace dans les niveaux infĂ©rieurs.

Le club continue de grandir et de remporter des championnats. Au dĂ©but des annĂ©es 1930, il devient triple champion de l’État de SĂŁo Paulo en football et en basket-ball, un exploit qui incite les supporters du Palestra Ă  entonner des chants de cĂ©lĂ©bration : « Avec les pieds ou avec les mains, Palestra est le meilleur du pays".

- Morre um lĂ­der, nasce um campeĂŁo -
1942

En 1942, pendant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement du prĂ©sident GetĂșlio Vargas a publiĂ© un dĂ©cret interdisant Ă  toute organisation d’utiliser des noms liĂ©s aux puissances de l’Axe (Allemagne, Italie et Japon). Palestra Italia a Ă©tĂ© contrainte de changer de nom et est devenue Palestra SĂŁo Paulo (« palestra » est un mot grec, traduit approximativement par « gymnase », qui n’a donc pas violĂ© cette rĂšgle).

Ce changement n’a cependant pas apaisĂ© les pressions politiques et sportives en faveur d’un changement complet de nom. Au risque de perdre tous ses actifs au profit d’autres clubs et d’ĂȘtre Ă©jectĂ© du championnat qu’il dirigeait, le Palestra a Ă©tĂ© contraint de changer de nom une seconde fois. La nuit prĂ©cĂ©dant le dernier match du championnat d’État, prĂ©vu pour le 20 septembre 1942, le conseil d’administration de Palestra tient une rĂ©union houleuse et change le nom du club. Lorsque le dĂ©bat atteint son paroxysme, le Dr Mario Minervino prend la parole et demande au secrĂ©taire du club, le Dr Pascoal W. Byron Giuliano, de le noter dans le procĂšs-verbal :

« Ils ne veulent pas que nous soyons Palestra, alors nous serons Palmeiras - nĂ©s pour ĂȘtre champions ».

Les tensions ont Ă©clatĂ© lors du dernier match de championnat, oĂč l’adversaire de Palmeiras Ă©tait le SĂŁo Paulo Futebol Clube (SPFC), qui revendiquait les actifs de l’ancien Palestra Italia. Palmeiras est entrĂ© sur le terrain en portant le drapeau brĂ©silien sous la direction du capitaine Adalberto Mendes. Palmeiras menait 3-1 lorsqu’un penalty a Ă©tĂ© accordĂ© en sa faveur.

À ce moment-lĂ , le SPFC a ordonnĂ© Ă  ses joueurs de considĂ©rer l’équipe de Palmeiras comme un ennemi de la patrie et a fait sortir son Ă©quipe du terrain sous les huĂ©es des supporters du club eux-mĂȘmes. Les cĂ©lĂ©brations ont commencĂ© sur-le-champ. Le lendemain, les journaux publient une photo de Palmeiras entrant sur le terrain avec le titre « Un leader meurt, un champion s’éteint » : « Un leader meurt, un champion naĂźt ».

- Copa Rio: reconhecimento aos campeÔes mundiais -
1951

En janvier 1951, le journal sportif brĂ©silien O Globo Sportivo a publiĂ© un article annonçant que le prĂ©sident de la FIFA , Jules Rimet, accorderait un soutien inconditionnel Ă  l’organisation d’un championnat du monde des clubs Ă  Rio de Janeiro.

La premiĂšre Copa Rio a eu lieu en 1951, avec la participation de huit Ă©quipes, rĂ©parties en deux groupes de quatre Ă©quipes chacun : Vasco da Gama (BrĂ©sil), Austria Vienna (Autriche), Nacional (Uruguay) et Sporting CP (Portugal), jouant Ă  Rio ; et Palmeiras (BrĂ©sil), Juventus (Italie), Red Star (Yougoslavie) et Olympique (France) jouant Ă  SĂŁo Paulo. Des clubs comme Malmö, le Rapid de Vienne, Tottenham, Newcastle, Barcelone et Lousanne ont Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  participer au tournoi, mais ils n’ont pas Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©s et ont prĂ©fĂ©rĂ© participer Ă  la Coupe latine avec des Ă©quipes comme Milan et l’AtlĂ©tico de Madrid.

L’importance de la Copa Rio 1951 est liĂ©e au fait qu’il s’agit de la premiĂšre compĂ©tition interclubs Ă  couverture mondiale, crĂ©Ă©e avant mĂȘme la Coupe intercontinentale. La compĂ©tition a Ă©tĂ© organisĂ©e par la ConfĂ©dĂ©ration brĂ©silienne des sports, avec l’aide et l’autorisation de la FIFA, et a Ă©tĂ© sponsorisĂ©e par le gouvernement municipal de Rio de Janeiro. En consĂ©quence, la FIFA dĂ©clare que Palmeiras est le dĂ©tenteur de facto du titre de la premiĂšre compĂ©tition mondiale de clubs de l’histoire, en dĂ©clarant dans la compĂ©tition de 2022 que Palmeiras avait dĂ©jĂ  un titre.

Mais en 2022, la page officielle des clubs internationaux sur le site officiel de la FIFA ne mentionne que les vainqueurs de 2000 Ă  2022, de sorte que Palmeiras ne serait pas considĂ©rĂ© comme le vainqueur de 1951. Deux Ă©ditions de la Copa Rio ont eu lieu Ă  Rio de Janeiro et Ă  SĂŁo Paulo, au BrĂ©sil, en 1951. Palmeiras a remportĂ© le tournoi, tandis que Fluminense, Ă©galement co-organisateur de l’édition 1952, l’a emportĂ© en 1952. Bien que les statuts de la FIFA Ă©tablissent que les compĂ©titions internationales officielles ne peuvent ĂȘtre organisĂ©es que par la FIFA ou les confĂ©dĂ©rations continentales, cette rĂšgle n’est entrĂ©e en vigueur qu’en 1955, ce qui n’était donc pas le cas de la Copa Rio, organisĂ©e par la FĂ©dĂ©ration brĂ©silienne. Palmeiras a demandĂ© Ă  plusieurs reprises Ă  la FIFA de reconnaĂźtre officiellement ce tournoi comme une Coupe du monde des clubs, mais sans succĂšs pour l’instant.

En 2006, Palmeiras a prĂ©parĂ© un document pour la FIFA, dĂ©crivant en dĂ©tail la Copa Rio 1951, afin de demander la confirmation officielle de sa victoire en tant que premier championnat du monde de football de club. Le document soutenait que la participation des officiels de la FIFA Stanley Rous et Ottorino Barassi Ă  l’organisation de la compĂ©tition de 1951 Ă©tait une indication claire de la bĂ©nĂ©diction de la FIFA, et que la FIFA avait envoyĂ© Barassi pour reprĂ©senter la FIFA dans l’organisation du tournoi. Rous et Barassi Ă©taient principalement impliquĂ©s dans les nĂ©gociations avec les clubs europĂ©ens, tandis que Barassi aidait Ă©galement Ă  organiser le cadre de la compĂ©tition. Dans une interview accordĂ©e en 1951, le prĂ©sident de la FIFA , Jules Rimet, a saluĂ© l’initiative brĂ©silienne, mais a niĂ© toute implication ou responsabilitĂ© de la FIFA dans ce projet.

En mai 2007, Palmeiras a reçu une lettre de la FIFA, signĂ©e par le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’époque, Urs Linsi, reconnaissant Palmeiras comme champion du monde des clubs de 1951, mais le prĂ©sident de la FIFA , Sepp Blatter, a dĂ©clarĂ© par la suite que l’affaire Ă©tait encore en cours d’évaluation.

En avril 2013, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la FIFA, JĂ©rĂŽme Valcke, a de nouveau reconnu Palmeiras comme champion de la « premiĂšre Coupe du monde des clubs jamais organisĂ©e » dans une communication Ă©crite adressĂ©e au ministre brĂ©silien des Sports, Aldo Rebelo. Le ComitĂ© ExĂ©cutif de la FIFA a reconnu Palmeiras comme champion de la « premiĂšre compĂ©tition mondiale de clubs » en 2014, tandis que le prĂ©sident de la FIFA , Joseph Blatter, a dĂ©clarĂ© Ă  la presse brĂ©silienne que la victoire de Palmeiras avait Ă©tĂ© effectivement reconnue par la FIFA et que le club devait donc ĂȘtre considĂ©rĂ© comme champion du monde des clubs.

Le 22 juillet 2016, la FIFA a cĂ©lĂ©brĂ© le 65e anniversaire du titre de la Copa Rio 1951 remportĂ© par Palmeiras. Sur Instagram, la FIFA a publiĂ© : « Le vert est la couleur de l’envie. Les â€č Grands Verts â€ș ont fait l’envie du monde entier en ce jour, il y a 65 ans. Un Palmeiras inspirĂ© par Liminha a battu une Ă©quipe de la Juventus composĂ©e de Giampiero Boniperti et d’un triumvirat danois pour devenir le premier champion du monde intercontinental des clubs. 100 000 personnes ont regardĂ© ce match au MaracanĂŁ. Un million de personnes ont envahi les rues de SĂŁo Paulo pour accueillir leurs hĂ©ros Ă  la maison ».

Une distinction entre une « compĂ©tition mondiale » (de portĂ©e mondiale, mais qui ne dĂ©signe pas nĂ©cessairement le champion du monde) et une « compĂ©tition dĂ©cernant le label de champion du monde » est apparue en janvier 2017, lorsque la FIFA a publiĂ© la dĂ©claration suivante : « Lors de sa rĂ©union Ă  SĂŁo Paulo le 7 juin 2014, le ComitĂ© ExĂ©cutif de la FIFA a acceptĂ© la demande prĂ©sentĂ©e par la CBF de reconnaĂźtre le tournoi de 1951 entre clubs europĂ©ens et sud-amĂ©ricains comme la premiĂšre compĂ©tition mondiale de clubs, et Palmeiras comme son vainqueur. La FIFA reconnaĂźt et apprĂ©cie les initiatives visant Ă  Ă©tablir des compĂ©titions mondiales de clubs tout au long de l’histoire. C’est le cas des tournois impliquant des clubs europĂ©ens et sud-amĂ©ricains, comme la pionniĂšre Copa Rio, jouĂ©e en 1951 et 1952, et la Coupe Intercontinentale. Cependant, ce n’est qu’en 2000 que la FIFA a organisĂ© la premiĂšre Coupe du Monde des Clubs de la FIFA, avec des reprĂ©sentants des six confĂ©dĂ©rations. Les vainqueurs de cette compĂ©tition, qui a Ă©tĂ© organisĂ©e chaque annĂ©e Ă  partir de 2005, sont officiellement considĂ©rĂ©s par la FIFA comme les champions du monde des clubs ».

Le 27 octobre 2017, le Conseil de la FIFA a changĂ© de position : tout en ne favorisant pas l’unification statistique de la Coupe intercontinentale et de la Coupe du monde des clubs, dans le respect de l’histoire des deux tournois (qui ont fusionnĂ© en 2005), il a fait de la Coupe intercontinentale un titre mondial officiel, reconnaissant tous ses vainqueurs comme champions du monde des clubs avec le mĂȘme titre que les vainqueurs de la Coupe du monde des clubs de la FIFA: « Champions du monde des clubs de la FIFA ».

