Belle nouvelle ça⊠mais ça ne deviendra mĂȘme plus drĂŽle sauf peut-ĂȘtre.en battant une fois lâannĂ©e les Ă©quipes europĂ©ennes
Ah ouais, ça devient costaud ! Câest aussi une façon de devenir une lĂ©gende
Réponses aux lecteurs
Vous lâavez espĂ©rĂ© ? Heâs back
@Sythax @toopil ce sont que des ragots Anibal ne fait pas de recrutement pour Palmeiras au vu du contrat court.
@CaptainAmericka je sens que depuis que les sites pour adultes sont interdit en France tu vas de plus en plus mal frĂ©rot. Tu veux quâon te trouve des numĂ©ros dâescort ?
@VertPourToujours laissons lâEurope oĂč elle est pour le moment
@alexgavi on a dĂ©jĂ le quota dâĂ©go surdimensionnĂ©s.
LâentraĂźnement battait son plein sous le soleil brĂ©silien, mais Anibal GuimarĂŁes, lâentraĂźneur de Palmeiras, ne pouvait sâempĂȘcher de remarquer que son latĂ©ral gauche, Juan-Sebastian Anaya, semblait ailleurs. Le jeune joueur colombien, habituellement si dynamique et dĂ©terminĂ©, Ă©voluait avec une certaine lassitude, comme si un poids invisible le tirait vers le bas.
Ses passes manquaient de prĂ©cision, ses courses semblaient hĂ©sitantes, et mĂȘme ses camarades de lâĂ©quipe, pourtant proches de lui, ne parvenaient pas Ă le faire sourire.
Anibal, connu pour son souci du bien-ĂȘtre de ses joueurs autant que pour sa maĂźtrise tactique, dĂ©cida dâintervenir. AprĂšs une sĂ©rie dâexercices oĂč Anaya montra des signes Ă©vidents de frustration, le coach portugais fit signe Ă son adjoint Javi SĂĄnchez de continuer la sĂ©ance sans lui. Il sâapprocha de Juan-Sebastian, qui sâĂ©tait isolĂ© prĂšs de la ligne de touche, essuyant la sueur sur son front.
« HĂ©, Juan, tout va bien ? » demanda Anibal dâune voix douce, mais empreinte dâinquiĂ©tude. Il savait quâil devait aborder la situation avec prĂ©caution. « Tu ne sembles pas dans ton assiette ces derniers jours. Si tu veux parler, je suis lĂ . »
Le jeune latéral colombien leva les yeux vers son entraßneur, et pendant un instant, Anibal vit la lutte intérieure qui se jouait derriÚre son regard sombre. Juan-Sebastian sembla hésiter, mordillant sa lÚvre inférieure. Puis, comme si un barrage cédait sous la pression, il baissa les épaules et confessa ce qui le rongeait.
« Coach⊠Je suis dĂ©solĂ© de ne pas ĂȘtre au top, mais⊠il sâest passĂ© quelque chose de grave. » Sa voix tremblait, et il jetait des coups dâĆil autour de lui, comme pour sâassurer que personne dâautre nâĂ©coutait. « Jâai reçu une lettre, il y a quelques jours. Une lettre du cartel. Ils veulent que je leur rĂ©trocĂšde ma prime de signature et 60% de mon salaire. Sinon⊠sinon, ils sâen prendront Ă ma petite amie, restĂ©e en Colombie, et Ă ma mĂšre. »
Anibal sentit une boule de colĂšre et de compassion se former dans sa poitrine. Il savait que le cartel Gallindo, dont lâinfluence sâĂ©tendait sur tout le continent, ne lançait jamais de menaces en lâair. Pourtant, il ne sâattendait pas Ă ce que Juan-Sebastian soit encore visĂ©, surtout avec la position de son pĂšre au sein de lâorganisation.
