:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@alexgavi On ne sait pas qui a fait quoi. Rafael subit des tentatives d’influence à lui de savoir ce qu’il veut aprùs.

@CaptainAmericka c’est surtout que Taichi Hara, lĂ©gende de Nagoya voudrait qu’il reste au club. Pour la sĂ©lection c’est encore un autre sujet.

@Sythax :pasrire:

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- Pour Xavi, Anibal est fini en Europe ! -

Le football europĂ©en n’était pas seulement une question de terrain : c’était aussi une scĂšne oĂč s’affrontaient des Ă©gos, des philosophies et des rivalitĂ©s souvent aussi passionnĂ©es que les matchs eux-mĂȘmes. Et cette fois, au cƓur des dĂ©bats mĂ©diatiques, se trouvait un duel inattendu entre deux figures emblĂ©matiques : Anibal GuimarĂŁes, entraĂźneur portugais controversĂ© mais brillant, et Xavi Hernandez, l’icĂŽne du football espagnol et entraĂźneur de Manchester City.

Depuis plusieurs mois, des rumeurs enflaient autour d’un possible retour d’Anibal en Europe. AprĂšs avoir brillĂ© dans des championnats exotiques et forgĂ© une rĂ©putation de tacticien redoutable, il semblait prĂȘt Ă  renouer avec le football de haut niveau sur le Vieux Continent. Mais ce retour potentiel Ă©tait loin de faire l’unanimitĂ©. Si certains grands clubs europĂ©ens semblaient sĂ©duits par ses mĂ©thodes innovantes et son charisme magnĂ©tique, d’autres hĂ©sitaient, freinĂ©s par l’aura sulfureuse qui entourait l’homme.

Car Anibal n’était pas qu’un simple entraĂźneur. Il Ă©tait une Ă©nigme, une figure complexe au passĂ© trouble. Des accusations de corruption avaient dĂ©jĂ  terni sa rĂ©putation lors de ses passages prĂ©cĂ©dents en Europe, bien qu’aucune preuve formelle n’ait jamais Ă©tĂ© retenue contre lui. Des rumeurs persistantes parlaient de connexions douteuses avec des cartels d’AmĂ©rique du Sud, renforcĂ©es par des deals financiers opaques et des mouvements de joueurs inexpliquĂ©s. Et rĂ©cemment, l’affaire avait pris une tournure encore plus sombre : son nom avait Ă©tĂ© citĂ© dans une enquĂȘte sur un meurtre mystĂ©rieux impliquant des personnalitĂ©s du milieu sportif. Bien qu’il n’ait jamais Ă©tĂ© inculpĂ©, ces allĂ©gations suffisaient Ă  alimenter les suspicions.

Dans ce contexte explosif, Xavi Hernandez, l’entraĂźneur de Manchester City et figure respectĂ©e du football mondial, dĂ©cida de prendre position. Lors d’une interview avec un grand mĂ©dia britannique, il ne mĂącha pas ses mots :

“Anibal GuimarĂŁes est peut-ĂȘtre un bon tacticien, je ne le nie pas. Mais le football ne peut pas se permettre de fermer les yeux sur des affaires aussi graves. Éthiquement, ce n’est pas acceptable. Entre les soupçons de corruption, ses connexions douteuses et maintenant cette affaire de meurtre, il reprĂ©sente un risque Ă©norme pour n’importe quel club. Aucun club de standing, en tout cas pas ceux qui respectent leurs valeurs, ne devrait s’associer Ă  une telle figure.”

Ces dĂ©clarations firent l’effet d’une bombe. Les mĂ©dias europĂ©ens s’en emparĂšrent immĂ©diatement, alimentant les dĂ©bats dans les Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es, les rĂ©seaux sociaux et les forums de supporters. Certains voyaient dans les propos de Xavi une attaque lĂ©gitime, une dĂ©fense des valeurs Ă©thiques du football. D’autres, en revanche, y percevaient une manƓuvre stratĂ©gique pour discrĂ©diter un potentiel rival.

