:storygreen: :s15: đŸ‡”đŸ‡č :grootsporting: O LeĂŁo de Lisboa

Mon dieu, ce film 
 Des roses et des Ă©pines 

On a pas le droit en prime le résumé du film ? :smiley:

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Drunk Sons Of Anarchy GIF by Mayans

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RĂ©ponses aux lecteurs

@CaptainAmericka ça va c’est que quelques mois :sac:

@Sythax :pasrire: flemme c’est un film pour zoulette

@alexgavi tu as la ref :heart: les prochaines devraient te plaire

- Anibal paye les Sons of Anarchy -

De retour Ă  Tijuana aprĂšs sa parenthĂšse familiale Ă  Los Angeles, Anibal GuimarĂŁes s’attelait Ă  prĂ©parer son Ă©quipe pour le huitiĂšme de finale de la Ligue des Champions de la CONCACAF contre Municipal. Mais sa routine fut brusquement interrompue lorsqu’il reçut un coup de fil de Alvarez, l’homme qu’il avait rencontrĂ© Ă  Los Angeles pour organiser sa sĂ©curitĂ©.

“Coach, j’ai tout mis en place,” annonça Alvarez d’un ton grave mais confiant. “Je viens d’arriver Ă  Tijuana avec un groupe, les Sons of Anarchy. Deux de nos gars et un alliĂ© des Mayans resteront avec toi en permanence. Ils te protĂ©geront coĂ»te que coĂ»te.”

Les Sons of Anarchy, un club de motards hors-la-loi originaire de Charming, Nevada, n’étaient pas exactement des professionnels de la sĂ©curitĂ© conventionnelle. Connu pour son passĂ© tumultueux, mĂȘlant trafics et rĂšglements de comptes, le groupe avait forgĂ© une rĂ©putation de loyautĂ© indĂ©fectible envers ceux qu’ils choisissaient de protĂ©ger.

Anibal, bien que surpris par cette approche inhabituelle, savait qu’il n’avait pas le luxe de refuser. Les tensions croissantes avec les cartels locaux rendaient indispensable une protection fiable. Et si les Sons avaient une chose en commun avec Anibal, c’était leur dĂ©termination Ă  ne jamais reculer face Ă  l’adversitĂ©.

Quelques heures aprĂšs cet appel, deux membres des Sons et un reprĂ©sentant des Mayans, leur ancien groupe rival devenu alliĂ©, se prĂ©sentĂšrent devant le centre d’entraĂźnement des Xolos. Les hommes – un certain Happy, Abel, et un Mayan nommĂ© Ángel Reyes (aucun lien avec Ezekiel) – n’étaient pas lĂ  pour plaisanter. Avec leurs vestes en cuir ornĂ©es de patchs et leurs motos rutilantes, leur simple prĂ©sence imposait le respect.

Happy, le plus direct du groupe, prit la parole en premier “Coach, Alvarez nous a dit que t’étais dans une situation dĂ©licate. Nous sommes lĂ  pour veiller sur toi. Pas de questions, pas de compromis. Tu fais ton boulot, nous faisons le nĂŽtre.”

MalgrĂ© leur apparence intimidante, Anibal remarqua rapidement que les hommes savaient se montrer discrets et professionnels. Ils Ă©tablissaient des rondes autour du centre d’entraĂźnement, surveillaient les trajets du coach, et restaient en alerte permanente. Leur rĂ©seau local, appuyĂ© par les Mayans, leur permettait d’anticiper les mouvements des cartels et d’éviter les situations Ă  risque.

Ángel Reyes, lui, se lia rapidement avec Anibal. Ancien joueur amateur, il partageait une passion pour le soccer et n’hĂ©sitait pas Ă  Ă©changer avec le coach sur les stratĂ©gies de jeu et les forces de l’équipe.

“Vous avez une bonne Ă©quipe, coach,” dit-il un jour en regardant une sĂ©ance d’entraĂźnement. “Mais ici, au Mexique, gagner ne se limite pas au terrain. Parfois, il faut aussi jouer en dehors.”

MalgrĂ© la tension sous-jacente, Anibal s’efforçait de maintenir une routine normale. Il ne voulait pas que la prĂ©sence des Sons et des Mayans perturbe son Ă©quipe ou dĂ©tourne l’attention de leurs objectifs sportifs. Lors des entraĂźnements et des briefings tactiques, il restait concentrĂ© sur les performances de ses joueurs.

