:storygreen: :s20: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka et là aucune volte face et premier post c’est le bon club

@celiavalencia merciiii

@alexgavi c’est toi le loup

- Anibal y Xolos, Campeón de Campeónes -

Le Cotton Bowl Stadium, au Texas, était le théâtre d’un affrontement épique pour le Campeón de Campeones 2037, opposant les Xolos de Tijuana, champions du tournoi de clôture, et les Tigres UANL, vainqueurs du tournoi d’ouverture. Sous un ciel dégagé et une ambiance électrique, les deux équipes ont livré un match intense, à la hauteur des attentes. Xolos, dirigé par Anibal Guimarães, a finalement triomphé en prolongation, remportant ce prestigieux titre sur le score de 3-2.

Le match démarra sur les chapeaux de roues. Dès la 2ème minute, les Tigres UANL prirent l’avantage grâce à Leo Quilaleo, qui exploita une erreur défensive des Xolos pour glisser le ballon dans le petit filet gauche. Les supporters des Tigres, venus en masse, éclatèrent de joie.

Mais la réponse des Xolos fut immédiate. À peine deux minutes plus tard, sur un corner bien tiré par Freyman Calvache, Argenis Belalcázar surgit au premier poteau pour égaliser d’une tête puissante. Le but calma les ardeurs des Tigres et galvanisa les joueurs d’Anibal, déterminés à ne pas se laisser dominer.

Le reste de la première mi-temps fut marqué par une intensité palpable. Les deux équipes multiplièrent les occasions, mais ce furent les Tigres qui reprirent l’avantage juste avant la pause. À la 42ème minute, Luis-Angel Ovalie, bien servi en profondeur, élimina son défenseur d’un crochet intérieur avant de tromper le gardien d’un tir croisé parfait. 2-1 pour les Tigres.

Cependant, cet avantage fut de courte durée. À la 44ème minute, une faute maladroite dans la surface des Tigres offrit un penalty aux Xolos. Cruceño, avec sang-froid, transforma la tentative en tirant en force au centre. Les deux équipes rentrèrent aux vestiaires sur un score de parité : 2-2.

Au retour des vestiaires, la tension monta d’un cran. Les deux équipes jouèrent avec prudence, alternant entre attaques incisives et phases de gestion du ballon. Les gardiens, héroïques de part et d’autre, empêchèrent à plusieurs reprises que le score n’évolue.

Malgré les efforts des attaquants comme João Infante pour les Xolos ou Quilaleo pour les Tigres, aucune des deux équipes ne parvint à faire la différence dans le temps réglementaire. L’arbitre siffla la fin des 90 minutes sur ce score de 2-2, envoyant le match en prolongation.

La prolongation fut à l’image du reste du match : disputée, intense, et marquée par des duels acharnés. Mais ce fut Bryan Perlaza, milieu de terrain des Xolos, qui fit la différence. À la 99ème minute, sur une récupération haute de Rodrigo Gonzalez, Perlaza profita d’un ballon mal dégagé par la défense des Tigres pour déclencher une frappe sèche à l’entrée de la surface. Le ballon fila sous la barre transversale, laissant le gardien adverse impuissant.

Les Tigres tentèrent de réagir dans la dernière demi-heure, mais la défense des Xolos, bien organisée, résista aux assauts répétés. Le coup de sifflet final déclencha une explosion de joie chez les joueurs et les supporters de Tijuana.

Avec cette victoire 3-2, les Xolos de Tijuana remportèrent leur premier Campeón de Campeones, confirmant leur domination sur le football mexicain sous la direction d’Anibal Guimarães. Ce succès fut le point culminant d’une saison extraordinaire, marquée par des titres en championnat et en Ligue des Champions de la CONCACAF.

En conférence de presse, Anibal Guimarães, visiblement ému, déclara :

“C’est une victoire pour toute la ville de Tijuana, pour les joueurs, et pour les supporters qui nous ont toujours soutenus. Ce match symbolise l’esprit combatif de cette équipe.”

Du côté des Tigres, l’entraîneur admit la supériorité des Xolos dans les moments cruciaux, tout en saluant la qualité de ses propres joueurs.

Ce titre marqua également un adieu triomphal pour Anibal, qui s’apprête à quitter le Mexique pour un retour très attendu en Europe. Le coach portugais, après avoir conquis les sommets au Mexique, laisse derrière lui un héritage inoubliable et une équipe bâtie pour continuer à briller.

