:storygreen: :s20: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Ce début de saison, aucune demi-mesure !
Des adversaires de choix en compétition continentale, mais de toute façon, faudra passer sur tout le monde pour gagner :muscle:

1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka J’ai toujours pas la ref. Mais pas dur de savoir de quelle catĂ©gorie de films tu parles. Attention, confondont pas Libertadores et Championnat d’état. La partie rĂ©gional du calendrier des clubs brĂ©siliens c’est un sketch. Souvenez vous avec Goias. La encore c’est un peu plus relever mais c’est clairement le championnat ou tu tapes des cartons :hoho:

@toopil j’y compte bien ceci dit.

@alexgavi bof le tirage est Ă©clatĂ©. Ya que Belgrano de potentiellement dangereux. Le reste honnĂȘtement c’est branlette.

- Rivaldo -
« Rafael et Ivanilson reprĂ©sente l’avenir Â» -

Dans une interview passionnante accordĂ©e aux mĂ©dias brĂ©siliens, Rivaldo, l’une des plus grandes lĂ©gendes de l’histoire du Palmeiras et du football brĂ©silien en gĂ©nĂ©ral, a pris le temps de partager ses rĂ©flexions sur la saison en cours et sur les attentes immenses qui pĂšsent sur les Ă©paules de son ancien club. Le lĂ©gendaire numĂ©ro 10, champion du monde et ancien Ballon d’Or, a gardĂ© un lien Ă©troit avec le VerdĂŁo et n’a pas cachĂ© son enthousiasme quant aux perspectives de cette annĂ©e sous la direction d’Anibal GuimarĂŁes.

“Le Palmeiras est un club avec une tradition Ă©norme,” commença Rivaldo, les yeux brillants de fiertĂ©. “Quand vous enfilez ce maillot, vous savez que vous devez viser le sommet. Rien de moins que le titre en Brasileirao et en Copa Libertadores ne suffira. C’est une Ă©norme responsabilitĂ©, mais c’est aussi une opportunitĂ© incroyable d’écrire l’histoire.” Pour Rivaldo, le dĂ©fi est de taille, mais il a confiance en la capacitĂ© de l’équipe actuelle Ă  relever ce dĂ©fi, surtout sous la houlette d’un tacticien de la trempe d’Anibal.

Lorsqu’on lui demanda qui pourrait ĂȘtre la prochaine lĂ©gende de Palmeiras, Rivaldo prit un moment pour rĂ©flĂ©chir. Il semblait peser chaque mot, conscient de l’importance de son avis. “Vous savez,” dit-il, son regard s’adoucissant, “nous avons des talents incroyables au VerdĂŁo, des jeunes qui rĂȘvent de devenir des idoles. Mais s’il y a deux garçons que je surveille de prĂšs, ce sont Ivanilson et Rafael.” À la mention de ces deux noms, l’intĂ©rĂȘt des journalistes redoubla, et les enregistreurs crĂ©pitĂšrent.

“Ces deux-lĂ  ont un potentiel exceptionnel,” continua-t-il. “Ils ont grandi ensemble ici, sur ces terrains oĂč j’ai moi-mĂȘme Ă©voluĂ©, et ils ont un lien spĂ©cial. Ivanilson est un ailier polyvalent qui sait tout faire, Ă  la fois intelligent tactiquement et incroyablement crĂ©atif avec le ballon. Rafael, lui, c’est un buteur qui n’a peur de rien, toujours solide dans les duels et avec une mentalitĂ© de gagnant.” Rivaldo marqua une pause, comme pour laisser l’image de ces deux prodiges se dessiner dans l’esprit de son auditoire.

“Ce qui est fascinant, c’est qu’ils jouent ensemble depuis qu’ils ont 9 ans,” ajouta-t-il. “Ils ont Ă©tĂ© rĂ©guliĂšrement surclassĂ©s, dĂ©fiant des adversaires plus ĂągĂ©s et s’adaptant Ă  chaque fois. Cette complicitĂ© qu’ils ont dĂ©veloppĂ©e est rare, presque unique. Sur le terrain, ils se comprennent sans avoir Ă  se parler. Mais,” et ici Rivaldo devint plus sĂ©rieux, “pour devenir des lĂ©gendes, il ne suffit pas de talent. Ils doivent faire les bons choix, rester concentrĂ©s, rigoureux. Être un joueur de Palmeiras, c’est faire preuve de professionnalisme Ă  chaque instant.”

