:storygreen: :s3: 🇮🇹 The Trident must drive :f1:

[celiavalencia]

ça rigole pas les prix des voitures

[CaptainAmericka]

Les beaux jours reviennent petit à petit chez Maserati ! Il y a de beaux modèles en promesse, et le tournant à prendre peut s’avérer décisif pour l’avenir !!

[RedM1nd]

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@celiavalencia > Et c’est sans compter les options

@CaptainAmericka > J’ai eu de la chance avec mes jets de dés cette année , cela permet à la marque d’apercevoir un exutoire favorable. La nouvelle politique et le choix assumés par Maserati de monter en gamme ne se fera pas du jour au lendemain et demandera certainement d’autres ajustement au fur et à mesure, mes les employés sont rassurés.

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[RedM1nd]

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La deuxième partie de la convention porterait comme habituellement sur Maserati F1.
Le bilan de la saison 2025 était exceptionnel avec cette 4ème place au Championnat Constructeur et la 5ème place de Théo chez les Pilotes.
Nous avons surpris notre monde, et les conséquences pour nous risquent de s’illustrer par des attentes grandissantes à notre égard.
Je félicite toute mon équipe qui a bossé comme une dingue pour parvenir à ces résultats.
J’offrais cependant une attention particulière à Théo Pourchaire qui avait réalisé une saison, avec le matériel à sa disposition, digne des plus grands.

- Théo. Tu as été formidable. Première pole position. Deux victoires, et plusieurs podiums. Notre voiture n’était pas la meilleure mais tu as su en tirer le maximum. Pour te remercier, j’ai décidé de t’offrir la MC-F25 triomphante à Monaco lors de ta première victoire en Formule 1.

Ce cadeau, le jeune français le méritait amplement.
2025 à présent derrière nous, je devais à présent me concentrer sur 2026.

- La saison prochaine marquera le début d’une nouvelle ère technique en Formule 1.

Afin de négocier au mieux notre trajectoire dans ce nouvel environnement, nous avons très rapidement alloué nos ressources de l’an dernier à celle de cette année.
Ce challenge, cette ambition aura eu un coût pharaonique, 31,4 millions d’euros.
Et tout cela dans l’aveuglement le plus total, car il était impossible pour nous de savoir quelle serait la qualité du travail fourni par nos concurrents. Je me devais d’être optimiste ne serait-ce que pour le moral de mes troupes. Mais j’avais confiance en mon équipe, j’avais confiance aux compétences reconnues de Salvatore et Pierre Waché.
J’avais également foi en mon duo de pilote, que j’accueillais sur scène avec fierté.

- Mesdames et Messieurs, nos pilotes pour l’année 2026 !

Sur le podium et à mes côtés se tenaient fièrement en tenue de combat. Les deux hommes qui défendront nos couleurs avec panache. Celui qui était désormais considéré comme l’enfant du pays, Théo Pourchaire, et son binôme très enthousiaste à l’idée de faire ses débuts chez nous: Un certain GEORGE RUSSELL.

Cette négociation avait été difficile, j’avais dû céder sur l’exigence salariale accordant à George un peu plus de 10 millions d’euros contre les 9 que je m’étais juré de ne pas dépasser.
Cependant, l’opportunité de travailler avec un pilote avec l’expérience et le calibre de Russell ne se présente pas toujours. Afin de faire franchir un nouveau palier à l’écurie et offrir un binôme de poids à Pourchaire, je ne pouvais, non, Maserati ne pouvait rêver mieux.
Le britannique s’offrait une pige bien payée en Italie, loin des galères de Mercedes qui avaient plombé sa saison l’an passé.
Il touchera également une rémunération variable de 200 000€ pour chaque Top 5 réalisés, mais qu’importe. Nous tenions là un duo capable de regarder les duos des Top team droit dans les yeux.

L’arrivée de Russell avait irrémédiablement forcé le départ de Giovinazzi. L’italien n’était pas parvenu à me rassurer lors des dernières échéances qui lui avaient été accordé.

- Nos ambitions nous poussent à revoir notre approche en matière de développement.

Pour que nos pilotes titulaires parviennent à rouler avec les meilleures pièces possible, nous avions besoin d’un pôle de développement efficace au sein duquel évoluent non pas un mais deux pilotes de développement.

Antonio Giovinazzi avait accepté notre proposition concernant sa réorientation au cœur des projets de développement et des tests qui en découlent.
Le trentenaire italien ne serait pas seul à s’atteler à cette lourde tâche, puisque j’avais également décidé d’enrôler un pilote réputé pour la qualité de travail hors de la voiture.
Mick Schumacher, fils de la légende vivante Michael Schumacher, accompagne Antonio sur la scène à nos côtés pour la présentation de la nouvelle équipe de pilote de développement.

L’Académie de formation restait quant à elle inchangée, bien que nous mettions une accent particulier à l’encadrement de Gabriele Mini et Arvid Lindblad, véritables virtuoses du volant qui allaient se livrer une lutte sans merci cette année dans l’espoir de nous séduire et ravir l’un de nos précieux baquets.
Franco Colapinto était toujours de la partie, tout comme les italiens Nikita Bedrin et Nico Lacorte que l’on avait décidé de former le plus longtemps possible… Sacrée privilège d’être italien.

- Pour se donner les moyens de nos ambitions, l’équipe a lancé une vaste opération de modernisation de ses installations. L’Usine, la Soufflerie, le Centre de conception et le Simulateur de suspension seront tous utilisables à leur plein potentiel à partir du mois d’Avril 2026.

Ces améliorations devraient permettre à nos équipes de mieux travailler et de compenser le temps dont nous disposons en soufflerie au fur et à mesure que notre classement s’améliore.
Pour les meilleures équipes, de bonnes infrastructures étaient une nécessité pour s’inscrire dans la continuité. Mais de tels travaux avaient un coût. 50 millions d’euros et nous étions malgré un tel investissement, loin d’atteindre la perfection.

De telles dépenses impliquent forcément des rentrées d’argent et dans notre monde, les contrats de sponsoring sont la pierre de voûte de notre santé financière.

Pour la troisième année, ABAOS restait fidèle à notre projet et gardait un intérêt prononcé pour Franco Colapinto. Il en est de même pour APTRX, la cryptomonnaie qui renouvelle son souhait de partenariat et de visibilité pour la deuxième année consécutive.
FERO-NRG imite APTRX et semble avoir trouvé en la personne de Théo Pourchaire, un ambassadeur de choix, tout comme BAD TURTLE avec Arvid Lindblad dont les performances en F2 ne sont pas passées inaperçues.
Seul FERUM STAR, conditionné par la mise à l’écart de Giovinazzi, a décidé de ne plus donner suite à notre collaboration.
Ce partenaire est remplacé par Euro Wire Exchange, un société financière spécialisée dans l’édition d’une solution de transfert monétaire d’une devise à une autre. Ce contrat arrive chez nous grâce à l’arrivée de George Russell, et présente plusieurs avantages financiers conséquents.

