:storygreen: :s22: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Ah
 :sac: Bon, aprùs je parlais de la :cat: à ma mùre mais ça marche aussi :pasrire:

Quelle consĂ©cration de voir des joueurs sĂ©lectionnĂ©s pour le Mondial ! C’est une rĂ©compense supplĂ©mentaire mais l’une des plus belles ! :smiley:

1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka
denis #kohlanta GIF

Oui ça fait plaisir mĂȘme si aucun n’a jouĂ© de matchs au final :sadpepe:

- « Met le montant que tu veux sur le chĂšque Â» -

Le Mondial battait son plein. Les camĂ©ras tournaient sans pause, les salons privĂ©s se remplissaient d’offres murmurĂ©es, de contrats esquissĂ©s sur des serviettes en lin.

AnĂ­bal GuimarĂŁes, lui, Ă©tait venu par respect. InvitĂ© par l’Émir Tamim II Al Thani lui-mĂȘme, il avait rĂ©pondu prĂ©sent. Tenue sobre, voix calme, regard comme toujours ancrĂ© dans l’instant. Car si le dĂ©cor brillait, il n’était pas dupe.

Depuis plusieurs mois dĂ©jĂ , les rumeurs enflaient. Le PSG, en quĂȘte de structure tactique et d’identitĂ©. West Ham, en phase de relance, sous pavillon qatari. Et surtout, un Émir prĂȘt Ă  tout , convaincu que le Portugais reprĂ©sentait le grand architecte du football globalisĂ©.

Il l’avait dit lui-mĂȘme :

« Votre prix sera le vĂŽtre. Ce que vous voulez, vous l’aurez. »

Mais Aníbal avait refusé. Poliment. Fermement. Définitivement.

« Je suis venu Ă©couter. Pas acheter. J’ai un club. J’ai une histoire. Et je viens de l’emmener en Ligue des Champions. Je n’ai pas fini. Pas encore. »

Dans l’entourage de l’Émir, le choc fut discret, mais rĂ©el. On avait tendu un chĂšque en blanc . On avait espĂ©rĂ© sĂ©duire par les moyens, par les noms, par les lumiĂšres.

Mais AnĂ­bal n’avait rien demandĂ©. Et lorsqu’il rentra Ă  Viana do Castelo, il s’assit aux cĂŽtĂ©s de Hugo Viana et signa sa prolongation de deux saisons, sans cĂ©rĂ©monie. Jusqu’en 2046.

En conférence de presse, il fut interrogé sur son passage à Doha. Il répondit simplement :

« J’ai reçu beaucoup. Mais j’ai dĂ©jĂ  tout ce qu’il me faut. Ce club, ce vestiaire, ces supporters. Parfois, rester, c’est plus ambitieux que partir. »

Dans les rues de Viana, on n’ouvrit pas le champagne. Mais on accrocha un drap blanc au-dessus de la porte du stade, sur lequel on avait peint, à la main :

“NĂŁo se compra o que Ă© feito de raĂ­zes.”
(On n’achùte pas ce qui pousse avec des racines.)

Et pendant que le monde courait derriĂšre les noms, Vianense continuait Ă  bĂątir avec un homme qui avait choisi de rester. Mais le Cheikh Al-Thani avait du mal Ă  digĂ©rer sa dĂ©faite et en privĂ© il jura qu’Anibal deviendrait la vitrine du Qatar. Quitte Ă  devoir acheter Vianense.

- Chapitre 713 -
- Statistiques du récit -
- Chapitre 715 -
Coming SOON - 13/06
13 « J'aime »

J’en ai la larme à l’Ɠil

1 « J'aime »

C’est beau ! Mais attention au CHÈQUE ! Il est capable de tout :sac:

1 « J'aime »

Le cheickh peut ĂȘtre pire que la mafia


1 « J'aime »

Il a refusé le chÚque du chic cheick TchÚque!

1 « J'aime »

Avant de le lire, et vu comment le Cheick faisait tout pour travailler avec Anibal, je me suis dit qu’il allait finir par racheter le club :sweat_smile:

En tout cas, la saison Ă©coulĂ©e est trĂšs belle, et les joueurs ont rĂ©pondu prĂ©sent. Ce qui est encore plus beau, c’est l’ami Carlos qui se fait lourder !
Vu qu’il aime bien marcher dans les pas d’Anibal, il va finir à Nagoya, Envigado ou Tijuana !

