De la race? Câest du RN dĂ©complexĂ©, ça
Câest finalement pas tant dâavance que ça.
Urawa et Osaka sont pas loin.
Le transfert de Enzo sert de belle vitrine au club !
En championnat, tu restes toujours devant, tu mâĂ©tonnes que tu ne resteras pas longtemps lĂ -bas ! Et ce malgrĂ© lâhospitalitĂ© exemplaire.
RĂ©ponses aux lecteurs
@toopil de la race, la course quoi Je sais que les japonais sont racistes mais tout de mĂȘme
@Sythax On a un peu de marge et un match en moins. Faudra rester sérieux quoi
@CaptainAmericka le transfert dâEndo met en valeur le centre clairement.
- Anibal agacĂ© par lâexode des talents -
ArrivĂ© au Japon avec la promesse dâun projet ambitieux et structurĂ©, Anibal GuimarĂŁes voyait peu Ă peu ses illusions se heurter Ă une rĂ©alitĂ© quâil nâavait pas anticipĂ©e. Le Japon, terre de football Ă©mergent, rĂ©vĂ©lait une facette quâil peinait Ă accepter : lâexode constant de ses talents vers lâEurope.
Dans les premiers mois de son séjour, Anibal avait appris à apprécier le football japonais et ses joueurs prometteurs. Mais rapidement, la direction du club commença à conclure des transferts qui, bien que lucratifs, remettaient en question la stabilité de son effectif.
Ryuji Endo, perle offensive, avait Ă©tĂ© vendu Ă Manchester City pour 9,5MâŹ. Anibal avait vu dans ce dĂ©part une opportunitĂ© pour le joueur, mais il regrettait que Nagoya perde un Ă©lĂ©ment clĂ©. Puis vint Ryuta Kuroda, envoyĂ© Ă West Bromwich Albion pour 5MâŹ. Le dĂ©fenseur, pourtant essentiel dans la rotation, manquait cruellement de remplaçants compĂ©tents.
La liste sâallongea avec Tsuyoshi Kitamori, brillant libĂ©ro vendu Ă Wolfsburg pour 12MâŹ, et surtout le transfert record de Genta Nakazawa Ă Middlesbrough pour 25MâŹ. Ce dernier dĂ©part irrita particuliĂšrement Anibal : Nakazawa, formĂ© au club et capitaine en devenir, reprĂ©sentait tout ce quâAnibal voulait bĂątir Ă Nagoya. Enfin, Norimasa Yamamoto, central technique et joyau du centre de formation, rejoignit le Sporting Portugal pour 7,5MâŹ.
Chaque fois, Anibal avait nĂ©gociĂ© Ăąprement pour que ces talents terminent la saison au Japon avant de rejoindre leurs nouveaux clubs. Il savait quâun exode immĂ©diat mettrait en pĂ©ril la quĂȘte de titres du Nagoya Grampus. Pourtant, mĂȘme avec ce compromis, il se sentait frustrĂ© par lâapproche mercantile du club.
Lors dâune rĂ©union tendue avec Keito Hiraoka, le directeur sportif, il laissa Ă©clater son mĂ©contentement âKeito-san, je suis venu ici pour bĂątir, pas pour Ă©coper un bateau qui prend lâeau Ă chaque mercato. Comment espĂ©rer dominer en Asie si chaque mois, on vend lâun de nos meilleurs joueurs ?â
LâexpĂ©rimentĂ© dirigeant rappela calmement une terrible rĂ©alitĂ©. La rĂ©alitĂ© Ă©conomique des clubs japonais est trĂšs Ă©loignĂ©e de ce quâil se fait en Europe ou mĂȘme en AmĂ©rique du Sud. LâAsie est le tier monde du football mondial. âAni-san, ces ventes financent le club et permettent de recruter de nouveaux talents. Câest notre modĂšle, et il fonctionne. Vous avez vu les jeunes du centre dâentraĂźnement, non ? Ils sont prĂȘts Ă prendre le relais.â
Mais Anibal ne pouvait se satisfaire cet Ă©tat de fait. âLe talent brut ne suffit pas. Construire une Ă©quipe demande du temps, de lâexpĂ©rience. Chaque dĂ©part nous renvoie Ă zĂ©ro.â
MalgrĂ© ses frustrations, Anibal restait attachĂ© au Japon. Le pays lui avait offert une stabilitĂ© personnelle et professionnelle quâil nâavait pas connue depuis des annĂ©es. Pourtant, cette instabilitĂ© structurelle dans le projet sportif Ă©rodait peu Ă peu son enthousiasme.