Les journalistes, captivĂ©s, prirent note des dĂ©clarations de Rivaldo. Ces mots pesaient lourd, car ils venaient de quelqu’un qui savait ce que cela reprĂ©sentait de porter le maillot vert et blanc. Rivaldo insista sur l’importance de l’humilitĂ© et de l’engagement. “Il y a beaucoup de distractions dans le football moderne, regardez Neymar
” expliqua-t-il. “Mais si Ivanilson et Rafael restent les pieds sur terre, s’ils continuent Ă  travailler dur et Ă  Ă©couter leurs entraĂźneurs, je crois vraiment qu’ils iront loin, pas seulement ici, mais aussi en Europe.”

Pour Ivanilson et Rafael, ces Ă©loges venant de Rivaldo ne pouvaient que renforcer leur dĂ©termination. Ils savaient qu’ils Ă©taient sous les projecteurs et que tout le monde attendait de voir s’ils allaient devenir les nouvelles figures emblĂ©matiques de Palmeiras. Mais ce n’était pas une pression qui les effrayait. Anibal GuimarĂŁes lui-mĂȘme avait dĂ©jĂ  reconnu l’importance de ces deux jeunes talents pour l’avenir du club, les intĂ©grant progressivement dans l’équipe premiĂšre avec l’espoir qu’ils s’épanouissent sous son aile.

Alors que le soleil brillait sur SĂŁo Paulo, l’ombre de Rivaldo continuait de planer sur l’Allianz Parque. Ses mots rĂ©sonnaient comme un rappel de l’hĂ©ritage glorieux du Palmeiras, et l’espoir de voir surgir de nouvelles lĂ©gendes Ă©tait plus vivant que jamais. Ivanilson et Rafael, conscients de ce qu’on attendait d’eux, Ă©taient prĂȘts Ă  relever le dĂ©fi, avec le soutien de leurs coĂ©quipiers, de leur entraĂźneur, et de toute une ville derriĂšre eux.

- Chapitre 377 -
- Sorteo de Libertadores -
- Chapitre 379 -
Coming SOON - 16/11
10 « J'aime »

Quelle lĂ©gende ce Rivaldo ! Par contre je veux bien son secret car il n’a pas pris une ride sur la photo :joy:

Tu as l’air d’avoir encore 2 belles promesses


1 « J'aime »

2ùme titre

Et ça continue encore et encore
C’est que le dĂ©but D’accord D’accord


Alors je récapitule en super pépites nous avons

  • Saulo
  • EugĂ©nio
  • Rafael
  • Ivanilson

Ca fait du beau monde tout ça
 Comment Annibal va gĂ©rer les deux avants centres ? Changement de tactique ?

1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka les joues de l’IA :pasrire:

@VertPourToujours deux supercoupes :no: Oui y’a du talent en jeunes mais pour le moment ça joue pas trop en pro hormis Saulo et un peu Ivanilson. On a le temps de voir venir.

- Herrera en a marre et veut partir ! -

Les tensions Ă©taient palpables au centre d’entraĂźnement de Palmeiras en ce matin ensoleillĂ©, mais personne ne s’attendait Ă  ce que la situation dĂ©gĂ©nĂšre comme elle l’a fait. Hector Herrera, le latĂ©ral argentin de 27 ans, n’avait jamais cachĂ© sa frustration ces derniĂšres semaines. FormĂ© Ă  Rosario Central et passĂ© par le prestigieux Boca Juniors, Herrera avait dĂ©barquĂ© au VerdĂŁo avec l’ambition de briller dans le Brasileirao. Pourtant, l’arrivĂ©e de Juan-Sebastian Anaya, recrutĂ© par Anibal GuimarĂŁes pour occuper le flanc gauche, et la solide paire Yan Couto - Wesley sur l’aile droite, avaient considĂ©rablement rĂ©duit ses opportunitĂ©s de jeu.