En avril 2019, le prĂ©sident de la FIFA, Gianni Infantino, dans une interview accordĂ©e Ă  des mĂ©dias brĂ©siliens, a rĂ©itĂ©rĂ© le point de vue de la FIFA selon lequel seuls les vainqueurs de la Coupe intercontinentale et de la Coupe du monde des clubs Ă©taient officiellement champions du monde. Toujours en avril 2019, l’ancien prĂ©sident de la FIFA Joseph Blatter (en poste jusqu’en dĂ©cembre 2015) a de nouveau dĂ©clarĂ© Ă  la presse brĂ©silienne que Palmeiras avait Ă©tĂ© reconnu champion du monde des clubs par la FIFA en 2014.

En fĂ©vrier 2021, le site Internet de la FIFA a fait l’éloge de la victoire de Palmeiras dans la Copa Rio en ces termes :

« Un championnat du monde avait Ă©tĂ© rĂȘvĂ© et discutĂ© pendant des annĂ©es par certains des plus grands tireurs du football - Jules Rimet, Ottorino Barassi et Stanley Rous, entre autres - et fut finalement programmĂ© pour 1951 au BrĂ©sil, qui venait d’accueillir la Coupe du Monde de la FIFA. Cette compĂ©tition Ă  huit Ă©quipes regroupait les meilleures Ă©quipes europĂ©ennes, le Nacional uruguayen et le duo brĂ©silien Vasco da Gama et Palmeiras, qui s’était qualifiĂ© en tant que vainqueur du tournoi de Rio-Sao Paulo Â».

Quoi qu’il en soit, la Copa Rio a Ă©tĂ© le premier tournoi de football intercontinental Ă  rĂ©unir les clubs les plus prestigieux des ligues les plus importantes du monde. Les matches se sont dĂ©roulĂ©s aux mĂȘmes endroits que ceux de la Coupe du monde de la FIFA 1950, l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Le tournoi a dĂ©clenchĂ© des discussions au sein des fĂ©dĂ©rations continentales de football sur l’exploration du football de club Ă  l’échelle internationale, ce qui a finalement conduit au lancement de championnats internationaux tels que la Coupe d’Europe (aujourd’hui connue sous le nom de Ligue des champions de l’UEFA) et la Copa Libertadores.

Finalement, Palmeiras a remportĂ© le premier championnat intercontinental de l’ùre prĂ©-internationale du football, faisant de la « Copa Rio » l’un des points de dĂ©part les plus importants de la mondialisation du football. La « Copa Rio » Ă©tait importante Ă  l’époque, mais Palmeiras n’est toujours pas reconnu comme champion intercontinental par la FIFA.

- A “Academia” se torna um gigante brasileiro -
1952 - 1980

Dans les annĂ©es 1960, le niveau de qualitĂ© du jeu de Palmeiras - menĂ© par celui qui allait symboliser cette pĂ©riode d’excellence footballistique, Ademir da Guia - a conduit l’équipe de Palestra Italia Ă  ĂȘtre appelĂ©e l’« AcadĂ©mie » du football brĂ©silien.

La premiÚre Académie comptait Djalma Santos, Djalma Dias, Dudu, Ademir da Guia, Julinho Botelho, Vavå, Liminha et Chinesinho parmi ses meilleurs joueurs.

DirigĂ©s par Filpo NĂșñez, les joueurs de Palmeiras ont remportĂ© la plus importante compĂ©tition nationale en 1965, le championnat Rio - SĂŁo Paulo, grĂące Ă  des performances exceptionnelles. Ils ont notamment marquĂ© sept buts contre Santos, cinq contre Botafogo dans son stade du MaracanĂŁ, cinq contre SĂŁo Paulo et quatre contre Vasco. Le titre est revenu Ă  Palmeiras Ă  l’issue d’une nouvelle victoire Ă©crasante contre Botafogo au stade PacaembĂș de SĂŁo Paulo.

La mĂȘme annĂ©e, la FĂ©dĂ©ration brĂ©silienne des sports (CBD) a utilisĂ© l’ensemble de l’effectif de Palmeiras pour inaugurer le stade MineirĂŁo et reprĂ©senter le BrĂ©sil lors d’un match officiel de l’équipe nationale contre l’Uruguay dans le cadre de la Coupe InconfidĂȘncia. Le jour oĂč il a revĂȘtu le vert et le blanc, Palmeiras, en tant que BrĂ©sil, s’est imposĂ© 3-0 face aux bleus uruguayens.

L’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, Palmeiras avait remportĂ© la Coupe du quadricentenaire de Rio de Janeiro (Torneio do IV CentenĂĄrio do Rio de Janeiro de 1965) en battant l’équipe nationale du Paraguay 5-2 et en battant Peñarol de l’Uruguay en finale.

À la fin des annĂ©es 1960, Palmeiras a remportĂ© la Copa do Brasil et le tournoi Roberto Gomes Pedrosa - l’équivalent du championnat brĂ©silien Ă  l’époque.
Ces victoires ont jetĂ© les bases de la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration de l’acadĂ©mie de Palmeiras, avec des joueurs comme LuĂ­s Pereira, Leivinha, Emerson LeĂŁo, Dudu, Ademir da Guia et CĂ©sar.

DirigĂ©e par Osvaldo BrandĂŁo, l’équipe a remportĂ© plusieurs titres dans les annĂ©es 1970. Elle a Ă©tĂ© trois fois championne de l’État de SĂŁo Paulo - sortant invaincue de l’un de ces tournois -, deux fois championne du BrĂ©sil, trois fois vainqueur du trophĂ©e RamĂłn de Carranza en Espagne, et vainqueur du trophĂ©e Mar del Plata en Argentine - considĂ©rĂ© comme le championnat sud-amĂ©ricain des clubs.

- A década perdida -
1980 - 1990

DĂ©jĂ  habituĂ©s aux victoires de l’« AcadĂ©mie » dans les annĂ©es 1960 et 1970, les supporters de Palmeiras ont vu les annĂ©es 1980 se succĂ©der sans championnats ni titres. En 1986, Palmeiras a alignĂ© une bonne Ă©quipe, battant les Corinthians 5-1 et jouant un match historique en demi-finale du championnat de l’État de SĂŁo Paulo contre ce mĂȘme rival, s’imposant 3-0. Dix ans aprĂšs avoir remportĂ© son dernier titre d’État, Palmeiras est finalement arrivĂ© en finale du championnat d’État, mais a perdu contre l’Inter de Limeira.

Le 29 octobre 1986, les supporters de Palmeiras ont adoptĂ© le cochon comme mascotte. Lors d’un match contre Santos, les supporters rivaux scandaient « puerco » (cochon) ; le public de Palmeiras a rĂ©pondu par « Vamos, porco ! Vamos, porco !!! OlĂ© OlĂ© Olé  » et »Vamos porcoooooooo
 » Quelques jours plus tard, le magazine sportif Placar popularise le nouveau surnom en publiant un numĂ©ro dans lequel Jorginho Putinatti - le symbole de cette gĂ©nĂ©ration - tient un cochon sur ses genoux.

Cette dĂ©cennie a Ă©tĂ© marquĂ©e par deux Ă©vĂ©nements remarquables. Lors du championnat d’État de 1983 contre Santos, l’arbitre JosĂ© de Assis AragĂŁo a marquĂ© un but pour Palmeiras Ă  la 47e minute de la seconde mi-temps. L’attaquant Jorginho a bottĂ© le ballon dans la surface de rĂ©paration, le ballon est sorti, mais a touchĂ© AragĂŁo - qui se trouvait sur la ligne de but Ă  environ un mĂštre du but - et est entrĂ© dans les filets de Santos. Le match se termine sur un score de paritĂ© 2-2, au grand dam de Santos.

Le deuxiĂšme Ă©vĂ©nement inattendu s’est produit le 11 novembre 1988, lorsque l’attaquant GaĂșcho a arrĂȘtĂ© deux penalties contre Flamengo lors d’un match du championnat brĂ©silien au MaracanĂŁ. GaĂșcho avait Ă©tĂ© placĂ© dans les buts aprĂšs que le gardien Zetti se soit cassĂ© la jambe dans les derniĂšres minutes du match. Le match s’est terminĂ© sur un score de paritĂ© et s’est achevĂ© par une sĂ©ance de tirs au but. Pendant la sĂ©ance de tirs au but, GaĂșcho a arrĂȘtĂ© deux tirs, d’Aldair et de Zinho. Pour couronner la soirĂ©e, il a marquĂ© lui-mĂȘme un penalty en portant le maillot de gardien de but.

En 1989, Palmeiras a eu une nouvelle chance de remporter un titre. Invaincue jusqu’à l’avant-dernier match, l’équipe est Ă©liminĂ©e en demi-finale du championnat de l’État de SĂŁo Paulo par Bragantino. Les annĂ©es 1980 s’achevaient sans victoires significatives, mais les annĂ©es 1990 allaient rattraper cela.

- O final do século XX - O maior no Brasil -
1991 - 1999

Palmeiras s’est retrouvĂ© au milieu d’une sĂ©cheresse de seize ans, sans aucun trophĂ©e significatif, jusqu’en 1992, lorsque le club a signĂ© un contrat de sponsoring avec le gĂ©ant italien des produits laitiers Parmalat. Ce contrat a durĂ© huit ans et a rapidement fait de Palmeiras le club le plus riche du BrĂ©sil.

Dans les annĂ©es 1990, Palmeiras a connu d’innombrables succĂšs, remportant de nombreux titres importants. Au cours de la premiĂšre annĂ©e complĂšte de la relation avec Parmalat, l’équipe a remportĂ© le Campeonato Paulista en 1993, battant en finale son plus grand rival, les Corinthians, sous la direction de l’entraĂźneur Vanderlei Luxemburgo et avec une Ă©quipe composĂ©e d’Evair, Zinho, Edmundo, CĂ©sar Sampaio, Mazinho, AntĂŽnio Carlos, Roberto Carlos et EdĂ­lson.

La mĂȘme annĂ©e, Palmeiras a Ă©galement remportĂ© le championnat Rio-SĂŁo Paulo, une fois de plus contre les Corinthians, et le Campeonato Brasileiro SĂ©rie A 1993. En 1994, il a rĂ©alisĂ© l’exploit sans prĂ©cĂ©dent de remporter consĂ©cutivement les championnats d’État et le championnat brĂ©silien, cette derniĂšre victoire ayant Ă©tĂ© remportĂ©e une fois de plus contre les Corinthians.

En 1996, Palmeiras a remportĂ© la Coupe euro-amĂ©ricaine amicale, en battant le Borussia Dortmund, champion de la Bundesliga et futur vainqueur de la Ligue des champions de l’UEFA 1996-97 et de la Coupe intercontinentale 1997, sur le score de 6-1. Plus tard, l’équipe a remportĂ© haut la main le Campeonato Paulista 1996, inscrivant plus de 100 buts et accumulant les victoires historiques, comme la raclĂ©e de 6-0 infligĂ©e au Santos FC. Rivaldo, Muller, Djalminha et LuizĂŁo ont Ă©tĂ© les vedettes de cette Ă©quipe historique.