Le Campeón de Campeones 2037 restera dans les mémoires comme une finale spectaculaire, à la hauteur de la rivalité entre deux grandes équipes du football mexicain.

		Club
		Finale
		Cotton Bowl Stadium
	p 3	-	2
Club Tijuana Xolos				Tigres UANL
A.Belalcázar (4’)				L.Quilaleo (2’)
L.Cruceño (pen 45+1’)				L-A.Ovalie (42’)
B.Perlaza (99’)

- Chapitre 484 - - Sofia felix affranchis Anibal -	- Chapitre 486 - Coming SOON - 17/01

[celiavalencia]

[Tiien]

Ani tu lui donnes Malte, il est Champion du Monde sans défaite lol

[CoachLudo]

les résultats toujours auss bon, tu sors quand la série sur netflix sinon ?

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@celiavalencia Thanks my girl !

@Tiien imagine la dinguerie.

@CoachLudo ce serait fou en vrai

-BILAN DE LA SAISON-
Triplé légendaire pour Tijuana

Liga MX	Concacaf Champion’s League	Campeon de Campeones

MJ	V	N	D	%V	BP	BC	Diff	BP/M	BC/M
MJ	V	N	D	%V	BP	BC	Diff	BP/M	BC/M
27	18	5	4	67%	57	23	+34	2.11	0.85

- Plus invincible mais encore glorieux -

MATCHS JOUES	27	BUTS MARQUES	57
MATCHS GAGNES	18	BUTS ENCAISSES	23
MATCHS NULS	5	DIFFERENCE DE BUTS	+34
MATCHS PERDUS	4	POURCENTAGE DE VICTOIRES	67%

Après une saison au Japon, Anibal avait espéré retrouver l’Europe qui lui manquait tant. Toutefois, il n’en fut rien et à l’aide d’Hugo Viana, un viei ami avec qui il avait travaillé 13 ans plus tôt, il avait choisit un peu par défaut une expérience courte au Mexique. Alors qu’il pensait se focaliser sur le sportif, une fois de plus il fut rattraper par les cartels qui polluèrent sa courte mais glorieuse expérience mexicaine.

Avec un club solide mais pas favori, Anibal fit de nouveau des miracles à Tijuana confirmant sa réputation de faiseur de trophées. Entouré de son adjoint de toujours Javi Sanchez et de son fidèle lieutenant João Infante qui l’avait rejoint pour une troisième expérience commune, Anibal et les Xolos remportèrent le championnat de cloture ainsi que la Ligue des champions nord-américaine. Avec ce nouveau sacre Anibal remportait un trophée majeure sur un quatrième continent après les coupes européennes et sudaméricaine et la Champion’s League asiatique. Un cas unique dans l’histoire du football pour un passionné de ce sport.

Malgré tout Anibal paye ses affaires extrasportives et peinent à trouver un club européen à la hauteur de son talent. Alors que son retour approche une question est sur toutes les lèvres, où va-t-il rebondir en Europe ? Sera t’il contraint à un nouvel exil ?

- Un groupe solide prêt à dominer -

Au Mexique Anibal disposait d’un groupe solide qui s’il ne gagnait pas énormément de trophées était toujours placé. Globalement il ne manquait au Xolos que ce petit supplément d’âme pour franchir le step manquant vers la gloire. Avec un effectif tourné autour de la légende locale Rodrigo Gonzalez Anibal su faire passer ce fameux cap.

Si Anibal ne devrait pas s’éterniser au Mexique, pas plus que Infante, le groupe qu’il laisse a tout pour gagner d’autres trophées et entamer une ère de domination au niveau local et nord-américain.

- Rodrigo González toujours plus légendaire -

Capitaine légendaire formé au club, Rodrigo est à 28 ans au sommet de son art. Auteur de 21 buts et 7 passes décisives, il a su guidé le club vers des succès qui ont encore plus forger sa légende lui compte désormais plus de 490 apparitions avec son club et près de 170 buts.

Courtisé par plusieurs clubs sudaméricains et européens, le joueur a toujours refusé ses avances voulant passer sa carrière entière dans son club. Une légende.

On notera aussi l’excellente saison de João Infante auteur de 17 buts.