Les espoirs d’Herrera de devenir un joueur clĂ© de Palmeiras semblaient s’évanouir. Anibal avait construit un effectif redoutable, et le latĂ©ral argentin n’entrait plus dans ses plans. À chaque match, il voyait son nom absent de la feuille de convocation, et la frustration bouillonnait en lui. Mais ce jour-lĂ , en apprenant qu’il ne serait pas retenu pour le match crucial de la 10Ăšme journĂ©e contre le Red Bull Bragantino, tout explosa.

La scĂšne se dĂ©roula devant ses coĂ©quipiers, qui s’échauffaient en vue de la sĂ©ance d’entraĂźnement. Hector Herrera, vĂȘtu de son maillot vert d’entraĂźnement, s’approcha du staff d’Anibal avec un regard enflammĂ©. Ses mains tremblaient de colĂšre, et il balança son sac Ă  terre avec une force qui fit Ă©cho sur le terrain. L’atmosphĂšre changea en un instant.

« Vous savez quoi ? » lança Herrera sur un ton acide, ses mots tranchants comme des lames. « Je commence Ă  comprendre comment ça marche ici. Peut-ĂȘtre que je devrais payer un cartel pour espĂ©rer jouer ! »

Ces paroles glaciales rĂ©sonnĂšrent dans l’air, et un silence pesant tomba sur tout le centre d’entraĂźnement. Anibal, qui avait jusque-lĂ  gardĂ© son calme lĂ©gendaire face aux tensions internes, sentit une colĂšre sourde monter en lui. Ses poings se serrĂšrent, et il fit un pas menaçant vers Herrera, les mĂąchoires crispĂ©es.

« RĂ©pĂšte ça, Hector ! » rugit Anibal, la fureur dĂ©formant son visage d’ordinaire impassible. Son accent portugais se faisait plus marquĂ© sous l’effet de la colĂšre. « Comment oses-tu insinuer une telle chose ici ? »

La tension Ă©tait Ă  son comble. Saldanha, fidĂšle adjoint et futur coach de Palmeiras, se prĂ©cipita pour s’interposer entre les deux hommes. Javi Sanchez, l’autre adjoint, emboĂźta le pas, posant une main ferme sur l’épaule d’Anibal pour le retenir. Les joueurs, eux, se regroupĂšrent, choquĂ©s par ce qu’ils voyaient.

Herrera ne recula pas. L’adrĂ©naline le rendait tĂ©mĂ©raire, presque insensĂ©. Mais dans son regard, il y avait plus que de la colĂšre : une douleur, celle d’un joueur qui se sentait trahi par ses propres rĂȘves.

Saldanha tenta de calmer les choses. « Hector, arrĂȘte ça maintenant, » dit-il, la voix ferme mais pleine de compassion. « Ce n’est pas le moment ni l’endroit. Tu sais que ce genre de paroles n’a pas sa place ici. »

Herrera jeta un regard noir Ă  ses adjoints avant de cracher sur le sol, symbole de son mĂ©pris. « Je n’ai plus rien Ă  perdre, Saldanha. Si je ne peux pas jouer, autant partir tout de suite ! »

Anibal, bien que retenu, lança un dernier regard perçant Ă  Herrera. « Si tu veux partir, Hector, personne ne te retient. Mais ne salis pas ce club avec tes insinuations. Ici, on se bat sur le terrain, pas dans les coulisses. Je te souhaite sincĂšrement de ne jamais avoir Ă  faire avec un cartel »

Le latĂ©ral argentin, bouillonnant de rage, ramassa son sac et quitta le terrain en jurant dans sa langue natale. La tension mit un moment Ă  retomber. Anibal se dĂ©tourna, le visage marquĂ© par la fatigue des conflits qui semblaient ne jamais finir. Il savait que cette Ă©quipe avait un potentiel immense, mais il Ă©tait conscient que maintenir la discipline et l’unitĂ© Ă©tait un dĂ©fi constant.

AprĂšs l’entraĂźnement, Anibal s’assit avec Saldanha et Javi Sanchez pour discuter de la suite des Ă©vĂ©nements. Il Ă©tait clair que la situation de Herrera ne pouvait pas rester en suspens. Un transfert semblait inĂ©vitable. Mais pour Anibal, l’essentiel Ă©tait que l’équipe reste concentrĂ©e sur ses objectifs. Il jura de ne pas laisser les drames personnels mettre en pĂ©ril la saison de Palmeiras.

