Pendant ce temps, chez Mendes:
RĂ©ponses aux lecteurs
@Manthyz la question câest qui sera dans le coffre
@toopil je lâavais presque oubliĂ© ce fdp lĂ
Le State Farm Stadium, situĂ© Ă Glendale en Arizona, Ă©tait le thĂ©Ăątre dâune finale historique pour la Ligue des Champions de la CONCACAF 2037. Deux clubs mexicains, les Xolos de Tijuana et le MazatlĂĄn FC, sâaffrontaient pour la premiĂšre fois avec lâopportunitĂ© de soulever le prestigieux trophĂ©e continental. Aucun des deux nâavait encore goĂ»tĂ© aux sommets de la CONCACAF, ce qui rendait cette rencontre dâautant plus palpitante pour les joueurs, les entraĂźneurs et les supporters prĂ©sents.
Mais au terme dâun match Ă sens unique, les Xolos de Tijuana, menĂ©s par un Anibal GuimarĂŁes dĂ©terminĂ© et tactiquement impeccable, se sont imposĂ©s sur le score net et sans appel de 3-0, Ă©crivant ainsi une page historique pour le club et pour la ville de Tijuana.
DĂšs le coup dâenvoi, les Xolos imposĂšrent leur rythme. Le pressing haut orchestrĂ© par Anibal GuimarĂŁes Ă©touffa les tentatives de relance de MazatlĂĄn, qui peinait Ă passer le milieu de terrain. Les Xolos jouaient vite, intelligemment, et leurs offensives trouvaient constamment des failles dans la dĂ©fense adverse.
La dĂ©livrance vint Ă la 32Ăšme minute. Sur une rĂ©cupĂ©ration haute initiĂ©e par Freyman Calvache, le prodige colombien, le ballon parvint au capitaine des Xolos, Rodrigo Gonzalez. Le milieu de terrain orchestra parfaitement lâaction, servant une passe millimĂ©trĂ©e dans la surface pour JoĂŁo Infante. Lâattaquant portugais, vĂ©ritable symbole de cette Ă©quipe depuis son arrivĂ©e surprise, enchaĂźna contrĂŽle et frappe croisĂ©e imparable. Le ballon fila dans le petit filet gauche, dĂ©clenchant une explosion de joie dans les tribunes. 1-0 pour Tijuana.
MazatlĂĄn, dĂ©stabilisĂ©, tenta de rĂ©agir, mais les Xolos ne relĂąchĂšrent pas la pression. Ă la 40Ăšme minute, les hommes dâAnibal doublĂšrent la mise. Une contre-attaque fulgurante orchestrĂ©e par Freyman Calvache vit le jeune milieu colombien lancer une passe parfaitement dosĂ©e dans la course dâInfante. Le buteur portugais, dans un Ă©tat de grĂące, plaça un plat du pied prĂ©cis qui prit le gardien Ă contre-pied. 2-0 avant la mi-temps.
Les supporters des Xolos, massés dans les tribunes du State Farm Stadium, laissÚrent éclater leur joie tandis que le Mazatlån semblait déjà dépassé.
Au retour des vestiaires, MazatlĂĄn tenta le tout pour le tout. Le coach adverse fit entrer des joueurs offensifs pour forcer la dĂ©cision et rĂ©duire lâĂ©cart, mais la dĂ©fense des Xolos, parfaitement organisĂ©e par Anibal, rĂ©sista Ă toutes les offensives. Rodrigo Gonzalez, impĂ©rial au milieu, et Eduardo Venegas en dĂ©fense bloquĂšrent systĂ©matiquement les moindres vellĂ©itĂ©s adverses.
Ă la 67Ăšme minute, MazatlĂĄn, dĂ©sespĂ©rĂ©, se dĂ©couvrit en attaque. Anibal, fidĂšle Ă son pragmatisme tactique, demanda Ă son Ă©quipe de profiter des espaces pour contrer rapidement. Câest prĂ©cisĂ©ment ce quâils firent Ă la 74Ăšme minute.
Sur un ballon rĂ©cupĂ©rĂ© par Calvache, Eduardo Venegas partit en contre-attaque Ă toute vitesse. Servi par une longue ouverture, il se prĂ©senta seul face au gardien et ne trembla pas. Dâun tir puissant sous la barre, il scella dĂ©finitivement le sort du match. 3-0 pour les Xolos.
La cĂ©lĂ©bration fut Ă la hauteur de lâĂ©vĂ©nement : joueurs et supporters savaient que le trophĂ©e leur appartenait dĂ©sormais.
