:storygreen: :s3: 🇮🇹 The Trident must drive :f1:

[RedM1nd]

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@toopil > Tant qu’on peut on prend ^^’ on sait jamais quand le vent tourne

@alexgavi > Effectivement, les saison sont longues, et il serait cocky de croire que l’on puisse être à l’abri.
Après un première course poussive, Arvid fait un gros week-end. Il sait que ses performances sont surveillées.

@Tilo82 > Et que ça dure

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[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2025	LANDO NORRIS	MCLAREN	+ 3.302s
2024	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 19.502s
2023	SERGIO PÉREZ	RED BULL	+ 5.355s
2022	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 0.548s
2021	LEWIS HAMILTON	MERCEDES	+ 21.824s

Nous avons 15 jours devant nous entre la fin du Grand Prix de Sakhir et le début du week-end dans la ville de Jeddah en Arabie Saoudite.
Nous rentrons donc à Modène afin de nous occuper des affaires courantes.
C’est en effet lors de cette courtes périodes de quelques jours que les travaux d’améliorations des infrastructures touchent à leurs fins.

Depuis le début des travaux nous avions pris la décision d’économiser notre budget de développement et d’attendre le moment où ces nouvelles installations seraient enfin disponibles à leurs pleins potentiels.
Avec ces chantiers terminés, c’est désormais chose faite, et nous lançons sans attendre la première phase de développement majeure de notre MC-F26.
Des améliorations portant sur le châssis, les flancs, le fond plat et les suspensions qui devraient être disponibles au courant du mois de Juin.

Notre passage en Italie fut également le moment de revenir sur les négociations en cours avec Théo Pourchaire. Notre pilote était leader du championnat, mais aussi en fin de contrat.
Nous avions lancé les discussions il y a peu et le français avait fait savoir son souhait de négocier à la hausse toutes nos propositions. Une contre-offre avait donc été formulée par nos soins dans l’optique de trouver un entre-deux profitables.

J’étais touché d’apprendre par l’entourage du pilote que ce dernier avait décidé de refuser cette contre-proposition et d’arrêter toutes discussions pour le moment. J’avais pourtant le sentiment d’avoir fait un énorme pas vers ses exigences en lui proposant une rémunération annuelle de 15,8 millions d’euros. Une prime de 100 000€ par victoire et une prime de 1,5 millions d’euros. Sans succès.
Les négociations étaient donc rompues, à charge qu’elle reprenne prochainement.
Je devais régler cette question contractuelle avant le break estival.

Néanmoins conscient que notre image encore assez faible à l’échelle de la discipline ne nous permettait pas de signer des contrats à forte rémunération, et donc d’encaisser des salaires trop important, je débloque une enveloppe de 1,1 millions d’euros pour améliorer les salles de réunions du QG ainsi que sa piste d’héliport.
L’image renvoyée était presque aussi importante que les résultats, et à ce titre, je devais faire de Maserati F1 une écurie sur laquelle on a envie de miser et d’investir.

LES ESSAIS LIBRES

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Le scénario des FP1 est plutôt inédit. Russell semble particulièrement en forme mais c’est surtout l’écart avec Pourchaire qui impressionne avec pratiquement une demi-seconde d’avance sur le français.

Peut-être que Théo devrait concentrer son attention sur son pilotage et moins réfléchir au millions qu’il pense pouvoir faire ajouter à son contrat.

Lors de la deuxième séance d’essais, l’écart entre nos deux pilotes redevient minime, presque inexistant. 20 millièmes à l’avantage cette fois-ci de Pourchaire qui semble enfin entrée dans son week-end.

Dans la dernière séance, on boucle nos derniers programmes d’essais par un rythme de qualification. Et une fois encore, c’est George qui termine devant son coéquipier. 46 millièmes, c’est peu, mais le britannique semble en grande forme pour ce week-end en Arabie Saoudite.

LES QUALIFICATIONS

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Dans la peau du favori, nous abordons cette nouvelle séance de qualification avec l’objectif de décrocher la pole position.
Il y a cependant des chances pour que cela soit plus difficile cette fois-ci.
En effet, Red Bull a apporté plusieurs améliorations sur leur voiture et les sensations évoqués par les deux pilotes semblent plutôt positives.

En Q1, nous sommes assez observateur de ce que réalisent les autres. On ne se précipite pas, et on attend patiemment notre moment. Les McLaren sont assez nettement en tête lorsque l’on décide de sortir aux côtés de l’écurie que l’on considère comme la plus dangereuse ce week-end. Mais George Russell, très impliqué depuis les essais, réalise un premier run exceptionnel qui lui accorde P1. Pourchaire est P3, derrière… Norris.
Les Red Bull sont 4 et 7.
Lors du deuxième run, Carlos Sainz s’empare du meilleur temps.

Pérez - Lawson - Albon - Ocon - Tsunoda et Alonso sont éliminés en Q1.

Lors des Q2. Nous sommes prévenues que les Red Bull peuvent nous faire mal, il va donc falloir garder cela en tête et tout faire pour essayer de rester devant. Sur le premier run, George est une nouvelle fois le plus rapide, Théo est relégué au 4ème rang par Verstappen et Sainz. Le Français prend finalement le troisième temps derrière Russ et Sainz… encore lui.

