:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[alexgavi]

Ça sent la grosse vente à terme ! En attendant, puisse-t-il t’aider à mener l’équipe à tout gagner

[CaptainAmericka]

Il a tout du futur très grand… et d’un bel échange contre un chèque de 20 patates !!!

[toopil]

De mon côté, je trouve Saulo un peu trop perso

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@alexgavi je pense que la vente se fera quand nous ne serons plus là !

@CaptainAmericka bien possible en effet.

@toopil tu sors

- Anibal sans pitié avec son ancien club -

La première manche de la Recopa Sudamericana 2035 avait tout pour captiver les foules : des retrouvailles chargées d’émotion, une ambiance électrique, et un match d’une intensité folle entre deux équipes qui se connaissent presque par cœur. Anibal Guimarães, désormais sur le banc de Palmeiras, retrouvait son ancien fief d’Envigado, le club colombien avec lequel il avait tout gagné la saison précédente.

Le stade Estadio Polideportivo Sur, rempli à craquer, réserva à son ancien entraîneur un accueil des plus chaleureux. Les chants, les applaudissements, et même une immense banderole déployée dans les tribunes pour remercier Anibal de son héritage, donnaient le ton d’une soirée inoubliable.

Mais dès le coup d’envoi, les retrouvailles prirent une tournure bien plus combative. Envigado, bien au fait des stratégies d’Anibal, se montra redoutable dans son pressing et extrêmement discipliné défensivement. Le milieu de Palmeiras, d’habitude si dominant, eut toutes les peines du monde à imposer son rythme. Chaque passe, chaque mouvement était anticipé par une équipe colombienne galvanisée par l’enjeu.

C’est dans cette tension constante qu’intervint l’unique but de la rencontre, et quel but ! À la 40ème minute, Vinicius Jr, le vétéran auriverde revenu au Brésil pour vivre un dernier défi, s’illustra par une action de génie. L’ailier de Palmeiras, toujours aussi vif et inspiré malgré les années, reçut le ballon sur le côté gauche, juste avant la ligne médiane. Il élimina son vis-à-vis d’un crochet intérieur ravageur, puis s’engagea dans une course fulgurante, laissant deux défenseurs d’Envigado sur place. Arrivé à l’entrée de la surface, Vinicius leva la tête et glissa un centre tendu au point de penalty.

Gilson, le jeune prodige de Palmeiras, surgit comme une flèche entre les deux défenseurs centraux d’Envigado. D’un geste acrobatique, il se jeta pour reprendre le centre de Vinicius en une volée du pied droit parfaitement placée. Le ballon fila à ras de terre, trompant le gardien d’Envigado qui n’eut même pas le temps de réagir. L’arène colombienne, si bruyante jusque-là, se figea dans un instant de silence avant que les supporters brésiliens, eux, n’explosent de joie dans leur coin de tribune. 1-0 pour Palmeiras.

Envigado ne baissa pas les bras après ce coup de massue. La seconde mi-temps fut un véritable bras de fer, ponctué d’occasions dangereuses de part et d’autre, mais les défenses et les gardiens se montrèrent à la hauteur des attentes. Anibal, toujours aussi passionné sur la ligne de touche, guida ses joueurs avec des consignes précises, ajustant constamment son système pour préserver cet avantage précieux.

Le match se termina sur ce score étriqué de 1-0, laissant la finale de la Recopa Sudamericana 2035 totalement ouverte avant le match retour au Brésil. Malgré la défaite, Envigado pouvait être fier de sa prestation, et les retrouvailles entre Anibal et son ancien public ajoutèrent une couche d’émotion à cette soirée déjà mémorable. Quant à Palmeiras, l’équipe d’Anibal repartait avec un léger avantage, mais rien n’était encore joué, et le dénouement promettait d’être aussi intense que ce premier acte.

		Club
		Finale
		Estadio Polideportivo Sur
	0	-	1
Envigado Futbol Club				Sociedad Esportiva Palmeiras
				Gilson (40’)

La finale retour de la Recopa Sudamericana 2035 s’annonçait comme un choc explosif, et le public brésilien de l’Allianz Parque à São Paulo ne fut pas déçu. Forts d’un avantage d’un but acquis dans la douleur lors du match aller en Colombie (1-0), Palmeiras et son entraîneur Anibal Guimarães savaient qu’ils devaient se montrer bien plus tranchants pour éviter toute surprise. Et c’est exactement ce qu’ils firent.

