:storygreen: :s22: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Avec ce qu’ils ont traversĂ©, elle a de quoi s’inspirer pour ses futurs rĂŽles ! :joy:

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Qui fait le malin
 tombe dans le ravin Monsieur Reyes et lĂ  en l’occurrence c’est entre 4 planches ! Faut Ă©viter de se mettre ces gens Ă  dos, ça pourrait mal se terminer pour Anibal.
Le Guimares auraient pu prendre une nounou japonnaise. La petite serait devenue bilingue en un rien de temps.

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Réponses aux lecteurs

@Sythax y’a de l’idĂ©e en vrai. je garde au chaud :sac: Imagine elle fait une carriĂšre X :pasrire:

@CaptainAmericka Tu m’étonnes :hoho:

@Lincoln6Echo Anibal doit faire attention tout de mĂȘme. Elle a un an la petite c’est encore un peu tĂŽt :sac:

- 掟ć€Șäž€ăŒăƒ©ăƒ•ă‚Ąă‚šăƒ«ăźæœŸé™ä»˜ăç§»ç±ă‚’èŠæ±‚ -
- Taichi Hara demande le transfert de Rafael -

Nagoya, capitale de la prĂ©fecture d’Aichi, baignait dans l’atmosphĂšre vibrante de l’Automne. La ville Ă©tait en effervescence, avec des pĂ©tales de cerisiers flottant doucement au vent, et un sentiment palpable de renouveau. Mais il y avait une autre raison pour laquelle les habitants Ă©taient particuliĂšrement excitĂ©s cette annĂ©e : un jeune prodige du football, Rafael, prĂȘtĂ© par Palmeiras Ă  Nagoya pour une saison, brillait sur tous les terrains du Japon. À seulement 20 ans, il avait dĂ©jĂ  marquĂ© 43 buts, un exploit qui ne pouvait pas passer inaperçu.

Pour Taichi Hara, la lĂ©gende vivante du football japonais, ce phĂ©nomĂšne ne pouvait que l’impressionner. Hara avait marquĂ© l’histoire du football avec ses exploits Ă  la fois en club et en Ă©quipe nationale, devenant un modĂšle pour toute une gĂ©nĂ©ration de jeunes joueurs. Mais ce qui l’attirait le plus dans l’histoire de Rafael, c’était la puretĂ© de son jeu, son esprit combatif, et son incroyable sens du but. Taichi voyait en lui ce qu’il avait Ă©tĂ© Ă  son Ă©poque : un talent brut, un diamant encore Ă  polir, mais dont l’éclat ne pouvait ĂȘtre ignorĂ©.

Rafael avait dĂ©butĂ© sa saison Ă  Nagoya dans l’ombre des grands noms du club, mais son ascension avait Ă©tĂ© fulgurante. AprĂšs seulement quelques mois, il Ă©tait devenu le hĂ©ros des supporters, des chants rĂ©sonnant Ă  chaque match oĂč il inscrivait un but. Le jeune brĂ©silien Ă©tait rapidement devenu une idole, non seulement pour sa technique impeccable, mais aussi pour son humilitĂ© et son dĂ©sir constant d’apprendre.

Cependant, derriĂšre cette montĂ©e en puissance, un dilemme se posait. Rafael avait Ă©tĂ© prĂȘtĂ© pour une seule saison, et son retour Ă  Palmeiras Ă  la fin de l’annĂ©e semblait inĂ©vitable. Les dirigeants de Nagoya, bien qu’en admiration devant lui, ne pouvaient rien faire contre la politique du club brĂ©silien. Mais Taichi Hara, avec sa vision unique du football, pensait qu’il y avait quelque chose Ă  faire pour garder ce jeune talent au Japon.

Un soir d’automne, aprĂšs un match particuliĂšrement intense oĂč Rafael avait inscrit un doublĂ© lors d’une victoire contre un rival de longue date, Taichi se rendit dans les coulisses du stade de Nagoya. Il voulait rencontrer ce jeune attaquant, comprendre la personne derriĂšre les buts spectaculaires. À l’intĂ©rieur des vestiaires, Rafael Ă©tait entourĂ© de ses coĂ©quipiers, mais lorsqu’il aperçut Taichi, une certaine gravitĂ© se fit sentir. Taichi Hara n’était pas seulement une lĂ©gende du football japonais, mais un mentor pour toute une gĂ©nĂ©ration.

