:storygreen: :s14: 🇲🇽 :groot_xolos: O Leão de Lisboa

[Sythax]

Ca aurait été drôle de voir son retour en Europe dans un club douteux

[Manthyz]

Franchement, au vu du parcours d’Anibal, son arrivée à Bastia n’aurait étonné personne …

[gwendil35]

Euh Thauvin, président d’un club ? S’il gère Bastia aussi que sa carrière de joueur, Bastia est dans la merde…

Autant rester à Tijuana, c’est plus sûr…

[CaptainAmericka]

Wouah on s’attendait à tous sauf à ça ! Encore une sacrée surprise de l’auteur ! Parce que passer du Celtic, Newcastle et Aston Villa à Bastia…

[Rhino]

Il a bien fait de ne pas aller à Bastia Anibal. Autant terminer le boulot au Mexique avant d’aller voir ailleurs

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Sythax le principe est tentant mais là ça collait pas trop. Par contre dans le futur une story avec Bastia why not.

@Manthyz c’est ce que je me suis dit en écrivant le post. En soit vu le parcours, même si sportivement c’est un soupçon louche tu te dit qu’in fine c’est possible.

@gwendil35 la balle perdue ! plus sûr je sais pas

@CaptainAmericka il prends des rateaux partout, une baisse de standing serait pas surprenante.

@Rhino je suis totalement de ton avis frérot.

- Anibal recommande Calvache à Hugo Viana -

En pleine saison tumultueuse à Tijuana, Anibal Guimarães trouva un moment pour appeler Hugo Viana, directeur sportif du Sporting Portugal et ami de longue date. Cet appel, initialement motivé par une envie de prendre des nouvelles et de partager des réflexions, devint rapidement une conversation révélatrice sur les défis que chacun affrontait dans leurs coins respectifs du globe.

Anibal commença par remercier Hugo pour son rôle dans son arrivée au Mexique. “Hugo, je ne te remercierai jamais assez pour cette opportunité. Tijuana a été un défi à bien des égards, mais c’est aussi un endroit où je peux prouver ce que je vaux. Pourtant…” Anibal fit une pause. “Les cartels, c’est une autre histoire.”

Il expliqua brièvement les menaces constantes, les précautions qu’il devait prendre au quotidien, et comment cette réalité pesait parfois sur sa concentration. Hugo, bien conscient des dangers liés à la région, écouta en silence avant de répondre “Anibal, je savais que ça allait être dur là-bas, mais pas à ce point. Si jamais tu veux rentrer en Europe, sache que tu auras toujours une porte ouverte ici, quoi qu’il arrive. Pleins de clubs seraient prêt à te prendre. J’entends beaucoup ton nom circuler pour la saison prochaine.”

Sur un ton plus léger, Anibal parla de l’aspect sportif. Il évoqua la bonne forme de son équipe, mettant en lumière la performance inattendue de João Infante, le légendaire attaquant qui l’avait rejoint pour une pige de six mois après une période compliquée en Angleterre. “Hugo, tu devrais voir João. Après ce qu’il a vécu à Leicester, je pensais qu’il aurait du mal à se relancer. Mais il a prouvé qu’il avait encore de l’essence dans le moteur. Il est devenu le leader dont cette équipe avait besoin.”

Hugo sourit à travers le téléphone, sachant à quel point Anibal avait toujours été un mentor pour Infante.

Mais la conversation prit une tournure plus sombre lorsque Hugo évoqua la situation du Sporting. “On traverse une période compliquée ici. On est 13èmes en championnat, éliminés de toutes les coupes… La fin de saison s’annonce terrible. Et pour être honnête, Thomas Franck est sur la sellette. On doit prendre une décision rapidement.”

Anibal, fidèle à son code d’honneur, refusa d’en savoir davantage. “Thomas est un confrère. Tant qu’il est en poste, je préfère ne pas m’en mêler. Ce n’est pas mon rôle. Mais je suis sûr que tu sauras prendre la bonne décision.”

Avant de conclure, Anibal partagea une observation importante avec Hugo. Il évoqua un jeune joueur qu’il avait repéré au Mexique : Freyman Calvache, un milieu de terrain colombien de 18 ans, formé à Envigado et prêté à un club mexicain.