- Chapitre 378 -
- « Rafael et Ivanilson sont l’avenir Â» -
- Chapitre 380 -
Coming SOON - 16/11
10 « J'aime »

Le dĂ©part semble inĂ©vitable. Et le plus tĂŽt sera le mieux. DĂ©jĂ  une forte amende et, comme il est parti de l’entrainement, une mise Ă  pied. Ça Ă©vitera au moins qu’il foute le bordel dans le vestiaire

1 « J'aime »

Au pire, s’il veut vraiment partir, tu le vend à Envigado, il verra ce que cela fait de jouer pour un cartel 


3 « J'aime »

Bon bah le message a l’air d’ĂȘtre clair :hoho:

1 « J'aime »

Y a toujours des frustrĂ©s, mĂȘme quand tout va bien !

1 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@VertPourToujours il est plus dans le groupe façon :dsk:

@Manthyz j’y ai pensĂ© :hoho:

@CaptainAmericka c’est clair qu’il va faire un loooooong sĂ©jour en rĂ©serve :hoho:

- En route pour un nouveau titre -

Pour la dixiĂšme journĂ©e du PaulistĂŁo, Anibal avait donc taper fort en envoyant Herrera en tribunes. Sur le terrain, les joueurs ne semblĂšrent pas perturbĂ©s et Rodrygo ouvra le score aprĂšs Ă  peine 30 secondes. Plus tard Breno Danko signa un doublĂ© pour assurer la qualification du club en quart de finale. La Libertadores commença ensuite avec un dĂ©placement Ă  Lima. Palmeiras ne fit qu’une bouchĂ©e de son adversaire. Rodrygo ouvra facilement le score avant que GĂ­lson y ajoute un doublĂ© plein de classe. Pas le temps de souffler que la seconde journĂ©e Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ  avec la rĂ©ception des argentins de Belgrano. Si la dĂ©fense fut en difficultĂ© en dĂ©but de match encaissant deux buts, l’attaque compensa Ă  nouveau. GĂ­lson puis Vini Jr permirent au club de revenir Ă  hauteur avant qu’Auribertinho ne donne l’avantage aux brĂ©siliens. Yan Couto puis Rodrygo assurĂšrent la victoire.

Pour le retour au PaulistĂŁo, GĂ­lson claqua un doublĂ© pour faire tomber Santos mais le club concĂ©da deux buts et un nul. Mais la puissance offensive local repris des couleurs en recevant les colombiens de l’Atletico Naciional avec un nouveau doublĂ© de GĂ­lson combinĂ© au doublĂ© de Rodrygo en feu en ce dĂ©but de saison. Enfin la phase de championnat du PaulistĂŁo s’est terminĂ© par un petit carton contre Oeste. GĂ­lson ouvrit le score avant que Rodrygo claque un doublĂ© puis que Vinicius marque lors de son entrĂ©e en jeu.

Le quart de finale fut une formalitĂ© avec un carton contre l’Inter de Limeira. Nicolas Valentini marqua sur corner avant qu’on voit un triplĂ© d’Auribertinho qui revit durant ce retour au pays. Rodrygo y alla aussi de son but Ă  la pause.

En demi finale contre Santos, Palmeiras s’imposa cette fois grñce à Gílson, Breno Danko et un but tardif d’Emerson Macachero. Le Verdão retrouvait ainsi la finale du championnat local pour la premiùre fois en trois ans.

Avant d’attaquer le dĂ©but du BrasileirĂŁo, les alviverdes ont refait tomber l’Atletico sur un but de Breno Danko puis en s’offrant Bahia en Copa do Brasil se mettant idĂ©alement en situation aprĂšs le match aller. Lors de cette victoire, Palmeiras vit Rodrygo ouvrir le score puis Vini Jr grattifiĂ© le public d’un raid fou. GĂ­lson ajouta un but avant que Talles Magno entrĂ© en jeu ne s’offre un doublĂ©.

