:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

Avec ce qu’ils ont traversĂ©, elle a de quoi s’inspirer pour ses futurs rĂŽles ! :joy:

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Qui fait le malin
 tombe dans le ravin Monsieur Reyes et lĂ  en l’occurrence c’est entre 4 planches ! Faut Ă©viter de se mettre ces gens Ă  dos, ça pourrait mal se terminer pour Anibal.
Le Guimares auraient pu prendre une nounou japonnaise. La petite serait devenue bilingue en un rien de temps.

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Sythax y’a de l’idĂ©e en vrai. je garde au chaud :sac: Imagine elle fait une carriĂšre X :pasrire:

@CaptainAmericka Tu m’étonnes :hoho:

@Lincoln6Echo Anibal doit faire attention tout de mĂȘme. Elle a un an la petite c’est encore un peu tĂŽt :sac:

- 掟ć€Șäž€ăŒăƒ©ăƒ•ă‚Ąă‚šăƒ«ăźæœŸé™ä»˜ăç§»ç±ă‚’èŠæ±‚ -
- Taichi Hara demande le transfert de Rafael -

Nagoya, capitale de la prĂ©fecture d’Aichi, baignait dans l’atmosphĂšre vibrante de l’Automne. La ville Ă©tait en effervescence, avec des pĂ©tales de cerisiers flottant doucement au vent, et un sentiment palpable de renouveau. Mais il y avait une autre raison pour laquelle les habitants Ă©taient particuliĂšrement excitĂ©s cette annĂ©e : un jeune prodige du football, Rafael, prĂȘtĂ© par Palmeiras Ă  Nagoya pour une saison, brillait sur tous les terrains du Japon. À seulement 20 ans, il avait dĂ©jĂ  marquĂ© 43 buts, un exploit qui ne pouvait pas passer inaperçu.

Pour Taichi Hara, la lĂ©gende vivante du football japonais, ce phĂ©nomĂšne ne pouvait que l’impressionner. Hara avait marquĂ© l’histoire du football avec ses exploits Ă  la fois en club et en Ă©quipe nationale, devenant un modĂšle pour toute une gĂ©nĂ©ration de jeunes joueurs. Mais ce qui l’attirait le plus dans l’histoire de Rafael, c’était la puretĂ© de son jeu, son esprit combatif, et son incroyable sens du but. Taichi voyait en lui ce qu’il avait Ă©tĂ© Ă  son Ă©poque : un talent brut, un diamant encore Ă  polir, mais dont l’éclat ne pouvait ĂȘtre ignorĂ©.

Rafael avait dĂ©butĂ© sa saison Ă  Nagoya dans l’ombre des grands noms du club, mais son ascension avait Ă©tĂ© fulgurante. AprĂšs seulement quelques mois, il Ă©tait devenu le hĂ©ros des supporters, des chants rĂ©sonnant Ă  chaque match oĂč il inscrivait un but. Le jeune brĂ©silien Ă©tait rapidement devenu une idole, non seulement pour sa technique impeccable, mais aussi pour son humilitĂ© et son dĂ©sir constant d’apprendre.

Cependant, derriĂšre cette montĂ©e en puissance, un dilemme se posait. Rafael avait Ă©tĂ© prĂȘtĂ© pour une seule saison, et son retour Ă  Palmeiras Ă  la fin de l’annĂ©e semblait inĂ©vitable. Les dirigeants de Nagoya, bien qu’en admiration devant lui, ne pouvaient rien faire contre la politique du club brĂ©silien. Mais Taichi Hara, avec sa vision unique du football, pensait qu’il y avait quelque chose Ă  faire pour garder ce jeune talent au Japon.

Un soir d’automne, aprĂšs un match particuliĂšrement intense oĂč Rafael avait inscrit un doublĂ© lors d’une victoire contre un rival de longue date, Taichi se rendit dans les coulisses du stade de Nagoya. Il voulait rencontrer ce jeune attaquant, comprendre la personne derriĂšre les buts spectaculaires. À l’intĂ©rieur des vestiaires, Rafael Ă©tait entourĂ© de ses coĂ©quipiers, mais lorsqu’il aperçut Taichi, une certaine gravitĂ© se fit sentir. Taichi Hara n’était pas seulement une lĂ©gende du football japonais, mais un mentor pour toute une gĂ©nĂ©ration.

“Rafael,” commença Taichi, un sourire en coin, “tu joues comme si tu Ă©tais dĂ©jĂ  dans les plus grands clubs du monde. C’est un honneur de te voir Ă©voluer.”