“Hugo, écoute-moi bien. Si tu cherches à construire pour l’avenir, tu dois garder un œil sur ce gamin. Freyman Calvache est spécial. Il me rappelle Ilaix Moriba, mais avec encore plus de technique. Il a tout : vision, contrôle, et une maturité impressionnante pour son âge. Si tu le signes maintenant, tu pourrais faire un coup exceptionnel. Tu auras un milieu défensif pour les 10 prochaines années.”

Hugo nota immédiatement le nom, sachant qu’Anibal avait un œil affûté pour repérer les talents prometteurs. “Je vais envoyer quelqu’un le voir. Si c’est toi qui me le dis, je te fais confiance.”

Alors que l’appel touchait à sa fin, Anibal et Hugo se promirent de rester en contact. Malgré les océans qui les séparaient, leur amitié restait une ancre dans leurs vies mouvementées.

“Prends soin de toi là-bas, Anibal,” conclut Hugo. “Et souviens-toi, si jamais tu veux revenir, l’Europe t’attend.”

Anibal répondit avec le respect qui le caractérisait “Merci, Hugo. Mais pour l’instant, je dois finir ce que j’ai commencé ici. Prends soin de toi aussi. Et recrute ce gamin, tu ne le regretteras pas.”

En raccrochant, Anibal retourna à ses préparations pour le prochain match, le cœur un peu plus léger. Malgré les dangers qui l’entouraient, il savait qu’il avait des alliés de confiance, et que le football, malgré toutes ses complexités, restait une source d’espoir et d’opportunités.

- - - Freyman	Calvache - - -
Âge	17
Nationalité	Colombien
valeur	1.8-3.5M€
Salaire	13k€/m
Fin de contrat	31 Décembre 2037

	ANNEES				CLUB	APP	Buts	Assists
	35/36		[U18]		Envigado FC	25	6	18
	35/36		[PRO]		Envigado FC	36	0	1
	36/37		[PRO]		Xolos Tijuana	12	3	12
	35-37				TOTAL - - - - -	48	3	13

- Chapitre 472 - - Anibal refuse de rejoindre le SC Bastia -	- Chapitre 474 - Coming SOON - 11/01

[Sythax]

Le Sporting va mal ? Comme par hasard …

[CaptainAmericka]

Il lui conseille Calvache, le Sporting l’achète.
Le Sporting va mal, Franck est sur un siège éjectable.
Le Sporting embauche Anibal, Anibal retrouve Calvache.

[RedM1nd]

Ani qui vogue de zone à haut risque en zone à haut risque.
Avec toutes ces aventures, le seul endroit où Ani sera en sécurité c’est Monaco… Ou l’Island.

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Sythax pas notre business

@CaptainAmericka on vise un plus grand club nous. Si on meurt pas avant

@RedM1nd la prison c’est peut être plus sûr pour lui à ce stade

)

- Una nueva final continental para el Emperador -
- Nouvelle finale continentale pour l’Empereur -

En grande forme Tijuana a connu un mois d’Avril plus complexe en concédant plusieurs nuls, d’abord contre l’Atlético San Luis en championnat, au retour contre l’Atlas et contre Club Leon de nouveau en Liga MX. Pourtant Tijuana avait mis les ingrédients avec de nouveau buts de Rodrigo et Venegas et aussi un duo de buts de João Infante qui prouve à son coach qu’il en a encore sous le capot. Qualifié en demi finale de Ligue des Champions, le club frontalier s’est finalement repris contre Necaxa juste avnat le tirage continental à la faveur de buts de González mais aussi de Rodrigo et du jeune Calvache.

		Date		Club	Score	Buteurs
	J14	4/4/2037		Atlético San Luis	1 - 1	R.González (20)
	1/4	7/4/2037		Atlas Guadalajara	1 - 1	J.Infante (45)
	J15	10/4/2037		Club León	2 - 2	E.Venegas (32), J.Infante (40)
	J16	18/4/2037		Club Necaxa	1 - 3	C.González (51), R.González (57), F.Calvache (73)

- Sorteo de Champion’s League -
- Tirage des demi-finale -

Qualifié en demi après un quart de finale plus poussif contre l’Altas Guadalajara, Tijuana continue sa route et se hisse pour la 13ème fois de son histoire en demi finale de la Ligue des Champions mais aussi pour la troisième fois sur les cinq dernières saisons. En demi finale, le club Xolos affrontera le Club America. L’autre demi finale opposera Mazatlan au Tigres UANL.