- Pour finir, notre sponsor titre changera une nouvelle fois puisque ARCOAR a décidé de se retirer du sponsoring sportif. Pour le remplacer, nous sommes fiers d’annoncer notre collaboration avec BANSANA. Ces collaborations vont permettre à Maserati d’engendrer pour plus de 90 millions d’euros réparti en trois sources d’approvisionnement.
42,8 millions en paiement anticipé. 23,3 millions en bonus liés aux engagements commerciaux. Et enfin, 24,10 millions d’euros de bonus lié au performance en piste.

Cette somme colossale, en augmentation depuis l’année dernière de l’ordre de 9% permettait à Maserati F1 de rester dans le vert malgré la somme d’argent exubérante investi par l’écurie au cours des derniers mois.
Mieux encore, elle permettait de financer les 5,6 millions d’euros d’enveloppe correspondant aux premières évolutions sur la voiture de 2026 portant sur le poids des nouveaux composants.
Une manœuvre efficace pour gagner en performance alors que le premier GP de la saison arriverait bien assez vite.

Le moment qui allait suivre était mon moment préféré de la journée, celui où l’attention entière se porte sur la monoplace toujours dissimulée sous son drap sombre qui ne laissait rien transparaître.
Les flash étaient sur le point de crépiter alors que Théo et George se tenaient près de moi pour l’occasion.

- Je vous présente. La MC-F26 !

Une livrée sobre faite de blanc et de bleu.
Si 2025 avait mise à l’honneur la voiture triomphante de Juan Manuel Fangio en 1957. Cette livrée 2026 était un hommage au bijou produit par Maserati il y a plus de 20 ans. La MC12. Une supercar légendaire produite à seulement 50 exemplaires et 12 exemplaires pour sa version Corsa. Un mythe de l’automobile bâtit sur les fondations de la Ferrari Enzo, un autre mythe.
Je la trouve sublime, et je n’ai qu’une hâte: qu’elle roule ! Alors vite, que l’avion décolle: Direction la première course de la saison.

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[alexgavi]

La situation s’améliore à grands pas pour la marque. La chaine de production atteint son plein potentiel.
Ce nouveau projet serait-t-il l voiture du peuple ? Ce serait fou pour une marque premium

Oh, la présentation presque surprise de Russell. Par contre, il faut espérer que sa saison soit meilleure que sa dernière, car ce n’était pas dingue.
A priori, il ne devrait pas avoir de grosses difficultés à faire oublier Gio !

Sur le plan de financement, tout à l’air solide pour maintenir les évolutions sur la voiture

Et jolie monoplace, un retour aux couleurs traditionnelles.

[CaptainAmericka]

Putain y en a des choses à retenir là !!
Maserati s’offre un duo de pilote prometteur ! L’expérience et le talent de Russell vont faire un bien fou à Théo Même s’il coûte plus cher que prévu, il devrait bien rentabiliser les dépenses, espérons !

Que Gio accepte d’entrer dans le staff technique, épauler par le fils Schumacher, là aussi on frappe fort !!

La nouvelle MC-F26 est juste incroyable Le retour de ces couleurs, le design, il y a tout pour faire une belle saison !

Par contre… Qu’est-ce que ça brasse dans le monde de la F1…

[gwendil35]

Miam miam ! J’adore ton duo ! Des pilotes que j’apprécie, surtout George ! Que j’adore depuis sa première saison en F1 !

[RedM1nd]

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@alexgavi > Je serais muet comme une carpe
En effet, il y a un inconnu après une année difficile, c’est pour cela qu’on lui a offert qu’une seule année de contrat pour pouvoir voir venir. Mais oui… Je pense qu’il sera malgré tout meilleur que Gio.

Pour le fric, on est limite. On a énormément investi sur les infra donc on a quand même moins de marge de manœuvre. Il faut réussir les objectifs de course.

@CaptainAmericka > On fait pas semblant pendant l’intersaison. Mais je pense que l’on a assemblé la meilleure équipe possible et des pilotes expérimentés vont pouvoir faire le taff à l’usine.
On brasse de la tune, mais on en a craqué beaucoup Il va falloir être minutieux maintenant.
En tout cas on espère que notre sublime monoplace nous fera rentrer du fric grâce au bonus des sponsors.

@gwendil35 > George est un pilote très rapide. S’il retrouve la grinta qu’il a perdu l’an dernier chez Merco, il peut sans soucis se mêler aux luttes pour les premières place. On est armée pour faire très peur.

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[RedM1nd]

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Pour cette saison de bouleversement réglementaire. Une majorité d’écurie ont décidé de miser sur la continuité. Ainsi, Red Bull (Verstappen et Sainz), McLaren (Norris et Piastri), Ferrari (Leclerc et Hamilton), Alpine (Pérez et Lawson), Haas (Ocon et Tsunoda), et Racing Bulls (Gasly et Zhou) conservent leurs duos.

Ça bouge en revanche chez Mercedes qui mise sur Kimi Antonelli pour combler le vide laissé par le départ de Russell chez Maserati.
Les flèches d’argent alignent donc un duo composé du pilote le plus vieux et du pilote le plus jeune de la grille avec Antonelli et Alonso.

Maserati remplace Antonio Giovinazzi par George Russell.

Du côté de chez Aston Martin, la fin de saison de Maloney n’aura pas sauvé le rookie qui s’en va après une seule saison au profit du retour du fils à Papa. Lance Stroll en manque d’argent de poche, revient donc en F1 après ne pas avoir été conservé l’an passé. Le canadien fera équipe avec Valtteri Bottas, auteur d’une excellente saison 2025.

Williams enregistre le départ de Ricciardo et met en place Frédérik Vesti. Le pilote danois, depuis toujours très proche de l’environnement Mercedes parvient enfin à accéder à la F1.

Enfin, les nouveaux arrivés Audi on décidé de miser sur le jeune Oliver Bearman pour épauler l’expérimenté Nico Hulkenberg.