Dès le coup d’envoi, Palmeiras prit le contrôle des opérations, imposant un pressing étouffant et une intensité qui laissa les Colombiens d’Envigado complètement submergés. La foule en liesse n’eut pas à attendre longtemps pour voir le premier éclair de génie. À la 20ème minute, Vinicius Jr, le vétéran charismatique de l’équipe brésilienne, s’illustra avec une action dont lui seul a le secret. Recevant le ballon dans sa propre moitié de terrain, Vinicius se lança dans un long raid solitaire, dribblant trois adversaires avec des feintes et des crochets d’une fluidité déconcertante. Arrivé dans la surface, il fixa le gardien avant de le tromper d’un tir croisé imparable. L’Allianz Parque explosa de joie, et Palmeiras menait 1-0.

Quatre minutes plus tard, les hommes d’Anibal frappèrent à nouveau. Cette fois, c’est Auribertinho, le jeune milieu défensif, qui se signala. Rodrygo, l’ailier aux multiples titres, s’échappa sur le côté droit et, après avoir éliminé son défenseur direct, délivra un centre en retrait précis. Auribertinho, bien placé, ne se fit pas prier pour reprendre le ballon d’un plat du pied qui laissa le portier colombien sans réaction. Le score était désormais de 2-0, et Envigado semblait au bord de l’effondrement.

À la 32ème minute, Palmeiras enfonça le clou. L’action démarra sur l’aile gauche où Juan Sebastian Anaya, l’ancien protégé d’Anibal à Envigado, fit admirer sa technique et sa vision du jeu. Il délivra un centre parfait pour Rodrygo, qui s’éleva majestueusement dans la surface pour catapulter le ballon de la tête au fond des filets. Ce troisième but assomma littéralement les Colombiens, qui ne pouvaient que constater l’ampleur des dégâts. Le geste de Rodrygo, si précis et puissant, témoignait de l’expérience accumulée par l’ailier au cours de sa carrière passée au Real Madrid.

Envigado, déstabilisé et dépassé, encaissa un quatrième but avant même la mi-temps. Yan Couto, monté en soutien sur le flanc droit, déborda son vis-à-vis et centra au cordeau pour Auribertinho. Ce dernier, en pleine confiance, se fendit d’une reprise acrobatique qui fit trembler les filets. Le score était de 4-0 à la pause, et Palmeiras avait déjà un pied sur le trône continental.

En seconde période, les Brésiliens choisirent de gérer leur avance, temporisant le jeu et laissant la possession à Envigado, qui peinait à se montrer dangereux. Pourtant, le spectacle n’était pas terminé. À la 80ème minute, Vinicius Jr, toujours aussi virevoltant malgré l’approche de la fin du match, déstabilisa la défense d’Envigado sur son aile gauche. Il leva la tête et adressa un centre parfait pour Gilson, le prodige de l’attaque de Palmeiras. Gilson, plein d’assurance, se jeta pour reprendre le ballon du pied droit, le logeant dans la lucarne. 5-0 pour Palmeiras, et le stade explosa une dernière fois dans un tonnerre d’acclamations.

Le coup de sifflet final scella une victoire éclatante pour Palmeiras. Anibal Guimarães, tout sourire, célébrait son deuxième titre de la saison avec le Verdão, après la Supercopa Rei remportée quelques semaines plus tôt. C’était une démonstration de force impressionnante et un message clair envoyé au reste du continent : Palmeiras et Anibal étaient là pour dominer. Les retrouvailles entre Anibal et Envigado avaient tourné à la correction, et le coach portugais confirmait son incroyable palmarès continental, ajoutant un nouveau trophée à sa légendaire carrière.

		Club
		Finale
		Allianz Parque
	5	-	0
Sociedad Esportiva Palmeiras				Envigado Futbol Club
Vini Jr (20’)
Auribertinho (24’,39’)
Rodrygo (32’)
Gilson (80’)

- Chapitre 374 - - Saulo fait forte impression -	- Chapitre 376 - Coming SOON - 13/11

[Manthyz]

Anibal a eu je pense de la chance de sortir du stade vivant au match aller … Battre son ancienne équipe chez elle, c’était un coup a voir Reyes décider de le châtier !

[celiavalencia]

connaissant l’auteur, il va nous le sortir à un moment donné le Reyes

[Tiien]

Oui le Reyes qui va se sentir humilié…

[Sythax]

Reyes ! Reyes ! Reyes !