Stroll - Hulkenberg - Bearman - Vesti - Gasly et Zhou sont éliminés.

En Q3, s’affrontent les deux Red Bull, les deux Maserati, les deux McLaren, les deux Ferrari, l’Aston Martin de Bottas et la Mercedes de Kimi Antonelli.

C’est l’instant de vérité, celui qui va déterminer l’emplacement de départ de la course, mais également l’instant qui rétablira ou non la légitimité de Red Bull à aspirer à une victoire.
En 1’26’159, Théo tape du poing sur la table tandis que Russell est gêné par Verstappen et rate son premier chrono.
Mais nous le savons, ils le savent, tout le monde sait… Tout va se jouer lors du deuxième et dernier run de Q3.
Verstappen améliore, Sainz améliore, et Russell améliore aussi ses deux premiers secteurs. Mais cela reste insuffisant.

Théo Pourchaire grâce à son premier run partira une fois de plus en pole position. Verstappen et Sainz le suivront de près. Russell (4) s’élance depuis la deuxième ligne.
Norris (5) et Piastri (6) devance Bottas (7), Hamilton (8) et Leclerc (9) Le Rookie Kimi Antonelli (10) complète le Top 10.

LA COURSE

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La qualification a confirmé le performance retrouvée de l’écurie Red Bull.
Cette course s’annonce palpitante.
Côté stratégie, nous sommes tiraillés entre deux options.

La première, faire qu’un seul arrêt. La deuxième, en faire deux, mais sur un rythme de course beaucoup plus élevé. La simulation indique que la stratégie en deux arrêts est la plus mais aussi la plus risquée, car plus de passages dans la pitlane équivalent à plus de chance de rencontrer des soucis au stand. Il y avait également le facteur de la Safety qui dans un sens comme dans l’autre pouvait anéantir nos espoirs.
Après réflexion, nous décidons de miser sur la faible dégradation de nos gommes et donc de notre faculté à amener de la performance jusqu’au bout du Grand Prix.
Nos deux pilotes partent donc en Médiums et chausseront des Durs.

Et c’est parti ! Excellent envol de George Russell qui plonge au virage n°1 pour prendre la 3ème position.
Théo Pourchaire part lui aussi comme une flèche et garde sa position.

Au début du deuxième tour, notre pilote britannique logé dans les échappements de Verstappen dépose le néerlandais à l’endroit même où il est parvenu à dépasser Sainz… Le fameux premier virage.

Dès le 3ème tour, la bataille entre les deux Maserati commence. Max n’en perd pas une miette et reste à l’affût.
2 tours plus tard, le batave croque les deux MC-F26 et prend la tête de la course.

En l’espace de 5 tours, les Maserati continuent à ne pas se lâcher, et c’est Max qui en profite. Le hollandais mène de 1,8 secondes et pendant ce temps, Théo et George s’échangent le P2 à tour de rôle.

Au 13ème tour, l’écart avec Verstappen dépasse les 3,5 secondes. Le schéma du Grand Prix se dessine déjà. La victoire va se jouer entre ces trois hommes : Verstappen, Pourchaire, Russell. L’avenir nous dira que saura tirer son épingle du jeu.

17ème tour. Verstappen est seul sur son nuage avec 4,4 secondes d’avance sur son dauphin.

Au 20ème tour, ce sont plus de 6,3 secondes qui séparent la Red Bull de nos monoplaces. Théo entre dans sa fenêtre d’arrêt au stand, et les radio des deux pilotes s’allument instantanément. Ils ont tous les deux des problèmes de boîte de vitesses. Le spectre de l’abandon par casse mécanique plane au-dessus de nos têtes, mais je fais comme si de rien était. De toute façon, nous devons faire avec.

21ème tour, Théo rentre au stand. Le français ressort 7ème dans le clean air de Norris. Il va pouvoir dérouler son rythme sans être gênée par sa bataille avec George qui lui a beaucoup coûté jusqu’à présent.

Et c’est sans doute mieux comme ça, car Russ se fait attaqué de toute part et chute de la 2nd à la 4ème place.
Le britannique reprendra rapidement sa position à Bottas, mais se trouve désormais à 2,5 secondes de Piastri.

Le tour d’arrêt de George approche et nous lui demandons de lâcher les chevaux et de faire de son mieux pour repasser sur Piastri. Mais c’est l’inverse qui se produit avec un Sainz opportuniste qui se glisse entre la McLaren de l’australien et la Maserati du britannique.

26ème tour, Piastri, Sainz et Russell entrent au stand. Je tenais tellement à cette track position… Dans ces conditions, je nous imagine assez mal ressortir devant… Sauf cas de problème pour l’un de nos deux adversaires (idéalement les deux).

Cela devient particulièrement délicat, lorsque Bottas réussit à réaliser l’overcut sur Russell.
Le britannique est P7 et semble grandement handicapé par sa boîte de vitesses capricieuse.
Pourchaire est quant à lui 3ème et a un très bon rythme.

Verstappen s’arrête au 28ème tour et ressort 3,6 secondes derrière Théo. La fin de course s’annonce difficile pour Théo qui va très certainement voir venir dans ces rétro un Verstappen affamé.
Les problèmes mécaniques du jour n’arrangent pas vraiment face à ce retour de compétitivité des Taureaux sous boissons énergisante.