- - - Rodrigo	González - - -
Âge	28
Nationalité	Mexicain
Apparitions	495
Buts	170
Assists	16

	ANNEES				CLUB	APP	Buts	Assists
	23/37		[U18]		Xolos Tijuana	116	19	9
	23/37		[PRO]		Xolos Tijuana	495	170	16
	35/37		[A]		Mexique	2	0	0
	23-37				TOTAL - - - - -	495	170	16

Affluences

Les taux de remplissage sont bons, le club a prévu de déménager dans un nouveau stade plus grand pour suivre l’évolution du club…

Année	Club	Afflu + Faible		Afflu + Elevée		Record de Recette		Afflu Moyenne	Taux de Remplissage
2037		25 338		33 333		888k€		30 292	91%

- Point sur les temps de jeu -

						-
Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	P.Dec
		Lucio	Cruceño	53	4	21
		Sergio	Vázquez	52	0	0
		Carlos	González	51	2	3
		Rodrigo	González	50	21	7
		Eduardo	Venegas	50	7	5
		Bryan	Perlaza	45	0	0
		Diego	Vázquez	39 (2)	1	0
		Argenis	Belalcázar	25 (18)	13	8
		Marco	Flores	25 (18)	1	1
		João	Infante	25 (1)	17	3
		Jonathan	Gutiérrez	25	2	4
		César	Ortega	22 (22)	3	5
		Jorge Alberto	Bustamante	22 (11)	9	2
		Juan Carlos	Navarrete	21 (7)	3	0
		Freyman	Calvache	20	3	4
		Luis	Chávez	11 (14)	0	2
		Guillermo	López	7 (10)	0	1
		Kevin	Marengo	6 (24)	0	5
			Ânderson	6 (18)	3	2
		Jérémy	Doku	4	0	0
		Juan Manuel	Quintana	2 (1)	0	0
		Ricardo	Reyes	1 (6)	1	0
		Marco	García	1 (6)	0	0
		Alain	Escobedo	1 (5)	0	0
		Francisco	Valdez	0 (3)	0	0

- Hall of Fame -

joueurs les plus capés

-
Nat	Nat	Rank	Identité	APP	buts	assists
		1 == 1	Rodrigo González	495	170	16
		9 → 6	Lucio Cruceño	356	9	56
		13 → 10	Eduardo Venegas	325	28	42
		16 → 11	Carlos González	315	6	10
		- → 20	Sergio Vázquez	207	0	0

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

Meilleurs buteurs

-
Nat	Nat	Rank	Identité	APP	buts	assists
		1 == 1	Rodrigo González	495	170	16
		8 == 8	Jorge Alberto Bustamante	169	49	8
		19 → 11	Argenis Belalcázar	127	31	10
		16 → 14	Eduardo Venegas	325	28	42
		- => 19	João Infante	26	17	3

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

Meilleurs Passeurs

-
Nat	Nat	Rank	Identité	APP	buts	assists
		6 → 2	Lucio Cruceño	356	9	56
		4 == 4	Eduardo Venegas	325	28	42
		- → 18	Rodrigo González	495	170	16

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Chapitre 485 - - Ani, Campéon de Campéones -	- Chapitre 487 - Coming SOON - 18/01

[Groot]

Statistiques du récit
Club Tijuana Xoloitzcuintles de Caliente

joueurs les plus capés

-
Club	Nat		Prénom	Nom	App	Buts	Passes
			João	Infante	311	175	21
			Gílson	Bressan	212	26	55
			Hiroto	Hiraoka	212	8	14
			Ivano	Di Giacobbe	199	5	0
			Ilaix	Moriba	189	31	24
			Alberto	Luengo	174	6	34
			Thiago	Rubio	158	38	58
				Paixão	156	29	11
			Diego	Maurício	156	20	29
			Javi	López	154	1	21
			Javi	Sánchez	150	7	5
				Auribertinho	144	17	13
				Estêvão	141	66	44
			Simon	Moya	141	39	34
			Tiago	Araújo	138	27	20
			Juan Sebastián	Anaya	133	9	46
			Claudio	Echeverri	121	32	19
			Abdullah	Al-Dossari	105	6	18
			Željko	Marković	105	1	7
			Domenico	Imparato	104	18	3

