:storygreen: :s15: 🇵🇹 :grootsporting: O Leão de Lisboa

[Sythax]

en gros j’ai introduit le cartel Gallindo à l’arrivée du coach en Colombie. Le cartel utilisait le club d’Envigado pour blanchir son argent et faire de l’argent sur le dos des jeunes joueurs du club. la branche colombienne du cartel était géré par Ezekiel Reyes qui avait finalement racheté Envigado. Ce dernier avait ensuite suivi Anibal au Brésil pour régler ses comptes avec le coach et le jouer Anaya (dont le père Coco Cruz est un des lieutenant). Puis au Japon Reyes avait été éliminé.

De son côté Miguel Gallindo gère le cartel dans sa branche principal au Mexique. Miguel est le fils d’Esteban Gallindo, le créateur du cartel.

Donc s’il livre Miguel, les cartels s’entrebouffent entre eux et advienne que pourra.

Merci j’étais un peu perdu au milieu de tous ces mafieux !

[alexgavi]

Beaucoup de choses à retenir en peu de temps !

Déjà, Anibal rentre toujours plus dans la légende, avec une nouvelle coupe continentale majeure.
Ensuite, un possible accord avec un cartel, en espérant pour lui que ce soit la der’ des ders !
Et puis le soutien d’un ancien club. En même temps, la Juve serait mal avisée de faire des critiques, compte tenu de sa propre histoire

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino on verra tout ça en fin de saison.

@CaptainAmericka

@Sythax pas de soucis amigo.

@alexgavi réponse tout de suite.

- Miguel Gallindo éliminé par le cartel Félix -

Après des semaines de tourments et de dilemmes, Anibal Guimarães prit une décision qui allait changer le cours de sa vie. En choisissant de livrer Miguel Gallindo au cartel Felix, il espérait mettre fin à des mois de menaces et garantir sa sécurité ainsi que celle de sa famille. Mais il savait aussi que ce choix l’entraînerait dans une confrontation où les règles de morale et d’éthique n’avaient plus leur place.

Anibal fixa une rencontre avec Miguel Gallindo sous prétexte de discuter d’un plan pour apaiser les tensions grandissantes avec les cartels rivaux. Ils se retrouvèrent dans une vieille usine abandonnée à la périphérie de Tijuana, un lieu isolé et sinistre, parfait pour une embuscade. Anibal était tendu mais déterminé, sachant qu’il n’y aurait pas de retour en arrière.

Lorsque Gallindo arriva, entouré de quelques hommes, il trouva Anibal seul. Le chef du cartel, méfiant mais curieux, s’avança. “Alors, Guimarães, que veux-tu exactement ? J’espère que tu n’es pas là pour me donner des leçons de morale.”

Avant qu’Anibal ne puisse répondre, un bruit sourd se fit entendre. La porte principale s’ouvrit brutalement, et Sophia Felix entra, flanquée de ses hommes armés. Gallindo, bien que surpris, garda son calme.

“Sophia,” dit-il avec un sourire narquois. “Je vois que tu as fait ton choix Ani. Un lâche couplé d’un traitre donc.”

Sophia ne perdit pas de temps avec des formalités. Elle ordonna à ses hommes d’apporter “les cadeaux”. Trois sacs furent déposés sur le sol, et d’un mouvement brutal, les têtes ensanglantées de trois collaborateurs de Gallindo furent dévoilées. Le regard de Miguel vacilla un instant, mais il se reprit rapidement. “C’est une base de négociation je suppose ?” lança-t-il avec défi.

Sophia s’approcha, son ton glacial. “Tu as deux choix, Miguel. Soit tu te rends et fusionnes tes affaires avec les miennes, soit je termine tout ici. Et crois-moi, je n’hésiterai pas.”

Gallindo éclata de rire, un rire teinté de mépris et de défi. “Je préfère mourir debout que de m’agenouiller devant une salope comme toi.”

Sophia ne réagit pas immédiatement. Elle tourna lentement la tête vers Anibal, le jaugeant du regard.

Sophia tendit son Glock à Anibal. “Très bien, coach. Tu l’as amené ici. Maintenant, prouve-moi que tu as ce qu’il faut. Tire.”