Au 30ème tour, Théo nous contacte et nous annonce un cruel constat, sa boite est de moins en moins réceptive.

33ème tour, Après l’arrêt de Lando Norris, Théo est à nouveau leader de la course, mais Verstappen est à moins de 5 dixièmes et met une pression de dingue sur les épaules de notre jeune pilote. Une bataille féroce commence entre Max et Théo.

George de son côté est en perdition. Il ne revient pas sur Norris, il ne revient pas sur Bottas et semble vraiment galérer avec les rapports de sa boite de vitesses.

À 15 tours de l’arrivée, suite à un énième changement de position, Théo dépasse le néerlandais et reprend la tête de la course.

39ème tour, les signaux moteurs sont critiques sur la monoplace de Pourchaire. Après la boite, voilà que le moteur s’y met. Et pourtant, le loup se bat avec une telle hargne. Il parvient à livrer une sublime bataille avec Verstappen, tandis que Russell est largué à 8,6 secondes de Norris. Il reste 11 tours à tenir, mais serons-nous capable d’aller jusqu’au bout ?

10 tours restant. Malgré une monoplace en décomposition, Théo Pourchaire se bat pour la victoire. Le français est parvenu à conserver sa gomme jusqu’au point où celle de Max est devenue identique alors que le pilote Red Bull s’est arrêté 7 tours plus tard. Si la voiture tient.. Pourchaire peut toujours l’emporter.

Par contre, nos espoirs sont douchés pour Russell qui avait pourtant fait un excellent week-end, un excellent début de course, mais qui avait été lourdement impacté par ses déboires mécaniques.

43 tours ! Tout bascule vers un nouveau thriller ! La Safety car est déployé après un énorme carton entre la Haas de Tsunoda et l’Audi d’Hulkenberg. Une Safety car transformée en drapeau rouge.

Toutes les voitures rentrent dans la pitlane et vont avoir droit à changer de pneus.
La course reprend 10 minutes plus tard pour un nouveau départ arrêté.
Dans cette situation, tout est encore possible. Nous pouvons prendre un superbe envol et gagner, tout comme le passage successif de régime qui incombe au processus de départ peut faire griller la voiture.
On s’en remet au destin et jouons notre résultat sur ce facteur inconnu.

Lors de ce nouveau départ, Théo et P2. George est P7.
Le français conserve sa position à la relance et continue de chasser Verstappen.
Russell quant à lui, parvient à dépasser Bottas. Ses cibles sont les deux McLaren devant lui.

Le britannique passe sur Norris au 46ème tour. Lors de ce même 46ème tour. Pourchaire rugit à nouveau et prend le meilleur sur Verstappen. Il reste 4 tours à tenir.

3 tours… Et puis la monoplace s’arrête. La boite à vitesse vient de lâcher et nos espoirs s’envolent. Théo est forcé d’abandonner et une nouvelle voiture de sécurité est déployée. Un scénario cruel pour le français qui en détenant le chrono du meilleur tour aurait pu réaliser son premier Hat-Trick en cas de victoire.

La course se terminera sous régime de voiture de sécurité.
Le Grand Prix de Jeddah se solde par un doublé de Red Bull qui confirme le soupçon de leur retour aux affaires. Piastri complète le podium. George Russell et P5.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Max Verstappen	Red Bull	1’29’343	2	25
	Carlos Sainz	Red Bull	1’29’899	3	18
	Oscar Piastri	McLaren	1’29’509	2	15
P4	Lando Norris	McLaren	1’30’526	3	12
P5	George Russell	Maserati	1’30’532	2	10
P6	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’30’645	3	7
P7	Frédérik Vesti	Williams	1’29’961	3	6
P8	Fernando Alonso	Mercedes	1’29’881	3	4
P9	Lewis Hamilton	Ferrari	1’30’639	3	2
P10	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’30’330	3	1
P11	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’30’345	3	0
P12	Esteban Ocon	Haas	1’30’623	3	0
P13	Charles Leclerc	Ferrari	1’30’442	3	0
P14	Lance Stroll	Aston Martin	1’31’123	3	0
P15	Sergio Pérez	Alpine	1’30’895	4	0
P16	Kimi Antonelli	Mercedes	1’30’646	2	0
P17	Alexander Albon	Williams	1’32’283	4	0
P18	Liam Lawson	Alpine	1’32’776	4	0
P18	Oliver Bearman	Audi	1’32’427	3	0
P20	Théo Pourchaire	Maserati	1’29’105	2	DNF
P21	Yuki Tsunoda	Haas	1’33’519	2	DNF
P22	Nico Hulkenberg	Audi	1’33’108	2	DNF

LES AFFILIÉS

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Le Championnat du Monde de F3 n’était pas convié à Jeddah. Bedrin était donc resté à Modène pour bosser.

En revanche, la F2 était bien présente. Lors du Sprint, Colapinto et Lindblad ont terminé P13 et P12. Seul Mini est dans les points avec sa 5ème place. En course, Franco s’effondre et termine P15. Lindblad fait tout juste mieux avec une P11. Gabriele quant à lui prend la P3 et grimpe sur le podium.

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[Tilo82]

Dommage mais bon ça arrive faudra relancer la machine pour le prochain GP.