Cependant, en privĂ©, il ne pouvait ignorer la gravitĂ© de la situation. Avec les Sons et les Mayans Ă  ses cĂŽtĂ©s, il savait que le danger Ă©tait bien rĂ©el. Mais leur protection lui offrait aussi une tranquillitĂ© d’esprit qui lui permettait de se concentrer sur son travail.

Un soir, alors qu’ils partageaient un repas improvisĂ© aprĂšs un entraĂźnement, Abel dĂ©clara “Coach, t’es peut-ĂȘtre pas du genre Ă  enfourcher une moto, mais t’as un esprit de guerrier. Les gars comme toi, on les protĂšge pas juste parce qu’on doit. On le fait parce qu’on le veut.”

Anibal, touchĂ© par ces mots, rĂ©pondit avec un sourire “Et moi, je suis content d’avoir des guerriers comme vous Ă  mes cĂŽtĂ©s.”

Alors qu’il prĂ©parait son Ă©quipe pour le prochain match, Anibal savait que sa situation Ă  Tijuana Ă©tait tout sauf ordinaire. Entre les enjeux sportifs et les menaces extĂ©rieures, il naviguait dans des eaux tumultueuses. Mais avec les Sons of Anarchy et les Mayans veillant sur lui, il avait trouvĂ© des alliĂ©s improbables dans cette lutte.

Pour Anibal, c’était une nouvelle preuve que le football, bien qu’un sport, pouvait parfois se mĂȘler aux rĂ©alitĂ©s les plus inattendues. Et avec son courage intact et son Ă©quipe en pleine ascension, il Ă©tait prĂȘt Ă  affronter tout ce que Tijuana avait Ă  offrir – sur et en dehors du terrain.

- Chapitre 468 -
- Des roses et des Ă©pines -
- Chapitre 470 -
Coming SOON - 08/01
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Et bah ça promet, la rĂ©putation du club ach ne risque pas de s’amĂ©liorer a ce rythme !

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Ca va encore ĂȘtre un bordel sanglant !

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S’il y a Happy, Anibal n’a rien à craindre :sweat_smile:
Anibal DOIT se procurer un Harley :grin:

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cool les Sons of Anarchy
Si le Cartel se pointe et fait le bordel , ça va ĂȘtre une boucherie avec les motards !

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Le multiverse :eyes:

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Aucun grand club europĂ©en n’acceptera de prendre un coach avec un tel passif lol
C’est de pire en pire, ce choix du Mexique va l’enterrer dans le monde du foot


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Sauf si l’auteur du rĂ©cit est le roi de l’entourloupe et nous trouve un subterfuge pour lui trouver un club europĂ©en ! Ah mais attends ! L’auteur du rĂ©cit EST le roi de l’entourloupe ! :pasrire:

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Manthyz c’est sĂ»r que c’était pas prĂ©vu :sac:

@Sythax tout de suite :no:

@alexgavi :pasrire: le best Happy, le pire c’est qu’IRL c’est un vrai outlaws d’un MC. Qui te dit qu’il en a pas une :hoho:

@celiavalencia tant qu’Anibal fait pas le con lui :pasrire:

@Rhino avoues t’aimes ça.

@Tiien en soit il a tué personne :sac: enfin au Mexique au moins :hoho:

- AnĂ­bal teje su red -
- Anibal tisse sa toile -

AprĂšs un premier bon mois Ă  la tĂȘte de Tijuana malgrĂ© une dĂ©faite initiale, Anibal reprenait la route des terrains avec un dĂ©placement au Guatemala. Comme prĂ©vu, son Ă©quipe pris vite l’avantage en contrĂŽlant le tempo du match. Rodrigo ouvrit le score Ă  la 20 Ăšme sur un contre initiĂ© par Calvache avant que deux minutes plus tard JoĂŁo Infante ne double la mise aprĂšs une longue session de possession marquĂ© par divers changement de rythme. En seconde pĂ©riode Infante s’offrait un doublĂ© sur un centre de Cruceño. Tijuana se mettait alors en position ultra favorable avant le retour.