Palmeiras a Ă©galement rĂ©alisĂ© un parcours remarquable dans la Copa do Brasil 1996, en battant le Clube Atletico Mineiro 5-0 (7-1 sur l’ensemble des deux matches) et en battant Gremio, vainqueur de la Copa Libertadores 1995, en demi-finale, mais l’équipe a finalement subi une dĂ©faite surprise face Ă  Cruzeiro EC, qui allait finalement remporter la Copa Libertadores 1997.

En 1998, Palmeiras a remportĂ© la Copa do Brasil 1998 et la Copa Mercosur 1998, toutes deux contre Cruzeiro EC. Cette derniĂšre (ancĂȘtre de la Copa Sudamericana) est la premiĂšre coupe internationale officielle remportĂ©e par Palmeiras depuis 1951.

- Primeiro troféu da Copa Libertadores -
1999

DĂ©jĂ  cĂ©lĂšbre pour avoir remportĂ© la Copa do Brasil 1991, la Copa do Brasil 1994, la Copa Libertadores 1995 et le Campeonato Brasileiro SĂ©rie A 1996, Luiz Felipe Scolari a Ă©tĂ© engagĂ© comme entraĂźneur en 1997 et a menĂ© l’équipe Ă  plusieurs trophĂ©es importants, dont sa premiĂšre Copa Libertadores.

Palmeiras a connu un parcours difficile jusqu’à la finale, battant le champion en titre Vasco da Gama en huitiĂšme de finale par 5-3 sur l’ensemble des deux matches (y compris une victoire historique 4-2 Ă  l’extĂ©rieur), son rival Corinthians en quart de finale aux tirs au but, et River Plate, vainqueur de la Copa Libertadores 1996, en demi-finale par 3-1 sur l’ensemble des deux matches.

Les derniers matches ont Ă©tĂ© disputĂ©s contre le Deportivo Cali de Colombie, finaliste de la Copa Libertadores 1978. Au match aller Ă  Cali, le Deportivo a battu Palmeiras 1-0. Au match retour, Ă  l’EstĂĄdio Palestra ItĂĄlia, Palmeiras a battu le Deportivo 2-1 et a remportĂ© la compĂ©tition aux tirs au but.

Les joueurs importants de cette Ă©quipe Ă©taient les vainqueurs de la Coupe du monde Marcos, Zinho et Roque JĂșnior, ainsi que Alex, Evair, Paulo Nunes, et CĂ©sar Sampaio.

La mĂȘme annĂ©e, Palmeiras a disputĂ© la Coupe intercontinentale 1999 Ă  Tokyo, mais a Ă©tĂ© battu par les Anglais de Manchester United. Bien qu’ayant pris l’avantage dans le match, Palmeiras a vu un but d’Alex refusĂ© et a encaissĂ© un but aprĂšs une erreur inhabituelle de Marcos, l’une des stars de l’équipe et futur champion du monde de la FIFA 2002.

- Quatro finais disputadas -
2000

En 2000, Palmeiras a disputĂ© quatre finales. Tout d’abord, l’équipe a remportĂ© le tournoi Rio-SĂŁo Paulo aprĂšs avoir battu Vasco da Gama par 6-1 sur l’ensemble des deux matches de la finale. Au match aller, Ă  Rio de Janeiro, Palmeiras a battu Vasco 2-1. Au match retour, au stade Morumbi, Palmeiras s’est imposĂ© sur le score de 4-0.

Le club a de nouveau atteint la finale de la Copa Libertadores 2000, cette fois contre les Argentins de Boca Juniors. Lors du match aller Ă  Buenos Aires, le match s’est terminĂ© sur le score de 2-2. Au match retour, au Morumbi de SĂŁo Paulo, le match s’est terminĂ© sur le score de 0-0, Boca remportant la compĂ©tition aux tirs au but et empĂȘchant ainsi Palmeiras de remporter une seconde Libertadores consĂ©cutive.

AprÚs la finale de la Copa Libertadores, Luiz Felipe Scolari a quitté Palmeiras, ainsi que plusieurs joueurs. Dans ces circonstances, Palmeiras a investi dans des joueurs plus jeunes et a remporté la premiÚre Coupe des champions du Brésil de son histoire en battant Sport Recife en finale. Ce résultat a permis au club de participer à sa troisiÚme Copa Libertadores consécutive en 2001.

À la fin de l’annĂ©e, le club a Ă©galement atteint les quarts de finale des Ă©liminatoires du Brasileiro 2000 et a disputĂ© sa troisiĂšme finale consĂ©cutive de la Copa Mercosur, qui Ă©tait Ă©galement sa cinquiĂšme finale consĂ©cutive du championnat de la CONMEBOL depuis la seconde moitiĂ© de 1998 (Copa Mercosur 1998, Copa Libertadores 1999, Copa Mercosur 1999, Copa Libertadores 2000 et Copa Mercosur 2000).

La jeune Ă©quipe de Palmeiras a finalement perdu la finale de la Copa Mercosur 2000 face Ă  un Vasco da Gama composĂ© de stars telles que Romario, Juninho Paulista et Euller. L’équipe a Ă©tĂ© baptisĂ©e « bom e barato » (bon et pas cher) et son succĂšs a dĂ©clenchĂ© une nouvelle philosophie de gestion au sein du club, qui s’est avĂ©rĂ©e moins efficace au cours des annĂ©es suivantes.

AprĂšs avoir remportĂ© les principales compĂ©titions nationales et internationales, Palmeiras a Ă©tĂ© proclamĂ© meilleure Ă©quipe du football brĂ©silien du 20e siĂšcle par la FĂ©dĂ©ration de football de l’État de SĂŁo Paulo (FPF), les journaux Folha de SĂŁo Paulo et Estado de SĂŁo Paulo, ainsi que par le magazine Placar.

- Anos difĂ­ceis -
2001 - 2012

Le parrainage de Parmalat a pris fin en 2000, laissant Palmeiras dans une situation difficile. AprĂšs avoir atteint les demi-finales de la Copa Libertadores 2001 (oĂč il s’est inclinĂ© face Ă  Boca Juniors), le club a connu une mauvaise saison 2002 qui s’est soldĂ©e par une relĂ©gation en SĂ©rie B, mais il est immĂ©diatement revenu en 2004.

Les saisons 2004 et 2005 ont Ă©tĂ© plutĂŽt rĂ©ussies, l’équipe terminant Ă  la 4e place les deux annĂ©es et se qualifiant pour la Libertadores en 2005 et 2006. Palmeiras a Ă©tĂ© Ă©liminĂ© par son rival SĂŁo Paulo en huitiĂšme de finale les deux annĂ©es.

En 2007, Edmundo a joué sa derniÚre saison pour le club, manquant de peu le top 4 de la Série A lors du dernier match de la saison.

En 2008, Palmeiras a conclu un accord de sponsoring avec Traffic, une agence de marketing sportif. Le club investit massivement dans de nouveaux joueurs et dans Vanderlei Luxemburgo. Cette nouvelle stratĂ©gie a portĂ© ses fruits puisque Palmeiras a remportĂ© son 22e championnat paulista, couronnĂ© par une victoire 5-0 sur Ponte Preta lors du match retour de la finale. Palmeiras a terminĂ© 4e du Campeonato Brasileiro, ce qui l’a qualifiĂ© pour l’édition 2009 de la Copa Libertadores.

L’annĂ©e 2008 a Ă©galement marquĂ© le dĂ©but de la phase de planification d’un nouveau stade pour le club, ainsi que le remodelage du club social, afin de prĂ©parer Palmeiras pour le centenaire du club en 2014. L’arĂšne prĂ©vue est dĂ©sormais connue sous le nom d’Allianz Parque.

En 2009, le club a atteint les quarts de finale de la Copa Libertadores, s’inclinant finalement face au club uruguayen de Nacional sur des buts marquĂ©s Ă  l’extĂ©rieur. Au cours de la mĂȘme saison, Palmeiras a failli remporter le championnat brĂ©silien, mais des problĂšmes politiques au sein du club ont provoquĂ© des troubles internes et affectĂ© les performances sur le terrain, et Palmeiras a terminĂ© la saison Ă  la cinquiĂšme place.

En 2012, Palmeiras a remportĂ© la Copa do Brasil pour la deuxiĂšme fois, en battant Coritiba en finale. DirigĂ© par le manager Luiz Felipe Scolari et le capitaine Marcos Assunção, Palmeiras n’a pas subi de dĂ©faite pendant tout le tournoi.

Moins de trois mois aprĂšs avoir remportĂ© la Copa do Brasil, Scolari quittait le club en raison de ses mauvaises performances en championnat. Il a Ă©tĂ© remplacĂ© par Gilson Kleina, le manager de Ponte Preta, mais l’équipe n’a pas rĂ©ussi Ă  amĂ©liorer ses performances et a Ă©tĂ© relĂ©guĂ©e au Campeonato Brasileiro SĂ©rie B pour la deuxiĂšme fois de son histoire aprĂšs un match nul contre Flamengo le 18 novembre 2012.

- O inĂ­cio do ressurgimento -
2013 - 2015

En 2013, sous l’administration du prĂ©sident nouvellement Ă©lu Paulo Nobre, Palmeiras a Ă©tĂ© facilement promu en premiĂšre division Ă  six journĂ©es de la fin, assurant sa participation Ă  la SĂ©rie A 2014 pour la saison du centenaire du club.

Palmeiras a subi un revers dĂšs le dĂ©but de sa saison 2014 du centenaire, car l’entraĂźneur principal Kleina a Ă©tĂ© licenciĂ©, rapidement suivi par le dĂ©part de l’attaquant Alan Kardec et du dĂ©fenseur Henrique. L’Argentin Ricardo Gareca a Ă©tĂ© signĂ© pour entraĂźner l’équipe aprĂšs la pause de la Coupe du monde au BrĂ©sil, mais n’a pas rĂ©pondu aux attentes et a Ă©tĂ© licenciĂ© aprĂšs un court laps de temps. Dorival JĂșnior a remplacĂ© Gareca jusqu’à la fin de la saison, alors que le club luttait contre la relĂ©gation. Avec le gardien de but Fernando Prass et le milieu de terrain Jorge Valdivia, tous deux de retour de blessure, les joueurs ont menĂ© Palmeiras tout au long de la seconde moitiĂ© de la saison, le club parvenant Ă  Ă©viter la relĂ©gation et terminant la saison Ă  la 16e place.

En 2015, Palmeiras a entrepris un vaste projet de reconstruction, engageant un nouvel entraĂźneur et un nouveau directeur du football. Le club a signĂ© 25 joueurs au cours de l’annĂ©e et a promu plusieurs nouveaux talents des Ă©quipes de jeunes du club, tandis que presque tous les joueurs de l’équipe de 2014 ont Ă©tĂ© dĂ©placĂ©s. Palmeiras a Ă©galement amĂ©liorĂ© son programme officiel de supporters rĂ©munĂ©rĂ©s, Avanti, atteignant finalement 114 000 supporters rĂ©munĂ©rĂ©s.

Palmeiras a Ă©galement jouĂ© pour la premiĂšre fois dans son nouveau stade, l’Allianz Parque, qui pouvait accueillir 43 713 spectateurs et comprenait des places entiĂšrement couvertes ; il a Ă©tĂ© inaugurĂ© le 19 novembre 2014.

