:storygreen: :s19: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Belle nouvelle ça
 mais ça ne deviendra mĂȘme plus drĂŽle sauf peut-ĂȘtre.en battant une fois l’annĂ©e les Ă©quipes europĂ©ennes :rofl:

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Silence Of The Lambs Hannibal GIF

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Ah ouais, ça devient costaud ! C’est aussi une façon de devenir une lĂ©gende :smiley:

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Vous l’avez espĂ©rĂ© ? He’s back

sons of anarchy facepalm GIF by HULU

@Sythax @toopil ce sont que des ragots :dsk: Anibal ne fait pas de recrutement pour Palmeiras au vu du contrat court.

@CaptainAmericka je sens que depuis que les sites pour adultes sont interdit en France tu vas de plus en plus mal frĂ©rot. Tu veux qu’on te trouve des numĂ©ros d’escort ? :sac:

@VertPourToujours laissons l’Europe oĂč elle est pour le moment :hoho:

@Manthyz :pasrire:

@alexgavi on a dĂ©jĂ  le quota d’égo surdimensionnĂ©s.

- Anaya en pleine tourmente ! -

L’entraĂźnement battait son plein sous le soleil brĂ©silien, mais Anibal GuimarĂŁes, l’entraĂźneur de Palmeiras, ne pouvait s’empĂȘcher de remarquer que son latĂ©ral gauche, Juan-Sebastian Anaya, semblait ailleurs. Le jeune joueur colombien, habituellement si dynamique et dĂ©terminĂ©, Ă©voluait avec une certaine lassitude, comme si un poids invisible le tirait vers le bas.

Ses passes manquaient de prĂ©cision, ses courses semblaient hĂ©sitantes, et mĂȘme ses camarades de l’équipe, pourtant proches de lui, ne parvenaient pas Ă  le faire sourire.

Anibal, connu pour son souci du bien-ĂȘtre de ses joueurs autant que pour sa maĂźtrise tactique, dĂ©cida d’intervenir. AprĂšs une sĂ©rie d’exercices oĂč Anaya montra des signes Ă©vidents de frustration, le coach portugais fit signe Ă  son adjoint Javi SĂĄnchez de continuer la sĂ©ance sans lui. Il s’approcha de Juan-Sebastian, qui s’était isolĂ© prĂšs de la ligne de touche, essuyant la sueur sur son front.

« HĂ©, Juan, tout va bien ? » demanda Anibal d’une voix douce, mais empreinte d’inquiĂ©tude. Il savait qu’il devait aborder la situation avec prĂ©caution. « Tu ne sembles pas dans ton assiette ces derniers jours. Si tu veux parler, je suis lĂ . »

Le jeune latéral colombien leva les yeux vers son entraßneur, et pendant un instant, Anibal vit la lutte intérieure qui se jouait derriÚre son regard sombre. Juan-Sebastian sembla hésiter, mordillant sa lÚvre inférieure. Puis, comme si un barrage cédait sous la pression, il baissa les épaules et confessa ce qui le rongeait.

« Coach
 Je suis dĂ©solĂ© de ne pas ĂȘtre au top, mais
 il s’est passĂ© quelque chose de grave. » Sa voix tremblait, et il jetait des coups d’Ɠil autour de lui, comme pour s’assurer que personne d’autre n’écoutait. « J’ai reçu une lettre, il y a quelques jours. Une lettre du cartel. Ils veulent que je leur rĂ©trocĂšde ma prime de signature et 60% de mon salaire. Sinon
 sinon, ils s’en prendront Ă  ma petite amie, restĂ©e en Colombie, et Ă  ma mĂšre. »

Anibal sentit une boule de colĂšre et de compassion se former dans sa poitrine. Il savait que le cartel Gallindo, dont l’influence s’étendait sur tout le continent, ne lançait jamais de menaces en l’air. Pourtant, il ne s’attendait pas Ă  ce que Juan-Sebastian soit encore visĂ©, surtout avec la position de son pĂšre au sein de l’organisation.

