:storygreen: :s1: 🇮🇹 The Trident must drive

[TheGreatest]

To be continued…

[alexgavi]

« Je souhaiterais bénéficier d’une version pêchue du moteur Pure Tech »
Heureusement qu’ils montent le quota de pièces alors !

[CaptainAmericka]

Quel est ce sujet mystère ?

[RedM1nd]

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@toopil @TheGreatest @CaptainAmericka > La suite dans le prochaine numéro

@alexgavi > Coup de Théatre ! Peugeot débarque en F1 avec son modèle 208 GT puretech hybrid rechargeable.

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[RedM1nd]

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Toutes les personnes présentes qui sous l’impulsion de Tavares avaient commencé à ranger leurs affaires s’arrêtèrent pour me fixer.
Oui, mon ami, maintenant que je te tiens toi et tes copains en cravates, je ne vais pas manquer cette occasion.

- La semaine dernière, j’étais en vacances, mais je n’étais pas totalement coupé du monde. J’ai pu consulter les résultats commerciaux du premier semestre de la marque.

Tavares me coupa la parole sèchement.

- Dois-je te rappeler ce que je t’ai déjà dit la dernière fois ! Ce n’est ni le lieu, ni le moment Dino !

Hélas pour lui, j’avais passé l’âge d’être effrayé par les sermons,et puis surtout, il avait trahi ma confiance. Chose que je ne pouvais pardonner.

- Que je ne suis pas concerné ? Au contraire, je pense avoir prouvé aujourd’hui que Maserati me concerne. Dans ce programme F1, mais également chez mes confrères on Formule Électrique ou en Endurance. Chaque programme sportif de Maserati rayonne et se démène pour que la marque se porte bien. Mais si dernière les résultats commerciaux ne suivent pas, c’est qu’il y a un problème.

- Nous avons déjà pris des mesures, mais il faut du temps pour que cela soit concluant ? La discussion est close.

- Oui, des mesures qui ont conduit des centaines de famille aux portes du chômage. Je pense au contraire qu’il est grand temps que l’on ait une réelle discussion et cela tombe bien, toutes les personnes concernées par la marque sont ici. Nous sommes des adultes, et discuter n’a jamais tué personne. Sauf si l’avenir de Maserati et des personnes que la marque fait vivre vous indiffère.

- Je suis d’accord.

Je n’avais pas prévu qu’un membre du conseil connecté en ligne approuve cette démarche forcée mais la prise de parole de Henri de Castries, Président du comité Environnemental, Social et Gouvernance avait dénoué la langue des autres personnes. Personne à part Tavares étaient indisposés à évoquer la situation dramatique de Maserati.

Les chiffres du premier semestres étaient catastrophiques. 630 millions de chiffre d’affaires contre plus de 1,3 milliards au même stade l’année passée. Et surtout un déficit bénéficiaire de plus de 80 millions d’euros.

J’avais beau tourner et retourner, les calculs n’étaient pas bons Kevin… euh Carlos. Ou Davide puisque c’était lui le pot de fleur qui n’avait pas pipé un mot depuis le début de la réunion qui était le Directeur de la marque.
Dites vous que toutes les mesures de fermetures et de mise au chômage avaient coûté 25 millions d’euros à la marque… Une imbécilité sans commune mesure.

- Je ne vais pas m’imposer en sauveur, à mon échelle, je ne dirige qu’une toute petite branche de Maserati. Cependant, j’ai pu constater que la F1 était la seule entité à ne pas être rattachée directement à Maserati. L’écurie de Formule E est rattachée sous la branche Maserati Corse, et l’ensemble des véhicules produits pour les courses d’endurance le sont aussi. Il n’y a que la F1 qui dépend de directement de Stellantis et de moi-même. Lors de la constitution du dossier auprès de la FIA, la puissance évocatrice de Stellantis faisait sens. Mais aujourd’hui, tous les revenus générés via la F1, ne rentrent pas dans les caisses de Maserati. Ce qui est préjudiciable dans une situation similaire à ce que la marque vit aujourd’hui.

Les revenus et les redistributions directes liés à la Formule 1 se comptent en centaines de millions tous les ans. Autant d’argent dont la marque ne pouvait pas bénéficier et qui entrait au contraire dans les caisses de Stellantis qui le dépensait allez savoir où.