“Rafael,” commença Taichi, un sourire en coin, “tu joues comme si tu Ă©tais dĂ©jĂ  dans les plus grands clubs du monde. C’est un honneur de te voir Ă©voluer.”

Le jeune brĂ©silien rougit lĂ©gĂšrement, mais rĂ©pondit avec un respect Ă©vident. “Merci, Monsieur Hara. C’est un rĂȘve de jouer ici, au Japon. J’ai appris tellement cette saison, plus que je n’aurais jamais imaginĂ©.”

Mais Hara n’était pas lĂ  pour parler de son admiration pour le talent de Rafael. Il avait un objectif prĂ©cis. “Je veux que tu restes au Japon. Ce pays a besoin de joueurs comme toi, et ton potentiel ici ne devrait pas ĂȘtre limitĂ© Ă  une seule saison.”

Rafael, surpris par la proposition, posa la question qui brĂ»lait sur ses lĂšvres : “Mais
 mon avenir est Ă  Palmeiras, Monsieur Hara. Je suis prĂȘtĂ© ici, je ne sais pas ce que le club dĂ©cidera pour moi.”

“Je sais,” rĂ©pondit Taichi avec un sĂ©rieux inhabituel, “mais j’ai vu beaucoup de jeunes talents dans ma carriĂšre, et il n’y a rien de plus important que de croire en toi-mĂȘme et de rester lĂ  oĂč tu peux grandir pleinement. Tu as les qualitĂ©s pour briller non seulement en Japan League, mais aussi en Europe, et mĂȘme dans l’équipe nationale japonaise. Si tu veux, je peux t’aider Ă  nĂ©gocier un futur ici, Ă  prolonger ton sĂ©jour au Japon et Ă  bĂątir quelque chose de spĂ©cial.”

Rafael resta pensif un moment. L’idĂ©e de prolonger son aventure au Japon Ă©tait sĂ©duisante, mais elle comportait aussi son lot d’incertitudes. Le football Ă©tait un monde impitoyable, et il savait que sa carriĂšre devait avancer au-delĂ  de cette saison Ă  Nagoya. Mais une partie de lui, celle qui s’était attachĂ©e Ă  cette culture, Ă  ces supporters qui le portaient, et Ă  la discipline japonaise, trouvait l’idĂ©e de rester ici trĂšs sĂ©duisante.

“Vous me proposez de rester au Japon
 pour combien de temps ?” demanda Rafael, l’esprit rempli de questions.

“Autant de temps que tu le souhaites,” rĂ©pondit Taichi. “Ce n’est pas une simple question de contrat ou d’argent. C’est une question de carriĂšre, de culture, et de ce que tu veux vraiment devenir. J’ai le bras long tu sais et je peux aider, pour nĂ©gocier avec Palmeiras et Nagoya, pour voir avec la fĂ©dĂ©ration japonaise pour la sĂ©lection
 Le football japonais a besoin de ta fraĂźcheur et de ton talent. En retour, tu pourrais dĂ©couvrir ici tout ce que l’Europe ne t’offrira pas.”

Les deux hommes continuĂšrent Ă  discuter jusqu’à tard dans la nuit, Ă  Ă©changer leurs visions du football, de la discipline et du travail d’équipe. Pour Rafael, chaque mot de Taichi rĂ©sonnait profondĂ©ment. Il se rendait compte qu’il avait bien plus Ă  apprendre de ce pays et de son football que ce qu’il avait imaginĂ©. Son talent seul ne suffirait pas Ă  faire une grande carriĂšre. Il fallait aussi comprendre la discipline, l’humilitĂ©, et le respect des valeurs qui faisaient la beautĂ© du jeu au Japon.

Anibal de son cĂŽtĂ© avait eu vent de ces manoeuvres et s’inquiĂ©tait de l’ingĂ©rence de la fĂ©dĂ©ration japonaise dans ce dossier. Promettre tant de choses Ă  un jeune talent Ă©tait trĂšs risquĂ©. Et ce qui Ă©tait sĂ»r c’est qu’il ne voulait pas y ĂȘtre mĂ©lĂ©.