« Ton pĂšre
 ? » commença Anibal, cherchant Ă  comprendre. « Je pensais qu’il te protĂ©geait de ces choses. »

Anaya secoua la tĂȘte, l’air dĂ©fait. « C’est compliquĂ©. Mon pĂšre est haut placĂ©, oui, mais il ne contrĂŽle pas tout et il a mal pris mon dĂ©part. Certains dans le cartel veulent montrer qu’ils sont plus forts que lui. Ils s’en prennent Ă  ce qui m’est le plus cher pour prouver leur pouvoir. Je
 je ne sais plus quoi faire, coach. »

Anibal posa une main rĂ©confortante sur l’épaule de son joueur. Son instinct de protecteur, forgĂ© par des annĂ©es Ă  veiller sur ses Ă©quipes, s’éveilla immĂ©diatement. « Juan, Ă©coute-moi bien. Tu n’es pas seul dans cette histoire. Je sais combien c’est terrifiant, mais nous devons agir. » Il inspira profondĂ©ment. « Tu devrais contacter les autoritĂ©s, la police spĂ©cialisĂ©e. Il faut que ce soit pris en charge sĂ©rieusement. »

Anaya regarda son entraßneur, les yeux écarquillés, une lueur de crainte dans son regard. « Et si ça les énerve encore plus ? »

Anibal hocha la tĂȘte, comprenant la crainte de son joueur. « Je sais que c’est risquĂ©, mais nous ne pouvons pas cĂ©der Ă  leur chantage. Palmeiras a les moyens de te protĂ©ger. Et en attendant, tu viendras vivre chez moi, dans ma villa sĂ©curisĂ©e. Il y a des gardes armĂ©s, des systĂšmes de surveillance, c’est un endroit sĂ»r. Je te le promets. »

Les larmes perlĂšrent aux coins des yeux d’Anaya, qui semblait partagĂ© entre le soulagement et la peur. « Vous feriez ça pour moi, coach ? »

Anibal esquissa un sourire rassurant. « Bien sûr que je le ferais. Tu fais partie de cette équipe, et ici, on ne laisse jamais tomber les nÎtres. Nous allons traverser ça ensemble. »

Un silence empreint d’émotion s’installa entre eux, mais Anibal savait qu’il venait de planter une graine d’espoir dans le cƓur de son joueur. Il ne pouvait pas effacer les menaces du cartel d’un simple geste, mais il pouvait offrir Ă  Juan-Sebastian la force de ne pas plier. Le chemin serait difficile, mais ils avanceraient, un pas Ă  la fois, jusqu’à ce que l’obscuritĂ© soit chassĂ©e par la lumiĂšre de la solidaritĂ© et de la rĂ©silience.

- Chapitre 381 -
- Palmeiras rĂȘve de la Sainte TrinitĂ© -
- Chapitre 383 -
Coming SOON - 18/11
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Et si
 et si le cartel avait bel et bien menacĂ© Anaya, mais qu’en Ă©change d’un « service Â» amenant a discrĂ©diter Anibal, voir pire, cela restait lettre morte ?
Et si venir vivre chez Anibal allait lui permettre de pouvoir mener a bien cette mission, comme laisser une porte ouverte permettant le kidnapping du futur bébé ?
Car quelle pire trahison pour le coach que celle de son protégé ?

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Oh, ça se corse pour nos amis là


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Anibal va devoir faire le ménage pour que ses joueurs et lui soient définitivement tranquilles

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Coucouuuuu !