1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@Rhino pourquoi donc frérot ?

@CaptainAmericka :pasrire:

@Sythax Il a qu’a racheter le club si ça lui conviens pas :dsk:

@toopil Ă  tes souhaits

@alexgavi c’est une idĂ©e oui. Le limogeage de Carlito j’ai bien kiffĂ© ouais :hoho: T’es pas prĂȘt quand tu vas voir oĂč il va rebondir.

- Sergio Mata s’interroge sur son avenir -

Il avait fini la saison en patron. Meilleur buteur du club, Sergio Mata s’était imposĂ© comme l’un des visages forts du Vianense nouveau. Puissant, prĂ©cis, intelligent dans ses dĂ©placements, il avait su porter l’attaque au moment oĂč Luis Almeida se blessait, et oĂč la pression s’intensifiait.

Et comme une cerise sur un gĂąteau qu’on n’attendait pas si savoureux, il avait Ă©tĂ© appelĂ© pour la Coupe du monde. Il n’était pas entrĂ© en jeu, mais il y Ă©tait. Dans les tribunes, dans les vestiaires, avec le maillot du Portugal sur le dos.

Mais depuis son retour, quelque chose avait changĂ©. Le regard. Le ton. Une forme de distance, polie mais rĂ©elle. Car les sollicitations Ă©taient arrivĂ©es. Valencia en tĂȘte. Villarreal, aussi, convaincu qu’il pouvait devenir un neuf moderne, capable de faire la diffĂ©rence en Liga.

Et Sergio s’interrogeait. Pas par envie de fuir. Mais parce que le monde s’ouvrait à lui.

Pourtant, du cÎté de Vianense, le message fut clair, limpide, immédiat.

« Sergio Mata ne partira pas. Pas cet Ă©tĂ©. Il a Ă©tĂ© une clĂ© de notre succĂšs. Il sera une arme pour notre premiĂšre Ligue des Champions. C’est non nĂ©gociable. »

Les mots Ă©taient de Hugo Viana , mais la dĂ©cision venait d’en haut.

AnĂ­bal, lui, avait pris le joueur Ă  part, dans le calme d’une salle vidĂ©o vide.

« Tu veux jouer l’Europe ? Tu vas la jouer. Mais pas en Espagne. Pas encore. Ici. Avec nous. LĂ  oĂč tu es devenu un joueur que l’Europe regarde. »

Sergio avait Ă©coutĂ©. Sans rĂ©pondre immĂ©diatement. Mais il n’avait pas fui le regard.

Quelques jours plus tard, il publia une photo de l’écusson du club, accompagnĂ© d’un mot simple :

“Vamos mais alto. Mas juntos.”
(Allons plus haut. Mais ensemble.)

Et dans le vestiaire, les anciens comprirent. Mata restait. Pas par dĂ©faut. Par choix. Et ça, Ă  Vianense, ça valait bien plus qu’un transfert en Liga.

- Chapitre 714 -
- « Met le montant que tu veux Â» -
- Chapitre 716 -
Coming SOON - 14/06
10 « J'aime »

On se doute qu’il fera sa derniùre saison au club trùs certainement..

1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka C’est bien possible s’il continue sur son niveau de performances.

- Vianense refuse 18M d’Everton pour SimĂ”es -

Viana do Castelo, juillet 2042.

L’air avait un goĂ»t diffĂ©rent cette annĂ©e. Un mĂ©lange d’ambition retrouvĂ©e et de tension contenue. AprĂšs une saison au scĂ©nario presque invraisemblable, Vianense, modeste bastion du football lusitanien, avait dĂ©crochĂ© une place sur le podium de la Liga Betclic. TroisiĂšme. DerriĂšre les gĂ©ants. Devant les puissants. Un exploit majuscule qui ouvrait Ă  la bande d’AnĂ­bal GuimarĂŁes les portes du troisiĂšme tour prĂ©liminaire de la Ligue des Champions. Mais en coulisses, le triomphe avait un revers. Les projecteurs avaient attirĂ© les vautours. Et dans les bureaux du club, le mercato allait devenir une guerre d’usure.