[UnManager]

Je crois que Anibal s’est encore mis dans la merde avec Reyes…

[CaptainAmericka]

Putain 0 cadeau ! Tu leur as fait un 2ème trou de balle à tous là !
Et Reyes qui risque de t’en faire un aussi de trou de balle, mais pas le même si tu vois ce que je veux dire…

[alexgavi]

Autant, Envigado a bien résisté à domicile, mais c’est un autre histoire au Brésil.
Il manque un invité de marque, qui n’a pas été cité, et que tout le monde attend

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Manthyz il a eu de la chance en effet.

@celiavalencia

@Tiien veni vedi vici

@Sythax fais pas ta gourmande

@UnManager c’est possible

@CaptainAmericka on est pas sentimental ici, en plus envigado c’est un peu l’ex d’une nuit

@alexgavi

- Des débuts au plus que parfait -

Après avoir remporté deux titres d’entrée, Palmeiras entame sa saison nationale par le Paulistão. Le parcours régional a commencé par un joli score à la maison. Gílson particulièrement attendu à signer un doublé justifiant les louanges du staff à son encontre. Rodrygo a marqué son premier but de la saison en championnat sur pénalty tandis que João Vitor a trouvé la faille sur un corner de Vini Jr. La deuxième journée réserva une opposition contre le rival eternel du Corinthians et Palmeiras fut sans pitié. Rodrygo ouvrit le score avant de s’offrir un doublé avant la pause tandis que Gílson marqué à nouveau en seconde période.

Lors de la troisième journée, Palmeiras s’est offert São Bento avec des buts des légendaires Rodrygo et Vini Jr. En seconde période Gílson ajouta un nouveau but à son compteur. Contre São Paulo, le match fut longtemps disputé et ce ne fut que l’entrée d’Emerson Macachero qui permis aux alviverde d’empocher la victoire. Après son but Emerson refusa de célèbrer son but pour marquer son mécontentement.

Contre Mirassol, Anibal choisit de faire souffler une partie de son effectif pour donner leurs chances à d’autres joueurs. Ses joueurs lui rendirent de façon spectaculaire. Talles Magno s’est offert un triplé plein de classe. Breno Danko marqua aussi juste avant la pause. En toute fin de match ce fut Guilherme Henrique qui débloqua son propre compteur. Les alviverde remirent ça contre Botafogo avec des buts de Auribertinho, Rodrygo et Gílson.

Le plus gros carton de ce début de saison eu lieu lors de la septième journée contre Rio Claro. Vini Jr ouvrit la marque d’entrée avant que Rodrygo ne claque un triplé. Gílson ne fut pas en reste avec un doublé confirmant son excellent début de saison. Dans la foulée le club fit tomber Ferroviária. William marqua son premier but, tout comme Juan-Sebatian Anaya sur un centre tir magnifique. En fin de match ce fut le tour de Vinícius Junior de faire parler la poudre avec une chevauchée que lui seul maîtrise. Enfin Palmeiras finis la période avec un nouveau carton contre Ponte Preta. Vini Jr ouvrit le score avant qu’Anaya ne double la mise. Enfin Auribertinho marqua avant que Vini Jr ne provoque un csc.

		Date		Club	Score	Buteurs
	J1	14/1/2035		Santo André	4 - 1	Gílson (24, 33), Rodrygo (pen 43), João Vítor (68)
	J2	17/1/2035		Corinthians	1 - 3	Rodrygo (29, 41), Gílson (53)
	J3	21/1/2035		São Bento (SP)	3 - 0	Rodrygo (pen 18), Vinícius Júnior (36), Gílson (70)
	J4	31/1/2035		São Paulo	0 - 1	Emerson Macachero (81)
	J5	4/2/2035		Mirassol	5 - 1	Talles Magno (13, 33, 49), Breno Danko (44), Guilherme Henrique (84)
	J6	11/2/2035		Botafogo-SP	3 - 0	Auribertinho (16), Rodrygo (24), Gílson (30)
	J7	14/2/2035		Rio Claro	1 - 6	Vinícius Júnior (5), Rodrygo (19, 45+2, pen 68), Gílson (22, 35)
	J8	17/2/2035		Ferroviária (SP)	0 - 3	William (22), Juan Sebastián Anaya (43), Vinícius Júnior (85)
	J9	25/2/2035		Ponte Preta	4 - 0	Vinícius Júnior (11), Juan Sebastián Anaya (70), Auribertinho (74), Igor csc (88)

