:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@alexgavi je soupçonne Rafaela de faire fuiter ce genre de chose pour faire de la pub pour le coach. Il va poutrer le monde avec un club du groenland

@toopil !non

@VertPourToujours Direction le chaudron WOOP WOOOP

@CoachLudo rien qu’avec le chablis tu m’a convaincu frère. ça me rappelle une cuite que j’ai pris avec ma belle mère en Bourgogne PAHPAHPAHHHH

@Tiien

- Le Triomphe d’Ivano Di Giacobbe -

La Coupe du Monde des Clubs 2037 s’est conclue sur une finale mémorable au King Abdullah Sports City Stadium de Djeddah. Arsenal, auréolé de son titre en Ligue des Champions, a ajouté une nouvelle ligne à son palmarès en s’imposant face au Real Valladolid sur le score de 2-0. Mais ce triomphe a surtout été marqué par la performance exceptionnelle de leur gardien, Ivano Di Giacobbe, ancienne légende de Valladolid, qui a brillé dans un rôle inhabituel pour un portier.

Le match, attendu avec impatience par les amateurs de football, a offert un spectacle à la hauteur des attentes. Dès la première période, le tournant est venu d’un moment magique signé Ivano Di Giacobbe. À la 28ème minute, Arsenal obtint un coup franc à environ 25 mètres des buts adverses. Contre toute attente, Di Giacobbe, le portier italien, quitta sa cage pour se charger de l’exécution.

Avec un aplomb surprenant pour un gardien, il envoya une frappe magistrale qui termina dans la lucarne droite du gardien de Valladolid. Le stade, médusé, explosa de joie devant cet exploit rarissime.

“C’est quelque chose que je travaille à l’entraînement, mais le faire dans une finale de cette importance, c’est irréel,” déclara Di Giacobbe après le match.

Le reste de la première mi-temps vit Valladolid tenter de revenir, mais la défense d’Arsenal, combinée à plusieurs arrêts décisifs de Di Giacobbe, conserva l’avantage.

En fin de seconde période, Valladolid, désespéré, commença à prendre des risques. À la 89ème minute, une contre-attaque fulgurante d’Arsenal força Paixão, défenseur de Valladolid à commettre une faute dans la surface. L’arbitre désigna le point de penalty.

Di Giacobbe, avec une confiance absolue, s’avança une nouvelle fois pour tirer. Il transforma le penalty avec sang-froid, scellant la victoire d’Arsenal. Le score final : 2-0.

Après le match, les éloges pleuvaient pour le gardien italien, et parmi les voix les plus admiratives se trouvait celle d’Anibal Guimarães, qui avait entraîné Di Giacobbe à Valladolid.

“Ivano était déjà un joueur exceptionnel quand je l’ai entraîné à Valladolid, mais le voir évoluer à ce niveau et devenir une pièce maîtresse d’Arsenal est une immense fierté. Ce qu’il a accompli aujourd’hui est extraordinaire : marquer deux buts dans une finale de Coupe du Monde des Clubs en tant que gardien, c’est du jamais vu. Je ne suis pourtant pas surpris, je l’ai déjà vu marquer lorsque j’entraînais en Espagne.”

Anibal, visiblement ému, ajouta :

“Il a toujours eu cette volonté de progresser, ce désir d’être plus qu’un simple gardien. Aujourd’hui, il est une légende.”

Pour Di Giacobbe, cette victoire était d’autant plus symbolique qu’elle venait contre son ancien club, le Real Valladolid, où il avait passé une grande partie de sa carrière avant de rejoindre Arsenal.

“Valladolid sera toujours dans mon cœur. Ce club m’a formé, m’a donné ma chance, et m’a permis de devenir le joueur que je suis. Mais aujourd’hui, je suis un joueur d’Arsenal, et je suis fier d’avoir contribué à cette victoire historique.”

Avec ce succès, Arsenal confirme son statut de club dominant, ajoutant un trophée prestigieux à une année déjà couronnée de succès. Mais au-delà de l’équipe, c’est le nom de Di Giacobbe qui restera gravé dans les mémoires pour cette finale exceptionnelle.

Quant à Anibal Guimarães, il a rappelé une fois de plus pourquoi il est considéré comme l’un des meilleurs formateurs de talents au monde. Son admiration pour Di Giacobbe illustre la profondeur de ses liens avec ses anciens joueurs, et son rôle dans leur succès continu.

La Coupe du Monde des Clubs 2037 restera à jamais marquée par le spectacle offert par un gardien hors norme, devenu l’architecte inattendu du triomphe d’Arsenal.

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