:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

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@alexgavi yep c’est un crack dĂ©jĂ  avec Valladolid il m’en avait mis une dizaine.

@CaptainAmericka 22 en tout :pasrire:

@VertPourToujours il me manque le con :sadpepe:

- Anibal invitĂ© pour le JubilĂ© d’Ilaix Moriba -

De retour Ă  Viana do Castelo, Anibal GuimarĂŁes savourait enfin un repos bien mĂ©ritĂ© aprĂšs des annĂ©es tumultueuses passĂ©es Ă  diriger des Ă©quipes aux quatre coins du globe. Retrouver son foyer portugais et partager des instants simples avec sa femme Yessica et leur fille Beatriz, ĂągĂ©e de deux ans et demi, Ă©tait un luxe qu’il ne prenait pas pour acquis. Ce jour-lĂ , autour d’un barbecue, le couple riait en Ă©changeant anecdotes et souvenirs, apprĂ©ciant ce moment d’insouciance en famille.

Mais la sĂ©rĂ©nitĂ© fut briĂšvement interrompue lorsque le tĂ©lĂ©phone d’Anibal vibra sur la table. AffichĂ© sur l’écran : Michael Edwards, directeur sportif du Real Valladolid, un nom qui Ă©veilla immĂ©diatement un flot de souvenirs.

Anibal dĂ©crocha avec curiositĂ©, et la voix chaleureuse d’Edwards se fit entendre.

“Anibal ! Cela fait longtemps, mon ami. J’espĂšre que je ne te dĂ©range pas.”

Edwards alla droit au but, annonçant une nouvelle qui ravit immédiatement le coach portugais.

“Nous inaugurons le nouveau stade du Real Valladolid dans quelques semaines. Une enceinte moderne, digne de l’histoire et des ambitions du club. Et bien sĂ»r, il est impossible de cĂ©lĂ©brer un tel Ă©vĂ©nement sans toi. Nous voulons que tu sois prĂ©sent.”

L’invitation d’Edwards ne s’arrĂȘtait pas lĂ . Pour marquer cette inauguration, le club organisait Ă©galement le jubilĂ© d’Ilaix Moriba, l’un des piliers de l’époque dorĂ©e du club sous la direction d’Anibal. Ilaix, qui entamait la derniĂšre saison de sa carriĂšre avec le Benevento, avait demandĂ© un match spĂ©cial entre son ancien club, Valladolid, et son Ă©quipe actuelle. Edwards avait une proposition unique pour Anibal.

“Nous aimerions que tu diriges un Onze All-Star du Real Valladolid, composĂ© de joueurs emblĂ©matiques de ton Ă©poque au club. Tu as Ă©tĂ© une figure centrale de notre histoire, et ce serait un honneur pour tout le monde de te voir sur le banc pour cette soirĂ©e.”

Anibal, visiblement ému, ne tarda pas à répondre.

“Michael, c’est un immense honneur. Le Real Valladolid est et sera toujours une part importante de ma vie. Je serai là, avec plaisir. Et diriger un onze All-Star pour Ilaix
 c’est la cerise sur le gñteau.”

Anibal partagea immédiatement la nouvelle avec Yessica, qui était tout aussi enthousiaste.

“Ça va ĂȘtre incroyable de revoir Valladolid,” dit-elle. “C’était une pĂ©riode spĂ©ciale pour nous tous. Et Beatriz pourra dĂ©couvrir oĂč tout a commencĂ©.”

Pour Anibal, cet Ă©vĂ©nement reprĂ©sentait bien plus qu’une simple inauguration. Il s’agissait d’un retour aux sources, presque cinq ans aprĂšs avoir quittĂ© l’Espagne aprĂšs une pĂ©riode marquĂ©e par des triomphes, dont une victoire historique en Ligue des Champions.

Le jubilĂ© d’Ilaix Moriba Ă©tait Ă©galement une occasion de revoir des visages familiers, des joueurs et des membres du staff avec qui il avait partagĂ© des moments inoubliables. Moriba, en particulier, avait toujours Ă©tĂ© un leader et un moteur pour l’équipe, et Anibal se rĂ©jouissait de pouvoir rendre hommage Ă  sa carriĂšre.