- Il est vrai que c’est une anomalie. Les ventes sont en bernes, mais si Maserati pouvait bénéficier des revenus colossaux générés par la F1, cela pourrait contribuer à une amélioration significative.

- Tout en permettant aux employés de garder leurs emplois.

- L’idée mérite d’être discutée je l’admet… Nous en parlerons lors de la prochaine réunion du conseil.

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[alexgavi]

J’espère que la dernière phrase de Tavares n’est pas une façon de botter en touche. Au moins, le sujet a été posé sur la table !
Le point très positif, c’est qu’un membre du conseil semble vouloir creuser le sujet

[TheGreatest]

Tavares risque de ne pas nous retrouver au premier virage…

[toopil]

@RedM1nd

L’idée mérite d’être discutée je l’admet… Nous en parlerons lors de la prochaine réunion du conseil.

Là, je comprends: « il me les brise le casse-pied. J’ai autre chose à foutre! »

[CaptainAmericka]

Oh ouais, pète les reins le Carlos à vouloir couper court… Ca cache un loup ça !

[RedM1nd]

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@alexgavi > C’était le plus important, la suite nous dira ce qu’il en est.

@TheGreatest > On fera en sorte qui ne puisse pas louper la chicane x)

@toopil > Dino est une vraie plaie pour un gus obnubilé par les résultats.

@CaptainAmericka > Même deux…

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[RedM1nd]

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Le cap de la mi-saison atteint, il était également temps de jeter un oeil aux performances de nos pilotes.
Certes, il n’y avait pas de victoires ou de podium à célébrer, mais pour une première phase de championnat après plus de 65 ans d’absence en Formule 1, Maserati n’avait pas à rougir de ces performances.
Oui, il y avait quelques zone d’optimisation puisque l’équipe avait perdu quelques points suite à certaine circonstances, mais dans l’ensemble j’étais content de notre duo de pilote.
Théo Pourchaire avait été le plus flamboyant et était celui qui était le plus régulier.
Antonio Giovinazzi avait connu des hauts, et des bas, pourtant il continue à s’accrocher au point d’être à égalité dans les oppositions avec Théo dans les qualifications.
L’opposition en course parait plus violente, mais il en faut bien un devant l’autre et au jeu du rythme de course, c’est Pourchaire qui domine.

On constate avec cette analyse que nos pilotes font le job qui est attendu d’eux et surtout le job que leur permet de réaliser la voiture. MC-F24 à cette période de la saison est sixième force du plateau, il est donc cohérent que nos pilotes se positionnent en moyenne entre la P10 et la P12. Il faut poursuivre ces efforts, continuer à bien appréhender les week-end de course et être prêt, lorsque la voiture permettra enfin de se battre

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	Théo Pourchaire #98			Antonio Giovinazzi #99
VICTOIRE	0			0
PODIUM	0			0
MEILLEUR TOUR	0			0
VICTOIRE SPRINT	0			0
DNF	2			2
MEILLEUR RÉSULTAT EN QUALIFICATION	P6			P8
MEILLEUR RÉSULTAT EN COURSE	P5			P7
POSITION MOYENNE EN QUALIFICATION	P11			P12
POSITION MOYENNE EN COURSE	P10			P12
OPPOSITION COÉQUIPIER EN QUALIFICATON	6			6
OPPOSITION COÉQUIPIER EN COURSE	10			2

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[toopil]

Dans ma partie avec Alpine, j’ai pris Pourchaire pour remplacer Ocon (il me fracassait trop de bagnoles. Il a flingué cinq moteurs ), il progresse super vite le Théo

[TheGreatest]

Les pilotes se valent mais Théo a un potentiel monstre! Gio est bien pour relancer Maserati!

[RedM1nd]

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@toopil > la vie de pilote d’Esteban semble aussi difficile dans le jeu qu’IRL … Le script est fou

@TheGreatest > Pour une première saison, c’était clairement le bon duo à prendre.
J’ai eu essayé Mick Schumacher dans une autre partie et il me donnait pas du tout les mêmes satisfactions. Certes, la date d’échéance de Gio finira par arriver, mais pour l’instant, même si c’est pas toujours ça depuis quelques GP, ça reste une belle reprise de carrière.