Lorsque lâarbitre siffla la fin du match, la pelouse du State Farm Stadium fut envahie par les joueurs, le staff, et des larmes de joie. Les Xolos de Tijuana remportaient leur premiĂšre Ligue des Champions Nord-AmĂ©ricaine.
Pour Anibal GuimarĂŁes, ce succĂšs marquait un accomplissement de plus dans sa carriĂšre dâentraĂźneur mondialement reconnue. Avec ce triomphe, il ajoutait une nouvelle ligne Ă son palmarĂšs dĂ©jĂ exceptionnel : aprĂšs avoir conquis la Ligue des Champions europĂ©enne avec Valladolid, la Copa Libertadores avec Palmeiras, et la Ligue des Champions asiatique avec Nagoya, il devenait lâun des rares entraĂźneurs Ă remporter des titres continentaux majeurs sur quatre continents.
Ce premier sacre continental rĂ©sonna bien au-delĂ du terrain. La ville de Tijuana, souvent associĂ©e Ă la violence et aux cartels, trouva dans cette victoire un moment dâunitĂ© et de fiertĂ© inĂ©galĂ©. MĂȘme les cartels locaux, y compris celui de Sophia Felix, semblĂšrent temporairement silencieux, comme subjuguĂ©s par lâexploit des Xolos. Le football, pour un soir, avait rĂ©ussi Ă ramener la paix dans une ville souvent dĂ©chirĂ©e.
En confĂ©rence de presse, Anibal, fidĂšle Ă son style sobre mais charismatique, dĂ©clara âCeci est pour les joueurs, pour le club, et pour la ville. Quand je suis arrivĂ© ici, je savais que ce serait un dĂ©fi, mais je savais aussi que cette Ă©quipe avait quelque chose de spĂ©cial. Ce soir, nous avons montrĂ© que rien nâest impossible.â
InterrogĂ© sur son avenir, il se contenta dâun sourire âPour lâinstant, je vais savourer ce moment. Lâavenir, on en parlera demain.â
Ce triomphe restera gravĂ© dans lâhistoire des Xolos de Tijuana comme le jour oĂč, sous la direction dâAnibal GuimarĂŁes, ils ont conquis lâAmĂ©rique du Nord et fait taire les doutes. Tijuana avait enfin son hĂ©ros, et Anibal, lui, prouvait une fois de plus quâil Ă©tait un entraĂźneur dâexception, prĂȘt Ă reconquĂ©rir lâEurope.
Victoire sans surprise et un nouveau trophée pour le chef !
Il va entrer dans un jeu dangereux qui va sortir du cadre du football là ⊠Moi qui suis fan de séries policiÚres, thrillers et autres avocats, ça va devenir intéressant
Bravo !
Il te reste lâafrique pour ĂȘtre le maitre des ligues des champion Mondial
BluffĂ© par le bon niveau dâInfante, qui lui aussi aura rĂ©ussi un bel exploit en sâimposant sur deux continents !
Et un trophĂ©e de plus un, ça continue encore et encoreâŠ
Trop facile pour ce coach, politique de terre brulée⊠lol
RĂ©ponses aux lecteurs
@CaptainAmericka vu lâadversaire câĂ©tait attendu. Tu devrais ĂȘtre servis sur les prochains Ă©pisodes.
@celiavalencia les pays dispo sur le continent africain me tente pas trop.
@Manthyz câest un peu la surprise de cette game car son profil est vraiment pas fou mais il ne mâa jamais déçu.
@VertPourToujours tâas lâair presque déçu ?
Alors que le tournage du film âDes Roses et des Ăpinesâ touchait Ă sa fin Ă Los Angeles, Yessica, la femme dâAnibal GuimarĂŁes, continuait de bĂ©nĂ©ficier de la protection des Sons of Anarchy, une mesure qui avait initialement semblĂ© exagĂ©rĂ©e. Mais cette prĂ©caution prit une tout autre dimension lorsquâun incident glaçant survint, rappelant Ă quel point le danger pesait sur leur famille.
Depuis que les tensions entre Anibal et les cartels mexicains avaient franchi un nouveau palier, la protection de Yessica avait été confiée à une équipe des Sons of Anarchy, dirigée par Abel Teller, le fils du légendaire Jax Teller. Abel, devenu une figure clé des Sons, avait pris sa mission trÚs au sérieux, mobilisant ses contacts pour garantir la sécurité de Yessica sur le plateau.