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Quel suspeeeeeense !!!
Ça devient intenable vite le prochain Ă©pisode de la sĂ©rie
 :sac:

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@Manthyz beaucoup de si :sac:

@CaptainAmericka on est au Brésil pas en Corse :hoho:

@Rhino C’est une possibilitĂ©

@Sythax :pasrire:

@VertPourToujours ça vient

-ZOOM-
5 choses Ă  savoir sur Wander

image image

- - -
Wander - - -
Âge
26
Nationalité :brazil: Brésilien
valeur 12-13.5M€
Salaire 302k€/m
Fin de contrat 31 Décembre 2039
:desktop_computer:
Titulaire :three_star: :three_star:
ANNEES CLUB APP B.E C.S
:brazil: 24/29 [U20] :sao_bernardo: SĂŁo Bernardo 96 144 16
:brazil: 24/29 :seriecbre: [PRO] :sao_bernardo: SĂŁo Bernardo 79 89 20
:brazil: 24/29 [U20] :palmeiras: Palmeiras 9 4 6
:brazil: 24/29 :serieabre: [PRO] :palmeiras: Palmeiras 265 234 102
30-34 TOTAL - - - - - - - - - - 344 323 122

Membre clĂ© de Palmeiras depuis quelques saisons cela n’a pas changĂ© depuis l’arrivĂ©e d’Anibal GuimarĂŁes. Il est arrivĂ© libre de SĂŁo Bernardo en 2029. Il a pris une toute autre dimension la saison passĂ©e en Ă©tant Ă  la base des succĂšs du club. C’est d’autant plus vrai qu’il a rejoint le groupe de la Seleção depuis l’arrivĂ©e du coach portugais. Retour en cinq anecdotes sur le parcours de ce cadre brĂ©silien.

a étudié au lycée français

Wander, le gardien de but de Palmeiras ĂągĂ© de 26 ans, est un joueur dont le parcours de vie et de carriĂšre ne cesse de captiver les amateurs de football. NĂ© Ă  Sao Bernardo d’une mĂšre française et d’un pĂšre brĂ©silien, il a passĂ© ses premiĂšres annĂ©es entourĂ© de diverses cultures. Cette richesse culturelle a pris un autre tournant lorsqu’il a intĂ©grĂ© le lycĂ©e français de SĂŁo Bernardo. C’est lĂ  qu’il a perfectionnĂ© son bilinguisme, maĂźtrisant aussi bien le portugais que le français, et dĂ©veloppant une curiositĂ© intellectuelle qui se reflĂšte dans sa maniĂšre d’aborder le football.

grand fan de Mike Maignan et Lucas Chevalier

Sa passion pour le poste de gardien s’est nourrie de ses idoles françaises, en particulier Mike Maignan et Lucas Chevalier, deux des meilleurs portiers français de la derniĂšre dĂ©cennie. Wander a suivi avec attention chaque match de ces modĂšles, Ă©tudiant leur jeu de maniĂšre obsessionnelle. « Maignan m’a appris Ă  ĂȘtre dĂ©cisif dans les moments clĂ©s, tandis que Chevalier m’a montrĂ© l’importance de la gestion de l’espace et des relances millimĂ©trĂ©es, » confiait-il rĂ©cemment en confĂ©rence de presse. Le jeune gardien n’hĂ©site jamais Ă  attribuer une partie de ses performances Ă  ce qu’il a appris en observant ses idoles, mais il a aussi su dĂ©velopper un style qui lui est propre.

un gardien excentrique

Sur le terrain, Wander est un vĂ©ritable spectacle. À l’opposĂ© des gardiens sobres et discrets, il est un showman qui n’hĂ©site pas Ă  jouer avec les Ă©motions des fans. Il multiplie les gestes acrobatiques, plonge de maniĂšre spectaculaire mĂȘme pour les ballons les plus anodins, et aime provoquer ses adversaires. Son excentricitĂ© est palpable : que ce soit lorsqu’il tente des dribbles risquĂ©s dans sa propre surface ou lorsqu’il hurle des encouragements Ă  ses dĂ©fenseurs en tapant des mains frĂ©nĂ©tiquement. Mais cette excentricitĂ© n’est jamais gratuite. Elle s’inscrit dans une stratĂ©gie mentale pour perturber ses opposants et galvaniser son Ă©quipe. Il a souvent expliquĂ© que son style Ă©nergique Ă©tait une maniĂšre de dĂ©stabiliser les attaquants, un jeu psychologique qu’il affectionne particuliĂšrement.

