Faut quâil leur dise quâil en a rien Ă foutre. Comme ça ils nâauront aucune prise sur lui !!!
ou pasâŠ
Ok je sors
Faut quâil leur dise quâil en a rien Ă foutre. Comme ça ils nâauront aucune prise sur lui !!!
ou pasâŠ
Ok je sors
Quand tout va pour le mieux, il y a toujours un coup dur pour Anibal.
Ăa avait lâair pas si mal lâArabie Saoudite
Ce qui devait arriver arrivaâŠ
Je rejoins @alexgavi , câĂ©tait peut-ĂȘtre moins pire en Arabie Saoudite ! Quoi queâŠ
Et si ⊠Yessica nâĂ©tait absolument pas victime, mais complice voir mĂȘme le chef cachĂ© du cartel, qui simulerais son enlĂšvement pour mieux contrĂŽler son mari et Ă©tendre son business ??
Perso entre ma femme et mon avenir, je nâhĂ©site pas une seconde!
Câest le moment pour Anibal de sortir les muscles et de casser des gueules
Fait le bon choix @toopil, les femmes, ce nâest pas ce quâil manque
peu ĂȘtre mais trouver la bonne personne pour la vie , câest compliquĂ© !
@Sythax clairement il est pas aidĂ©. Tout ça alors quâil aurait pu vivre la vie dâun coach lambda de niveau mĂ©dian dans les basses divisions portugaises, quelle vie
@celiavalencia les cartels sont rarement des enfants de coeur faut reconnaitre. Il est coach pas super héros par contre
@Alexmilano on va essayer de la rĂ©cupĂ©rer dĂ©jĂ
@VertPourToujours ouais comme ça ils lui enverront la tĂȘte de sa femme ou son foetus
@alexgavi faut bien animer ce récit bah ouais mais les cons elle est pas jouable dans FM24
@CaptainAmericka ah ça AprĂšs qui dit que jâaurais pas Ă©tĂ© inspirĂ© en Arabie Saoudite pour Ă©crire des dingueries
@Manthyz ET SI
@toopil LA CHATTE LA CHAITE (calme toi benoĂźt )
@Rhino câest Anibal pas Rambo
@celiavalencia moi jâai trouvĂ© la bonne (enfin jâespĂšre
)
Depuis son arrivĂ©e en Colombie, Anibal GuimarĂŁes, lâentraĂźneur portugais aux multiples succĂšs, fait face Ă une situation de plus en plus intenable. EntraĂźner le club dâEnvigado, situĂ© en plein cĆur dâune rĂ©gion marquĂ©e par la violence et la corruption, sâest rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre bien plus quâun simple dĂ©fi sportif. Ces derniers jours, la pression exercĂ©e sur lui a atteint un niveau insoutenable.
Tout a commencĂ© par une sĂ©rie de menaces implicites de la part du cartel Gallindo, lâune des organisations criminelles les plus redoutĂ©es du pays. Anibal, homme de principes, avait pris des mesures drastiques pour protĂ©ger les jeunes talents de son club des influences nĂ©fastes, notamment en interdisant lâaccĂšs des pseudo-agents, souvent liĂ©s au cartel, Ă son Ă©quipe. Sa position ferme et ses exigences Ă©thiques lâont rapidement mis dans la ligne de mire de ceux qui considĂšrent Envigado non pas comme un club de football, mais comme un outil de blanchiment dâargent.
La situation a empirĂ© lorsque sa femme, Yessica, a Ă©tĂ© enlevĂ©e par les hommes du cartel. Cet acte dâune violence inouĂŻe avait pour but de faire plier lâentraĂźneur, de le forcer Ă abandonner ses idĂ©aux et Ă permettre au cartel de reprendre le contrĂŽle total sur les transactions du club. Pour aggraver les choses, trois kilos de cocaĂŻne ont Ă©tĂ© trouvĂ©s par la police dans la maison dâAnibal, un coup montĂ© qui rappelait des Ă©pisodes sombres de son passĂ©. Le message Ă©tait clair : le cartel voulait lui faire comprendre quâil Ă©tait sous leur contrĂŽle, Ă moins quâil ne cĂšde Ă leurs exigences.
Dans ce contexte, Rafaela Pimienta, lâavocate et conseillĂšre dâAnibal, a reçu des appels du FBI amĂ©ricain, qui enquĂȘte activement sur les activitĂ©s du cartel Gallindo. Le FBI espĂ©rait obtenir la collaboration dâAnibal pour renforcer son dossier contre lâorganisation criminelle. Mais Anibal, en homme pragmatique et mĂ©fiant, savait quâune coopĂ©ration avec une agence gouvernementale amĂ©ricaine risquait de compliquer encore davantage sa situation.
Les options Ă©taient limitĂ©es. Collaborer avec le FBI pourrait potentiellement exposer Anibal Ă des reprĂ©sailles encore plus sĂ©vĂšres de la part du cartel, mettant non seulement sa vie en danger, mais aussi celle de sa femme, de son futur enfant, et de ses proches. De plus, il nâĂ©tait pas certain que le FBI puisse rĂ©ellement le protĂ©ger, mĂȘme sâils parvenaient Ă dĂ©manteler une partie du rĂ©seau Gallindo. LâexpĂ©rience lui avait appris que dans ce type de guerre, les menaces ne disparaissent jamais vraiment.
