:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Avant mĂȘme l’entrevue, le nouveau prĂ©sident avait pris sa dĂ©cision de virer Anibal, ça serait passĂ© autrement sinon.
Et pour le coup, il a bien eu raison de les envoyer chi**. Au moins, il ne se fait pas virer comme un c*n :grin:

Curieux de voir la future destination pour rebondir. C’est vrai qu’un retour à Vianense peut avoir du sens pour se venger du Sporting :muscle:

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@volatil vu ce qu’ils veulent faire visiblement c’est clairement le bon choix pour eux. Maintenir le staff en place pour tout refaire n’avait pas de sens. Rebondir oui je me fais pas trop de soucis. Ouais qu’il retourne manger des muffins l’autre.

@Sythax oui oui ça arrive :dsk:

@Tiien on se respecte quand mĂȘme entre un club de nĂ©o nazi et un d’un incompĂ©tent non merci.

@CaptainAmericka un long voyage tout de suite.

@Manthyz Non avec le melon de Mbappé :no:

@toopil c’est la vie poto. On est dĂ©cidĂ©ment pas destinĂ© Ă  performer au Sporting.

@alexgavi c’est comme ça. Au moins on a dit ce qu’on avait Ă  dire. La rĂ©ponse arrivera assez vite cette fois.

- Yessica vers un tournage espagnol -

Yessica Ă©tait troublĂ©e. Les rĂ©cents Ă©changes avec Anibal, qui cherchait dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  relancer sa carriĂšre aprĂšs son dĂ©part du Sporting, l’avaient laissĂ©e perplexe et un peu frustrĂ©e. Elle comprenait les ambitions de son compagnon, mais elle ressentait aussi un fossĂ© grandissant entre leurs prioritĂ©s.

Comme si cela ne suffisait pas, un nouveau scĂ©nario venait d’arriver dans sa boĂźte mail. C’était un projet espagnol intrigant, un thriller psychologique avec des personnages complexes et des dialogues ciselĂ©s. Ce qui rendait l’offre encore plus excitante, c’était la possibilitĂ© qu’elle soit dĂ©clinĂ©e en sĂ©rie pour Netflix si le film rencontrait du succĂšs. Rien qu’en lisant les premiĂšres pages, Yessica avait senti son enthousiasme renaĂźtre.

Assise dans leur salon, une tasse de thĂ© Ă  la main, Yessica parcourait les pages du scĂ©nario. L’histoire l’attirait, le rĂŽle principal fĂ©minin, une avocate confrontĂ©e Ă  un dilemme moral, semblait taillĂ© pour elle. « Ă‡a, c’est le genre de projet que j’ai toujours voulu faire Â», murmura-t-elle pour elle-mĂȘme.

Mais Ă  chaque ligne qu’elle lisait, une pensĂ©e persistante venait troubler son excitation : comment allait-elle parler de cette opportunitĂ© Ă  Anibal ?

Depuis quelques jours, la communication avec Anibal Ă©tait devenue plus compliquĂ©e. Lorsqu’il ne discutait pas avec son agente ou ne cherchait pas des opportunitĂ©s sur son tĂ©lĂ©phone, il Ă©tait plongĂ© dans ses propres pensĂ©es. Les conversations se rĂ©sumaient souvent Ă  des sujets logistiques ou pratiques, et les moments d’échange vĂ©ritable se faisaient rares.

Yessica avait tentĂ© d’aborder la question de ses propres envies et projets, mais elle avait senti une distance, comme si Anibal Ă©tait trop absorbĂ© par ses propres prĂ©occupations pour vraiment l’écouter.

Une soirĂ©e, alors qu’ils dĂźnaient, elle osa finalement lancer : « J’ai reçu un scĂ©nario espagnol aujourd’hui. Le projet pourrait devenir une sĂ©rie Netflix. Ça me plaĂźt beaucoup. Â»

Anibal releva la tĂȘte, mais son regard semblait ailleurs. « C’est super Â», dit-il d’un ton distrait avant de replonger dans son assiette.

