:storygreen: :s23: 🇵🇹 :fpf: :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Rhino pourquoi donc frérot ?

@CaptainAmericka :pasrire:

@Sythax Il a qu’a racheter le club si ça lui conviens pas :dsk:

@toopil Ă  tes souhaits

@alexgavi c’est une idée oui. Le limogeage de Carlito j’ai bien kiffé ouais :hoho: T’es pas prêt quand tu vas voir où il va rebondir.

- Sergio Mata s’interroge sur son avenir -

Il avait fini la saison en patron. Meilleur buteur du club, Sergio Mata s’était imposé comme l’un des visages forts du Vianense nouveau. Puissant, précis, intelligent dans ses déplacements, il avait su porter l’attaque au moment où Luis Almeida se blessait, et où la pression s’intensifiait.

Et comme une cerise sur un gâteau qu’on n’attendait pas si savoureux, il avait été appelé pour la Coupe du monde. Il n’était pas entré en jeu, mais il y était. Dans les tribunes, dans les vestiaires, avec le maillot du Portugal sur le dos.

Mais depuis son retour, quelque chose avait changé. Le regard. Le ton. Une forme de distance, polie mais réelle. Car les sollicitations étaient arrivées. Valencia en tête. Villarreal, aussi, convaincu qu’il pouvait devenir un neuf moderne, capable de faire la différence en Liga.

Et Sergio s’interrogeait. Pas par envie de fuir. Mais parce que le monde s’ouvrait à lui.

Pourtant, du côté de Vianense, le message fut clair, limpide, immédiat.

« Sergio Mata ne partira pas. Pas cet été. Il a été une clé de notre succès. Il sera une arme pour notre première Ligue des Champions. C’est non négociable. »

Les mots étaient de Hugo Viana , mais la décision venait d’en haut.

Aníbal, lui, avait pris le joueur à part, dans le calme d’une salle vidéo vide.

« Tu veux jouer l’Europe ? Tu vas la jouer. Mais pas en Espagne. Pas encore. Ici. Avec nous. Là où tu es devenu un joueur que l’Europe regarde. »

Sergio avait écouté. Sans répondre immédiatement. Mais il n’avait pas fui le regard.

Quelques jours plus tard, il publia une photo de l’écusson du club, accompagné d’un mot simple :

“Vamos mais alto. Mas juntos.”
(Allons plus haut. Mais ensemble.)

Et dans le vestiaire, les anciens comprirent. Mata restait. Pas par défaut. Par choix. Et ça, à Vianense, ça valait bien plus qu’un transfert en Liga.

- Chapitre 714 -
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Coming SOON - 14/06
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