Le BrasileirĂŁo a commencĂ© contre la Juventude promu, et le champion n’a pas failli Ă  sa rĂ©putation. William a retrouvĂ© le chemin des filets puis Vinicius a su marquĂ© un nouveau but suivi de GĂ­lson et Rodrygo en fin de match. Le club a enchainĂ© avec une nouvelle victoire contre Bragantino Ă  la faveur de buts de GĂ­lson et Breno Danko. Les deux clubs se retrouveront en finale du PaulistĂŁo.

Palmeiras a ensuite assurĂ© sa qualification en Copa Libertadores en faisant de nouveau tomber Lima. Talles Magno titulaire claqua un doublĂ© suivi du premier but en pro d’Ivanilson. Breno Danko en feu ajouta ensuite un doublĂ©. Pour le retour de Copa Brasil, Bahia ne fit pas illusion et Rodrygo puis GĂ­lson se chargĂšrent de finir le boulot. Hasard du calendrier, Bahia retrouvait encore Palmeiras en championnat et a nouveau Palmeiras finit le travail. Anaya marqua son second but de la saison. suivi d’un but de William. Vinicius poussa Lucas au csc avant que Rodrygo n’ajoute un nouveau but permettant au Palmeiras de se hisser en tĂȘte du championnat.

Date Club Score Buteurs
:campeonato_paulista: J10 3/3/2035 :bragantino: Bragantino 1 - 3 Rodrygo (1), Breno Danko (38, 60)
:grootliberta: M1 6/3/2035 :lima: Alianza Lima 0 - 3 Rodrygo (30), GĂ­lson (42, 73)
:grootliberta: M2 13/3/2035 :belgrano: Belgrano 5 - 2 GĂ­lson (26), VinĂ­cius JĂșnior (35), Auribertinho (42), Yan Couto (45), Rodrygo (51)
:campeonato_paulista: J11 17/3/2035 :santos: Santos 2 - 2 GĂ­lson (63, 65)
:grootliberta: M3 20/3/2035 :atletico_nacional: Atlético Nacional 4 - 2 Gílson (20, 59), Rodrygo (36, pen 65)
:campeonato_paulista: J12 25/3/2035 :oeste: Oeste 0 - 4 GĂ­lson (3), Rodrygo (16, pen 44), VinĂ­cius JĂșnior (90+1)
:campeonato_paulista: 1/4 1/4/2035 :inter_limeira: Inter de Limeira 5 - 0 NicolĂĄs Valentini (12), Auribertinho (28, 31, 67), Rodrygo (45+1)
:campeonato_paulista: 1/2 7/4/2035 :santos: Santos 3 - 1 GĂ­lson (33), Breno Danko (74), Emerson Macachero (90+2)
:grootliberta: M4 10/4/2035 :atletico_nacional: Atlético Nacional 0 - 1 Breno Danko (86)
:copa_brazil: T3 13/4/2035 :bahia: Bahia 5 - 1 Rodrygo (8), VinĂ­cius JĂșnior (47), GĂ­lson (60), Talles Magno (72, pen 87)
:serieabre: J1 18/4/2035 :juventude: Juventude 4 - 0 William (7), VinĂ­cius JĂșnior (11), GĂ­lson (77), Rodrygo (pen 88)
:serieabre: J2 21/4/2035 :bragantino: Bragantino 1 - 2 GĂ­lson (51), Breno Danko (75)
:grootliberta: M5 24/4/2035 :lima: Alianza Lima 5 - 0 Talles Magno (6, 50), Ivanilson (18), Breno Danko (22, 55)
:copa_brazil: T3 27/4/2035 :bahia: Bahia 0 - 2 Rodrygo (46), GĂ­lson (51)
:serieabre: J3 30/4/2035 :bahia: Bahia 4 - 0 J-S.Anaya (8), William (61), Lucas c.s.c. (68), Rodrygo (pen 84)

- Classificação | Paulistão -

Palmeiras invaincu est donc en finale du championnat contre Bragantino.