Yessica sentit une pointe de frustration monter en elle. « Anibal, tu m’écoutes vraiment ? Â»

Il releva les yeux, cette fois avec un soupçon de culpabilitĂ©. « DĂ©solĂ©, Yessica. Oui, je t’écoute. Mais avec tout ce qui se passe en ce moment, je suis un peu
 perdu. Â»

Anibal avait Ă©tĂ© honnĂȘte. Il Ă©tait effectivement perdu, partagĂ© entre son dĂ©sir de trouver un projet professionnel Ă  la hauteur de ses attentes et son devoir envers Yessica et leur fille Beatriz. Mais pour Yessica, cela ne rendait pas la situation moins frustrante. Elle avait besoin de sentir qu’elle n’était pas seule Ă  porter le poids des dĂ©cisions familiales.

Cette nuit-lĂ , alors qu’elle se glissait sous les draps, elle fixa le plafond, son esprit tiraillĂ© entre l’enthousiasme pour ce rĂŽle et l’incertitude quant Ă  la rĂ©action d’Anibal.

De son cĂŽtĂ©, Anibal s’était assis dans le salon, contemplant son tĂ©lĂ©phone, une offre d’un club europĂ©en peu sĂ©duisant ouverte devant lui. Il savait qu’il devait parler Ă  Yessica, lui montrer qu’il Ă©tait lĂ  pour elle autant qu’elle l’était pour lui. Mais les mots lui manquaient.

Le lendemain matin, alors qu’Isabella jouait dans le jardin, Yessica et Anibal se croisĂšrent dans la cuisine. Il posa sa tasse de cafĂ© et, pour la premiĂšre fois depuis des jours, la regarda dans les yeux. « Yessica, on doit parler Â», dit-il simplement.

Elle hocha la tĂȘte, prĂȘte Ă  poser les cartes sur la table.

Ils savaient tous les deux que cette conversation allait ĂȘtre essentielle, non seulement pour leurs carriĂšres respectives, mais aussi pour l’équilibre de leur famille. Car au fond, malgrĂ© les tensions et les doutes, ils partageaient un dĂ©sir commun : celui de trouver une voie qui leur permettrait de concilier leurs rĂȘves sans se perdre de vue.

- Chapitre 548 -
- À la recherche du bonheur -
- Chapitre 550 -
Coming SOON - 19/02
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Curieux de connaßtre cette proposition européenne peu séduisante

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Ah non, tu vas pas nous faire le coup de la séparation toi aussi ! :sweat_smile:

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Attention, les femmes sont souvent des piliers bien plus solides qu’on ne le pense
 Fais pas le con Anibal !

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@FC_Guimaraes

@Rhino moi aussi :sac:

@alexgavi mais nooooon :sac:

- au souvenir de José Soares -

Alors qu’il profitait de quelques jours de vacances en bord de mer, Anibal GuimarĂŁes reçut un appel inattendu. En regardant l’écran de son tĂ©lĂ©phone, un sourire nostalgique se dessina sur son visage : c’était JosĂ© Soares, son ancien agent et ami de longue date.

Anibal dĂ©crocha sans hĂ©siter, curieux de savoir ce que JosĂ©, absent depuis plusieurs annĂ©es, avait Ă  lui raconter. « Anibal ! Â» lança la voix chaleureuse de JosĂ© Ă  l’autre bout du fil. « Comment tu vas, mon ami ? Â»

« JosĂ©, ça alors ! Ça fait une Ă©ternitĂ©. Je vais bien, ou plutĂŽt, je fais aller. Et toi, oĂč es-tu en ce moment ? Encore Ă  l’autre bout du monde ? Â» rĂ©pondit Ani repensant au tour du monde qu’avait initiĂ© son ami aprĂšs les sanctions de l’UEFA.

« Pas cette fois Â», rĂ©pondit JosĂ© en riant. « Je suis de retour Ă  Viana do Castelo. J’ai posĂ© mes valises pour de bon, aprĂšs un tour du monde. Â»

IntriguĂ©, Anibal l’écouta raconter ses aventures. JosĂ© dĂ©crivit les paysages Ă©poustouflants de la Patagonie, les temples majestueux du Japon, et les marchĂ©s colorĂ©s de l’Afrique de l’Ouest.