Dans la foulĂ©e, Tijuana s’imposait en championnat Ă  la maison contre l’Atlas. Les Xolos ont cette fois patiemment attendu de fatiguer leur adversaire pour utiliser la fraicheur des entrants. Ânderson servait d’abord Argenis pour l’ouverture du score puis dans le temps additionnels Venegas dĂ©calait parfaitement Infante pour le deuxiĂšme but. Infante qui est en grande forme depuis son retour de blessure. Le portugais remis d’ailleurs ça au retour contre Municipal en ouvrant le score sur un centre de Rodrigo. Avant la pause GonzĂĄlez sĂ©curisa la qualification avec un coup de casque sur corner. En fin de match Ânderson puis Venegas ajoutĂšrent de l’ampleur au score pour envoyer Tijuana en quart de finale de cette Ligue des Champions.

Date Club Score Buteurs
:grootconcacaf: 1/8 3/3/2037 :municipal_gua: Municipal (GUA) 0 - 3 R.GonzĂĄlez (20), J.Infante (22, 71)
:grootmx: J10 6/3/2037 :atlas_guadalajara: Atlas Guadalajara 2 - 0 A.BelalcĂĄzar (77), J.Infante (90+4)
:grootconcacaf: 1/8 10/3/2037 :municipal_gua: Municipal (GUA) 4 - 0 J.Infante (28), C.González (41), Ânderson (78), E.Venegas (87)

- Sorteo de Champion’s League -
- Tirage des quarts de finale -

AprĂšs sa qualification aisĂ©e au Guatemala contre Municipal, Xolos Ă©tait donc au rendez-vous pour des quarts de finale. A ce stade il ne reste dĂ©jĂ  plus que des clubs amĂ©ricains et mexicains sans grande surprise. Tout les favoris sont encore en lice et lors du tirage, Xolos hĂ©rita d’un club qu’il connais bien avec l’Atlas Guadalajara qu’il viens de battre en Liga MX. Le club de Tijuana continue sa route avec son coach portugais plus dĂ©terminĂ© que jamais.

Avant d’attaquer les quarts, Tijuana se retrouvais opposer Ă  un autre club encore en cours en Ligue des Champions. Le club concĂ©da le nul avec un but en dĂ©but de match de Cruceño alignait dans l’axe sur corner avant qu’Argenis ne double la mise. Mais la dĂ©fense a pris l’eau et concĂ©dĂ© deux buts. Pour le match aller en Champion’s, Tijuana a rapidement Ă©tĂ© menĂ© au score avant d’égaliser au retour des vestiaires par Argenis. A l’aube du dernier quart d’heure, JoĂŁo Infante doublait la mise et permettait Ă  Tijuana de se rendre Ă  Guadalajara avec un but d’avance.

Le club s’inclina ensuite en championnat contre Pachuca malgrĂ© des buts de Calvache en premiĂšre pĂ©riode et de JoĂŁo Infante en dĂ©but de seconde pĂ©riode. Mais le club s’est repris lors de la 13Ăšme journĂ©e en faisant tomber Cruz Azul. Calvache qui se rĂ©vĂšle toujours plus en ouvrant le score avant que Rodrigo ne double la mise avant la pause. AsphyxiĂ© par Tijuana, Cruz Azul a coulĂ© dĂ©finitivement au retour des vestiaires avec un nouveau but d’Argenis. Avec cette nouvelle victoire, Xolos est enfin au mĂȘme nombre de matchs que ses adversaires et remonte Ă  la seconde place du classement Ă  quatres points de Pachuca. A quatres matchs de la fin de cette phase de championnat tout reste possible en vue des playoffs.

Date Club Score Buteurs
:grootmx: J11 14/3/2037 :tigres_uanl: Tigres UANL 2 - 2 L.Cruceño (11), A.Belalcåzar (43)
:grootconcacaf: 1/4 17/3/2037 :atlas_guadalajara: Atlas Guadalajara 2 - 1 A.BelalcĂĄzar (49), J.Infante (76)
:grootmx: J12 20/3/2037 :cf_pachuca: CF Pachuca 2 - 3 F.Calvache (28), J.Infante (52)
:grootmx: J13 25/3/2037 :cruz_azul: Cruz Azul 0 - 3 F.Calvache (25), R.GonzĂĄlez (45+1), A.BelalcĂĄzar (51)