« Ton pĂšre⊠? » commença Anibal, cherchant Ă comprendre. « Je pensais quâil te protĂ©geait de ces choses. »
Anaya secoua la tĂȘte, lâair dĂ©fait. « Câest compliquĂ©. Mon pĂšre est haut placĂ©, oui, mais il ne contrĂŽle pas tout et il a mal pris mon dĂ©part. Certains dans le cartel veulent montrer quâils sont plus forts que lui. Ils sâen prennent Ă ce qui mâest le plus cher pour prouver leur pouvoir. Je⊠je ne sais plus quoi faire, coach. »
Anibal posa une main rĂ©confortante sur lâĂ©paule de son joueur. Son instinct de protecteur, forgĂ© par des annĂ©es Ă veiller sur ses Ă©quipes, sâĂ©veilla immĂ©diatement. « Juan, Ă©coute-moi bien. Tu nâes pas seul dans cette histoire. Je sais combien câest terrifiant, mais nous devons agir. » Il inspira profondĂ©ment. « Tu devrais contacter les autoritĂ©s, la police spĂ©cialisĂ©e. Il faut que ce soit pris en charge sĂ©rieusement. »
Anaya regarda son entraßneur, les yeux écarquillés, une lueur de crainte dans son regard. « Et si ça les énerve encore plus ? »
Anibal hocha la tĂȘte, comprenant la crainte de son joueur. « Je sais que câest risquĂ©, mais nous ne pouvons pas cĂ©der Ă leur chantage. Palmeiras a les moyens de te protĂ©ger. Et en attendant, tu viendras vivre chez moi, dans ma villa sĂ©curisĂ©e. Il y a des gardes armĂ©s, des systĂšmes de surveillance, câest un endroit sĂ»r. Je te le promets. »
Les larmes perlĂšrent aux coins des yeux dâAnaya, qui semblait partagĂ© entre le soulagement et la peur. « Vous feriez ça pour moi, coach ? »
Anibal esquissa un sourire rassurant. « Bien sûr que je le ferais. Tu fais partie de cette équipe, et ici, on ne laisse jamais tomber les nÎtres. Nous allons traverser ça ensemble. »
Un silence empreint dâĂ©motion sâinstalla entre eux, mais Anibal savait quâil venait de planter une graine dâespoir dans le cĆur de son joueur. Il ne pouvait pas effacer les menaces du cartel dâun simple geste, mais il pouvait offrir Ă Juan-Sebastian la force de ne pas plier. Le chemin serait difficile, mais ils avanceraient, un pas Ă la fois, jusquâĂ ce que lâobscuritĂ© soit chassĂ©e par la lumiĂšre de la solidaritĂ© et de la rĂ©silience.
Et si⊠et si le cartel avait bel et bien menacĂ© Anaya, mais quâen Ă©change dâun « service » amenant a discrĂ©diter Anibal, voir pire, cela restait lettre morte ?
Et si venir vivre chez Anibal allait lui permettre de pouvoir mener a bien cette mission, comme laisser une porte ouverte permettant le kidnapping du futur bébé ?
Car quelle pire trahison pour le coach que celle de son protégé ?
Oh, ça se corse pour nos amis lĂ âŠ
Anibal va devoir faire le ménage pour que ses joueurs et lui soient définitivement tranquilles
Coucouuuuu !
Quel suspeeeeeense !!!