Club America a du éliminer Kansas City en huitièmes de finale puis le CF Monterrey pour se hisser dans le dernier carré d’une compétition qu’il a déjà remporté cinq fois et dont il est le tenant du titre.

La demi finale aller fut d’ailleurs serré avec deux équipes refusant de prendre le moindre risque. L’attaque du Xolos pourtant si flamboyante depuis l’arrivée d’Infante et d’Anibal était comme tétanisée par l’enjeu. En championnat, Anibal fit tourner contre Juarez pour la dernière journée étant déjà qualifié pour les quarts de finale. Infante marqua le seul but à la neuvième minute sur un centre de Denis Vazquez.

La deuxième demi finale fut complétement folle avec Rodrigo González, capitaine légendaire du Xolos qui ouvrit le score après 15 minutes de jeu sur un service en retrait d’Infante. Quelques minutes plus tard America égalisa par un but de son capitaine superstar Cade Cowell. A la demi heure de jeu, Cruceño doubla la mise et redonna l’avantage aux Xolos sur un corner. Le point faible d’America leur couta un but et la qualification en finale. America ne revint jamais en seconde période. Avec cette victoire Tijuana se qualifie pour la première finale continentale de son histoire si on ne tiens pas compte de la Leagues Cup qui conernent uniquement les USA et le Mexique.

Pour l’anecdote c’est la huitième finale de coupe continentale consécutive pour Anibal Guimarães sur quatre continents.

		Date		Club	Score	Buteurs
	1/2	21/4/2037		Club América	0 - 0	Aucun
	J17	25/4/2037		FC Juárez	1 - 0	J.Infante (9)
	1/2	28/4/2037		Club América	2 - 1	R.González (15), L.Cruceño (36)

- Clasificación -
- Classement -

Clt			Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er	1/4		Puebla FC	17	11	3	3	32	21	+11	36
2e	1/4		Xolos Tijuana	17	10	3	4	29	17	+12	33
3e	1/4		Pumas de la UNAM	17	10	3	4	29	17	+12	33
4e	1/4		Deportivo Toluca	17	10	2	5	27	23	+4	32
5e	1/4		Deportivo Guadalajara	17	8	7	2	25	19	+6	31
6e	1/4		Club América	17	9	3	5	30	22	+8	30
7e	B1		CF Pachuca	17	9	2	6	20	20	0	29
8e	B1		Club León	17	8	3	6	21	25	-4	27
9e	B2		Tigres UANL	17	7	5	5	26	19	+7	26
10e	B2		CF Monterrey	17	5	8	4	18	15	+3	23
11e			Santos Laguna	17	5	4	8	20	19	+1	19
12e			Atlas Guadalajara	17	6	1	10	16	23	-7	19
13e			FC Juárez	17	4	4	9	18	22	-4	16
14e			Club Necaxa	17	3	7	7	18	23	-5	16
15e			Querétaro FC	17	4	4	9	14	22	-8	16
16e			Atlético San Luis	17	3	6	8	18	25	-7	15
17e			Mazatlán	17	3	5	9	15	28	-13	14
18e			Cruz Azul	17	1	4	12	14	30	-16	7

- Clasificación de goleadores -
- Classement des buteurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Rodrigo	González	44	17	4
			João	Infante	19 (1)	10	3
			Argenis	Belalcázar	19 (18)	9	5
			Jorge Alberto	Bustamante	19 (6)	8	2
			Eduardo	Venegas	44	6	5

- Clasificación de los assistencias -
- Classement des passeurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Lucio	Cruceño	46	4	16
			Argenis	Belalcázar	19 (18)	9	5
			Rodrigo	González	44	17	4
			César	Ortega	16 (22)	2	3
			Kevin	Marengo	6 (24)	0	3

- Chapitre 473 - - Anibal recommande Calvache à Viana -	- Chapitre 475 - Coming SOON - 12/05

[Manthyz]

Très belle qualification, Anibal est vraiment le spécialiste des coupes continentales !

Par contre en championnat, je suis étonné de voir Cruz Azul en fond de classement, pour moi c’était l’une des plus grosses écuries du pays …

[CaptainAmericka]

L’écart se resserre en championnat ! Tu vois, dans plus très longtemps tu recommenceras à n’avoir de pitié pour personne et écraser tout le monde ! Vilain !

Là, regarde ! La finale ? Tu vas n’en faire qu’une bouchée ! Vu le spécialiste que tu es !