Palmeiras a atteint la finale du Campeonato Paulista 2015, qu’il a perdue aux tirs au but face à son rival, le Santos FC.

Le 9 juin 2015, le manager Oswaldo de Oliveira a Ă©tĂ© licenciĂ© par Palmeiras en raison d’un lent dĂ©but du Campeonato Brasileiro. Le 10 juin 2015, Palmeiras a conclu un accord avec Marcelo Oliveira, rĂ©cemment licenciĂ© par Cruzeiro malgrĂ© avoir remportĂ© le championnat brĂ©silien avec eux en 2013 et 2014.

Palmeiras a remportĂ© la Copa do Brasil 2015 le 2 dĂ©cembre 2015. AprĂšs une dĂ©faite 1-0 contre Santos Ă  l’aller, les joueurs ont Ă©tĂ© accueillis au stade par plus de 40 000 supporters Ă  l’intĂ©rieur et Ă  l’extĂ©rieur de l’Allianz Parque. Palmeiras a remportĂ© le match retour 2-1, les deux buts ayant Ă©tĂ© marquĂ©s par Dudu, avant de remporter le trophĂ©e aux tirs au but (Fernando Prass arrĂȘtant un penalty et convertissant le penalty victorieux). Gabriel Jesus a Ă©tĂ© la grande rĂ©vĂ©lation de cette Ă©quipe, tandis que l’expĂ©rience du milieu de terrain ZĂ© Roberto a Ă©galement Ă©tĂ© fondamentale pour que Palmeiras remporte la compĂ©tition.

Avec ce titre, Palmeiras a renforcĂ© sa suprĂ©matie en tant que plus grand champion du BrĂ©sil, avec 12 titres nationaux (8 titres de championnat, 1 Coupe des champions du BrĂ©sil et 3 titres de Copa do Brasil). En tant que champion de la Copa do Brasil 2015, Palmeiras s’est Ă©galement assurĂ© une place en phase de groupes de la Copa Libertadores 2016.

- De volta ao topo do futebol brasileiro -
2016 - 2019

Le 12 mars 2016, Palmeiras a conclu un accord verbal avec Cuca pour qu’il devienne son nouveau manager. Palmeiras a resignĂ© ZĂ© Roberto, tout en signant d’autres joueurs clĂ©s pour la saison 2016, notamment Dudu, Edu Dracena, MoisĂ©s, RĂłger Guedes, Jean, Yerry Mina, et TchĂȘ TchĂȘ.

AprĂšs avoir dominĂ© le championnat pendant 29 semaines, Cuca a conduit Palmeiras Ă  son neuviĂšme titre de champion, le premier depuis 22 ans, ce qui en fait le club le plus titrĂ© du BrĂ©sil. Gabriel Jesus a Ă©tĂ© le meilleur buteur de l’équipe avec 12 buts. Le 27 novembre 2016, Palmeiras s’est assurĂ© le titre avant la 38e semaine, en battant Chapecoense Ă  domicile 1-0 grĂące Ă  un but de Fabiano Ă  la 26e minute. Avec une assistance de 40 986 supporters, cela a battu l’ancien record d’assistance de 40 035 du 12 juillet 2016 contre Santos.

Le 25 novembre 2018, Palmeiras a remportĂ© son 10e titre de Campeonato Brasileiro en battant Vasco 1-0 Ă  Rio de Janeiro. Le 2 dĂ©cembre 2018, Palmeiras a disputĂ© son dernier match de la saison devant un public record de 41 216 personnes. Avec une victoire 3-2 sur VitĂłria, Palmeiras a Ă©tabli un nouveau record du Campeonato Brasileiro pour la plus longue sĂ©rie d’invincibilitĂ© (23 matches).

- Triplete -
2020 - 2024

En 2020, pendant la pandĂ©mie de COVID-19, Palmeiras a battu son grand rival Corinthians lors d’une finale historique du Campeonato Paulista. Lors de la premiĂšre finale de l’histoire de la compĂ©tition sans spectateurs, Palmeiras s’est imposĂ© aprĂšs avoir battu les Corinthians aux tirs au but.

Le 30 janvier 2021, Palmeiras, dirigĂ© par l’entraĂźneur portugais Abel Ferreira, a remportĂ© la Copa Libertadores 2020 contre Santos sur le score de 1-0 au MaracanĂŁ, Ă  Rio de Janeiro. Il s’agissait du deuxiĂšme titre de Palmeiras dans la compĂ©tition. Breno Lopes a marquĂ© l’unique but du match neuf minutes aprĂšs le dĂ©but du temps additionnel de la seconde pĂ©riode.

En tant que champion, Palmeiras s’est qualifiĂ© pour la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2020 au Qatar et a obtenu le droit de jouer contre les vainqueurs de la Copa Sudamericana 2020 lors de la Recopa Sudamericana 2021.

En mars 2021, Palmeiras a remportĂ© la Copa do Brasil 2020 en battant GrĂȘmio sur le score de 3-0. Il s’agit du 4e titre de la Copa do Brasil pour Palmeiras.

Le 27 novembre 2021, Palmeiras remporte la Copa Libertadores 2021 face Ă  Flamengo, sur le score de 2-1, en un seul match lors d’une confrontation dĂ©cisive au stade Centenario, Ă  Montevideo, en Uruguay. De nouveau dirigĂ© par l’entraĂźneur portugais Abel Ferreira, Palmeiras a rĂ©ussi Ă  remporter un deuxiĂšme titre consĂ©cutif en moins d’un an, une premiĂšre dans l’histoire du club. Raphael Veiga et Deyverson ont marquĂ© pour le VerdĂŁo cinq minutes aprĂšs le dĂ©but de la premiĂšre mi-temps et de la prolongation respectivement. Gabriel Barbosa a marquĂ© l’unique but pour Flamengo Ă  la 72e minute.

En tant que champion, Palmeiras s’est qualifiĂ© pour la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2021 aux Émirats arabes unis et a obtenu le droit de jouer contre les vainqueurs de la Copa Sudamericana 2021 lors de la Recopa Sudamericana 2022.

Le 20 janvier 2022, la FĂ©dĂ©ration internationale de l’histoire du football et des statistiques a annoncĂ© que Palmeiras Ă©tait le vainqueur du classement mondial des meilleurs clubs masculins de 2021. C’était la premiĂšre fois qu’un club brĂ©silien terminait l’annĂ©e en tĂȘte de ce classement.

En janvier 2022, les moins de 20 ans de Palmeiras ont remportĂ© la Copa SĂŁo Paulo de Futebol JĂșnior pour la premiĂšre fois, en battant leur rival, le Santos FC, 4-0 en finale. Cette victoire a permis Ă  Palmeiras de remporter le seul trophĂ©e majeur pour les jeunes qui n’avait pas encore Ă©tĂ© gagnĂ©, et a servi de point culminant Ă  une pĂ©riode soutenue d’investissement dans les Ă©quipes de jeunes, qui a commencĂ© en 2013.

En fĂ©vrier 2022, Palmeiras a participĂ© Ă  la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2021 et a terminĂ© Ă  la deuxiĂšme place aprĂšs avoir battu Al-Ahly en demi-finale et perdu le match final 2-1 en prolongation contre Chelsea aprĂšs un penalty confirmĂ© par l’arbitre d’assistance vidĂ©o.

En mars 2022, Palmeiras a battu l’Athletico Paranaense par 4-2 sur l’ensemble des deux matches et a remportĂ© la Recopa Sudamericana 2022.

En avril 2022, Palmeiras remporte son 24e Campeonato Paulista en battant le SĂŁo Paulo FC en finale par 5-3 sur l’ensemble des deux matches, aprĂšs une dĂ©faite 3-1 Ă  l’aller.

En novembre 2022, Palmeiras a remportĂ© son 11e Campeonato Brasileiro aprĂšs une saison solide, avec seulement trois dĂ©faites. Ce trophĂ©e Ă©tait le dernier trophĂ©e qu’Abel Ferreira pouvait encore remporter en AmĂ©rique du Sud.

En janvier 2023, Palmeiras a remportĂ© la Copa SĂŁo Paulo de Futebol JĂșnior pour la deuxiĂšme fois consĂ©cutive, en battant l’AmĂ©rica Mineiro 2-1 en finale. Le VerdĂŁo a ensuite ajoutĂ© la Supercopa do Brasil 2023 Ă  son palmarĂšs le 28 janvier 2023 aprĂšs avoir marquĂ© 4-3 contre le Clube de Regatas Flamengo. Le match s’est dĂ©roulĂ© au stade Mane Garrincha de Brasilia.

Comme la saison prĂ©cĂ©dente, Palmeiras a atteint la finale du Campeonato Paulista sans aucune dĂ©faite. Cependant, Palmeiras a perdu le match aller de la finale par 2-1 contre Esporte Clube Água Santa, mais a remportĂ© le match retour 4-0, comme l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, pour remporter son 25e et deuxiĂšme titre consĂ©cutif du Campeonato Paulista.

En Copa Libertadores, Palmeiras est entrĂ© directement en phase de groupes et a Ă©tĂ© versĂ© dans le groupe C aux cĂŽtĂ©s de Barcelona de Guayaquil, en Équateur, de BolĂ­var de Bolivie et de Cerro Porteño du Paraguay, rĂ©alisant ainsi la meilleure campagne de la phase de groupes. En huitiĂšme de finale, ils ont Ă©liminĂ© l’AtlĂ©tico-MG aprĂšs avoir remportĂ© le match aller au MineirĂŁo 1-0 et fait match nul 0-0 Ă  domicile Ă  l’Allianz Parque. En quarts de finale, ils ont affrontĂ© le Deportivo Pereira de Colombie. Palmeiras a remportĂ© le match aller Ă  l’EstĂĄdio HernĂĄn RamĂ­rez Villegas sur le score de 4-0 et a fait match nul 0-0 au retour Ă  domicile. En demi-finale, il a Ă©tĂ© battu par le club argentin de Boca Juniors aprĂšs avoir fait match nul et s’ĂȘtre inclinĂ© lors de la sĂ©ance de tirs au but.

En Copa do Brasil, Palmeiras est entrĂ© dans le troisiĂšme tour, oĂč il a affrontĂ© Tombense par le biais d’un match nul et a gagnĂ© 5-3 au cumulĂ©. Ils ont battu Fortaleza 3-1 sur l’ensemble des deux matches en huitiĂšmes de finale, mais ont Ă©tĂ© Ă©liminĂ©s en quarts de finale par leur rival SĂŁo Paulo sur le score de 1-3 sur l’ensemble des deux matches.

Dans le Campeonato Brasileiro, Palmeiras a fait ses dĂ©buts Ă  domicile contre CuiabĂĄ, avec le jeune Endrick comme principale vedette. Les joueurs de Palmeiras ont souvent occupĂ© la deuxiĂšme place du tournoi, mais ils ont atteint le sommet du tableau lors de la 34e journĂ©e et ont conservĂ© cette position presque jusqu’à la fin de la compĂ©tition laissant filer le titre Ă  la derniĂšre journĂ©e. Ils ont dĂ©crochĂ© leur 12e titre brĂ©silien en faisant match nul avec Cruzeiro lors de la derniĂšre journĂ©e, consolidant ainsi leur statut de champion national le plus titrĂ© en remportant le Brasileirao 2025.