Ăa devient intenable vite le prochain Ă©pisode de la sĂ©rieâŠ
Réponses aux lecteurs
@Manthyz beaucoup de si
@CaptainAmericka on est au Brésil pas en Corse
@Rhino Câest une possibilitĂ©
@VertPourToujours ça vient


- - - |
Wander - - - |
Ăge | 26 |
Nationalité | ![]() |
valeur | 12-13.5M⏠|
Salaire | 302kâŹ/m |
Fin de contrat | 31 Décembre 2039 |
ANNEES | CLUB | APP | B.E | C.S | ||||
![]() |
24/29 | [U20] | ![]() |
SĂŁo Bernardo | 96 | 144 | 16 | |
![]() |
24/29 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
SĂŁo Bernardo | 79 | 89 | 20 |
![]() |
24/29 | [U20] | ![]() |
Palmeiras | 9 | 4 | 6 | |
![]() |
24/29 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Palmeiras | 265 | 234 | 102 |
30-34 | TOTAL - - - - - - - - - - | 344 | 323 | 122 |
Membre clĂ© de Palmeiras depuis quelques saisons cela nâa pas changĂ© depuis lâarrivĂ©e dâAnibal GuimarĂŁes. Il est arrivĂ© libre de SĂŁo Bernardo en 2029. Il a pris une toute autre dimension la saison passĂ©e en Ă©tant Ă la base des succĂšs du club. Câest dâautant plus vrai quâil a rejoint le groupe de la Seleção depuis lâarrivĂ©e du coach portugais. Retour en cinq anecdotes sur le parcours de ce cadre brĂ©silien.
a étudié au lycée français
Wander, le gardien de but de Palmeiras ĂągĂ© de 26 ans, est un joueur dont le parcours de vie et de carriĂšre ne cesse de captiver les amateurs de football. NĂ© Ă Sao Bernardo dâune mĂšre française et dâun pĂšre brĂ©silien, il a passĂ© ses premiĂšres annĂ©es entourĂ© de diverses cultures. Cette richesse culturelle a pris un autre tournant lorsquâil a intĂ©grĂ© le lycĂ©e français de SĂŁo Bernardo. Câest lĂ quâil a perfectionnĂ© son bilinguisme, maĂźtrisant aussi bien le portugais que le français, et dĂ©veloppant une curiositĂ© intellectuelle qui se reflĂšte dans sa maniĂšre dâaborder le football.
grand fan de Mike Maignan et Lucas Chevalier
Sa passion pour le poste de gardien sâest nourrie de ses idoles françaises, en particulier Mike Maignan et Lucas Chevalier, deux des meilleurs portiers français de la derniĂšre dĂ©cennie. Wander a suivi avec attention chaque match de ces modĂšles, Ă©tudiant leur jeu de maniĂšre obsessionnelle. « Maignan mâa appris Ă ĂȘtre dĂ©cisif dans les moments clĂ©s, tandis que Chevalier mâa montrĂ© lâimportance de la gestion de lâespace et des relances millimĂ©trĂ©es, » confiait-il rĂ©cemment en confĂ©rence de presse. Le jeune gardien nâhĂ©site jamais Ă attribuer une partie de ses performances Ă ce quâil a appris en observant ses idoles, mais il a aussi su dĂ©velopper un style qui lui est propre.
un gardien excentrique
Sur le terrain, Wander est un vĂ©ritable spectacle. Ă lâopposĂ© des gardiens sobres et discrets, il est un showman qui nâhĂ©site pas Ă jouer avec les Ă©motions des fans. Il multiplie les gestes acrobatiques, plonge de maniĂšre spectaculaire mĂȘme pour les ballons les plus anodins, et aime provoquer ses adversaires. Son excentricitĂ© est palpable : que ce soit lorsquâil tente des dribbles risquĂ©s dans sa propre surface ou lorsquâil hurle des encouragements Ă ses dĂ©fenseurs en tapant des mains frĂ©nĂ©tiquement. Mais cette excentricitĂ© nâest jamais gratuite. Elle sâinscrit dans une stratĂ©gie mentale pour perturber ses opposants et galvaniser son Ă©quipe. Il a souvent expliquĂ© que son style Ă©nergique Ă©tait une maniĂšre de dĂ©stabiliser les attaquants, un jeu psychologique quâil affectionne particuliĂšrement.