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Manthyz merci chef. J’ai pas trop compris non plus mais je me suis pas posé de questions

@CaptainAmericka l’écart ne se resserra plus. Le championnat est fini. Maintenant ce sont les playoffs où on est qualifié pour les quarts de finale. La finale de Champion’s League ça devrait le faire c’est du 100% mexicain Contre un club mal classé en plus

- « Anibal mérite une nouvelle chance » -

Dans une interview riche et introspective accordée à Record, le célèbre quotidien sportif portugais, Ruben Amorim, désormais responsable de la formation des jeunes au Sporting CP, revient sur sa carrière d’entraîneur et sa transition vers un rôle plus en retrait. Il en profite pour évoquer l’évolution du football, sa relation avec son ami et rival Anibal Guimarães, ainsi que l’importance de lui offrir une nouvelle chance en Europe.

Ruben, vous êtes passé des bancs de touche à un rôle en coulisses au Sporting. Qu’est-ce qui vous a poussé à faire ce choix ?

Ruben Amorim : Après près de vingt ans à entraîner au plus haut niveau, j’ai senti que ma passion pour le terrain s’essoufflait. Au Sporting, à Séville, Wolfsburg, puis à Manchester United, j’ai connu des expériences incroyables, mais aussi des pressions écrasantes. À Manchester, notamment, les attentes étaient colossales, et malgré des résultats corrects, je n’ai pas réussi à insuffler une vision durable. Cette accumulation m’a fait perdre une partie de ma flamme. Aujourd’hui, je préfère investir mon énergie dans la formation des jeunes. C’est moins stressant, mais tout aussi gratifiant.

Quels souvenirs gardez-vous de votre parcours d’entraîneur, en particulier au Sporting ?

Le Sporting, c’est ma maison. Mon premier passage restera gravé dans mon cœur, notamment le titre de champion qui a mis fin à 19 ans de disette. Cela a été un moment magique, un lien indéfectible avec les supporters. À Séville, j’ai appris à gérer des personnalités fortes, à Wolfsburg, j’ai découvert une culture de travail différente notamment au contact de Luis Campos, avec tous les à côtés que cela comporte. Mais c’est à Manchester que j’ai compris mes limites. Le football anglais est une machine implacable, et malgré des moments forts, comme une qualification en Ligue des Champions, j’ai perdu ce “fougueux plaisir” qui me faisait vibrer.

Vous évoquez souvent Anibal Guimarães comme une figure importante dans votre carrière. Pourquoi ce lien si fort avec lui ?

Ah, Anibal… (Il sourit.) Notre histoire remonte à plus de 15 ans. Je l’ai repéré lors d’un stage à la Faculté de Lisbonne. Il était jeune, mais son intelligence du jeu et son approche tactique étaient déjà remarquables. On a tout de suite accroché. Avec le temps, il est devenu un adjoint puis mon poulain et un rival, puis un ami, et aujourd’hui, je le considère comme l’un des meilleurs entraîneurs que le football ait connu.

Vous dites qu’il est l’un des meilleurs, mais son parcours a été marqué par des controverses. Que pensez-vous de cela ?

Les controverses, c’est souvent le prix du succès. Anibal a eu des moments difficiles, comme l’affaire des transferts à Valladolid. Mais je tiens à être clair : je ne crois pas une seconde qu’il ait été impliqué dans des pratiques illégales. Il a toujours été un homme intègre. Ce qui s’est passé à Valladolid a été amplifié par des gens qui cherchaient un bouc émissaire. Anibal a payé un prix énorme pour des fautes qui n’étaient pas les siennes. Et je sais de quoi je parle. J’ai aussi cotoyé Campos et Mendes à Wolfsburg. Mais osez me dire qu’un entraineur qui a gagné sept compétitions continentales n’est pas l’un des meilleurs…

Record : Vous pensez donc qu’il mérite une nouvelle chance en Europe ?

Absolument. Anibal a passé plus de trois ans loin du continent, mais il n’a jamais cessé de prouver sa valeur. Regardez ce qu’il a accompli : des titres en Asie, des performances exceptionnelles avec des équipes qui n’étaient pas favorites. Il a tout gagné, mais il lui reste encore beaucoup à offrir. Le football européen serait idiot de ne pas lui donner une nouvelle chance.

Selon vous, pourquoi a-t-il autant de mal à revenir ?

