:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

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@Malakai C’est le championnat régional frérot, on viens, on regarde et on casse des culs :hoho:

@Manthyz on est déjà référencés :rofl:

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@CaptainAmericka Ils ont un niveau ces petites salopes :hoho: Toujours su que t’étais un fan de porno. Nous verrons ça en fin de saison, je note le prono

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@Rhino exactement ça :hoho:

- Sorteo Copa Libertadores -


grootLibertadores

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Le tirage au sort des groupes de la Copa Libertadores, événement tant attendu par les supporters de Palmeiras, s’est déroulé dans une atmosphère électrique, et l’anticipation autour de ce moment était palpable. Après un début de saison impressionnant orchestré par l’entraîneur portugais Anibal Guimarães, les espoirs des Alviverde étaient grands. Ayant été couronné champion du Brésil et tenant du titre en Copa Libertadores, Palmeiras portait sur ses épaules le poids d’une énorme attente, celle de poursuivre sa domination continentale.

Lorsque les noms des adversaires furent annoncés, un mélange de réactions parcourut les rangs des supporters et des analystes. Le groupe de Palmeiras n’allait pas être une promenade de santé, mais ce n’était pas non plus un obstacle insurmontable pour les hommes d’Anibal. Le club brésilien affronterait trois adversaires bien distincts : l’Alianza Lima, le club péruvien au passé prestigieux ; Belgrano, une équipe argentine connue pour son public enflammé ; et l’Atletico Nacional, un poids lourd colombien aux ambitions toujours renouvelées.

La réaction d’Anibal Guimarães à ce tirage ne se fit pas attendre. Lors de la conférence de presse qui suivit, le coach portugais afficha un visage concentré, mais confiant. “Ce groupe est difficile, c’est indéniable,” déclara-t-il avec son calme habituel. “Mais c’est pour ce genre de défis que nous travaillons dur chaque jour. Alianza Lima a une histoire riche, Belgrano est une équipe combative qui peut surprendre, surtout à domicile, et Atletico Nacional est un club habitué aux batailles sud-américaines. Nous devrons être à notre meilleur niveau à chaque match, mais j’ai confiance en mes joueurs, en leur talent et en leur détermination.”

L’enthousiasme était palpable parmi les supporters de Palmeiras, qui avaient déjà commencé à rêver de nouveaux triomphes. Les discussions enflammées dans les bars de São Paulo se concentraient sur la capacité d’Anibal à gérer un calendrier aussi dense et exigeant, d’autant plus que le coach portugais avait déjà prouvé qu’il pouvait briller dans les compétitions internationales. Son palmarès, orné de victoires européennes avec Valladolid et la Juventus, et désormais d’une Supercopa Rei, d’une Sudamericana avec Envigado et d’une Recopa Sudamericana avec Palmeiras, parlait pour lui.

Mais la route serait semée d’embûches. L’Alianza Lima, bien qu’inconstant, est un adversaire redoutable lorsqu’il joue devant ses fans passionnés au stade Alejandro Villanueva, plus connu sous le nom de “Matute.” Le voyage à Lima promettait d’être un véritable test pour les nerfs des joueurs de Palmeiras. Anibal le savait, et il commença immédiatement à planifier la préparation de son équipe pour ce déplacement compliqué, étudiant déjà les schémas tactiques et les points faibles des Péruviens.

Belgrano, de son côté, était un adversaire à ne surtout pas sous-estimer. Le football argentin est reconnu pour son intensité, et le stade de Belgrano, le Gigante de Alberdi, est l’un des plus redoutés du pays. “J’ai déjà vécu des matchs en Argentine,” confia Anibal, se remémorant des souvenirs de ses précédentes campagnes sud-américaines. “Je sais à quel point leurs supporters sont passionnés et comment cela peut galvaniser une équipe. Nous devrons être solides, mais nous avons des leaders dans ce groupe qui savent faire face à la pression.”

Enfin, l’Atletico Nacional, le grand rival colombien, représentait le danger le plus sérieux. Anibal n’avait pas oublié son passage en Colombie, ni les batailles mémorables qu’il avait menées contre des clubs comme Nacional. Le club de Medellin, doté d’une attaque redoutable et d’un milieu de terrain talentueux, serait un adversaire de taille. Le public de l’Atanasio Girardot est l’un des plus fervents du continent, et Anibal se souvenait encore des chants assourdissants qui résonnaient dans ce chaudron vert et blanc. “Cela nous obligera à être disciplinés et déterminés,” souligna-t-il. “Mais c’est pour ces moments-là que l’on joue au football.”

Dans les coulisses, l’équipe de Palmeiras se préparait déjà. Gabriel Jesus, le directeur sportif, travaillait en étroite collaboration avec Anibal pour s’assurer que l’effectif soit prêt à affronter ces défis. La jeunesse prometteuse du club, comme Saulo en défense et Gilson en attaque, serait mise à l’épreuve. Anibal misait également sur l’expérience de ses joueurs vedettes, comme Vinicius Jr et Rodrygo, pour guider les plus jeunes dans cette campagne périlleuse.

Le défi était immense, mais l’ambition d’Anibal l’était tout autant. “Nous sommes Palmeiras,” conclut-il avec conviction. “Nous devons entrer sur le terrain avec le désir de gagner chaque match, de nous battre pour chaque ballon. Nous devons respecter nos adversaires, mais nous devons également nous imposer. Je suis ici pour continuer à écrire l’histoire de ce club, et je sais que mes joueurs sont prêts à tout donner.”

Le tirage au sort de la Copa Libertadores avait donné le coup d’envoi d’une campagne qui s’annonçait palpitante, et Palmeiras, sous la houlette d’Anibal, était prêt à conquérir à nouveau le continent sud-américain.

- Chapitre 376 -
- Des débuts au plus que parfait -
- Chapitre 378 -
Coming SOON - 14/11
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