Clt
Équipe
J G N P Bm Be Diff Pts
1er :palmeiras: Palmeiras 14 13 1 0 49 8 +41 40
2e :bragantino: Bragantino 14 11 2 1 44 13 +31 35
3e :sao_paulo: SĂŁo Paulo 14 10 1 3 39 11 +28 33
4e :corinthians: Corinthians 13 8 1 4 45 17 +28 25
5e :santos: Santos 14 7 4 3 30 18 +12 25
6e :botafogo_sp: Botafogo-SP 12 7 2 3 18 15 +3 23
7e :inter_limeira: Inter de Limeira 13 4 2 7 15 26 -11 14
8e :ponte_preta: Ponte Preta 12 2 8 2 9 13 -4 14
9e :ferroviaria: FerroviĂĄria (SP) 13 4 1 7 13 19 -6 13
10e :santo_andre: Santo André 13 3 3 7 11 28 -17 12
11e :ituano: Ituano 12 3 3 6 12 37 -25 12
12e :rio_claro: Rio Claro 12 3 2 7 14 24 -10 11
13e :oeste: Oeste 12 2 5 5 9 22 -13 11
14e :mirassol: Mirassol 12 3 0 9 13 30 -17 9
15e R :guarani_bre: Guarani FC 12 1 3 8 9 28 -19 6
16e R :sao_bento: SĂŁo Bento (SP) 12 1 1 10 7 28 -21 4

- Classificação | Brasileirão -

début de saison tout en puissance pour Palmeiras dans le Brasileirão.

Clt
Équipe
J G N P Bm Be Diff Pts
1er :grootliberta: :palmeiras: Palmeiras 3 3 0 0 10 1 +9 9
2e :grootliberta: :gremio: GrĂȘmio 3 2 1 0 10 2 +8 7
3e :grootliberta: :international_pa: Internacional 2 2 0 0 9 2 +7 6
4e :grootliberta: :flamengo: Flamengo 3 2 0 1 8 4 +4 6
5e :grootliberta: :coritiba: Coritiba 3 2 0 1 6 6 0 6
6e :grootliberta: :atletico_paranaense: Athletico Paranaense 3 1 1 1 6 5 +1 4
7e :grootliberta: :sao_paulo: SĂŁo Paulo 3 1 1 1 4 3 +1 4
8e :grootsuda: :vasco_de_gama: Vasco da Gama 3 1 1 1 3 3 0 4
9e :grootsuda: :ceara: CearĂĄ 1 1 0 0 2 0 +2 3
10e :grootsuda: :bragantino: Bragantino 3 1 0 2 3 4 -1 3
11e :grootsuda: :santos: Santos 2 1 0 1 3 4 -1 3
12e :grootsuda: :fluminense: Fluminense 2 1 0 1 3 4 -1 3
13e :grootsuda: :vila_nova: Vila Nova 3 1 0 2 2 3 -1 3
14e :criciuma: CriciĂșma 3 1 0 2 2 8 -6 3
15e :america_mineiro: América Mineiro 2 0 2 0 3 3 0 2
16e :cruzeiro: Cruzeiro 2 0 2 0 3 3 0 2
17e :seriebbre: :botafogo: Botafogo 2 0 1 1 2 7 -5 1
18e :seriebbre: :juventude: Juventude 4 0 1 3 1 8 -7 1
19e :seriebbre: :corinthians: Corinthians 1 0 0 1 0 3 -3 0
20e :seriebbre: :bahia: Bahia 2 0 0 2 2 9 -7 0

- Classificação | Copa Libertadores -

Palmeiras tiens son rang et jouera donc les huitiĂšmes de finale de Copa Libertadores.

Clt
Équipe
J G N P Bm Be Diff Pts
1er Q1 :palmeiras: Palmeiras 5 5 0 0 18 4 +14 15
2e :atletico_nacional: Atlético Nacional 5 2 1 2 8 8 0 7
3e :lima: Alianza Lima 5 2 0 3 9 11 -2 6
4e :belgrano: Belgrano 5 0 1 4 5 17 -12 1

- Classificação dos goleadores -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :brazil: :italy: GĂ­lson 24 22 3
:2nd_place_medal: :brazil: :spain: Rodrygo 25 (2) 21 12
:3rd_place_medal: :brazil: :spain: VinĂ­cius Jr 25 (2) 9 12
:brazil: :spain: Auribertinho 21 (2) 8 0
:brazil: Breno Danko 8 (15) 8 4