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

Meilleurs buteurs

-
Club	Nat		Prénom	Nom	App	Buts	Passes
			João	Infante	311	175	21
				Estêvão	141	66	44
			Deivid	Washington	65	54	6
				Rafael	67	53	3
				Rodrygo	74	50	24
				Gílson	70	47	11
			Saqkeem	Joseph	87	38	24
			Tiago	Sousa	58	37	4
			Surat	Srijan	64	35	22
			Claudio	Echeverri	121	32	19
			Ilaix	Moriba	162	31	19
			Tiago	Araújo	138	27	20
			Afonso	Valente	102	27	16
			Vinícius	Júnior	75	26	25
			Thiago	Rubio	109	26	45
				Gílson	164	23	44
			Simon	Moya	90	22	19
			Rodrigo	González	50	21	7
			Luis Ángel	Díaz	66	21	3
			José	Ramos	75	20	21

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

Meilleurs Passeurs

-
Club	Nat		Prénom	Nom	App	Buts	Passes
			Juan Sebastián	Anaya	133	9	46
			Thiago	Rubio	109	26	45
				Estêvão	141	66	44
				Gílson	164	23	44
			Ryuji	Endo	54	9	32
			Pedro	Araújo	102	5	32
			Takashi	Tanaka	65	8	29
			Kento	Nakamura	66	13	29
			Vinícius	Júnior	75	26	25
				Rodrygo	74	50	24
			Saqkeem	Joseph	87	38	24
			José	Blanco	72	16	24
			Alberto	Luengo	128	1	23
			Surat	Srijan	64	35	22
			Carlos	De Ávila	65	4	22
			Lucio	Cruceño	53	4	21
			José	Ramos	75	20	21
			Yan	Couto	71	2	20
			Tiago	Araújo	138	27	20
			João	Vigário	75	1	20

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Chapitre 486 - - Bilan de fin de saison -	- Chapitre 488 - Coming SOON - 18/01

[Manthyz]

Je note tout de même que le coach va en être à son neuvième club en quinze saisons, cela manque quand même de stabilité tout ca …

[CaptainAmericka]

Encore un titre ! En fait, t’as trouvé une image d’un mec qui soulève un trophée dans un stade, et tu changes juste le format de la coupe et tu lui mets une veste en fonction de la couleur du club

[Sythax]

Je veux rien dire mais Anibal il est pas passé par l’Oceanie …

[Groot]

Résumé

@Manthyz Il avait bien commencé avec Vianense 3 ans et Valladolid 5 ans mais derrière aucune stabilité, pas plus d’un an par club

@CaptainAmericka l’IA c’est pas mal je te jure

@Sythax Ni par l’Afrique ou l’Antartique

- Anibal remercie Tijuana pour l’accueil -

Alors qu’il s’apprête à quitter le Mexique pour rejoindre l’Europe et profiter de vacances bien méritées, Anibal Guimarães s’exprime il semblerait pour la dernière fois en tant qu’entraîneur des Xolos de Tijuana. Depuis le terminal de l’aéroport, entouré par quelques journalistes et des supporters venus lui dire au revoir, le tacticien portugais revient sur une saison exceptionnelle et livre des mots empreints de gratitude et d’émotion.

En réponse à la première question, Anibal ne cache pas sa satisfaction après une année riche en succès.

“Je suis immensément fier de ce que nous avons accompli. Remporter le championnat mexicain et la Ligue des Champions de la CONCACAF, c’est un rêve pour n’importe quel entraîneur. Cette équipe a montré une force incroyable, sur le terrain comme en dehors. Nous avons traversé des moments difficiles, mais nous avons toujours su rester unis.”

Il ajoute avec un sourire :

“C’est une saison que je n’oublierai jamais. Pas seulement pour les trophées, mais pour l’énergie et la passion de cette ville, de ces supporters, qui m’ont fait me sentir chez moi dès le premier jour.”

Interrogé sur son attachement à Tijuana, Anibal tenait à adresser un message spécial aux fans des Xolos.

“Je veux remercier les supporters de Tijuana. Vous m’avez accueilli à bras ouverts, dans une ville où le football est bien plus qu’un sport. Vous m’avez soutenu, même dans les moments difficiles. C’est grâce à vous que cette aventure a été possible. Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve mais je pars en vacances avec beaucoup de souvenirs et une immense gratitude. Tijuana restera toujours dans mon cœur.”

Anibal ne tarit pas d’éloges sur les joueurs qui ont contribué à cette saison historique. Il cite notamment Rodrigo Gonzalez, Eduardo Venegas, et le jeune prodige colombien Freyman Calvache.