- ClasificaciĂłn -
- Classement -

Clt
Équipe
J G N P Bm Be Diff Pts
1er 1/4 :cf_pachuca: CF Pachuca 13 9 2 2 18 11 +7 29
2e 1/4 :groot_xolos: Xolos Tijuana 13 8 1 4 22 13 +9 25
3e 1/4 :tigres_uanl: Tigres UANL 13 7 3 3 24 15 +9 24
4e 1/4 :puebla_fc: Puebla FC 13 7 3 3 23 17 +6 24
5e 1/4 :pumas_unam: Pumas de la UNAM 13 7 2 4 21 17 +4 23
6e 1/4 :deportivo_toluca: Deportivo Toluca 13 7 2 4 20 17 +3 23
7e B2 :america: Club América 13 6 3 4 23 18 +5 21
8e B2 :deportivo_guadalajara: Deportivo Guadalajara 13 5 6 2 17 15 +2 21
9e B1 :club_leon: Club LeĂłn 13 6 2 5 17 20 -3 20
10e B1 :cf_monterrey: CF Monterrey 13 4 6 3 14 11 +3 18
11e :atlas_guadalajara: Atlas Guadalajara 13 5 1 7 14 19 -5 16
12e :santos_laguna: Santos Laguna 13 4 2 7 16 15 +1 14
13e :fc_juarez: FC JuĂĄrez 13 3 4 6 14 16 -2 13
14e :club_nexcaca: Club Necaxa 13 2 6 5 13 17 -4 12
15e :atletico_san_luis: Atlético San Luis 13 3 3 7 14 19 -5 12
16e :mazatlan: MazatlĂĄn 13 2 5 6 11 22 -11 11
17e :queretaro_fc: Querétaro FC 13 2 4 7 10 17 -7 10
18e :cruz_azul: Cruz Azul 13 1 3 9 10 22 -12 6

- ClasificaciĂłn de goleadores -
- Classement des buteurs -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :mexico: Rodrigo GonzĂĄlez 36 14 3
:2nd_place_medal: :colombia: Argenis BelalcĂĄzar 11 (18) 10 5
:3rd_place_medal: :mexico: Jorge Alberto Bustamante 22 (5) 8 2
:portugal: JoĂŁo Infante 11 (1) 7 1
:mexico: Eduardo Venegas 36 5 5

- ClasificaciĂłn de los assistencias -
- Classement des passeurs -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :argentina: :mexico: Lucio Cruceño 39 3 14
:2nd_place_medal: :argentina: Kevin Marengo 6 (10) 0 5
:3rd_place_medal: :mexico: Eduardo Venegas 36 5 5
:colombia: Argenis BelalcĂĄzar 11 (18) 10 5
:mexico: Jonathan Gutiérrez 11 1 3
- Chapitre 469 -
- Anibal engage les Sons of Anarchy -
- Chapitre 471 -
Coming SOON - 09/01
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Ça va ĂȘtre dur de rivaliser avec Pachuca :frowning:

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Pachuca t’offre un semblant de concurrence. Qui ne durera pas longtemps on le sait tous :joy:

J. Infante se rappelle aux bons souvenirs de son entraineur, ça fait plaisir de voir qu’il en a encore sous le capot !

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Sythax pas forcĂ©ment y’a les playoffs derriĂšre !

@CaptainAmericka ça va durer le temps de la phase rĂ©guliĂšre quoi :pasrire: Infante me surprends mais son niveau n’est plus le mĂȘme. Mais c’est cool de faire un baroud d’honneur avec lui.

- Le Cartel Arellano met la tĂȘte d’Ani Ă  prix -

Depuis son altercation explosive avec Miguel Gallindo, Anibal GuimarĂŁes vivait une rĂ©alitĂ© de plus en plus pesante Ă  Tijuana. MalgrĂ© la protection renforcĂ©e des Sons of Anarchy et des Mayans, le coach portugais se retrouvait confinĂ© dans l’enceinte ultra-sĂ©curisĂ©e du centre d’entraĂźnement des Xolos. Le danger qui planait sur lui avait franchi un nouveau cap.

Un matin, alors qu’Anibal passait en revue les vidĂ©os de l’équipe de Municipal, son assistant Javi entra dans son bureau, le visage grave. “Coach, il y a une nouvelle inquiĂ©tante. Tu devrais Ă©couter ça.”