- Classificação dos colonos -

Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts Assists
:1st_place_medal: :colombia: Juan SebastiĂĄn Anaya 24 (2) 3 14
:2nd_place_medal: :brazil: :spain: Rodrygo 25 (2) 21 12
:3rd_place_medal: :brazil: :spain: VinĂ­cius Jr 25 (2) 9 12
:brazil: :portugal: Yan Couto 26 (1) 1 10
:brazil: William 21 3 7
- Chapitre 379 -
- Herrera en a marre et veut partir -
- Chapitre 381 -
Coming SOON - 12/05
12 « J'aime »

Aucune demi-mesure pour le Palmeiras d’Anibal. Sao Paulo aura fait un bon antagoniste l’histoire d’un match, mais c’est tout :muscle:

1 « J'aime »

Ce putain de rouleau compresseur sa mĂšre :exploding_head::exploding_head::exploding_head:

Mon prono est toujours en cours avec Rodrygo qui va terminer meilleur buteur, suivi de prĂšs par Gilson :fire:

1 « J'aime »

trop facile


1 « J'aime »

Un rythme de zinzin :exploding_head:

1 « J'aime »

Finalement, un p’tit cartel rend au moins les choses un poil plus compliauĂ©es :smiley:

1 « J'aime »

Je savais pas qu’il y avait un mode « facile Â» sur FM !! :grin:

2 « J'aime »
Réponses aux lecteurs

@alexgavi mode warrior activé :pasrire:

@CaptainAmericka Le début de saison est trÚs efficace en effet. On verra si ça se réalise.

@VertPourToujours it’s life.

@Rhino Et c’est pas fini.

@Sythax :hoho:

@Manthyz Va jouer au brésil tu comprendras :rofl:

- Palmeiras rĂȘve de la Sainte TrinitĂ© -

Le soleil de midi baignait le centre d’entraĂźnement de Palmeiras de sa lumiĂšre Ă©clatante, tandis que l’équipe enchaĂźnait les sĂ©ances intenses sous les ordres d’Anibal GuimarĂŁes. L’ambiance Ă©tait Ă©lectrique, et ce n’était pas seulement en raison des rĂ©sultats exceptionnels que le club enregistrait depuis le dĂ©but de la saison. Quelque chose d’autre flottait dans l’air, un murmure qui se propageait de plus en plus, insufflant un mĂ©lange d’excitation et de curiositĂ© parmi les joueurs, le staff et mĂȘme les supporters.

Ce murmure avait un nom : Endrick.

Gabriel Jesus, le directeur sportif de Palmeiras, se prĂ©parait Ă  tenter l’un des coups les plus audacieux de l’histoire du club. AprĂšs avoir dĂ©jĂ  orchestrĂ© le retour triomphal de Vinicius Jr et Rodrygo, lĂ©gendes brĂ©siliennes ayant marquĂ© le football mondial avec leurs exploits en Europe, Gabriel visait dĂ©sormais un objectif encore plus grand : ramener Endrick, la star de Liverpool, au BrĂ©sil.

Endrick, le prodige que Palmeiras avait vu Ă©clore il y a de nombreuses annĂ©es, avait quittĂ© le club pour l’Europe Ă  seulement 18 ans. Depuis, il avait conquis le monde avec des passages lĂ©gendaires au Real Madrid et, plus rĂ©cemment, Ă  Liverpool. Ses buts, sa technique inimitable, et sa rage de vaincre avaient fait de lui l’une des icĂŽnes de la Seleção, portant l’équipe brĂ©silienne sur ses Ă©paules lors de plusieurs campagnes de la Coupe du Monde. Mais malgrĂ© tout ce succĂšs, quelque chose semblait toujours lui manquer : le goĂ»t unique de jouer devant ses supporters de Palmeiras, lĂ  oĂč tout avait commencĂ©.

Les rumeurs de son retour potentiel prirent une ampleur spectaculaire lorsque des images de Gabriel Jesus embarquant discrĂštement pour l’Angleterre commencĂšrent Ă  circuler sur les rĂ©seaux sociaux. Les fans de Palmeiras, toujours en quĂȘte d’informations, spĂ©culĂšrent immĂ©diatement sur le motif de ce voyage, et les forums de supporters s’enflammĂšrent Ă  l’idĂ©e d’un retour d’Endrick. L’anticipation Ă©tait palpable.

