:storygreen: :s22: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Encore une énorme saison pour Anibal. Il manque des continents assez grands pour lui ! :sunglasses:

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Grave pressé que le film sorte :joy::joy:

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Prochain Ă©pisode quand j’arrive Ă  cannes

Ah carrément, le film de Yessica est déjà primé à Cannes!!! :rofl:

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Réponses aux lecteurs

@Tiien encore quelques finales et aprĂšs on verra.

@celiavalencia @toopil J’ai vu @Mark sortir sa beuteu :pasrire:

@alexgavi l’Europe !!!

@CaptainAmericka coquin va

@Tiien non je parlais de moi pour mes vacances :rofl:

- ă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ăŒăƒ«ăƒŽă‚ĄăƒłæŻă§ć„Ș拝 -
- Anibal conquiert la Levain Cup -

Le Japan National Stadium, rempli Ă  craquer, Ă©tait le théùtre d’une confrontation attendue entre deux grandes forces du football japonais : le FC Tokyo et le Nagoya Grampus. Si le match promettait d’ĂȘtre une bataille Ă©quilibrĂ©e sur le papier, la rĂ©alitĂ© sur le terrain fut toute autre. Les hommes d’Anibal GuimarĂŁes, portĂ©s par une saison exceptionnelle, montrĂšrent une supĂ©rioritĂ© Ă©clatante, remportant la Levain Cup 2036 sans vĂ©ritable opposition.

DĂšs le coup d’envoi, Nagoya imposa son rythme. Avec une maĂźtrise impeccable du ballon et une intensitĂ© physique qui Ă©touffait les tentatives du FC Tokyo, l’équipe d’Anibal donna le ton. Les premiĂšres minutes furent marquĂ©es par une sĂ©rie de combinaisons rapides orchestrĂ©es par EstevĂŁo et Nakamura, qui faisaient voler en Ă©clats le bloc dĂ©fensif adverse.

À la 25Ăšme minute, le tournant du match arriva. Nagoya obtint un coup franc aux abords de la surface, lĂ©gĂšrement excentrĂ© sur la droite. Kento Nakamura, le maestro de l’équipe, s’avança pour le tirer. Face Ă  un mur compact et un gardien bien positionnĂ©, il prit une longue inspiration avant d’exĂ©cuter une frappe magistrale. Le ballon dĂ©crivit une courbe parfaite, survolant le mur avant de plonger dans la lucarne gauche. Le gardien du FC Tokyo, malgrĂ© une dĂ©tente spectaculaire, ne put qu’effleurer le cuir. Le stade s’embrasa, partagĂ© entre les cris de joie des supporters de Nagoya et les soupirs de frustration des fans de Tokyo.

1-0 pour Nagoya, et le ton était donné.

Le FC Tokyo tenta de réagir au retour des vestiaires, mais chaque offensive était systématiquement avortée par une défense de fer dirigée par le capitaine Matsuuda. Anibal, fidÚle à son pragmatisme tactique, avait préparé son équipe pour exploiter chaque faiblesse adverse. Les quelques percées du FC Tokyo se heurtÚrent à un mur infranchissable, et les rares tirs furent captés avec assurance par le gardien de Nagoya.

Alors que le temps s’écoulait et que Tokyo cherchait dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  Ă©galiser, Nagoya continua Ă  dominer les dĂ©bats, dictant le tempo avec une prĂ©cision clinique. À la 79Ăšme minute, ils assĂ©nĂšrent le coup de grĂące. EstevĂŁo, en pleine forme, s’avança pour tirer un corner aprĂšs une longue sĂ©quence de pression offensive. Avec une prĂ©cision chirurgicale, il dĂ©posa le ballon au point de penalty, oĂč Matsuura, le robuste dĂ©fenseur central, surgit au milieu de la mĂȘlĂ©e. D’un coup de tĂȘte puissant et parfaitement placĂ©, il envoya le ballon dans les filets, laissant le gardien de Tokyo impuissant.

2-0 pour Nagoya, et le match était plié.

Le coup de sifflet final scella la victoire éclatante de Nagoya. Ce sacre en Levain Cup, leur cinquiÚme au total et le premier depuis 2033, venait couronner une saison déjà légendaire. AprÚs avoir remporté la Ligue des Champions asiatique et la J.League, cette victoire consolidait la domination incontestée de Nagoya sur le football japonais.