La pièce devint silencieuse. Anibal prit l’arme, le regard fixé sur Gallindo, qui le toisait avec mépris. “Allons, Guimarães,” dit Gallindo avec un sourire provocateur. “Tu penses vraiment pouvoir faire ça ? Tuer quelqu’un ?”

Le Portugais resta figé, le bras tendu, les doigts tremblants sur la détente. Les souvenirs des mois de harcèlement, des menaces contre sa famille, et des pressions incessantes défilèrent dans son esprit. Mais malgré toute sa rage, il ne pouvait se résoudre à tirer. “Je ne suis pas un tueur,” murmura-t-il en abaissant lentement l’arme.

Sophia, qui observait attentivement, esquissa un sourire énigmatique. Elle semblait avoir deviné qu’Anibal ne franchirait pas cette ligne.

Un coup de feu retentit soudainement. Abel Teller, l’un des protecteurs d’Anibal, se tenait derrière lui, une arme encore fumante dans la main. Gallindo s’effondra au sol, une expression de stupeur sur le visage.

Sophia fixa Abel, puis Anibal. “Tu es fort, Anibal. Mais tu es trop droit pour ce monde. Je savais que ce n’était pas toi qui avait préssé la détente au Japon contre Reyes, j’en ai la confirmation. C’est une qualité… et une faiblesse. Heureusement, tu es entouré de gens qui n’hésitent pas et tu es loyal.”

Elle se détourna et quitta la pièce, laissant les corps derrière elle.

Quelques jours plus tard, Anibal apprit que le cartel Felix avait incorporé les opérations de Gallindo. Cette fusion donna naissance à un conglomérat criminel immense, régnant désormais sur l’ensemble de l’Amérique latine, hors États-Unis. Sophia Felix devenait l’une des figures les plus puissantes et intouchables du continent.

Pour Anibal, cette victoire était teintée d’amertume. Il avait obtenu sa liberté et celle de sa famille, mais à quel prix. L’image de Gallindo, étendu sur le sol, hantait ses nuits.

De retour à son loft, Anibal tenta de reprendre une vie normale, se concentrant sur les performances des Xolos et son retour imminent en Europe. Mais il savait que cette expérience l’avait changé à jamais.

Lors d’une conversation avec Rafaela Pimienta, il exprima enfin ses pensées “J’ai survécu, mais je ne suis pas fier de ce que j’ai fait. Sophia m’a laissé partir, mais je sais qu’elle m’a utilisé pour son propre jeu. Je veux tourner la page, Rafaela. Revenir au football, là où je suis à ma place.”

Anibal Guimarães avait traversé l’enfer de Tijuana, mais il était toujours debout, prêt à reconstruire sa vie et sa carrière. Pourtant, il savait qu’il porterait à jamais les cicatrices de cette nuit sanglante, un rappel des lignes qu’il avait refusé de franchir – et de celles qu’il avait été contraint d’accepter.

- Chapitre 480 - - « Anibal est prêt à revenir en europe »-	- Chapitre 482 - Coming SOON - 15/01 - 20h

[celiavalencia]

@Groot

Un lâche couplé d’un traitre donc.”

je ne suis pas d’accord avec ça
Anibal n’a jamais été avec galindo, donc ce n’est pas un traitre

@Groot

“J’ai survécu, mais je ne suis pas fier de ce que j’ai fait. Sophia m’a laissé partir, mais je sais qu’elle m’a utilisé pour son propre jeu. Je veux tourner la page, Rafaela. Revenir au football, là où je suis à ma place.”

On ne peut pas être fier de ça mais c’était soit ça ou risquer de tout perdre.
Même si c’est de la complicité de meurtre; c’est pour se défendre lui et sa famille donc c’est aussi de la légitime défense

[UnManager]

Oh pu***n…
Je m’absente du forum 3 semaines et quand je reviens y a plein de cartels et Reyes est
C’était déjà dur à suivre…

[Sythax]

Je me demande comment il va vivre avec ça !
Et aussi rassuré que ce n’est pas lui qui a tiré sur l’autre au Japon.

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@celiavalencia de notre point de vue non mais de celui du cartel pas forcément. Dans tous les cas il a juste protéger sa vie.

@UnManager t’inquiète, reprends les épisodes tranquillement ça va aller.