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[RedM1nd]

AU CALENDIER DEPUIS	TOURS	LONGUEUR	RECORD AU TOUR
1986	70	4,381km	Lewis Hamilton (2020) 1’16’626

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	Le Hungaroring est le premier circuit depuis peut-être Monaco où la puissance de la monoplace ne fait pas tout. Sur ce circuit les lignes droites sont assez courtes et le tracé aux allures de piste de Karting mise davantage sur l’agilité dans les prises de virages. Le Grand Prix d’Hongrie est souvent le théâtre de résultats inattendus de la part d’écuries plus modestes.
Les stratégies à deux arrêts sont recommandées par Pirelli, mais le haut risque d’intervention d’une Voiture de Sécurité peut mener les pilotes à bénéficier d’un troisième arrêt.

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	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2023	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 33.736s
2022	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 7.833s
2021	ESTEBAN OCON	ALPINE	+ 2.735s
2020	LEWIS HAMILTON	MERCEDES	+ 8.701s

Après avoir réglé les comptes qui méritaient d’être réglés, l’écurie s’envole pour la Hongrie pour y disputer la treizième manche du Championnat du monde. Les analystes sont plutôt pessimistes nous concernant puisqu’ils annoncent notre voiture entre la 18ème et la 19ème place ce week-end. Il est vrai que le dernier circuit à déportance en date sur lequel nous nous sommes rendus est Barcelone. Et il est vrai que notre week-end n’avait pas été fabuleux. De là à nous imaginer de retour en fond de grille ici en Hongrie, j’avoue que c’était difficile à imaginer. On allait de toute façon rapidement être fixés lors des séances de qualification.

LES ESSAIS LIBRES

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Puisque l’on est annoncé très loin, il est très important pour nous de maximiser nos chances avec une préparation aux petits oignons. Ce week-end est néanmoins, l’occasion pour Gabriele Mini de prendre à nouveau le volant de la monoplace pour sa troisième sortie de l’année au volant d’une F1.

Comme d’habitude le pilote en formation réalisera un programme rapide, là où Théo Pourchaire s’orienterait vers la collecte de données sur un long relais.
D’autres difficultés s’ajoutent cependant à ces séances d’essais. L’utilisation de composants usagés, et la pression d’effectuer les meilleurs réglages pour contrer les estimations pessimistes à notre encontre.

Nous savons que les chrono de Pourchaire accès sur la récolte n’est à prendre qu’avec des pincettes. Mais le temps de Gabriele, libre de toute contrainte de gestion ne nous rassure pas, puisque le jeune italien en Soft récupère le 17ème temps. Malgré tout, on essaie de se montrer optimiste car d’abord, Mini est jeune et habitué, et les composants vieillissant souffrent d’un manque de performance.

Les chronos de la deuxième séance ne sont guère plus reluisants, mais je fais de mon mieux pour garder le moral des troupes au maximum. Nous visons les qualifications, et seules les qualifications, avec des composants performants, serviront de mesure étalon.

LES QUALIFICATIONS

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C’est la première fois depuis les tout premiers GP que l’on se dirige vers une séance de qualification avec autant d’incertitude. Pourtant, j’ai envie de croire que les spéculations qui nous concernent sont l’œuvre de spécialistes peu informés et que nos pilotes vont parvenir à sortir une fois encore des performances insoupçonnées.
J’assiste donc impuissant à la première tentative de nos pilotes en Q1.

Ouf. Les chrono n’ont pas dégringolé par rapport à Silverstone, et nos pilotes se retrouvent dans des positions qui ont l’habitude d’être les leurs. P14 pour Giovinazzi et P9 pour Pourchaire. La deuxième tentative pourra peut-être permettre à Antonio d’aller chercher des améliorations. Même si au final aucun des deux chronos n’est amélioré, cela suffit pour que Théo accède à la Q2. En revanche, Giovinazzi sera ejecté de la Q1 par Esteban Ocon pour 14 millièmes. Cruel pour l’italien qui n’arrive vraiment plus à performer le Samedi depuis plusieurs GP.

En Q2, Pourchaire continue de proposer un pilotage régulier en s’octroyant une 9ème position provisoire lors de son premier essai. Cette position sera conservée suite à son deuxième essai.