Parmi les joueurs les plus ciblĂ©s, Carlos SimĂ”es n’était pas une surprise. L’international angolais, formĂ© au club, symbolisait Ă  lui seul la trajectoire de Vianense : discret, travailleur, fidĂšle, et diablement efficace. À 20 ans, il venait d’enchaĂźner sa quatriĂšme saison pleine avec une rĂ©gularitĂ© de mĂ©tronome et une montĂ©e en puissance que mĂȘme les observateurs les plus sceptiques ne pouvaient plus ignorer. LibĂ©ro d’une modernitĂ© rare, autant Ă  l’aise dans les duels qu’à la relance, SimĂ”es attirait l’Ɠil. Et les clubs anglais ne s’y Ă©taient pas trompĂ©s.

Tottenham, Wrexham, Southampton, Sunderland, Brentford
 et surtout Everton, furent les premiers Ă  concrĂ©tiser leur intĂ©rĂȘt.

L’offre des Toffees tomba un matin d’étĂ©, comme une dĂ©tonation feutrĂ©e. Un fax. Sobre. 18 millions d’euros. Du jamais vu pour un joueur angolais issu de Vianense. Dans n’importe quel autre contexte, un tel montant aurait provoquĂ© des rĂ©unions d’urgence, des hĂ©sitations, des calculs. Mais ici, Ă  Viana,les convictions valaient plus que les chiffres. Hugo Viana, directeur sportif du club et artisan discret de la montĂ©e en puissance du projet, convoqua le joueur. Il ne tourna pas autour du pot. Il lui montra l’offre, puis leva les yeux. « Tu connais notre position, Carlos. Tu fais partie de cette aventure. Tu es essentiel. Pas vendable. » Le ton Ă©tait posĂ©. La dĂ©cision ferme. Le message clair.

Et SimĂ”es, fidĂšle Ă  son tempĂ©rament, ne broncha pas. Ni chantage, ni menace. Juste un hochement de tĂȘte. Un regard droit dans celui de Viana. Et une phrase, glissĂ©e calmement

« J’ai grandi ici. Je veux Ă©crire l’histoire ici. »

Quelques heures plus tard, AnĂ­bal GuimarĂŁes confirmait la nouvelle en confĂ©rence de presse. Il Ă©voqua la loyautĂ© de son joueur, sa mentalitĂ© irrĂ©prochable, et le rĂŽle central qu’il aurait dans l’aventure europĂ©enne Ă  venir.

« Il y a des joueurs qu’on ne remplace pas avec un chĂšque. Carlos en fait partie. »

Puis il ajouta, presque Ă  voix basse, comme pour lui-mĂȘme :

« Quand on veut bùtir un club, il faut garder ceux qui savent ce que cela coûte. »

Dans un Ă©tĂ© agitĂ© par les convoitises et les manƓuvres de coulisse, Vianense avait su dire non. Et dans cette Ligue des Champions qui se dessinait Ă  l’horizon, Carlos SimĂ”es serait lĂ . Dans l’axe. Comme toujours.

- Chapitre 715 -
- Sergio Mata s’interroge sur son avenir -
- Chapitre 717 -
Coming SOON - 14/06
11 « J'aime »

Vu la belle saison, normal que les meilleurs Ă©lĂ©ments attirent l’attention. Si tout se passe bien pour le moment, j’imagine qu’il y aura bien un cadre qui cĂšdera aux sirĂšnes de grands clubs :grimacing:

1 « J'aime »

L’avantage c’est qu’avec le dernier mercato Vianense a de l’argent donc aucune obligation de vendre


1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@alexgavi oui c’est bien normal surtout vu leur jeunesse aprĂšs avec la qualif inespĂ©rĂ© on peut espĂ©rer pouvoir garder quasiment tout le monde.

@VertPourToujours tout à fait et ça fait du bien.

@FC_Guimaraes quelques infos sur l’avenir du fils Guimarães

- Victor perplexe sur sa carriĂšre -

Il avait l’ñge des grands frissons et des questions trop lourdes pour ses Ă©paules. L’étĂ©, cette annĂ©e-lĂ , aurait dĂ» avoir un goĂ»t de triomphe et de tendresse retrouvĂ©e. Victor venait de rentrer de son stage Ă  la fĂ©dĂ©ration, aurĂ©olĂ© d’un nouveau succĂšs au prestigieux tournoi de Montaigu, remportĂ© pour la seconde annĂ©e consĂ©cutive. Dans l’histoire de la compĂ©tition, rares Ă©taient ceux qui avaient laissĂ© une empreinte aussi brillante. Les scouts, eux, ne s’y trompaient pas. Les gĂ©ants d’Europe avaient tous cochĂ© son nom : Manchester City, le Real Madrid, le Napoli, Arsenal, le PSG
 mĂȘme Valladolid, lieu de sa naissance, s’était manifestĂ©. Le monde s’ouvrait Ă  lui, les opportunitĂ©s pleuvaient. Mais Victor, lui, hĂ©sitait.