DĂšs l’appel terminĂ©, Anibal se plongea dans l’organisation du Onze All-Star. Il contacta plusieurs anciens joueurs qui avaient marquĂ© l’histoire rĂ©cente de Valladolid, dont JoĂŁo Infante, Simon Moya, et d’autres figures clĂ©s de leur Ă©popĂ©e europĂ©enne.

Chacun accepta avec enthousiasme, ravi de se réunir pour une soirée à la fois festive et symbolique.

“Coach, comptez sur moi,” rĂ©pondit JoĂŁo Infante avec son enthousiasme habituel. “Je n’ai jamais oubliĂ© tout ce que vous avez fait pour nous.”

L’inauguration du nouveau stade promettait d’ĂȘtre un moment d’émotion pure pour Anibal et tous les supporters de Valladolid. Pour le coach portugais, c’était l’occasion de montrer Ă  Beatriz une part de son hĂ©ritage, de retrouver une ville et un club qui l’avaient marquĂ© Ă  jamais, et de rendre hommage Ă  un joueur emblĂ©matique de son rĂšgne.

Avant de raccrocher, Edwards ajouta :

“Anibal, prĂ©pare-toi. Ce sera une soirĂ©e inoubliable, Ă  ton image.”

Et Anibal, le regard tournĂ© vers l’horizon, rĂ©pondit avec un sourire :

“Je n’en doute pas une seconde. Valladolid a toujours su rendre les choses spĂ©ciales.”

Pour Anibal, le chapitre de Valladolid n’était jamais vraiment clos. Et cette soirĂ©e s’annonçait comme une cĂ©lĂ©bration non seulement d’un club, mais aussi d’un homme qui avait contribuĂ© Ă  Ă©crire son histoire moderne.

- Chapitre 492 -
- Le triomphe d’Ivano Di Giacobbe -
- Chapitre 494 -
Coming SOON - 21/01
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Un beau retour !
Ils peuvent pas le garder aprĂšs ? :stuck_out_tongue:

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Je veux des images de l’Estadio do Rei Aníbal ! :sweat_smile:

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@Sythax c’est pas prĂ©vu :sac:

@gwendil35 régales toi

- Ani inaugure l’Anibal Guimarães Arena -

Lorsque Anibal GuimarĂŁes posa le pied Ă  Valladolid, il fut immĂ©diatement frappĂ© par une ambiance unique. La ville, habillĂ©e aux couleurs du club, vibrait d’une ferveur particuliĂšre. Mais ce qui intrigua davantage l’entraĂźneur portugais, c’était le mystĂšre soigneusement entretenu autour du nouveau stade, censĂ© ĂȘtre dĂ©voilĂ© lors d’une soirĂ©e d’inauguration grandiose.

Le club avait mis les petits plats dans les grands pour marquer cet Ă©vĂ©nement historique, et ce que Michael Edwards et le Cheikh Al Fayed, propriĂ©taire du club, avaient prĂ©parĂ© dĂ©passa toutes les attentes d’Anibal.

DĂšs son arrivĂ©e au stade, Anibal fut accueilli par une haie d’honneur composĂ©e des anciens joueurs emblĂ©matiques du Real Valladolid, ceux avec qui il avait remportĂ© des titres historiques. Parmi eux se trouvaient des lĂ©gendes comme Ivano Di Giacobbe, hĂ©ros de la finale de la Ligue des Champions, JoĂŁo Infante, le buteur incontournable, Gilson, l’homme des grands matchs, ou encore Simon Moya et Alberto Luengo, piliers de l’équipe.

La prĂ©sence de PaixĂŁo, Hiraoka, Diego Mauricio, et mĂȘme de Joaquin Fernandez, toujours joueur actifs au club, ajoutait une dimension Ă©motive Ă  cette rĂ©union.

Les accolades, les sourires et les rires remplis de souvenirs rappelaient les liens indéfectibles tissés durant cette époque dorée. Anibal, visiblement ému, confia :

“C’est incroyable de revoir tout le monde ici. Vous n’imaginez pas Ă  quel point vous avez marquĂ© ma vie.”