Après une mauvaise stratégie d’équipe à Silverstone, Théo retrouve la Q3. Le français est le premier à sortir des box pour signer le temps de référence de la session. Le chrono est bon, mais sera forcément battu par les pilotes des top team encore présents à l’exception d”Hamilton. Bottas, invité surprise de la Q3 ne parvient pas à tenir la cadence. Théo est donc provisoirement P8 sur la grille de départ de demain. Le deuxième chrono sera primordial pour essayer de garder le septuple champion du monde britannique derrière.
Il améliore son temps en réalisant de meilleur secteur 1 et 3. Les dés sont jetés et seule la performance d’Hamilton déterminera le reste. Hélas pour nous, le britannique s’en sort et nous rétrograde définitivement à la 9ème place.

Cette fois, c’est Sergio Pérez qui décroche la Pôle position devant son coéquipier et Charles Leclerc.

Finalement P9 et P17, les spéculations nous concernant ont été balayées d’un revers de la main. Du moins en ce qui concerne Théo, car le cas de Gio semble plus venir du pilote que de la voiture elle-même.

LA COURSE

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Le Final du week-end s’annonce en tout cas incertain, car la pluie va faire son apparition très tôt dans la course. Il faudra alors redoubler de prudence mais également de panache si on souhaite remonter, car sous la pluie, nous serons privés de DRS et seules les compétences des pilotes parleront.
Nous comptons donc sur un départ canon pour nous mettre dans des dispositions plus avantageuses au moment de changer de pneumatique.

Le premier tour a répondu à nos attentes, Giovinazzi qui s’élançait depuis la P17 est parvenu à effacer Zhou puis Hulkenberg afin de remonter à la 15ème place. Le scénario est un peu le même pour Pourchaire qui parvient en l’espace d’un tour à griller la politesse à neufs titres de champion du monde puisqu’il efface Alonso puis Hamilton avant même la fin des deux premiers secteurs.

On aura malheureusement du mal à faire mieux. La Mercedes d’Hamilton reprendra même la position à la fin de la 3ème boucle avant de prendre le large. Nous souffrons beaucoup dans les secteurs sinueux, ce qui nous vaut aussi d’être menacé par Alonso et Russell dont les monoplaces sont bien plus agiles dans les secteurs 2 et 3. Et Giovinazzi perd deux tours plus tard une position sur Hulkenberg. Théo lui sera finalement lui aussi victime de Fernando Alonso et George Russell.

Au 9ème tour, plus de la moitié des pilotes rentrent au stand pour chausser les Intermédiaires. Nous prenons le pari risqué dans notre situation de pousser un tour de plus. Le coup est une réussite concernant Théo qui reprend la position qu’il avait perdue sur Russell, mais le résultat est plus contrasté pour Antonio qui retrouve hélas sa position de départ et l’italien se retrouve déjà à près de 3 secondes de Tsunoda.

- Antonio. Plan B, Plan B.

Nous n’avons pas le choix, nous devons prendre un risque stratégique si l’on veut permettre à Antonio de gagner des positions.
Au 15ème tour, la Williams de Logan Sargeant abandonne suite à une erreur de pilotage du pilote américain qui à l’approche d’une courbe, perd l’arrière de la monoplace et part en tête à queue avant de finir dans le mur de pneus de protection.

Au 19ème tour, Pourchaire cède cette fois-ci face à Stroll, son rival direct au Championnat. Comme on pouvait s’y attendre d’un circuit avec les mêmes caractéristiques que Barcelone, on galère en rythme de course. Et j’en viens même à me demander si on ne devrait pas prendre le même risque à Théo que celui décidé quelques tours plus tôt pour Gio.
Le français est actuellement P10, certes, mais il est menacé par un Russell déterminé.

- Théo, on part sur le plan B. Plan B.

Qui ne tente rien à rien. Nous avons souvent pris des risques et été récompensés. Alors pourquoi pas aujourd’hui ?

10 tours plus tard, rien à bougé Théo Pourchaire lutte toujours avec Russell pour la dixième place et Giovinazzi a conservé sa P17. L’italien remonte en revanche très fort sur Hulkenberg dont les pneus sont fortement usés. L’allemand est même contraint à s’arrêter au stand, tout comme Russell, ce qui donne un peu d’air à Théo.