Lors dâun dĂźner avec son adjoint Javi Sanchez, Anibal partagea ses doutes âJavi, jâaime le Japon et je nous y voit bien, mais ce nâest pas comme Ă Valladolid ou Turin. Ici, tout tourne autour de la vente comme Ă Envigado ou Palmeiras. Comment ĂȘtre compĂ©titif Ă long terme dans ces conditions ?â
Comme souvent Javi tenta de tempĂ©rer les ardeurs dâAnibal. âTu sais, Ani, on pourrait transformer ça en force. Former les meilleurs jeunes, gagner malgrĂ© les dĂ©parts⊠Ce serait un dĂ©fi unique.â
Mais Anibal commençais Ă se lasser de cette instabilitĂ© chronique qui lâaccompagner depuis dĂ©sormais bientĂŽt quatre ans et son dĂ©part depart de Valladolid. âPeut-ĂȘtre. Mais combien de temps pourrai-je supporter cette reconstruction permanente ? Je veux plus que des dĂ©fis, Javi. Je veux bĂątir un hĂ©ritage.â
Anibal commençait Ă envisager lâaprĂšs-Nagoya, bien que la saison fĂ»t encore en cours. Il savait que dâautres projets lâattendaient, en Asie ou ailleurs. Des clubs comme les Tigres ou encore des offres venant du Moyen-Orient semblaient prometteuses. Mais il Ă©tait aussi conscient que partir maintenant pourrait ternir son image auprĂšs des supporters japonais qui lâavaient accueilli comme un sauveur.
Lors dâune conversation avec sa femme Yessica, il exprima ses doutes âJe commençais Ă tomber amoureux de ce pays, je voulais mâinvestir ici sur plusieurs annĂ©es, mais ils ne me laissent pas les moyens. Peut-ĂȘtre que je devrais chercher un endroit oĂč on valorise davantage la continuitĂ©.â
Yessica compris son dĂ©sarroi et elle aussi pensait Ă lâavenir. âQuoi que tu dĂ©cides, Ani, fais-le pour toi, pas contre eux. Tu as prouvĂ© que tu pouvais tâadapter. Mais si tu sens que ce nâest plus le bon endroit, alors il est peut-ĂȘtre temps de partir. Je pense aussi de plus en plus Ă mon avenir aussi.â
Alors que la saison avançait, les performances dâAnibal continuaient de marquer les esprits, mais ses doutes sur lâavenir grandissaient. Nagoya Grampus Ă©tait un club ambitieux, mais son modĂšle de dĂ©veloppement le contraignait Ă revoir constamment ses ambitions Ă la baisse.
Pour Anibal, lâheure des grandes dĂ©cisions approchait. Rester pour tenter de triompher malgrĂ© tout, ou partir Ă la recherche dâun projet plus alignĂ© avec ses idĂ©aux ? Une chose Ă©tait sĂ»re : sa patience avait des limites, et elles Ă©taient mises Ă rude Ă©preuve.
Dur dur effectivement. Mais bientĂŽt lâEurope pourra venir le chercher, non ?
Tiens, je me posais une question, Javi Sanchez nâa pas envie de prendre son envol comme entraĂźneur principal ?
Malheureusement, lâexode vers lâEurope ne cessera pas
Ca déroule toujours autant au Japon.
Dur dur de bĂątir sur la longueur avec tous ces dĂ©parts de jeunes talents, Anibal ne sâĂ©ternisera pas
Malheureusement, en Ă©tant privĂ© dâEurope, difficile de bĂątir comme bon lui sembleâŠ
Câest lĂ que tu te rends compte quâon est quand mĂȘme bien loti en Europe en terme de football, quâon a les structures et les finances pour mener des projets Ă long terme. Encore quelques mois Ă tenir pour Ani !
