Résumé
@Manthyz Il avait bien commencé avec Vianense 3 ans et Valladolid 5 ans mais derrière aucune stabilité, pas plus d’un an par club 
@CaptainAmericka l’IA c’est pas mal je te jure 
@Sythax Ni par l’Afrique ou l’Antartique 
Alors qu’il s’apprête à quitter le Mexique pour rejoindre l’Europe et profiter de vacances bien méritées, Anibal Guimarães s’exprime il semblerait pour la dernière fois en tant qu’entraîneur des Xolos de Tijuana. Depuis le terminal de l’aéroport, entouré par quelques journalistes et des supporters venus lui dire au revoir, le tacticien portugais revient sur une saison exceptionnelle et livre des mots empreints de gratitude et d’émotion.
En réponse à la première question, Anibal ne cache pas sa satisfaction après une année riche en succès.
“Je suis immensément fier de ce que nous avons accompli. Remporter le championnat mexicain et la Ligue des Champions de la CONCACAF, c’est un rêve pour n’importe quel entraîneur. Cette équipe a montré une force incroyable, sur le terrain comme en dehors. Nous avons traversé des moments difficiles, mais nous avons toujours su rester unis.”
Il ajoute avec un sourire :
“C’est une saison que je n’oublierai jamais. Pas seulement pour les trophées, mais pour l’énergie et la passion de cette ville, de ces supporters, qui m’ont fait me sentir chez moi dès le premier jour.”
Interrogé sur son attachement à Tijuana, Anibal tenait à adresser un message spécial aux fans des Xolos.
“Je veux remercier les supporters de Tijuana. Vous m’avez accueilli à bras ouverts, dans une ville où le football est bien plus qu’un sport. Vous m’avez soutenu, même dans les moments difficiles. C’est grâce à vous que cette aventure a été possible. Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve mais je pars en vacances avec beaucoup de souvenirs et une immense gratitude. Tijuana restera toujours dans mon cœur.”
Anibal ne tarit pas d’éloges sur les joueurs qui ont contribué à cette saison historique. Il cite notamment Rodrigo Gonzalez, Eduardo Venegas, et le jeune prodige colombien Freyman Calvache.
“Rodrigo est une légende vivante ici. C’était un privilège de travailler avec lui, un capitaine exemplaire sur et en dehors du terrain. Eduardo Venegas est une force de la nature, un défenseur comme on en voit peu. Et que dire de Freyman Calvache… Ce garçon a un avenir incroyable. Il m’a impressionné chaque jour par sa maturité, sa technique, et son intelligence de jeu.”
Anibal ne cachait pas sa fierté en évoquant le transfert de Freyman Calvache au Sporting Portugal, un club qu’il connaît bien.
“Le Sporting a réalisé un coup énorme en signant Freyman. C’est un talent unique, et je suis certain qu’il brillera en Europe. Il a toutes les qualités pour devenir un joueur clé au Portugal et au-delà . J’ai hâte de suivre ses exploits. Pour lui, ce n’est que le début.”
Lorsqu’on le presse de questions sur son propre avenir, Anibal reste évasif, préférant maintenir le suspense.
“Pour l’instant, je vais profiter de quelques semaines de vacances. J’ai besoin de me reposer, de retrouver ma famille, et de prendre du recul. Quant à mon futur, vous le saurez bientôt. Ce que je peux dire, c’est que je suis toujours excité par ce que l’avenir peut me réserver…”
Alors qu’il s’apprêtait à embarquer, Anibal conclut avec des mots simples mais sincères :
“Merci, Tijuana. Merci au club, aux joueurs, aux supporters. Vous avez été ma maison pendant cette demi-saison incroyable. Je n’oublierai jamais tout ce que vous m’avez donné.”
Sous les applaudissements des fans présents, Anibal salue une dernière fois avant de disparaître dans le terminal. Son départ marque la probable fin d’un chapitre mémorable pour les Xolos, mais aussi le début potentiel d’une nouvelle ère pour un entraîneur qui s’apprêterais à retrouver l’Europe, là où son génie tactique et son charisme continuent de faire parler.
Les rumeurs sur sa prochaine destination se multiplient, mais une chose est certaine : où qu’il aille, Anibal Guimarães ne passera pas inaperçu.