« Ce voyage m’a changĂ©, Anibal Â», conclut-il. « J’ai vu tellement de choses. Mais au final, je me rends compte que rien ne vaut un bon cafĂ© Ă  Viana avec des amis. Â»

Anibal sourit en imaginant son vieil ami assis dans un café de leur ville natale, toujours aussi attaché à ses racines malgré ses périples.

Lorsque ce fut son tour de parler, Anibal sentit un poids sur ses Ă©paules. Il n’avait pas l’habitude de se confier, mais JosĂ©, avec son ton bienveillant, semblait ĂȘtre la personne idĂ©ale pour Ă©couter.

« Ces derniĂšres annĂ©es ont Ă©té  compliquĂ©es Â», avoua-t-il. « Tu sais que j’ai Ă©tĂ© remerciĂ© par le Sporting. Les clubs europĂ©ens semblent hĂ©siter Ă  me faire confiance. Je reçois quelques appels, mais rien de vraiment sĂ©rieux. Â»

José resta silencieux, lui laissant le temps de continuer.

« Et puis, il y a ma vie personnelle. Avec Yessica, ce n’est plus aussi simple qu’avant. Elle a ses propres ambitions, ses rĂȘves, et je ne sais pas toujours comment la soutenir tout en poursuivant les miens. Â»

La voix d’Anibal s’adoucit, teintĂ©e de tristesse.''Parfois, je me demande si je ne suis pas en train de perdre ce qu’on a construit."

JosĂ©, toujours attentif, rĂ©pondit avec sa sagesse habituelle. « Anibal, tu as traversĂ© des Ă©preuves plus dures que celles-lĂ . Tu as toujours trouvĂ© un moyen de rebondir. Ce n’est qu’une Ă©tape, pas la fin du chemin. Â»

Il marqua une pause avant d’ajouter « Quant Ă  Yessica, peut-ĂȘtre qu’elle a besoin de savoir que tu es lĂ  pour elle, autant qu’elle l’a Ă©tĂ© pour toi. Parfois, on est tellement pris dans nos propres luttes qu’on oublie de regarder Ă  cĂŽtĂ© de nous. Â»

Les mots de José touchÚrent une corde sensible chez Anibal. Il savait que son ami avait raison, mais il se demandait encore comment tout concilier.

AprĂšs une longue conversation, ponctuĂ©e de rires et de souvenirs, JosĂ© invita Anibal Ă  venir le voir Ă  Viana do Castelo. « Reviens aux sources, Anibal. Prends un moment pour respirer et rĂ©flĂ©chir. Et qui sait, peut-ĂȘtre qu’une bonne francesinha pourra t’aider Ă  trouver des rĂ©ponses. Â»

Anibal rit, se sentant dĂ©jĂ  un peu plus lĂ©ger. « Je vais y penser, JosĂ©. Merci pour cet appel. Ça m’a fait du bien. Â»

En raccrochant, Anibal resta un moment silencieux, le regard perdu dans l’horizon. Il savait que son chemin restait incertain, mais cette conversation lui avait rappelĂ© une chose essentielle : il n’était pas seul dans ses combats. Et parfois, tout ce dont on avait besoin, c’était d’un vieil ami pour Ă©clairer la route.

- Chapitre 549 -
- Yessica vers un tournage en Espagne -
- Chapitre 551 -
Coming SOON - 20/02
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Moi je dis ça
 je dis rien ou alors le chaudron mais le vrai cette fois ci :wink:

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L’appel du rĂ©confort ! Ca fait toujours du bien :smiling_face_with_three_hearts:

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@VertPourToujours et pourquoi pas.

@CaptainAmericka oui ça fait du bien de temps en temps.

- La proposition de Luciano Peixoto -

Anibal GuimarĂŁes ne s’attendait pas Ă  recevoir un appel de Luciano Peixoto ce jour-lĂ . InstallĂ© chez lui, il rĂ©flĂ©chissait Ă  son avenir, lorsqu’il vit le nom du propriĂ©taire de Vianense s’afficher sur l’écran de son tĂ©lĂ©phone. IntriguĂ©, il dĂ©crocha sans hĂ©siter.