GuidĂ© par Michael Edwards et le Cheikh, Anibal fut conduit dans la grande salle de rĂ©ception du nouveau stade, oĂč Ă©taient rĂ©unis joueurs, officiels et invitĂ©s prestigieux. Le Cheikh Al Fayed, toujours Ă©lĂ©gant et charismatique, prit la parole pour honorer l’hĂ©ritage d’Anibal.

“Aujourd’hui, nous inaugurons non seulement un stade, mais aussi une Ăšre moderne pour le Real Valladolid. Ce stade, avec ses 87 000 places, reprĂ©sente l’ambition, le travail et l’excellence. Mais il porte surtout le nom d’un homme qui a changĂ© l’histoire de ce club.”

Le Cheikh continua en Ă©numĂ©rant les titres remportĂ©s sous l’ùre GuimarĂŁes : 2 Ligas, 2 Copa del Rey, 1 Conference League, 1 Europa League, et bien sĂ»r, le couronnement ultime, la victoire en Ligue des Champions.

“Anibal GuimarĂŁes, vous avez transformĂ© ce club. Ce que vous avez accompli ici restera gravĂ© dans l’histoire. Et aujourd’hui, nous tenons une promesse : ce stade s’appellera l’Anibal GuimarĂŁes Arena.”

Alors que l’annonce du nom du stade provoquait une ovation, le Cheikh rĂ©servait encore une surprise. Il guida Anibal et les invitĂ©s vers le parvis principal. LĂ , sous un drap noir, se dressait une statue en bronze de 3 mĂštres de haut, reprĂ©sentant Anibal dans une posture fiĂšre et emblĂ©matique, les bras croisĂ©s comme satisfait de la performance de son Ă©quipe.

Lorsque le drap fut retiré, les applaudissements retentirent avec une intensité rare. Anibal, bouleversé, resta quelques instants silencieux avant de murmurer :

“C’est un honneur que je n’aurais jamais imaginĂ©. Merci
 merci Ă  tous.”

La soirĂ©e se poursuivit par un match jubilĂ© en l’honneur d’Ilaix Moriba, joueur emblĂ©matique de Valladolid qui lançait ainsi la derniĂšre saison de sa carriĂšre. Sous les yeux d’un stade comble et d’Anibal sur le banc, une Ă©quipe All-Star de Valladolid affronta le Benevento, club actuel d’Ilaix.

Avant le coup d’envoi, Ilaix, Ă©mu, s’adressa Ă  la foule :

“Ce club a Ă©tĂ© ma maison pendant des annĂ©es. C’est ici que j’ai grandi en tant que joueur et en tant qu’homme. Et pouvoir jouer ce match dans l’Anibal GuimarĂŁes Arena, avec cet homme qui a marquĂ© ma carriĂšre, est un privilĂšge immense.”

Pour Anibal, cette soirĂ©e fut bien plus qu’une cĂ©lĂ©bration : c’était la reconnaissance ultime d’un travail, d’une vision, et d’un hĂ©ritage. Les retrouvailles avec ses anciens joueurs, les hommages du Cheikh et de la ville, et le spectacle grandiose du jubilĂ© d’Ilaix rĂ©sonnaient comme une apothĂ©ose.

Alors qu’il quittait le stade tard dans la nuit, accompagnĂ© de Yessica et de Beatriz, Anibal murmura :

“Ce n’est pas un adieu, Valladolid. Vous faites partie de moi pour toujours.”

Pour le Real Valladolid, l’inauguration de l’Anibal GuimarĂŁes Arena marquait le dĂ©but d’un nouveau chapitre. Mais cette soirĂ©e rappelait aussi que certains hĂ©ritages sont Ă©ternels.

- Chapitre 493 -
- Anibal invitĂ© au jubilĂ© d’Ilaix -
- Chapitre 495 -
Coming SOON - 22/01
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Est-ce qu’on peut dire que le club a couler un bronze ? :sweat_smile:

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Ohhh le melon le boss il se fait une statue
 :rofl:
MĂȘme Ă  SaintĂ© ils n’ont pas fait ça pour Herbin :sob:

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Quel vibrant hommage ! C’est incroyable !
La porte est-elle ouverte au club pour lui ? Ou bien c’est bouchĂ© en ce moment ?