Le jeune brĂ©silien rougit lĂ©gĂšrement, mais rĂ©pondit avec un respect Ă©vident. “Merci, Monsieur Hara. C’est un rĂȘve de jouer ici, au Japon. J’ai appris tellement cette saison, plus que je n’aurais jamais imaginĂ©.”

Mais Hara n’était pas lĂ  pour parler de son admiration pour le talent de Rafael. Il avait un objectif prĂ©cis. “Je veux que tu restes au Japon. Ce pays a besoin de joueurs comme toi, et ton potentiel ici ne devrait pas ĂȘtre limitĂ© Ă  une seule saison.”

Rafael, surpris par la proposition, posa la question qui brĂ»lait sur ses lĂšvres : “Mais
 mon avenir est Ă  Palmeiras, Monsieur Hara. Je suis prĂȘtĂ© ici, je ne sais pas ce que le club dĂ©cidera pour moi.”

“Je sais,” rĂ©pondit Taichi avec un sĂ©rieux inhabituel, “mais j’ai vu beaucoup de jeunes talents dans ma carriĂšre, et il n’y a rien de plus important que de croire en toi-mĂȘme et de rester lĂ  oĂč tu peux grandir pleinement. Tu as les qualitĂ©s pour briller non seulement en Japan League, mais aussi en Europe, et mĂȘme dans l’équipe nationale japonaise. Si tu veux, je peux t’aider Ă  nĂ©gocier un futur ici, Ă  prolonger ton sĂ©jour au Japon et Ă  bĂątir quelque chose de spĂ©cial.”

Rafael resta pensif un moment. L’idĂ©e de prolonger son aventure au Japon Ă©tait sĂ©duisante, mais elle comportait aussi son lot d’incertitudes. Le football Ă©tait un monde impitoyable, et il savait que sa carriĂšre devait avancer au-delĂ  de cette saison Ă  Nagoya. Mais une partie de lui, celle qui s’était attachĂ©e Ă  cette culture, Ă  ces supporters qui le portaient, et Ă  la discipline japonaise, trouvait l’idĂ©e de rester ici trĂšs sĂ©duisante.

“Vous me proposez de rester au Japon
 pour combien de temps ?” demanda Rafael, l’esprit rempli de questions.

“Autant de temps que tu le souhaites,” rĂ©pondit Taichi. “Ce n’est pas une simple question de contrat ou d’argent. C’est une question de carriĂšre, de culture, et de ce que tu veux vraiment devenir. J’ai le bras long tu sais et je peux aider, pour nĂ©gocier avec Palmeiras et Nagoya, pour voir avec la fĂ©dĂ©ration japonaise pour la sĂ©lection
 Le football japonais a besoin de ta fraĂźcheur et de ton talent. En retour, tu pourrais dĂ©couvrir ici tout ce que l’Europe ne t’offrira pas.”

Les deux hommes continuĂšrent Ă  discuter jusqu’à tard dans la nuit, Ă  Ă©changer leurs visions du football, de la discipline et du travail d’équipe. Pour Rafael, chaque mot de Taichi rĂ©sonnait profondĂ©ment. Il se rendait compte qu’il avait bien plus Ă  apprendre de ce pays et de son football que ce qu’il avait imaginĂ©. Son talent seul ne suffirait pas Ă  faire une grande carriĂšre. Il fallait aussi comprendre la discipline, l’humilitĂ©, et le respect des valeurs qui faisaient la beautĂ© du jeu au Japon.

Anibal de son cĂŽtĂ© avait eu vent de ces manoeuvres et s’inquiĂ©tait de l’ingĂ©rence de la fĂ©dĂ©ration japonaise dans ce dossier. Promettre tant de choses Ă  un jeune talent Ă©tait trĂšs risquĂ©. Et ce qui Ă©tait sĂ»r c’est qu’il ne voulait pas y ĂȘtre mĂ©lĂ©.

- Chapitre 444 -
- Yessica veut reprendre sa carriĂšre -
- Chapitre 446 -
Coming SOON - 26/12
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L’élimination de Reyes est une bonne chose. Un coup de Ichiban et sa batte ? Rien n’est prouvĂ©.
Le jeune Rafael fait face aux chants des sirĂšnes. Certains veulent lui faire toucher le soleil avant que la pluie ne vienne :hushed:

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C’est que Rafael n’a pas le niveau ni le potentiel pour un jour ĂȘtre sĂ©lectionnĂ© par le BrĂ©sil ?