Quelques semaines plus tard le club a continuĂ© sa montĂ©e en puissance en remportant la Supercopa Rei face Ă  Santos avant de s’adjuger le Campeonato Paulista pour remporter son 26Ăšme titre d’état.

- Quarta Copa Libertadores e Triplete -
2027

Lors de la saison qui suivi, la jeunesse de Palmeiras emmenĂ© par Saldanha de retour au pays aprĂšs une expĂ©rience ratĂ© en Serbie, rĂ©alisa une saison folie remportant son 27Ăšme championnat d’état en s’imposant contre SĂŁo Paulo 3-1 sur l’ensemble des deux matchs.

EmmenĂ© par un Saldanha de gala et un EstevĂŁo en pleine Ă©closion, le VerdĂŁo continua sa montĂ©e en puissance en s’adjugeant un nouveau Brasileirao. PlacĂ© dans un groupe abordable avec Emelec, la Guaira et Boca Juniors, le club brĂ©silien obtint facilement sa qualification pour la phase finale de la Copa Libertadores. C’est Ă  ce moment que le club perdit l’une de ses stars parti relevĂ© le dĂ©fi europĂ©en au Real Valladolid. Saldanha Ă©limina quasiment Ă  lui seul l’Argentinos Jr en huitiĂšmes de finale puis River Plate en quart de finale. Lors des demi finale, aidĂ© de Joao Pedro rentrĂ© au pays entre temps, Saldanha livra l’une des partitions qui le fit rentrer dans la lĂ©gende du club pour Ă©liminer le Corinthians. C’est contre le surprenant Botafogo de John Textor et du gĂ©nĂ©ral Alexandre Lacazette que Palmeiras remporta la quatriĂšme Copa Libertadores de son histoire. Il rata de peu la cinquiĂšme la saison suivante en s’inclinant lourdement contre le Flamengo de Cabral et Gabigoal

Cette gĂ©nĂ©ration emmenĂ© par Saldanha domina plus ou moins remportant un nouveau Brasileirao l’annĂ©e suivante puis une Copa do Brasil en 2029. Mais le club confrontĂ© Ă  des difficultĂ©s financiĂšres perdit frĂ©quemment ses forces les plus vives et ne parvint plus Ă  remporter le Campeonato Paulista ni la Libertadores durant cette dĂ©cennie.

- nova era dourada -
2030 - 2034

EmmenĂ© par Saldanha et renforcĂ© par les retours aux pays de Lucas Paqueta et de Talles Magno, Palmeiras marcha sur les traces du Flamengo en employant les mĂȘmes mĂ©thodes. Cela passa par un quadruplĂ© fou en 2030 composĂ© du Brasileirao, le quinziĂšme de l’histoire du club, d’une Copa do Brasil, d’une Supercopa Rei mais surtout de la cinquiĂšme Libertadores du club en faisant tomber les argentins de Boca Juniors.

Quelques mois plus tard, Palmeiras souleva sa seconde Recopa en faisant tomber l’Aletico Mineiro dans une lutte acharnĂ©e qui marqua le dĂ©but d’une disette de quatre ans sur le plan continental. Palmeiras commença alors Ă  dĂ©velopper de nouveau son acadĂ©mie en inculquant Ă  sa jeunesse les valeurs du club afin de les retenir le plus longtemps possible au pays. Cela passa par une domination au niveau rĂ©gional marquĂ© deux nouveaux sacres en Campeonato Paulista en 2031 puis 2032, mais aussi une Supercopa Rei et deux Copa do Brasil tandis que Flamengo, les Corinthians et Bragantino remportĂ©s plusieurs Brasileirao.

C’est Ă  l’avĂ©nement d’une nouvelle gĂ©nĂ©ration de talents que Palmeiras ramena au pays deux lĂ©gendes brĂ©siliennes que sont Rodrygo et Vinicius Jr. Avec ces recrues de premier plan, Palmeiras remporta Ă  nouveau le Brasileirao au terme d’une saison trĂšs offensive. EmmenĂ© par ses stars, Palmeira remporta la sixiĂšme Copa Libertadores de son histoire. C’est sur cette nouvelle victoire que Saldanha mis fin Ă  sa carriĂšre aprĂšs 389 matchs et 199 buts pour le VerdĂŁo.

- Titulos -
palmarĂšs

Dans son histoire, le club a remportĂ© Ă  29 reprises le Championnat de SĂŁo Paulo mais le plus important fut ses 16 Brasileirao, ses 6 Copa Libertadores, sa Copa Rio et sa Copa Mercosur. Palmeiras est reconnu comme le club brĂ©silien le plus titrĂ© de l’histoire.

En 1999, la Federação Paulista de Futebol et la presse brĂ©silienne dĂ©signĂšrent Palmeiras comme Ă©tant le « Champion du XXe siĂšcle Â».

Officiellement le club est double champion du monde avec ses deux titres en Copa Rio et en Copa Intercontinental qui sont des ancĂȘtres de la Coupe du Monde des clubs reconnus officiellement par la FIFA.

Le club compte 9 titres continentaux dont 2 Recopa et 6 Copa Libertadores mais aussi 1 Copa Mercosur qui est l’ancĂȘtre de la Copa Sudamericana.

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:fifa: :grootwc: Coupe Intercontinentale 1 1999
:fifa: :grootwc: Copa Rio 1 1951
:fifa: :grootwc: Coupe du Monde des Clubs :2nd_place_medal: 2021, 2029
:comnebol: :grootrecopa: Recopa Sudamericana 2 2022, 2031
:comnebol: :grootliberta: Copa Libertadores 6 1999, 2020, 2021, 2027, 2030, 2034
:comnebol: :grootsuda: Copa Mercosur 1 1998
:brazil: Coupe des Champions 1 2000
:brazil: :supercopa_bre: Supercopa Rei 6 2023, 2026, 2028, 2029, 2030, 2032
:brazil: :copa_brazil: Copa Betano do Brasil 8 1998, 2012, 2015, 2020, 2029, 2030, 2031, 2032
:brazil: :serieabre: BrasileirĂŁo Betano 16 1960, 1967, 1967, 1969, 1972, 1973, 1993, 1994, 2016, 2018, 2022, 2025, 2027, 2028, 2030, 2034
:brazil: :seriebbre: BrasileirĂŁo SĂ©rie B Betnacional 2 2003, 2013
:brazil: :campeonato_paulista: Campeonato Paulista 29 1920, 1926, 1927, 1932, 1933, 1934, 1936, 1940, 1942, 1944, 1947, 1950, 1959, 1963, 1966, 1972, 1974, 1976, 1993, 1994, 1996, 2008, 2020, 2022, 2024, 2026, 2027, 2031, 2032
:brazil: Tournoi Rio-SĂŁo Paulo 5 1933, 1951, 1965, 1993, 2000

- Identidade do clube -
Identité du club

- Escudo do club -
Écusson du club

Depuis les premiers matchs jouĂ©s, la lettre « P » a toujours Ă©tĂ© prĂ©sente sur les Ă©cussions des tenues de Palmeiras. En 1915, lors du premier match de ce qui Ă©tait alors la Palestra Italia, les lettres « P » et « I », de forme archaĂŻque, de couleurs blanches, dĂ©coraient l’écusson qui se trouvait sur le cĂŽtĂ© gauche de l’uniforme des joueurs. En 1916, pour le Campeonato Paulista de cette annĂ©e-lĂ  , le conseil d’administration du club dĂ©cida d’importer d’Italie un ensemble de maillots avec le symbole de la Cruz de SavĂłia.

En 1917, la Croix de Savoie cĂšde la place aux lettres « P » et « I », abritĂ©es par un triangle vert. En 1918, la forme de l’insigne devient circulaire et Ă  fond blanc, avec les lettres « P » en vert et « I » en rouge. En 1938, seule la disposition des couleurs change : fond vert et lettres « P » en blanc et « I » en rouge. En 1940, nouveau changement uniquement dans les couleurs : fond vert et les lettres « P » et « I » en rouge.

En 1942, avec le changement de nom de l’équipe en Palmeiras, le rouge et la lettre « I » sur le bouclier disparurent, ne laissant que le vert et le blanc, avec la lettre « P » au centre. En 1959, le traditionnel « P » diminue en taille et huit Ă©toiles sont insĂ©rĂ©es autour du bouclier, en rĂ©fĂ©rence au mois de fondation du club (aoĂ»t) et au nombre de titres de SĂŁo Paulo remportĂ©s par l’équipe sous le nom de Palestra Italia. Ils Ă©taient accompagnĂ©s du nom de Palmeiras. Ce fut le dernier changement important apportĂ© Ă  l’insigne alviverde, qui reste Ă  ce jour avec le mĂȘme concept. En fĂ©vrier 2012, la direction marketing du club a dĂ©cidĂ© d’apporter de petites modifications Ă  l’insigne, dans le but de l’uniformiser dans les diffĂ©rentes publications utilisĂ©es par les mĂ©dias. La nouvelle version a apportĂ© des lettres arrondies au nom de Palmeiras et des modifications au blason suisse (qui se trouve Ă  l’intĂ©rieur du symbole), comme l’élargissement des lignes et la lĂ©gĂšre modification de la lettre traditionnelle « P Â».

Sur le logo actuel, les 8 Ă©toiles Ă  l’extĂ©rieur et les 26 lignes sur l’écusson suisse intĂ©rieur reprĂ©sentent le jour oĂč le club cĂ©lĂšbre son anniversaire de fondation, le 26 aoĂ»t, et comme depuis 1940 Palmeiras ne compte plus que 8 titres de champion de SĂŁo Paulo, la deuxiĂšme signification des Ă©toiles boucliers est tombĂ©e en dĂ©suĂ©tude.

- Uniformes -
Maillots

Les couleurs officielles sont le vert et le blanc , c’est pourquoi on l’appelle aussi « alviverde Â». À l’origine, le club arborait les couleurs vert, blanc et rouge. La troisiĂšme couleur a Ă©tĂ© supprimĂ©e en 1942, car elle faisait allusion au drapeau italien. Un autre surnom trĂšs courant est « verdĂŁo ».

Il convient Ă©galement de souligner que Palmeiras/Palestra Italia ont disputĂ© certains matchs, principalement des matchs amicaux internationaux, avec des maillots bleus, en hommage au maillot de l’ Ă©quipe italienne de football , mais le match le plus cĂ©lĂšbre dans lequel Palmeiras a participĂ© avec des tenues bleus, sans aucun doute, Ă©tait le match valable pour l’avant-derniĂšre journĂ©e du Championnat de Football Paulista 1954 (match jouĂ© en fĂ©vrier 1955) contre les Corinthians, dans ce match pour continuer Ă  avoir une chance de remporter le titre de SĂŁo Paulo, Palmeiras devait gagner contre son rival, mais avec un match nul 1-1, Palmeiras s’est qualifiĂ© pour le dernier tour sans aucune chance de remporter le titre.