Au 47ème tour, Fernando Alonso qui s’est arrêté une deuxième fois, dépasse Pourchaire et récupère la 7ème position. Notre stratégie se dévoile alors avec plus de simplicité. Nous avons basculé sur une stratégie à un seul arrêt en espérant que les conditions météorologiques rendront les dépassements plus difficiles en fin de course. A ce stade de la course, Giovinazzi est P13 avec 7 secondes d’avance sur Bottas. Théo lui n’a pas la même tranquillité puisque Hamilton revient sur lui pour récupérer la P8. Le français ne tiendra malheureusement que deux tours de plus.

Quelques tours plus tard, c’est Antonio qui cède face à Bottas. Et Stroll qui a dépassé Russell, s’impose aussi face à Pourchaire. Il ne reste alors plus que 15 tours.

Au 59ème tour, Russell tente encore et toujours d’attaquer Théo, mais le français défend bien, ce qui pousse le britannique à commettre une erreur et à toucher son aileron avant contre la Maserati. La collision sera vérifiée par les commissaires qui n’accordent aucune pénalité. La Mercedes est endommagée mais George semble déterminé à prendre le meilleur sur notre jeune pilote. 10 tours restant à couvrir.

5 tours plus tard, la voiture de sécurité est déployée suite à un accident impliquant Daniel Ricciardo qui est allé taper le mur au dernier virage et qui se retrouve immobilisé au milieu de la piste.

Ce coup d’arrêt tombe bien, il va permettre à Théo et Antonio de souffler un peu face à leur poursuivant de plus en plus insistant au fur et à mesure que les possibilités de dépassement s’amenuisent.

Russell tente alors un coup de poker en rentrant au stand, chose que nous ne faisons pas. Il s’agit peut-être là d’un tort, pensant que la course irait pas jusqu’à son terme sous le régime de la Safety car. On décide malgré tout de couvrir la stratégie de la Mercedes en espérant que l’on soit en mesure d’attaquer. Le call est peut-être aussi désastreux que celui consistant à ne pas rentrer… Les secondes s’écoulent et on ressort malhreusement des stands en 12ème position derrière Russell qui récupère notre P10 et Bottas qui livre un très beau week-end ici en Hongrie. Giovinazzi est P13.

Le dernier tour arrive, et on est toujours derrière la voiture de sécurité. Sur le muret je suis fou de rage que l’on ait été berné de la sorte. Notre manque de prise de recul nous aura coûté ce point que nous n’espérions pas.

Nous pouvons regretter notre ultime choix du jour, mais en étant plus pragmatique, nous avons eu raison jusqu’au 66ème tour sur le plan stratégique, cela a permis à nos pilotes de terminer P12 et P13 alors qu’on nous attendait au mieux P18.

En soit, les résultats sont globalement déjà mieux qu’à Barcelone pour un tracé ayant les mêmes caractéristiques.

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Max Verstappen	Red Bull	1’18’308	2	25
	Lando Norris	McLaren	1’18’873	2	18
	Carlos Sainz	Ferrari	1’18’017	2	16
P4	Oscar Piastri	McLaren	1’18’956	2	12
P5	Charles Leclerc	Ferrari	1’18’730	2	10
P6	Sergio Pérez	Red Bull	1’18’565	2	8
P7	Fernando Alonso	Aston Martin	1’20’380	2	6
P8	Lewis Hamilton	Mercedes	1’18’418	2	4
P9	Lance Stroll	Aston Martin	1’20’290	2	2
P10	George Russell	Mercedes	1’20’808	3	1
P11	Valtteri Bottas	Kick Sauber	1’20’275	2	0
P12	Théo Pourchaire	Maserati	1’20’506	2	0
P13	Antonio Giovinazzi	Maserati	1’20’436	1	0
P14	Niko Hulkenberg	Haas	1’21’154	3	0
P15	Esteban Ocon	Alpine	1’19’867	2	0
P16	Alexander Albon	Williams	1’21’173	2	0
P17	Yuki Tsunoda	Visa Cash RB	1’20’560	1	0
P18	Pierre Gasly	Alpine	1’21’670	2	0
P19	Zhou Guanyu	Kick Sauber	1’21’822	2	0
P20	Kevin Magnussen	Haas	1’20’931	2	0
P21	Daniel Ricciardo	Visa Cash RB	1’20’234	2	DNF
P22	Logan Sargeant	Williams	1’21’814	1	DNF

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[CaptainAmericka]

Toujours dans leur moyenne les deux pilotes, c’est régulier au final

[TheGreatest]

Le coup de bluff qui ne tourne pas en ta faveur, mais en soit tu as déjoué les pronostics !