« Anibal, comment vas-tu ? Â» lança Luciano d’un ton chaleureux.

« Bien, Luciano, et toi ? Qu’est-ce qui t’amĂšne Ă  m’appeler ? Â» rĂ©pondit pensif Anibal.

Luciano, sans perdre de temps, aborda le sujet qui le motivait. « Je vais ĂȘtre direct. Tu sais que Vianense a Ă©tĂ© relĂ©guĂ© en seconde division Ă  l’issue de la derniĂšre saison. C’est un coup dur, mais cela nous donne aussi une opportunitĂ© de reconstruire. Â»

Anibal, attentif, sentit une pointe d’hĂ©sitation dans la voix de Luciano, comme s’il cherchait la meilleure façon d’exposer son idĂ©e.

— « Je connais ta situation Â», reprit Luciano. « Et je pense que c’est peut-ĂȘtre le bon moment pour toi comme pour nous. Que dirais-tu de revenir Ă  Vianense ? Â»

Luciano continua en dĂ©taillant l’évolution du club depuis le dĂ©part d’Anibal. « La situation est trĂšs diffĂ©rente de ce que tu as connu ici. Nous avons un nouveau stade en construction, et les infrastructures ont Ă©tĂ© modernisĂ©es. Je peux te garantir qu’elles sont parmi les meilleures du Portugal. Â»

Il marqua une pause avant d’ajouter « Mais ce n’est pas tout. Le centre de formation commence Ă  produire des jeunes trĂšs prometteurs. Ce que je cherche, c’est quelqu’un capable de leur donner leur chance, de les lancer dans le grand bain. Et qui mieux que toi pour le faire ? Â»

Bien que flattĂ©, Anibal sentit le doute s’installer en lui. Son dernier retour dans un club qu’il connaissait bien, le Sporting, ne s’était pas dĂ©roulĂ© comme prĂ©vu. Les attentes Ă©levĂ©es, la pression constante, et les dĂ©saccords avec la direction avaient terni cette expĂ©rience. « Luciano, je ne te cache pas que j’hĂ©site Â», rĂ©pondit-il honnĂȘtement. « Je suis revenu au Sporting avec de grandes ambitions, et ça ne s’est pas passĂ© comme je l’espĂ©rais. Revenir Ă  Vianense, c’est aussi prendre le risque de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur des souvenirs que j’ai laissĂ©s ici. Â»

Luciano, loin d’ĂȘtre dĂ©couragĂ©, rĂ©pondit avec assurance. « Je comprends tes rĂ©serves, Anibal. Mais ce que je te propose, c’est une opportunitĂ© de construire quelque chose de nouveau, sans les pressions d’un club de premiĂšre division. Ici, tu pourrais vraiment poser ta marque. Â»

AprĂšs avoir raccrochĂ©, Anibal resta pensif. L’idĂ©e de revenir Ă  Vianense Ă©tait sĂ©duisante : un club en reconstruction, des infrastructures modernes, et la possibilitĂ© de travailler avec de jeunes talents prometteurs. Mais il ne pouvait ignorer ses craintes, ni l’impact que ce choix aurait sur sa famille.

Le soir venu, il Ă©voqua l’appel avec Yessica. « Tu sais, Luciano m’a proposĂ© de revenir Ă  Vianense, dit-il en cherchant son regard Â».

Yessica, surprise, resta silencieuse un instant avant de rĂ©pondre. « Et qu’est-ce que tu en penses ? Â»

« Je ne sais pas encore Â», avoua-t-il. « Ce serait un nouveau dĂ©part, mais je ne veux pas revivre ce que j’ai vĂ©cu au Sporting. D’un autre cĂŽtĂ© c’est chez nous, le cadre serait idĂ©al pour nous et pour Beatriz, la famille vit lĂ  bas. On pourrait suivre nos rĂȘves tous les deux ainsi. Â»

Yessica hocha la tĂȘte, comprĂ©hensive. « Prends ton temps, Anibal. Mais souviens-toi que tu as toujours donnĂ© le meilleur de toi-mĂȘme. Peu importe oĂč tu iras, tu trouveras ta voie. Â»

Dans les jours qui suivirent, Anibal continua de réfléchir. Revenir à Vianense signifiait renouer avec ses racines et prendre part à un projet ambitieux, mais cela impliquait aussi de faire face à ses propres doutes.