considéré comme le Neuer brésilien
Pour les spĂ©cialistes, Wander nâest rien de moins que le âNeuer brĂ©silienâ. Comme Manuel Neuer, il est un gardien de but moderne, qui nâhĂ©site pas Ă sortir de sa zone pour jouer comme un libĂ©ro. Il adore sâaventurer en dehors de ses cages pour couper des balles en profondeur ou mĂȘme entamer des relances ambitieuses. Il possĂšde une aisance technique impressionnante pour un gardien et se montre aussi Ă lâaise avec ses pieds quâavec ses mains. Cette comparaison avec Neuer nâest pas due au hasard, car ses statistiques et sa capacitĂ© Ă anticiper les actions adverses le placent parmi les meilleurs gardiens brĂ©siliens de sa gĂ©nĂ©ration.
Repéré par Rivaldo dans un tournoi de jeunes
Câest dâailleurs grĂące Ă lâĆil avisĂ© de la lĂ©gende Rivaldo que Wander a pu briller sur la scĂšne brĂ©silienne. RepĂ©rĂ© par lâancien Ballon dâOr lors dâun tournoi de jeunes organisĂ© dans la banlieue de SĂŁo Paulo, Wander nâavait que 15 ans. Rivaldo, impressionnĂ© par sa maturitĂ© et ses qualitĂ©s techniques, a tout de suite compris quâil avait affaire Ă un futur prodige. âIl a lâĂąme dâun leader, et son charisme sur le terrain est incroyable,â avait dĂ©clarĂ© Rivaldo, qui nâa pas hĂ©sitĂ© Ă glisser quelques mots aux dirigeants de Palmeiras pour quâils gardent un Ćil sur ce talent. Le reste appartient Ă lâhistoire : Wander a gravi les Ă©chelons avec brio et est devenu un pilier incontournable de lâĂ©quipe alviverde, prĂȘt Ă poursuivre son ascension vers les sommets du football mondial.
Il a de belles qualitĂ©s câest certain mais de lĂ Ă le considĂ©rer comme le Neuer brĂ©silien. Je pense que la presse sâenflamme un peu Ă son sujet NĂ©anmoins, un superbe profil pour un club comme Palmeiras. Je ne serais pas surpris quâil prenne le chemin de lâEurope un jour ou lâautre
Jâadore le profil dĂ©crit !! Il a lâair dâĂȘtre foufou mais toujours dans le spectacle ! Puis je vois sa fiche et en excentricitĂ© je vois⊠2
Aïe, le retour du cartel, ils ne nous avaient pas manqué
Wander, mĂ©lange dâEmiliano Martinez et Neuer ?
Réponses aux lecteurs
@Rhino les mĂ©dias abusent souvent JâespĂšre quâil finira la saison ce fdp
@CaptainAmericka câest ça des fois on a des surprises
@alexgavi arrete de mytho je sais quâil tâa manquĂ© le salaud
Dans une atmosphĂšre Ă©lectrique dans lâestadio Nabinho, Palmeiras a livrĂ© une dĂ©monstration de force lors de la finale aller du PaulistĂŁo 2035 face au RB Bragantino, une affiche qui a tenu toutes ses promesses en termes dâintensitĂ© et de spectacle. La rencontre a dĂ©butĂ© sur les chapeaux de roues, et il ne fallut que huit minutes aux hommes dâAnibal pour prendre lâavantage. Sur une montĂ©e Ă©claire de Vinicius Jr, lâailier brĂ©silien fixa deux dĂ©fenseurs avant de glisser une passe subtile en profondeur. Gilson, qui avait parfaitement lu lâaction, se projeta entre les dĂ©fenseurs et dâun intĂ©rieur du pied prĂ©cis, ajusta le gardien de Bragantino, envoyant le ballon se loger dans le petit filet. 1-0 pour Palmeiras, et dĂ©jĂ une ambiance survoltĂ©e dans le stade.