- Chapitre 444 -
- Yessica veut reprendre sa carriĂšre -
- Chapitre 446 -
Coming SOON - 26/12
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L’élimination de Reyes est une bonne chose. Un coup de Ichiban et sa batte ? Rien n’est prouvĂ©.
Le jeune Rafael fait face aux chants des sirĂšnes. Certains veulent lui faire toucher le soleil avant que la pluie ne vienne :hushed:

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C’est que Rafael n’a pas le niveau ni le potentiel pour un jour ĂȘtre sĂ©lectionnĂ© par le BrĂ©sil ?

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Typiquement le genre de phrases qui annonce des merdes futures :smiley:

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Réponses aux lecteurs

@alexgavi On ne sait pas qui a fait quoi. Rafael subit des tentatives d’influence à lui de savoir ce qu’il veut aprùs.

@CaptainAmericka c’est surtout que Taichi Hara, lĂ©gende de Nagoya voudrait qu’il reste au club. Pour la sĂ©lection c’est encore un autre sujet.

@Sythax :pasrire:

- æŹ§ć·žă«æœȘæ„ăŻăȘă„ăšă‚·ăƒŁăƒ“ -
- Pour Xavi, Anibal est fini en Europe ! -

Le football europĂ©en n’était pas seulement une question de terrain : c’était aussi une scĂšne oĂč s’affrontaient des Ă©gos, des philosophies et des rivalitĂ©s souvent aussi passionnĂ©es que les matchs eux-mĂȘmes. Et cette fois, au cƓur des dĂ©bats mĂ©diatiques, se trouvait un duel inattendu entre deux figures emblĂ©matiques : Anibal GuimarĂŁes, entraĂźneur portugais controversĂ© mais brillant, et Xavi Hernandez, l’icĂŽne du football espagnol et entraĂźneur de Manchester City.

Depuis plusieurs mois, des rumeurs enflaient autour d’un possible retour d’Anibal en Europe. AprĂšs avoir brillĂ© dans des championnats exotiques et forgĂ© une rĂ©putation de tacticien redoutable, il semblait prĂȘt Ă  renouer avec le football de haut niveau sur le Vieux Continent. Mais ce retour potentiel Ă©tait loin de faire l’unanimitĂ©. Si certains grands clubs europĂ©ens semblaient sĂ©duits par ses mĂ©thodes innovantes et son charisme magnĂ©tique, d’autres hĂ©sitaient, freinĂ©s par l’aura sulfureuse qui entourait l’homme.

Car Anibal n’était pas qu’un simple entraĂźneur. Il Ă©tait une Ă©nigme, une figure complexe au passĂ© trouble. Des accusations de corruption avaient dĂ©jĂ  terni sa rĂ©putation lors de ses passages prĂ©cĂ©dents en Europe, bien qu’aucune preuve formelle n’ait jamais Ă©tĂ© retenue contre lui. Des rumeurs persistantes parlaient de connexions douteuses avec des cartels d’AmĂ©rique du Sud, renforcĂ©es par des deals financiers opaques et des mouvements de joueurs inexpliquĂ©s. Et rĂ©cemment, l’affaire avait pris une tournure encore plus sombre : son nom avait Ă©tĂ© citĂ© dans une enquĂȘte sur un meurtre mystĂ©rieux impliquant des personnalitĂ©s du milieu sportif. Bien qu’il n’ait jamais Ă©tĂ© inculpĂ©, ces allĂ©gations suffisaient Ă  alimenter les suspicions.

Dans ce contexte explosif, Xavi Hernandez, l’entraĂźneur de Manchester City et figure respectĂ©e du football mondial, dĂ©cida de prendre position. Lors d’une interview avec un grand mĂ©dia britannique, il ne mĂącha pas ses mots :

“Anibal GuimarĂŁes est peut-ĂȘtre un bon tacticien, je ne le nie pas. Mais le football ne peut pas se permettre de fermer les yeux sur des affaires aussi graves. Éthiquement, ce n’est pas acceptable. Entre les soupçons de corruption, ses connexions douteuses et maintenant cette affaire de meurtre, il reprĂ©sente un risque Ă©norme pour n’importe quel club. Aucun club de standing, en tout cas pas ceux qui respectent leurs valeurs, ne devrait s’associer Ă  une telle figure.”