[RedM1nd]

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@CaptainAmericka > J’espère qu’on arrivera à garder cette régularité lorsque l’on aura une voiture capable de se battre pour des grosses performances.

@TheGreatest > J’ai vraiment là haine, depuis que je joue à F1 Manager, j’avais jamais expérimenté une fin de course sous Safety car, généralement, elle rentre toujours à 1 ou 2 tours de la fin. Donc, j’ai été piégé par ce vécu. Et il en résulte la perte d’1 point… Mais c’est quand même mieux que la P18 où on nous attendait au début du week-end.

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[RedM1nd]

AU CALENDIER DEPUIS	TOURS	LONGUEUR	RECORD AU TOUR
1950	44	7,004 km	Valtteri Bottas (2018) 1’46’286

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	Spa-Francorchamps est le troisième circuit de calendrier à avoir fait partie de la première saison de l’histoire de la Formule 1 en 1950. Fort des ses sections mythique, Kimmel, le raidillon d’Eau Rouge, Blanchimont, SPA est l’un des circuits les plus appréciés du championnat. C’est aussi le plus long où les luttes à hautes vitesses galvanise les spectateurs.
Il est possible d’envisager la stratégie à un seul arrêt à SPA, mais Pirelli aura tendance à favoriser l’utilisation de gommes Tendres ou Médium à cause du rythme que les pilotes imposent. Dans ce cas, les deux arrêts sont nécessaires, et les meilleurs monoplaces pourraient même opter pour un troisième arrêt si nécessaire car la voie des stands en Belgique est très courte, la perte de temps est donc réduite.

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	ANCIENS VAINQUEURS	ÉCURIE	ÉCARTS
2023	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 22.304s
2022	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 17.840s
2021	MAX VERSTAPPEN	RED BULL	+ 1.994s
2020	LEWIS HAMILTON	MERCEDES	+ 8.447s

Suite à la réunion tenue à l’Usine avant le Grand Prix de Hongrie, le conseil de Stellantis a décidé de féliciter notre bonne gestion et les idées apportées lors du meeting en créditant l’écurie d’une enveloppe de 1,5 millions d’euros.
Nous quittons la Hongrie de bonne humeur suite à cette nouvelle de fortune et partons immédiatement en direction de Spa-Francorchamps en Belgique.

La volonté de mieux faire est bien là au sein de l’équipe et les pilotes pourront compter sur la finalisation de la fabrication du nouveau châssis. L’AVANT DERNIERE amélioration que connaitra la voiture jusqu’à l’année prochaine.
Durant la semaine, la conception des derniers Sidepods (Flancs) s’achève et nous lançons donc logiquement la fabrication.

Ce nouvel et dernier élément de 2024 pourra être équipé à Zandvoort le prochaine GP qui se tiendra après la trêve estival d’un mois qui débute après SPA. Le petit bonus versé par le conseil servira à payer cette fabrication.

LES ESSAIS LIBRES

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Notre regard sur les essais libres n’a pas changé, nous sommes là pour tester le nouveau châssis, recueillir des datas essentielles sur la dégradation des pneus et le rythme de course. Nous n’avons pas pour vocation à pulvériser les records de tour. Tout d’abord parce que nous en sommes incapables, alors à quoi bon prendre des risques à se comparer avec les autres. Quand on peut tranquillement faire son boulot dans son coin et maximiser ses chances de parvenir aux objectifs fixés ?

Oui c’est sûr ce n’est pas brillant de terminer les séances avec les moins bons chronos, mais je préfère largement troquer cela pour des points glanés en course le dimanche. Et sur ce point, je ne changerai pas ma vision des choses.

LES QUALIFICATIONS

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La mise au point des monoplaces aura pris plus de temps qu’habituellement, mais nous y sommes parvenues avant la fin de la troisième session d’essais.
Nous nous projetons à présent sur les qualifications avec pour objectifs premier de faire sortir de Q1 nos deux pilotes. Nous sommes plutôt confiant pour Théo Pourchaire et un peu plus sceptique avec Antonio Giovinazzi qui n’arrive plus à performer en qualifications depuis Barcelone.