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@CoachLudo pas mal, technique mais pas mal :pasrire:

@VertPourToujours Est-ce que Herbin a gagner les trois coupes d’Europe et 2 Ligas en 5 ans en partant de D2 avec un groupe random ? :sac:

@CaptainAmericka Guardiola viens de prolonger de trois saisons, donc je pense pas que ce soit envisageable.

- Anibal aperçu à Venise -

Venise, la ville des canaux et des mystĂšres, est depuis quelques jours le théùtre de multiples spĂ©culations autour d’un couple bien connu : Anibal GuimarĂŁes, entraĂźneur de renom, et sa femme, l’actrice Yessica. Aperçus par des photographes en promenade prĂšs de la Piazza San Marco, accompagnĂ©s de leur fille Beatriz, presque trois ans, les clichĂ©s ont suffi Ă  enflammer la presse internationale.

Les spĂ©culations sur leur prĂ©sence Ă  Venise vont bon train. Selon certains mĂ©dias sportifs, Anibal serait en repĂ©rage professionnel. Sa fidĂšle agente, Rafaela Pimienta, aurait rĂ©cemment entamĂ© des discussions avec les clubs italiens de Venezia FC et Como 1907, deux institutions ambitieuses, prĂȘtes Ă  se relancer sur la scĂšne europĂ©enne.

“Venezia rĂȘve de retrouver son Ă©clat d’antan, et Anibal est l’homme idĂ©al pour porter un projet audacieux,” aurait confiĂ© une source proche du club Ă  un journal italien.

De l’autre cĂŽtĂ©, les mĂ©dias spĂ©cialisĂ©s dans le cinĂ©ma avancent une tout autre thĂ©orie. Yessica, toujours en quĂȘte de nouveaux dĂ©fis artistiques, serait en discussion pour tourner un film en Italie. Certains suggĂšrent mĂȘme qu’elle chercherait un pied-Ă -terre local, ce qui expliquerait la visite du couple.

Cependant, les proches du couple tempÚrent ces rumeurs. Selon des amis, Anibal et Yessica profiteraient simplement de vacances en famille, une pause bien méritée aprÚs des mois intenses. Beatriz, la fille du couple, aurait été vue jouant joyeusement dans un jardin vénitien, entourée de ses parents.

Un témoin raconte :

“Ils semblaient si dĂ©tendus. Anibal tenait la main de sa fille, tandis que Yessica prenait des photos des canaux. Ils avaient l’air de profiter de moments simples, loin de la frĂ©nĂ©sie mĂ©diatique.”

MalgrĂ© ces moments de calme apparent, Anibal reste un homme scrutĂ©. AprĂšs son retour triomphal en Europe et l’inauguration de l’Anibal GuimarĂŁes Arena, l’entraĂźneur portugais est au cƓur de nombreuses rumeurs de transfert. Si les discussions avec Venezia et Como sont avĂ©rĂ©es, elles pourraient offrir Ă  Anibal un nouveau dĂ©fi Ă  la hauteur de ses ambitions.

Quant Ă  Yessica, sa carriĂšre florissante la pousse souvent Ă  explorer de nouveaux horizons. Venise, avec son charme et son histoire cinĂ©matographique, serait un dĂ©cor parfait pour un projet artistique. Si elle venait Ă  s’installer en Italie, ce ne serait pas une surprise, tant le pays semble alignĂ© avec ses aspirations crĂ©atives.

Anibal et Yessica forment un couple intrigant, mĂȘlant l’univers du football Ă  celui du cinĂ©ma. Leur apparition Ă  Venise, qu’elle soit purement familiale ou teintĂ©e d’enjeux professionnels, illustre une chose : ils savent toujours captiver l’attention, mĂȘme dans la simplicitĂ©.

Qu’il s’agisse de discussions avec des clubs italiens, d’un projet cinĂ©matographique, ou simplement d’une escapade familiale, une chose est certaine : leur sĂ©jour vĂ©nitien restera un moment marquant, pour eux comme pour ceux qui les suivent de prĂšs.