Ces dĂ©clarations firent l’effet d’une bombe. Les mĂ©dias europĂ©ens s’en emparĂšrent immĂ©diatement, alimentant les dĂ©bats dans les Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es, les rĂ©seaux sociaux et les forums de supporters. Certains voyaient dans les propos de Xavi une attaque lĂ©gitime, une dĂ©fense des valeurs Ă©thiques du football. D’autres, en revanche, y percevaient une manƓuvre stratĂ©gique pour discrĂ©diter un potentiel rival.

Anibal, fidĂšle Ă  son style provocateur, ne tarda pas Ă  rĂ©agir. Lors d’une confĂ©rence de presse tenue aprĂšs un match de son Ă©quipe actuelle, il rĂ©pondit avec une pointe d’ironie “Xavi a le droit de donner son avis, bien sĂ»r. Mais je trouve curieux qu’il parle d’éthique alors qu’il entraĂźne un club financĂ© par des fonds qui, disons, ne sont pas exactement transparents non plus. Peut-ĂȘtre qu’il devrait balayer devant sa porte avant de venir juger les autres. D’autant que je tiens Ă  rappeler que sur le fond j’ai Ă©tait blanchi contrairement Ă  Luis Campos, les cartels j’ai subit des pressions mais n’ai rien fait de rĂ©prĂ©hensible et cette histoire de meurtre je n’y suis pas mĂ©lĂ©. Mais bon quand on entraine au chaud Ă  Barcelone et City c’est dur Ă  comprendre j’imagine.”

Cette rĂ©plique incendiaire dĂ©clencha une nouvelle vague de rĂ©actions. Les supporters de Manchester City dĂ©fendirent leur entraĂźneur avec ferveur, tandis que les fans d’Anibal applaudirent sa rĂ©partie audacieuse. La tension entre les deux hommes devint le sujet principal des discussions dans le monde du football.

Mais derriĂšre ces Ă©changes mĂ©diatiques, une question plus profonde se posait : Anibal pouvait-il rĂ©ellement prĂ©tendre Ă  un retour en Europe ? Ses succĂšs rĂ©cents en Asie et en AmĂ©rique du Sud avaient prouvĂ© qu’il Ă©tait un stratĂšge redoutable, capable de transformer des Ă©quipes moyennes en machines Ă  gagner. Mais son passĂ©, son image controversĂ©e, et les accusations qui pesaient sur lui reprĂ©sentaient un obstacle majeur.

Au-delĂ  des considĂ©rations Ă©thiques, certains prĂ©sidents de clubs europĂ©ens voyaient en lui un pari risquĂ© mais potentiellement rentable. Un dirigeant anonyme confia Ă  un journal sportif “Anibal divise, c’est certain. Mais il a quelque chose qu’on ne peut pas acheter : il fait parler de lui. Les supporters l’adorent ou le dĂ©testent, mais ils ne l’ignorent jamais. Pour un club qui veut faire les gros titres, c’est un atout. Mais est-ce qu’on est prĂȘt Ă  gĂ©rer tout ce qui vient avec lui ? C’est la vraie question.”

Pendant ce temps, Xavi continuait Ă  briller Ă  la tĂȘte de Manchester City, consolidant sa rĂ©putation d’entraĂźneur moderne et intĂšgre. Mais la rivalitĂ© avec Anibal ne faisait que s’intensifier. Lors d’une confĂ©rence de presse avant un match de Ligue des Champions, un journaliste posa la question fatidique : “Coach, pensez-vous que vos critiques envers Anibal ont dĂ©passĂ© les limites ?”

Xavi, fidĂšle Ă  son style direct, rĂ©pondit calmement “Je ne critique pas la personne, mais ce qu’elle reprĂ©sente. Le football est un sport qui inspire des millions de jeunes. Nous avons une responsabilitĂ©. Et je maintiens ce que j’ai dit : l’éthique doit primer, quoi qu’il en coĂ»te.”

Anibal, de son cĂŽtĂ©, semblait savourer cette rivalitĂ© inattendue. Dans une interview exclusive, il lĂącha un commentaire qui devint rapidement viral “Xavi a peur, et je le comprends. Il sait que si je reviens en Europe, je vais lui faire de l’ombre. Mais il devrait se concentrer sur ses propres problĂšmes, parce que si j’entraĂźne ici, il va avoir beaucoup plus de soucis qu’un simple dĂ©bat Ă©thique. D’ailleurs je note qu’il a aucun problĂšme d’éthique pour m’acheter des joueurs !”

