:storygreen: :s5: 🇮🇹 The Trident must drive :f1:

[CaptainAmericka]

Ce n’est que partie remise sûrement. Il faut faire des choix parfois. Privilégier le bon développement de l’écurie semble primordial pour l’instant.

[volatil]

Si le but, c’est de mettre un faire valoir à pourchaire, autant garder Gio. Après grever les finances pour un pilote effectivement je pense que ce n’est pas la solution. Gio peut toujours faire une saison de plus ou au pire, y’a le petit jeune qui monte en F2

[RedM1nd]

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@alexgavi > Tu as bien raison En effet dans les vrai vie, le début d’année est tout aussi catastrophique si ce n’est pire que l’an dernier. J’ai très peur Maserati

@gwendil35 > Avec une réflexion purement sportive on peut difficilement faire mieux. Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? C’est là toute la question.

@CaptainAmericka > On peut tout aussi bien créer un monstre en interne

@volatil > Je pense qu’on est encore dans un entre deux. On a pas la voiture pour gagner à chaque course, donc que Giovinazzi passe au travers parfois n’a pas vraiment d’impact, et un duo Russell/Pourchaire ne pourrait à mon sens toujours pas prétendre à l’heure actuelle à un victoire au Constructeur. Mais avec l’énorme changement de réglementation à venir… Pourquoi de question s’ajoutent à celles que nous avons déjà.
Si la voiture est un banger on peut gagner le titre, si la voiture est moyenne on paye un top pilote pour au final ne pas matcher les objectifs. C’est une situation préoccupante.

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[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2024	CHARLES LECLERC	FERRARI	+ 5.792s
2023	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 3.749s
2022	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 4.071s
2021	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 20.931s

Presque un mois s’est écoulé depuis la fin du GP de Belgique et le début des vacances d’été.
L’opportunité pour l’équipe de souffler un peu après une première partie de saison.
Ces trois semaines d’intervalle. L’an dernier, je m’étais accordé une semaine de vacances en famille sur la côte Est de l’Italie, cette année, j’avais bien plus de responsabilités sur les épaules et avait donc dû y renoncer.

Les deux ans de notre fils Enzo ont été célébrés à la maison en présence de nos familles et proches amis.

Le reste du temps, je l’avais consacré à Maserati, à la clôture du premier semestre.
Le retour dans les paddocks était une véritable bouffée d’air frais.
L’équipe était de bonne humeur et les premières réunions semblaient indiquer une forte volonté à continuer à se surpasser.
Les pilotes avaient également l’air bien reposé et la seule chose que l’on pouvait espérer c’est qu’ils soient capable de retrouver la dynamique d’avant vacances, enfin surtout pour Théo qui portrait clairement l’écurie à un autre niveau.

LES ESSAIS LIBRES

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Les essais libres allaient être un moyen pour que tout le monde reprenne ses marques. Le tracé hollandais serait toutefois le théâtre de la première sortie en F1 d’un certain Arvid Lindblad tout juste autorisé à piloter dans la catégorie reine après avoir fêté son dix-huitième anniversaire au début du mois d’Août. Cette participation en EL1 était une récompense pour une saison en F2 jusqu’à présent impeccable.

Le jeune britannique allait découvrir le goût de la F1 et allait pouvoir œuvrer directement pour l’équipe en récoltant des données capitales pour la suite du week-end.
Sur les Hard, le prodige anglais tourne à seulement 3 dixièmes de son coéquipier, une performance saluée par les commentateurs de l’écosystème F1.

En EL2, le rythme de Giovinazzi est fortement scruté et l’italien le sait. L’écart entre les deux titulaires est de 150 millièmes ce qui donne une vaste idée de la hiérarchie actuelle de l’équipe.

Lors de la troisième session, l’écart sera inférieur à 70 millièmes, preuve en est que quand il est dans de bonnes conditions, Giovinazzi est capable d’être dans les temps de son coéquipier. Cela n’explique cependant pas l’écart de performance lorsque cela compte vraiment.

LES QUALIFICATIONS

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Nous allions rapidement pouvoir vérifier si les observations effectuées lors des séances d’essais allaient être vérifiées lors des Qualifications.

Dans un Q1 marquée par la sortie du drapeau rouge suite à une sortie de piste de Sergio Pérez, Antonio se qualifie pour la Q2 avec un dixième temps intéressant à 3 dixièmes de Théo qui possède le 6ème chrono.

En Q2, Théo Pourchaire continue à se montrer régulier et se positionne à la 7ème position.

Antonio est toujours 3 dixièmes derrière son coéquipier, mais c’est un luxe qu’il ne peut se permettre sans se mettre en danger.
Si rien ne change avant la fin de la Q2, Gio sera éliminé.
Le français sortira de cette session, l’italien sera quant à lui éjecté avec un 13ème temps.

Le premier tour lancé de Pourchaire en Q3 est clairement loupé. Le français est 10ème à plus de 1,2 secondes de la pôle.
Nous gardons cependant foi en notre pilote n°1 qui peut-être capable d’inverser la vapeur à notre avantage. Il ne pourra cependant pas faire mieux que P7.
Théo Pourchaire s’élancera donc une fois de plus dans le Top 10 à la 7ème place sur la grille, tandis qu’Antonio Giovinazzi se contentera de la 13ème position.

Lando Norris décroche la pôle position devant le local de l’épreuve Max Verstappen (2) et Valtteri Bottas (3) qui porte son Aston Martin vers des sommets prodigieux.
Carlos Sainz (4) devance Piastri (5) et Charles Leclerc (6). On retrouve ensuite Pourchaire (7) devant Hamilton (8) et les deux Racing Bulls de Zhou (9) et Gasly (10).

LA COURSE

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Les qualifications nous auront clairement fait ressentir que l’on est peut-être un petit peu moins performant sur ce tracé de Zandvoort. Les 72 tours du jour s’annoncent ainsi particulièrement difficiles pour les nerfs et l’esprit.
Chaque pilote aura sa propre stratégie. Giovinazzi effectuera un Medium/Soft/Medium alors que Pourchaire partira pour un Medium/Hard/Medium.

Dans le premier virage d’un départ canon, Théo Pourchaire dépasse la Ferrari de Leclerc et progresse d’une place.
Un peu plus tard dans ce premier tour, Giovinazzi prendra le meilleur sur Ocon dans le virage n°7.
Ce ne seront que les uniques dépassements pour nous en ce début de Grand Prix.

Des dépassements éphémères puisque Leclerc parviendra à repasser sur nous dans le 4ème tour.

Pour Giovinazzi, les pneus Médium seront synonyme de désavantage et l’italien ira même jusqu’à finir le tour en 17ème position.
La galère de Gio continue au 7ème tour où lors duquel il chute à la 19ème place, complètement impuissant face aux gommes Tendres des autres monoplaces. Mais nous le savons, Gio sait que la différence se fera sans doute sur le long terme.