Palmeiras, loin de se reposer sur cet avantage, continua de mettre la pression. Ă la 17Ăšme minute, une action collective magnifiquement orchestrĂ©e vit William, le joyau du centre de formation, doubler la mise. Le milieu dĂ©buta sur le flanc gauche, oĂč Juan-Sebastian Anaya dĂ©borda son vis-Ă -vis avec aisance avant de centrer en retrait. William, placĂ© aux abords de la surface, sâappliqua pour dĂ©cocher une frappe puissante du droit qui ne laissa aucune chance au portier adverse. Les filets tremblĂšrent sous lâimpact, et les supporters de Palmeiras exultĂšrent.
Le match prit ensuite une tournure encore plus dominatrice pour Palmeiras. Ă la 45Ăšme minute, Vinicius Jr, Ă©tincelant depuis le coup dâenvoi, rĂ©alisa un raid solitaire digne de ses plus belles annĂ©es europĂ©ennes. Il rĂ©cupĂ©ra le ballon dans son propre camp, Ă©vitant un tacle rageur avant de sâengager dans une course folle. Dribblant successivement trois dĂ©fenseurs avec des crochets dĂ©vastateurs, il pĂ©nĂ©tra dans la surface et, avec un sang-froid exemplaire, trompa le gardien dâune frappe croisĂ©e au ras du poteau. 3-0 Ă la pause, et Palmeiras semblait intouchable.
En seconde pĂ©riode, Palmeiras ne relĂącha pas son Ă©treinte. Le rouleau compresseur alviverde reprit son Ćuvre, et William sâoffrit un doublĂ© Ă la 57Ăšme minute. Sur une dĂ©viation astucieuse de Rodrygo, William se retrouva seul face au gardien. Dâun contrĂŽle parfait, il se mit en position pour frapper et expĂ©dia une demi-volĂ©e puissante qui fila droit dans la lucarne. Le score Ă©tait dĂ©sormais de 4-0, et Bragantino paraissait sans solutions.
Bragantino, cependant, parvint Ă sauver lâhonneur. Ă la 74Ăšme minute, Mero se retrouva Ă la rĂ©ception dâun centre tendu venant de la droite. Le milieu de terrain bondit plus haut que tout le monde et plaça une tĂȘte imparable qui trompa Wander, le gardien excentrique de Palmeiras. CâĂ©tait une maigre consolation pour les visiteurs, mais un but qui leur redonna un brin de fiertĂ©.
Palmeiras nâen avait pas fini pour autant. Ă la 78Ăšme minute, Rodrygo mit la touche finale Ă une prestation exceptionnelle. Sur un contre menĂ© tambour battant par Yan Couto, le latĂ©ral adressa un centre millimĂ©trĂ© dans la surface. Rodrygo, dâun contrĂŽle aĂ©rien somptueux, Ă©limina son dĂ©fenseur avant de conclure dâune frappe puissante sous la barre. Le stade explosa une derniĂšre fois, applaudissant le brio du champion lâĂ©quipe adverse qui sâimposa 5-1, prenant une sĂ©rieuse option pour le titre du PaulistĂŁo 2035.
Anibal GuimarĂŁes et son staff pouvaient ĂȘtre fiers de cette performance de haut vol, mais il restait encore un match retour Ă disputer. Une chose Ă©tait certaine : Palmeiras avait frappĂ© fort, trĂšs fort.
Club | ||||
---|---|---|---|---|
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Finale | ![]() |
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Estadio NabizĂŁo |
||||
![]() |
1 | - | 5 | ![]() |
Red Bull Bragantino |
Sociedad Esportiva Palmeiras |
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![]() |
Gilson (8â) ![]() |
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William (17â, 57â) ![]() ![]() |
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Vini Jr (45+1â) ![]() |
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Rodrygo (78â) ![]() |
Dans un Allianz Parque en Ă©bullition, Palmeiras a une nouvelle fois montrĂ© sa suprĂ©matie en clĂŽturant la finale retour du PaulistĂŁo 2035 avec un net succĂšs 3-0 face au RB Bragantino, sâassurant un sacre Ă©clatant. Forts de leur large victoire au match aller, les hommes dâAnibal GuimarĂŁes ne se sont pas contentĂ©s de gĂ©rer leur avance, offrant une prestation magistrale devant leurs supporters qui rĂȘvaient de retrouver le titre rĂ©gional aprĂšs trois ans dâattente.