L’information tomba comme un couperet : Sofia Felix, la redoutable cheffe du cartel Arellano FĂ©lix, avait mis sa tĂȘte Ă  prix. Sofia, l’une des figures les plus influentes du trafic Ă  Tijuana, accusait Anibal d’avoir attirĂ© l’attention de cartels rivaux sur ses terres en provoquant l’altercation avec Miguel Gallindo.

Les rumeurs d’un conflit territorial alimentĂ© par la prĂ©sence d’Anibal avaient circulĂ© rapidement, et Sofia, rĂ©putĂ©e pour sa brutalitĂ© et son absence de pitiĂ©, ne comptait pas laisser passer cette “insulte”.

Cette nouvelle transforma le quotidien dĂ©jĂ  tendu d’Anibal en un vĂ©ritable huis clos. Le centre d’entraĂźnement devint une forteresse, entourĂ©e de camĂ©ras, de vigiles, et d’un pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ© renforcĂ© par les Sons et les Mayans. Tig, homme de main des Sons, prit les choses en main “Coach, Ă  partir de maintenant, tu ne sors plus sans un convoi. Et crois-moi, si Sofia a mis un contrat sur toi, c’est que les choses vont devenir sĂ©rieuses.”

Mais pour Anibal, ce confinement avait un goĂ»t amer. Lui, qui avait bĂąti sa carriĂšre en mĂȘlant son amour pour le football Ă  son goĂ»t pour les aventures audacieuses, se retrouvait dĂ©sormais prisonnier de son propre succĂšs. “Je suis lĂ  pour entraĂźner une Ă©quipe, pas pour me cacher derriĂšre des murs,” confia-t-il Ă  Ángel Reyes, un Mayan devenu son alliĂ© de confiance.

“Tu restes en vie, coach, c’est tout ce qui compte,” rĂ©pondit Ángel avec un calme pragmatique. “Tes gars sur le terrain ont besoin de toi. La ville te respecte dĂ©jĂ  pour ça.”

MalgrĂ© ces pressions, Anibal continua Ă  travailler d’arrache-pied avec son Ă©quipe. Les Xolos se prĂ©paraient pour leur match contre Municipal, et le coach refusait de laisser la peur dicter sa conduite. Il passait ses journĂ©es Ă  analyser les faiblesses adverses et Ă  perfectionner les automatismes de son Ă©quipe.

Mais la nuit, seul dans son bureau ou dans sa chambre sĂ©curisĂ©e, il ne pouvait s’empĂȘcher de repenser Ă  la situation. Des images de Sofia Felix et de sa rĂ©putation impitoyable lui venaient en tĂȘte. Il savait que tant qu’elle resterait une menace, son avenir Ă  Tijuana serait toujours en sursis.

Un soir, Anibal trouva un moment de calme pour appeler Yessica, sa femme, restĂ©e Ă  Los Angeles avec leur fille Beatriz. Il n’entra pas dans les dĂ©tails de la menace pesant sur lui, prĂ©fĂ©rant parler de leur famille et de ses progrĂšs avec les Xolos. “Quand est-ce que tu viens nous voir ?” demanda Yessica, inquiĂšte mais rĂ©confortante. “BientĂŽt, je l’espĂšre,” rĂ©pondit-il. “Mais pour l’instant, j’ai un boulot Ă  finir ici.”

Cette conversation lui rappela pourquoi il continuait Ă  se battre. Sa famille Ă©tait son ancre, et chaque victoire avec Tijuana Ă©tait une façon de prouver qu’il pouvait surmonter n’importe quelle adversitĂ©.

Pendant ce temps, les Sons of Anarchy et les Mayans Ă©laborĂšrent un plan pour protĂ©ger Anibal tout en neutralisant la menace posĂ©e par Sofia Felix. Alvarez, fidĂšle Ă  sa maniĂšre directe, fit un point clair avec le coach “Coach, t’as deux choix. Soit tu restes planquĂ© ici jusqu’à ce que les choses se calment, soit on prend les devants. Mais dans les deux cas, tu dois continuer Ă  faire ce que tu fais de mieux : entraĂźner.”