Pendant les 10 premiers tours de course, Leclerc et Pourchaire échangent leurs positions tour à tour, ce qui ne sera pas à l’avantage de Théo qui suite à un mauvais placement à l’entame d’un virage perd trois places d’un coup.

Les six tours qui suivent pour Théo sont consacrés à sa remontée. Il dépasse Pierre Gasly assez rapidement, mais butte sur Hamilton pendant 3 tours.

Une fois de retour en 6ème position, le français est à 1,8 secondes de Leclerc.
Antonio continue de son côté à faire de son mieux autour de la P15.
Au fil des tours, l’écart avec Charles ne fait qu’augmenter et les Maserati semblent démunies.

Au 23ème tour, Antonio box pour la première fois du jour pour s’équiper de gommes Tendres.

À sa sortie des stands, la Voiture de Sécurité Virtuelle est activée suite au crash de Russell. Le pilote britannique est contraint à l’abandon, mais sa sortie de piste n’arrange pas vraiment Antonio qui vient de perdre du temps aux stands alors que sous régime de VSC, ses pertes auraient été plus mesurées. Par contre, cela fait les affaires de Théo qui ressort 8ème après son pitsop du 24ème tour.

Au 30ème tour, Charles Leclerc rentre enfin aux stands avec ses Hard à bout de souffle. La Maserati de Théo passe alors devant le monégasque et se trouve intercalée entre les deux Ferrari.
Giovinazzi se bat avec Lawson pour la 17ème place.
Leclerc reprend bien vite sa position grâce à ses gommes Tendres, plongeant Théo dans une course de gestion car rapidement relégué à plus de 4 secondes.

Aujourd’hui, nous n’avons clairement pas le rythme pour nous battre en piste mais peut-être que la stratégie saura nous être favorable…
Le 45ème tour est notre premier indicateur. Giovinazzi rentre aux stands pour la deuxième fois.

L’italien ressort en 16ème position et se met en chasse. Les points sont à 18 secondes. La tâche est immense, mais il ne faut pas baisser la tête avant d’avoir franchi la ligne d’arrivée.

5 tours plus tard, c’est au tour de Pourchaire de réaliser son dernier arrêt. Le français en sortira 8ème à 6,8 secondes de la Ferrari de Leclerc.

Pour Giovonazzi la course ne bouge plus tant que ça. L’italien consolide sa 16ème place avec plus de 21 secondes d’avance sur le 17ème.

À 15 tours de l’arrivée, les effets de la stratégie commence à se faire ressentir. Après plusieurs arrêts, Giovinazzi remonte au classement et se retrouve P11. L’italien est en bonne posture est pourrait viser la 9ème place à l’arrivée.
Théo de son côté est revenu sur Hamilton, l’a dépassé, mais se retrouve à 9 secondes de Leclerc qu’il sera très compliqué à aller chercher.

Au 59ème tour, Gio s’adjuge la 9ème place. Bottas a des problèmes mécaniques qui pourraient sérieusement handicaper sa fin de course.

À 10 tour du finish, un Bottas en perdition est à 2,2 secondes de Théo qui revient aussi vite qu’il le peut.

66ème tour, Théo est dans la zone de DRS de l’Aston Martin. La première tentative de dépassement est la bonne et 3,4 secondes séparent le français de la Ferrari devant lui.

Le message de Gianpiero à la radio est très clair. Il reste six tours, et Théo doit absolument vider ses tripes pour aller chercher Leclerc.
Toujours 9ème, la mission d’Antonio est claire, assurer la position en tenant Gasly à bonne distance.

68ème tour, il l’a fait ! Pourchaire entre dans le DRS de la Ferrari. Et alors que Théo dépasse Charles à l’entame du 69ème tour. Giovinazzi se fait dépasser par Pierre Gasly et sa Racing Bulls.

Avant dernier tour, Antonio récupère ce qu’il lui revient et la bataille finale entre Pourchaire et Leclerc continue de plus belle.

La Ferrari repasse sur la Maserati au début du dernier tour. Théo n’a plus que quatre kilomètres pour faire la différence… Mais il n’y parviendra finalement pas.

Pourchaire prend la P6 et Giovinazzi réalise la belle performance du jour au regard de la dynamique de course qui a été la sienne pendant la majeure partie du GP. Avec cette 9ème place, il s’en sort bien, et rassure son équipe.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Lando Norris	McLaren	1’10’548	2	25
	Carlos Sainz	Red Bull	1’10’233	1	18
	Oscar Piastri	McLaren	1’10’645	1	15
P4	Max Verstappen	Red Bull	1’11’541	1	12
P5	Charles Leclerc	Ferrari	1’11’344	1	10
P6	Théo Pourchaire	Maserati	1’11’697	1	8
P7	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’11’553	1	6
P8	Lewis Hamilton	Ferrari	1’11’749	1	4
P9	Antonio Giovinazzi	Maserati	1’12’164	1	2
P10	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’12’165	1	1
P11	Yuki Tsunoda	Haas	1’11’821	1	0
P12	Fernando Alonso	Mercedes	1’11’249	1	0
P13	Nico Hulkenberg	Kick Sauber	1’11’434	2	0
P14	Esteban Ocon	Haas	1’10’769	1	0
P15	Alexander Albon	Williams	1’11’918	2	0
P16	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’12’898	1	0
P17	Liam Lawson	Alpine	1’12’126	2	0
P18	Sergio Pérez	Alpine	1’11’839	2	0
P19	Daniel Ricciardo	Williams	1’11’514	2	0
P20	Zane Maloney	Aston Martin	1’13’122	1	0
P21	Kevin Magnussen	Kick Sauber	1’12’600	2	0
P22	George Russell	Mercedes	1’13’157	2	0

LES AFFILIÉS

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Pas de F3 à Zandvoort. Nikita Bedrin est donc resté à l’usine pour préparer le GP de Monza qui arrive et qui signera la fin de sa saison.
En F2, et pour la première fois de l’année c’est Arvid Lindblad qui signe le plus mauvais résultat avec sa P9.
Colapinto a été magique et termine la course en 2ème position.
Gabriele Mini l’attendait, il l’a finalement obtenue cette première victoire en F2 ! Et quelle victoire qui s’accompagne d’une pôle position et d’un meilleur temps en course. L’italien fait le plein de confiance avant Monza.

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[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2023	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 6.070s
2022	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 2.445s
2021	DANIEL RICCIARDO	MCLAREN	+ 1.746s
2020	PIERRE GASLY	VISA CASH RB	+ 0.415s

Le week-end qui suivait le Grand Prix des Pays-Bas était un jour de fête pour tout le peuple italien. Les fans de F1 allait pouvoir vivre LE week-end, LEUR week-end, car la F1 arrivait comme chaque année depuis 1950 à l’Autodromo Nazionale Monza.
Le Temple de la vitesse allait à nouveau être le théâtre des espoirs de tout un peuple.
L’an passé Ferrari y avait triomphé avec Charles Leclerc et cette année, les tifosi espéraient que la Scuderia ou bien peut-être Maserati puisse réitérer l’exploit.
La pression était à son paroxysme au moment du début des essais libres.