@Sythax En soit il n’y peux pas grand chose. Il pouvais pas être certains non plus qu’il l’envoyait à la mord. Ceci dit ça a pu le perturber. Je le voyais pas tuer de sang froid quelqu’un d’autre faut dire.

- Nuevo título para Ani, campeón con Xolos -
- Nouveau sacre pour Anibal, Xolos Champion -

De retour des USA après la victoire en Ligue des Champions pour disputer les playoffs du championnat. En quart de finale, Tijuana affronta les Pumas. L’aller fut mitigé avec un nul vaillamment acquis en fin de match à la faveur d’un but d’Argenis. Lors du match retour, Xolos a obtenu sa qualification en demi finales avec un grand João Infante. Le buteur portugais a d’abord obtenu et transformé un pénalty peu après la pause. Puis à l’heure de jeu il transforma une offrande de Rodrigo González en trompant le portier adverse d’une sublime volée. Le tirage au sort reserva une revanche de la demi finale continental contre l’America pour tenter d’obtenir un accessit pour la finale nationale.

Le match aller fut très disputé. La défense d’America fut infranchissable. Infante et Belalcázar ne furent pas très inspiré. C’est America qui bascula avec un avantage certain à la mi-temps de cette confrontation. La défense des Xolos fut en effet perforé par une action de génie de Angel Vela. Mais le match retour fut complément différent. America fut méconnaissable. L’ouverture du score très précoce de Rodrigo González a complément chamboulé la défense adverse qui n’a pas su comment réagir aux vagues offensives des Xolos. America en a repoussé 1,2,3 et la quatrième fut fatale. Venegas servait alors Argenis pour que Tijuana prennent l’avantage. 10 minutes plus tard Gutiérrez ajoutait un nouveau but. A ce moment là America a coulé. Ortega puis Rodrigo donnait de l’ampleur au score avant la pause. En début de seconde période João Infante ajoutait un sixième but pour en finir des espoirs de titres d’America.

En finale Tijuana retrouva le leader de la saison régulière Puebla. Rodrigo González signa un doublé plein de classe à l’aller pour mettre les Xolos devant. Au retour Infante plia les débats en trentes minutes en ajoutant deux buts. En seconde période Argenis et Bustamante firent basculer la double opposition alors que Puebla était revenu à 1 but de l’égalisation. Avec cette victoire au forceps, Tijuana et Anibal sont sacrés champion du Mexique en remportant le tournoi de cloture. Ils defieront le Tigres UANL pour le titre ultime.

[saisona]

		Date		Club	Score	Buteurs
	1/4	7/5/2037		Pumas de la UNAM	1 - 1	A.Belalcázar (75)
	1/4	10/5/2037		Pumas de la UNAM	2 - 0	J.Infante (pen 56, 66)
	1/2	19/5/2037		Club América	1 - 0	-
	1/2	22/5/2037		Club América	6 - 0	R.González (3, 46), A.Belalcázar (24), J.Gutiérrez (37), C.Ortega (42), J.Infante (pen 51)
	F	25/5/2037		Puebla FC	2 - 0	R.González (37, 73)
	F	30/5/2037		Puebla FC	3 - 4	J.Infante (13, pen 24), A.Belalcázar (59), J-A.Bustamante (80)

- Clasificación -
- Classement -

Clt			Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er			Puebla FC	17	11	3	3	32	21	+11	36
2e			Xolos Tijuana	17	10	3	4	29	17	+12	33
3e			Pumas de la UNAM	17	10	3	4	29	17	+12	33
4e			Deportivo Toluca	17	10	2	5	27	23	+4	32
5e			Deportivo Guadalajara	17	8	7	2	25	19	+6	31
6e			Club América	17	9	3	5	30	22	+8	30
7e			CF Pachuca	17	9	2	6	20	20	0	29
8e			Club León	17	8	3	6	21	25	-4	27
9e			Tigres UANL	17	7	5	5	26	19	+7	26
10e			CF Monterrey	17	5	8	4	18	15	+3	23
11e			Santos Laguna	17	5	4	8	20	19	+1	19
12e			Atlas Guadalajara	17	6	1	10	16	23	-7	19
13e			FC Juárez	17	4	4	9	18	22	-4	16
14e			Club Necaxa	17	3	7	7	18	23	-5	16
15e			Querétaro FC	17	4	4	9	14	22	-8	16
16e			Atlético San Luis	17	3	6	8	18	25	-7	15
17e			Mazatlán	17	3	5	9	15	28	-13	14
18e			Cruz Azul	17	1	4	12	14	30	-16	7