[Rhino]

Dommage pour cet abandon pour le français. Parce que le début de saison des Maserati est assez fou. Le changement de règlement ne semble pas pénaliser l’écurie

[CaptainAmericka]

Putain les deux doublés sont magiques et font un bien fou au niveau comptable !!

Même la dernière course un peu moins bonne ne freine pas l’euphorie des supporters tellement le duo construit cette saison est incroyable ! Les deux pilotes peuvent l’emporter n’importe quand, on sent l’équipe monter en puissance !!

[toopil]

La poisse pour Pourchaire qui semblait tenir, au minimum, la 2e place…

La mécanique en a voulu autrement…

[alexgavi]

Première grosse galère de la saison. Il fallait bien ça pour ralentir Maserati

Par contre, le dénouement est assez cruel pour Théo qui avait largement fait le job tout au long de la course, malgré les pépins mécanique. On va dire que c’est le juste retour du bâton des négociations contractuelles
Cette course aura eu le mérite de totalement relancer le classement !

[RedM1nd]

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@Tilo82 > Etre capable d’encaisser ce genre de mésaventure fait aussi partie des facultés nécessaires pour gagner le titre.

@Rhino > Les énormes investissement réalisés au détriment des performances l’an dernier ont porté leurs fruits. La voiture est excellente, notre duo l’est aussi. Mais comme tout le monde il peut y arriver qu’il y ait des problèmes. Notre mésaventure à Jeddah fait partie du jeu.

@CaptainAmericka > C’est claire que cela change des P5/P14 de l’an passé avec Théo/Gio. L’écurie est armée, mais nous n’avons pas l’habitude d’être le chassé. Pour gagner il faudra que l’on parvienne à résister aux retours de nos rivaux.

@toopil > La P2 était en effet un minimum. Mais le destin a fait son œuvre.

@alexgavi > Si c’est le Karma qui a frappé, j’espère qu’il ne restera pas trop longtemps au-dessus de notre tête. On arrive qu’à la fin du premier quart de saison. ^^ Il faudrait pas que ça devienne une habitude. À choisir, je préfère des doublés ^^

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[RedM1nd]

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Notre début de saison était dans tous les esprits. Et les discussions de plateau et de podcast en ligne avaient déjà commencé, spéculant sur la faculté que pourrait avoir Maserati à tenir le rythme dans la durée.
Je laissais ce tapage sans grand intérêt aux gens des médias, j’avais pour ma part bien assez à faire dans mon job de Team Principal et de PDG de Maserati.

Le Grand Prix de Miami allait se tenir dans quelques jours et nous avions convenu avec Chiara de laisser notre fils Enzo chez mes parents afin qu’elle puisse me suivre en Floride. Sa dernière présence dans les paddocks remonte à fort longtemps, et notre vie avait beaucoup évolué depuis.

Elle avait quitté l’Hôpital pour se concentrer sur sa réorientation professionnelle dans la gestion d’entreprise.
Ces quelques jours en Floride seraient l’occasion de nous retrouver, loin de Modène, loin des cours et de la paperasse.
De mon côté, le taff était bouclé et je n’avais qu’à profiter en attendant que l’équipe arrive sur place.

Alors nous avons profité. De la plage, des restaurants et des rencontres que l’on a pût faire.
Deux jours avant le début du Grand Prix, nous avons été conviés au restaurant par David Beckham et son épouse. L’ancienne gloire du Football anglais était une personnalité extrêmement appréciée à Miami depuis la création du club de Football de l’Inter Miami.

Un dîner passionnant où beaucoup de choses furent partagées. David me confiait avoir pris du bon temps lors de son passage en Italie au Milan AC et regrettait parfois la qualité de notre cuisine.
Un moment inoubliable pour Chiara qui rencontrait Victoria, une personnalité forte et considérée comme la personne ayant façonné l’image de son mari. J’espérais cependant qu’elle ne prendrait pas trop exemple sur l’ex-chanteuse de Spice Girls dans ce registre là.

La veille du début du week-end de course, une foule s’amasse autour du Hard Rock Stadium de Miami. Les flash crépites pour ce qui s’annonce être THE BIG NEWS.
Les chaînes de télés américaines commencent à diffuser l’information et afficher les premiers clichés sur leurs antennes.

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À compter de ce jour, Maserati et l’Inter Miami deviennent partenaires pour une durée de 5 ans. Le Trident deviendra à compter de la saison prochaine le fournisseur de véhicules officiel des joueurs de l’équipe première de la franchise de MLS , et s’engage à un investissement annuel de 10 millions de dollars pour aider le club floridien à moderniser et améliorer ses structures de formation et d’encadrement.

Obtenir un tel accord est un honneur. Un privilège. Un grand merci à Monsieur Beckham pour avoir rendu cela possible.

Lionel Messi au volant d’une Maserati, je pouvais difficilement rêver mieux en matière de marketing.
Dénicher un tel partenariat était une opportunité mais surtout une chance tant Stellantis pollue la scène à travers le monde entier avec toutes ses marques automobiles.

Miami n’avait rien à envier à un club comme la Juventus de Turin. Le marché américain était une cible clé pour nous, si cet accord pouvait nous aider à y retrouver un socle de vente solide et durable, cela serait une réussite absolue.