C’est donc l’italien qui aura notre attention en premier puisqu’il est le premier à tenter son tour chrono. Un tour chrono qui se déroule dans de très bonnes conditions jusqu’à la fin du troisième secteur où l’italien est gêné par un train de pilote coincé dans la dernière chicane. Avec cette déconvenue, il est improbable qu’il parvienne à se hisser hors de la Q1. Il faudra une nouvelle fois se battre contre la malchance.
Au moment de passer pour la première fois sur la ligne, Théo sera lui 5ème.

La P18 de Gio nous impose de sortir à nouveau avec des gommes neuves. Nous savons que l’italien a les capacités pour améliorer son temps gâché, il a simplement besoin d’y croire lui-même.
Je bondis de rage lorsque Logan Sargeant fait à nouveau la toupie et force les commissaires à venir le chercher. Cet arrêt brutal force tout le monde à rentrer au stand alors qu’il reste seulement 2 minutes 12.

Cette interruption pousse les autres écuries à jouer la prudence et à ne pas sortir une nouvelle fois. Mais avec Gio nous n’avons pas le choix. L’italien doit améliorer son chrono s’il veut poursuivre les qualifications. Mais il est trop tard et il n’a pas le temps de boucler son tour de sortie avant la fin du chrono. Il s’élancera donc P20 pendant que son coéquipier ira défendre ses chances en Q2.

La deuxième séance de qualification tend vers la continuité. Théo se retrouve à nouveau P12 après sa première tentative et va devoir s’employer s’il désire accéder à la Q3.
ET QUEL TOUR ! Théo réalise un chrono au maximum de ses capacités du moment en améliorant son chrono de manière significative. Il se positionne ainsi à la 5ème place provisoire à l’entame de l’ultime session.

Le français est surmotivé, mais son premier chrono est moins bon que le temps réalisé en Q2. Il doit cependant faire avec, car il n’a plus de gommes neuves à disposition et va donc devoir aller chercher des améliorations avec des pneus usés. Il sera en plus gêné par Nico Hulkenberg qui améliorera ensuite son propre temps reléguant Théo à la 10ème position.
Pourchaire est déçu, mais il a réalisé une nouvelle prestation convaincante et pourra peut-être se payer le luxe de se venger pendant la course.

Charles Leclerc ferme le podium de ces qualifications derrière les deux Red Bull emmenées par Verstappen puis Pérez.

LA COURSE

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Pour cette dernière course avant la pause estivale nos pilotes auront pour objectif de rester dans les points pour Théo et de s’en rapprocher le plus possible pour Giovinazzi.
44 tours, c’est le nombre de tours à couvrir pour venir à bout de ce tracé de sept kilomètres.
Et pour y parvenir, nos pilotes auront leurs propres stratégies. Pourchaire réalisera un Médium-Soft-Médium et Giovinazzi un Médium-Soft-Soft.

Le ton est donné dès le départ, puisque Théo prend le meilleur sur Hulkenberg dès le premier virage. Son premier tour se fait ensuite dans l’échappement de Lance Stroll qu’il dépose dans une manœuvre somptueuse d’agressivité dans la dernière chicane. Il se retrouve P8 à l’entame du deuxième tour.
L’envolée d’Antonio est plus discrète même si elle lui a permis de prendre le meilleur sur Albon. Les Médium ont besoin de temps avant d’arriver dans leur fenêtre de performances optimales.

Mais après le départ canon revient la réalité. Nous n’avons pas le rythme pour s’accrocher avec les voitures de devant et Pourchaire perd rapidement sa 8ème place au profit de Norris. Stroll dépasse ensuite le français qui retrouve à présent sa P10 de départ.
La galère est tout autre pour Giovinazzi qui est lui tombé 21ème

Face à des gommes Soft, Théo continue à perdre des places sur Hulkenberg d’abord, puis sur Bottas et enfin Russell.
Au début du 11ème tour, le français aura néanmoins dépassé le pilote Haas ainsi que le finlandais. Antonio de son côté n’abandonne pas et s’attaque tant bien que mal aux voitures devant lui.

Au 15ème tour, l’italien rentre au stand pour chausser son premier train de pneus, il perd logiquement quelques positions mais ressort avec des pneumatiques en bien meilleur état que les pilotes qui le précède. Bien que P19, il a la marge pour au moins retrouver la P17.