Le duel Anibal-Xavi devenait plus qu’une querelle personnelle : c’était un combat symbolique entre deux visions du football. D’un cĂŽtĂ©, l’idĂ©al d’un sport propre, Ă©thique, et respectueux des valeurs ; de l’autre, la rĂ©alitĂ© brute d’un monde oĂč le charisme, le talent et les controverses pouvaient coexister pour captiver les foules. Le retour potentiel d’Anibal en Europe n’était pas seulement une question de football : c’était une histoire d’ambition, de rĂ©demption et de rivalitĂ©, qui promettait de marquer durablement l’histoire du sport.

- Chapitre 445 -
- T.Hara demande le transfert de Rafael -
- Chapitre 447 -
Coming SOON - 26/12
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Je valide!

Anibal, remballe ton slibard, Lothar!

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La guerre des mots entre les deux hommes. Je ris ! J’aime ces rivalitĂ©s

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A qui aura la plus grosse ! :joy: Qu’on les mette tous les deux sur un ring et qu’ils se battent ! :hoho:

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Réponses aux lecteurs

@toopil :pasrire: En vrai il a pas tord, aprĂšs Anibal est Ă©thique, on sait bien qu’il mĂ©ritait pas d’ĂȘtre suspendu :dsk:

@Lincoln6Echo ravis que cela te plaise.

@CaptainAmericka J’ai gagnĂ© d’avance Ă  ce jeu lĂ  :rofl: on est plus malin on le battra sur le terrain.

- ă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ç„Ąæ•—çŽ‹è€… -
- Anibal champion invaincu -

La saison nationale approchait de son terme et pourtant il restait encore pas mal de match Ă  disputer. Et cela commença par la demi finale de la Levain Cup. Les Urawa Diamonds ne fit guĂšre une grande opposition. Rafael plia rapidement le match en ouvrant le score aprĂšs 4 minutes. Quelques minutes plus tard EstevĂŁo doubla la mise. Inoffensif, Urawa n’inquiĂ©ta jamais l’orca. En fin de match le nĂ©o-mancunien Ryuji Endo marqua un nouveau but. Avant de disputer le retour, Nagoya affronter les chinois de Henan Songshan en Ligue des Champions et s’imposa avec des buts de Rafael et EstevĂŁo avant de plier une nouvelle fois les Red Diamonds avec des buts de Nakazawa et un doublĂ© de Rafael. Nagoya se qualifie ainsi pour la finale de la Levain Cup.

En championnat Nagoya a continuĂ© sa course vers le titre en s’imposant contre Renofa Ă  la faveur de nouveau buts de Nakamura, Tanaka et Rafael. Quelques jours plus tard l’orca s’offrait un carton en Ligue des champions contre les nords corĂ©ens de Ryomyong. Ko Hyok ouvrit le score sur un csc avant que Rafael ne mettent un doublĂ©. Nakazawa, Srijan et Ono ont aussi marquĂ© dans ce match. Nagoya a ensuite fait tomber le Yokohama FC. EstevĂŁo a sorti un grand match ouvrant le score avant de servir Nakazawa et Yokochi. L’orca a finis octobre en faisant tomber le Kyoto Sanga en demi finale de Coupe de l’Empereur au tirs au buts. Pendant le match Srijan et Azuma avait score mais il fallu une sĂ©ance parfaite au TAB pour dĂ©faire les deux clubs.

Date Club Score Buteurs
:levain_cup: 1/2 12/10/2036 :urawa_red_diamonds: Urawa Red Diamonds 0 - 3 Rafael (4), EstĂȘvĂŁo (12), R.Endo (82)
:grootchampionsafc: M2 15/10/2036 :henan_songshan_longmen: Henan Songshan Longmen 1 - 2 EstĂȘvĂŁo (7), Rafael (36)
:levain_cup: 1/2 18/10/2036 :urawa_red_diamonds: Urawa Red Diamonds 3 - 0 G.Nakazawa (1), Rafael (22, 71)
:jleague: J33 20/10/2036 :renofa_yamagushi: Renofa Yamaguchi 1 - 3 K.Nakamura (14), T.Tanaka (25), Rafael (32)
:grootchampionsafc: M3 22/10/2036 :ryomyong: Ryomyong 6 - 0 K.Hyok c.s.c. (20), Rafael (27, 55), G.Nakazawa (37), S.Srijan (48), H.Ono (86)
:jleague: J34 25/10/2036 :yokohama_fc: Yokohama FC 3 - 1 EstĂȘvĂŁo (6), G.Nakazawa (55), T.Yokochi (90+2)
:emperor_cup: 1/2 29/10/2036 :kyoto_sanga: Kyoto Sanga 2 - 2 p S.Srijan (pen 22), Y.Azuma (51)