De son cÎté, Ángel Reyes entama des discussions discrÚtes avec des contacts au sein du cartel Arellano Félix pour tenter de désamorcer la situation. Mais il était clair que Sofia ne se laisserait pas convaincre facilement.

Alors que le match contre Municipal approchait, Anibal savait que son plus grand dĂ©fi n’était pas sur le terrain, mais dans l’ombre. Chaque jour passĂ© Ă  Tijuana Ă©tait une bataille pour protĂ©ger non seulement son Ă©quipe, mais aussi lui-mĂȘme.

Pourtant, fidĂšle Ă  sa nature rĂ©siliente, il refusa de cĂ©der Ă  la peur. Il se concentra sur ce qu’il pouvait contrĂŽler : son Ă©quipe, ses joueurs, et leur quĂȘte de succĂšs en Ligue des Champions de la CONCACAF.

Dans les gradins, les supporters des Xolos continuaient de scander son nom, ignorant peut-ĂȘtre l’ampleur du danger qui l’entourait ou y Ă©tait un peu trop habituĂ©. Pour eux, Anibal Ă©tait un hĂ©ros. Pour lui, il Ă©tait juste un homme essayant de faire son travail dans une ville oĂč le football et la violence s’entremĂȘlaient dangereusement.

- Chapitre 470 -
- Anibal teje su red-
- ZOOM: Rodrigo gonzalez -
Coming SOON - 09/01
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Sofia Felix, aussi belle que dangereuse visiblement :eyes: Anibal devrait se mĂ©fier, il n’y a que les chats qui ont 9 vies

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Rhino coquinou va :pasrire:

-ZOOM-
5 choses Ă  savoir sur Rodrigo Gonzalez

- - - Rodrigo
GonzĂĄlez - - -
Âge
28
Nationalité :mexico: Mexicain
valeur 12-14M€
Salaire 237k€/m
Fin de contrat 31 DĂ©cembre 2038
:desktop_computer:
LĂ©gendaire Capitaine :four_star: :four_star:
ANNEES CLUB APP Buts Assists
:mexico: 23/37 :grootmx: [U18] :groot_xolos: Xolos Tijuana 116 19 9
:mexico: 23/37 :grootmx: [PRO] :groot_xolos: Xolos Tijuana 445 149 9
:mexico: 35/37 :concacaf: [A] :mexico: Mexique 2 0 0
23-37 TOTAL - - - - - 445 149 9

À 28 ans, Rodrigo Gonzalez, l’ailier explosif du Xolos Tijuana, est bien plus qu’un simple joueur de football. NĂ© Ă  Tijuana dans un cadre privilĂ©giĂ©, il incarne la technique et la vivacitĂ© sur le terrain tout autant que la discipline et l’adversitĂ© dans sa vie personnelle lui qui a toujours rĂ©sistĂ© Ă  l’influence des cartels. Voici un portrait en cinq dimensions de l’un des talents les plus captivants du Mexique.

Une légende vivante à seulement 28 ans

NĂ© Ă  Tijuana, Rodrigo GonzĂĄlez a inscrit son nom en lettres d’or dans l’histoire des Xolos Tijuana. À seulement 28 ans, l’ailier est dĂ©jĂ  une lĂ©gende incontestable du club. Avec 150 buts inscrits en 445 apparitions, il est le meilleur buteur de l’histoire des Xolos et l’un des piliers de la Liga MX. FormĂ© au club, Rodrigo est l’incarnation mĂȘme de la fidĂ©litĂ© et du dĂ©vouement. Sa capacitĂ© Ă  se surpasser lors des grands moments a offert aux Xolos des victoires mĂ©morables et des titres importants, dont un championnat historique en 2030.

Capitaine des Xolos et figure nationale

Rodrigo n’est pas seulement une icĂŽne locale, il est aussi le premier joueur formĂ© Ă  Tijuana Ă  devenir un international mexicain. Son brassard de capitaine en club lui a ouvert les portes de la sĂ©lection nationale, oĂč il a rapidement gagnĂ© le respect de ses coĂ©quipiers. Ses performances sous le maillot des AztĂšques ont prouvĂ© qu’il Ă©tait un joueur de classe mondiale en seulement deux apparitions. Être la premiĂšre Ă©toile mexicaine issue d’un club traditionnellement perçu comme outsider a renforcĂ© sa lĂ©gende et motivĂ© de nombreux jeunes joueurs de Tijuana Ă  croire en leurs rĂȘves.