Anibal GuimarĂŁes, ovationnĂ© par les supporters, ajoutait une nouvelle ligne dorĂ©e Ă  son palmarĂšs. FidĂšle Ă  son habitude, il resta modeste lors de la confĂ©rence de presse d’aprĂšs-match, rendant hommage Ă  ses joueurs :

“Ce succĂšs, comme les prĂ©cĂ©dents cette saison, appartient Ă  l’équipe. Ils ont travaillĂ© sans relĂąche, et aujourd’hui, ils ont prouvĂ© pourquoi ils sont les meilleurs. Je suis fier d’eux, mais ce n’est qu’un pas de plus. Nous voulons continuer Ă  Ă©crire l’histoire.”

Pour le FC Tokyo, cette dĂ©faite marquait la fin d’une aventure pleine de promesses, mais elle soulignait aussi l’écart qui les sĂ©parait encore de l’élite. Quant Ă  Nagoya, leur saison 2036 restera gravĂ©e dans les annales comme l’une des plus dominantes de l’histoire du football japonais.

Club
:levain_cup: Finale :levain_cup:
Japan national
Stadium
1191
2 - 0
107313
Nagoya
Grampus
FC TOKYO
:but: K.Nakamura (25’)
:but: S.Matsuura (79)
- Chapitre 448 -
- Yessica part tourner un film Ă  LA -
- Chapitre 450 -
Coming SOON - 29/12
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Je pense plutît que Nagoya et Anibal sont dans les annales des autres clubs 
 et plusieurs fois de suite pour certains !

En tout cas, fĂ©licitations au coach, mĂȘme si le manque de rĂ©elle d’opposition doit lui manquer

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Et une ligne de plus dans le palmarĂšs :grin:

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Le Japon semble déjà trop petit pour Anibal

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Réponses aux lecteurs

@Manthyz :pasrire: attends j’en ajoute un autre :sac: Merci pour lui. Oui il commence Ă  manquer d’un vrai dĂ©fi.

@alexgavi et pas la derniĂšre.

@Rhino c’est leu.

- 新ćčŽă‚’ç„ă†ć€©çš‡æŻ -
- La coupe de l’empereur pour fĂȘter la nouvelle annĂ©e ! -

Le 1er janvier 2037, le Japan National Stadium fut le théùtre d’une finale historique de l’Emperor’s Cup, opposant le Tokyo Verdy au Nagoya Grampus. Ce jour de cĂ©lĂ©bration du Nouvel An, attendu avec ferveur par les fans de football japonais, marqua non seulement la fin d’une annĂ©e exceptionnelle pour Nagoya, mais Ă©galement l’un des matches les plus mĂ©morables – et Ă©crasants – de l’histoire rĂ©cente de la compĂ©tition.

Dans un festival de football total, le Nagoya Grampus, dirigĂ© par l’incomparable Anibal GuimarĂŁes, domina son adversaire de maniĂšre spectaculaire, s’imposant par un score sans appel de 9-0. Cette victoire Ă©crasante scella un quatriĂšme titre cette saison pour Nagoya, aprĂšs la J.League, la Ligue des Champions asiatique, et la Levain Cup, consolidant leur statut de gĂ©ants incontestĂ©s du football japonais.

Le match avait Ă  peine commencĂ© que Rafael, le prodige brĂ©silien de 20 ans, fit parler son incroyable instinct de buteur. DĂšs l’engagement, b lança une passe millimĂ©trĂ©e dans le dos de la dĂ©fense du Tokyo Verdy. b, plus rapide que ses adversaires, contrĂŽla le ballon d’un geste sĂ»r avant d’enchaĂźner une frappe sĂšche du pied droit qui fila dans le petit filet opposĂ©. 35 secondes, et Nagoya menait dĂ©jĂ  1-0.

Le Tokyo Verdy, abasourdi par cette ouverture précoce, tenta de se regrouper, mais Nagoya continuait à les submerger avec une intensité et une précision déconcertantes.

À la 22Ăšme minute, b, maĂźtre Ă  jouer de Nagoya, entama son show personnel. Suite Ă  une combinaison rapide dans l’axe, il reçut un ballon en retrait Ă  l’entrĂ©e de la surface. D’un tir enroulĂ© du pied gauche, il dĂ©posa le ballon dans la lucarne, laissant le gardien immobile. 2-0.

Quinze minutes plus tard, à la 37Úme minute, Estevão frappa à nouveau. Cette fois, il intercepta une passe maladroite du milieu de Tokyo, fila vers le but, et exécuta une feinte qui mit le gardien à terre avant de pousser tranquillement le ballon dans les filets. 3-0.