A l’aube de la fin de saison, L’orca d’Anibal a fait tomber Henan Songshan. Son international corĂ©en Huyn-Sukl a signĂ© un doublĂ© tandis que Osaka et Ono ont aussi marquĂ©. Cette revue d’effectif contre des adversaires plus faible a permis de concentrer les forces du club sur la J League. Le club s’est offert le titre en faisant tomber le Vissel Kobe puis le FC Tokyo. Durant ces matchs Osaka, Nakazawa, Rafael, EstevĂŁo, Ono et Yatskov ont marquĂ©. Le club a ensuite explosĂ© le Kyoto Sanga avec un triplĂ© de Yokochi et un doublĂ© d’EstevĂŁo. Nakamura cloturant la marque. Lors de la derniĂšre journĂ©e l’orca s’est offert Sagamihara en champion avec un doublĂ© de Yatskov et des buts d’Ono et Srijan.

Mais la saison n’est pas encore fini. Il fallait d’abord finir la phase de poules de Ligue des champions avant de disputer les finales nationales. On a donc d’abord gagnĂ© difficilement contre Pohang avec des buts d’Osaka, Ono et Estevao avant de cartonner les nords corĂ©ens de Ryomyong. On les a humiliĂ©s avec un buts de Yokoci, un d’EstevĂŁo et un autre d’Ono mais surtout avec un quintuplĂ© de Osaka :shocked:

Date Club Score Buteurs
:grootchampionsafc: M4 5/11/2036 :henan_songshan_longmen: Henan Songshan Longmen 4 - 0 K.Hyun-Suk (25, 68), J.Osaka (50), H.Ono (65)
:jleague: J35 8/11/2036 :vissel_kobe: Vissel Kobe 3 - 1 J.Osaka (72), G.Nakazawa (88), Rafael (90+1)
:jleague: J36 22/11/2036 :tokyo_fc: FC Tokyo 1 - 3 I.Yatskov (44), H.Ono (57), EstĂȘvĂŁo (59)
:jleague: J37 26/11/2036 :kyoto_sanga: Kyoto Sanga 1 - 6 T.Yokochi (pen 20, 22, pen 30), EstĂȘvĂŁo (69, 90+2), K.Nakamura (85)
:jleague: J38 29/11/2036 :sc_sagamihara: Sagamihara 4 - 0 I.Yatskov (16, 45), H.Ono (51), S.Srijan (89)
:grootchampionsafc: M5 3/12/2036 :pohang_steelers: Pohang Steelers 2 - 3 J.Osaka (16), H.Ono (45+2), EstĂȘvĂŁo (78)
:grootchampionsafc: M6 10/12/2036 :ryomyong: Ryomyong 0 - 8 T.Yokochi (11), J.Osaka (13, 17, 28, 37, 70), H.Ono (26), EstĂȘvĂŁo (pen 84)