Un hommage à Messi gravé sur son dos

Grand fan de Lionel Messi, Rodrigo Gonzålez porte fiÚrement le numéro 10, un choix qui remonte à ses débuts dans les équipes de jeunes. Inspiré par les exploits de la Pulga, Rodrigo a modelé son style de jeu autour de la vision, des dribbles et des frappes chirurgicales qui caractérisaient son idole. Si Messi est une légende mondiale, Rodrigo est devenu le Messi de Tijuana, une comparaison que ses supporters ne manquent jamais de souligner.

Un héritier des Mayas

Peu de gens le savent, mais Rodrigo GonzĂĄlez est le descendant d’une lignĂ©e royale maya, un hĂ©ritage qu’il revendique avec fiertĂ©. Son ancĂȘtre aurait Ă©tĂ© un leader local dans la rĂ©gion du YucatĂĄn avant de s’installer Ă  Tijuana. Rodrigo considĂšre cette filiation comme une force et une responsabilitĂ©. Il a mĂȘme tatouĂ© un serpent Ă  plumes, symbole de Quetzalcoatl, sur son avant-bras pour honorer ses ancĂȘtres. Dans des interviews, il Ă©voque souvent cette connexion spirituelle, expliquant que cela l’aide Ă  garder les pieds sur terre malgrĂ© sa notoriĂ©tĂ©.

Le crocodile : un surnom à la hauteur de sa férocité

SurnommĂ© “El Cocodrilo”, Rodrigo GonzĂĄlez a gagnĂ© ce titre pour son approche impitoyable sur le terrain. Comme un crocodile, il ne laisse aucun record sur son passage. Meilleur buteur de l’histoire des Xolos, il est Ă©galement le dĂ©tenteur du record de passes dĂ©cisives et d’apparitions sous le maillot du club. Chaque saison, il repousse les limites, dĂ©vorant littĂ©ralement ses adversaires avec sa technique et sa hargne. Son surnom, criĂ© par les supporters Ă  chaque but, est devenu un symbole de fiertĂ© pour Tijuana, une ville souvent marginalisĂ©e mais qui brille grĂące Ă  son hĂ©ros local.

Rodrigo GonzĂĄlez n’est pas seulement un joueur de football. Il est une lĂ©gende vivante, un hĂ©ritier d’un riche passĂ©, et une figure emblĂ©matique du Mexique moderne.

- Chapitre 470 -
- Anibal teje su red -
- Chapitre 472 -
Coming SOON - 10/01
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:fap:

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Anibal va se faire enlever, et finir comme Emilien dans Taxi 3 (la scĂšne avec la dame asiatique) :sweat_smile:

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Ca va finir qu’un beau matin, Anibal se rĂ©veillera avec un balle dans la tĂȘte (enfin, il se rĂ©veillera plus trop Ă  vrai dire
 :sac: ) et fin de l’histoire, sans nous prĂ©venir ni rien !

Fait attention @Groot , on va perdre @toopil , il va passer dans l’autre camp vu la Sofia que tu viens de nous pondre :joy:

2 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@toopil gros coquin va :pasrire:

@alexgavi c’est aussi une idĂ©e sĂ©duisante :pasrire:

@CaptainAmericka non non n’abusons pas :hoho: je vois ça, sa bite dĂ©borde.

- Anibal refuse de rejoindre le SC Bastia -

Alors que la pression montait au Mexique, entre les succÚs des Xolos de Tijuana sur le terrain et les menaces qui pesaient sur lui en dehors, Anibal Guimarães reçut une proposition inattendue : une opportunité de quitter le chaos mexicain pour rejoindre un projet ambitieux en France, celui du SC Bastia.

Le SC Bastia, engagĂ© dans une lutte pour la montĂ©e en Ligue 1, voyait en Anibal le profil idĂ©al pour incarner son projet. Sous la prĂ©sidence de Florian Thauvin, ancien joueur emblĂ©matique du club, les Corses nourrissaient de grandes ambitions. Avec des capitaux importants et une Ă©quipe talentueuse, ils rĂȘvaient de retrouver l’élite française.