Contrairement Ă  la lĂ©gende du football, cette tenue bleue n’a pas Ă©tĂ© confectionnĂ© exclusivement pour le match contre les Corinthians, c’était le deuxiĂšme maillot officiel que Palmeiras avait enregistrĂ© auprĂšs de la FĂ©dĂ©ration de football de SĂŁo Paulo pour le championnat de 1954.

En 1992, avec le partenariat dans la gestion du football rĂ©alisĂ© avec la multinationale d’origine italienne Parmalat , Palmeiras a promu le changement le plus radical dans son uniforme principal. A cette occasion, la chemise vert Ă©meraude qui marquait les journĂ©es « AcadĂ©mie » a cĂ©dĂ© la place Ă  une chemise verte au ton beaucoup plus clair et aux rayures verticales blanches. L’annĂ©e suivante, avec une nuance de vert lĂ©gĂšrement plus foncĂ©e, le maillot rayĂ© entre dans l’histoire du club, car c’est avec lui que Palmeiras met fin Ă  16 ans de disette sans titre lors de la finale du Campeonato Paulista 1993 , contre les Corinthians.

En 1997, l’uniforme principal a commencĂ© Ă  se rapprocher de la version traditionnelle, sans les rayures, mais le vert a Ă©tĂ© divisĂ© en deux tons, l’un plus clair et l’autre plus foncĂ©. L’annĂ©e suivante, l’équipe qui a remportĂ© la Copa do Brasil 1998 arborait dĂ©jĂ  un maillot vert plus conforme aux traditions de Palmeiras. De 1999 Ă  2007, le maillot principal a connu des changements de ton, notamment des rayures blanches et mĂȘme jaunes, influencĂ©es par l’équipementier sportif, avant, en 2008, de revenir au vert plus foncĂ© prĂ©fĂ©rĂ© des supporters.

Il convient Ă©galement de noter, en ce qui concerne les couleurs utilisĂ©es dans les tenues des Ă©quipes, que, depuis la premiĂšre dĂ©cennie du XXIe siĂšcle, comme stratĂ©gie de marketing, les entreprises fournissant des articles de sport ont lancĂ© presque chaque annĂ©e ce que l’on appelle les maillots third, avec des couleurs qui cela n’a que trĂšs peu ou rien Ă  voir avec les couleurs originales de Palmeiras. Parmi ces uniformes, il y en avait un avec diffĂ©rentes nuances de vert bleutĂ©, un autre en gris et, en 2007, un uniforme vert lime qui, en raison de son succĂšs auprĂšs des supporters, a Ă©tĂ© adaptĂ© comme deuxiĂšme uniforme de 2008 Ă  juin 2009, et plus tard dans le Ligne 2010/2011.

En juin 2009, année de ses 95 ans, le club a de nouveau utilisé le rouge dans son deuxiÚme uniforme, plus précisément sur la manche de la chemise blanche, pour faire revivre les traditions. En août 2009, le club a lancé son troisiÚme uniforme en bleu, avec des détails blancs et avec la Croix de Savoie comme bouclier, dans un autre hommage à ses racines italiennes.

En mai 2017, Palmeiras a annoncĂ© l’inclusion, dans son uniforme, d’une Ă©toile rouge au-dessus des armoiries du club, afin d’immortaliser la plus grande rĂ©ussite de l’association, le premier Champion du Monde Interclubs. Le nouvel uniforme a fait ses dĂ©buts lors du dernier match de la premiĂšre phase des Libertadores contre l’AtlĂ©tico TucumĂĄn d’ Argentine , dans lequel Palmeiras a gagnĂ© 3-1 et a assurĂ© la meilleure campagne du groupe.

AprĂšs prĂšs de quinze annĂ©es plutĂŽt traditionnels au niveau des couleurs, Palmeiras a inaugurĂ© des tenues diffĂ©rentes pour le retour de l’équipementier Puma. Si le vert Ă©meraude est revenu sur le domicile, le club alviverde a cassĂ© les codes en proposant un maillot alternatif vert clair et un third aux nuances de jaunes.

Maillot Home Maillot Away Maillot Third
kit kit kit

- Allianz Parque-
Le stade

L’Allianz Parque, populairement connu comme Arena do Palmeiras ou Arena Palestra Italia, est une arĂšne polyvalente pour accueillir des spectacles, des concerts, des Ă©vĂ©nements d’entreprise, et en particulier des matches de football du Palmeiras.

Le projet comprend la construction de l’un des espaces polyvalents les plus modernes du BrĂ©sil, qui rĂ©ponds aux strictes exigences de la FIFA, qui l’a accrĂ©ditĂ©e pour les tournois de sport les plus pertinents.

Le nouveau stade de Palmeiras a Ă©tĂ© construit sur le site de l’ancien Stade Palestra ItĂĄlia, entre les quartiers Barra Funda et Perdizes, Ă  SĂŁo Paulo.

AllianzParque

LÉGENDE
NOM Allianz Parque
INAUGURATION 2013
TAILLE 46 000 Places
PLACES ASSISES 43 713 Places
Ă©tat TrĂšs Bon

- Registos individuais -
Records individuels

Voici le Hall of Fame du SE Palmeiras, on y retrouve pas mal de joueurs formé au club. La plupart des records semblent complexe à atteindre notamment car le club est désormais plus que centenaire et les jeunes joueurs restent rarement trÚs longtemps au Brésil.

On y retrouve de sacrés noms comme .

- Jogadores mais convocados -
joueurs les plus capés

-
Nat Nat Identité APP buts
:brazil: Ademir da Guia 901 153
:paraguay: :brazil: Gustavo GĂłmez 622 51
:brazil: LeĂŁo 617 0
:brazil: Dudu 609 25
:brazil: Waldemar Fiume 601 27
:brazil: Valdemar Carabina 584 9
:brazil: Luis Pereira 568 35
:brazil: Marcos 532 0
:brazil: Wewerton 503 0
:brazil: Djalma Santos 501 10
:brazil: Gabriel Menino 496 34
:brazil: Nei 488 71
:uruguay: :italy: JoaquĂ­n Piquerez 483 17
:brazil: Valdir de Moraes 482 0
:brazil: Dudu 481 89

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Melhores marcadores -
Meilleurs buteurs

-
Nat Nat Identité APP Buts
:brazil: Heitor 358 345
:brazil: Saldanha 443 244
:brazil: Cesar Maluco 327 182
:brazil: Ademir de Guia 901 153
:brazil: Lima 467 148
:brazil: Servillo 245 140
:brazil: PatrĂ­cio 309 133
:brazil: Evair 245 126
:brazil: Humberto Tozzi 135 126
:brazil: Rodrigues 221 125
:brazil: Luizinho 163 123
:brazil: TupĂŁzinho 231 122
:brazil: Rony 407 110
:brazil: Emerson Macachero 220 95
:brazil: Dudu 481 89

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Melhores Passadores -
Meilleurs Passeurs

-
Nat Nat Identité APP P.D
:brazil: :portugal: Yan Couto 459 148
:brazil: Dudu 481 105
:brazil: Saldanha 443 57
:brazil: Talles Magno 314 54
:brazil: Artur 251 53
:brazil: :italy: Gustavo Scarpa 231 52
:brazil: Rony 407 48
:brazil: Marcos Rocha 368 46
:brazil: Gabriel Menino 496 46
:brazil: Raphael Veiga 316 42
:brazil: :italy: ZĂ© Rafael 422 34
:brazil: Willian 247 29
:chile: :venezuela: Jorge Valvidia 240 29
:brazil: Cleiton Xavier 140 29
:brazil: Mayke 290 25

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- centro de formação -
Centre de formation

Le Verdão a formé pas mal de joueurs de tout temps comme récemment Endrick, Danilo ou Estevão et Diego Mauricio. Par le passé il a aussi aidé à révéler des cracks brésiliens comme Roberto Carlos, Rivaldo ou Cafu. Dans les années 70 pendant le prime de Pelé, une génération dorée composée de Julinho, Djalma Santos, Djalma Dias, Dudu, Cesar Maluco, Luis Pereira, Emerson Leao, Leivinha, Ademir de Gußa a roulé sur le football sudaméricain comme rarement.

- Chapitre 362 -
- Anibal nouveau coach de Vini Jr -
- Chapitre 364 -
Coming Soon - 02/11
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Un club mythique. Super choix. Par contre, il y a 50 000 matchs par saison et le foot BrĂ©silien c’est parfois aussi simple Ă  comprendre que les play-off en Belgique :sweat_smile:

1 « J'aime »

Sacré historique pour ce club ! Magnifique le stade avec les bandeaux de couleur !

1 « J'aime »

Moi aprĂšs avoir tout lu sans en rater une miette
Animated GIF

Un putain de club, une lĂ©gende ! Des joueurs eux aussi lĂ©gendaires, un effectif encore intĂ©ressant, un palmarĂšs de fou furieux
 Anibal a tout pour s’y plaire !

Est-ce que Anibal ne se retrouve pas un peu en Saldanha ? Le jeune passionnĂ© qui ne demande qu’à apprendre ? Comme il l’était lui avec Amorim au touuuuuuuuuuut dĂ©but de l’histoire ? :smiley:

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@toopil club mythique clairement. AprĂšs pour le nombre de matchs t’en fais pas, aprĂšs les 68 matchs de la saison colombienne je suis prĂȘt :pasrire: C’est pas si complexe le brĂ©sil :pasrire:

@alexgavi merci :slight_smile:

@CaptainAmericka range ta bite frĂ©rot :pasrire: Aucune idĂ©e s’il se retrouve en lui :hoho:

- Nuñez, Sarue, Arthur et Guzman quittent l’aventure -

À peine dĂ©barquĂ© Ă  Palmeiras, Anibal se retrouvait face Ă  une situation bien plus complexe qu’il ne l’avait anticipĂ©. En observant le contexte du club, il comprit rapidement qu’il n’aurait pas la stabilitĂ© qu’il espĂ©rait pour cette saison de transition : le mercato dĂ©chaĂźnĂ© transformait Palmeiras en une proie facile pour les clubs europĂ©ens, plus riches et aux ambitions insatiables. DĂšs ses premiers jours, Anibal voyait dĂ©jĂ  partir les piliers de son Ă©quipe, ceux qui avaient portĂ© le club au sommet du football sud-amĂ©ricain.

L’un des premiers Ă  quitter le navire fut Marcos Antonio, jeune prodige de 21 ans. CourtisĂ© depuis des mois, il Ă©tait finalement vendu Ă  l’AS Monaco pour 15 millions d’euros. Bien que ce transfert ait permis de renflouer les caisses du club, Anibal savait qu’il perdait lĂ  une piĂšce prĂ©cieuse, ce milieu infatigable capable d’orchestrer le jeu et de distribuer des passes millimĂ©trĂ©es. Marcos Antonio, qui avait su se hisser au niveau des plus grands lors de la derniĂšre Libertadores, aurait pu ĂȘtre l’épicentre du jeu qu’Anibal souhaitait bĂątir.