ËDifficile de lutter avec les clubs europĂ©ens. Une rĂ©alitĂ© pour lâensemble des continents
Si tout roule au niveau des rĂ©sultats, ça a aussi pour consĂ©quence dâattirer les regards sur tes joueurs.
Anibal nâaurait rien Ă devoir Ă qui que ce soit au Japon sâil part en fin de saison, surtout sâil y a un nouveau titre Ă la clĂ©
RĂ©ponses aux lecteurs
@Sythax Anibal ? Techniquement dÚs fin décembre il ne sera plus suspendu. aprÚs tout dépendra des offres aussi. Pour le moment Javi reste fidÚle et suis Anibal. Pour combien de temps je ne sais pas.
@toopil câest certain yâa trop de diffĂ©rence de rĂ©putations et de finances.
@Heisen oui trop mĂȘme. câest certain.
@CaptainAmericka câest le jeu aussi. Mais mĂȘme en Europe câest pas toujours Ă©vident mais tu as plus de marges on va dire.
@Rhino câest ça.
@alexgavi câest ça sâil fait le taf yâa rien a dire, les engagements sont tenus.
- Ezequiel Reyes eliminé par un Yakuza ? -
Tokyo, citĂ© immense et lumineuse, accueillait ce soir-lĂ un dĂźner peu commun. Dans un restaurant huppĂ© du quartier de Ginza, Anibal GuimarĂŁes, lâentraĂźneur portugais de Nagoya Grampus, Ă©tait invitĂ© par Jin Suzuki, prĂ©sident du club, Ă un repas privĂ©. Une troisiĂšme figure, moins conventionnelle, complĂ©tait cette table : Ichiban Kasuga, un ancien chef influent de la mafia japonaise, retirĂ© des affaires publiques mais toujours respectĂ© dans certains cercles.
La discussion au dĂźner tournait autour du b, de la philosophie de leadership, et mĂȘme de la culture japonaise. Anibal apprĂ©ciait les anecdotes lĂ©gendaires de Kasuga, qui semblait connaĂźtre les rouages de chaque domaine. Mais alors que le dĂźner touchait Ă sa fin et quâun dernier verre Ă©tait servi, lâimpensable se produisit.
En sortant du restaurant, Anibal, Jin Suzuki et Ichiban Kasuga tombĂšrent nez Ă nez avec une figure quâAnibal aurait prĂ©fĂ©rĂ© ne plus jamais croiser : Ezekiel Reyes, le redoutable patron du cartel Gallindo.
HabillĂ© dâun costume impeccablement taillĂ©, Reyes se tenait lĂ , un sourire glacĂ© sur les lĂšvres. âTu pensais vraiment que des ocĂ©ans allaient mâempĂȘcher de te trouver, Anibal ?â lança-t-il dâun ton faussement cordial.
La tension monta immĂ©diatement. Kasuga, peu habituĂ© Ă voir un Ă©tranger menacer quelquâun dans son propre territoire, sâinterposa calmement mais fermement. âTu es au Japon maintenant. On ne rĂ©sout pas les affaires comme dans ton paysâ, dit-il, un sourire en coin mais une lueur dangereuse dans le regard.
Reyes ricana. âJe ne suis pas venu pour me battre avec toi, vieil homme. Je suis venu rĂ©gler mes comptes avec ce traĂźtreâ, rĂ©pondit-il en pointant Anibal.
Reyes accusa Anibal dâavoir entravĂ© ses affaires en Colombie et de continuer Ă nuire Ă ses opĂ©rations. Il menaça directement Anibal, insinuant que mĂȘme au Japon, il ne serait jamais en sĂ©curitĂ©. âTu as peut-ĂȘtre pensĂ© que tu pouvais fuir, mais on te retrouvera toujours, toi et ta famille,â cracha Reyes.