Un tour plus tard, c’est Théo qui fait son entrée dans la voie des stands. Il chausse des Soft lui aussi. Il ressort comme il était entré, derrière Russell qui n’arrête plus d’accentuer l’écart entre lui et notre pilote. Gio de son côté lutte avec férocité contre l’Alpine de Pierre Gasly.

A la mi-course, Théo se trouve seul sur la piste, trop éloigné pour inquiété son prédécesseur, et trop loin pour être réellement inquiété par son poursuivant. Il enchaîne les tours et valide petit à petit cette 11ème place. C’est un peu la même chose pour Giovinazzi que doit tout faire pour dépasser Gasly tout en gardant Zhou derrière lui. Au final il ne parvient ni à dépasser ni à garder Zhou suffisamment derrière lui, et la cerise sur le gâteau est sa perte de temps face à Bottas qui l’éloigne à plus de 2 secondes de Gasly.

Au 29ème tour, Giovinazzi vient chausser le dernier train de gomme Soft prévue aujourd’hui et depuis la P20 où il se trouve, il se lance à la conquête des voitures devant lui.
Théo imite son coéquipier le tour suivant en rentrant chausser des Médiums.
Cela ne change rien pour Théo qui stagne à cette 11ème position à 13 secondes des points.
La course d’Antonio dans le trafic est plus haletante puisqu’il s’oppose successivement à Sargeant, Albon et Magnussen. Une fois ces voitures dépassées, il se retrouve P17.

A 10 tours de l’arrivée, 15 secondes séparent Pourchaire des points, Et sauf scénario à la Hongrie, nos chances de terminer dans les points sont aujourd’hui pratiquement nulles.
Les points… Antonio ne pouvait de tout façon que les rêver. Sa fin de course est un énième combat avec Tsunoda et Gasly pour la P15.

L’Italien parvient à dépasser les deux pilotes cités précédemment dans le 38ème des 44 tours. Une fois P15, il est à 19 secondes de Hulkenberg. Une course de gestion commence alors pour l’italien qui ne peut plus espérer doubler qui que ce soit à la loyale.

La course de gestion, Théo la livre depuis plus de la moitié du Grand Prix. Ne restant plus que trois tours, le sort semble avoir jeté les dés pour ce week-end belge.
Le podium du jour est le même que celui des qualifications. Verstappen remporte une nouvelle victoire devant Pérez et la Ferrari de Leclerc.
Théo termine P11 et Antonio P15.
L’équipe s’attèle ensuite à ranger le matériel avant de retourner en Italie.
ON EST EN VACANCES !

COURSE	PILOTES	ÉCURIE	MEILLEUR TEMPS	ARRÊTS	POINTS
	Max Verstappen	Red Bull	1’42’794	2	26
	Sergio Pérez	Red Bull	1’43’836	2	8
	Charles Leclerc	Ferrari	1’43’871	2	15
P4	Oscar Piastri	McLaren	1’44’136	2	12
P5	Fernando Alonso	Aston Martin	1’43’755	2	10
P6	Lando Norris	McLaren	1’44’835	1	8
P7	Lewis Hamilton	Mercedes	1’44’475	2	6
P8	Carlos Sainz	Ferrari	1’43’771	2	4
P9	George Russell	Mercedes	1’44’954	2	2
P10	Lance Stroll	Aston Martin	1’45’138	2	1
P11	Théo Pourchaire	Maserati	1’44’884	2	0
P12	Niko Hulkenberg	Haas	1’45’761	2	0
P13	Daniel Ricciardo	Visa Cash RB	1’44’709	2	0
P14	Zhou Guanyu	Kick Sauber	1’45’587	2	0
P15	Antonio Giovinazzi	Maserati	1’45’223	2	0
P16	Pierre Gasly	Alpine	1’46’206	2	0
P17	Esteban Ocon	Alpine	1’45’441	3	0
P18	Yuki Tsunoda	Visa Cash RB	1’46’306	1	0
P19	Alexander Albon	Williams	1’45’977	2	0
P20	Logan Sargeant	Williams	1’43’628	3	0
P21	Kevin Magnussen	Haas	1’44’475	2	0
P22	Valtteri Bottas	Kick Sauber	1’47’046	2	0

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[TheGreatest]

Vive les vacances!