C’est en partie dû à son image. Anibal a un tempérament fort, parfois perçu comme trop intense ou controversé. Il est direct, il ne joue pas les jeux politiques. Cela en fait une cible facile pour les critiques. Mais c’est aussi ce qui le rend unique. Il a une vision, une authenticité que peu d’entraîneurs possèdent aujourd’hui. On me parle parfois de se relations complexes avec les cartels. Mais ce que les gens oublient c’est qu’il a du composer avec eux pour faire son travail uniquement car il a été banni injustement en Europe…

Si un club vous demandait conseil, recommanderiez-vous Anibal ?

Sans hésitation. C’est un homme de défis, quelqu’un qui transforme des groupes en machines à gagner. Il sait tirer le meilleur de ses joueurs et impose un style clair. Si j’étais directeur sportif d’un grand club, je n’hésiterais pas une seconde à lui confier une équipe.

Revenons à vous. Que souhaitez-vous accomplir dans votre rôle actuel au Sporting ?

Mon objectif est simple : préparer les prochaines générations pour qu’elles brillent au plus haut niveau. Le Sporting a toujours été une pépinière de talents. Je veux m’assurer que cette tradition continue. Mon rôle est d’identifier les jeunes promesses, de les guider, et de collaborer avec l’équipe première pour une transition fluide.

Une dernière question : voyez-vous Anibal entraîner un jour le Sporting ?

Pourquoi pas ? Le Sporting est un club fait pour les hommes passionnés et ambitieux. Si un jour les chemins d’Anibal et du Sporting se croisent, je suis certain qu’il y écrirait une histoire mémorable. Mais nous avons un coach actuellement, mais je vois bien Ani revenir finir sa carrière au club.

Avec cette interview, Ruben Amorim montre qu’il n’a rien perdu de son sens de l’analyse et de sa passion pour le football. À travers ses mots, il offre un plaidoyer pour Anibal Guimarães, soulignant son talent et appelant le football européen à lui tendre la main. Un témoignage sincère qui rappelle que, dans ce monde souvent cynique, l’amitié et la reconnaissance mutuelle peuvent encore transcender les rivalités.

- Chapitre 474 - - nuvea final continental para Anibal -	- Chapitre 476 - Coming SOON - 12/01

[Rhino]

Ah oui, ça suce fort par ici Je ne sais pas ce qu’Anibal lui a fait, mais Amorim semble vraiment beaucoup l’aimer désormais ^^

[celiavalencia]

moi, je dirais qu’il a un grand ami qui le soutient

[Tiien]

Ah ouais Ruben, il l’a brossé dans le sens du poil!!! Il l’a mis sur un piédestal de fou!!!

[CaptainAmericka]

@Groot

Revenons à vous.

Jusqu’à lire ça, j’allais dire qu’eux aussi font comme tous les journalistes : ils font mine de s’intéresser à la personne en face d’eux pour ensuite dévier sur LE sujet qui fait le buzz actuellement et fera vendre le plus de papier
C’est quand même un peu ce qu’il s’est passé, t’as très bien retranscris une interview réelle

[toopil]

@Groot

Pour l’anecdote c’est la huitième finale de coupe continentale consécutive pour Anibal Guimarães sur quatre continents.

Il va toutes les remporter

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino oh tu sais la fellation c’est ma passion Ils se sont beaucoup rapprochés suite au procès d’Anibal.

@celiavalencia c’est ça. Faut pas oublier qu’Amorim de base c’est son ami et mentor.

@Tiien il l’apprécie beaucoup, s’il peut faire un peu le VRP pour son ami c’est cadeau

@CaptainAmericka merci c’est pas facile

@toopil on espère.

- R.Pimienta négocie avec Sofia Félix -

Sous la pression croissante des cartels à Tijuana, Anibal Guimarães en avait assez. Après des semaines à vivre dans la peur, protégé par les Sons of Anarchy et les Mayans, il décida de reprendre le contrôle. Plus question de subir ; désormais, il allait frapper fort pour assurer sa sécurité et celle de ses proches, quitte à jouer un jeu aussi dangereux qu’audacieux.

Anibal prit rendez-vous dans un endroit discret avec Rafaela Pimienta, son agent et avocate, la seule personne en qui il avait une confiance totale. Lorsque Rafaela arriva, elle fut frappée par le regard déterminé d’Anibal, plus dur et plus résolu que jamais. Assise face à lui, elle écouta avec attention tandis qu’il lui racontait ce qui s’était réellement passé au Japon, lors de l’incident qui avait changé sa vie et scellé son exil hors d’Europe.