- Chapitre 494 -
- ani inaugure l’anibal Guimarães Arena -
- Chapitre 496 -
Coming SOON - 22/01
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Anibal continue son petit tour d’Europe. On se demande bien oĂč il va finir par se fixer

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Il faut que ce soit un pays à problùmes. Je pense à l’Albanie!

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Valladolid qui fait le combo statue + nom du stade Ă  Anibal. C’est Guardiola qui va ĂȘtre jaloux :sweat_smile:

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@Rhino la réponse de suite ! Ou pas :sac: :pasrire:

@toopil tu veux pas qu’il parte faire le djihad non plus :hoho:

@alexgavi Il a qu’a gagner des titres le con aussi :pasrire:

- Anibal dĂ©ment ĂȘtre intĂ©ressĂ© par la Seleçao -

Les derniĂšres semaines ont Ă©tĂ© agitĂ©es autour d’Anibal GuimarĂŁes, l’entraĂźneur portugais dont le nom revient avec insistance dans les mĂ©dias. Libre de tout contrat depuis son dĂ©part des Xolos de Tijuana, Anibal est pressenti pour prendre les rĂȘnes de la Seleção Portuguesa, aprĂšs que Graham Potter a Ă©tĂ© licenciĂ©. La dĂ©cision de la FĂ©dĂ©ration Portugaise de Football fait suite Ă  une sĂ©rie de mauvais rĂ©sultats, dont une Ă©limination prĂ©maturĂ©e en huitiĂšmes de finale du dernier Euro et une non-qualification pour la prochaine Ligue des Nations.

Cependant, lors d’un passage remarquĂ© Ă  Milan, oĂč il s’était mariĂ© avec Yessica il y a quelques annĂ©es, Anibal a tenu Ă  clarifier sa position dans une interview exclusive sur la Rai, animĂ© par le cĂ©lĂšbre journaliste Fabrizio Romano.

Le nom d’Anibal a rapidement Ă©mergĂ© comme favori pour succĂ©der Ă  Graham Potter. Sa rĂ©putation de bĂątisseur et son succĂšs sur quatre continents en font un candidat de choix pour relancer une Ă©quipe portugaise en crise. Des mĂ©dias lusitaniens, tels que Record et A Bola, ont mĂȘme avancĂ© que la FĂ©dĂ©ration Ă©tait prĂȘte Ă  offrir un contrat lucratif Ă  l’entraĂźneur.

Mais Anibal, en direct sur le plateau de la Rai, a fermement démenti ces spéculations.

“Je tiens Ă  ĂȘtre clair : la sĂ©lection nationale n’est pas dans mes plans, pas maintenant. C’est un honneur que mon nom soit mentionnĂ©, mais je pense qu’il est encore bien trop tĂŽt pour moi. Je suis un homme de terrain, et ce que je veux, c’est retrouver un club oĂč je peux travailler au quotidien avec mes joueurs.”

Au cours de l’entretien, Anibal a expliquĂ© pourquoi il privilĂ©giait encore les projets en club.

“J’ai besoin de ressentir le rythme des matchs chaque semaine, de travailler quotidiennement avec un groupe, de construire quelque chose sur le long terme. La Seleção est un poste prestigieux, mais il exige une approche diffĂ©rente, une distance que je ne suis pas prĂȘt Ă  avoir pour le moment.”

InterrogĂ© par Fabrizio Romano sur les opportunitĂ©s en club, Anibal a laissĂ© entendre qu’il Ă©tait en discussions avec plusieurs Ă©quipes europĂ©ennes.

“Il y a des opportunitĂ©s intĂ©ressantes qui se prĂ©sentent. Rien n’est encore signĂ©, mais je suis confiant sur mon avenir. Ce que je peux dire, c’est que je veux relever un dĂ©fi qui correspond Ă  mes ambitions et Ă  ma vision du football.”

Ce dĂ©menti, bien qu’attendu, intervient dans un contexte particulier. Milan, oĂč Anibal et Yessica ont scellĂ© leur union il y a quelques annĂ©es, reste une ville chĂšre Ă  leur cƓur. Le couple a Ă©tĂ© aperçu dans plusieurs lieux emblĂ©matiques de la ville, accompagnĂ©s de leur fille Beatriz, bientĂŽt ĂągĂ©e de trois ans.