Il aurait pu savourer. Se perdre dans la lumiĂšre, comme tant d’autres. Mais il n’était pas comme tant d’autres. Depuis quelques semaines, il dĂ©couvrait une famille, la sienne, au sens le plus intime du terme. Il apprenait Ă  rire avec Beatriz, Ă  veiller sur les jumeaux, Luisa et Pedro. Il observait Yessica, comme une Ă©toile apaisĂ©e, comme une femme qui avait su embrasser sa place sans faire d’ombre Ă  celle des autres. Et au centre de tout, il y avait AnĂ­bal. PrĂ©sent, discret, intense. Un pĂšre dĂ©sormais, mais surtout un homme que Victor avait d’abord admirĂ© de loin, puis redĂ©couvert de l’intĂ©rieur. Une lĂ©gende vivante, oui. Mais surtout un homme avec ses fĂȘlures, ses silences, ses maladresses et ses Ă©lans de tendresse mal camouflĂ©s.

Et pourtant, derriĂšre les sourires, l’angoisse persistait. Victor aimait Vianense. Il aimait ce club, ses couleurs, ses gradins. Il y avait Ă©tĂ© formĂ©, il y avait grandi. Mais comment rester, quand le regard des autres risquait de changer ? Quand la vĂ©ritĂ© Ă©claterait, quand ses coĂ©quipiers comprendraient qu’il n’était pas seulement le prodige du centre, mais aussi le fils du coach, de l’idole, du mythe ? Il redoutait leurs murmures, leurs soupçons de favoritisme, leur jalousie dissimulĂ©e. Il ne voulait pas ĂȘtre le “fils de”, il voulait mĂ©riter. Et ce nom, “GuimarĂŁes”, pourtant absent de ses papiers, pesait dĂ©jĂ  comme un hĂ©ritage collĂ© Ă  sa peau.

AnĂ­bal, de son cĂŽtĂ©, voyait bien l’agitation derriĂšre le regard de son fils. Il l’avait lui-mĂȘme vĂ©cue, cette lutte intĂ©rieure entre identitĂ© et destin. Alors il avait dĂ©cidĂ© d’agir Ă  sa maniĂšre. Sans discours pompeux. Sans grandes dĂ©monstrations. Un soir, sur la terrasse de la villa, pendant que la brise faisait danser les rideaux et que les cris de Luisa et Pedro rĂ©sonnaient encore dans la maison, il s’était assis Ă  cĂŽtĂ© de Victor. Un verre d’eau fraĂźche Ă  la main. Un silence d’abord. Puis une main posĂ©e sur l’épaule. Et ces mots, simples, murmurĂ©s, presque cassĂ©s par l’émotion :

“Tu n’es pas moi. Tu n’as pas Ă  l’ĂȘtre. Tu es Victor. Et tu vas Ă©crire ton propre chemin. Que ce soit ici
 ou ailleurs. Mais si tu restes, sache que tu l’auras mĂ©ritĂ©. Et que tu n’as rien volĂ© Ă  personne.”

Victor ne rĂ©pondit pas tout de suite. Il regarda son pĂšre. Et pour la premiĂšre fois, il ne vit ni le coach, ni la lĂ©gende, ni le guerrier tatouĂ©. Juste un pĂšre. Le sien. Il hocha la tĂȘte. Il n’avait pas encore dĂ©cidĂ© de ce qu’il ferait. Peut-ĂȘtre partirait-il. Peut-ĂȘtre resterait-il. Mais il savait qu’à cet instant prĂ©cis, il n’était plus seul.

Et dans le vent tiÚde de cette nuit de juillet, deux générations Guimarães se regardaient enfin, sans peur, sans faux-semblants.

- Chapitre 716 -
- Vianense refuse 18M pour SimÔes -
- Chapitre 718 -
Coming SOON - 23/04
12 « J'aime »

Victor a l’air d’avoir un vrai potentiel ! S’il dĂ©cidait de partir, ça ferait chier pour l’histoire
 Surtout que son pĂšre n’est pas le plus nul des entraineurs ! Il a tout Ă  y gagner Ă  rester auprĂšs de lui.