Alors qu’il marchait sur la plage pour clarifier ses pensĂ©es, une chose devint certaine : quel que soit son choix, il devait ĂȘtre mĂ»rement rĂ©flĂ©chi. Luciano avait semĂ© une graine, et il appartenait dĂ©sormais Ă  Anibal de dĂ©cider si elle mĂ©ritait de germer.

- Chapitre 550 -
- Au souvenir de Jose Soares -
- Chapitre 552 -
Coming SOON - 21/02
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Hell Yeah Yes GIF by Kelley Bren Burke

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@Sythax ravi que les articles te plaise.

@Tiien surpris que ça te plaise. Non je déconne ^^

- Javi Sanchez vers de nouveaux horizons -

Anibal GuimarĂŁes s’était rendu Ă  Valladolid pour retrouver son ami et fidĂšle adjoint, Javi SĂĄnchez. Depuis leur sĂ©paration professionnelle au Sporting, les deux hommes avaient maintenu un contact rĂ©gulier, mais Anibal avait ressenti le besoin de lui parler en personne. Il savait que Javi, aprĂšs s’ĂȘtre reposĂ©, rĂ©flĂ©chissait toujours Ă  l’idĂ©e de voler de ses propres ailes, une ambition qu’il avait exprimĂ©e depuis longtemps.

Lorsque Javi l’accueillit dans un petit cafĂ© du centre-ville, son sourire chaleureux masquait mal une certaine nervositĂ©. Ils commandĂšrent deux cafĂ©s, et aprĂšs quelques Ă©changes lĂ©gers, Anibal aborda directement le sujet.

« Alors, Javi, tu as eu le temps de rĂ©flĂ©chir ? Je prĂ©pare mon staff pour un nouveau projet et je veux connaĂźtre ta position. Â» demanda Anibal en posant sa tasse.

Javi hocha la tĂȘte, mais son regard se perdit un instant. « Oui, j’ai rĂ©flĂ©chi, Anibal. Et je dois te dire que j’ai reçu une proposition Â».

Anibal haussa les sourcils, feintant la surprise mais ravi pour son ami. « Une proposition ? C’est gĂ©nial ! De quel club s’agit-il ? Â»

« C’est une Ă©quipe de premiĂšre division ici, en Espagne Â», rĂ©pondit Javi en jouant nerveusement avec la cuillĂšre. « Leur projet est intĂ©ressant, mais
 Â»

Il marqua une pause, visiblement hĂ©sitant. « Mais ça me fait peur, Anibal. Prendre une Ă©quipe seul, porter la responsabilitĂ© des rĂ©sultats
 Le club en question a une sacrĂ©e histoire, l’hĂ©ritage est lourd. Et si je n’y arrivais pas ? Â»

Anibal posa une main rassurante sur l’épaule de Javi. « Javi, Ă©coute-moi. Si le Real Valladolid est venu te chercher, ce n’est pas par hasard. Ils savent ce que tu vaux, et moi aussi. Tu as toutes les compĂ©tences pour rĂ©ussir. Et l’histoire est belle l’ancien capitaine du club, la lĂ©gende reviens par la grande porte ! Â»

Il marqua une pause pour laisser ses mots s’imprĂ©gner avant de continuer. « Bien sĂ»r, ce ne sera pas facile. Mais rappelle-toi ce qu’on disait toujours quand on Ă©tait au Sporting : “Chaque dĂ©fi est une opportunitĂ©.” Si tu ne saisis pas celle-ci, tu risques de le regretter. Â»

Javi Ă©coutait attentivement, ses traits lĂ©gĂšrement dĂ©tendus par les paroles de son mentor. Surpris qu’Anibal ai devinĂ© le club interessĂ© il sursauta mĂȘme. Mais l’inquiĂ©tude persistait. « Mais comment sais-tu que c’est Valladolid ? Et si je fais des erreurs ? Et si je mets en danger ma carriĂšre avant mĂȘme qu’elle ne commence ? Â»