Beaucoup d’écurie avaient annoncé apporter des améliorations à leurs monoplaces ce qui ne manquait pas de m’inquiéter. Allions nous pouvoir continuer à être compétitifs ? Ou bien est-ce que notre choix de nous concentrer sur 2026 allait commencer à se faire ressentir alors que les autres Team Principal continuaient à investir sur l’année en cours ?
Nous serions vite fixés.

LES ESSAIS LIBRES

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Vainqueur de son premier GP en F2, Gabriele Mini a obtenu le droit d’effectuer une séance d’essai en F1. Il en avait déjà réalisé l’an dernier, mais l’augmentation du nombre de pilotes affiliés Maserati avaient poussé la Direction à revoir sa politique d’attribution des séances.
Arvid Lindblad avait acquis sa chance il y a déjà un moment mais n’avait pas pû y prendre part en raison de son âge.
La condition de victoire atteinte pour le jeune italien lui permettait à présent d’en profiter.

Sous son public Gabriele commence mal sa session en partant en tête à queue au deuxième virage. L’italien est frustré, mais doit se ressaisir et reprendre là où son erreur l’avait laissé. Il le savait, sa prestation d’aujourd’hui serait comparée à la sortie de Lindblad à Zandvoort. Son avenir à court terme en F1 se jouait peut-être aujourd’hui.

Dans les mêmes conditions pneumatiques qu’à Zandvoort, en pneu Hard, l’impensable se produit alors… Théo Pourchaire avait été battu, de seulement 180 millièmes, certes. Mais vaincu quand même. Les cartes de l’avenir de Maserati venait peut-être d’être rabattues ?

Le reste des essais se déroulent bien, les programmes sont bouclés à la perfection par Pourchaire et Giovinazzi et les monoplaces réglées aux petits oignons. Nous avons le matériel dans les meilleures conditions possibles, la question est de savoir si l’on sera capable d’en extraire la performance à son paroxysme.

LES QUALIFICATIONS

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Les pilotes sont prêts, les visages fermés derrière un masque de concentration.
Ils le savent, nous le savons. À Monza l’erreur ne sera pas tolérée. Il vaut donc mieux que tout le monde soit prêt à vendre son âme. Cela vaut pour les pilotes, pour les mécanos, et pour le pitwall.
Nous équipons donc les deux voitures avec un nouveau moteur, une nouvelle boîte à vitesses et un nouveau dispositif ERS pour réduire les éventuels pépins mécaniques

En Q1, le premier tour de Théo est une catastrophe. Le français est gêné à deux reprises et est bon dernier. Antonio qui a un peu mieux négocier son tour, mais avec sa 12ème place, il n’est pas encore complètement tiré d’affaire. Le trafic à Monza est un carnage et nous espérons vraiment que nous allons parvenir à trouver une fenêtre optimale pour nos deuxièmes tentatives.
Les tours sont bons. Giovinazzi améliore le secteur 1 et 3 tandis que Théo ne parvient à améliorer que le dernier secteur.
Pourtant, c’est bien l’italien qui sera éjecté de cette Q1 pour 16 millièmes.
C’est une énorme désillusion pour l’italien et pour l’équipe, qui va devoir se concentrer à présent sur la performance de Théo.

Son premier chrono en Q2 est bien meilleur, et lui permet d’occuper provisoirement la 7ème place sur la grille. Le français se qualifie pour la Q3 et se donne une chance de viser les meilleurs places sur la grille.

Pendant la Q3, je peste contre les McLaren qui gênent Théo dans le dernier secteur dans la ligne droite juste avant la parabolique. Le français perd un temps monstre et n’est donc que 8ème. Lors de sa deuxième tentative, Théo améliore considérablement son tour, mais cela ne suffit pas et le français sera donc 8ème au départ de demain.

Norris se place en pôle devant son coéquipier australien Piastri (2) et Lewis Hamilton (3).
Max Verstappen (4) s’intercale entre les deux Ferrari. Leclerc (5) déviance son ancien coéquipier Sainz (6), Bottas (7) et Pourchaire (8). Esteban Ocon (9) ferme la marche du Top 10 avec le déroutant Zane Maloney (10), qui commence à bien appréhender son Aston Martin.

LA COURSE

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Sur la qualification, nous n’avons pas vraiment senti de désavantage vis-à-vis de nos concurrents et leurs nouveaux composants. La désolation Giovinazzi peut-être mise sur le compte d’une mauvaise gestion du trafic, mis à part cela, je trouve que l’on se débrouille plutôt bien.
Certes Gio va devoir s’employer pour remonter, mais Théo lui reste dans le coup pour des points.
Lewis Hamilton est pénalisé et s’élancera en fond de grille ce qui permet à nos deux pilotes de gagner une place sur la grille.

Depuis la 7ème et 16ème position, nos pilotes s’élancent sur une stratégie identique mais différente dans leurs réalisations.
Le français attaquera très fort sur ses Medium tandis que Gio fera la même chose sur les Hard en fin de course.
À l’extinction des feux, Théo et Antonio bondissent sur leurs pédales d’accélération.

Le premier tour est excellent, le français dépasse Bottas avant même le premier virage et se paie également le luxe de dépasser Leclerc dans le deuxième secteur.
Giovinazzi réalise à peu de chose près la même chose puisque l’italien prend le meilleur sur Russell.
Ce premier tour à Monza est marqué par le pire événement possible pour Ferrari. Hamilton part à la faute dans le virage n°5 et sort de la piste.
La Ferrari du septuple Champion du Monde peut repartir, mais il ne fait aucun doute que la course du britannique est plus que compromise.
À la fin du premier tour, Théo est donc 5ème, Antonio est 14ème.

L’entame de course de Pourchaire tutoie la perfection. Tour après tour, le pilote Maserati montre qu’il n’est pas venu à Monza pour être un figurant. La monoplace tourne à plein régime et le français élimine l’un après l’autres, Sainz, Piastri et Norris.

Durant le 5ème tour, il se paie le scalpe du quadruple Champion en titre Verstappen et prend la tête de la course. La foule est en délire et les drapeaux italiens s’agitent avec ferveur dans le ciel.

La stratégie de Giovinazzi étant très différente, induit forcément un début de course moins flashy, l’italien est toujours 14ème et se démène pour optimiser son rythme de course comme il l’avait fait à SPA.

Pendant 5 tours, la bataille pour la tête de la course est d’une violence spectaculaire. 4 pilotes s’arrachent la position à tour de rôle. Au cœur de cette bataille, Théo fait de son mieux pour concurrencer les deux Red Bull et Norris.

Petit à petit, l’avantage pneumatique permet à Gio de se mettre en action. Il prend la 13ème place à Ricciardo et roule à présent à 3,5 de la zone des points.