considéré comme le Neuer brésilien

Pour les spĂ©cialistes, Wander n’est rien de moins que le “Neuer brĂ©silien”. Comme Manuel Neuer, il est un gardien de but moderne, qui n’hĂ©site pas Ă  sortir de sa zone pour jouer comme un libĂ©ro. Il adore s’aventurer en dehors de ses cages pour couper des balles en profondeur ou mĂȘme entamer des relances ambitieuses. Il possĂšde une aisance technique impressionnante pour un gardien et se montre aussi Ă  l’aise avec ses pieds qu’avec ses mains. Cette comparaison avec Neuer n’est pas due au hasard, car ses statistiques et sa capacitĂ© Ă  anticiper les actions adverses le placent parmi les meilleurs gardiens brĂ©siliens de sa gĂ©nĂ©ration.

Repéré par Rivaldo dans un tournoi de jeunes

C’est d’ailleurs grĂące Ă  l’Ɠil avisĂ© de la lĂ©gende Rivaldo que Wander a pu briller sur la scĂšne brĂ©silienne. RepĂ©rĂ© par l’ancien Ballon d’Or lors d’un tournoi de jeunes organisĂ© dans la banlieue de SĂŁo Paulo, Wander n’avait que 15 ans. Rivaldo, impressionnĂ© par sa maturitĂ© et ses qualitĂ©s techniques, a tout de suite compris qu’il avait affaire Ă  un futur prodige. “Il a l’ñme d’un leader, et son charisme sur le terrain est incroyable,” avait dĂ©clarĂ© Rivaldo, qui n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  glisser quelques mots aux dirigeants de Palmeiras pour qu’ils gardent un Ɠil sur ce talent. Le reste appartient Ă  l’histoire : Wander a gravi les Ă©chelons avec brio et est devenu un pilier incontournable de l’équipe alviverde, prĂȘt Ă  poursuivre son ascension vers les sommets du football mondial.

- Chapitre 382 -
- Anaya en pleine tourmente -
- Chapitre 384 -
Coming SOON - 19/11
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Il a de belles qualitĂ©s c’est certain mais de lĂ  Ă  le considĂ©rer comme le Neuer brĂ©silien. Je pense que la presse s’enflamme un peu Ă  son sujet :grin: NĂ©anmoins, un superbe profil pour un club comme Palmeiras. Je ne serais pas surpris qu’il prenne le chemin de l’Europe un jour ou l’autre

J’adore le profil dĂ©crit !! Il a l’air d’ĂȘtre foufou mais toujours dans le spectacle ! Puis je vois sa fiche et en excentricitĂ© je vois
 2 :joy: :joy:

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Aïe, le retour du cartel, ils ne nous avaient pas manqué :sweat_smile:

Wander, mĂ©lange d’Emiliano Martinez et Neuer ?

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@Rhino les mĂ©dias abusent souvent :hoho: J’espĂšre qu’il finira la saison ce fdp

@CaptainAmericka c’est ça des fois on a des surprises :pasrire:

@alexgavi arrete de mytho je sais qu’il t’a manquĂ© le salaud :hoho:

- Déjà un troisiÚme sacre pour Ani au Brésil -

Dans une atmosphĂšre Ă©lectrique dans l’estadio Nabinho, Palmeiras a livrĂ© une dĂ©monstration de force lors de la finale aller du PaulistĂŁo 2035 face au RB Bragantino, une affiche qui a tenu toutes ses promesses en termes d’intensitĂ© et de spectacle. La rencontre a dĂ©butĂ© sur les chapeaux de roues, et il ne fallut que huit minutes aux hommes d’Anibal pour prendre l’avantage. Sur une montĂ©e Ă©claire de Vinicius Jr, l’ailier brĂ©silien fixa deux dĂ©fenseurs avant de glisser une passe subtile en profondeur. Gilson, qui avait parfaitement lu l’action, se projeta entre les dĂ©fenseurs et d’un intĂ©rieur du pied prĂ©cis, ajusta le gardien de Bragantino, envoyant le ballon se loger dans le petit filet. 1-0 pour Palmeiras, et dĂ©jĂ  une ambiance survoltĂ©e dans le stade.