Kasuga, qui Ă©tait restĂ© calme jusque-lĂ , ne put sâempĂȘcher de hausser le ton. âDans ce pays, les menaces de ton genre ne fonctionnent pas. Tu es sur mon territoire, Ă©tranger. Si tu continues, tu ne verras pas le lever du soleil.â
Anibal, quant Ă lui, resta stoĂŻque. Il connaissait la dangerositĂ© de Reyes, mais il savait aussi que montrer de la peur ne ferait quâaggraver la situation. Il prit une profonde inspiration et dĂ©clara : âJe gĂšre mes propres affaires. Kasuga-san, je vous remercie de votre soutien, mais je sais comment affronter ce genre de problĂšme.â
Peu de dĂ©tails Ă©mergĂšrent sur ce quâil se passa ensuite. Ce qui est sĂ»r, câest quâAnibal et Reyes Ă©changĂšrent des mots plus vifs encore avant que ce dernier ne disparaisse dans la nuit de Tokyo. Kasuga, quant Ă lui, quitta les lieux peu aprĂšs, laissant entendre quâil âallait sâassurer que Reyes comprenne les rĂšgles locales.â
Le lendemain, les gros titres firent sensation. Le corps dâEzekiel Reyes avait Ă©tĂ© retrouvĂ© dans une ruelle sombre de Shinjuku, victime dâune agression brutale. Lâaffaire devint rapidement internationale, les mĂ©dias spĂ©culant sur les implications possibles dâAnibal ou de Kasuga dans cet Ă©vĂ©nement.
Anibal et Kasuga furent convoquĂ©s par la police japonaise. Lâinterrogatoire, menĂ© dans le plus grand professionnalisme, visait Ă clarifier leur rĂŽle dans cette affaire. Kasuga, connu pour son passĂ©, resta Ă©vasif mais courtois, insistant sur le fait quâil nâavait aucun lien avec ce qui Ă©tait arrivĂ©.
Anibal, quant Ă lui, dĂ©clara fermement : âJe suis venu au Japon pour entraĂźner et offrir une stabilitĂ© Ă ma famille. Je nâai aucun lien avec ce qui est arrivĂ© Ă Reyes, et je condamne toute forme de violence.â
LâenquĂȘte japonaise, bien quâexhaustive, nâaboutit pas immĂ©diatement. Cependant, les retombĂ©es furent significatives. Le nom dâAnibal fut associĂ©, malgrĂ© lui, Ă cette affaire, alimentant les spĂ©culations. Certains y virent un acte de lĂ©gitime dĂ©fense symbolique contre une menace incensĂ©e, tandis que dâautres, plus cyniques, suggĂ©rĂšrent quâAnibal avait peut-ĂȘtre trouvĂ© un protecteur plus redoutable que Reyes en la personne de Kasuga.
Quoi quâil en soit, cet Ă©pisode marqua profondĂ©ment Anibal. Il comprit que, malgrĂ© les milliers de kilomĂštres, son passĂ© le poursuivrait toujours. Mais une chose Ă©tait certaine : le Japon lui offrait dĂ©sormais un sanctuaire plus sĂ»r que tout autre endroit, Ă condition de rester dans les bonnes grĂąces de ses alliĂ©s locaux.
Ouh yeah ! RIP Reyes !
Mais de nouveaux problÚmes de réputation et Kasuga qui prend la place
Champagne pour tout le monde ! Câest moi qui rĂ©gale !
Un joli cadeau de Noël
Ah bah voilĂ , liquidĂ© le Reyes, maintenant il va ĂȘtre redevable envers un ex-Yakuza
Câest un coup a ĂȘtre grillĂ© dans pas mal de pays ⊠et potentiellement a remplacer un ancien antagoniste par un autre aussi dangereux si jamais Anibal se met Ă dos Kasuga !
Oh putain joyeux noël Anibal !
Merci Ă ton protecteur secret ! Meilleure nouvelle qui puisse arriver ce soir lĂ !
RĂ©ponses aux lecteurs
@Alexmilano Etrangement je suis pas surpris des réactions
@Sythax Ah voir comment cela impactera notre coach.