Au onzième tour, la casse moteur d’Ocon rabat les cartes. La voiture de sécurité est déployée. Giovinazzi est P12. Théo occupe la troisième et dernière place du podium.
Assez logiquement, tout le monde rentre aux stands afin de pouvoir partir sur de nouvelles gommes.
Nous optons pour les Hard pour Théo et les Soft pour Gio qui va donc pouvoir pousser très fort et essayer de réintégrer le top 10.

Les Red Bull étant très proches empêchent la réalisation d’un double pitsop parfait pour l’écurie autrichienne. Cela permet à Théo de gagner une position et de se placer derrière Norris à la relance.

Pour les mêmes raisons, Giovinazzi se voit contraint de subir l’entrée dans la voie des stands de toutes les voitures de derrière. C’est la panique à bord dans la pitlane, mais l’italien s’en sort plutôt bien en ne perdant qu’une seule position. Tous les pilotes sont en Hard à l’exception d’Antonio qui va pouvoir attaquer.

La course est relancée au 15ème tour sans arroche. 3 tours plus tard, Gio s’adjuge la 11ème position et continue d’attaquer très fort sur ses gommes.
Pourchaire est quant à lui toujours à la lutte avec Sainz et Norris pour la tête bien que le français soit un petit peu plus en retrait.

19ème tour, Gio est dans les points.

Au 21ème tour, Théo est à nouveau le leader de la course. Giovinazzi grapille toutes les places possibles avant de devoir s’arrêter à nouveau.
5 tours plus tard, Pau Rivera appelle Gio pour que ce dernier effectue son deuxième arrêt du jour.
L’italien 9ème ressort en dernière position mais se trouve dans le clean air et va donc pouvoir se concentrer sur son rythme de course jusqu’à la fin. Il reste 27 tours.

Du côté des leader, Norris et Sainz ont connu une baisse de régime et ont été remplacé dans la bataille par Verstappen et Piastri. Théo figure toujours en troisième position mais est distancé de Verstappen de 3 secondes.

Au 32ème tour, une nouvelle voiture de sécurité impliquant Albon vient plomber la stratégie de Giovinazzi. La remontée de l’italien est stoppée net et ce dernier doit donc suivre le mouvement et rentrer aux stands. Par chance, l’italien passe sur Hamilton dont l’arrêt est plus long qu’espéré et se positionne 16ème en gomme Médium. Devant lui Hulkenberg, Russell, Zhou, Pérez sont en Soft et devraient avoir du mal à les tenir pendant 21 tours.
Les points me semblent malgré tout difficilement envisageables.

Pourchaire aussi rentre au stand pour mettre des Medium. Il ressort 3ème derrière Verstappen et Norris. La voiture de sécurité a au moins le mérite de le rapprocher de Max qui s’était éloigné à plus de 4 secondes.

35ème tour, la Safety Car rentre et la course peut reprendre. Le tour de relance est à la hauter du départ de course. Théo Pourchaire prend rapidement l’avantage sur Norris qui se fait attaquer par Sainz en gomme Tendres. La Maserati prend aussi le meilleur sur la Red Bull du néerlandais et Théo s’empare à nouveau de la première position.
Giovinazzi est lui toujours bloqué derrière Maloney et reste 16ème.

Peu avant le 40ème tour, Gio parvient à dépasser Maloney, mais le rookie des Barbades ne lâche pas l’affaire. Théo de son côté fait tout ce qu’il peut pour rester au contact de Verstappen qui est repassé en tête.

42ème tour, Giovinazzi et Maloney ont dépassé Alonso. 4,8 secondes les séparent de la P13. Il faut tout faire pour éviter de perdre du temps.
Théo est à la lutte depuis plusieurs tour avec Sainz qui est en train de détruire ses gommes Soft. Le français tient et conserve la tête du Grand Prix.

48ème tour, le Grand Prix s’emballe. Verstappen chute à la 7ème position et la lutte pour la victoire s’intensifie entre Sainz, Bottas, Pourchaire, Piastri et Norris. Ce Grand Prix d’Italie n’a peut-être jamais été aussi indécis. Antonio en 14ème position ne progresse pas aussi rapidement que prévu, il doit en donner d’avantage.

Théo Pourchaire débute le 50ème tour en tête après avoir pris le meilleur sur Sainz et Bottas lors du 49ème.
À trois tours de la fin, Théo et toujours à la lutte et donne tout pour garder les deux Red Bull derrière lui.

Giovinazzi a quant à lui pris le dessus sur Leclerc et Russell et toque à la porte des points avec sa 11ème place.

Théo débute le dernier tour toujours en tête. Verstappen, Sainz et Bottas sont dans son sillage. Max Verstappen dépasse Théo dans le premier secteur en s’envole vers la victoire. Théo ne lâche rien, il colle le néerlandais dans la parabolica, mais Bottas surgit de nul part et franchi la ligne avant lui. P3 pour le français à Monza. Les tifosi sont frustrés, ils étaient si prêt d’une nouvelle victoire, mais la foule salue la prestation magistrale de la pépite française.
Giovinazzi est 11ème, mais l’italien ne termine pas la course. Sa monoplace tombe en panne d’essence à une dizaine de mètres de la ligne.

Si Maserati est applaudit pour Théo, elle est conspuée pour Antonio. Et les supporters italiens ne sont pas tendres non plus avec la Scuderia Ferrari qui signe un résultat désastreux. Hamilton est 19ème, Leclerc 12ème et ne marque donc aucun point.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Max Verstappen	Red Bull	1’22’133	2	25
	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’21’425	2	18
	Théo Pourchaire	Maserati	1’21’509	2	15
P4	Carlos Sainz	Red Bull	1’21’345	2	12
P5	Oscar Piastri	McLaren	1’20’274	2	10
P6	Lando Norris	McLaren	1’22’199	2	8
P7	Yuki Tsunoda	Haas	1’22’378	2	6
P8	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’22’008	2	4
P9	Nico Hulkenberg	Kick Sauber	1’21’974	2	2
P10	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’21’887	2	1
P11	George Russell	Mercedes	1’22’249	2	0
P12	Charles Leclerc	Ferrari	1’22’738	2	0
P13	Daniel Ricciardo	Williams	1’22’932	2	0
P14	Zane Maloney	Aston Martin	1’22’969	2	0
P15	Fernando Alonso	Mercedes	1’22’987	2	0
P16	Sergio Pérez	Alpine	1’21’704	2	0
P17	Kevin Magnussen	Kick Sauber	1’22’978	2	0
P18	Liam Lawson	Alpine	1’22’723	2	0
P19	Lewis Hamilton	Ferrari	1’23’228	1	0
P20	Antonio Giovinazzi	Maserati	1’22’701	3	DNF
P21	Alexander Albon	Williams	1’25’221	1	DNF
P22	Esteban Ocon	Haas	1’26’572	0	DNF

LES AFFILIÉS

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La F3 signait à Monza l’ultime étape de sa saison.
Nikita Bedrin, notre pilote affilié, se positionne une dernière fois dans les points à la 9ème place.
Le F2 était également présente.
Franco Colapinto, après sa prouesse à Zandvoort retrouve la P14 et Gabriele Mini la P9.
Arvid Lindblad termine deuxième derrière Andrea Kimi Antonelli.