Peu de temps aprĂšs, Arthur, l’expĂ©rimentĂ© latĂ©ral droit de 31 ans, annonça son dĂ©part. AprĂšs quatres ans au service du club et plusieurs passages en Europe, il avait dĂ©cidĂ© de tenter sa chance Ă  nouveau en rejoignant Galatasaray pour 23 millions d’euros. Anibal, qui espĂ©rait compter sur lui pour transmettre son expĂ©rience aux jeunes, se rendit compte que ce dĂ©part crĂ©ait un vide d’autant plus difficile Ă  combler que la position de latĂ©ral, exigeante et stratĂ©gique dans le style d’Anibal, nĂ©cessitait une rĂ©activitĂ© et une prĂ©cision rarement Ă©galĂ©es.

Les pertes se poursuivaient, chaque dĂ©part un peu plus douloureux que le prĂ©cĂ©dent. Mateo NĂșñez, attaquant vedette de Palmeiras, fit ses valises pour l’Inter Milan et un chĂ©que de 37M€. À 26 ans et aprĂšs quatre saisons triomphales au VerdĂŁo, il souhaitait relever un nouveau dĂ©fi. Mateo Ă©tait devenu un visage familier pour les supporters, l’un de ces joueurs qui savaient marquer dans les moments critiques et qui entretenaient une relation fusionnelle avec les tribunes. Anibal n’avait pas eu le temps de discuter longuement avec lui, mais il savait que l’absence de cet attaquant flamboyant allait se faire cruellement sentir.

Le coup de grĂące arriva quand Leandro GuzmĂĄn, l’argentin qui portait le numĂ©ro 10, signa avec le Napoli pour plus de 45 millions d’euros. Joueur charismatique, GuzmĂĄn Ă©tait le crĂ©ateur de jeu, l’artiste du milieu de terrain. Ce dĂ©part plongea Anibal dans une profonde rĂ©flexion, car le rĂŽle de meneur de jeu, si fondamental dans le football sud-amĂ©ricain, se retrouvait dĂ©sormais vacant. Enfin, Matias Sarue, un autre joueur clĂ© de Palmeiras, choisit de partir pour Valence et rapportĂ© 29M€ Ă  son club. La perte de ce dĂ©fenseur, pilier de la ligne arriĂšre, semblait priver Palmeiras d’une soliditĂ© dĂ©fensive vitale, fragilisant davantage l’ensemble de l’effectif.

Anibal comprenait les raisons de ces dĂ©parts ; il savait que le football sud-amĂ©ricain subissait la pression des rĂ©alitĂ©s Ă©conomiques des grands clubs europĂ©ens, et que l’argent finissait par l’emporter. Cependant, cette prise de conscience ne rendait pas sa tĂąche plus facile. En regardant son staff et ses adjoints, il rĂ©alisa que le projet qu’il avait imaginĂ© se transformait, prenant un visage nouveau, imprĂ©vu. Une page s’était tournĂ©e dans l’histoire du club, et une autre Ă©tait dĂ©sormais Ă  Ă©crire.

« C’est un autre dĂ©fi qui commence, bien diffĂ©rent de ce que j’avais envisagĂ©, » confia Anibal Ă  son adjoint Saldanha, l’ancienne lĂ©gende de Palmeiras qui espĂ©rait reprendre le flambeau. Saldanha, attentif et comprĂ©hensif, rĂ©pondit avec calme : « Peut-ĂȘtre est-ce l’occasion pour toi de bĂątir quelque chose d’encore plus grand, Ani. Nous avons une jeunesse prometteuse, et c’est justement pour cela que tu es lĂ . Avec toi, ils peuvent Ă©crire l’avenir. »

Anibal hocha la tĂȘte, sentant monter en lui un mĂ©lange de dĂ©fi et de rĂ©silience. Le recrutement de nouveaux talents devenait urgent, et il se lançait dĂ©jĂ  dans l’analyse des jeunes du club, notant les forces et les faiblesses de chacun. Il se plongea dans les discussions avec Saldanha, s’interrogeant sur chaque profil potentiel, chaque pĂ©pite qui pourrait redĂ©finir Palmeiras.

Ainsi, ce qui s’annonçait comme une saison de transition tranquille se transformait en une saison de refonte complĂšte. Anibal comprit qu’il devait mettre de cĂŽtĂ© ses premiers plans pour faire renaĂźtre Palmeiras autour de nouveaux visages, porteurs d’un avenir Ă  reconstruire.

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Coming SOON - 03/11
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Mais enfin, il sait trùs bien que sa vie n’est pas un long fleuve tranquille. Il pensait qu’il allait pouvoir travailler à mi-temps et que ça se passerait tout seul ?
Que néni mon ami, il va falloir bosser
 et dur !!!

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Des dĂ©parts logiques, c’est un problĂšme courant au BrĂ©sil

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Ca en fait des millions, il va pouvoir réinvestir dans de nouvelles pépites dont lui seul connait le secret !

Bugs Bunny Money GIF by Looney Tunes

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RĂ©ponses aux lecteurs

@VertPourToujours ah ça il est pas verni à chaque fois.

@Rhino oui en général au Brésil dÚs que tu performes tu te fais piller.

@CaptainAmericka Non non, dans l’idĂ©e, il va passer qu’un an a priori au BrĂ©sil donc pas d’investissements massif Ă  prĂ©voir.

- Anibal Ă  la recherche d’un latĂ©ral et d’un milieu dĂ©fensif -

ImpressionnĂ© par la qualitĂ© de la jeunesse qui Ă©mergeait au centre de formation de Palmeiras, Anibal se surprit Ă  voir dans ces jeunes joueurs une Ă©nergie et une passion qu’il n’avait plus ressenti depuis son passage Ă  Valladolid. Durant un entraĂźnement, il observa attentivement chaque mouvement, chaque accĂ©lĂ©ration, et chaque passe qui dĂ©montrait la soif de rĂ©ussite de ces jeunes, convaincu qu’il n’y avait pas besoin de bouleverser l’effectif avec de nouveaux recrutements. AprĂšs une discussion avec Gabriel Jesus, le directeur sportif du club, Anibal dĂ©cida de limiter le recrutement au strict minimum. Ce qui manquait Ă  son Ă©quipe n’était pas une refonte mais des renforts bien ciblĂ©s. Un milieu dĂ©fensif d’expĂ©rience pour stabiliser le jeu et un latĂ©ral pour encadrer les plus jeunes suffiraient amplement.

Gabriel, qui apprĂ©ciait ce pragmatisme, acquiesça. « Anibal, je pense que tu as raison. Ces jeunes sont incroyables, et ils t’admirent tous dĂ©jĂ . Je vais m’assurer de trouver les bonnes recrues, et j’ai dĂ©jĂ  quelques idĂ©es en tĂȘte, » lui rĂ©pondit Gabriel avec un sourire confiant. Il demanda cependant un peu de temps pour Ă©tudier les profils et les offres. Ce temps, Anibal le lui accorda avec plaisir, sachant que son directeur sportif avait toujours Ă©tĂ© efficace lorsqu’il s’agissait de dĂ©nicher des talents aux profils rares. « C’est parfait, Gabriel, je te fais confiance. Mais n’oublie pas que Saldanha reprendra les rĂȘnes en fin de saison. Il doit s’investir dans ce choix aussi. Laisse-lui un peu de latitude. Il a toute ma confiance. »

Le jeune retraitĂ© Saldanha, qui partageait cette vision axĂ©e sur la jeunesse, Ă©tait d’ailleurs d’accord avec cette orientation prudente. À chaque discussion avec Anibal, il comprenait mieux son rĂŽle de futur entraĂźneur, observant attentivement les mĂ©thodes de celui qui l’avait tant inspirĂ©. EnthousiasmĂ©, il accepta de s’occuper du suivi des recrues potentielles, notant ses propres critĂšres. Ils avaient convenu ensemble que les nouvelles recrues, bien qu’en minoritĂ©, devraient ĂȘtre irrĂ©prochables sur le plan humain et sur le plan tactique, capables de jouer le rĂŽle de modĂšles et d’épauler une jeune Ă©quipe ambitieuse, mais encore en quĂȘte de stabilitĂ©.

Au terme de leur rĂ©union, Anibal ressentait un soulagement rare. Ce pari sur la jeunesse de Palmeiras et ce relais qu’il passerait bientĂŽt Ă  Saldanha Ă©taient non seulement une belle preuve de confiance, mais aussi un projet stimulant pour ce dernier, qui avait l’avenir du club entre ses mains. Conscient de son rĂŽle de mentor et dĂ©cidĂ© Ă  ne pas trop s’immiscer dans les dĂ©cisions de Gabriel et Saldanha, Anibal passa le reste de la semaine Ă  concentrer son attention sur la prĂ©paration physique et mentale de ses jeunes joueurs.

Quelques jours plus tard, Gabriel revint vers Anibal avec des nouvelles prometteuses. « Ani, je suis en contact avec deux profils qui vont parfaitement cadrer avec ce qu’on recherche, un milieu dĂ©fensif brĂ©silien expĂ©rimentĂ© qui cherche Ă  se relancer et un latĂ©ral gauche qui s’est rĂ©vĂ©lĂ© la saison passĂ©e avec un avenir dorĂ©. Si tout se passe bien, ils seront parmi nous avant le dĂ©but de saison. »

Anibal et Saldanha Ă©changĂšrent un regard satisfait. L’équipe se dessinait dĂ©jĂ  dans leur esprit, et cette organisation mesurĂ©e leur donnait l’impression d’un projet bien en main, dans lequel chaque joueur aurait l’occasion de briller Ă  sa juste valeur.

- Chapitre 363 -
- L’exode des champions -
- Chapitre 365 -
Coming SOON - 23/04
9 « J'aime »

Un peu d’expĂ©rience, en plus Ă  ce poste, ça se signe direct

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RĂ©ponse au lecteur

@Rhino ah bah ça clairement.

- Anibal retrouve une vieille connaissance -

Alors qu’Anibal visitait une Ă©niĂšme villa sur les hauteurs de SĂŁo Paulo, Ă©valuant chaque recoin Ă  la recherche du havre idĂ©al pour sa famille, son tĂ©lĂ©phone se mit Ă  vibrer. L’affichage ne rĂ©vĂ©lait pas l’identitĂ© de l’appelant, mais la voix qui se fit entendre dĂšs le premier “Allî” lui semblait Ă©trangement familiĂšre. C’était Michael Edwards, l’homme qui avait, en quelque sorte, Ă©tĂ© son alliĂ© dans les moments de gloire et de tempĂȘte Ă  Valladolid. Edwards, directeur sportif du Real Valladolid, commença par des salutations sincĂšres, tĂ©moignant de son amitiĂ© et de son soutien indĂ©fectible pour son ancien coach.

“Anibal, je ne pouvais pas laisser passer cette occasion sans te parler directement,” entama Edwards avec un ton chaleureux, mĂȘlĂ© d’un brin de nostalgie.

“Michael, c’est toujours un plaisir de t’entendre,” rĂ©pondit Anibal en s’installant sur un fauteuil d’un bar de plage Ă  proximitĂ© de la villa, ses yeux parcourant distraitement la vue sur SĂŁo Paulo tout en se concentrant sur la voix de son ancien collaborateur.

AprĂšs quelques minutes d’échanges sur leurs souvenirs communs et sur la situation Ă  Valladolid, Edwards aborda l’objet de son appel. “Dis-moi, Ani, que penserais-tu de l’arrivĂ©e d’Auribertinho chez toi, Ă  Palmeiras ? Le gamin traverse une passe difficile ici, il n’arrive pas Ă  retrouver sa forme habituelle, et cela pourrait ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour lui de changer d’air, de retrouver un cadre qui pourrait l’inspirer.”