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	Nationalité	Pilote	Écurie
		Lewis Hamilton	Ferrari	35,0M€ / an
		Max Verstappen	Red Bull	30,0M€ / an
		Charles Leclerc	Ferrari	19,5M€ / an
#4		Sergio Pérez	Alpine	14,0M€ / an
#5		Carlos Sainz	Red Bull	12,7M€ / an
#6		Lando Norris	McLaren	12,0M€ / an
#7		Valtteri Bottas	Aston Martin	10,8M€ / an
#8		George Russell Fernando Alonso	Maserati Mercedes	10,0M€ / an
#9		Pierre Gasly	Racing Bulls	8,6M€ / an
#10		Esteban Ocon	Haas	8,3M€ / an
#11		Yuki Tsunoda	Haas	7,2M€ / an
#12		Nico Hulkenberg Alexander Albon	Audi Williams	6,1M€ / an
#13		Lance Stroll	Aston Martin	5,8M€ / an
#14		Guanyu Zhou	Racing Bulls	5,0M€ / an
#15		Andrea Kimi Antonelli Oliver Bearman	Mercedes Audi	4,0M€ / an
#16		Liam Lawson	Alpine	3,9M€ / an
#17		Oscar Piastri	McLaren	3,8M€ / an
#18		Théo Pourchaire	Maserati	3,3M€ / an
#19		Frederik Vesti	Williams	2,0M€ / an

Cette nouvelle réglementation 2026 a poussé les écuries de Formule 1 à revoir leur stratégie. Beaucoup de pilotes ont ainsi quitté les baquets de F1 amenant de nouveau visage à faire leur apparition.

La plus grosse chute de ce classement revient à Fernando Alonso. L’espagnol qui souhaitait encore continuer en Formule 1 a du se plier aux exigences de Toto Wolf, Team Principal de Mercedes, pour poursuivre son aventure chez les flèches d’argent.

On note également que le ratio salaire/performance du côté d’Oscar Piastri est imbattable. Le pilote ne coûte pratiquement rien à McLaren et a remporté le titre pilote. Dans une moindre mesure on peut dire que le contrat de Pourchaire est aussi l’un des contrats les plus avantageux économiquement de toute la grille.

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	Nationalité	Pilote	Écurie
		Max Verstappen	Red Bull	91 [-1]
		Lewis Hamilton Charles Leclerc Lando Norris Oscar Piastri Fernando Alonso	Ferrari Ferrari McLaren McLaren Mercedes	89 [-1] 89 [=] 89 [=] 89 [+2] 89 [+1]
		Théo Pourchaire	Maserati	88 [+6]
#4		Carlos Sainz	Red Bull	87 [=]
#5		George Russell	Maserati	86 [-2]
#6		Valtteri Bottas	Aston Martin	85 [+1]
#7		Yuki Tsunoda Andrea Kimi Antonelli	Haas Mercedes	84 [=] 84 [R]
#8		Esteban Ocon Pierre Gasly	Haas Racing Bulls	83 [-1] 83 [-1]
#9		Sergio Pérez	Alpine	82 [-2]
#10		Guanyu Zhou Oliver Bearman	Racing Bulls Audi	81 [=] 81 [R]
#11		Liam Lawson Nico Hulkenberg Frédérik Vesti Alexander Albon Lance Stroll	Alpine Audi Williams Williams Aston Martin	80 [=] 80 [=] 80 [R] 80 [-1] 80 [=]

Malgré une saison en dessous de ses standards, Max Verstappen est toujours considéré comme le seul et unique meilleur pilote de la grille.
Derrière, cela se joue entre Piastri, Norris, Leclerc et les vieux briscards que sont Lewis Hamilton et Fernando Alonso.

Mais il ne faut pas non plus sous-estimer Théo Pourchaire qui a réalisé une progression étourdissante l’an passé. Le français de 22 ans toque sérieusement à la porte.
La grille est ensuite composée de plusieurs TOP pilotes comme Sainz, Russell ou encore Bottas.

Enfin, nous l’attendions, elle est enfin là, cette jeune génération que l’on voyait arriver.

Le niveau général de la grille cette année est globalement meilleur que celui de l’an passé et même si des noms biens connus comme Pérez, Gasly ou encore Ocon commencent à décliner, nous voyons surgir des comètes de 19 et 20 ans comme Kimi Antonelli ou Oli Bearman.

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	Nationalité	Age	Pilote	Écurie
		20 ans	Gabriele Mini	F2	76 [+4]
		18 ans	Arvid Lindblad	F2	75 [+7]
		22 ans	Franco Colapinto	F2	73 [+3]
#4		20 ans	Nikita Bedrin	F3	66 [+2]
#5		18 ans	Nicola Lacorte	X	54 [+4]

Nos structures de formation ont tourné à plein régime cette année.

Nicola Lacorte, jeune italien qui vient de fêter ses 18 ans a bien profité de ses semaines passés au simulateur. Insuffisant toutefois pour prétendre à intégrer la F3. Une année supplémentaire devrait lui permettre de s’approcher du niveau requis pour accéder à la discipline.

En F3, Bedrin est notre pilote qui a le moins progressé. La faute à une saison très moyenne constamment positionné aux portes des points sans jamais y accéder de façon récurrente.

C’est en F2 que nos affiliés s’améliorent le plus. Année après année, Fracon Colapinto garde une croissance linéaire, Il progresse petit à petit et a donc perdu cette image de crack potentiel de la F1. Au regard du niveau actuel de la F1, et de sa trajectoire de progression, il pourrait être opérationnel pour la discipline reine d’ici 1 ou 2 ans. Pas certain toutefois que son avenir s’inscrive chez Maserati, tant la progression de ses deux comparses, Gabriele Mini et Arvid Lindblad progressent à une vitesse folle. Surtout le second.

Que ce soit Mini ou Lindblad, leur niveau actuel les situent aux environs du niveau que pouvait avoir Zane Maloney l’an dernier. Un jeune pilote qui avait mis du temps à démarrer mais qui avait finir par marquer fréquemment des points en fin de saison.
Ils pourraient vraisemblablement tous les deux être prêts pour la saison prochaine.

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Lors de notre grande convention, nous ne savions pas quels seraient les résultats des dizaines de millions d’euros investis sur la MC-F26.

Cette stratégie économique avait grandement amputée notre fin de saison, et pourrait si d’aventure la voiture n’était pas au niveau espéré remettre totalement en question nos stratégies futures.
Les Test de pré-saison à Bahreïn avaient pour but de justement dresser une première hiérarchie. Cependant, à l’issue de ce week-end, rien n’était figé dans le marbre et pour cause, il restait encore deux mois pour travailler sur la monoplace.
Un matelas que nous pourrions mettre à contribution pour apporter dès le premier Grand Prix un package d’amélioration.
Néanmoins, il y avait quelques surprises à noter:

Haas avait loupé le virage et se retrouve maintenant dernière force du plateau.
L’écurie américaine est devancée par Audi qui risque de vivre une première saison en F1 complexe.

Parmi les écuries ayant complètement loupé le virage du changement de réglementation, nous retrouvons la Scuderia Ferrari et Mercedes. J’ignore ce qui s’est passé, mais le début de saison ne va pas être reluisant pour ces équipes qui n’aspirent qu’à la victoire.