Anibal sourit doucement. « Pour ne rien te cacher Michael m’a appelĂ© pour me poser des questions sur toi. Il savait que tu voulais prendre ton envol et Guardiola est parti. Je t’ai chaudement recommandĂ©. Tu es taillĂ© pour ce poste. Tu feras des erreurs, c’est certain. Mais c’est comme ça qu’on apprend. Et tu ne seras pas seul. Tu as des gens autour de toi qui croient en toi, moi y compris. Â»

AprĂšs un moment de silence, Javi sembla reprendre confiance. « Tu sais, Anibal, ça me rassure de t’entendre. J’avais besoin de ce coup de pouce. Je crois que je vais accepter. Â»

Anibal hocha la tĂȘte, satisfait. « C’est la meilleure dĂ©cision que tu puisses prendre, Javi. Et si tu as besoin d’un conseil ou simplement d’une oreille, je suis lĂ . On est une Ă©quipe, mĂȘme Ă  distance. Et j’espĂšre qu’on fetĂȘra un jouer l’inauguration de ta statue Ă  cĂŽtĂ© de la mienne. Je pense rester au Portugal de mon cĂŽtĂ©. Â»

AprĂšs avoir quittĂ© le cafĂ©, les deux hommes se serrĂšrent la main, mais Anibal, fidĂšle Ă  son habitude, transforma l’accolade en une Ă©treinte sincĂšre. « Bonne chance, Javi. Tu es prĂȘt pour ça. Fais-toi confiance Â».

Javi, Ă©mu, acquiesça. « Merci, Anibal. Et toi, trouve aussi le projet qui te fera vibrer. Tu le mĂ©rites autant que moi Â».

Alors qu’Anibal quittait Valladolid, il sentit une fiertĂ© immense pour son ami. Ce dĂ©part marquait la fin d’un chapitre, mais aussi le dĂ©but d’une nouvelle Ăšre pour Javi, une Ăšre oĂč il serait enfin aux commandes.

- Chapitre 551 -
- La proposition de Luciano Peixoto -
- Chapitre 553 -
Coming SOON - 21/02
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Allez , un retour Ă  Vianense !

Bonne chance Ă  Javi

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Une chose est sûre, pas de retour à Valladolid !

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Anibal et Jessica doivent faire attention leur petite a une double personnalité 
BĂ©atrix pourrait partir avec sa mĂšre pendant qu’Isabella resterait avec son pĂšre
 :grin: :crazy_face:

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Anibal de retour à Vianense ! Javi Sanchez de retour à Valladolid ! Tout est bien qui finit bien, la boucle est bouclée et on termine cette histoire par des choses positives ! :grin:
Les tensions Anibal-Yessica sont-elles dissipées ?

Par contre, ouais, va falloir revoir l’acte de naissance de la p’tite là ! On nous ment sur la marchandise :sac:

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@celiavalencia en effet je suis dĂ©masquĂ©. J’ai confiance en Javi il peut le faire.

@volatil ah ça c’est certain.

@VertPourToujours C’est son deuxiĂšme prĂ©nom :sac:

@CaptainAmericka Pas d’infos sur d’éventuelles tensions. A suivre. ça va devenir un running gag Ă  ce rythme.

- Le choix et ses conséquences -

AprĂšs de longues rĂ©flexions et plusieurs discussions avec Rafaela Pimienta, son agente, Anibal GuimarĂŁes prit la dĂ©cision d’accepter la proposition de Vianense. Ce challenge, bien que modeste par rapport Ă  ses expĂ©riences prĂ©cĂ©dentes, lui semblait parfait pour se ressourcer et retrouver un environnement qu’il connaissait bien. Loin des projecteurs et des pressions mĂ©diatiques, il espĂ©rait se reconnecter avec l’essence mĂȘme de son mĂ©tier.

Avant de confirmer officiellement sa décision, Anibal passa un appel à Luciano Peixoto, le propriétaire du club, pour clarifier quelques détails importants.