- JăƒȘăƒŒă‚°ăƒ©ăƒłă‚­ăƒłă‚° -
- Classement -

Clt
Équipe
J G N P Bm Be Diff Pts
1er :trophy: :grootnagoya: Nagoya Grampus 38 31 7 0 113 23 +90 100
2e :grootchampionsafc: :gamba_osaka: Gamba Osaka 38 28 4 6 83 48 +35 88
3e :grootchampionsafc: :urawa_red_diamonds: Urawa Red Diamonds 38 25 9 4 74 29 +45 84
4e :grootchampionsafc: :kashima_antiers: Kashima Antlers 38 20 8 10 57 40 +17 68
5e :kyoto_sanga: Kyoto Sanga 38 15 13 10 61 58 +3 58
6e :vissel_kobe: Vissel Kobe 38 16 9 13 74 62 +12 57
7e :tokyo_verdi: Tokyo Verdy 38 16 8 14 71 60 +11 56
8e :albirex_niigata: Albirex Niigata 38 13 12 13 52 61 -9 51
9e :yokohama_fc: Yokohama FC 38 13 10 15 61 62 -1 49
10e :consadole_sapporo: Consadole Sapporo 38 11 13 14 43 47 -4 46
11e :frontale_jap: Kawasaki Frontale 38 12 9 17 53 64 -11 45
12e :cerezo_osaka: Cerezo Osaka 38 12 9 17 51 65 -14 45
13e :tokyo_fc: FC Tokyo 38 11 11 16 51 53 -2 44
14e :kashiwa_reysol: Kashiwa Reysol 38 10 14 14 63 69 -6 44
15e :sanfrecce_hiroshima: Sanfrecce Hiroshima 38 11 11 16 44 51 -7 44
16e :yokohama_marinos: Yokohama F. Marinos 38 11 11 16 42 55 -13 44
17e :renofa_yamagushi: Renofa Yamaguchi 38 10 9 19 50 82 -32 39
18e :jleague2: :sc_sagamihara: Sagamihara 38 8 11 19 29 64 -35 35
19e :jleague2: :machida_zelvia: Machida Zelvia 38 6 6 26 36 77 -41 24
20e :jleague2: :vegalta_sendai: Vegalta Sendai 38 5 8 25 40 78 -38 23

- ćŸ—ç‚čăƒ©ăƒłă‚­ăƒłă‚° -
- Classement des buteurs -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :brazil: Rafael 61 (6) 53 3
:2nd_place_medal: :thailand: Surat Srijan 57 (7) 35 22
:3rd_place_medal: :brazil: :spain: EstĂȘvĂŁo 34 (7) 30 21
:japan: Genta Nakazawa 55 (11) 17 8
:japan: Kento Nakamura 56 (10) 13 29

- ćˆæ Œè€…ăƒ©ăƒłă‚­ăƒłă‚° -
- Classement des passeurs -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :japan: Ryuji Endo 50 (4) 9 32
:2nd_place_medal: :japan: Takashi Tanaka 64 (1) 8 29
:3rd_place_medal: :japan: Kento Nakamura 56 (10) 13 29
:thailand: Surat Srijan 57 (7) 35 22
:brazil: :spain: EstĂȘvĂŁo 34 (7) 30 21
- Chapitre 446 -
- Pour Xavi, Anibal est fini en europe -
- Chapitre 448 -
Coming SOON - 12/05
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Putain cette saison de cochon encore
 :hot_face: :hot_face: :hot_face:
100 points, aucune dĂ©faite
 Anibal, tu ne t’es pas fait chier sincĂšrement ?

J’étais un peu loin de mon prono, Rafael s’est envolĂ© largement au classement des buteurs !!!

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grosse saison ! l’invaincu

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Une saison de plus qui restera dans les annales

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cannoli GIF

???

:smiley:

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Anibal aprĂšs avoir roulĂ© sur l’archipel nippon 


Japan Sunglasses GIF

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Réponses aux lecteurs

Déjà @Mark range ta bite devant la photo du post :sac:

@CaptainAmericka ouais giga saison ! Bien bandant. Mais oui c’était chiant au final :sadpepe: Rafael clairement un goret mais vu le niveau en face dur de voir si le frĂ©rot a du potentiel rĂ©ellement.

@celiavalencia yep la question c’est invaincu jusqu’a quand.

@Rhino toujours su que tu Ă©tais attirĂ© par l’anal mon salaud.

@Sythax ça me rappelle une scĂšne dans Van Wilder quand Ryan Reynolds Ă©tait pas encore trĂšs connu et qu’il tournĂ© dans des comĂ©dies style American Pie :pasrire:

@Manthyz Le Godzilla de Nagoya j’aime bien :hoho:

- ă‚€ă‚§ă‚·ă‚«ă€ăƒ­ă‚”ăƒłă‚Œăƒ«ă‚čă§æ˜ ç”»æ’źćœ± -
- Yessica part Ă  Los Angeles pour tourner un film -

Alors que la fin de la saison approchait, Anibal GuimarĂŁes se retrouvait face Ă  un double dĂ©fi : gĂ©rer les attentes d’une saison pleine de succĂšs et de pression, et faire face Ă  des changements inattendus dans sa vie personnelle. Son club Ă©tait en lice pour trois finales cruciales et les projecteurs Ă©taient braquĂ©s sur lui. Mais derriĂšre cette façade de concentration et de rigueur, Anibal devait aussi jongler avec une situation familiale inhabituelle.