“Rodrigo est une légende vivante ici. C’était un privilège de travailler avec lui, un capitaine exemplaire sur et en dehors du terrain. Eduardo Venegas est une force de la nature, un défenseur comme on en voit peu. Et que dire de Freyman Calvache… Ce garçon a un avenir incroyable. Il m’a impressionné chaque jour par sa maturité, sa technique, et son intelligence de jeu.”

Anibal ne cachait pas sa fierté en évoquant le transfert de Freyman Calvache au Sporting Portugal, un club qu’il connaît bien.

“Le Sporting a réalisé un coup énorme en signant Freyman. C’est un talent unique, et je suis certain qu’il brillera en Europe. Il a toutes les qualités pour devenir un joueur clé au Portugal et au-delà. J’ai hâte de suivre ses exploits. Pour lui, ce n’est que le début.”

Lorsqu’on le presse de questions sur son propre avenir, Anibal reste évasif, préférant maintenir le suspense.

“Pour l’instant, je vais profiter de quelques semaines de vacances. J’ai besoin de me reposer, de retrouver ma famille, et de prendre du recul. Quant à mon futur, vous le saurez bientôt. Ce que je peux dire, c’est que je suis toujours excité par ce que l’avenir peut me réserver…”

Alors qu’il s’apprêtait à embarquer, Anibal conclut avec des mots simples mais sincères :

“Merci, Tijuana. Merci au club, aux joueurs, aux supporters. Vous avez été ma maison pendant cette demi-saison incroyable. Je n’oublierai jamais tout ce que vous m’avez donné.”

Sous les applaudissements des fans présents, Anibal salue une dernière fois avant de disparaître dans le terminal. Son départ marque la probable fin d’un chapitre mémorable pour les Xolos, mais aussi le début potentiel d’une nouvelle ère pour un entraîneur qui s’apprêterais à retrouver l’Europe, là où son génie tactique et son charisme continuent de faire parler.

Les rumeurs sur sa prochaine destination se multiplient, mais une chose est certaine : où qu’il aille, Anibal Guimarães ne passera pas inaperçu.

- Chapitre 486 - - Bilan de fin de saison -	- Chapitre 488 - Coming SOON - 18/01

[Sythax]

C’est vrais eu t’es pas allé en Afrique finalement ! Pour l’antarctique … si tu y arrives, chapeau

[toopil]

@Manthyz

Je note tout de même que le coach va en être à son neuvième club en quinze saisons, cela manque quand même de stabilité tout ca …

Imagine si c’était pareil avec les femmes

@Sythax

C’est vrais eu t’es pas allé en Afrique finalement ! Pour l’antarctique … si tu y arrives, chapeau

Sur un vieux FM, mais j’ai oublié lequel, un type avait fait un update avec les bases en Antarctique

[Sythax]

Si qqn le refait, je signe direct !

[CaptainAmericka]

Quelle aventure tout de même ! J’espère que chez lui il a une carte du monde sur laquelle il met des croix rouges sur tous les pays qu’il a déjà fait !
A l’heure actuelle il doit lui en rester 3 à faire

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Sythax il fait trop froid là bas

@toopil j’aurais du en faire un gros baiseur comme dans Power la série

@CaptainAmericka t’abuses de fou

- Anibal à Djeddah pour la Coupe du Monde -

Après une saison éprouvante mais triomphale à la tête des Xolos de Tijuana, Anibal Guimarães a décidé de faire une pause dans ses responsabilités d’entraîneur. Cette parenthèse l’a mené à Djeddah, où il participera en tant que consultant pour la chaîne portugaise Sport TV à la couverture de la Coupe du Monde des Clubs 2037. Aux côtés de deux légendes du football portugais, Cristiano Ronaldo et Bernardo Silva, Anibal partagera ses analyses sur cette compétition qui promet d’être spectaculaire.

Le choix d’Anibal comme consultant a suscité un vif intérêt au Portugal. Avec son expérience internationale et son œil tactique affûté, il s’inscrit parfaitement dans un casting prestigieux. Cristiano Ronaldo, toujours charismatique, et Bernardo Silva, qui vient de raccrocher les crampons après une brillante carrière, complètent ce trio de choc.

Ensemble, ils offriront des analyses techniques, des commentaires pointus, et une perspective unique sur les équipes en lice.

Lors de sa première intervention en direct depuis Djeddah, Anibal a livré son point de vue sur les favoris de la compétition.