Lorsque Luciano dĂ©crocha, sa voix trahissait un enthousiasme Ă©vident. « Anibal, j’espĂšre que tu as une bonne nouvelle Ă  m’annoncer ! Â»

« Oui, Luciano, je suis prĂȘt Ă  revenir Ă  Vianense Â», rĂ©pondit Anibal calmement. « Mais avant de confirmer, je voudrais m’assurer de quelques points. Â»

Luciano, toujours Ă  l’écoute, l’invita Ă  poursuivre. « J’aurais besoin d’un peu de libertĂ© pour composer mon staff. Par exemple, je ne veux plus travailler avec Nelson Barbosa. Â»

Un silence suivit cette dĂ©claration, mais Luciano Ă©clata rapidement de rire. « Ă‡a ne sera pas un problĂšme, Anibal. Nelson a quittĂ© le club il y a quelques temps aprĂšs sa suspension. Il est maintenant Ă  Boavista. Â»

Anibal, visiblement soulagĂ©, poursuivit. « TrĂšs bien. Dans ce cas, j’aimerais pouvoir venir avec Afonso Valente et Tiago EstevĂŁo. Ce sont deux anciens joueurs du club comme tu le sais et ils ont fait du bon travail avec moi au Sporting. En revanche je viendrais sans Javi il part Ă  Valladolid
 Â»

Luciano, toujours aussi accommodant, accepta sans hĂ©siter. « ConsidĂšre que c’est fait. Afonso et Tiago sont les bienvenus evidemment. Dommage pour Javi mais tu trouveras un successeur j’en doute pas. Â».

Alors que la discussion semblait toucher Ă  sa fin, Luciano aborda un autre sujet. « Anibal, j’ai une question pour toi. Que dirais-tu de travailler de nouveau avec Hugo Viana ? Â»

Anibal fut pris de court par cette proposition. Il avait toujours respectĂ© Hugo, malgrĂ© les tensions qui avaient pu exister au Sporting. AprĂšs un court moment de rĂ©flexion, il rĂ©pondit « Oui, pourquoi pas. Hugo est un bon professionnel, et je pense qu’on pourrait faire quelque chose de bien ensemble. On peut trouver une bonne dynamique ensemble si le projet lui plait. Â»

Luciano, satisfait, conclut « Parfait, je vais l’appeler pour lui en parler et essayer de le convaincre. Â»

Anibal raccrocha, rassurĂ© par l’échange. Le projet prenait forme, mais il lui restait une piĂšce importante Ă  trouver : un nouvel adjoint.

Lorsqu’il en parla Ă  Rafaela plus tard dans la journĂ©e, elle lui conseilla de chercher quelqu’un avec qui il partagerait une vision similaire du jeu, mais qui serait aussi capable de le challenger.

« Ce rĂŽle est essentiel, Anibal. Choisis quelqu’un qui t’aidera Ă  progresser et Ă  tirer le meilleur de l’équipe, Â» lui dit-elle.

Alors qu’il se prĂ©parait Ă  officialiser son retour Ă  Vianense, Anibal se sentit apaisĂ©. Ce dĂ©fi, sans ĂȘtre le plus prestigieux, reprĂ©sentait une chance de se rĂ©inventer dans un cadre familier et prometteur. Avec le soutien de Luciano, l’ajout potentiel de Hugo Viana, et la prĂ©sence d’Afonso et Tiago Ă  ses cĂŽtĂ©s, il savait qu’il avait les bases pour construire quelque chose de solide.

Et maintenant, il ne lui restait plus qu’à trouver la derniùre piùce du puzzle pour lancer pleinement cette nouvelle aventure.

- Chapitre 552 -
- Javi Sanchez vers de nouveaux horizons -
- Chapitre 554 -
Coming SOON - 21/02
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ll ne manque plus que Ruben Amorin à la formation


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Y a pas encore le petit logo dans le titre. Ça veut dire qu’il y aura encore des rebondissements ?

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@VertPourToujours pourquoi pas.