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[CaptainAmericka]

Alors je ne connais pas du tout le jeu donc j’ai une question ! Est-ce que t’as réellement pu faire un partenariat avec un club de foot dans ta partie ? Ou c’est pour la story ??

Sinon, incroyable !!

[RedM1nd]

@CaptainAmericka > C’est hélas pas dans le jeu, ça serait incroyable soit dit en passant

[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2025	LANDO NORRIS	MCLAREN	+ 0.683s
2024	LANDO NORRIS	MCLAREN	+ 6.686s
2023	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 5.383s
2022	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 5.785s
2021	/	/	/

Maserati a frappé très fort cette semaine en annonçant son nouveau partenariat pluriannuel avec la franchise de MLS de l’Inter de Miami.
Pouvoir compter sur le coup de pouce marketing de plusieurs grands joueurs de football ne pourrait qu’être bénéfique pour notre image de marque.

Cet accord allait dans ce sens, bien que mes occupations doivent rapidement se tourner vers la préparation de notre week-end de course en Floride.

Partir de Jeddah bredouille avec une casse mécanique et plusieurs pépins techniques avait été dure à avaler. Se dire que le 5ème place acquise dans la douleur par George était presque une surprise ne représentait pas ce que nous avions l’habitude de produire comme résultat.

Nous avons donc à cœur de démontrer à Miami que cet échec n’aura en rien ébranlé notre soif de victoire et que nos pilotes allaient revenir plus fort, et surtout avec des composants mécaniques neufs capables de délivrer la totalité du potentiel de la MC-F26.

Petite nouveauté par rapport à l’an dernier. Le format Sprint a été retiré cette année au profit d’un autre week-end dans le calendrier.

LES ESSAIS LIBRES

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Nous aurons donc la possibilité d’avoir trois séances d’essais devant nous pour retrouver les sensations perdues à Jeddah.

Notre projet ici est clair, rouler, rouler, et encore rouler. Les pilotes ont besoin de retrouver la confiance en leur monoplace, ou plutôt envers les composants qui la composent. Le programme sur les gommes Dures est fait pour cela.

À l’arrivée, George Russell prend les devant sur son équipier en effectuant le meilleur temps pour 57 millièmes.
Lors des essais libres 2, le travail de fond continue et les réglages s’améliorent.
181 millièmes séparent nos deux hommes à l’avantage de Théo en fin de séance.
L’écart se creuse à 2 dixièmes lors de la dernière séance. Mais nous sommes satisfait globalement de notre travail et sommes prêts à s’attaquer à la qualification.

LES QUALIFICATIONS

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Nous avons hâte que la Q1 commence. Nous voulons faire en sorte que le thriller de Jeddah ne se reproduise pas.

On commence la qualif très fort en signant les deux meilleurs chronos. 1’27’272 pour Théo, 1’27’415 pour George. Seul Max Verstappen fait mieux.
Satisfaits de notre premier temps, nous ne ressortons pas et misons dès cet instant sur la Q2.

Albon - Stroll - Ocon - Lawson - Leclerc et Tsunoda sont out en Q1.

En Q2, nous sortons pour notre premier run avec les gommes usés de Q1. Cela n’empêche pas Russell de réaliser son tour en 1’27’253.Gêné par un Williams lors de son tour lancé, Théo Pourchaire ne peut prétendre à mieux qu’un 10ème temps. Nous sommes donc forcés de le faire sortir à nouveau. Alors que Russell reste au chaud dans le garage. Théo se sauve en sortant un nouveau temps de référence de 1’27’231. Mais battu par Verstappen quelques instants suivant.

Vesti - Hulkenberg - Pérez - Bearman - Gasly et Sainz sont éliminés.

En Q3, Deux Maserati, deux McLaren, deux Mercedes, une Red Bull, une Ferrari, une Racing Bulls et une Aston Martin se disputent la première place.
Les Maserati frappent très très fort d’entrée de jeu en occupant les deux premières places. Russell d’abord, Pourchaire ensuite.
Les deuxièmes runs commencent, et Verstappen prend provisoirement la pole avec le plus gros chronos du jour en 1’27’043. George améliore, mais échoue à 80 millièmes de l’Hollandais. La séance est terminée, il ne reste plus que Pourchaire… Qui échoue lui aussi à 84 millièmes de la Red Bull.

Verstappen décroche la pole position devant les deux Maserati de Russell et Pourchaire.
Piastri (4) échoue au pied du podium et devance Alonso (5), Bottas (6) ainsi que son coéquipier Lando Norris (7). Hamilton (8) partira devant le jeune Antonelli (9). Zhou (10) et sa Racing Bulls fermeront la marche.

LA COURSE

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Lors des préparatifs d’avant course, les mécaniciens de George Russell remarque que le moteur de ce dernier est bien plus usé qu’il n’aurait dû l’être. Se présente alors un choix que l’on aurait ne pas avoir à faire.
Tenter la course avec le moteur en prenant le risque d’une casse. Ou bien changer le moteur, casser le parc fermé et prendre des places de pénalité.

Mon équipe et moi résonnons avec pragmatisme. Courir avec un moteur aussi abimé pouvait être risqué et conduire à un abandon.
Changer de moteur nous oblige à partir depuis la voie des stands, mais cela nous permet de courir dans de meilleures conditions.
Notre voiture est excellente, et en discutant avec George, nous tombons d’accord sur cette stratégie là.