- Clasificación de goleadores -
- Classement des buteurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Rodrigo	González	50	21	7
			João	Infante	25 (1)	17	3
			Argenis	Belalcázar	25 (18)	13	8
			Jorge Alberto	Bustamante	22 (11)	9	2
			Eduardo	Venegas	50	7	5

- Clasificación de los assistencias -
- Classement des passeurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Lucio	Cruceño	53	4	21
			Argenis	Belalcázar	25 (18)	13	8
			Rodrigo	González	50	21	7
			César	Ortega	22 (22)	3	5
			Kevin	Marengo	6 (24)	0	5

- Chapitre 481 - - Miguel Gallindo éliminé par le cartel Felix -	- Chapitre 483 - Coming SOON - 16/01

[Tiien]

Félicitations pour ce nouveau titre.
Anibal n’est pas un tueur mais… il y a complicité de meurtre vu que c’est lui qui l’a amené au Cartel de Sofia et que c’est la protection d’Anibal qui a tiré… Ca va entrainer dans les prisons Brésiliennes des Robinho, Alves et Marcelo dans les prochains mois

[celiavalencia]

Bravo pour le titre ! encore …

[CaptainAmericka]

Content de l’issue finale de l’histoire ! Felix reprend ses affaires et y gagne financièrement et Anibal retourne au football faire ce qu’il sait le mieux faire : gagner ENCORE des titres Félicitations !

[alexgavi]

Bon, une bonne chose de faite avec la mort de Gallindo. C’était soit ça, soit vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Anibal a une famille, donc le choix est vite vu.
Un petit retour en Italie, histoire de fricoter avec la Mafia italienne. Et une fin d’histoire, avec Anibal qui termine Capo de tutti capi

Bref, sur le plan sportif, c’est un nouveau titre ! C’est bien beau d’être en tête à l’issue de la saison régulière, il faut savoir conclure. J’en sais quelque chose et Puebla aussi maintenant

[Manthyz]

Maintenant que ça c’est fait, Anibal va tenter la passe de deux avec le tournoi de fermeture maintenant que la situation est plus calme, ou va-t-il tout faire pour quitter fissa le Mexique et revenir en Europe ?

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Tiien Merci chef, les affaires du cartel, reste dans le cartel les flics sauront jamais

@celiavalencia merci

@CaptainAmericka retour à une situation plus classique en effet.

@alexgavi on verra ce que l’avenir lui réserve.

@Manthyz on viens de finir le championnat de cloture on est arrivé à mi-saison. La réponse de suite.

- Anibal discute avec des clubs européens -

Après avoir mené les Xolos de Tijuana à la victoire en championnat mexicain, Anibal Guimarães est de nouveau sous les projecteurs européens. À 44 ans, l’entraîneur portugais, auréolé de succès sur quatres continents, est au centre de toutes les rumeurs de transfert. La presse sportive européenne s’emballe : où atterrira l’enfant prodige du football portugais, désormais libre de tout engagement avec les Xolos ?

Alors que les célébrations battent encore leur plein à Tijuana, la presse européenne s’agite. Divers médias avancent des théories sur le prochain club d’Anibal, chacun revendiquant des sources exclusives.

Avec l’éviction récente de Vincent Kompany, le Villarreal CF est en quête d’un nouveau manager pour relancer le club. Juan Roman Riquelme, légende du football et proche de la direction du sous-marin jaune, aurait personnellement recommandé Anibal. Riquelme, admirateur du style audacieux du coach depuis ses succès à Valladolid, aurait déclaré que “Guimarães est l’homme qu’il nous faut pour ramener Villarreal au sommet.”

Cependant, des sources proches du coach affirment qu’Anibal aurait poliment décliné l’opportunité. Son attachement à Valladolid, où il avait conquis la Ligue des Champions, l’aurait empêché d’accepter un poste dans un autre club espagnol.