Alpine et Williams ont en revanche parfaitement réalisé leur transition réglementaire et devraient plus régulièrement se battre dans la moitié de tableau.
Du côté de Racing Bulls, le travail a été fait pour permettre à la petite sœur de Red Bull de continuer à viser les points fréquemment.

TOP 4. Aston Martin. On devrait encore les retrouver aux avant postes.
Le Top 3 est tout aussi surprenant que les 8ème et 9ème place de Mercedes et Ferrari.
Le deuxième et le troisième se tiennent dans un mouchoir de poche et devraient se livrer de belles batailles. Un quadruple champion du monde revanchard, un néo-titré qui cherchera à confirmer ? Les duels entre McLaren et Red Bull s’annoncent passionnants.

Et s’il y a bien une équipe qui surprend son monde depuis son retour en F1, c’est bien nous chez Maserati.

Notre stratégie de tanking de fin de saison a bel et bien fonctionné et nos deux pilotes se retrouvent désormais avec une machine de début de saison capable de remporter chaque course.
Nous avons une énorme opportunité, et notre objectif cette saison sera de parvenir à profiter de cet avantage de performance pour l’emporter.

Notre ambition n’a jamais été aussi forte et nous avons hâte de démarrer la saison.

	Nationnalité	Écurie
		Maserati
		McLaren
		Red Bull
#4		Aston Martin
#5		Racing Bulls
#6		Williams
#7		Alpine
#8		Mercedes
#9		Ferrari
#10		Audi
#11		Haas

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[gwendil35]

Ah ouais quand même !

Si la théorie rejoint la pratique, tu vas te faire plaisir cette saison !

[RedM1nd]

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Après avoir rongé notre frein pendant deux saisons et claqué des millions, ça serait la moindre des choses

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[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2025	LANDO NORRIS	MCLAREN	+13.988s
2024	LANDO NORRIS	MCLAREN	+3.918s
2023	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 0.179s
2022	CHARLES LECLERC	FERRARI	+ 20.523s
2021	/	/	/

Nous y sommes enfin, après plus de trois mois d’attente et surtout d’impatience, la Formule 1 est de retour en ce début de mois de mars 2026.
Les onze écuries sont prêtes à entrer dans l’arène. L’atmosphère qui règne dans le paddock est plutôt légère alors que les vingt-deux pilotes s’apprêtent à se lancer dans l’inconnu de la nouvelle réglementation.
On entend beaucoup de bruit de couloir, et de suspicion à notre encontre.

Je crois que nos résultats aux tests de pré-saison en ont étonné plus d’un et les cadors commencent peut-être à s’inquiéter de la fin de leur règne hégémonique.

En ce qui me concerne, je suis détendu. L’hiver s’est très bien passé. L’apport de Santo Ficili au sein de la division commerciale de Maserati me permet de partir sur les circuits l’esprit bien plus léger.

Nous avons pondu une monoplace à la hauteur de l’argent investi et mon esprit est focalisé sur nos objectifs.

Avec notre nouveau duo de pilote nous visons de gros points à chaque week-end et tâcherons de bâtir notre saison au fur et à mesure de nos possibilités.

La calendrier change cette saison avec une inauguration de saison s’effectuant en Australie comme au bon vieux temps.
La météo australienne nous réserve cependant quelques surprises avec une très belle journée Vendredi pour les essais avant de connaître un déclin progressif jusqu’à Dimanche où de fortes pluies sont attendues.

LES ESSAIS LIBRES

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Pour ces premières séances d’essais de la saison, nous partons sur un rodage assumé.
La voiture n’a jamais été aussi performante et nos pilotes ont besoin de la prendre en main afin de pouvoir en tirer le meilleur.
George Russell doit quant à lui commencer à nouer son lien avec son nouvel ingénieur Pau Rivera et pour y parvenir il n’y pas d’autre choix que de pratiquer.

Et le moins que l’on puisse dire c’est que le britannique n’est pas venu pour enfiler des perles. Il est tout de suite très à l’aise et parvient à battre Théo Pourchaire lors des EL1. Certes l’écart n’est que de 29 millièmes, mais nous saluons son implication.

L’écart est un petit peu plus marqué à l’avantage de Théo lors des EL2 avec une avance pour le français de 336 millièmes sur le relais en Médium. Cet écart se réduit à 236 millièmes au passage des gommes tendres.

Lors de la dernière séance d’essai du Samedi matin, nous travaillons dans des conditions proches des qualifications. C’est la vitesse pure de nos pilotes qui est ici entraînée en vue des Qualifications se tenant l’après-midi. Et contre toute attente, c’est bien Russell qui se montre le plus rapide pour 133 millièmes.

De quoi présager de belles choses pour nos deux pilotes lors des Qualifications.

LES QUALIFICATIONS

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Les séances d’essais ont laissé un arrière goût assez savoureux en ce début de saison.
Pour la première fois depuis deux ans. Nous sommes serein et convaincu de notre force.
Nos deux pilotes sont rapides, et très proches l’un de l’autre au moment de débuter cette première séance de qualification. Un séance qui s’avère très importante au regard des conditions météo attendues pour la course.
Mieux nous partirons et plus nous aurons de chance de bien démarrer la saison.

En Q1, nous sortons rapidement pour définir un tour de référence, baromètre de notre perfo, et donc notre meilleur arbitre face à la concurrence.
La glace s’abat sur Melbourne. George Russell signe le meilleur temps des premiers essais. Théo Pourchaire est juste derrière. Maserati cristallise l’attention. Verstappen est à 5 dixièmes, le champion du Monde Oscar Piastri à plus de 1 seconde.

Norris et Alonso surprennent en étant les seuls sous la barre de 3 dixièmes d’écart.

Lawson - Albon - Antonelli - Stroll - Bearman et Pérez sont éliminés.

En Q2, on porte une nouvelle estocade. Russell enchaîne et occupe toujours le sommet du classement. Gêné lors de la sortie des stands de Yuki Tsunoda. Pourchaire n’est que 9ème.
Piastri a du répondant et s’approche à 64 millièmes de Russell.
Théo redresse la barre lors de son deuxième run et prend la 4ème place derrière les deux McLaren.

Vesti - Gasly - Tsunoda - Leclerc - Zhou - Ocon sont éliminés.

Pour la Q3, deux Maserati, deux McLaren, deux Red Bull, une Aston Martin, une Ferrari, une Mercedes et une Audi se disputent les places des cinq premières lignes.
En 1’15’334, Théo marque les esprits en collant 5 dixièmes à Norris et plus de 7 à Verstappen.
Seuls Piastri et Russell semblent en mesure de le contester. Ils échoueront tous les deux.