Dans le bureau de Gabriel Jesus, l’excitation et la nervositĂ© se mĂȘlaient. Convaincre une lĂ©gende comme Endrick de revenir au pays n’était pas une tĂąche facile. Il savait que le joueur avait encore des annĂ©es de haut niveau en Europe devant lui, mais il avait un plan, un rĂȘve. Le directeur sportif imaginait une attaque lĂ©gendaire avec Vinicius Jr, Rodrygo, et Endrick rĂ©unis, trois joyaux brĂ©siliens prĂȘts Ă  faire vibrer l’AmĂ©rique du Sud et Ă  faire trembler tous les dĂ©fenseurs du continent. Pour Gabriel, ce n’était pas seulement une question de prestige, mais de redonner Ă  Palmeiras une aura de grandeur que l’on croyait rĂ©servĂ©e aux clubs europĂ©ens.

Le moment dĂ©cisif arriva lorsque Gabriel, aprĂšs des jours de nĂ©gociations avec les dirigeants de Liverpool et des discussions nocturnes avec l’entourage d’Endrick, dĂ©crocha son tĂ©lĂ©phone pour parler directement avec la star brĂ©silienne. À l’autre bout de la ligne, Endrick Ă©couta en silence, pesant chaque mot, chaque promesse. Gabriel lui parla du projet unique qui prenait forme Ă  Palmeiras, de l’union sacrĂ©e des lĂ©gendes brĂ©siliennes qui revenaient au pays pour réécrire l’histoire. Il Ă©voqua le rĂȘve de jouer Ă  nouveau dans un Allianz Parque en feu, entourĂ© de supporters en transe, d’inspirer la jeunesse brĂ©silienne et de ramener Palmeiras au sommet du football sud-amĂ©ricain.

Endrick ne rĂ©pondit pas immĂ©diatement. Il Ă©tait pensif. MalgrĂ© les stades europĂ©ens, les trophĂ©es glanĂ©s, et la reconnaissance mondiale, un petit garçon en lui se souvenait encore de ses premiers pas Ă  Palmeiras, de ses dĂ©buts, de ses rĂȘves d’enfant. Cette idĂ©e de boucler la boucle, de finir ce qu’il avait commencĂ© dans son club formateur, le sĂ©duisait. La vision de Gabriel Jesus le hantait : une Ă©quipe brĂ©silienne capable de rivaliser avec les gĂ©ants europĂ©ens, mais qui jouait avec le cƓur, pour le peuple.

« Je dois y rĂ©flĂ©chir », murmura Endrick, sa voix trahissant une pointe d’émotion. « Mais l’idĂ©e me plaĂźt. »

Pendant ce temps, Ă  SĂŁo Paulo, l’effervescence continuait de grandir. Anibal GuimarĂŁes, qui avait lui aussi entendu parler de cette possible signature, se permit un sourire en coin. S’il y avait bien une chose qu’il avait apprise dans sa carriĂšre, c’était qu’au BrĂ©sil, tout Ă©tait possible. Un retour d’Endrick changerait la donne, transformant Palmeiras en une machine de guerre presque invincible.

Pour les supporters, l’attente allait ĂȘtre insupportable. Mais tous espĂ©raient qu’un jour prochain, Endrick entrerait Ă  nouveau sur le terrain sous les couleurs de Palmeiras, prĂȘt Ă  Ă©crire un nouveau chapitre de sa lĂ©gende. Pour l’instant, le rĂȘve Ă©tait en marche, et Gabriel Jesus, tel un architecte patient, continuait de travailler dans l’ombre pour rendre possible l’impossible.

- Chapitre 380 -
- En route pour un nouveau titre -
- Chapitre 382 -
Coming SOON - 18/11
10 « J'aime »

Ok, mais avec tant de vedettes, va encore y a voir d’autres mĂ©contents de leur temps de jeu, non ?

1 « J'aime »

Rien n’arrĂȘte l’appĂ©tit d’Anibal!

1 « J'aime »

Putain bah si ce transfert se fait, je t’explique mĂȘme pas les actions de Durex
 Va y en avoir de la vente de vaseline tellement y aura des culs explosĂ©s de tous les cĂŽtĂ©s


3 « J'aime »