Anibal, intriguĂ©, Ă©couta attentivement. Auribertinho, malgrĂ© son jeune Ăąge, avait toujours montrĂ© un talent prometteur, et le voir rejoindre Palmeiras pourrait effectivement apporter une nouvelle dynamique Ă  l’équipe.

“Michael, tu sais que j’ai toujours de la place pour les jeunes qui veulent se battre et s’amĂ©liorer, mais j’aime aussi la compĂ©tition. Je peux te promettre une chose : ici, il jouera s’il le mĂ©rite. S’il montre de la dĂ©termination et s’investit, il aura sa place. Je serai juste avec lui, mais je ne peux pas lui garantir un statut de titulaire. Il devra gagner sa place,” rĂ©pondit Anibal, un sourire aux lĂšvres, sachant bien qu’Edwards apprĂ©cierait cette franchise.

Edwards hocha la tĂȘte de l’autre cĂŽtĂ© du tĂ©lĂ©phone, satisfait. “C’est tout ce que je voulais entendre, Ani. Je vais finaliser tout cela et m’assurer qu’il arrive chez toi dans de bonnes conditions. Je sais qu’il est entre de bonnes mains.”

Quelques jours plus tard, Anibal accueillit Auribertinho Ă  l’entraĂźnement. Le jeune joueur arrivait avec un mĂ©lange d’apprĂ©hension et de motivation, sentant bien que ce nouveau chapitre au BrĂ©sil pourrait ĂȘtre un tournant dans sa carriĂšre. Lorsqu’Anibal le vit arriver, accompagnĂ© de Saldanha et Javi Sanchez, il s’approcha, un sourire bienveillant sur le visage.

“Bienvenue Ă  Palmeiras, Auribertinho. PrĂȘt Ă  prouver ce que tu vaux ?” demanda Anibal en lui tapant amicalement sur l’épaule.

Auribertinho acquiesça avec un sourire nerveux mais dĂ©terminĂ©. “Oui, coach, je suis prĂȘt. Merci pour cette opportunitĂ©. C’est un plaisir de vous retrouver ici. -”

“Souviens-toi, ici, tu as une chance de grandir et de devenir meilleur. J’ai confiance en toi, mais chaque minute de jeu, tu devras la mĂ©riter. Montre-nous ce que tu as dans le ventre et profite de chaque instant, Il te faudra convaincre Saldanha si tu veux rester ici durablement.” rĂ©pondit Anibal, ses yeux pleins de ce feu qui inspirait tant ses joueurs.

Alors qu’ils se dirigeaient vers le terrain, Saldanha et Javi, ses adjoints, lancĂšrent quelques mots d’encouragements au jeune milieu de terrain. Saldanha, qui Ă©tait particuliĂšrement enthousiaste Ă  l’idĂ©e de voir Auribertinho Ă©voluer sous leur houlette, glissa Ă  l’oreille d’Anibal : “Je suis persuadĂ© qu’on peut lui apporter ce qu’il cherche ici. Il a besoin d’un dĂ©clic, d’un encadrement solide, et je suis sĂ»r qu’il est venu au bon endroit.”

Anibal acquiesça, son regard perçant se posant tour Ă  tour sur Auribertinho et sur l’étendue verte du terrain de Palmeiras. Ce nouvel Ă©lĂ©ment dans son Ă©quipe reprĂ©sentait un dĂ©fi de plus, mais c’était exactement ce qu’il aimait. Le dĂ©fi, le talent brut, le potentiel. Et tandis que les joueurs s’échauffaient pour cette premiĂšre sĂ©ance avec Auribertinho, Anibal savait qu’un nouveau chapitre s’écrivait pour Palmeiras et pour lui-mĂȘme.


2002305809 26_Auribertinho

- - - Auriberto
de Jesus - - -
Âge
24
Nationalité :brazil: :spain: Brésilien
valeur 50-59M€
Salaire 391 k€/m
Fin de contrat 30 Juin 2037
:desktop_computer:
Espoir en quĂȘte de rĂ©demption :two_star_half: :four_star:
ANNEES CLUB APP Buts Assist
:brazil: 26/29 [U19] :gremio: Gremio Porto Alegre 170 8 22
:brazil: 26/29 :serieabre: [PRO] :gremio: Gremio Porto Alegre 20 0 1
:spain: 29/35 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid 149 6 12
:england: 33/34 :bpl: [PRO] :manunited: Manchester United 4 0 0
:brazil: 26/31 :comnebol: [U20] :brazil: Brésil 29 9 6
26-35 TOTAL - - - - - - - - - - 173 6 13
- Chapitre 364 -
- deux renforts attendus par Anibal -
- Chapitre 366 -
Coming SOON - 05/11
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Une sacrée recrue, en espérant que son retour au pays soir couronné de succÚs !

1 « J'aime »

Beau bébé, mais quid de la recrue de Gabriel Jesus ?

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AĂŻe, Palmeiras s’est fait pillĂ©. Du moment que le pognon ne tombe pas dans la mauvaise poche.
Anibal rĂ©cupĂšre un gros talent Ă  la relance, grĂące Ă  une vieille connaissance, ça peut ĂȘtre gagnant-gagnant :+1:

1 « J'aime »

Il a un beau profil. C’est un deal oĂč toutes les parties peuvent en ressortir gagnantes

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@Manthyz j’espĂšre aussi, il m’avais déçu Ă  Valladolid oĂč il s’était pas vraiment imposĂ© barrĂ© par Diego Mauricio et Ilaix.

@VertPourToujours c’est sa recrue à lui à Saldanha, le fait que Anibal le connaisse est une coincidence.

@alexgavi l’argent va servir le club c’est le principal.

@Rhino en effet, OA Ă  58M$ pour info :pasrire:

- Tensions avec Emerson Macachero -

À quelques semaines du dĂ©but de saison, Anibal se retrouva face Ă  un dilemme Ă©pineux. Il venait de prendre la dĂ©cision de miser sur Gilson, un jeune attaquant formĂ© Ă  GrĂȘmio, pour diriger l’attaque de Palmeiras. Le jeune buteur brĂ©silien, encore brut mais prometteur, n’avait pas encore rĂ©ellement fait ses preuves, et son choix surprit beaucoup de monde au club, en particulier Emerson Macachero, le vĂ©tĂ©ran et attaquant titulaire depuis quatre saisons, fort de ses 90 buts.

Cette dĂ©cision inattendue crĂ©a des tensions. Anibal et son staff avaient observĂ© chez Gilson un potentiel explosif, une fougue et une intelligence de jeu qui faisaient pressentir de grandes performances s’il Ă©tait bien encadrĂ© et soutenu. Pourtant, nombreux Ă©taient ceux qui doutaient de sa capacitĂ© Ă  briller d’entrĂ©e de jeu. Les murmures s’intensifiĂšrent lorsque la nouvelle se rĂ©pandit dans les vestiaires : Emerson Macachero, le chouchou des supporters et meilleur buteur des derniĂšres saisons, ne serait plus le fer de lance incontestable de l’équipe.

Emerson rĂ©agit avec colĂšre et incomprĂ©hension. AprĂšs des semaines de discussions houleuses avec le staff, il avait espĂ©rĂ© un transfert en Europe, un rĂȘve qu’il poursuivait depuis des annĂ©es. Ce dĂ©part lui aurait permis de se tester face aux meilleures dĂ©fenses mondiales, mais les nĂ©gociations n’avaient finalement pas abouti. Restant au club contre son grĂ©, Emerson s’attendait au moins Ă  retrouver son rĂŽle de leader d’attaque, mais Anibal en avait dĂ©cidĂ© autrement. Le Portugais, qui souhaitait voir son Ă©quipe Ă©voluer avec une fraĂźcheur et un style plus dynamique, avait estimĂ© que le comportement de Macachero, focalisĂ© sur son avenir en Europe, pouvait altĂ©rer l’harmonie du groupe.

Anibal dĂ©cida donc d’avoir une conversation franche avec Emerson, espĂ©rant clarifier la situation :

« Emerson, j’apprĂ©cie ce que tu as fait pour Palmeiras. Tes buts, tes efforts, tu as Ă©tĂ© une piĂšce maĂźtresse. Mais je ressens que ton esprit est ailleurs en ce moment », commença Anibal en posant une main bienveillante sur l’épaule du buteur.

Emerson fronça les sourcils, le regard dur. « Coach, avec tout le respect que je vous dois, je ne comprends pas. J’ai prouvĂ© ce que je vaux. Gilson
 Il est jeune, il n’a encore rien fait. Pourquoi ce choix ? »

Anibal soupira. « Justement, Emerson. Nous croyons en Gilson parce qu’il est jeune, talentueux, et qu’il a besoin de cette opportunitĂ© pour Ă©clore. Je sais que tu voulais partir, et je comprends ta dĂ©ception, mais je veux une Ă©quipe oĂč chaque joueur est pleinement engagĂ©. En ce moment, Gilson a cette flamme et ce dĂ©sir de se prouver ici, avec Palmeiras. »

Le visage d’Emerson se contracta, mĂ©lange de frustration et de rĂ©signation. Il comprenait le message, mĂȘme s’il peinait Ă  l’accepter. « TrĂšs bien, coach. Je respecterai votre choix, mais ne venez pas me chercher si les choses tournent mal, » lĂącha-t-il avant de quitter le bureau d’Anibal, le dos raide de mĂ©contentement.

Cette situation n’était pas sans risque pour Anibal. Il savait qu’une dĂ©cision aussi forte, Ă©cartant l’un des joueurs les plus apprĂ©ciĂ©s des supporters, ne serait pas aisĂ©e Ă  justifier. Cependant, l’entraĂźneur et son staff demeuraient convaincus que Gilson pouvait apporter un souffle nouveau Ă  l’équipe. Le jeune attaquant, conscient de la chance qui lui Ă©tait offerte, redoublait d’efforts Ă  l’entraĂźnement, montrant Ă  chaque session une intensitĂ© et une dĂ©termination qui impressionnaient ses coĂ©quipiers et solidifiaient encore la confiance d’Anibal en lui.

Alors que le premier match de la saison approchait, les regards se tournĂšrent de plus en plus vers le banc de Palmeiras, oĂč Anibal savait que ses dĂ©cisions seraient passĂ©es au crible. Macachero, toujours furieux, prenait place sur le banc avec une attitude sombre, tandis que Gilson se tenait prĂȘt Ă  rĂ©pondre prĂ©sent sur le terrain.

Le dĂ©fi Ă©tait de taille, et la pression ne faisait que monter. Mais pour Anibal, c’était une question de principes, de confiance en la jeunesse et de vision pour l’avenir. Restait Ă  voir si ce pari, risquĂ© mais mĂ»rement rĂ©flĂ©chi, porterait ses fruits et permettrait Ă  Palmeiras de s’élever vers de nouveaux sommets.

- Chapitre 365 -
- Anibal retrouve une vieille connaissance -
- Chapitre 367 -
Coming SOON - 06/11
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