Complètement à l’opposé de la grille, nos pilotes ont cependant droit à la même stratégie.
Ils effectueront tous les deux un Soft / Médium / Médium très accès sur un rythme de course élevé.

Avec la pénalité de Russell, Théo remonte d’une place sur la grille et part derrière Verstappen. Depuis la pit lane, George va devoir s’employer et effectuer beaucoup de dépassements s’il souhaite au moins rentrer dans les points.

Le départ de Théo est bon, mais celui de Verstappen l’est tout autant ce qui lui permet de se protéger d’une éventuelle attaque. Piastri en revanche et parti comme un boulet de canon et vient nous discuter la 2ème position dès les premiers instants de la course.
Position que l’australien nous prendra d’ailleurs.

George compte 5 secondes de retard lorsqu’il est autorisé à s’élancer.
Après 5 tours de course, Pourchaire n’est toujours pas parvenu à récupérer sa position de départ. Oscar Piastri est sur un rythme endiablé et Verstappen, en tête, réalise un excellent début de Grand Prix. Le français ronge son frein, mais la course est encore longue.

George est parvenu quant à lui à dépasser Stroll et Albon, mais sa remontée est moins spectaculaire que je l’aurais pensé.
Et comme s’il suffisait d’en parler, Théo dépasse Piastri dans le 6ème tour et se retrouve à 1,6 secondes d’un Max Verstappen qui ne souhaite pas perdre de temps.
On comprendra rapidement par les messages radios que Piastri a des problèmes.

À la fin du dixième tour, rien à changer du côté de la tête de la course. Verstappen compte maintenant près de 4 secondes d’avance sur la P2 qui s’échange entre Pourchaire et Piastri. Nous sommes en quelque sorte en train de revivre le scénario de Jeddah. Où Théo et George s’étaient longtemps battus en piste, favorisant le rythme de Max.
En revanche, Russ a enclanché la seconde et est parvenu à revenir à la 14ème place.
Le britannique, à 6,1 secondes des points en a encore sous la pédale.

13ème tour, Piastri s’est arrêté pour changer ses gommes, et alors que l’on pensait être débarrasser des McLaren, voilà que Norris remplaçait son coéquipier et venait jouer les troubles fêtes en s’emparant de la deuxième position.
2 tours plus tard, le leader de la course s’arrête. Norris prend alors les commandes suivi de très près par Théo.
George est P11 et n’est plus qu’à 1,4 seconde de la zone des points.

Au 19ème tour, Théo est appelé au stand, Russell y est également attendu.
Les deux pilotes chaussent des Médiums et repartent à l’attaque sans incident dans la pitlane
Lorsque tout le monde est enfin rentré aux stands, la course se dessine ainsi.
Verstappen est seul en tête et compte 5,8 secondes d’avance sur Norris. Théo complète le podium à 4,2 secondes de la McLaren.
George est parvenu à sécuriser une remontée de 10 positions sur son premier relais du GP.
Il est à 2,7 secondes des points et à 15,2 secondes de la P5.

Au 24ème tour, Russ dépasse Antonelli et prend la 10ème place.

30ème tour, Lando parvient à réduire un tout petit peu l’écart qui le sépare du leader qui n’est pour l’instant pas embêté. Théo conserve le même écart avec Norris.
Dans le top 10, ça bouge pas mal avec notamment l’impulsion de George qui ne lâche rien et qui continue de grappiller des positions. Il est P8.

34ème tour, Pourchaire hausse le rythme et l’écart avec Norris passe de 4,2 secondes à 3,6.Dans un même temps, Norris se rapproche de Verstappen, ce qui signifie que nous aussi.

De nombreux pilotes se sont arrêtés pour leurs deuxième arrêts, Russell désormais P5 provisoirement se sert du clean air pour maximiser son rythme de course. Il est à 9,1 secondes de Bottas.

Soudain, le Drapeau rouge est agité, et les monoplaces invitées à rentrer dans la voie des stands. Nos regards se braquent sur les écrans géants et sur nos radars. Nous ne tardons pas à comprendre. Oli Bearman s’est pris le mur en sortie de virage. Abandon.
Ce drapeau rouge est clairement ce qui pouvait nous arriver de mieux.

Nous allons avoir droit à un nouveau départ, mais surtout un nouveau départ dans l’ordre actuel. C’est clairement un braquage que l’on réalise avec Russell.

Par ailleurs, les écarts avec Verstappen et Norris seront réduits à néant.
C’est une nouvelle course qui commence au 36ème tour. Une course lors de laquelle Théo et George s’élancent 3ème et 5ème.
Le nouveau départ est grandiose. Dans un premier temps Russell prend le meilleur sur Bottas et Pourchaire en fait de même avec Norris.

Puis, notre pilote britannique dépasse son compatriote de chez McLaren.
En un éclair, nous transformons notre course d’un podium sans saveur en un double podium qui s’annonce électrisant.

40ème tour, Verstappen est à 1,2 secondes.
Dans une logique d’entraide les Maserati ne se gênent pas, s’échangent les positions proprement et essayent malgré tout de garder Norris derrière.