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[alexgavi]

Théo confirme sa très bonne forme du moment, alors que Gio creuse la tombe de sa propre carrière en F1 ! En cumulant Zandvoort et Monza, Maserati prend encore des points à Ferrari !
Les jeunes sont en train de bousculer la hiérarchie, entre Lindblad très fort dans sa catégorie, et le regain de forme pour Mini.

Plus que jamais, Giovinazzi est en mauvaise posture

[RedM1nd]

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@alexgavi > Mini vient clairement de nous causer quelques nuits de maux de tête. Après comme on dit, il vaut mieux avoir trop de qualité que pas assez, mais quel casse tête de deuxième siège !
D’autant plus que l’équipe va bien, on marque des points, et c’est frustrant d’en être à ce stade de questionnement pour la suite.

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[RedM1nd]

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Après un Grand Prix de Monza ayant tenu tout un peuple en haleine grâce à l’éblouissante performance de Théo Pourchaire, il est temps de revenir quelques heures avant le début de la course principale de F1 pour faire le point sur l’ultime échéance mettant un terme à la saison de F3.

Si l’an passé, Gabriele Mini avait offert une saison impressionnante avec 5 victoires, 8 Podiums en 10 courses. Que dire de l’année que nous venons de vivre au plus petit échelon de préparation à la F1 ?
Le vainqueur de ce championnat du monde de F3 2025 est le jeune Nikola Tsolov, un pilote bulgare de 18 ans, ayant remporté non pas 5, ni 6 ,ni 7, ni 8, mais 9 courses sur les 10 disputées cette année. Une domination rarement vu que seul Sebastian Montoya aura pu contrecarrer l’espace d’un week-end. Tsolov ajoute à cela un bilan parfait, avec 10 podiums, 10 Pôles position et 10 Tours le plus rapide. UNE MASTERCLASS.

Amaury Cordeel, rétrogradé depuis le F2 en début d’année, termine second à 78 points de Tsolov. Même s’il n’a pas été victorieux, Cordeel est tout de même monté sur le podium à 10 reprises. Une régularité qui lui permet à l’arrivée de devancer Sebastian Montoya (214 points) fils de l’ancien pilote de F1 colombien Juan Pablo Montoya et auréolé cette année d’une victoire et de 8 Podiums.

Nikita Bedrin, pilote italo-russe courant pour PHM Aix Racing et affilié à Maserati termine en 13ème position avec seulement 6 points glanés. Une contre performance majeure pour Bedrin qui avait terminé 9ème avec 44 points l’année dernière.
La saison prochaine étant la dernière sur son contrat, il devra faire beaucoup beaucoup mieux, s’il souhaite rester dans le programme d’affiliation Maserati.

Chez les constructeurs, PREMA remporte une nouvelle fois le titre avec 394 points grâce notamment à la superbe saison de la pilote britannique d’Abbi Pulling (156 points), Maxwell Esterson (152 points) et Joseph Loake (86 points).

À la deuxième place nous retrouvons MP Motorsport porté par les 332 points de Tsolov qui se sera battu seul tout au long de la saison.

Troisième à seulement 17 points de MPM, nous retrouvons Trident (315 points), qui a su réaliser une très belle saison malgré la perte l’an dernier du patron de l’écurie. L’équipe a pu notamment compter sur Montoya (214 points) et Martinius Stenshorne (101 points, et 6ème au général) pour décrocher cette place au constructeur dédié à Luca Salvadori, décédé à 32 ans des suites d’un accident de moto.

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[CaptainAmericka]

Compliqué pour Gio chez lui… Heureusement que Théo a sauvé les meubles !

[celiavalencia]

il est vraiment bon ce théo pourchaire

[RedM1nd]

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@CaptainAmericka > C’est pas ce qu’on aime voir à Monza quant on est italien ^^’ . Disons que les supporters ne sont pas des plus tendres.

@celiavalencia > C’est une pépite, et c’est tellement dommage qu’il n’arrive pas à avoir une opportunité dans la vie réelle…

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[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2024	CHARLES LECLERC	FERRARI	+1.848s
2023	SERGIO PÉREZ	RED BULL	+ 2.137s
2022	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 20.822s
2021	SERGIO PÉREZ	REDB BULL	+ 1.384s

Le week-end à Monza, il y a 15 jours, avait été en demi-teinte pour nous. Si la course de Théo avait été exceptionnelle et avait ravi tout le peuple italien. Le scénario entourant la performance d’Antonio Giovinazzi avait suscité beaucoup de polémiques ces derniers jours.

Les diverses rumeurs concernant le deuxième volant Maserati pour 2026 avait également mit pas mal de feu au poudre.

Je n’allais cependant pas faire de ce seul week-end, une remise en question totale de l’ensemble du travail effectué depuis un peu plus d’un an et demi.
Non…La saison que nous étions en train de faire était très bonne et j’allais continuer à suivre notre feuille de route en dépit de toutes les turbulences extérieures.

LES ESSAIS LIBRES

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À Bakou, nous allons poursuivre nos observations sur les jeunes pilotes à en devenir.
Au Pays-Bas, Lindblad avait été observé sur un long relais sur Hard, cette fois-ci, sa rapidité en Tendres serait assidûment étudiée.

Le constat est sans appel, Arvid était bien plus proche de Théo lors de son relais en Hard qu’il ne l’est en vitesse pure sur Soft. Le britannique est ainsi relégué à 6 dixièmes du français et doit donc progresser sur sa capacité à aller vite lorsque les conditions sont réunies.

Cependant, lorsque Gio récupère le volant pour les EL2, les settings sont déjà parfaitement réalisés, preuve que le travail de fond de Lindblad a été excellent.

Les deux pilotes titulaires peuvent ainsi tranquillement boucler leurs préparations à l’approche des qualifications. Antonio est sous pression. Durant les EL2, son meilleur temps était presque 9 dixièmes plus lent que Théo. Il rééquilibre toutefois les choses en EL3 en roulant plus vite que le français de 4 dixièmes.

LES QUALIFICATIONS

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Sur l’aspect purement théorique, je suis plutôt confiant sur nos chances de faire un bon résultat lors de ces qualifications. J’ai une confiance aveugle en Théo qui surf sur une vague d’excellents résultats. Le cas Antonio est un peu plus épineux, mais je ne peux faire mieux que de croire en mon compatriote. Il doit se sortir du marasme dans lequel il se trouve depuis plusieurs GP et retrouver de la perfo.

Sur la Q1, Gio répond présent, après le premier tour lancé, il est 10ème et devance son coéquipier qui est 15ème.
La Q1 s’arrête dans la stupeur, Théo Pourchaire est dehors et partira 18ème. Un jour sans comme il peut en arriver.

Giovinazzi progresse lui en Q2.
En Q2, le miracle est difficile à atteindre. Gio est P14 et lorsqu’il s’apprête à effecteur son deuxième tour, Verstappen se crash et la Safety car est déployée.
La séance perturbée plonge l’italien vers la sortie. Il s’élancera 16ème sur la grille.