Les fans, nombreux Ă  Milan, n’ont pas manquĂ© de lui tĂ©moigner leur affection, renforçant encore son aura dans le football europĂ©en.

Les propos d’Anibal ont suscitĂ© des rĂ©actions partagĂ©es. Si certains observateurs portugais saluent sa franchise et son honnĂȘtetĂ©, d’autres regrettent qu’il dĂ©cline l’opportunitĂ© de redresser la Seleção, arguant qu’il est peut-ĂȘtre l’homme de la situation pour relancer l’équipe nationale.

Du cĂŽtĂ© des clubs, ces dĂ©clarations renforcent les spĂ©culations autour de son futur. Avec son palmarĂšs et son style de jeu unique, Anibal reste une option sĂ©duisante pour plusieurs Ă©quipes en quĂȘte de reconstruction.

Pour l’instant, le futur d’Anibal GuimarĂŁes reste incertain. Mais une chose est sĂ»re : que ce soit sur un banc de club ou, un jour, Ă  la tĂȘte de la Seleção, son retour au premier plan du football europĂ©en semble imminent. En attendant, son passage Ă  Milan et ses propos sur la Rai confirment une vĂ©ritĂ© essentielle : Anibal reste fidĂšle Ă  sa vision et Ă  son instinct, deux qualitĂ©s qui l’ont toujours guidĂ© vers le succĂšs.

- Chapitre 495 -
- Anibal aperçu à Venise -
- Chapitre 497 -
Coming SOON - 22/01
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OĂč en sont Como et Venezia dans ta partie ? Des clubs riches ? Des grosses Ă©quipes ? Ou au contraire tout Ă  refaire et en danger ? Ca pourrait ĂȘtre intĂ©ressant de repartir dans un petit club sur le papier et de le faire remonter.

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Il nous balade le coach dans tous les sens du terme lol

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Au vu de l’ambiance recherchĂ©e par le coach dans les stades ou en dehors, je pense au Napoli en Italie, Ă  Sankt Pauli en Allemagne ou alors l’un des clubs grecs d’AthĂšnes


AprĂšs, cela peut ĂȘtre un club sans pression populaire ou sa starlette de femme se sentira bien et du coup je ne vois qu’une direction : Monaco ! :grin:

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Eh bien vient te construire une statue dans le chaudron !!!

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@CaptainAmericka Como est qualifiĂ© rĂ©guliĂšrement en Europe mais lĂ  viens de finir 13eme de Serie A. Venezia a ratĂ© la montĂ©e en perdant contre Palerme. Les deux n’ont pas un budget fou.

@Tiien :pasrire:

@Manthyz y’a de l’idĂ©e, les clubs grecs j’ai jamais fait je crois. Monaco pas fan.

@VertPourToujours pourquoi pas.

- Hugo Viana prends des nouvelles d’Ani -

De retour dans sa villa Ă  Viana do Castelo, Anibal GuimarĂŁes profitait de quelques jours de calme aprĂšs son rĂ©cent passage en Italie. L’entraĂźneur portugais, connu pour son hyperactivitĂ© sur le terrain, s’efforçait de savourer ce rare moment de tranquillitĂ©. Mais cette quiĂ©tude fut interrompue par la sonnerie de son tĂ©lĂ©phone. À l’autre bout du fil, une voix familiĂšre : celle de Hugo Viana, son ami de longue date et directeur sportif du Sporting Portugal.

Hugo, fidĂšle soutien d’Anibal depuis des annĂ©es, avait appelĂ© pour prendre des nouvelles.

“Anibal, comment vas-tu ? Je voulais savoir comment tu as vĂ©cu la fin de ton aventure au Mexique. AprĂšs tout, je t’avais recommandĂ© Ă  Tijuana, et je me sens toujours un peu responsable de tes choix !” dit Hugo avec un sourire dans la voix.

Anibal, toujours serein, le rassura. “C’était intense, Hugo, mais enrichissant. Les dĂ©fis Ă©taient nombreux, mais je ne regrette rien. Maintenant, je prends le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  la suite.”