Un tour plus tard, les deux Maserati, grâce à leur travail d’équipe olympique, peuvent attaquer Verstappen. George sera le mieux placé à l’initiation de ce dépassement et prendra le meilleur sur le néerlandais. Mais Max résite et reprend sa place de meneur de course.

45ème tour, la pression est maximale pour Verstappen. Les trois pilotes de tête se tiennent en moins d’une demi seconde.

47 tours, le résultat final est toujours aussi incertain. Max, Théo et George se livre une bataille à trois sous haute intensité.
Mais Verstappen est glacial, ne sourcille même pas et encaisse la moindre de nos attaques avec intelligence.

Russ de notre côté, veut peut-être trop en faire et c’est pourquoi il touche son aileron avant contre le mur, les dégâts sont conséquents. Certains ingénieurs suggèrent de rentrer au stand pour changer d’aileron, mais il ne reste que 10 tours. Un pilote du calibre de Russell devrait être capable de gérer cette situation.

L’instant suivant, et comme s’il s’était sentit libéré de la présence de son coéquipier, Théo prend la tête de la course pour la première fois aujourd’hui.
George fait preuve d’une grande volonté, mais sans aileron il ne peut plus se mêler à la discussion.

Au 53ème tour, Russ est désormais bel et bien largué à 8 secondes du duo qui s’affrontent pour la victoire.
Le britannique est en gestion pour assurer ce double podium au Trident.

À tour de rôle, le néerlandais et le français échangent leur position.
Ce Grand Prix allait se jouer à celui qui frapperait de manière la plus réfléchie.
À trois tours de l’arrivée, c’est Théo qui mène.

Dernier tour. Le français est toujours en tête, Max Verstappen ne lâche pas le morceau et est à 7 dixièmes.
Gianpiero demande à Théo de pousser la voiture au maximum.
Dernière ligne droite… Dernier virage…

Et à la fin… C’est Verstappen qui gagne. Une victoire acquise grâce à un ultime dépassement, dans le dernier virage. Ce scénario n’est pas sans rappeler la course Sprint disputée ici l’an dernier qui avait déjà vu Pourchaire se faire avoir dans le dernier virage. Le néerlandais réalise par la même occasion un Hat-trick supplémentaire en carrière.

Parti depuis la voie des stands. George Russell grimpe sur la troisième marche du podium.
Un Grand Prix extraordinaire, alléchant jusqu’au dernier mètres du dernier tour. Il est frustrant d’être passé si près d’une victoire, mais le travail fournis a été formidable du début jusqu’à la fin de week-end.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Max Verstappen	Red Bull	1’30’802	2	26
	Théo Pourchaire	Maserati	1’31’736	2	18
	George Russell	Maserati	1’31’658	2	15
P4	Oscar Piastri	McLaren	1’32’223	3	12
P4	Lando Norris	McLaren	1’31’270	2	10
P6	Carlos Sainz	Red Bull	1’31’315	2	8
P7	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’32’255	2	6
P8	Fernando Alonso	Mercedes	1’32’656	2	4
P9	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’32’922	2	2
P10	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’32’786	2	1
P11	Andrea Kimi Antonelli	Mercedes	1’32’737	2	0
P12	Charles Leclerc	Ferrari	1’32’665	2	0
P13	Lewis Hamilton	Ferrari	1’32’296	2	0
P14	Alexander Albon	Williams	1’33’004	3	0
P15	Frédéric Vesti	Williams	1’31’883	3	0
P16	Esteban Ocon	Haas	1’32’366	3	0
P17	Yuki Tsunoda	Haas	1’33’050	3	0
P18	Lance Stroll	Aston Martin	1’32’665	3	0
P19	Niko Hulkenberg	Audi	1’34’008	3	0
P20	Sergio Pérez	Alpine	1’32’736	3	0
P21	Liam Lawson	Alpine	1’34’419	3	0
P22	Oliver Bearman	Audi	1’35’713	2	DNF

LES AFFILIÉS

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Pas de F3, ni de F2 à Miami, prochain rendez-vous à Imola.

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[RedM1nd]

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Avec l’avènement de Maserati, il ne reste que peu de miettes à prendre pour les autres. Avec 4 Victoires en 6 Grands Prix. Maserati domine le championnat des pilotes. Le Trident est suivi par Red bull, essentiellement porté par Max Verstappen de retour aux affaires après une année compliquée. McLaren complète le podium est semble un peu retrait.
Aston Martin est la meilleure écurie des autres grâces à Bottas qui comme l’an passé est sur une régularité redoutable.
Dans le mid-field, c’est la petite soeur de Red Bull qui tire son épingle du jeu devant Mercedes et Ferrari.
Malgré quelques points, le début de saison de Williams et en deçà des attentes.
Audi, Haas, Alpine font un très mauvais démarrage.

Chez les Pilotes, Andrea Kimi Antonelli est parvenu à marqué ses premiers points avec Mercedes. À l’inverse, l’entame de Charles Leclerc est plus que décevante pour le monégasque qui n’a pas encore marqué le moindre point.