C’est la première fois depuis de très nombreux GP que Maserati ne positionne pas au moins une voiture en Q3.

Carlos Sainz se place en pôle devant Norris (2) et Leclerc (3). Oscar Piastri (4) sera en embuscade et se place devant Gasly (5), Bottas (6) et Tsunoda (7). Nico Hulkenberg (8) devance la Mercedes d’Alonso (9). Enfin, Max Verstappen n’a pas été en mesure d’effectuer un tour en Q3 suite à son accident et s’élancera donc 10ème.

LA COURSE

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Verstappen écopant d’une pénalité, Giovinazzi et Pourchaire remontent d’une place sur la grille. Il n’y a cependant pas de quoi se réjouir. Antonio est 15ème, Théo 17ème.

Au moment du départ, les visages sont fermés. Nous voulons tout donner pour effacer cette déconvenue en qualification.
Les prises de risque seront maximales et il faudra croiser les doigts pour ne pas se faire piéger par les accidents souvent fréquents à Bakou.

Le départ est donné et les Maserati foncent pied au plancher. L’agressivité de nos pilotes paie. Russell, Pérez, Ricciardo, Hamilton sont effacés dès le premier tour et nos deux pilotes occupent à l’entame du tour 2 la 12ème et la 13ème place.

Au 3ème tour, Giovinazzi dépasse Alonso et prend la 12ème place. Théo est toujours en embuscade.
Le tour suivant, les positions s’inversent. Théo est désormais 11ème,devant Alonso, et suivi de près par Antonio.

Au 7ème tour, Théo rentre dans les points après avoir dépassé Albon et s’accapare même la 9ème place en prenant le meilleur sur Hulkenberg.
Giovinazzi est toujours 12ème à 2,5 secondes du français.

Cela aura pris 11 tours à Max Verstappen pour remonter de la 22ème à la 11ème place, prenant au passage le meilleur sur Giovinazzi.
Deux tours plus tard, la voiture de sécurité virtuelle est déployée à cause d’une accident impliquant Daniel Ricciardo. Cela ne nous arrange pas vraiment, car nos pilotes sont très proches et Giovinazzi, puisque positionné derrière, va perdre du temps au stand.

Plusieurs pilotes comme Sainz, Norris, Tsunoda, Bottas Verstappen, Ocon ou encore Russell décident de ne pas s’arrêter.

Comme nous le redoutions, cette VSC tombe mal et Giovinazzi chute en 18ème position.
Théo lui est 12ème.
C’est au 15ème tour que la course est relancée.

Théo retourne à l’attaque d’Hulkenberg et Zhou et prendra rapidement l’avantage sur les pilotes Sauber et Racing Bulls.
Giovinazzi aussi remontera quelques places notamment grâce à l’arrêt de certains pilotes qui ne s’étaient pas arrêtés lors de la voiture de sécurité virtuelle.
5 tours après la relance. Gio est P15 à 5,3 secondes de Max Verstappen.
Théo est quant à lui 8ème et continue de progresser sur les pilotes qui ont fait le choix curieux de ne pas se servir de la VSC pour s’arrêter au stand.

Au 21ème tour, Théo prend le pas sur Leclerc dont les gommes et le moteur partent à la dérive.

28ème tour, cela fait désormais plusieurs tours que les pilotes enchaînent tour après tour.

Dans le top 10. Théo occupe la 7ème place et pousse le moteur à des régimes effrénés pour tenter de gagner des positions en vue d’un futur arrêt ou d’une éventuelle Safety car.
Giovinazzi est 14ème et semble bloqué dans une bataille avec Alonso et Albon.

32ème tour, Antonio rentre dans la pitlane pour chausser son dernier train de pneu. Nous optons à nouveau sur les Médium, que l’italien devrait pouvoir mener jusqu’au bout à très fort régime. L’italien ressort 19ème et va devoir s’employer pour remonter.

Deux tours plus tard, Théo Pourchaire rentre à son tour au box et chausse sur sa monoplace des gommes Tendres neuves.
Il reste 17 tours…et le français est P11. Entre temps, Gio est parvenu à remonter de deux positions.

38ème tour, Les Maserati sont dans le coup. Giovinazzi est remonté à la 11ème position. Pourchaire est 8ème. Et lorsqu’Alonso rentre au puit, Giovinazzi entre dans les points.

À 10 tours de l’arrivée, les positions n’ont pas changé et les tours défilent encore et encore. Verstappen finit cependant par prendre la position à Théo. Les ingénieurs course encouragent leurs pilotes. Il faut tenir, il faut pousser et assurer ce résultat que l’on ne pouvait espérer après nos qualifications catastrophiques.

Le temps s’arrête subitement lorsque la Virtual Safety Car est à nouveau déployée. Les monoplaces doivent lever le pied.
Cette fois-ci, personne ne s’arrête et laisse tranquillement filer jusqu’à la fin de course.

Maserati positionne ses deux monoplaces dans les points à l’arrivée. Pourchaire et Giovinazzi ont réalisé une course presque parfaite pour gommer les déboires des qualifications. La voiture était performante et on peut nourrir des regrets de ne pas être parvenu à mieux placer nos voitures le Samedi.

Lando Norris remporte une huitième victoire cette année devant Sainz et Piastri.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Lando Norris	McLaren	1’43’927	2	25
	Carlos Sainz	Red Bull	1’45’501	1	18
	Oscar Piastri	McLaren	1’44’652	2	15
P4	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’44’108	2	12
P5	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’43’908	2	10
P6	Lewis Hamilton	Ferrari	1’44’171	2	8
P7	Yuki Tsunoda	Haas	1’45’033	1	6
P8	Max Verstappen	Red Bull	1’43’191	2	4
P9	Théo Pourchaire	Maserati	1’44’647	2	2
P10	Antonio Giovinazzi	Maserati	1’45’838	2	1
P11	Fernando Alonso	Mercedes	1’44’050	2	0
P12	Nico Hulkenberg	Kick Sauber	1’45’552	2	0
P13	Charles Leclerc	Ferrari	1’45’637	2	0
P14	Esteban Ocon	Haas	1’43’706	2	0
P15	George Russell	Mercedes	1’45’221	2	0
P16	Alexander Albon	Williams	1’46’361	2	0
P17	Zane Maloney	Aston Martin	1’45’1’613	2	0
P18	Liam Lawson	Alpine	1’44’092	3	0
P19	Sergio Pérez	Alpine	1’47’079	2	0
P20	Kevin Magnussen	Kick Sauber	1’46’762	3	0
P21	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’45’910	2	DNF
P22	Daniel Ricciardo	Williams	1’50’771	2	DNF

LES AFFILIÉS

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Le Championnat de F3 terminé, Nikita Bedrin est à l’usine et bosse sur simulateur pour la saison prochaine. Le jeune italien doit s’améliorer s’il souhaite un jour espérer se créer un chemin vers la F1.
En revanche, Colapinto, Lindblad et Mini étaient bien là pour le week-end de F2 en Azerbaïdjan.
Le deuxième précédemment cité passe d’ailleurs un week-end beaucoup moins impressionnant que d’habitude en terminant seulement 13ème.
Colapinto rebondit à nouveau en terminant sur le podium à la 3ème place.
Gabriele quant à lui s’illustre à nouveau en l’emportant à la surprise générale. L’italien marque les esprits.