Nagoya continua son rĂ©cital. À la 41Ăšme minute, Surat Srijan, l’ailier thaĂŻlandais, ajouta sa contribution. Sur un corner jouĂ© rapidement, il reçut le ballon Ă  l’extĂ©rieur de la surface, dĂ©cocha une frappe surpuissante qui traversa une forĂȘt de jambes et trompa le gardien. 4-0.

Juste avant la pause, Ă  la 44Ăšme minute, Ryuji Endo, le latĂ©ral offensif, termina un mouvement collectif exceptionnel. AprĂšs un une-deux entre EstevĂŁo et Rafael, Endo surgit Ă  la limite de la surface pour conclure d’un tir croisĂ©. 5-0 Ă  la mi-temps, et Tokyo Verdy semblait dĂ©jĂ  terrassĂ©.

La deuxiĂšme mi-temps reprit sous le mĂȘme signe : celui de la domination totale. À la 70Ăšme minute, Rafael signa son doublĂ©. LancĂ© en profondeur par Surat Srijan, il Ă©limina un dĂ©fenseur d’un crochet extĂ©rieur avant de frapper en force sous la barre transversale. 6-0.

Cinq minutes plus tard, Ă  la 75Ăšme minute, Takumi Okumura, jeune espoir japonais, ajouta son nom Ă  la feuille de match. Servi par un centre parfait d’Endo, il s’éleva au-dessus de la dĂ©fense et catapulta une tĂȘte imparable dans le filet. 7-0.

À la 79Ăšme minute, b complĂ©ta son triplĂ©. Sur un coup franc excentrĂ©, il surprit tout le monde en tirant directement au premier poteau, prenant le gardien de court. 8-0.

Enfin, Ă  la 87Ăšme minute, Takashi Tanaka, le capitaine emblĂ©matique de Nagoya, clĂŽtura la fĂȘte. AprĂšs une rĂ©cupĂ©ration haute, il dribbla deux dĂ©fenseurs avant de placer une frappe enroulĂ©e au ras du poteau. 9-0.

Au coup de sifflet final, le score Ă©tait sans appel : 9-0. Les joueurs de Nagoya cĂ©lĂ©brĂšrent avec une intensitĂ© particuliĂšre ce quatriĂšme sacre de la saison, leur premier en Emperor’s Cup depuis 2024 et leur quatriĂšme au total.

Dans sa confĂ©rence d’aprĂšs-match, Anibal GuimarĂŁes dĂ©clara :

“Cette victoire est le reflet du travail acharnĂ© et du dĂ©vouement de mes joueurs. Ils ont Ă©crit une page d’histoire aujourd’hui, mais le plus important est de continuer Ă  progresser. Ce n’est que le dĂ©but de quelque chose de plus grand.”

Pour Tokyo Verdy, ce fut une dĂ©faite amĂšre, mais elle marqua aussi la reconnaissance de la supĂ©rioritĂ© de Nagoya, une Ă©quipe qui, sous la houlette d’Anibal, semblait inarrĂȘtable. Pour le football japonais, cette finale restera gravĂ©e comme une dĂ©monstration Ă©clatante de la domination d’une Ă©quipe lĂ©gendaire en 2036.

Club
:emperor_cup: Finale :emperor_cup:
Japan National
Stadium
1191
9 - 0
1196
Nagoya
Grampus
Tokyo
verdy
:but: :but: Rafael (1’, 70’)
:but: :but: :but: estevão(22’, 37’, 79’)
:but: S.Srijan (41’)
:but: R.Endo (44’)
:but: T.Okumura (75’)
:but: T.Tanaka (87’)
- Chapitre 449 -
- Anibal conquiert la Levain Cup -
- Chapitre 451 -
Coming SOON - 30/12
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:underage:

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cannoli GIF

C’est toujours le mĂȘme ordre d’idĂ©e


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La seance du jour avec Dr Anibal, spécialiste en élargissement du trou de balle !

day today GIF

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La défense de Tokyo à chaque but de Nagoya !

jurassic park pain GIF

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Capture d'écran 2024-12-29 214607

Il a un doigt vachement long notre Anibal! Il tient la coupe (on ne sait comment) par le dessus et son doigt est au dessus de la base! BalĂšze! (en plus avec le logo de la Champions League :sac: )

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C’est dĂ©cidĂ©ment bien trop facile tout ça

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Réponses aux lecteurs

@gwendil35 :sac:

@Tiien c’est bientît fini :dsk:

@Sythax t’abuses bro

@Manthyz Pas de répit pas de Rival, Bonjour Dr Anibal ! :musical_note:

@celiavalencia c’est vrai qu’ils ont morflĂ© les pauvres :pasrire:

@toopil c’est pas encore parfait mais ça fait dĂ©jĂ  des gros rendus :hoho:

- ă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ă€ăƒ•ă‚Ąăƒłă«ćŽ»ć°±ă‚’ç™șèĄš -
- Anibal annonce son dĂ©part Ă  l’orca -

Le 02 Janvier 2037, le siĂšge du Nagoya Grampus Ă©tait transformĂ© en un lieu de cĂ©lĂ©bration somptueuse pour marquer la fin d’une saison lĂ©gendaire. Les joueurs, le staff, les dirigeants, et tous les salariĂ©s du club Ă©taient rĂ©unis dans une atmosphĂšre de fĂȘte, unis par la fiertĂ© et la gratitude envers une annĂ©e qui avait vu le club conquĂ©rir pas moins de quatre trophĂ©es majeurs : la Ligue des Champions asiatique, la J.League, la Levain Cup, et l’Emperor’s Cup.

Au centre de cette soirĂ©e exceptionnelle se trouvait Anibal GuimarĂŁes, l’entraĂźneur portugais dont le gĂ©nie tactique et le leadership avaient portĂ© Nagoya vers une saison invincible. Alors que les trophĂ©es Ă©taient exposĂ©s sur une scĂšne magnifiquement Ă©clairĂ©e, il vint prendre la parole, invitĂ© par Jin Suzuki, le prĂ©sident du club. Les conversations cessĂšrent, et un silence respectueux s’installa. Tous attendaient avec impatience ce que le charismatique entraĂźneur avait Ă  dire.

Anibal commença par une rĂ©trospective des succĂšs de la saison, rappelant les moments clĂ©s de chaque victoire, les dĂ©fis surmontĂ©s, et l’unitĂ© qui avait conduit Ă  ces triomphes. Avec son style habituel, mĂ©lange de sincĂ©ritĂ© et de finesse, il fĂ©licita ses joueurs un par un, soulignant les contributions uniques de chacun, des buts dĂ©cisifs de Rafael et EstevĂŁo aux interventions cruciales de Takashi Tanaka en dĂ©fense.

“Chaque trophĂ©e ici,” dit-il en dĂ©signant les quatre piĂšces scintillantes, “est le fruit de votre travail, de votre dĂ©vouement et de votre passion. Vous ĂȘtes tous des champions, et ce club est une famille. Et il nous en reste un Ă  aller chercher ensemble.”

Puis, il tourna son attention vers les salariĂ©s du club, souvent dans l’ombre mais essentiels Ă  son bon fonctionnement. Il remercia chaleureusement chaque dĂ©partement – logistique, mĂ©dical, administratif, communication – pour leur rĂŽle dans la construction d’un environnement propice Ă  l’excellence.

Enfin, il s’adressa directement Ă  Jin Suzuki, le prĂ©sident du club, et Ă  Keito Hiraoka, le directeur sportif.

“Jin, Keito, sans votre vision et votre soutien inĂ©branlable, rien de tout cela n’aurait Ă©tĂ© possible. Vous avez tout fait pour que l’équipe dispose des meilleures conditions, pour que nous puissions nous concentrer uniquement sur le terrain. Votre leadership est une source d’inspiration.”

AprĂšs ces mots empreints de gratitude, Anibal marqua une pause, comme pour rassembler ses pensĂ©es. Lorsqu’il reprit, son ton Ă©tait plus solennel, et l’audience sentit qu’un moment important approchait.

“Ce soir, alors que nous cĂ©lĂ©brons cette annĂ©e incroyable, je dois aussi partager une nouvelle importante avec vous tous,” dit-il. “AprĂšs la Supercoupe Fujifilm, je quitterai le Nagoya Grampus. Ce fut une dĂ©cision difficile, mais je crois que c’est le bon moment pour moi de passer Ă  autre chose.”

La salle fut saisie d’un mĂ©lange de surprise et de tristesse. Anibal continua, visiblement Ă©mu :

“Je ne sais pas encore ce que l’avenir me rĂ©serve, mais je sais une chose avec certitude : cette annĂ©e au Japon restera gravĂ©e dans mon cƓur. Ce club, cette ville, et vous tous, avez fait de cette expĂ©rience quelque chose de magique. Je pars avec un immense respect et une gratitude infinie.”