Avec son chrono supersonique. Théo Pourchaire décroche la première pole position de la saison. Sa deuxième en carrière. Il devance son coéquipier George Russell qui s’est rapidement adapté à sa nouvelle monoplace. Lando Norris complète de podium.
Max Verstappen (4) partira devant son coéquipier Sainz (5). Oscar Piastri (6) complète le Top 6. Valtteri Bottas (7) devance Hulkenberg (8) et son Audi. Fernando Alonso (9) et Lewis Hamilton (10) sont les deux doyens qui ferment le Top 10.

LA COURSE

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Pour la première fois depuis notre retour en F1, deux pilotes Maserati s’élanceront depuis la première ligne.
Les conditions météo prévues pour aujourd’hui ne laissent pas de doute quant à la stratégie à employer.
Le départ de course s’effectuera sous le soleil, avant qu’un important épisode pluvieux arrive aux environs du 16ème tour.
Théo et George s’élanceront tous les deux en gommes Médiums avant de chausser les intermédiaires.

Habitué à partir de derrière et à espérer des départs fulgurants pour remonter, nous comptons aujourd’hui sur un départ canon nous permettant de garder nos adversaires derrières. Nous devons faire notre possible pour conserver nos positions jusqu’à l’arrivée de la pluie.

Et c’est un plutôt bon départ ! Théo Pourchaire s’envole et est toujours devant au premier virage. Russell quant à lui est bousculé par Norris, mais parvient lui aussi à garder sa place.
Au deuxième tour, Russell dépasse Théo grâce au DRS.

Notre souhait est que les deux pilotes se traînent à tour de rôle grâce à l’aspiration dans le but de nous protéger de nos poursuivants.
Après 5 tours, l’exécution de la stratégie est toujours sans accroc. Chacun de nos pilotes passe en tête à tour de rôle. Norris quant à lui, force sur ses gommes et reste 3ème.
Le pilote McLaren se fait même dépasser par un Max Verstappen s’étant auparavant débarrassé de son coéquipier.

Au 8ème tour, la machine bien huilée de chez Maserati connait un premier dysfonctionnement. Théo Pourchaire, 2ème, sort du DRS de son coéquipier et se fait immédiatement attaquer par Verstappen.
Le néerlandais parvient ensuite à prendre la tête du GP au nez de Russell.

Au 12ème tour, la pluie commence et c’est bien le quadruple champion du Monde batave qui mène la danse.
Au même moment, lors de ce tour. George parvient à reprendre la tête.
Notre réaction est immédiate et nous appelons le britannique à rentrer au stand.

Sauf que tout le monde décide de rentrer en même temps. La pitlane est un vrai bordel et malgré un arrêt en 2,6 secondes. Russel est cloué au stand. Incapable de repartir à cause des pilotes s’arrêtant au même moment, le britannique est 12ème lorsqu’il peut enfin repartir.

Le tour suivant, Pourchaire n’a pas ce problème et le fait que 20 pilotes se soient arrêtés en même temps lui permet de ressortir en tête avec 3,8 secondes d’avances sur Verstappen. Le français doit à présent gérer sa course tandis que son coéquipier britannique doit lui s’employer pour refaire son retard.

Au 17ème tour, Pourchaire est sous pression. Max est de retour sous les 2 secondes et pilote à un rythme dont il est le seul à avoir le secret sous la pluie. Russell, 11ème, revient doucement.

20ème tour, George entre dans les points en dépassant Alonso. Théo parvient à contenir Verstappen autour des 1,6/1,9 secondes d’écart.

2 tours plus tard, Russell est dans les échappements de la Ferrari de son ancien coéquipier et compatriote Lewis Hamilton.
En-tête, Pourchaire se fait surprendre par une attaque éclair de Verstappen qui reprend le contrôle de la course.

Pendant plus de 6 tours. Russell se bat avec Hamilton dans l’espoir d’y dérober la 9ème place. Au 28ème tour c’est chose faite, mais le britannique doit continuer à se concentrer, il est encore si loin du but.
Aux avants postes, Pourchaire ne parvient toujours pas à revenir sur un Verstappen dont la Red Bull surf sur l’eau.

Au 36ème tour, la situation de nos deux pilotes n’a pas changé. Pourchaire est toujours bon deuxième derrière Verstappen. Russell a lui bénéficié de plusieurs arrêts au stands dans le cadre d’une stratégie à deux arrêts. Le britannique est 6ème.
Sainz décide lui aussi de s’arrêter à nouveau lorsque Russell se débarrasse enfin de la Racing Bulls de Gasly. George est P4 à 23 secondes du leader.

41ème tour. Verstappen rentre au stand et ressort 17 secondes derrières Pourchaire qui est redevenu le leader par la force des choses.

17 secondes. Pour 17 tours… Cette fin de course s’annonce irrespirable alors que Piastri se fait également de plus en plus menaçant sur George.

15 tours restant et Verstappen est à 15,8 secondes. L’écart entre Russell et Oscar Piastri se stabilise autour des 1,7 secondes.
Nos pilotes font de l’excellent travail…

10 tours. Russ est sous pression. La McLaren de Piastri est dans ses talons sous la barre de la seconde. Les consignes sont claires. Il doit défendre le milieu de piste à tout prix. Plus loin sur la piste, 11 secondes séparent Verstappen de la victoire.

Au 50ème tour, le champion du monde en titre parvient à effacer Russell.

Durant les 5 derniers tours, la pluie s’instensifie et certains pilotes comme Norris, Bottas, Gasly, Alonso ou encore Antonelli rentrent aux box pour passer les pneus Wet. Pourtant, la situation reste sous contrôle.
Avec 4 tours restants à couvrir, nous prenons le pari de finir avec nos gommes usées. Nous ne nous arrêterons que si les pilotes qui nous chassent s’arrêtent.

Au 54ème tour, la piste est enfin complètement mouillée. Théo a toujours 6,9 secondes d’avance sur Max Verstappen. Russell P4 contient Norris et ses pneus pluie, mais ne devrait plus pouvoir tenir très longtemps.

Dernier tour !
George a finalement cédé face aux Wet de Norris, chutant à la 5ème place.

Le drapeau à damier s’agite lorsque la Maserati de Théo Pourchaire sort du dernier virage en tête. Encore quelques centaines de mètres à couvrir… Et il le fait ! Théo Pourchaire s’impose au Grand Prix d’Australie.

George Russell, malchanceux lors du tumulte des arrêts aux stands s’en sort par si mal avec ce Top 5. Un classement de fin de course qui vient parapher un premier week-end très encourageant.