Thauvin, connu pour son franc-parler et sa passion pour le club, fut immĂ©diatement sĂ©duit par la personnalitĂ© d’Anibal. Son tempĂ©rament de feu et sa rĂ©putation de meneur d’hommes correspondaient parfaitement Ă  l’identitĂ© bastiaise, un mĂ©lange de fiertĂ© locale et de combativitĂ© sans faille.

Dans un appel, Thauvin dĂ©clara “Coach, ici Ă  Bastia, on aime les guerriers. Tu as prouvĂ© que tu sais gĂ©rer des Ă©quipes dans des contextes compliquĂ©s. On veut que tu sois celui qui ramĂšne le Sporting en Ligue 1.”

Bien que la proposition de Bastia fĂ»t tentante, Rafaela, l’agente d’Anibal, le mit en garde. Selon lui, les capitaux derriĂšre le SC Bastia, bien qu’importants, provenaient de sources douteuses. Des rumeurs de liens avec des milieux opaques en Europe et au Moyen-Orient circulaient depuis un certain temps.

“Ani,” dit Rafaela, “je sais que la France semble plus sĂ»re, mais Bastia, c’est un nid d’incertitudes. On sait d’oĂč vient l’argent lĂ -bas, et ce n’est pas mieux que les cartels ici. Si tu vas lĂ -bas, tu risques d’échanger un problĂšme contre un autre.”

Ces paroles firent rĂ©flĂ©chir Anibal. MalgrĂ© les difficultĂ©s rencontrĂ©es Ă  Tijuana, il avait construit une relation solide avec son Ă©quipe et voyait dans son engagement un dĂ©fi qu’il se devait de relever jusqu’au bout.

FidĂšle Ă  son Ă©thique de travail et Ă  son dĂ©sir d’honorer ses engagements, Anibal dĂ©cida de rester Ă  Tijuana pour terminer la saison avec les Xolos. Il savait que quitter le Mexique Ă  ce moment prĂ©cis aurait pu ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme un abandon, non seulement par ses joueurs, mais aussi par les supporters qui commençaient Ă  le considĂ©rer comme un symbole de rĂ©silience.

Dans une conversation privĂ©e avec Rafaela, Anibal expliqua sa dĂ©cision “Je comprends tes rĂ©serves, et je les partage. Mais mĂȘme sans ça, partir maintenant serait contre tout ce que je crois. J’ai acceptĂ© un dĂ©fi ici, et je compte le relever jusqu’au bout. Peu importe les risques.”

La nouvelle de l’intĂ©rĂȘt de Bastia parvint aux dirigeants des Xolos, qui furent soulagĂ©s de voir Anibal refuser l’offre. En signe de soutien, le prĂ©sident du club promit de renforcer les mesures de sĂ©curitĂ© autour du coach, assurant que tout serait mis en Ɠuvre pour qu’il puisse se concentrer sur le terrain.

Les joueurs, eux aussi, exprimĂšrent leur gratitude et leur admiration pour la dĂ©cision d’Anibal. Rodrigo Gonzalez, leader charismatique de l’équipe, rassembla le vestiaire pour adresser un message au coach “Coach, tu es l’un des nĂŽtres maintenant. On ira jusqu’au bout ensemble, quoi qu’il arrive.”

Alors que la saison des Xolos entrait dans une phase cruciale, Anibal se plongea entiÚrement dans son travail. Le huitiÚme de finale de Ligue des Champions de la CONCACAF contre Municipal approchait, et il savait que chaque détail comptait pour atteindre les objectifs fixés.

Si l’offre de Bastia avait briĂšvement tentĂ© Anibal, elle n’avait fait que renforcer sa conviction : il ne quitterait pas Tijuana avant d’avoir accompli ce qu’il s’était promis de rĂ©aliser. Pour lui, l’honneur et la loyautĂ© primaient sur tout, mĂȘme dans les circonstances les plus complexes.

Et tandis que les lumiĂšres du Stade Caliente s’apprĂȘtaient Ă  briller pour les matchs Ă  venir, Anibal savait qu’il avait pris la bonne dĂ©cision, celle de rester fidĂšle Ă  lui-mĂȘme et Ă  son Ă©quipe.

- Chapitre 471 -
- Le cartel Arellano met la tĂȘte d’Ani Ă  prix -
- Chapitre 473 -
Coming SOON - 10/01
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