AprĂšs une salve d’applaudissements nourris, Jin Suzuki monta sur scĂšne pour prendre la parole. Le prĂ©sident, lui aussi visiblement Ă©mu, remercia Anibal pour tout ce qu’il avait accompli.

“Anibal, tu n’es pas seulement un entraĂźneur exceptionnel, mais aussi un homme qui a marquĂ© ce club de maniĂšre indĂ©lĂ©bile. Cette saison restera Ă  jamais dans l’histoire du Nagoya Grampus, et c’est grĂące Ă  toi. Pour te remercier, et pour symboliser cette annĂ©e extraordinaire, nous avons un cadeau pour toi.”

Jin Suzuki dĂ©voila alors un trophĂ©e unique : une sculpture en or reprĂ©sentant une orque, emblĂšme du Nagoya Grampus, gravĂ©e des mots “Merci, Anibal. 2036, une saison inoubliable”.

Anibal, surpris et touché, accepta le trophée avec humilité.

“Je n’ai pas de mots,” dit-il, sa voix lĂ©gĂšrement brisĂ©e par l’émotion. “Ce trophĂ©e reprĂ©sente tout ce que nous avons accompli ensemble. Je suis fier de vous, et ce sera un souvenir que je chĂ©rirai toute ma vie.”

La soirée se poursuivit dans une ambiance chaleureuse, marquée par des échanges sincÚres et des accolades. Les joueurs et le staff profitÚrent de ces derniers moments pour exprimer leur reconnaissance à Anibal, tandis que les salariés du club partageaient anecdotes et souvenirs.

Au-delĂ  des trophĂ©es et des cĂ©lĂ©brations, cette soirĂ©e marqua un tournant symbolique pour le Nagoya Grampus. Anibal GuimarĂŁes, avec sa vision et son charisme, laissait un hĂ©ritage durable, non seulement en termes de rĂ©sultats, mais aussi d’esprit d’équipe et de fiertĂ© collective. Alors que la nouvelle annĂ©e s’annonçait, le club et ses supporters savaient qu’ils avaient Ă©tĂ© tĂ©moins de quelque chose d’exceptionnel.

- Chapitre 450 -
- Anibal conquiert la Levain Cup -
- Chapitre 452 -
Coming SOON - 30/12
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Eh allez un petit coup de brosse à reluire
 :joy: :joy:

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Un dĂ©part logique. Anibal n’a plus rien Ă  prouver chez les japonais

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Réponses aux lecteurs

@VertPourToujours c’est normal aussi y’a pas que le terrain ou l’entrainement.

@Rhino ce fut bref mais intense comme on dit.

- ă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ăŻæ±șă—ăŠæ­ąăŸă‚‰ăȘい -
- Anibal ne s’arrĂȘte plus -

Le Kanagawa Stadium fut le théùtre d’une finale empreinte d’émotions particuliĂšres pour la Supercoupe Fujifilm 2037. Opposant le Nagoya Grampus, champion invaincu de la J.League 2036, Ă  son dauphin, le Gamba Osaka, le match symbolisait bien plus qu’un simple affrontement sportif : il marquait le dernier match d’Anibal GuimarĂŁes Ă  la tĂȘte de l’Orca. Sous la houlette du charismatique entraĂźneur portugais, Nagoya avait non seulement dominĂ© le football japonais, mais aussi laissĂ© une empreinte indĂ©lĂ©bile sur le paysage sportif.

L’ambiance au Kanagawa Stadium Ă©tait Ă©lectrique, mĂȘlant nostalgie et excitation. Les fans de Nagoya, vĂȘtus de rouge et jaune, dĂ©ployĂšrent une immense banniĂšre Ă  l’effigie d’Anibal avec le message : “Obrigado, Mister! Une Ăšre lĂ©gendaire et invincible”, tandis que les supporters du Gamba Osaka espĂ©raient gĂącher la fĂȘte en prenant leur revanche.

Le dĂ©but du match fut marquĂ© par une tension palpable. Les deux Ă©quipes, conscientes de l’importance de l’enjeu, s’observaient prudemment. Nagoya, fidĂšle Ă  son style, imposa un rythme contrĂŽlĂ©, tandis qu’Osaka misait sur des contres rapides pour exploiter la moindre faille.