- Classificação -

Clt			Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er			Palmeiras	9	9	0	0	32	4	+28	27
2e			São Paulo	10	8	0	2	27	9	+18	24
3e			Bragantino	9	7	2	0	29	7	+22	23
4e			Santos	9	5	2	2	24	12	+12	17
5e			Botafogo-SP	9	4	2	3	10	12	-2	14
6e			Corinthians	8	4	1	3	24	13	+11	13
7e			Inter de Limeira	9	3	2	4	13	18	-5	11
8e			Santo André	8	3	2	3	8	14	-6	11
9e			Oeste	8	2	4	2	7	8	-1	10
10e			Ponte Preta	10	1	7	2	8	13	-5	10
11e			Rio Claro	8	2	2	4	12	20	-8	8
12e			Ferroviária (SP)	9	2	1	6	8	16	-8	7
13e			Ituano	8	2	1	5	8	31	-23	7
14e			Mirassol	9	2	0	7	8	20	-12	6
15e	R		Guarani FC	10	1	3	6	8	16	-8	6
16e	R		São Bento (SP)	9	1	1	7	5	18	-13	4

- Classificação dos goleadores -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
				Gílson	11	9	1
				Rodrygo	11 (1)	9	6
				Vinícius Jr	11 (1)	5	4
				Auribertinho	9	4	0
				Talles Magno	1 (8)	3	0

- Classificação dos colonos -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Juan Sebastián	Anaya	11 (1)	2	7
				Rodrygo	11 (1)	9	6
			Yan	Couto	11 (1)	0	5
				Vinícius Júnior	11 (1)	5	4
				William	8	1	3

- Chapitre 375 - - Anibal sans pitié avec Envigado -	- Chapitre 377 - Coming SOON - 14/11

[Malakai]

Après avoir humilié son ancienne équipe, il passe maintenant son temps à humilier ses adversaires en championnat.

Du Anibal tout craché. Félicitations pour le titre de champion du Brésil.

[Manthyz]

A ce rythme, les matchs vont passer sur Pornhub catégorie « fessée brésilienne » !

[toopil]

La domination

[CaptainAmericka]

Vinicius et Rodrygo qui cherchent la concurrence…

Sans déconner, c’est le meilleur film de cul que j’ai jamais vu, encore mieux qu’avec Prestin… euh oups, non attends je m’égare là

Je mets une pièce sur Rodrygo meilleur buteur mais Gilson qui termine pas loin de lui !

[Rhino]

Ah oui, Anibal il n’a pas le temps. Il veut mettre tout le monde d’accord dès le début

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Malakai C’est le championnat régional frérot, on viens, on regarde et on casse des culs

@Manthyz on est déjà référencés

@toopil Veni Vedi Ani

@CaptainAmericka Ils ont un niveau ces petites salopes Toujours su que t’étais un fan de porno. Nous verrons ça en fin de saison, je note le prono

@Rhino exactement ça

- Sorteo Copa Libertadores -

Le tirage au sort des groupes de la Copa Libertadores, événement tant attendu par les supporters de Palmeiras, s’est déroulé dans une atmosphère électrique, et l’anticipation autour de ce moment était palpable. Après un début de saison impressionnant orchestré par l’entraîneur portugais Anibal Guimarães, les espoirs des Alviverde étaient grands. Ayant été couronné champion du Brésil et tenant du titre en Copa Libertadores, Palmeiras portait sur ses épaules le poids d’une énorme attente, celle de poursuivre sa domination continentale.

Lorsque les noms des adversaires furent annoncés, un mélange de réactions parcourut les rangs des supporters et des analystes. Le groupe de Palmeiras n’allait pas être une promenade de santé, mais ce n’était pas non plus un obstacle insurmontable pour les hommes d’Anibal. Le club brésilien affronterait trois adversaires bien distincts : l’Alianza Lima, le club péruvien au passé prestigieux ; Belgrano, une équipe argentine connue pour son public enflammé ; et l’Atletico Nacional, un poids lourd colombien aux ambitions toujours renouvelées.

La réaction d’Anibal Guimarães à ce tirage ne se fit pas attendre. Lors de la conférence de presse qui suivit, le coach portugais afficha un visage concentré, mais confiant. “Ce groupe est difficile, c’est indéniable,” déclara-t-il avec son calme habituel. “Mais c’est pour ce genre de défis que nous travaillons dur chaque jour. Alianza Lima a une histoire riche, Belgrano est une équipe combative qui peut surprendre, surtout à domicile, et Atletico Nacional est un club habitué aux batailles sud-américaines. Nous devrons être à notre meilleur niveau à chaque match, mais j’ai confiance en mes joueurs, en leur talent et en leur détermination.”

