RĂ©ponses aux lecteurs
@toopil il a prouvé mais pas à Palmeiras 
@Rhino son temps au Brésil est limité faut dire 
@CaptainAmericka j’avoue qu’on a connu défi plus dur sur le papier.
Sous les projecteurs de l’Arena das Dunas, la Supercopa Rei 2035 marqua le début d’une nouvelle ère pour Palmeiras sous la houlette d’Anibal Guimarães. Mais si le premier titre d’Anibal au Brésil fut l’objet de toutes les attentions, un jeune défenseur central en particulier attira les regards : Saulo, 18 ans, enfant du centre de formation alviverde.
Aligné en tant que libéro dans un schéma tactique ingénieusement orchestré par Anibal — un choix inspiré par son adjoint Saldanha, ancien défenseur légendaire du club — Saulo livra une performance d’une rare élégance et d’une efficacité redoutable. Calme, impérial, et doté d’une maturité bluffante pour son âge, il contrôla la défense avec l’assurance d’un vétéran, éteignant les attaques vives et souvent imprévisibles du RB Bragantino.
Dès les premières minutes du match, la sérénité de Saulo impressionna tandis que Valentini se laissait transpercer sur l’ouverture du score. Ses relances propres et précises, son placement millimétré, et sa capacité à anticiper les mouvements adverses firent de lui un véritable chef d’orchestre défensif. Il coupa sans faillir les incursions de Wesley, l’ailier star de Bragantino, et organisa impeccablement les transitions défensives. À plusieurs reprises, il intercepta des passes dangereuses avec une lecture du jeu qui ne cesse d’étonner pour un joueur si jeune.
Pour Anibal, le potentiel de Saulo est évident, mais l’entraîneur portugais voit encore plus loin. Lors de la conférence de presse d’après-match, Anibal ne cacha pas son enthousiasme pour son jeune protégé : « Saulo est bien plus qu’un talent en devenir. C’est un leader né. Sa vision du jeu et son calme sous pression sont exceptionnels pour quelqu’un de 18 ans. Je le vois déjà comme un futur taulier de la Seleção, et je n’ai aucun doute qu’il deviendra un cadre essentiel d’un club du TOP 5 mondial. »
Les mots d’Anibal sont lourds de sens, et ils témoignent de la foi qu’il place dans ce jeune défenseur. Mais au-delà des éloges, Saulo incarne la promesse d’une nouvelle génération de joueurs brésiliens qui redéfinissent le rôle de défenseur central, alliant finesse technique et puissance physique.
Au centre de formation de Palmeiras, ceux qui l’ont vu grandir ne sont pas surpris. Depuis ses débuts, Saulo a toujours été un joueur unique, un joyau que le club a façonné avec soin. Aujourd’hui, sous la direction d’Anibal, il est prêt à briller non seulement au Brésil, mais aussi sur la scène internationale. Pour l’instant, le jeune libéro savoure cette première consécration, conscient que le chemin est encore long, mais plus déterminé que jamais à marquer l’histoire du football.