Théo Pourchaire s’impose grâce à une stratégie douteuse de la part de Verstappen mais aussi et surtout grâce à sa gestion de course exemplaire.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Théo Pourchaire	Maserati	1’24’047	1	25
	Max Verstappen	Red Bull	1’23’585	2	18
	Lando Norris	McLaren	1’24’034	2	15
P4	Oscar Piastri	McLaren	1’24’131	2	12
P5	George Russell	Maserati	1’24’270	1	10
P6	Carlos Sainz	Red Bull	1’24’384	2	8
P7	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’24’163	2	6
P8	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’24’041	2	4
P9	Lewis Hamilton	Ferrari	1’23’917	2	2
P10	Nico Hulkenberg	Audi	1’24’171	2	1
P11	Lance Stroll	Aston Martin	1’23’559	2	0
P12	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’24’269	2	0
P13	Charles Leclerc	Ferrari	1’23’822	2	0
P14	Fernando Alonso	Mercedes	1’23’648	2	0
P15	Sergio Pérez	Alpine	1’24’253	2	1
P16	Alexander Albon	Williams	1’23’677	2	0
P17	Yuki Tsunoda	Haas	1’22’812	2	0
P18	Esteban Ocon	Haas	1’24’314	2	0
P19	Kimi Antonelli	Mercedes	1’24’334	2	0
P20	Oliver Bearman	Audi	1’23’959	2	0
P21	Frédérik Vesti	Williams	1’24’558	2	0
P22	Liam Lawson	Alpine	1’24’299	2	0

LES AFFILIÉS

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La F3 et la F2 étaient aussi de reprise à Melbourne.

Pour l’ouverture du Championnat de F3, Nikita Bedrin fait P4 lors de la course Sprint et P11 pour la course Officielle. Il marque 7 points.

En F2, la course Sprint voit Gabriele Mini finir P13, Arvid Lindblad P10 et Franco Colapinto P6. Colapinto termine P4 lors de la course officielle et démarre très fort son année. Lindblad finit P5 et Mini P11.

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[Julian-m]

Mais quelle course pour lancer la saison!

Magnifique!!

[Tilo82]

Bravo

[celiavalencia]

Superbe depart !

ça a l’air d’être mieux avec Russel

[Manthyz]

Sacrée première course, et encore, je pense que Russell aurait pu faire mieux si l’écurie avait mieux anticipée la rentrée au stands. En tout cas, hâte de voir la suite !!

[CaptainAmericka]

Putain de course de folie !! Russell s’est bien vite acclimaté et ça fait plaisir !
Ce n’est qu’une première course, mais cela semble prometteur !

[RedM1nd]

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@Julian-m > C’est claire qu’on pouvait pas imaginer meilleur départ. Enfin si, on pouvait viser le doublé, mais une victoire c’est déjà une super nouvelle pour la suite.

@Tilo82 > Merci !

@celiavalencia > Russell apporte de la performance que Giovinazzi était incapable de produire. Il se fait piéger au stand, mais sans cela, on aurait sans doute fait encore mieux.

@Manthyz > Ça c’est joué à vraiment pas grand chose. Mais dans cette situation si tu attend une fraction de seconde tu te retrouves avec le petit train qui passe et tu perds gros. C’est ce qui est arrivé aujourd’hui, mais le britannique a fait du beau boulot dans des conditions où il est difficile de dépasser.

@CaptainAmericka > On a jeté un sceau d’eau glacé sur le paddock. George fait une super course pour remonter. Théo est dans la gestion. Il faudra quand même faire attention, au regard des performances générale, je pensais pas que Red Bull et McLaren seraient si proche. On doit notre victoire en partie parce que Red Bull a décidé d’arrêter Mac une deuxième fois car nous n’étions pas capable de le rattrapé lors des tours qui ont suivi son dépassement sur Théo.

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[gwendil35]

Oh les ! Entre la 1ère course de la saison et le classement pilotes !

[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2025	CARLOS SAINZ	RED BULL	+ 3.333s
2024	LANDO NORRIS	MCLAREN	+ 1.870s
2023	/	/	/
2022	/	/	/
2021	/	/	/

Le calendrier de cette saison 2026 de Formule 1 a subit quelques légères modifications afin de favoriser des déplacements logiques vis-à-vis des émissions de pollution qu’engendrait toute la logistique de la F1.

Depuis toujours le calendrier faisait fit des kilomètres est pouvait tout à fait envoyer les écuries d’Asie jusqu’en Amérique avant de les renvoyer en Asis dans la foulée.
Depuis quelques années cependant, le calendrier s’était harmonisé, et cette nouvelle édition 2026 allait dans le sens de l’optimisation.

C’est pourquoi, dès le week-end qui suit notre week-end victorieux à Melbourne, nous sommes attendus à Shanghai pour le Grand Prix de Chine où nous livrerons par la même occasion la première course Sprint de la saison.

LES ESSAIS LIBRES

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Le team est sur son petit nuage après la victoire de Théo en Australie.
Je suis moi même extrêmement fier de notre entame, mais mon devoir de Directeur d’écurie et de garder mes troupes mobilisées.
Il reste encore 23 courses à livrer et on sait à quel point une saison de F1 peut-être longue et pleine de surprises.

Pour, l’unique séance d’essais, nous partons sur un schéma que nous pratiquons déjà depuis 2 ans. Du roulage, du roulage et encore du roulage.
Nos deux pilotes doivent terminer d’appréhender la voiture, d’autant plus que de nouvelles suspensions plus légères que nos modèles initiaux vont être installés.

Lors d’une séance entièrement réalisée en pneus Hard, c’est Théo Pourchaire qui sort cette fois-ci devant. George n’est pas loin à 188 millièmes soit un peu moins de 2 dixièmes.
L’émulation de nos deux pilotes est pour l’instant clairement visible.

LES QUALIFICATIONS SPRINT

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La qualification pour la Sprint démarre sous un ciel couvert. La pluie n’est pas attendue mais le soleil non plus.

En SQ1, les chronos se font en Medium. En 1’32’865, Théo Pourchaire signe le meilleur temps de la session devant son coéquipier, plus lent de 95 millièmes. Les Maserati sont sur une autre planète. Norris est à pratiquement 9 dixièmes. Verstappen à 7 dixièmes. Avec une telle avance, nous sommes certain d’être qualifiés et décidons de ne pas ressortir une deuxième fois.

En SQ2, tout le monde est pressé et les 16 pilotes encore en lissent sortent dès le début de la séance. Et nous continuons à aller vite. Trop vite même puisque malgré une distance de sécurité que nous pensions suffisante,Théo se retrouve gêné dans la ligne droite par Tsunoda. Le français n’à que la 5ème temps. Russell est coiffé au poteau par Piastri pour 26 millièmes. Nous comptons sur le deuxième run pour améliorer tout ça. Les deux Maserati se qualifient en SQ3 avec le premier et le troisième temps.