L’enthousiasme était palpable parmi les supporters de Palmeiras, qui avaient déjà commencé à rêver de nouveaux triomphes. Les discussions enflammées dans les bars de São Paulo se concentraient sur la capacité d’Anibal à gérer un calendrier aussi dense et exigeant, d’autant plus que le coach portugais avait déjà prouvé qu’il pouvait briller dans les compétitions internationales. Son palmarès, orné de victoires européennes avec Valladolid et la Juventus, et désormais d’une Supercopa Rei, d’une Sudamericana avec Envigado et d’une Recopa Sudamericana avec Palmeiras, parlait pour lui.

Mais la route serait semée d’embûches. L’Alianza Lima, bien qu’inconstant, est un adversaire redoutable lorsqu’il joue devant ses fans passionnés au stade Alejandro Villanueva, plus connu sous le nom de “Matute.” Le voyage à Lima promettait d’être un véritable test pour les nerfs des joueurs de Palmeiras. Anibal le savait, et il commença immédiatement à planifier la préparation de son équipe pour ce déplacement compliqué, étudiant déjà les schémas tactiques et les points faibles des Péruviens.

Belgrano, de son côté, était un adversaire à ne surtout pas sous-estimer. Le football argentin est reconnu pour son intensité, et le stade de Belgrano, le Gigante de Alberdi, est l’un des plus redoutés du pays. “J’ai déjà vécu des matchs en Argentine,” confia Anibal, se remémorant des souvenirs de ses précédentes campagnes sud-américaines. “Je sais à quel point leurs supporters sont passionnés et comment cela peut galvaniser une équipe. Nous devrons être solides, mais nous avons des leaders dans ce groupe qui savent faire face à la pression.”

Enfin, l’Atletico Nacional, le grand rival colombien, représentait le danger le plus sérieux. Anibal n’avait pas oublié son passage en Colombie, ni les batailles mémorables qu’il avait menées contre des clubs comme Nacional. Le club de Medellin, doté d’une attaque redoutable et d’un milieu de terrain talentueux, serait un adversaire de taille. Le public de l’Atanasio Girardot est l’un des plus fervents du continent, et Anibal se souvenait encore des chants assourdissants qui résonnaient dans ce chaudron vert et blanc. “Cela nous obligera à être disciplinés et déterminés,” souligna-t-il. “Mais c’est pour ces moments-là que l’on joue au football.”

Dans les coulisses, l’équipe de Palmeiras se préparait déjà. Gabriel Jesus, le directeur sportif, travaillait en étroite collaboration avec Anibal pour s’assurer que l’effectif soit prêt à affronter ces défis. La jeunesse prometteuse du club, comme Saulo en défense et Gilson en attaque, serait mise à l’épreuve. Anibal misait également sur l’expérience de ses joueurs vedettes, comme Vinicius Jr et Rodrygo, pour guider les plus jeunes dans cette campagne périlleuse.

Le défi était immense, mais l’ambition d’Anibal l’était tout autant. “Nous sommes Palmeiras,” conclut-il avec conviction. “Nous devons entrer sur le terrain avec le désir de gagner chaque match, de nous battre pour chaque ballon. Nous devons respecter nos adversaires, mais nous devons également nous imposer. Je suis ici pour continuer à écrire l’histoire de ce club, et je sais que mes joueurs sont prêts à tout donner.”

Le tirage au sort de la Copa Libertadores avait donné le coup d’envoi d’une campagne qui s’annonçait palpitante, et Palmeiras, sous la houlette d’Anibal, était prêt à conquérir à nouveau le continent sud-américain.

- Chapitre 376 - - Des débuts au plus que parfait -	- Chapitre 378 - Coming SOON - 14/11

[CaptainAmericka]

@Groot

Toujours su que t’étais un fan de porno.

Si t’as la ref’, j’en déduis donc que toi aussi

Groupe intéressant, qui parait relevé mais qui ensuite aura l’aspect d’un sachet de thé une fois que Palmeiras les aura broyé un par un

[toopil]

@Groot

Alianza Lima, le club péruvien au passé prestigieux

Ecrase-les