Palmeiras, loin de se reposer sur cet avantage, continua de mettre la pression. À la 17Ăšme minute, une action collective magnifiquement orchestrĂ©e vit William, le joyau du centre de formation, doubler la mise. Le milieu dĂ©buta sur le flanc gauche, oĂč Juan-Sebastian Anaya dĂ©borda son vis-Ă -vis avec aisance avant de centrer en retrait. William, placĂ© aux abords de la surface, s’appliqua pour dĂ©cocher une frappe puissante du droit qui ne laissa aucune chance au portier adverse. Les filets tremblĂšrent sous l’impact, et les supporters de Palmeiras exultĂšrent.

Le match prit ensuite une tournure encore plus dominatrice pour Palmeiras. À la 45Ăšme minute, Vinicius Jr, Ă©tincelant depuis le coup d’envoi, rĂ©alisa un raid solitaire digne de ses plus belles annĂ©es europĂ©ennes. Il rĂ©cupĂ©ra le ballon dans son propre camp, Ă©vitant un tacle rageur avant de s’engager dans une course folle. Dribblant successivement trois dĂ©fenseurs avec des crochets dĂ©vastateurs, il pĂ©nĂ©tra dans la surface et, avec un sang-froid exemplaire, trompa le gardien d’une frappe croisĂ©e au ras du poteau. 3-0 Ă  la pause, et Palmeiras semblait intouchable.

En seconde pĂ©riode, Palmeiras ne relĂącha pas son Ă©treinte. Le rouleau compresseur alviverde reprit son Ɠuvre, et William s’offrit un doublĂ© Ă  la 57Ăšme minute. Sur une dĂ©viation astucieuse de Rodrygo, William se retrouva seul face au gardien. D’un contrĂŽle parfait, il se mit en position pour frapper et expĂ©dia une demi-volĂ©e puissante qui fila droit dans la lucarne. Le score Ă©tait dĂ©sormais de 4-0, et Bragantino paraissait sans solutions.

Bragantino, cependant, parvint Ă  sauver l’honneur. À la 74Ăšme minute, Mero se retrouva Ă  la rĂ©ception d’un centre tendu venant de la droite. Le milieu de terrain bondit plus haut que tout le monde et plaça une tĂȘte imparable qui trompa Wander, le gardien excentrique de Palmeiras. C’était une maigre consolation pour les visiteurs, mais un but qui leur redonna un brin de fiertĂ©.

Palmeiras n’en avait pas fini pour autant. À la 78Ăšme minute, Rodrygo mit la touche finale Ă  une prestation exceptionnelle. Sur un contre menĂ© tambour battant par Yan Couto, le latĂ©ral adressa un centre millimĂ©trĂ© dans la surface. Rodrygo, d’un contrĂŽle aĂ©rien somptueux, Ă©limina son dĂ©fenseur avant de conclure d’une frappe puissante sous la barre. Le stade explosa une derniĂšre fois, applaudissant le brio du champion l’équipe adverse qui s’imposa 5-1, prenant une sĂ©rieuse option pour le titre du PaulistĂŁo 2035.

Anibal GuimarĂŁes et son staff pouvaient ĂȘtre fiers de cette performance de haut vol, mais il restait encore un match retour Ă  disputer. Une chose Ă©tait certaine : Palmeiras avait frappĂ© fort, trĂšs fort.

Club
:campeonato_paulista: Finale :campeonato_paulista:
Estadio
NabizĂŁo
317
1 - 5
329
Red Bull
Bragantino
Sociedad Esportiva
Palmeiras
:but: J-C.Mero (74’) Gilson (8’) :but:
William (17’, 57’) :but: :but:
Vini Jr (45+1’) :but:
Rodrygo (78’) :but:

Dans un Allianz Parque en Ă©bullition, Palmeiras a une nouvelle fois montrĂ© sa suprĂ©matie en clĂŽturant la finale retour du PaulistĂŁo 2035 avec un net succĂšs 3-0 face au RB Bragantino, s’assurant un sacre Ă©clatant. Forts de leur large victoire au match aller, les hommes d’Anibal GuimarĂŁes ne se sont pas contentĂ©s de gĂ©rer leur avance, offrant une prestation magistrale devant leurs supporters qui rĂȘvaient de retrouver le titre rĂ©gional aprĂšs trois ans d’attente.