Yessica, sa partenaire, venait de recevoir une opportunitĂ© professionnelle majeure. Une offre qu’elle ne pouvait refuser : le rĂŽle principal dans un film d’action Ă  gros budget, produit par un studio prestigieux Ă  Los Angeles. Ce n’était pas seulement un projet de carriĂšre, mais aussi une chance de s’imposer dans un genre oĂč les actrices latines avaient peu de visibilitĂ©. Enthousiaste mais consciente des implications, Yessica avait longuement discutĂ© avec Anibal avant d’accepter. “Tu penses que ça va aller ?” lui demanda-t-elle un soir, alors qu’ils Ă©taient assis sur la terrasse de leur maison, regardant le coucher de soleil. “Avec tout ce que tu as Ă  gĂ©rer, et Beatriz
 je ne veux pas que ça complique les choses.”

Anibal, fatiguĂ© mais souriant, posa sa main sur la sienne. “Tu dois y aller, Yessica. C’est ton rĂȘve, et tu es brillante. Beatriz sera bien avec mes parents au Portugal, et moi
 Eh bien, je gĂ©rerai. Je suis habituĂ© Ă  jongler avec la pression, tu sais.”

Quelques jours plus tard, Yessica s’envola pour Los Angeles, laissant derriĂšre elle une maison Ă©trangement silencieuse. Leur fille, Beatriz, ĂągĂ©e d’un an, avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© envoyĂ©e chez ses grands-parents au Portugal, une dĂ©cision prise pour lui offrir stabilitĂ© et amour familial pendant ces semaines de transition. Anibal savait qu’il ne verrait probablement pas beaucoup Beatriz, mais il trouvait du rĂ©confort dans l’idĂ©e qu’elle Ă©tait entre de bonnes mains.

Cependant, une solitude inhabituelle s’installa dans sa vie. AprĂšs les entraĂźnements et les matchs, il rentrait dans une maison vide. Les rires de Beatriz et les discussions passionnĂ©es avec Yessica lui manquaient. Il se plongeait alors davantage dans son travail, scrutant chaque dĂ©tail tactique, chaque sĂ©quence d’entraĂźnement, Ă  la recherche de la perfection. Les finales Ă©taient proches, et il ne pouvait pas se permettre de laisser ses Ă©motions personnelles le distraire.

À Los Angeles, Yessica dĂ©couvrait un monde Ă  part. Le tournage du film d’action Ă©tait intense, rempli de cascades exigeantes et de longues journĂ©es de rĂ©pĂ©titions. Elle se jetait corps et Ăąme dans ce rĂŽle, mais son esprit revenait souvent Ă  Anibal et Beatriz. Les appels vidĂ©o devenaient leur lien quotidien, mĂȘme si les fuseaux horaires rendaient les conversations parfois brĂšves.

De son cĂŽtĂ©, Yessica racontait Ă  Anibal les dĂ©fis du tournage, les chorĂ©graphies qu’elle devait apprendre, et les scĂšnes qu’elle avait rĂ©ussi Ă  maĂźtriser aprĂšs des heures de travail. “C’est comme prĂ©parer un match, tu sais,” lui confia-t-elle une fois. “Tout est dans la rĂ©pĂ©tition, dans le rythme.”

Anibal Ă©clata de rire. “Sauf que toi, tu combats des mĂ©chants et tu sautes d’immeubles. Moi, je dois juste battre un bloc dĂ©fensif bien organisĂ©.”

- Chapitre 447 -
- Anibal champion invaincu -
- Chapitre 449 -
Coming SOON - 27/12
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Le rouleau de printemps compresseur, il a tout Ă©crasé  et maintenant quelle suite pour sa carriĂšre?

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Yessica en mode badass !

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HabillĂ©e comme ça, j’en connais qui vont salir les salles de cinĂ©
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