1 « J'aime »

Il a le talent lui, pas comme un certain Lance par exemple
 :sac:

Oh la balle perdue, Gwendil


1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka J’espĂšre aussi qu’il va reste. Maix existe t’il mĂȘme ou n’est il qu’un fugace ressort scĂ©naristique.

@gwendil35 J’ai pas la rĂ©f :sadpepe:

- Vianense s’engage avec Nike pour 3 saisons -

Dans le tumulte de l’étĂ© europĂ©en, marquĂ© par les transferts Ă  huit chiffres, les tractations secrĂštes et les ambitions continentales, le SC Vianense a dĂ©cidĂ© de frapper un grand coup. Non pas sur le marchĂ© des joueurs cette fois, mais dans l’image qu’il souhaite dĂ©sormais renvoyer au monde entier. Et quoi de plus parlant, de plus symbolique, que le maillot, cette seconde peau qui raconte une saison avant mĂȘme qu’elle ne commence ?

AprĂšs trois annĂ©es marquĂ©es par une collaboration solide avec Castore, la montĂ©e en puissance du club et surtout la qualification historique pour la Ligue des Champions ont incitĂ© les dirigeants Ă  revoir leur stratĂ©gie Ă  la hausse. Le SC Vianense a ainsi officialisĂ© un accord de partenariat avec Nike, Ă©quipementier planĂ©taire, pour les cinq prochaines saisons. D’aprĂšs les indiscrĂ©tions de la presse Ă©conomique, le montant du contrat s’approcherait des standards rĂ©servĂ©s aux mastodontes du football portugais, un record pour un club hors du “Big Three” (Benfica, Porto, Sporting). Un signal fort. Une dĂ©claration d’intention. Une maniĂšre aussi de rappeler que Vianense ne veut plus simplement exister, mais briller, durablement.

Hugo Viana, directeur sportif, a saluĂ© “un moment structurant dans l’histoire du club”.

Plus discret mais tout aussi Ă©loquent, AnĂ­bal GuimarĂŁes, le coach, a soufflĂ© devant les journalistes que “le prestige s’acquiert par le jeu, mais il s’incarne aussi par l’image. Ces maillots racontent ce que nous sommes devenus, et ce que nous voulons incarner.” Et justement, ces maillots, parlons-en.

Conçus autour du célÚbre template Total 90, hommage aux grandes heures du football des années 2000, ils allient nostalgie et modernité avec une audace maßtrisée.

Maillot Domicile — “Raízes e Glória”

Le maillot principal rend hommage aux racines profondes du club. Arborant un bleu nuit intense, il se pare d’un subtil motif vertical Ă©voquant les lignes d’armures mĂ©diĂ©vales, en rĂ©fĂ©rence directe au surnom du club, “Os Cavaleiros”. Le col et les bords de manches sont soulignĂ©s de blanc, tandis que le logo Nike et le sponsor Pirelli ressortent dans un blanc Ă©clatant. Sur la nuque, une inscription discrĂšte : GOAT, clin d’Ɠil Ă  l’un des sponsors du club. Les Ă©paules fuselĂ©es et les bandes latĂ©rales offrent une silhouette dynamique et musclĂ©e, rĂ©solument tournĂ©e vers l’Europe. Dans le dos on note la prĂ©sence du sponsor Beko.

Maillot ExtĂ©rieur — “Frieza de Aço”

PensĂ© pour incarner le sang-froid et l’élĂ©gance Ă  l’extĂ©rieur, le maillot away se dĂ©cline en blanc polaire, rĂ©haussĂ© de motifs verticaux bleu pĂąle, comme des cicatrices de lumiĂšre. Le col et les manches adoptent un bleu nuit impĂ©rial, en rappel au domicile, tandis que le sponsor Beko et les logos UEFA Champions League s’intĂšgrent subtilement sur les Ă©paules et la manche droite. Un maillot de conquĂȘte, pensĂ© pour les soirs europĂ©ens loin du Minho, oĂč l’on gagne souvent plus avec la tĂȘte qu’avec les jambes.