La SQ3 démarre sur un rythme plus modéré. Seuls Verstappen, Sainz et Norris décident de sortir pour réaliser un premier essai. Théo prend finalement la pole en 1’31’559 à 4,7 dixièmes de George. Il est le seul pilote sous les 1’32’000.

Théo Pourchaire s’élancera donc en pole pour la Sprint devant Russell et Carlos Sainz.
Au pied du podium, Max Verstappen (4) devance les deux McLaren de Norris (5) et Piastri (6). L’Aston de Bottas (7) continue de bien marcher et prend le meilleur sur Hamilton (8) et Leclerc (9). Alonso (10) clôture la marche.

LA COURSE SPRINT

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Les deux Maserati s’élancent à nouveau depuis la première ligne.
Elles ont pour objectif de garder les Red Bull et les McLaren derrière et de maximiser les points bonus potentiels attribués en fin de course.
Les feux s’éteignent et les monoplaces s’élancent . Nos deux pilotes font un excellent départ et aucun des deux n’est attaqué.

À la fin du premier tour, nous avons déjà 1,6 seconde d’avance sur Sainz. Mais la course est perturbée par la sortie de la Safety car après l’accrochage de Zhou et Albon.

Le temps passé derrière la Safety car est interminable car cette dernière décide de rentrer après plus de 5 tours. Toutes les voitures se suivent à nouveau et nos pilotes doivent recommencer depuis le début du plan consistant à rapidement sortir nos adversaires du DRS. Et nous y parvenons.
Au 7ème tour, Sainz est à 1,3 seconde.

Au cours de ce même tour, la bataille entre Pourchaire et Russell commence. Nos deux pilotes s’attaquant à tour de rôle pour obtenir le privilège de mener la course.

Après 10 tours. Les Maserati sont seules au monde. Les monoplaces usent moins les gommes tout en allant plus vite. George et Russell, sans être en régime d’attaque, ont pratiquement 10% d’usure de gomme en moins. En pratique, cela donne une différence de 1 à 1,5 seconde par tour. Le troisième est dès lors distancé à plus de 4 secondes.
Théo et George quant à eux continuent de se livrer une bataille âpre, mais propre.

Au 15ème tour, pendant que les McLaren et les Red Bull se battent, les deux Tridents s’envolent. 10,3 secondes d’écart avec Piastri en troisième position.

Avant dernier tour. Russell et Pourchaire offrent un magnifique spectacle de pilotage. Ils comptent près de 16 secondes d’avance sur le troisième.
À ce stade, il faudrait un alignement d’événements pour qu’aucun des nos gars l’emportent.

Il reste à savoir lequel des deux franchira la ligne d’arrivée en premier.

Au premier virage du dernier tour, l’expérimenté britannique plonge à l’intérieur sur Pourchaire et prend à nouveau le commandement de la course.
Mais le français n’a pas dit son dernier mot.
Il colle Russell comme son ombre, et le passe à l’aide du DRS dans la ligne droite. Russell n’a d’autre recours que de s’incliner.

Pourchaire remporte sa première course Sprint en carrière et confirme sa forme du début de saison. Russell termine second devant Norris largué à 19,7 secondes.

Le message envoyé par Maserati pour la course est limpide. Ils sont l’écurie à battre.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Théo Pourchaire	Maserati	1’35’658	0	8
	George Russell	Maserati	1’35’730	0	7
	Lando Norris	McLaren	1’36’733	0	6
P4	Oscar Piastri	Red Bull	1’36’909	0	5
P5	Carlos Sainz	Red Bull	1’37’014	0	4
P6	Max Verstappen	McLaren	1’36’202	0	3
P7	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’36’839	0	2
P8	Lewis Hamilton	Ferrari	1’37’081	0	1

LES QUALIFICATIONS

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Les Maserati ont imposé un rythme lors de la course Sprint ayant laissé groggy un certain nombre d’acteurs de la scène.
L’inconnu Maserati résonnait à présent comme une certitude dans chaque micro de journaliste tandis que nos rivals s’employaient à trouver le moyen de nous faire tomber.

De notre côté, nous sommes plutôt serein, concentrés, mais serein. Et nous allons avoir à nouveau le plaisir de voir la MC-F26 en action lors des séances de Qualification.
Un seul et unique tour chrono suffira. Russell est cette fois-ci le plus rapide en 1’31’847. Pourchaire est dans son sillage à 61 millièmes. Piastri, 3ème, a enregistré un chrono 1 seconde moins rapide.
La paddock est sous le choc. Tellement abasourdi qu’il ne remarquera pas l’accident de Vesti, parti en tête à queue avant que le drapeau rouge soit agité.

Vesti - Stroll - Pérez - Lawson - Bearman et Antonelli sont les pilotes éliminés en Q1.

En Q2, Russell frappe à nouveau très fort en 1’31’514. Théo est quant à lui gêné par Bottas. Le français réalise tout de même un tour en 1’31’704 et se place deuxième.
Nous n’effectuons pas de deuxième run.

Albon - Gasly - Ocon - Alonso - Tsunoda et Zhou sont éliminés en Q2.

Pour la Q3, sont encore en lice, les deux Maserati, les deux Red Bull, les deux McLaren, les deux Ferrari, l’Aston Martin de Bottas et l’Audi de Nico Hulkenberg.

Tous les pilotes s’élancent avec motivation, mais dans les yeux de huit d’entre eux peut se lire le reflet de la fatalité. Le scénario semble joué d’avance, mais je préfère rappeler à mes troupes qu’un imprévu est vite arrivé en F1 et qu’il ne faut pas se laisser aller et faire preuve de suffisance.

En feu en cette après-midi chinoise, Russell signe à nouveau le meilleur temps des premiers runs. Mais cette fois-ci, tout le monde se bat pour la pole, et nous comptons bien renvoyer nos pilotes s’affronter un fois de plus.
En 1’31’150 et 1’31’229 nos pilotes sont sans surprises les plus rapides.

À Shanghai, c’est George Russell qui décroche la pole position devant Théo Pourchaire. La Red Bull de Max complète le podium. Carlos Sainz (4) sépare le podium des deux McLaren de Norris (5) et Piastri (6). Bottas (7) devance une nouvelle fois les Ferrari d’Hamilton (8) et Leclerc (9). Enfin, l’Audi d’Hulkenberg clôture le Top 10.

LA COURSE

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Le week-end nous à montré jusqu’à présent que la monoplace était nettement au-dessus de la concurrence. Néanmoins, au moment d’aborder la stratégie d’une course comptant 56 tours, la dimension stratégique ajoutait un facteur difficile à projeter.