“Pour moi, deux équipes se détachent : Arsenal et Manchester City. Arsenal a remporté la Ligue des Champions européenne avec une maîtrise impressionnante cette saison, et ils arrivent ici avec beaucoup de confiance. Quant à Manchester City, on ne présente plus leur régularité et leur talent collectif. Ce sont des équipes avec une profondeur de banc incroyable, ce qui est souvent décisif dans ce genre de tournoi.”

Cristiano Ronaldo, partageant l’avis d’Anibal, a ajouté :

“City reste la référence, mais Arsenal joue un football magnifique. Ce sera intéressant de voir comment ils s’adaptent aux particularités de ce tournoi.”

Anibal a également exprimé son enthousiasme à l’idée de suivre les parcours de deux équipes avec lesquelles il entretient des liens particuliers.

“J’ai hâte de voir Palmeiras. C’est un club que j’ai eu la chance de diriger et qui a une culture de la gagne profondément ancrée. Leur style de jeu est offensif, et ils n’ont pas peur d’affronter les grands clubs. Je suis curieux de voir comment ils se mesureront aux équipes européennes.”

Quant au Real Valladolid, c’est un chapitre encore plus personnel pour Anibal.

“Valladolid occupe une place spéciale dans mon cœur. Nous avons vécu des moments incroyables ensemble, dont une victoire en Ligue des Champions. Je suis heureux de les voir représenter l’Europe ici, et je pense qu’ils peuvent surprendre.”

Bernardo Silva, dans un ton plus léger, a taquiné Anibal :

“On dirait que tu as plus d’équipes favorites que prévu ! Peut-être que ton cœur sera partagé pendant la compétition.”

Au-delà du football, Anibal semble également apprécier son séjour en Arabie Saoudite. Il a exprimé son admiration pour l’organisation et l’atmosphère autour de la compétition.

“Djeddah est une ville magnifique. L’accueil ici est fantastique, et l’ambiance autour de la Coupe du Monde des Clubs est vraiment unique. C’est une opportunité exceptionnelle pour les joueurs et les fans de vivre quelque chose de spécial.”

Bien qu’Anibal soit pleinement concentré sur son rôle de consultant, les rumeurs concernant son avenir en Europe continuent d’alimenter les discussions. Lorsqu’un journaliste l’a interrogé à ce sujet, il a simplement répondu avec un sourire énigmatique :

“Pour l’instant, je suis ici pour le football et rien d’autre. Mon avenir, vous le saurez bientôt.”

Avec Cristiano Ronaldo, Bernardo Silva, et Anibal Guimarães, Sport TV propose une couverture exceptionnelle de cette Coupe du Monde des Clubs. Entre l’expertise tactique d’Anibal, la sagesse de Bernardo Silva, et le charisme de Cristiano Ronaldo, les spectateurs peuvent s’attendre à des débats captivants et des analyses de haut vol.

Alors que la compétition s’annonce palpitante, les regards sont déjà tournés vers Anibal, dont les commentaires ne manqueront pas de séduire les fans… tout en suscitant encore plus d’attente pour son grand retour sur les bancs européens.

- Chapitre 487 - - Anibal remercie tijuana pour l’accueil -	- Chapitre 489 - Coming SOON - 19/01

[CaptainAmericka]

Un peu de vacances loin du foot, ça va lui faire du bien
Belle équipe de choc en tout cas

[toopil]

@CaptainAmericka

Un peu de vacances loin du foot

Non. Il est juste attiré par l’appât du gain.

[Manthyz]

Quand Sport TV a contacté Anibal pour lui proposer d’être consultant :

[volatil]

Rah Boul leh thun, c’est la story d’à côté

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka oui ça va le reposer et l’occuper en cherchant un nouveau club.

@toopil Tu t’es trompé de récit chef

@Manthyz

@volatil c’est un peu l’idée, on va pas aller marcher sur les baskets de @MrT

- Monchi : « Ta réputation bloque ma direction » -

Alors qu’Anibal Guimarães commente la Coupe du Monde des Clubs pour une chaîne portugaise à Djeddah, son téléphone sonne. Rafaela Pimienta, son agent et fidèle conseillère, a une nouvelle qui pourrait redéfinir sa carrière. Le Paris Saint-Germain, géant du football français, est à la recherche d’un nouvel entraîneur après le départ de Julian Nagelsmann pour le Bayern Munich.