Le début de match fut marqué par une tension palpable, Bragantino tentant désespérément de revenir dans la confrontation. Mais malgré quelques incursions intéressantes de leur part, la défense de Palmeiras, orchestrée avec assurance par João Vitor, demeura intraitable. Le Verdão, fidÚle à son style offensif et fluide, attendit patiemment son moment pour frapper.
Et ce moment vint Ă la 37Ăšme minute. Talles Magno, alignĂ© en attaque pour cette finale retour, fit parler toute sa technique. Sur une action initiĂ©e par Rodrygo, Talles Magno reçut une passe en profondeur parfaite, se jouant de son dĂ©fenseur avec un contrĂŽle orientĂ© sublime. Se retrouvant face au gardien, il ne trembla pas et ajusta une frappe sĂšche du droit qui termina sa course dans le petit filet opposĂ©. 1-0 pour Palmeiras, et lâAllianz Parque explosa de joie.
En deuxiĂšme pĂ©riode, Bragantino tenta de rĂ©agir, mais lâorganisation sans faille de Palmeiras empĂȘchait toute rĂ©elle incursion dangereuse. Ă la 71Ăšme minute, le VerdĂŁo profita dâune nouvelle opportunitĂ© pour aggraver le score. Sur un corner parfaitement exĂ©cutĂ© par Juan-Sebastian Anaya, le dĂ©fenseur central JoĂŁo Vitor surgit avec autoritĂ© au point de penalty. Sa tĂȘte puissante laissa le gardien de Bragantino sans rĂ©action, et le ballon fila dans les filets. 2-0, et Palmeiras avait un pied et quatre orteils sur le titre.
Le coup de grĂące fut donnĂ© en toute fin de match. Rodrygo, vĂ©ritable leader dâexpĂ©rience au sein de cette Ă©quipe, ne pouvait terminer cette campagne sans marquer son empreinte. Ă la 89Ăšme minute, il initia un une-deux rapide avec Vinicius Jr, qui lui remit le ballon dâune talonnade subtile. Rodrygo sâengouffra dans la surface, effaça un dĂ©fenseur avec une feinte de frappe, puis ajusta le gardien dâun tir enroulĂ© sublime qui termina dans le coin opposĂ©. Le score final de 3-0 ne laissait aucune place au doute : Palmeiras Ă©tait de nouveau couronnĂ© roi du PaulistĂŁo.
Les cĂ©lĂ©brations furent Ă la hauteur de lâĂ©vĂ©nement. La foule en liesse chanta le nom de ses hĂ©ros, tandis quâAnibal GuimarĂŁes, entourĂ© de son staff, savourait ce moment historique. Pour le coach portugais, câĂ©tait un accomplissement de plus Ă ajouter Ă sa collection, et pour Palmeiras, un retour au sommet du football paulista qui scellait un dĂ©but de saison rĂȘvĂ©.
Club | ||||
---|---|---|---|---|
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Finale | ![]() |
||
Allianz Parque |
||||
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3 | - | 0 | ![]() |
Sociedad Esportiva Palmeiras |
Red Bull Bragantino |
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||||
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Dans lâcul Red Bull !
Y a pas eu match
Et Rodrygo qui continue de planter
Palmeiras qui met des fessĂ©es a tout le monde âŠ
ouh ! pinaize. les pauvres y ont pris cher
Bravo pour la victoire et trophée !
Ăa aussi câest fait
Câest trop facile pour Palmeiras