Hugo, en bon ami et professionnel, profita de l’occasion pour partager des nouvelles du monde du football. “Tu sais, Paulo Fonseca a dĂ©cidĂ© de suivre l’exemple de Ruben Amorim. Il a pris sa retraite des bancs et officie dĂ©sormais comme directeur technique au Como 1907. Et devine quoi ? Il a posĂ© beaucoup de questions Ă  Ruben et Ă  moi sur toi.”

Hugo révéla que lui et Ruben avaient tous deux vivement recommandé Anibal à Fonseca, mettant en avant son expérience internationale, sa capacité à transformer des équipes, et son talent pour travailler avec des jeunes joueurs.

“Je pense que ton nom les intrigue vraiment. Ils cherchent quelqu’un avec ton profil pour prendre les rĂȘnes de l’équipe. Et Como est un club avec un projet ambitieux, mĂȘme si moins mĂ©diatique que certains autres.”

Anibal, intriguĂ©, remercia Hugo pour son soutien et pour avoir dĂ©fendu son nom. “Merci, Hugo. Tu as toujours Ă©tĂ© lĂ  pour moi, et ça compte Ă©normĂ©ment. Je vais creuser un peu plus sur Como.”

Plus tard dans la journĂ©e, Anibal, curieux d’en savoir davantage, dĂ©cida d’appeler un ancien joueur emblĂ©matique qu’il avait entraĂźnĂ© au Real Valladolid : Ivano Di Giacobbe, nĂ© et prĂ©-formĂ© Ă  Como. “Ivano, raconte-moi tout ce que tu sais sur Como. Le club, l’environnement, les infrastructures
 Je veux tout savoir.”

Di Giacobbe, visiblement ravi de parler Ă  son ancien mentor, rĂ©pondit avec enthousiasme. “Coach, Como est un endroit spĂ©cial. Ce n’est pas un grand club comme ceux de Serie A, mais ils ont un projet sĂ©rieux. Les propriĂ©taires investissent beaucoup dans les infrastructures, et la ville est magnifique. C’est un endroit parfait pour travailler sereinement et bĂątir quelque chose de durable.”

Ivano, fidĂšle Ă  son style, conclut avec une pointe d’humour “Et puis, Coach, imagine-toi avec un cafĂ© au bord du lac entre deux entraĂźnements. Qui pourrait refuser ça ?”

AprĂšs avoir raccrochĂ©, Anibal passa un moment Ă  rĂ©flĂ©chir. Les mots d’Hugo, le soutien de Ruben et Paulo, et les dĂ©tails fournis par Ivano rĂ©sonnaient en lui. Le projet du Como 1907, bien que moins glamour que certains grands clubs europĂ©ens, semblait offrir une opportunitĂ© intrigante : un environnement paisible, des ambitions mesurĂ©es mais sincĂšres, et la possibilitĂ© de construire une Ă©quipe Ă  son image.

Bien qu’aucune dĂ©cision dĂ©finitive n’ait Ă©tĂ© prise, une chose Ă©tait claire : l’Italie semblait de nouveau s’imposer comme la prochaine destination d’Anibal GuimarĂŁes. AprĂšs une carriĂšre marquĂ©e par des aventures aux quatre coins du globe, le coach portugais semblait prĂȘt Ă  embrasser un projet mĂȘlant authenticitĂ© et ambition, dans un cadre qui lui permettrait de se recentrer sur ce qu’il aime le plus : bĂątir des Ă©quipes compĂ©titives tout en profitant des plaisirs simples de la vie.

Le tĂ©lĂ©phone d’Anibal risquait de sonner Ă  nouveau trĂšs bientĂŽt, mais cette fois, peut-ĂȘtre avec une offre concrĂšte du Como 1907. Pour l’instant, il savourait l’idĂ©e d’une nouvelle aventure au bord du cĂ©lĂšbre Lac de CĂŽme.

- Chapitre 496 -
- Ani pas intéressé par la seleçao -
- Chapitre 498 -
Coming SOON - 22/01
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Je croyais que tu ne voulait plus retourner en Italie ?

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Ça serait un chouette projet !

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Come on !:face_with_peeking_eye:

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