Consciente de l’attrait du PSG pour les entraîneurs portugais, Rafaela a proposé le nom d’Anibal à Monchi, le directeur sportif du club. Intrigué, décida de contacter Anibal pour discuter de l’opportunité.

L’entretien, organisé par visioconférence, est un échange intense et captivant. Anibal, qui a toujours été admiré pour sa vision tactique et sa capacité à transformer des équipes, ne tarde pas à partager ses idées pour faire rayonner le PSG.

“Le PSG a besoin de retrouver son équilibre entre l’individuel et le collectif. Mon objectif serait de créer une équipe où les talents peuvent briller, mais où le collectif reste toujours au premier plan. La Ligue des Champions ne se gagne pas avec des stars isolées, mais avec une unité indéfectible.”

Anibal détaille ensuite les ajustements tactiques qu’il mettrait en place pour maximiser les forces de l’équipe. Il propose un système flexible, capable de s’adapter à différentes compétitions et adversaires.

“J’imagine une équipe qui sait s’imposer dans les grands rendez-vous, une équipe où chaque joueur comprend son rôle. Nous devons créer un PSG qui ne joue pas sous la pression, mais avec confiance et maîtrise.”

Monchi, connu pour son sens du détail, apprécie les idées claires et directes d’Anibal. Mais ce qui le convainc le plus, ce sont les recrues potentielles qu’Anibal propose.

“J’ai des noms en tête,” dit Anibal avec assurance. “Des joueurs comme Freyman Calvache, qui apporterait une nouvelle dimension au milieu de terrain, ou des profils plus expérimentés pour renforcer la défense. Mais l’essentiel est de construire un groupe uni, avec des joueurs investis dans le projet.”

Malgré l’enthousiasme de Monchi pour le projet d’Anibal, un obstacle majeur subsiste : sa réputation. La suspension qu’il a subie en Europe et son passé lié à certaines controverses continuent de peser lourdement.

“Je ne vais pas vous mentir, Anibal,” avoue Monchi. “Vos idées sont brillantes, et je suis convaincu que vous avez la capacité de transformer ce club. Mais le président, Nasser Al-Khelaïfi, est très sensible à l’image du PSG. Il ne veut plus de polémiques autour du club, et certains de vos antécédents inquiètent.”

Anibal, calme mais déterminé, répond avec honnêteté :

“Je comprends les préoccupations. Mais regardez mon parcours. J’ai appris de mes erreurs, et j’ai prouvé à travers mes succès en Asie, en Amérique du Sud, et au Mexique que je peux gérer des projets complexes et réussir. Mon objectif est de construire un PSG qui fait parler de lui pour ses performances, pas pour ses polémiques.”

À la fin de l’entretien, Monchi remercie Anibal pour sa transparence et promet de porter son dossier à l’attention du président. Mais il ne cache pas que la décision sera difficile.

“Vous avez tout ce qu’il faut pour diriger ce club, Anibal. Mais la décision finale appartient à Nasser. Je vais faire de mon mieux pour le convaincre.”

De son côté, Anibal restait pragmatique. Bien qu’excité par l’opportunité de diriger l’un des plus grands clubs du monde, il savait que son passé pouvait être un frein. Cependant, il ne perdit pas espoir.

Après l’entretien, Anibal partagea la nouvelle avec Rafaela, qui restait confiante mais réaliste.

“C’était un bon entretien, Anibal. Monchi croit en toi, c’est un atout énorme. Mais Nasser est prudent. Quoi qu’il arrive, cette opportunité montre que tu es toujours considéré parmi les meilleurs. Et si ce n’est pas le PSG, une autre porte s’ouvrira.”

Anibal acquiesca, un léger sourire aux lèvres.

“C’est tout ce que je voulais : une chance de montrer ce que je peux faire. Si ce n’est pas Paris, ce sera ailleurs. Mais je suis prêt, Rafaela. Prêt à revenir en Europe et à prouver que je suis encore au sommet.”

Alors qu’Anibal continuait de commenter la Coupe du Monde des Clubs, le PSG restait dans un flou concernant son futur entraîneur. Monchi insistait pour pousser le dossier d’Anibal, mais le président restait inflexible. Le nom du coach portugais était désormais sur toutes les lèvres, et son avenir pourrait bien se décider dans les prochains jours.

Quoi qu’il arrive, une chose est sûre : Anibal Guimarães était de retour au cœur des discussions en Europe, et son charisme, associé à son expertise tactique, continuait de fasciner le monde du football.

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