De son côté, le Werder Brême, qualifié pour l’Europa League, aurait également approché Anibal. Selon le quotidien allemand Bild, un accord serait proche, les discussions ayant avancé sur plusieurs semaines. Le club verrait en Anibal un stratège capable d’élever leur niveau sur la scène européenne.

Cependant, le barrage de la langue semble être un obstacle majeur. Bien qu’Anibal parle couramment plusieurs langues, l’allemand n’en fait pas partie et l’idée de s’installer en Allemagne aurait refroidi ses ardeurs, préférant évoluer dans un environnement plus familier.

C’est finalement au Portugal que les rumeurs sont les plus insistantes. Le quotidien Record, généralement bien informé sur les affaires locales, affirme qu’un accord aurait été trouvé entre Anibal et le FC Porto pour un contrat de trois ans.

Le choix du FC Porto ne serait pas anodin. Après une saison décevante, le club cherche à retrouver son statut de leader du football portugais. Anibal, avec son expérience internationale et son succès constant, apparaît comme l’homme idéal pour reconstruire et redonner une nouvelle dynamique à l’équipe.

Record souligne que les approches espagnoles et allemandes ont bien eu lieu, mais qu’Anibal les aurait refusées, préférant revenir au Portugal, où il se sent chez lui. Le journal cite une source interne “Anibal a toujours voulu revenir un jour au Portugal. Et Porto lui offre un projet ambitieux, à la hauteur de ses compétences et de sa vision.”

Du côté du coach comme du FC Porto, c’est le mutisme total. Lorsqu’interrogé lors des célébrations à Tijuana, Anibal a esquivé les questions sur son avenir, se contentant de déclarer “Je suis concentré sur la fin de saison ici. Nous avons accompli quelque chose d’extraordinaire avec les Xolos, et c’est tout ce qui compte pour l’instant.”

De même, le FC Porto n’a fait aucun commentaire officiel, alimentant encore davantage les spéculations.

Si l’information de Record se confirme, le retour d’Anibal au Portugal serait un moment marquant pour le football lusitanien. Le FC Porto, qui a dominé le football européen par le passé, verrait en lui un architecte capable de bâtir une équipe compétitive à la fois sur la scène nationale et continentale.

Pour Anibal, ce serait aussi une manière de boucler la boucle. Après des aventures glorieuses à l’étranger et des épreuves personnelles intenses, revenir au Portugal, terre de ses débuts, symboliserait une renaissance et une reconquête.

Une chose est certaine : le retour d’Anibal en Europe est imminent, et quel que soit son choix final, il promet d’avoir un impact majeur sur le paysage footballistique du continent.

- Chapitre 482 - - Anibal de nuevo campéon -	- Chapitre 484 - Coming SOON - 16/01

[Manthyz]

Anibal trahirait ainsi le Sporting ? Le Mexique la bien changé finalement …

[CaptainAmericka]

La boucle ? Y’aurait un sacré nœud dedans ouais ! Aller à Porto alors que t’es né au Sporting ?! Fait pas le con Gaston !!

[Sythax]

Surtout que l’article dit bien qu’il n’ira pas dans un autre club espagnol que Valladolid mais au Portugal, pas de soucis pour s’éloigner du Sporting ?

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Manthyz Pas de pitié, pas de tendresse, ce soir c’est Bagdad dans tes f*****

@CaptainAmericka rumeurs de médias. ça se trouve il va signer en suisse (Poke @toopil )

@Sythax les journalistes

- Sofia Félix confirme l’affranchissement d’Ani -

Le titre remporté avec les Xolos de Tijuana marquait une fin glorieuse pour Anibal Guimarães au Mexique. Entouré de ses joueurs, du staff, et des supporters en liesse, il célébrait non seulement une victoire sportive, mais aussi la conclusion d’un chapitre tumultueux de sa vie. Mais alors que les festivités battaient leur plein, une notification sur son téléphone interrompit brièvement son euphorie : un appel de Sofia Felix.

Anibal, se retirant un instant du bruit ambiant, décrocha l’appel. La voix de Sofia Felix, froide mais déterminée, résonna à l’autre bout du fil. “Anibal, comme promis, tout est réglé. Toi et ta famille êtes libres. Ni moi, ni mon organisation n’interférerons plus jamais dans ta vie.”

