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@Sythax c’est pas prĂ©vu :sac:

@gwendil35 régales toi

- Ani inaugure l’Anibal Guimarães Arena -

Lorsque Anibal GuimarĂŁes posa le pied Ă  Valladolid, il fut immĂ©diatement frappĂ© par une ambiance unique. La ville, habillĂ©e aux couleurs du club, vibrait d’une ferveur particuliĂšre. Mais ce qui intrigua davantage l’entraĂźneur portugais, c’était le mystĂšre soigneusement entretenu autour du nouveau stade, censĂ© ĂȘtre dĂ©voilĂ© lors d’une soirĂ©e d’inauguration grandiose.

Le club avait mis les petits plats dans les grands pour marquer cet Ă©vĂ©nement historique, et ce que Michael Edwards et le Cheikh Al Fayed, propriĂ©taire du club, avaient prĂ©parĂ© dĂ©passa toutes les attentes d’Anibal.

DĂšs son arrivĂ©e au stade, Anibal fut accueilli par une haie d’honneur composĂ©e des anciens joueurs emblĂ©matiques du Real Valladolid, ceux avec qui il avait remportĂ© des titres historiques. Parmi eux se trouvaient des lĂ©gendes comme Ivano Di Giacobbe, hĂ©ros de la finale de la Ligue des Champions, JoĂŁo Infante, le buteur incontournable, Gilson, l’homme des grands matchs, ou encore Simon Moya et Alberto Luengo, piliers de l’équipe.

La prĂ©sence de PaixĂŁo, Hiraoka, Diego Mauricio, et mĂȘme de Joaquin Fernandez, toujours joueur actifs au club, ajoutait une dimension Ă©motive Ă  cette rĂ©union.

Les accolades, les sourires et les rires remplis de souvenirs rappelaient les liens indéfectibles tissés durant cette époque dorée. Anibal, visiblement ému, confia :

“C’est incroyable de revoir tout le monde ici. Vous n’imaginez pas Ă  quel point vous avez marquĂ© ma vie.”

GuidĂ© par Michael Edwards et le Cheikh, Anibal fut conduit dans la grande salle de rĂ©ception du nouveau stade, oĂč Ă©taient rĂ©unis joueurs, officiels et invitĂ©s prestigieux. Le Cheikh Al Fayed, toujours Ă©lĂ©gant et charismatique, prit la parole pour honorer l’hĂ©ritage d’Anibal.

“Aujourd’hui, nous inaugurons non seulement un stade, mais aussi une Ăšre moderne pour le Real Valladolid. Ce stade, avec ses 87 000 places, reprĂ©sente l’ambition, le travail et l’excellence. Mais il porte surtout le nom d’un homme qui a changĂ© l’histoire de ce club.”

Le Cheikh continua en Ă©numĂ©rant les titres remportĂ©s sous l’ùre GuimarĂŁes : 2 Ligas, 2 Copa del Rey, 1 Conference League, 1 Europa League, et bien sĂ»r, le couronnement ultime, la victoire en Ligue des Champions.

“Anibal GuimarĂŁes, vous avez transformĂ© ce club. Ce que vous avez accompli ici restera gravĂ© dans l’histoire. Et aujourd’hui, nous tenons une promesse : ce stade s’appellera l’Anibal GuimarĂŁes Arena.”

Alors que l’annonce du nom du stade provoquait une ovation, le Cheikh rĂ©servait encore une surprise. Il guida Anibal et les invitĂ©s vers le parvis principal. LĂ , sous un drap noir, se dressait une statue en bronze de 3 mĂštres de haut, reprĂ©sentant Anibal dans une posture fiĂšre et emblĂ©matique, les bras croisĂ©s comme satisfait de la performance de son Ă©quipe.

Lorsque le drap fut retiré, les applaudissements retentirent avec une intensité rare. Anibal, bouleversé, resta quelques instants silencieux avant de murmurer :

“C’est un honneur que je n’aurais jamais imaginĂ©. Merci
 merci Ă  tous.”

La soirĂ©e se poursuivit par un match jubilĂ© en l’honneur d’Ilaix Moriba, joueur emblĂ©matique de Valladolid qui lançait ainsi la derniĂšre saison de sa carriĂšre. Sous les yeux d’un stade comble et d’Anibal sur le banc, une Ă©quipe All-Star de Valladolid affronta le Benevento, club actuel d’Ilaix.

Avant le coup d’envoi, Ilaix, Ă©mu, s’adressa Ă  la foule :

“Ce club a Ă©tĂ© ma maison pendant des annĂ©es. C’est ici que j’ai grandi en tant que joueur et en tant qu’homme. Et pouvoir jouer ce match dans l’Anibal GuimarĂŁes Arena, avec cet homme qui a marquĂ© ma carriĂšre, est un privilĂšge immense.”

Pour Anibal, cette soirĂ©e fut bien plus qu’une cĂ©lĂ©bration : c’était la reconnaissance ultime d’un travail, d’une vision, et d’un hĂ©ritage. Les retrouvailles avec ses anciens joueurs, les hommages du Cheikh et de la ville, et le spectacle grandiose du jubilĂ© d’Ilaix rĂ©sonnaient comme une apothĂ©ose.

Alors qu’il quittait le stade tard dans la nuit, accompagnĂ© de Yessica et de Beatriz, Anibal murmura :

“Ce n’est pas un adieu, Valladolid. Vous faites partie de moi pour toujours.”

Pour le Real Valladolid, l’inauguration de l’Anibal GuimarĂŁes Arena marquait le dĂ©but d’un nouveau chapitre. Mais cette soirĂ©e rappelait aussi que certains hĂ©ritages sont Ă©ternels.

- Chapitre 493 -
- Anibal invitĂ© au jubilĂ© d’Ilaix -
- Chapitre 495 -
Coming SOON - 22/01
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