MalgrĂ© les prĂ©cautions, Yessica sâefforçait de maintenir une apparence de normalitĂ©. Le tournage avançait Ă bon rythme, et les derniers jours Ă©taient marquĂ©s par une excitation palpable parmi les acteurs et lâĂ©quipe technique.
Mais ce qui semblait ĂȘtre une pĂ©riode de cĂ©lĂ©bration se transforma en un cauchemar.
Un aprĂšs-midi, alors que lâĂ©quipe prenait une pause dĂ©jeuner, Abel Teller, toujours sur ses gardes, remarqua un comportement Ă©trange de la part dâun employĂ© du service de restauration. Sa vigilance lâamena Ă inspecter discrĂštement certains plats avant quâils ne soient servis. Câest lĂ quâil fit une dĂ©couverte terrifiante : des traces de poison dans plusieurs plats destinĂ©s aux acteurs principaux, dont Yessica.
Abel, accompagnĂ© de deux autres membres des Sons, immobilisa immĂ©diatement lâemployĂ© suspect et alerta les autoritĂ©s locales, tout en sâassurant que personne ne touche aux plats contaminĂ©s. Le tournage fut suspendu, et lâĂ©quipe Ă©vacuĂ©e dans un calme relatif pour Ă©viter la panique.
Si lâidentitĂ© de la cible exacte restait incertaine, il semblait Ă©vident pour Abel et les Sons que cet acte Ă©tait liĂ© Ă la situation dâAnibal. Le poison nâĂ©tait pas une coĂŻncidence, et lâombre des cartels mexicains planait lourdement sur cet incident.
Yessica, bien que choquĂ©e, garda son sang-froid. Lorsquâelle fut informĂ©e par Abel des soupçons pesant sur les cartels, elle comprit que cette tentative visait probablement Ă faire pression sur Anibal, un avertissement indirect mais terrifiant.
Abel Teller, grĂące Ă son expĂ©rience et sa vigilance, fut saluĂ© comme un hĂ©ros par lâĂ©quipe de tournage et les proches de Yessica. Il prit cependant cette reconnaissance avec humilitĂ©, se concentrant sur la protection de Yessica et sur lâenquĂȘte en cours.
âCe nâest pas fini,â dĂ©clara Abel Ă Yessica. âIls ont tentĂ© de tâatteindre pour envoyer un message Ă Anibal. Nous devons redoubler de prudence jusquâĂ ce que tout cela soit derriĂšre nous.â
De retour Ă Tijuana aprĂšs son triomphe en Ligue des Champions de la CONCACAF, Anibal fut informĂ© de lâincident. Sa rĂ©action, bien que maĂźtrisĂ©e, laissait transparaĂźtre une colĂšre sourde.
âIls veulent me faire plier,â dit-il Ă Rafaela Pimienta, son avocate et conseillĂšre. âMais je ne cĂ©derai pas. Sâils pensent que sâen prendre Ă ma famille me fera abandonner, ils se trompent lourdement.â
Anibal renforça immĂ©diatement les mesures de sĂ©curitĂ© autour de sa famille et demanda une enquĂȘte privĂ©e pour identifier les responsables derriĂšre cette tentative. Avec lâaide des Sons of Anarchy, il espĂ©rait non seulement protĂ©ger Yessica, mais aussi envoyer un message clair Ă ceux qui cherchaient Ă lâintimider.
MalgrĂ© lâincident, Yessica, soutenue par Abel et son Ă©quipe, insista pour terminer le tournage. Cette dĂ©cision, empreinte de courage, Ă©tait aussi une maniĂšre pour elle de ne pas cĂ©der Ă la peur.
Le film fut finalement achevĂ© dans des conditions de sĂ©curitĂ© maximales, et Yessica quitta Los Angeles sous escorte pour rejoindre un lieu sĂ»r, en attendant quâAnibal puisse la retrouver.
Cet Ă©vĂ©nement marqua un tournant pour Anibal et sa famille. Si les cartels pensaient pouvoir briser leur dĂ©termination, lâincident nâavait fait que renforcer leur rĂ©silience. Yessica, par sa force de caractĂšre, et Anibal, par sa dĂ©termination inflexible, montraient quâils ne plieraient pas sous la pression.
Mais une chose Ă©tait claire : le combat ne faisait que commencer. Anibal, toujours fidĂšle Ă sa vision, se prĂ©parait Ă retourner en Europe, mais pas avant dâavoir assurĂ© la sĂ©curitĂ© de ceux quâil aimait et rĂ©glĂ© ses comptes avec les ombres menaçantes de Tijuana.