Un soupir de soulagement échappa à Anibal. Mais Sofia ne tarda pas à poser une condition, montrant que même dans la libération, elle gardait un certain contrôle. “Cela dit, tu devras quitter le continent à la fin de la saison. Si un jour tu décides de travailler à nouveau ici, tu devras me prévenir. Pas de surprises, coach.”

Anibal, malgré un léger pincement d’orgueil, accepta sans discuter. Il savait que ce marché représentait sa meilleure issue. “C’est noté, Sofia. Mais rassure-toi, je rentre en Europe dès la fin de la saison. J’ai déjà un accord avec un club européen.”

Un bref silence suivit, puis un léger rire de Sofia “Je te souhaite bonne chance, Anibal. Mais n’oublie jamais : les fantômes de Tijuana ne s’effacent pas si facilement.”

Avec cet appel, un poids immense sembla se dissiper des épaules d’Anibal. Mais il savait que le futur nécessiterait encore de la résilience.

Plus tard dans la soirée, alors que les célébrations touchaient à leur fin, Anibal appela sa femme, Yessica, à Los Angeles. L’entendre fut un réconfort immédiat. “Yessica, tout est fini,” annonça-t-il d’une voix apaisée. “Je t’ai caché beaucoup de choses ces derniers mois mais avec Rafael nous avons tout arrangé. Sofia du cartel a tenu parole. Tu peux être tranquille maintenant.”

Yessica, soulagée, laissa échapper un rire nerveux avant de répondre : “Enfin, Anibal. Je n’en pouvais plus de cette tension constante. Nous allons pouvoir recommencer à vivre normalement.”

Anibal en profita pour lui annoncer ses projets. “Je rentre au Portugal dès la fin des festivités ici. Tout est réglé avec mon prochain club. On retourne en Europe, et je vais enfin pouvoir travailler dans un environnement stable.”

Yessica, ravie par cette nouvelle, ajouta à son tour “Mon film est terminé. Je vais rester encore un peu ici pour finaliser les derniers détails, mais je te rejoindrai en juin. Je suis tellement heureuse qu’on puisse retrouver une vie normale, dans un cadre qui nous ressemble. Rafaela m’a prévenu pour ton futur contrat. C’est un nouveau rêve qui va se réaliser. J’ai tellement hâte pour toi !”

De retour aux festivités, Anibal profita de ces moments avec ses joueurs et le staff, conscient que cette aventure au Mexique, bien que marquée par des défis personnels et professionnels, avait été une étape importante de sa carrière. Il passa également du temps avec Abel Teller et les Sons of Anarchy, qui avaient joué un rôle crucial dans sa protection. Abel, en guise d’adieu, lui donna une poignée de main ferme, un cuir et une bague des Sons et un conseil simple.

“Reste sur ton terrain, coach. C’est là que tu es invincible.”

Alors que les lumières de Tijuana s’éteignaient derrière lui, Anibal sentait une nouvelle énergie monter en lui. Le Portugal l’attendait, un nouveau défi en Europe se profilait, et surtout, il pouvait enfin se concentrer uniquement sur le football. Yessica, comblée par ce choix, partageait son enthousiasme à l’idée de retrouver une vie plus sereine sur le continent européen.

Pour Anibal, ce retour n’était pas qu’un changement de lieu. C’était une renaissance. Après avoir affronté des menaces bien au-delà des terrains, il revenait avec une force renouvelée et un esprit prêt à conquérir de nouveaux sommets.

Le Mexique resterait un chapitre unique de sa vie, mais l’Europe était son véritable terrain de jeu. Et il était déterminé à prouver que, malgré les épreuves, Anibal Guimarães n’avait rien perdu de sa grandeur.

- Chapitre 483 - - Anibal discute avec des clubs européens -	- Chapitre 485 - Coming SOON - 17/01

[CaptainAmericka]

@Groot

J’ai déjà un accord avec un club européen.

LA phrase qui va faire tilt dans nos esprit !! Le coquin, il a ficelé son avenir en zoum-zoum !
On a hâte d’en savoir plus et d’apprendre que ce n’est déjà pas au Portugal !

[celiavalencia]

Retour au pays natal !
bem-vindo de volta a casa

Cool l’image du poste

[alexgavi]

Il y a forcément un loup