Anibal, fidĂšle Ă  son style provocateur, ne tarda pas Ă  rĂ©agir. Lors d’une confĂ©rence de presse tenue aprĂšs un match de son Ă©quipe actuelle, il rĂ©pondit avec une pointe d’ironie “Xavi a le droit de donner son avis, bien sĂ»r. Mais je trouve curieux qu’il parle d’éthique alors qu’il entraĂźne un club financĂ© par des fonds qui, disons, ne sont pas exactement transparents non plus. Peut-ĂȘtre qu’il devrait balayer devant sa porte avant de venir juger les autres. D’autant que je tiens Ă  rappeler que sur le fond j’ai Ă©tait blanchi contrairement Ă  Luis Campos, les cartels j’ai subit des pressions mais n’ai rien fait de rĂ©prĂ©hensible et cette histoire de meurtre je n’y suis pas mĂ©lĂ©. Mais bon quand on entraine au chaud Ă  Barcelone et City c’est dur Ă  comprendre j’imagine.”

Cette rĂ©plique incendiaire dĂ©clencha une nouvelle vague de rĂ©actions. Les supporters de Manchester City dĂ©fendirent leur entraĂźneur avec ferveur, tandis que les fans d’Anibal applaudirent sa rĂ©partie audacieuse. La tension entre les deux hommes devint le sujet principal des discussions dans le monde du football.

Mais derriĂšre ces Ă©changes mĂ©diatiques, une question plus profonde se posait : Anibal pouvait-il rĂ©ellement prĂ©tendre Ă  un retour en Europe ? Ses succĂšs rĂ©cents en Asie et en AmĂ©rique du Sud avaient prouvĂ© qu’il Ă©tait un stratĂšge redoutable, capable de transformer des Ă©quipes moyennes en machines Ă  gagner. Mais son passĂ©, son image controversĂ©e, et les accusations qui pesaient sur lui reprĂ©sentaient un obstacle majeur.

Au-delĂ  des considĂ©rations Ă©thiques, certains prĂ©sidents de clubs europĂ©ens voyaient en lui un pari risquĂ© mais potentiellement rentable. Un dirigeant anonyme confia Ă  un journal sportif “Anibal divise, c’est certain. Mais il a quelque chose qu’on ne peut pas acheter : il fait parler de lui. Les supporters l’adorent ou le dĂ©testent, mais ils ne l’ignorent jamais. Pour un club qui veut faire les gros titres, c’est un atout. Mais est-ce qu’on est prĂȘt Ă  gĂ©rer tout ce qui vient avec lui ? C’est la vraie question.”

Pendant ce temps, Xavi continuait Ă  briller Ă  la tĂȘte de Manchester City, consolidant sa rĂ©putation d’entraĂźneur moderne et intĂšgre. Mais la rivalitĂ© avec Anibal ne faisait que s’intensifier. Lors d’une confĂ©rence de presse avant un match de Ligue des Champions, un journaliste posa la question fatidique : “Coach, pensez-vous que vos critiques envers Anibal ont dĂ©passĂ© les limites ?”

Xavi, fidĂšle Ă  son style direct, rĂ©pondit calmement “Je ne critique pas la personne, mais ce qu’elle reprĂ©sente. Le football est un sport qui inspire des millions de jeunes. Nous avons une responsabilitĂ©. Et je maintiens ce que j’ai dit : l’éthique doit primer, quoi qu’il en coĂ»te.”

Anibal, de son cĂŽtĂ©, semblait savourer cette rivalitĂ© inattendue. Dans une interview exclusive, il lĂącha un commentaire qui devint rapidement viral “Xavi a peur, et je le comprends. Il sait que si je reviens en Europe, je vais lui faire de l’ombre. Mais il devrait se concentrer sur ses propres problĂšmes, parce que si j’entraĂźne ici, il va avoir beaucoup plus de soucis qu’un simple dĂ©bat Ă©thique. D’ailleurs je note qu’il a aucun problĂšme d’éthique pour m’acheter des joueurs !”

Le duel Anibal-Xavi devenait plus qu’une querelle personnelle : c’était un combat symbolique entre deux visions du football. D’un cĂŽtĂ©, l’idĂ©al d’un sport propre, Ă©thique, et respectueux des valeurs ; de l’autre, la rĂ©alitĂ© brute d’un monde oĂč le charisme, le talent et les controverses pouvaient coexister pour captiver les foules. Le retour potentiel d’Anibal en Europe n’était pas seulement une question de football : c’était une histoire d’ambition, de rĂ©demption et de rivalitĂ©, qui promettait de marquer durablement l’histoire du sport.

- Chapitre 445 -
- T.Hara demande le transfert de Rafael -
- Chapitre 447 -
Coming SOON - 26/12
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