Dans le top 10, les deux doyens du championnat sont toujours là.
Les six premières places sont occupé par les duo des trois meilleures écuries.
Le régulier Carlos Sainz, le champion en titre Piastri, le revenchard Norris, Russell le ressucité, l’insatiable Verstappen et Pourchaire l’éclair qui domine son sujet jusqu’à présent. Son abandon à Jeddah lui a beaucoup coûté, et le français devra faire preuve d’un concentration à toute épreuve pour battre Verstappen.

PILOTES	CONSTRUCTEURS

		POINTS			ECURIE	POINTS
	Théo Pourchaire	119			Maserati	223
	Max Verstappen	112			Red Bull	176
	George Russell	104			McLaren	157
P4	Lando Norris	79		P4	Aston Martin	39
P5	Oscar Piastri	78		P5	Racing Bulls	17
P6	Carlos Sainz	64		P6	Mercedes	15
P7	Valtteri Bottas	39		P7	Ferrari	11
P8	Pierre Gasly	14		P8	Williams	6
P9	Fernando Alonso	12		P9	Audi Haas	1
P10	Lewis Hamilton	11		P10	Alpine	0
P11	Frederik Vesti	6
P12	Zhou Guanyu Kimi Antonelli	3
P13	Niko Hulkenberg Esteban Ocon	1
P14	Liam Lawson Yuki Tsunoda Alexander Albon Oliver Bearman Sergio Pérez Lance Stroll Charles Leclerc	0

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[Julian-m]

Magnifique course à Miami!

[Rhino]

La lutte avec Verstappen s’annonce passionnante cette saison

[toopil]

C’est clair! Il est un rival de choix.

[CaptainAmericka]

Putain ce Top 10 lors de la course à Miami ! De sacrés pilotes !!

Pourchaire qui devient un candidat crédible au titre final, qui l’eut cru au début de l’aventure ?! Et Maserati qui vise également le graal !

[RedM1nd]

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@Julian-m > C’était haletant jusqu’au bout, c’est ce qu’on apprécie ! Des batailles rudes et serrées.

@Rhino > Oui, le type a retrouvé un niveau fou, et la Red Bull marche bien.

@toopil > Tout à fait, il va pas falloir trop perdre de point en route parce qu’il est là.

@CaptainAmericka > Russell a fait une course de dingue ! La lutte avec Max a été folle. Clairement l’un des meilleur GP de la saison.
Est-ce qu’on va réussir à rester constant ? C’est ce qui va déterminer la suite de la saison et la capacité de Théo, OU Russell (il est pas loin au Championnat) de remporter le titre.

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[RedM1nd]

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En ce mois de Mai 2026, la Formule 1 est de retour en Europe, et alors que le Grand Prix d’Imola approche à grand pas, un autre évènement est sur toutes les lèvres et suscite l’attention des italiens, mais également de tous les adeptes de l’automobile mondiale.

Les rues de Turin sont bondées de gens qui défilent et investissent le Lingotto, ancien centre industriel de Fiat, transformé en espace d’expositions.

À cette période de l’année se tient le Salon de l’Automobile de Turin. Un salon prestigieux glorifiant l’automobile italienne aux yeux du monde, mais également un salon très diversifié où les fanatiques de voitures classiques se mélangent avec les adeptes des innovations de demain.

Un rendez-vous à ne pas manquer mais sur lequel nous avions fait impasse l’an dernier.
La marque était en pleine restructuration et nous n’avions pas vraiment de nouveauté à montrer au monde.
Cette année c’était différent grâce à l’avènement de notre V8 Nettuno fait maison.

Nouveautés technologiques et performances inédites pour l’ensemble de notre gamme mais aussi et surtout trois vaisseaux amiraux que nous choisissons de montrer au monde. Deux modèles déjà commercialisés avec les versions Folgore de notre SUV Levante, et de notre supercar MC20. Un SUV de près de 800ch, une supercar de plus de 900ch, les chiffres donnaient autant le tournis que le prix de ces deux bijoux.

Mais si notre stand était pris d’assaut par la foule, c’est surtout à cause de la révélation du modèle qui ne serait commercialisé qu’à partir du premier trimestre 2028. Un plongeon dans l’inconnu pour le Trident mais qui pouvait faire basculer l’empire de Maserati vers des horizons insoupçonnés.

Aujourd’hui, aux yeux du monde. J’étais fier en compagnie de Santo Ficili de dévoiler, la Maserati GranLusso.

Un concentré de luxe à l’italienne dans le corps d’un paquebot de 5m50. La Rolls-Royce italienne. Un design au trait fin et élégant. Un moteur V8 hybride de 750ch, la plaçant parmis les véhicules les puissants de son segment derrière la Bentley FlyingSpur et la Maybach S63.

Mais surtout bourré de nouvelles technologies et une redéfinition du mot confort. Une limousine dans le corps d’une longue berline.

Nous mettions volontairement de côté le marché des berline 5 portes qui avaient fait partie du succès de la marque avec la Quattroporte et la Ghibli pour se focaliser sur ce nouveau segment, plus luxueux, plus cher, plus exclusif, 1000 à 1500 unités produites par an jusqu’en 2030.

Un projet à la hauteur de nos ambitions dont le test grandeur nature de deux années nous permettrait de savoir s’ il y a un marché à conquérir, ou bien s’il était préférable de revenir vers des choses un peu plus classiques.
Rendez-vous donc en 2028…

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[Rhino]

Belle bête !