“Tu te souviens d’Ezekiel Reyes ?” demanda Anibal, son regard fixé sur la table.

Rafaela hocha la tête. Elle savait qu’Ezekiel Reyes, une figure influente d’un cartel colombien, avait disparu mystérieusement lors d’une fusillade au Japon, un événement qui avait attiré des soupçons sur Anibal.

“C’était pendant un dîner. Reyes est venu pour m’intimider, pour me faire comprendre que je ne pourrais jamais m’éloigner des cartels. Mais il a sous-estimé la situation. Ichiban Kasuga était là, un homme que Reyes n’avait pas anticipé. Une fusillade a éclaté. Reyes n’a pas survécu.”

Rafaela fronça les sourcils : “Et qui a tiré le coup fatal, Anibal ?”

Anibal resta impassible. “Ça, Rafaela, seule Kasuga et moi le savons. Et ça restera ainsi.”

Anibal passa alors à l’objet de leur rencontre : il avait un plan. Si les menaces des Gallindo et des cartels rivaux se poursuivaient, il lui fallait neutraliser la source du danger. Pour cela, il comptait proposer un marché à Sophia Felix, cheffe du cartel Arellano Félix et rivale directe de Miguel Gallindo.

“Sophia veut ma tête parce qu’elle pense que je lui ai attiré des problèmes. Elle veut la paix pour son marché. Alors, je vais lui offrir quelque chose de mieux : la livraison de Miguel Gallindo. En échange, elle me laisse tranquille. Moi, je continue ma carrière, et elle obtient ce qu’elle veut.”

Rafaela fixa Anibal, médusée. “Tu veux livrer Gallindo ? Tu sais ce que ça implique ? Tu joues avec des gens qui n’ont aucune limite. Si tu rates ton coup, Anibal, c’est toi qui seras enterré sous un stade.”

Anibal, le visage fermé, répondit d’une voix calme mais tranchante “Je ne vais pas rester enfermé dans un centre d’entraînement pendant que des hommes en armes décident de ma vie. Je vais reprendre ma carrière, Rafaela. Je ne laisserai personne entraver mon retour en Europe. Personne.”

Rafaela, pragmatique mais loyalement engagée envers son client, comprit qu’elle ne pourrait pas le faire changer d’avis. Elle précisa néanmoins ses limites. “D’accord, Anibal. Je vais négocier avec Sophia Felix. Je lui ferai comprendre que ce marché est la meilleure option pour elle. Mais sache une chose : je ne me compromettrai pas pour toi. Je reste ton avocate, pas ta complice. Si ce plan dérape, je ne pourrai rien faire pour toi.”

Anibal acquiesça. C’était un risque qu’il acceptait pleinement. “Je comprends, Rafaela. Fais ce que tu dois faire. Dis-lui que je veux la paix, et qu’elle peut régner sur Tijuana sans entraves.”

Avec ce plan en marche, Anibal venait de s’engager dans une partie d’échecs mortelle. Il devait non seulement convaincre Sophia Felix qu’il était sincère, mais aussi s’assurer que Miguel Gallindo tombe dans le piège. En parallèle, il devait continuer à mener les Xolos vers leurs objectifs sportifs sans laisser transparaître la moindre faiblesse.

Il savait que ce plan risquait de compromettre sa réputation, mais pour lui, c’était le prix à payer pour retrouver sa liberté. Son avenir en Europe, la sécurité de sa famille, et sa dignité personnelle étaient en jeu.

Alors que Rafaela quittait la pièce, elle se tourna une dernière fois vers Anibal “Anibal, sois prudent. Un plan aussi dangereux ne laisse pas de place aux erreurs.”

“Je ne compte pas en faire, Rafaela,” répondit-il d’une voix froide. “Je n’ai plus le droit d’en faire.”

Cette décision marquait un tournant dans la vie d’Anibal Guimarães. Lui qui avait toujours affronté les défis sur le terrain devait désormais jouer une partie beaucoup plus complexe, où le moindre faux pas pouvait être fatal. Mais une chose était claire : Anibal ne comptait plus se laisser dicter sa vie.

- Chapitre 475 - - « Anibal mérite une nouvelle chance » -	- Chapitre 477 - Coming SOON - 12/01

[Manthyz]

Ça va finir comme ça à ce rythme