Maillot Third — “A Pátria no Peito”

Le troisiĂšme maillot, vĂ©ritable audace stylistique, est un hommage Ă  la nation portugaise. DominĂ© par un rouge profond, il est ornĂ© de motifs rendant hommage au logo de la fĂ©dĂ©ration discrets rappelant la maille des armures. Les sponsors, floquĂ©s en jaune vif, contrastent avec les accents verts du col et des bas de manches. Ce maillot est un manifeste. Celui d’un club portugais, qui ne renie rien de son identitĂ© locale tout en visant l’Europe. Il sera portĂ© Ă  domicile comme Ă  l’extĂ©rieur, notamment lors des soirĂ©es europĂ©ennes oĂč l’ñme du pays accompagnera les siens. Il rends directement hommage au maillot portĂ©s par la Seleçao lors de l’Euro 2004.

À Viana, ce partenariat avec Nike n’est pas qu’un simple coup d’éclat marketing. Il marque l’entrĂ©e du club dans une autre dimension, une reconnaissance implicite de ce qu’il est devenu : un projet pĂ©renne, ambitieux, enracinĂ©. Un club qui ne se contente plus de rĂȘver, mais qui construit — lentement, mĂ©thodiquement, avec Ă©lĂ©gance.

Et en ouvrant leur nouvelle boutique officielle, certains supporters n’ont pas pu s’empĂȘcher de chuchoter :

“Ils ne sont plus les invitĂ©s. Ils sont Ă  table.”

- Chapitre 717 -
- Victor perplexe pour sa carriĂšre -
- Chapitre 719 -
Coming SOON - 15/06
11 « J'aime »

Lance Stroll qui pilote en F1 parce que son pĂšre possĂšde l’écurie Aston Martin
 Il a peut-ĂȘtre 1 pĂŽle position en F1, mais il n’a jamais rien fait
 Remarque, il commence Ă  avoir la luciditĂ© de ne pas Ă  sa place en F1, il Ă©tait temps
 Bref, dĂ©solĂ© pour l’appartĂ©. :wink:

2 « J'aime »

Une manne financiĂšre bienvenue avec ce nouveau partenariat

1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@gwendil35 je comprends mieux du coup au dĂ©but je pensais que tu parlais d’un fils de coach dans un autre rĂ©cit mais qui serait Ă©clatĂ©.

@Rhino oui les finances progressent bien.

- Gilson rejoint Vianense -

Les grandes histoires ne s’éteignent jamais vraiment. Elles s’éloignent parfois, prennent le large, changent de maillot, de climat, de rythme
 mais elles gardent, au fond du cƓur, un point d’ancrage. Un lieu. Un visage. Une voix. Pour Gilson, ce point cardinal portait un nom : AnĂ­bal GuimarĂŁes.

À 33 ans, l’ancien international brĂ©silien n’était plus le feu follet de ses vingt ans, ni mĂȘme l’électron libre qui enflammait les pelouses espagnoles sous les couleurs de Valladolid. À Madrid, oĂč il avait signĂ© en quĂȘte d’un dernier dĂ©fi de prestige, le jeu l’avait progressivement quittĂ©. La concurrence, la rotation, les attentes dĂ©mesurĂ©es
 tout cela avait eu raison de ses jambes, et parfois mĂȘme de son plaisir. Un retour avortĂ© Ă  Fluminense, son club de cƓur, avait semblĂ© sonner le glas d’une carriĂšre pourtant immense. Mais Gilson, fidĂšle Ă  sa trajectoire sinueuse et brillante, avait choisi de fermer la boucle ailleurs.

Et cet ailleurs, ce fut Vianense.

Dans un communiquĂ© sobre, le club annonça la signature du joueur pour deux saisons, avec la mention claire d’un rĂŽle mixte, entre terrain et transmission. Il ne viendrait pas pour enchaĂźner les titularisations ni pour empiler les statistiques. Il venait pour transmettre, pour guider, pour partager. Car dans l’ombre de cette signature se dessinait un autre projet : celui de Pedro Tiba, latĂ©ral droit de 16 ans, dĂ©jĂ  annoncĂ© comme le joyau dĂ©fensif de la nouvelle gĂ©nĂ©ration. AnĂ­bal avait Ă©tĂ© clair : Tiba allait jouer. Mais il aurait besoin d’un phare Ă  ses cĂŽtĂ©s. Quelqu’un pour l’épauler. Pour l’endurcir. Pour lui rappeler que le talent ne suffit jamais seul.

Gilson avait dit oui, sans mĂȘme discuter les conditions.

Il voulait terminer lĂ  oĂč tout avait commencĂ© : auprĂšs de celui qui avait cru en lui le premier.