MalgrĂ© quelques tentatives de part et d’autre, la premiĂšre mi-temps s’acheva sur un score nul et vierge, les gardiens des deux camps rĂ©alisant plusieurs arrĂȘts dĂ©cisifs. Anibal, depuis la ligne de touche, maintenait une posture calme mais concentrĂ©e, conscient que ses ajustements Ă  la pause seraient cruciaux.

La deuxiĂšme mi-temps dĂ©marra avec un regain d’intensitĂ©, et c’est Nagoya qui trouva la faille le premier, Ă  la 54Ăšme minute. Takumi Okumura, le jeune prodige japonais, ouvrit le score aprĂšs une action collective magnifiquement orchestrĂ©e. EstevĂŁo rĂ©cupĂ©ra un ballon perdu au milieu de terrain et lança une contre-attaque fulgurante. AprĂšs une sĂ©rie de passes rapides, Surat Srijan servit Okumura d’une talonnade subtile Ă  l’entrĂ©e de la surface. D’un tir croisĂ© imparable, Okumura plaça le ballon dans le petit filet, dĂ©clenchant une explosion de joie dans les tribunes de Nagoya. 1-0.

Le Gamba Osaka, loin d’abdiquer, monta en puissance. À la 72Ăšme minute, ils Ă©galisĂšrent grĂące Ă  Satake, leur meneur de jeu emblĂ©matique. Sur un corner tirĂ© par Matsui, Satake profita d’un ballon mal dĂ©gagĂ© par la dĂ©fense de Nagoya pour dĂ©cocher une volĂ©e sublime depuis l’extĂ©rieur de la surface. Le ballon fila directement dans la lucarne gauche, laissant le gardien de Nagoya sans rĂ©action. 1-1, et le Kanagawa Stadium vibrait Ă  l’unisson.

Les deux équipes continuÚrent à se battre avec acharnement dans les derniÚres minutes, mais aucune ne parvint à faire la différence, conduisant à une séance de tirs au but pour décider du vainqueur.

Nagoya, fort de son sang-froid lĂ©gendaire, s’illustra une fois de plus dans cet exercice. Yokochi, Hyun-Suk, Seto, et Ono transformĂšrent leurs tirs avec une prĂ©cision clinique. De son cĂŽtĂ©, le Gamba Osaka ne put compter que sur les rĂ©ussites de Matsui et Jae-Won, tandis que Satake, pourtant hĂ©ros du temps rĂ©glementaire, vit sa tentative repoussĂ©e par le gardien de Nagoya, et que Takayama envoya son tir au-dessus de la barre.

Avec un score final de 4-2 aux tirs au but, Nagoya Grampus s’adjugeait la Supercoupe Fujifilm, offrant Ă  Anibal son cinquiĂšme et dernier titre Ă  la tĂȘte de l’Orca.

Au coup de sifflet final, les joueurs de Nagoya entourĂšrent leur entraĂźneur pour une cĂ©lĂ©bration empreinte de respect et d’émotion. Le Kanagawa Stadium retentit des chants des supporters rendant hommage Ă  Anibal, dont l’ùre Ă  Nagoya restera gravĂ©e comme une pĂ©riode de domination sans prĂ©cĂ©dent.

Lors de la cérémonie de remise du trophée, Anibal, les yeux brillants mais souriant, tint un discours bref mais poignant :

“Ce n’est pas une fin, mais un nouveau dĂ©part. Ce club, cette Ă©quipe, cette ville resteront Ă  jamais dans mon cƓur. Merci pour tout ce que vous m’avez donnĂ©. Aujourd’hui, nous cĂ©lĂ©brons non seulement une victoire, mais une histoire Ă©crite ensemble.”

Avec cette Supercoupe, Anibal GuimarĂŁes conclut une saison parfaite et une Ăšre marquĂ©e par l’invincibilitĂ©, la discipline, et un football de classe mondiale. Le Portugal attendait peut-ĂȘtre son retour, mais pour les fans de Nagoya, il serait Ă  jamais le maestro qui avait redĂ©fini les limites du possible.

Club
:fujifilm_supercup: Finale :fujifilm_supercup:
Kanagawa
Stadium
1191
p 1 - 1
1186
Nagoya
Grampus
Gamba
Osaka
:but: T.Okumura (54’) R.Satake (72’) :but:
T.Yokochi, K.Hyun-Suk, H.Seto, H.Ono :green_circle: S.Matsui, K.Jae-Won
:red_circle: Y.Takayama, R.Satake
- Chapitre 451 -
- Anibal annoncĂ© son dĂ©part Ă  l’orca -
- Chapitre 453 -
Coming SOON - 30/12
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