Nous pourrions tout à fait miser sur la sécurité d’une course avec un seul arrêt. Mais toutes nos simulations montrent qu’il existe plusieurs scénarios où l’on est capable d’aller encore plus vite.
Nous avons également la problématique d’avoir deux pilotes sur la même stratégie. Cela pouvait vite devenir un bourbier au moment des appels au stand.
Ainsi, on décide de partir sur deux stratégies complètement différentes. Le rythme en piste serait le seul décisionnaire du résultat final.
En pole, George partira en Medium avant de passer des Hard puis des Soft.
Théo, de son côté, partira lui aussi en Medium avant de partir sur les Durs. Le français finira lui la course avec des Médium.

Nos deux pilotes prennent un très bon départ et conservent tous les deux leurs positions.

En ce début de course, la première chose à faire est de sortir le plus rapidement possible nos poursuivant du DRS. À la fin du premier tour c’est chose faite et nous devons à présent nous focaliser sur notre rythme pour que cela perdure.
Dans les trois premiers tours de course, Théo Pourchaire prend la tête de la course.

Derrière les luttes entre les deux Red Bull et les deux McLaren sont le centre d’attention de ce début de Grand Prix.

Les Norris, Verstappen, Sainz et Piastri attaquent sur leurs gommes Soft comme des malades, mais cela ne suffit pas pour revenir sous les 1 second synonyme de retour de l’utilisation du DRS. En prime, après 5 tours de course, nous possédons entre 10 et 15% d’usure de gomme en moins.

Au 9ème tour, les premiers pilotes en Soft sont obligés de rentrer aux stands.
Un tour plus tard, George Russell récupère le premier position tandis que nos deux pilotes continuent de batailler l’un contre l’autre.
Les Maserati surnagent et vogue déjà avec 5 secondes d’avance sur le troisième.
Théo récupère ensuite la 1ère position et parvient à sortir Russell du DRS.

En l’espace de 5 tours, Pourchaire réalise un travail formidable en reléguant Russ à 2,2 secondes. Le troisième est quant à lui à 13 secondes du leader.

18ème tour tous les pilotes à l’exception des deux Maserati ont effectué leurs premiers arrêts. Seuls Théo et George sont encore en piste et continuent à appliquer les mêmes tarifs au tour.

Au 20ème tour, nous arrêtons Russell en premier car il est celui qui est le plus en délicatesse sur ses gommes usées. Le britannique ressort devant Max Verstappen.

Au même moment, Liam Lawson commet une erreur et sort de la piste. Il s’enlise dans le bac à graviers et doit abandonner. Voiture de sécurité déployée. C’est le moment idéal pour faire rentrer Pourchaire dans la pitlane. Sous le régime de VSC le temps perdu au stand est diminué. Grâce à cela Théo ressort avec près de 5 secondes d’avance sur son coéquipier.

Au 22ème tour, la course reprend et Verstappen utilise ses gommes Tendre pour attaquer Russell et prendre sa place. Quelques secondes plus tard, l’abandon de Tsunoda est annoncé et la VSC est de retour.
Lors de la relance trois tours plus tard, l’objectif du Britannique est de revenir sur Max .

La deuxième place du néerlandais ne tient qu’à un fil, ou plutôt à ses quatre pneus dont les gommes s’usent de minute en minute tandis que Russ fait doucement monter la température de ses gommes dures. Le 26 ème tour marque le dépassement de Russell sur Max Verstappen.

Depuis plus de dix tours après que Russell soit repassé en deuxième position, l’écart entre Pourchaire et Russell oscille entre les 3 et les 4 secondes.

Pour le 40ème tour, l’usure des gommes est tellement bonne que l’on décide de continuer encore un tour avant de faire rentrer Théo.
Le français a un matelas de sécurité confortable sur son coéquipier qui devra lui aussi bientôt s’arrêter.

La concurrence est nulle part. 21,7 secondes de retard pour Verstappen, troisième anecdotique au regard de la correction infligée par Maserati aujourd’hui à Shanghai.

À 15 tours de l’arrivée, c’est au tour de Russell d’effectuer son arrêt. Le britannique ressort en deuxième position à 8,2 secondes de Pourchaire. Mais l’anglais est en Soft et va probablement s’en donner à coeur joie.
En 3 tours, l’écart entre les deux Maserati passent de 8,2 secondes à 3,9 secondes.

Avec plus que 10 tours à couvrir, le GP entre dans ses derniers instants.

Tour 50: George Russell est en train de faire une remontée spectaculaire. Le britannique est à 1,7 secondes. Il revient fort, mais au détriment de ses pneumatiques. À 6 tours de l’arrivée, il n’a plus d’autre choix que de ralentir et de faire une croix sur son désir de victoire.

53ème tour, nous demandons à nos pilotes de ralentir un peu plus le rythme. Nous tenons le doublé du bout des doigts et il est impensable pour moi que l’on passe à côté.

Le dernier tour n’est qu’une formalité, nos radars se tournent vers le reste de la course.
Verstappen est toujours troisième à 42 secondes ! 42 secondes.
La supériorité de la voiture était indéniable aujourd’hui.

Théo Pourchaire remporte un deuxième succès de rang. Son coéquipier franchit la ligne d’arrivée 3,3 secondes plus tard avec le meilleur tour en poche. Puis vient le quadruple Champion du Monde, Verstappen.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Théo Pourchaire	Maserati	1’34’185	1	25
	George Russell	Maserati	1’34’122	2	19
	Max Verstappen	Red Bull	1’37’641	2	15
P4	Lando Norris	McLaren	1’36’649	2	12
P5	Oscar Piastri	McLaren	1’36’365	2	10
P6	Carlos Sainz	Red Bull	1’34’589	3	8
P7	Lewis Hamilton	Ferrari	1’36’104	3	6
P8	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’37’689	2	4
P9	Andrea Kimi Antonelli	Mercedes	1’36’827	2	2
P10	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’37’649	1	1
P11	Charles Leclerc	Ferrari	1’38’107	2	0
P12	Esteban Ocon	Haas	1’37’849	2	0
P13	Niko Hulkenberg	Audi	1’37’803	2	0
P14	Fernando Alonso	Mercedes	1’36’836	3	0
P15	Oliver Bearman	Audi	1’38’437	2	0
P16	Alexander Albon	Williams	1’38’759	2	0
P17	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’38’062	3	0
P18	Lance Stroll	Aston Martin	1’38’466	3	0
P19	Sergio Pérez	Alpine	1’38’555	3	0
P20	Frédéric Vesti	Williams	1’39’049	2	0
P21	Yuki Tsunoda	Haas	1’41’320	1	DNF
P22	Liam Lawson	Alpine	1’42’007	1	DNF

LES AFFILIÉS

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À Shanghai, pas de F3 ni de F2 et nos jeunes pousses ont donc pu travailler à l’usine, se servant de leurs résultats respectifs en Australie pour capitaliser et avancer.

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