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[Rhino]

La course est belle en comparaison aux qualifs désastreuses

[alexgavi]

Début de weekend loin d’être évident à Bakou ! Les qualifs ont été loupées.
En revanche, les deux pilotes sont très convaincants en course, et finissent même dans les points.
Semaine après semaine, je suis impressionné par les performances de Bottas avec son Aston !

Je comprends le casse-tête du Team Principal au sujet des jeunes

[RedM1nd]

@Rhino > Le jour et la nuit, on a chié dans la colle mais on a limité la casse.

@alexgavi > Bottas fait une super saison avec l’Aston. Je ne l’aurais jamais cru. Il en a encore sous la pédale

Il y a pire comme situation que d’avoir trop de talent, mais c’est un casse tête.

[RedM1nd]

	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2024	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 2.559s
2023	CARLOS SAINZ	FERRARI	+ 0.809s
2022	SERGIO PÉREZ	RED BULL	+ 2.595s
2021	/	/	/

Après l’Azerbaïdjan, nous n’avons pas beaucoup de temps pour nous reposer. Nous sommes immédiatement attendus à Singapour pour la 18ème épreuve du Championnat.
Nous comptons sérieusement nous concentrer le Samedi pour éviter de subir une nouvelle déconvenue comme à Bakou.

Colapinto et Lindblad sont rentrés en Italie pour faire du simulateur. Vainqueur à Bakou, Mini est du voyage et l’italien participera à son tour à sa deuxième séance d’essais de l’année.

LES ESSAIS LIBRES

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À Monza, Gabriele avait surpris son monde en tournant plus vite que Théo pendant les essais sur les Hard. Nous allons observer aujourd’hui s’il est capable de réitérer l’exploit sur les gommes Tendres.

La logique sera cependant respectée et un peu plus de 4 dixièmes à l’avantage de Pourchaire séparera les deux pilotes. Nous sommes cependant très satisfait du travail réalisé par le jeune italien. Ce dernier ne nous rend pas la tâche facile, car si l’avenir de l’écurie devait reposer sur les résultats, Lindblad occuperait sans doute cette place. Mais dans la pratique. Mini avait démontré qu’il était plus proche de Théo que ne l’était le britannique.

La suite des essais se déroula sans encombre.

Les essais libres se déroulèrent sous la pluie ce qui nous permet de nous entraîner dans des conditions qui étaient annoncées pour les qualifications.

LES QUALIFICATIONS

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En Q1, nous devons être hyper réactif et rapidement lancer nos deux pilotes en piste.
La pluie est annoncée dans 5 minutes, ce qui devrait nous laisser le temps de définir notre premier temps de référence.
Tous les pilotes ont la même idée, ce qui accentue le fait qu’il nous est interdit de réaliser un tour moyen ou de commettre la moindre erreur.
Lorsque la pluie commence, Théo a réalisé le 11ème temps, Antonio le 13ème. Nous espérions mieux, mais ces chronos sont suffisants pour permettre aux Maserati d’accéder à la Q2.

Durant la deuxième session, la pluie est présente dès le début. Cette fois-ci nous n’avons pas le choix et nous devons faire usage des Intermédiaires. Une accélération des précipitations est toutefois attendue vers la fin de la séance ce qui nous laisse une fenêtre d’exploitation très étroite.

Une fenêtre que nous ne parvenons pas à attraper de manière optimisée. Nos deux pilotes sont donc en danger, et Pourchaire sera finalement celui qui se fera attraper par la patrouille. Pour le deuxième GP d’affilée, le français n’accède pas à la Q3 et se fait battre par Giovinazzi pour quelques centièmes.

La Q3 aussi se joue sur un seul tour, car si la piste est sèche en début de séance, un nouvel épisode pluvieux est annoncé et devrait couper la séance en deux.
Giovinazzi est notre dernière chance. L’italien ne pourra hélas rien obtenir de mieux qu’une P9.

Ces qualifications sont moins mauvaises que celles de la semaine dernière mais l’absence de Pourchaire en Q3 est clairement pénalisante pour nous. Nous avons cependant encore en mémoire la course délivrée par nos pilotes à Bakou et on ne peut qu’espérer qu’ils soient capables de faire de même aujourd’hui à Singapour.

Oscar Piastri rafle la pole position à Charles Leclerc (2). Verstappen (3) complète le podium. Hamilton (4) suit de près et devance Bottas (5), Tsunoda (6) et Sainz (7). Lando Norris (8) s’élancera devant Giovinazzi (9) et Ocon (10).

LA COURSE

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La disponibilité des pneumatiques nous force à adopter deux stratégies complètement différentes.
Gio est parti pour effectuer un seul et unique arrêt avec une association Médium/Hard. Une stratégie basée sur la gestion de course et l’optimisation du rythme.
Théo lui, tentera sa chance avec un double Soft/Hard beaucoup plus agressif.

L’envol de Pourchaire est à la hauteur du précédent à Bakou. Le français attaque dès le premier virage et prend le meilleur sur Ocon et Norris pour s’adjuger la 9ème place. Giovinazzi réserve le même sort à Lando Norris et progresse d’une position avant la fin du premier secteur.
L’italien termine son premier tour en dépassant également Sainz pour progresser à la 7ème position.

Au 5ème tour, Sainz repasse Giovinazzi, nos deux monoplaces se retrouvent l’une derrière l’autre et c’est hélas la voiture de derrière qui roule plus vite. Quoi de plus normal cependant. Pourchaire est en Tendres alors que Giovinazzi est en Medium, l’italien ne peut pas tenir le rythme, et il est primordial que le français ne perde pas de temps inutilement.
Rivera demande alors à Gio de switcher les positions.
Sauf que l’exécution est minable et Antonio laisse également passer Ocon.

L’effet boule de neige est immédiat, Ocon,dépasse Théo et Norris s’occupe de Giovinazzi.
Au 7ème tour, les Maserati sont P9 et P11.

3 tours plus tard, la voiture de sécurité virtuelle fait son apparition. La Sauber d’Hulkenberg est dans le mur et l’allemand doit se retirer de la course.
Nous devons alors prendre une décision, s’arrêter ou continuer.
Je ne suis pas vraiment satisfait de notre rythme du jour et je commence à croire que jouer un coup de poker serait peut-être la meilleure solution.

Nous appelons donc nos deux pilotes à rentrer changer de gommes. Cette fois-ci, les 6 secondes qui séparent Théo de Gio devraient nous permettre de réaliser un double pitstop sans soucis.
Nous sommes les seuls à opter pour cette stratégie.