@Sythax devine ? :sac:

- Le retour Ă  Vianense -

Lors de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle des socios de Vianense, Luciano Peixoto, propriĂ©taire du club, surprit tout le monde en annonçant une nouvelle qui marquerait un tournant dans l’histoire rĂ©cente du club. Devant une salle comble, il prit la parole avec assurance, son sourire trahissant une excitation Ă  peine contenue.

« Mesdames et Messieurs, socios de Vianense, j’ai le plaisir de vous annoncer le retour d’Anibal GuimarĂŁes en tant qu’entraĂźneur principal de notre club. Il y a 12 ans, Anibal avait rejoint un projet plus ambitieux aprĂšs trois saisons riches avec nous. Enfant de la rĂ©gion, il avait amenĂ© le club de Campeonato Prio Ă  la Liga 2 en remportant le championnat de Liga 4. Il avait Ă©tĂ© Ă  la base l’évolution du club. Â»

Un murmure de surprise parcourut l’assistance avant de se transformer en une salve d’applaudissements enthousiastes. Anibal, ancien entraĂźneur respectĂ© du club, revenait pour relever le dĂ©fi de reconstruire Vianense aprĂšs sa relĂ©gation en deuxiĂšme division.

Luciano poursuivit, prenant soin de dĂ©tailler l’importance de cet accord. « Anibal a signĂ© un contrat de quatre saisons. Il a dĂ©montrĂ© une motivation et une confiance exceptionnelles pour ce projet. Nous avons discutĂ© longuement, et il partage notre vision pour l’avenir du club. Â»

Il adressa un regard Ă  Anibal, assis au premier rang, avant de poursuivre « Nous le remercions pour sa confiance. Ce n’est pas seulement un retour au club, c’est un nouveau dĂ©part pour Vianense. Â»

Luciano profita de l’enthousiasme gĂ©nĂ©ral pour partager d’autres annonces importantes. « Nous allons amorcer un virage plus authentique pour le club. Cela signifie que nous allons recentrer notre projet sur notre formation. Â»

Il fit une pause pour jauger les rĂ©actions dans la salle avant d’ajouter « Les joueurs qui ne souhaitent pas jouer en deuxiĂšme division auront la libertĂ© de partir. Nous voulons construire une Ă©quipe fiĂšre de porter nos couleurs, avec des jeunes talents issus de notre centre de formation. Â»

Ces mots furent accueillis par des applaudissements chaleureux. Les socios, bien que conscients des défis à venir, semblaient convaincus par cette approche à long terme.

Luciano aborda ensuite la composition du staff, un Ă©lĂ©ment clĂ© du projet. « Le staff est en cours de construction, mais je peux dĂ©jĂ  vous confirmer que deux anciens du club, Afonso Valente et Tiago EstevĂŁo, en feront partie. Leur expĂ©rience et leur connaissance du club seront des atouts prĂ©cieux pour nous. Â»

Ces annonces renforcùrent encore l’enthousiasme dans la salle.

À la fin de son discours, Luciano laissa la parole Ă  Anibal, qui se leva sous une ovation. « Merci, Luciano, et merci Ă  vous, socios, pour cet accueil Â», commença-t-il. « Je suis fier de revenir Ă  Vianense, un club qui reprĂ©sente tant pour moi. Ce ne sera pas facile, mais je suis convaincu que nous pouvons construire quelque chose de grand ensemble. J’avais laissĂ© ce club en Liga 2 et je suis fier de la progression de celui-ci. J’en suis convaincu, avec de la patience et du travail, Vianense retrouvera vite les sommets et mĂȘme plus. Â»

L’assemblĂ©e se termina sur une note d’optimisme et d’espoir. Pour les supporters, ce retour symbolisait bien plus qu’une simple signature : c’était une promesse de renouveau et un rappel que, mĂȘme aprĂšs une relĂ©gation, l’ñme du club restait intacte.

Avec Anibal Ă  la barre, Vianense entamait une nouvelle Ăšre, prĂȘte Ă  relever les dĂ©fis de la deuxiĂšme division avec ambition et authenticitĂ©.

- Chapitre 553 -
- Le choix et ses conséquences -
- Chapitre 555 -
Coming SOON - 21/02
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