Ăa commençait comme une story sur un jeune coach portugais, et maintenant on est dans un mĂ©lange de John Wick et de TĂ©lĂ©foot⊠et câest trop bien !
Autant Anibal il dĂ©fonce tout sur les terrains du monde entier, autant dans le privĂ©, il a le chic pour sâattirer des emmerdes Ă nâen plus finir ^^
En vrai, il ne peut pas aller dans un pays sĂ»r et sĂ©curisĂ©? Comme la Suisse Ce type aime le danger! Câest tout!
Anibal a raison quand ça chauffe il faut mettre du sang sur les murs !!!
Vivement lâapparition inattendue dâun personnage mystĂšre trop badassâ !
RĂ©ponses aux lecteurs
@Manthyz ravi que tu kiffes.
@Rhino ça va bien finir un jour. Enfin bien
@toopil pourquoi la Suisse ?
@VertPourToujours jâai toujours aimĂ© la peinture
@CaptainAmericka des idées ?
Tard dans la nuit, dans son loft Ă Tijuana, Anibal GuimarĂŁes scrutait des vidĂ©os du prochain adversaire des Xolos. ConcentrĂ© sur lâanalyse tactique, il Ă©tait plongĂ© dans son monde, lĂ oĂč il trouvait un semblant de contrĂŽle au milieu du chaos qui entourait sa vie personnelle. Mais son calme fut interrompu par la sonnerie insistante de son tĂ©lĂ©phone. Rafaela Pimienta, son agent et avocate, apparaissait Ă lâĂ©cran.
âRafaela, quâest-ce quâil se passe ?â demanda-t-il en dĂ©crochant, pressentant que lâappel nâavait rien dâordinaire.
Rafaela ne perdit pas de temps et alla droit au but âAnibal, jâai des nouvelles de Sophia Felix. Jâai rĂ©ussi Ă nĂ©gocier un accord. Elle est prĂȘte Ă te laisser tranquille, toi et ta famille, mais il y a une condition.â
Anibal, le visage tendu, Ă©couta attentivement. âTu as deux semaines pour lui fournir des Ă©lĂ©ments concrets permettant de faire tomber Miguel Gallindo, ou bien de lui livrer son chef. Si tu respectes ces termes, elle sâengage Ă te considĂ©rer comme affranchi et Ă ne plus te causer de problĂšmes.â
Un silence pesant suivit. Anibal fixa lâĂ©cran de son ordinateur, son esprit dĂ©jĂ en train de peser les consĂ©quences. âCâest risquĂ©, Rafaela. Si je donne quelque chose contre Gallindo et que ça se sait, ma tĂȘte sera mise Ă prix par son camp. Et si je nâagis pas, Sophia ne sâarrĂȘtera pas lĂ .â
Rafaela, de son cĂŽtĂ©, restait pragmatique âJe sais, Anibal. Câest un jeu dangereux, mais câest la meilleure chance que nous avons. Si tu veux retrouver ta libertĂ©, câest maintenant ou jamais.â
Lâappel rĂ©veilla en Anibal un mĂ©lange de dĂ©termination et de peur. Depuis des semaines, il jonglait entre son rĂŽle dâentraĂźneur et les menaces omniprĂ©sentes des cartels. Cette proposition de Sophia Felix lui offrait une porte de sortie, mais elle venait avec un prix Ă©levĂ©.
Deux semaines. CâĂ©tait le temps quâil avait pour rassembler des informations, identifier les faiblesses de Miguel Gallindo, ou orchestrer sa chute. Mais le risque Ă©tait immense : une erreur, et il mettait sa vie et celle de sa famille en pĂ©ril.
Le lendemain, Anibal commença Ă Ă©laborer un plan. Avec lâaide discrĂšte des Sons of Anarchy et des Mayans, il rassembla des informations sur les opĂ©rations de Miguel Gallindo. Il savait quâil devait agir intelligemment, en fournissant Ă Sophia quelque chose de suffisamment solide pour quâelle agisse, mais sans compromettre sa propre sĂ©curitĂ©.
ParallÚlement, il renforça la protection autour de Yessica et Beatriz, toujours à Los Angeles. Il ne pouvait pas se permettre de les exposer davantage.
Quelques jours plus tard, Rafaela rappela Anibal pour sâassurer quâil progressait dans sa mission.
