:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@alexgavi yep c’est un crack dĂ©jĂ  avec Valladolid il m’en avait mis une dizaine.

@CaptainAmericka 22 en tout :pasrire:

@VertPourToujours il me manque le con :sadpepe:

- Anibal invitĂ© pour le JubilĂ© d’Ilaix Moriba -

De retour Ă  Viana do Castelo, Anibal GuimarĂŁes savourait enfin un repos bien mĂ©ritĂ© aprĂšs des annĂ©es tumultueuses passĂ©es Ă  diriger des Ă©quipes aux quatre coins du globe. Retrouver son foyer portugais et partager des instants simples avec sa femme Yessica et leur fille Beatriz, ĂągĂ©e de deux ans et demi, Ă©tait un luxe qu’il ne prenait pas pour acquis. Ce jour-lĂ , autour d’un barbecue, le couple riait en Ă©changeant anecdotes et souvenirs, apprĂ©ciant ce moment d’insouciance en famille.

Mais la sĂ©rĂ©nitĂ© fut briĂšvement interrompue lorsque le tĂ©lĂ©phone d’Anibal vibra sur la table. AffichĂ© sur l’écran : Michael Edwards, directeur sportif du Real Valladolid, un nom qui Ă©veilla immĂ©diatement un flot de souvenirs.

Anibal dĂ©crocha avec curiositĂ©, et la voix chaleureuse d’Edwards se fit entendre.

“Anibal ! Cela fait longtemps, mon ami. J’espĂšre que je ne te dĂ©range pas.”

Edwards alla droit au but, annonçant une nouvelle qui ravit immédiatement le coach portugais.

“Nous inaugurons le nouveau stade du Real Valladolid dans quelques semaines. Une enceinte moderne, digne de l’histoire et des ambitions du club. Et bien sĂ»r, il est impossible de cĂ©lĂ©brer un tel Ă©vĂ©nement sans toi. Nous voulons que tu sois prĂ©sent.”

L’invitation d’Edwards ne s’arrĂȘtait pas lĂ . Pour marquer cette inauguration, le club organisait Ă©galement le jubilĂ© d’Ilaix Moriba, l’un des piliers de l’époque dorĂ©e du club sous la direction d’Anibal. Ilaix, qui entamait la derniĂšre saison de sa carriĂšre avec le Benevento, avait demandĂ© un match spĂ©cial entre son ancien club, Valladolid, et son Ă©quipe actuelle. Edwards avait une proposition unique pour Anibal.

“Nous aimerions que tu diriges un Onze All-Star du Real Valladolid, composĂ© de joueurs emblĂ©matiques de ton Ă©poque au club. Tu as Ă©tĂ© une figure centrale de notre histoire, et ce serait un honneur pour tout le monde de te voir sur le banc pour cette soirĂ©e.”

Anibal, visiblement ému, ne tarda pas à répondre.

“Michael, c’est un immense honneur. Le Real Valladolid est et sera toujours une part importante de ma vie. Je serai là, avec plaisir. Et diriger un onze All-Star pour Ilaix
 c’est la cerise sur le gñteau.”

Anibal partagea immédiatement la nouvelle avec Yessica, qui était tout aussi enthousiaste.

“Ça va ĂȘtre incroyable de revoir Valladolid,” dit-elle. “C’était une pĂ©riode spĂ©ciale pour nous tous. Et Beatriz pourra dĂ©couvrir oĂč tout a commencĂ©.”

Pour Anibal, cet Ă©vĂ©nement reprĂ©sentait bien plus qu’une simple inauguration. Il s’agissait d’un retour aux sources, presque cinq ans aprĂšs avoir quittĂ© l’Espagne aprĂšs une pĂ©riode marquĂ©e par des triomphes, dont une victoire historique en Ligue des Champions.

Le jubilĂ© d’Ilaix Moriba Ă©tait Ă©galement une occasion de revoir des visages familiers, des joueurs et des membres du staff avec qui il avait partagĂ© des moments inoubliables. Moriba, en particulier, avait toujours Ă©tĂ© un leader et un moteur pour l’équipe, et Anibal se rĂ©jouissait de pouvoir rendre hommage Ă  sa carriĂšre.

DĂšs l’appel terminĂ©, Anibal se plongea dans l’organisation du Onze All-Star. Il contacta plusieurs anciens joueurs qui avaient marquĂ© l’histoire rĂ©cente de Valladolid, dont JoĂŁo Infante, Simon Moya, et d’autres figures clĂ©s de leur Ă©popĂ©e europĂ©enne.

Chacun accepta avec enthousiasme, ravi de se réunir pour une soirée à la fois festive et symbolique.

“Coach, comptez sur moi,” rĂ©pondit JoĂŁo Infante avec son enthousiasme habituel. “Je n’ai jamais oubliĂ© tout ce que vous avez fait pour nous.”

L’inauguration du nouveau stade promettait d’ĂȘtre un moment d’émotion pure pour Anibal et tous les supporters de Valladolid. Pour le coach portugais, c’était l’occasion de montrer Ă  Beatriz une part de son hĂ©ritage, de retrouver une ville et un club qui l’avaient marquĂ© Ă  jamais, et de rendre hommage Ă  un joueur emblĂ©matique de son rĂšgne.

Avant de raccrocher, Edwards ajouta :

“Anibal, prĂ©pare-toi. Ce sera une soirĂ©e inoubliable, Ă  ton image.”

Et Anibal, le regard tournĂ© vers l’horizon, rĂ©pondit avec un sourire :

“Je n’en doute pas une seconde. Valladolid a toujours su rendre les choses spĂ©ciales.”

Pour Anibal, le chapitre de Valladolid n’était jamais vraiment clos. Et cette soirĂ©e s’annonçait comme une cĂ©lĂ©bration non seulement d’un club, mais aussi d’un homme qui avait contribuĂ© Ă  Ă©crire son histoire moderne.

- Chapitre 492 -
- Le triomphe d’Ivano Di Giacobbe -
- Chapitre 494 -
Coming SOON - 21/01
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