Le début de match fut marqué par une tension palpable, Bragantino tentant désespérément de revenir dans la confrontation. Mais malgré quelques incursions intéressantes de leur part, la défense de Palmeiras, orchestrée avec assurance par João Vitor, demeura intraitable. Le Verdão, fidÚle à son style offensif et fluide, attendit patiemment son moment pour frapper.

Et ce moment vint Ă  la 37Ăšme minute. Talles Magno, alignĂ© en attaque pour cette finale retour, fit parler toute sa technique. Sur une action initiĂ©e par Rodrygo, Talles Magno reçut une passe en profondeur parfaite, se jouant de son dĂ©fenseur avec un contrĂŽle orientĂ© sublime. Se retrouvant face au gardien, il ne trembla pas et ajusta une frappe sĂšche du droit qui termina sa course dans le petit filet opposĂ©. 1-0 pour Palmeiras, et l’Allianz Parque explosa de joie.

En deuxiĂšme pĂ©riode, Bragantino tenta de rĂ©agir, mais l’organisation sans faille de Palmeiras empĂȘchait toute rĂ©elle incursion dangereuse. À la 71Ăšme minute, le VerdĂŁo profita d’une nouvelle opportunitĂ© pour aggraver le score. Sur un corner parfaitement exĂ©cutĂ© par Juan-Sebastian Anaya, le dĂ©fenseur central JoĂŁo Vitor surgit avec autoritĂ© au point de penalty. Sa tĂȘte puissante laissa le gardien de Bragantino sans rĂ©action, et le ballon fila dans les filets. 2-0, et Palmeiras avait un pied et quatre orteils sur le titre.

Le coup de grĂące fut donnĂ© en toute fin de match. Rodrygo, vĂ©ritable leader d’expĂ©rience au sein de cette Ă©quipe, ne pouvait terminer cette campagne sans marquer son empreinte. À la 89Ăšme minute, il initia un une-deux rapide avec Vinicius Jr, qui lui remit le ballon d’une talonnade subtile. Rodrygo s’engouffra dans la surface, effaça un dĂ©fenseur avec une feinte de frappe, puis ajusta le gardien d’un tir enroulĂ© sublime qui termina dans le coin opposĂ©. Le score final de 3-0 ne laissait aucune place au doute : Palmeiras Ă©tait de nouveau couronnĂ© roi du PaulistĂŁo.

Les cĂ©lĂ©brations furent Ă  la hauteur de l’évĂ©nement. La foule en liesse chanta le nom de ses hĂ©ros, tandis qu’Anibal GuimarĂŁes, entourĂ© de son staff, savourait ce moment historique. Pour le coach portugais, c’était un accomplissement de plus Ă  ajouter Ă  sa collection, et pour Palmeiras, un retour au sommet du football paulista qui scellait un dĂ©but de saison rĂȘvĂ©.

Club
:campeonato_paulista: Finale :campeonato_paulista:
Allianz
Parque
329
3 - 0
317
Sociedad Esportiva
Palmeiras
Red Bull
Bragantino
:but: T.Magno (37’)
:but: J.Vitor (71’)
:but: Rodrygo (85’)
- Chapitre 382 -
- Anaya en pleine tourmente -
- Chapitre 384 -
Coming SOON - 21/11
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Dans l’cul Red Bull !

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Y a pas eu match :pasrire:
Et Rodrygo qui continue de planter :grin:

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Palmeiras qui met des fessées a tout le monde 


spank eric andre GIF by The Eric Andre Show

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ouh ! pinaize. les pauvres y ont pris cher

Bravo pour la victoire et trophée ! :clap:

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Ça aussi c’est fait

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C’est trop facile pour Palmeiras :smirk:

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