âAnibal, Ă©coute-moi. Ne prends pas de risques inutiles. Si tu as des doutes, dis-le-moi. Nous pouvons toujours tenter de renĂ©gocier.â
âNon, Rafaela,â rĂ©pondit-il fermement. âJe vais le faire. Mais je vais le faire Ă ma façon. Sophia veut des rĂ©sultats, je vais lui en donner, mais je ne sacrifierai ni ma famille, ni mes principes.â
Alors quâil continuait Ă jongler entre ses responsabilitĂ©s sportives et ce dĂ©fi personnel, Anibal se retrouva face Ă un dilemme moral. Livrer Miguel Gallindo signifiait trahir un homme, mais câĂ©tait aussi un moyen de mettre fin Ă un cercle vicieux qui menaçait tout ce quâil avait construit.
Mais une chose Ă©tait certaine : Anibal GuimarĂŁes nâĂ©tait pas homme Ă se laisser intimider. Il Ă©tait prĂȘt Ă jouer ce jeu dangereux, pourvu quâil en ressorte libre, prĂȘt Ă reprendre sa carriĂšre et Ă protĂ©ger ceux quâil aimait.
Le compte à rebours était lancé.
Tu sais me rappeler Ă quel moment de lâhistoire tu as dĂ©jĂ parlĂ© de Gallardo ? Me rappeler qui câest ? Jâarrive pas Ă comprendre ce quâAnibal peut faire
Aucun scrupules de trahir une pourriture ! Faut pas quâil rĂ©flĂ©chisse à ça, y a 0 dĂ©bats !
Par contre faut quâil rĂ©flĂ©chisse plutĂŽt Ă comment il va sây prendre sâil tient un minimum Ă son cul
(Un personnage badass du style un gars qui va aider Anibal Ă dĂ©busquer Gallindo mais avec une contrepartie (du style ne pas terminer sa saison dans un club / faire exprĂšs de perdre tel match sans que ce soit suspectâŠ).
Dans les dĂ©buts on va penser que ce mec est un vrai con mais en fait au fur et Ă mesure de lâhistoire on va se rendre compte que tout ce quâil fait est pour le bien dâAnibal.
Ce mec est du genre : 1 service rendu = 1 service en retour. Un peu Ă©gocentrique mais il peut faire bouger nâimporte quelle ficelle Bref, je mâĂ©gare du football lĂ )
Il serait capable de sâembrouiller avec le cartel du gruyĂšre.
RĂ©ponses aux lecteurs
@sythax en gros jâai introduit le cartel Gallindo Ă lâarrivĂ©e du coach en Colombie. Le cartel utilisait le club dâEnvigado pour blanchir son argent et faire de lâargent sur le dos des jeunes joueurs du club. la branche colombienne du cartel Ă©tait gĂ©rĂ© par Ezekiel Reyes qui avait finalement rachetĂ© Envigado. Ce dernier avait ensuite suivi Anibal au BrĂ©sil pour rĂ©gler ses comptes avec le coach et le jouer Anaya (dont le pĂšre Coco Cruz est un des lieutenant). Puis au Japon Reyes avait Ă©tĂ© Ă©liminĂ©.
De son cĂŽtĂ© Miguel Gallindo gĂšre le cartel dans sa branche principal au Mexique. Miguel est le fils dâEsteban Gallindo, le crĂ©ateur du cartel.
Donc sâil livre Miguel, les cartels sâentrebouffent entre eux et advienne que pourra.
@CaptainAmericka câet un peu lâĂ©tat dâesprit. Jâai pas chercher Ă ajouter de nouveaux personnages dans lâarc cartel qui est plutĂŽt fourni dĂ©jĂ .
@Parko-BzH Ce serait marrant ça
Dans une interview accordĂ©e Ă la presse portugaise avant le match retour de Ligue des Champions opposant le Benfica Ă la Juventus Turin, Pavel Nedved, vice-prĂ©sident de la Juventus, a abordĂ© divers sujets autour de la rencontre et du club. Si la discussion sâest dâabord centrĂ©e sur lâimportance de ce match dĂ©cisif, une question a ramenĂ© la conversation vers un sujet qui lui tient Ă cĆur : lâimpact et le futur dâAnibal GuimarĂŁes, lâancien entraĂźneur de la Juventus.
Avec un avantage acquis lors du match aller Ă Turin (2-1), la Juventus se dĂ©place Ă Lisbonne avec lâobjectif clair de valider son billet pour les quarts de finale.