La course est relancée au 12ème tour, bons derniers, nos pilotes vont pouvoir se la donner pour remonter.
Dans l’opération, Pourchaire undercut Tsunoda. Le français doit à présent continuer à pousser son rythme de course au maximum tout en contenant les pilotes qui viennent de s’arrêter.

22ème tour, nos radars s’affolent et la radio se déclanche pour annoncer une mauvaise nouvelle. Antonio vient de se crasher. Le châssis, et les suspensions ont subi de légers dégâts mais l’aileron arrière de la Maserati #99 est détruit. Les gommes sont fichues, il n’y a plus rien à tirer de cette course où l’italien ne pourra même plus activer le DRS. On décide de stopper la course de l’italien.

Tout juste Giovinazzi a-t-il abandonné que les commissaires de course s’affolent à nouveau, Verstappen vient de prendre 5 secondes de pénalité pour avoir joué à l’auto tamponneuse avec Tsunoda.

Dans cette affaire, Théo en profite et grimpe à la 5ème place et se tient dans l’aspiration de la Red Bull du néerlandais.

Au 27ème tour, c’est au tour de George Russell de commettre une erreur et d’abandonner. La voiture de sécurité virtuelle est à nouveau déployée.

À la reprise de la course au tour suivant, Théo tante de plonger à l’intérieur d’un virage pour surprendre Sainz, mais l’espagnol résiste.

Après 35 tours de course, les Red Bull ont finalement réussi à distancer la Maserati qui a parfois beaucoup plus de mal à atteindre son potentiel en fonction des caractéristiques d’un circuit. La bataille que nous avons eu et que nous continuons à avoir avec Ocon n’aide pas vraiment. Mais Théo doit se battre, il est virtuellement 5ème de ce GP et doit tout faire pour avoir l’avantage de la piste de son côté.

Le français se bat avec panache, et le sort vient s’acharner sur lui au 39ème tour lorsque la Safety car est déployée.
Ocon, Norris, Leclerc, Bottas rentrent aux stands. Mais Théo ne peut pas le faire car la Safety car a été annoncée juste après qu’il ait dépassé la zone d’entrée à la pitlane.

Nous appelons notre pilote à rentrer malgré tout, car il ne pourra plus se battre si les pilotes autour de lui ont des gommes neuves.
Théo ressort en 6ème position à 4,2 secondes d’Ocon, mais qu’importe. Toutes les monoplaces vont se regrouper derrière la voiture de sécurité et une nouvelle course commence alors.

La voiture de sécurité rentre au stand lors du 42ème tour. Il reste 20 tours à compléter et nul ne peut savoir si ce dernier réservera encore des surprises. Théo a chaussé de nouvelles gommes Hard et est prêt à prendre le combat là où il l’avait laissé. Sa première cible: Esteban Ocon. Pour la suite, nous aviserons étape par étape.
D’autant plus que la lutte tourne court, les Mediums d’Ocon partent bien mieux que nos Hard, résultat, un gap de 2,5 secondes se crée en l’espace de deux tours.

Le dépassement de Norris sur Théo n’aide pas forcément non plus mais nous sommes conscient que l’avantage des pneus devrait prochainement tourner en notre faveur. Il faut s’accrocher.

Au 50ème tour, Pourchaire reprend la 6ème position à Ocon et se met en chasse de la McLaren de Norris qui avait précédemment pris le meilleur sur la Haas d’Esteban.

Un tour plus tard, le français se paie le britannique actuel leader du Championnat.
2,6 secondes, c’est le temps qui sépare désormais Théo de Verstappen.

À 10 tours de la fin, nous sommes dans un moment clé et Gianpiero Lambiase ne manque pas de rassurer son pilote tout en lui donnant des conseils.

5 tours plus tard, la tension de fin de course se fait de plus en plus ressentir alors que Théo ne parvient pas à réduire l’écart qui le sépare des Red Bull. Pourtant, il est plusieurs fois revenu assez fort, mais n’a jamais vraiment pû raccrocher le wagon.

Au 60ème tour, Norris dépasse à nouveau la Maserati et douche les espoirs de Pourchaire définitivement. Le français ne doit pourtant rien lâcher et est invité par son ingénieur à tout donner pour finir devant la McLaren.

Il n’y parviendra pas, mais qu’importe, la course réalisée a été splendide une fois encore dans des conditions perturbantes à répétition. Théo a su garder la tête froide pour obtenir un beau résultat.

Piastri s’impose à nouveau cette saison. L’australien devance Lewis Hamilton qui réalise son meilleur résultat de la saison et Max Verstappen.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Oscar Piastri	McLaren	1’29’551	2	25
	Lewis Hamilton	Ferrari	1’29’262	2	18
	Max Verstappen	Red Bull	1’29’605	2	15
P4	Carlos Sainz	Red Bull	1’29’768	2	12
P5	Lando Norris	McLaren	1’30’615	2	10
P6	Théo Pourchaire	Maserati	1’30’978	2	8
P7	Esteban Ocon	Haas	1’30’001	2	6
P8	Charles Leclerc	Ferrari	1’31’095	2	4
P9	Valtteri Bottas	Aston Martin	1’30’576	2	2
P10	Pierre Gasly	Racing Bulls	1’30’942	2	1
P11	Yuki Tsunoda	Haas	1’30’858	2	0
P12	Fernando Alonso	Mercedes	1’31’106	2	0
P131	Daniel Ricciardo	Williams	1’30’937	2	0
P14	Sergio Pérez	Alpine	1’32’727	3	0
P15	Zane Maloney	Aston Martin	1’31’427	3	0
P16	Liam Lawson	Alpine	1’30’943	3	0
P17	Kevin Magnussen	Kick Sauber	1’32’972	2	DNF
P18	Alexander Albon	Williams	1’34’052	1	DNF
P19	Zhou Guanyu	Racing Bulls	1’33’243	1	DNF
P20	George Russell	Mercedes	1’34’833	1	DNF
P21	Antonio Giovinazzi	Maserati	1’35’385	1	DNF
P22	Nico Hulkenberg	Kick Sauber	1’36’180	0	DNF

LES AFFILIÉS

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Pas de F2 à Singapour, les pilotes affiliés sont donc au travail dans le simulateur à l’usine.

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[yunn13]

Je ne sais pas pourquoi mais j’étais passé à coté de ta story.
Elle est super sympa et la progression est folle, on espère tous une fin de saison en apothéose, et un duo de pilote capable d’aller titiller les gros l’année prochaine!

[Rhino]

Malheureusement, encore une course à oublier pour Giovinazzi

[CaptainAmericka]

Heureusement pour Gio qu’il n’y a pas de mal ! Mais le pauvre, on a l’impression qu’il s’attire toutes les merdes possibles en plus de certaines mauvaises performances.
Théo a bien rebondit lui par contre !

[gwendil35]

On est un peu dans le dur. Mais ça reste correct et régulier pour Théo, du moins…

Gio ? C’est de sa faute ou il a subi les foudres d’un kamikaze ?