@gwendil35 ahah une cuvĂ©e bien cher jâespĂšre.
@toopil le timing est parfait
@Tiien Ou pas. Peut ĂȘtre câest Anibal le tireur qui sait.
@Manthyz ah voir en soit personne ne sait qui a fait le coup. ça se trouve ça nâa mĂȘme rien Ă voir avec eux.
- Yessica veut reprendre sa carriĂšre -
Alors quâAnibal GuimarĂŁes continue de faire les gros titres, parfois pour des exploits sur le terrain, mais aussi pour des affaires plus obscures, sa femme Yessica, ancienne mannequin colombienne, a dĂ©cidĂ© de reprendre en main sa propre vie. FatiguĂ©e de rester confinĂ©e Ă la maison et dĂ©sormais Ă©paulĂ©e par une nounou pour leur petite fille Beatriz, Yessica envisage sĂ©rieusement de relancer sa carriĂšre dans le monde du cinĂ©ma.
Depuis la naissance de leur fille, Yessica avait mis de cÎté sa carriÚre pour se consacrer pleinement à sa famille. Cependant, avec les rumeurs incessantes entourant Anibal et les déplacements fréquents dus à sa carriÚre, la jeune femme a commencé à ressentir le besoin de retrouver une certaine indépendance.
Lors dâune conversation avec Anibal, elle partagea ses sentiments âAni, je tourne en rond ici. Jâadore passer du temps avec Beatriz, mais jâai besoin de me sentir utile autrement. Jâai envie de travailler Ă nouveau, de reprendre ma place dans le monde.â
Anibal compris le besoin de sa femme et lâencouragea dans cette direction.âJe comprends, mi amor. Si câest ce que tu veux, je te soutiens. Mais sois prudente, surtout avec le monde du cinĂ©ma. Il peut ĂȘtre aussi exigeant que le football.â
Avec le feu vert de son mari et une organisation familiale désormais bien rodée, Yessica a commencé à se réinscrire à des agences de casting et à répondre à des opportunités dans le monde du cinéma. Ses expériences passées, combinées à son charme naturel et à son charisme, lui valent déjà des appels de producteurs intéressés par son profil.
Certaines de ces opportunités incluent des productions américaines, mais également des projets internationaux en Amérique latine. Une série dramatique colombienne et un rÎle secondaire dans un thriller hollywoodien ont récemment retenu son attention.
MalgrĂ© son enthousiasme, Yessica garde en tĂȘte ses responsabilitĂ©s en tant que mĂšre et Ă©pouse. Lors dâune discussion avec sa nounou, elle confia âJe veux que Beatriz sache que sa mĂšre peut ĂȘtre prĂ©sente pour elle, tout en poursuivant ses rĂȘves. Câest important de lui montrer lâexemple.â
La nounou Linda, qui sâoccupe de Beatriz depuis quelques semaines, la rassura âVous ĂȘtes une mĂšre formidable, Yessica. Beatriz est entre de bonnes mains, et elle sera fiĂšre de vous, peu importe ce que vous ferez.â
Si Yessica est prĂȘte Ă relever ce dĂ©fi, le contexte familial restait compliquĂ©. Les affaires entourant Anibal ont jetĂ© une ombre sur leur vie privĂ©e, et elle sait que son retour sous les projecteurs pourrait attirer des critiques ou des spĂ©culations.
Cependant, avec le soutien dâAnibal, elle est dĂ©terminĂ©e Ă faire face âCe ne sera pas facile, mais nous avons traversĂ© des tempĂȘtes bien pires. Je suis prĂȘte Ă me battre pour mes rĂȘves, tout comme toi, Ani.â
Alors que Yessica se prĂ©pare Ă retourner sur les plateaux, son entourage est unanime : elle a tout pour rĂ©ussir. Anibal, de son cĂŽtĂ©, voit dans cette dĂ©marche une maniĂšre pour sa femme de sâĂ©panouir et de trouver un Ă©quilibre dans leur vie souvent mouvementĂ©e.
Elle pourra jouer son propre rĂŽle dans le Biopic sur Anibal !