âCâest un match crucial pour nous,â a dĂ©clarĂ© Nedved. âLe Benfica est une Ă©quipe redoutable, surtout Ă domicile. Leur pressing, leur vitesse sur les ailes⊠Nous savons que ce sera difficile. Mais nous avons confiance en notre groupe et en Jurgen Klopp pour gĂ©rer ce dĂ©fi.â
InterrogĂ© sur lâĂ©tat dâesprit de lâĂ©quipe, Nedved a soulignĂ© la confiance grandissante au sein du vestiaire :
âGagner Ă Turin a renforcĂ© notre mentalitĂ©. Mais rien nâest jouĂ©. En Ligue des Champions, chaque dĂ©tail compte, et Benfica ne nous donnera pas un centimĂštre de terrain.â
Lâinterview a ensuite pris une tournure plus personnelle lorsque le journaliste a Ă©voquĂ© lâinfluence quâAnibal GuimarĂŁes avait eue sur la Juventus lors de son passage au club. En 2033, Anibal avait pris les rĂȘnes de lâĂ©quipe pour une saison, marquant profondĂ©ment le groupe malgrĂ© son dĂ©part rapide.
âAnibal est un entraĂźneur exceptionnel,â a affirmĂ© Nedved avec conviction. âSon intelligence tactique, sa capacitĂ© Ă motiver les joueurs, et surtout son audace⊠Câest rare. Notre collaboration nâa durĂ© quâun an, mais lâimpact quâil a eu sur le club reste gravĂ©. Câest quelquâun qui laisse une empreinte partout oĂč il passe.â
Nedved a rappelĂ© les succĂšs obtenus sous la direction dâAnibal, notamment le titre obtenu en Europa League.
âCe que je regrette, câest que ça nâait pas durĂ© plus longtemps. Ă lâĂ©poque, les circonstances Ă©taient compliquĂ©es, mais je nâai aucun doute quâil aurait pu construire quelque chose de grand ici.â
Alors quâAnibal termine actuellement une aventure tumultueuse mais fructueuse Ă la tĂȘte des Xolos de Tijuana, Nedved sâest rĂ©joui de lâidĂ©e que lâentraĂźneur portugais puisse enfin revenir en Europe aprĂšs plusieurs annĂ©es dâexil.
âAnibal a prouvĂ© quâil pouvait gagner partout : en Europe, en AmĂ©rique du Sud, en Asie, et maintenant en AmĂ©rique du Nord. Peu dâentraĂźneurs peuvent se vanter dâun tel palmarĂšs. Il mĂ©rite une autre chance en Europe, et je suis certain que son retour en fin de saison attirera lâattention de nombreux clubs.â
Cependant, Nedved a tenu Ă clarifier une chose : un retour dâAnibal Ă la Juventus nâest pas Ă lâordre du jour.
âNous sommes trĂšs satisfaits de Jurgen Klopp. Il a apportĂ© une vision et une stabilitĂ© qui correspondent parfaitement Ă notre projet actuel. Mais cela ne change rien Ă lâestime que nous avons pour Anibal.â
En guise de conclusion, Nedved a adressé un message aux clubs européens :
âSi un club de standing cherche un entraĂźneur talentueux, il devrait sĂ©rieusement envisager la piste Anibal. Câest un leader, un tacticien, et surtout un homme capable de transformer un groupe. Il a beaucoup Ă donner, et jâespĂšre quâil trouvera un projet Ă la hauteur de son ambition.â
Ces dĂ©clarations de Pavel Nedved viennent ajouter une voix prestigieuse Ă ceux qui plaident pour le retour dâAnibal GuimarĂŁes en Europe. Alors que le coach portugais continue dâĂ©crire lâhistoire Ă Tijuana, ce soutien pourrait ĂȘtre dĂ©cisif dans les nĂ©gociations pour son avenir.
Une chose est certaine : le nom dâAnibal est sur toutes les lĂšvres, et son retour en Europe, attendu depuis longtemps, semble plus proche que jamais.
Câest bien beau de parler, maintenant, il faut agir. Quâun club pose ses couilles sur la table et fasse une proposition irrefusable Ă Anibal
Ah non non, ça suffit avec eux ! CâĂ©tait un gars qui venait de nâimporte oĂč ailleurs
Je rejoins @Rhino , ça serait bien quâun club vienne chercher Anibal ! Et que ce ne soit pas lui qui soit obligĂ© dâaller chercher un poste car il a assez prouvĂ© je trouve.