C’était Ă  Valladolid, presque dix ans plus tĂŽt. AnĂ­bal avait misĂ© sur ce gamin fluet venu de SĂŁo Paulo. Il l’avait alignĂ© malgrĂ© les doutes, lui avait confiĂ© des responsabilitĂ©s croissantes. Et ensemble, ils avaient tout gagnĂ©. Deux Ligas, trois Copa del Rey, une Ligue des Champions, une Europa League, une ConfĂ©rence. Une moisson que peu d’entraĂźneurs et de joueurs partagent sur un seul et mĂȘme cycle. Plus que des titres, ils avaient Ă©crit une Ăšre.

En confĂ©rence de presse, Gilson apparut dĂ©tendu, presque rajeuni. Il remercia le Real, sans amertume, Ă©voqua Fluminense avec Ă©motion, puis s’arrĂȘta longuement sur Vianense.

« Je sais que je ne jouerai pas 30 matchs. Mais ce que je peux apporter, je le ferai avec fiertĂ©. J’ai commencĂ© en Europe sous AnĂ­bal. J’ai grandi avec lui. Je veux finir Ă  ses cĂŽtĂ©s. Et s’il peut faire de Pedro ce qu’il a fait de moi, alors j’aurai aussi servi Ă  quelque chose. »

Dans les travĂ©es du stade, certains supporters plus ĂągĂ©s s’étaient souvenus de Gilson Ă  ses dĂ©buts.

De ses dĂ©boulĂ©s, de ses passes aveugles, de ses cris de rage aprĂšs une dĂ©faite. Le voir ici, aujourd’hui, c’était plus qu’un signe.

C’était une leçon. Une preuve que les vrais liens dans le football se tissent dans la loyautĂ© silencieuse, pas dans les titres.

Et pendant qu’AnĂ­bal et Gilson se retrouvaient Ă  l’écart, autour d’un cafĂ© noir , le coach avait glissĂ© Ă  son ancien joueur :

« Tu ne viens pas finir ta carriÚre. Tu viens la sublimer. »

Le destin avait rappelĂ© un champion pour qu’il devienne mentor.

Et Ă  Vianense, c’était peut-ĂȘtre le plus beau trophĂ©e que l’on pouvait soulever.

- - - Gilson
Bressan - - -
Âge 33
Nationalité :brazil: :portugal: :spain: Brésilien
valeur 425k-625k€
Salaire 145k€/m
Fin de contrat 30 Juin 2044
:desktop_computer:
Doublure de luxe :two_star_half: :two_star_half:
ANNEES CLUB APP Buts Assist
:brazil: 24/27 [U20] :sao_paulo: Sao Paulo FC 33 3 11
:brazil: 24/27 :serieabre: [PRO] :sao_paulo: Sao Paulo FC 38 1 2
:spain: 27/28 :liga_hypermotion: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 22 1 6
:spain: 28/29 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 35 5 9
:spain: 29/30 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 49 6 12
:spain: 30/31 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 58 11 17
:spain: 31/32 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 48 3 11
:spain: 32/33 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 29 2 3
:spain: 33/34 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 29 2 9
:spain: 34/35 :liga_easport: [PRO] :real_valladolid: Real Valladolid CF 10 1 2
:england: 34/35 :bpl: [PRO] :newcastle: Newcastle United 5 0 1
:england: 35/36 :bpl: [PRO] :newcastle: Newcastle United 22 0 2
:england: 36/37 :bpl: [PRO] :newcastle: Newcastle United 22 0 2
:england: 37/38 :bpl: [PRO] :newcastle: Newcastle United 16 0 0
:spain: 38/39 :liga_easport: [PRO] :realmadrid: Real Madrid CF 16 1 4
:spain: 39/40 :liga_easport: [PRO] :realmadrid: Real Madrid CF 27 0 4
:spain: 40/41 :liga_easport: [PRO] :realmadrid: Real Madrid CF 9 2 0
:brazil: 41/42 :serieabre: [PRO] :fluminense: Fluminense 1 0 0
:brazil: 33/38 :comnebol: [A] :grootbrazil: Brésil 24 1 3
24-42 TOTAL - - - - - - - - - - 436 35 84
- Chapitre 718 -
- Vianense s’engage avec Nike -
- Chapitre 720 -
Coming SOON - 15/06
14 « J'aime »

Il va faire du bien Gilson. En espérant que Pedro Tiba profite de son expérience


1 « J'aime »