En pleine rĂ©flexion, Anibal savait quâil devait trouver une autre solution. Le temps pressait, chaque jour passĂ© sans prendre une dĂ©cision claire rapprochait sa famille du danger. Devait-il tenter de nĂ©gocier directement avec le cartel, en espĂ©rant que sa position dâentraĂźneur respectĂ© et ses contacts puissent lâaider Ă trouver un compromis ? Ou bien devait-il fuir, quitter la Colombie avec sa famille et abandonner ses ambitions pour leur sĂ©curitĂ© ? Ces questions tournaient sans cesse dans son esprit, alors quâil sentait le poids de la situation lâĂ©craser.
Ce que la suite lui réservait, personne ne pouvait le dire. Mais une chose était certaine : Anibal Guimarães était à un tournant décisif de sa vie. Face à la cruauté du cartel Gallindo, à la tentation de la coopération avec le FBI, et à la peur croissante pour la sécurité de ses proches, il devait prendre une décision qui déterminerait non seulement son avenir, mais aussi celui de sa famille. La pression était à son comble, et le temps jouait contre lui.
Câest en train de devenir intĂ©ressant !
Le FBI entre en jeu, jâadore les sĂ©ries US, jâconnais quelquâun pour ce genre de situation mon pote Ani, je te conseille Raymond Reddington, crois moi il sait y faire
Franchement, il Ă©tait moins emmerdĂ© avec lâUEFA!
Anibal dans le collimateur de lâUEFA, Anibal dans le collimateur du cartel, Anibal dans les petits papiers du FBI. Le CV commence Ă ĂȘtre bien rempli
Si je me souviens bien, le FBI gĂšre les problĂšmes intĂ©rieurs au pays et Ă lâextĂ©rieur câest la CIA
Câest clair que câest le meilleur pour çaâŠ
Anibal devrait demander Ă Rafaela de le contacter.
Câest exactement ça.
Jâai failli faire la remarque, mais câest pas bien de contredire le chef.
Oups⊠ne me vire pas, chef !
@CaptainAmericka câest peut ĂȘtre lui le principal enquĂȘteur
@toopil limite ça me manque les magouilles de Campos et Mendes
@Manthyz câest toi qui pue
@alexgavi on est présent, que des jaloux
@Sythax en effet mais lĂ câest une affaire conjointe avec la CIA et la DEA en plus du FBI car le cartel agit aussi aux USA Pas mal la pirouette non ?
@VertPourToujours Peuit ĂȘtre dĂ©jĂ fait.
@Akasha mais il faut câest comme ça quâon progresse
@Sythax aucun risque
Anibal Ă©tait Ă bout. La fatigue et la peur lâavaient vidĂ© de toute Ă©nergie, et chaque jour qui passait le rapprochait de la rupture. Ses pensĂ©es Ă©taient constamment envahies par lâimage de Yessica, sa femme, entre les mains du cartel. Il errait comme une ombre sur les terrains dâentraĂźnement dâEnvigado, un spectre de lâhomme dĂ©terminĂ© quâil avait Ă©tĂ©.
Javi Sånchez, son fidÚle adjoint, avait pris en charge les entraßnements, laissant Anibal observer de loin, trop accablé pour intervenir. AprÚs une séance particuliÚrement intense, Javi rejoignit Anibal, qui était assis sur le banc, le regard vide, perdu dans ses pensées.
« Ani, tu dois te reposer, amigo. Je gĂšre tout ici. On va sâen sortir. Mais toi, tu dois tenir bon, pour elle, pour toi⊠», dit Javi en posant une main rassurante sur lâĂ©paule de son ami.
Anibal hocha faiblement la tĂȘte, mais avant quâil ne puisse rĂ©pondre, une voix se fit entendre derriĂšre eux.
« Coach⊠Je peux vous parler ? »
CâĂ©tait Juan Sebastian Anaya, le jeune latĂ©ral gauche, une Ă©toile montante de lâĂ©quipe. Anibal et Javi Ă©changĂšrent un regard surpris avant dâinviter le joueur Ă les rejoindre dans lâintimitĂ© du vestiaire.
« Quâest-ce quâil y a, Juan ? Tout va bien ? » demanda Anibal, tentant de reprendre un semblant de professionnalisme.
Juan Sebastian jeta un coup dâĆil nerveux autour de lui avant de sâasseoir Ă cĂŽtĂ© de son coach. Il avait lâair tendu, et sa voix Ă©tait basse, presque chuchotĂ©e.
« Coach, je sais ce qui se passe⊠avec le cartel, avec votre femme. Je suis au courant. »
Anibal se raidit instantanĂ©ment, son cĆur battant plus vite. Javi fixa le jeune joueur avec une intensitĂ© nouvelle.
« Quâest-ce que tu veux dire ? » demanda Javi, sur la dĂ©fensive.
Juan Sebastian prit une profonde inspiration avant de continuer, les mots pesants.
« Mon pĂšre⊠Coco Cruz, câest lâun des lieutenants du cartel Gallindo. Il contrĂŽle une grande partie des opĂ©rations ici, Ă Envigado. Câest lui qui mâa fait quitter lâIndependiente pour Envigado. Je joue sous le nom de ma mĂšre parce que je ne veux pas ĂȘtre associĂ© Ă lui. Je ne touche mĂȘme pas mes salaires, tout va directement dans les poches du cartel. »
Anibal sentit un frisson parcourir son Ă©chine. Il comprenait maintenant pourquoi Juan Sebastian semblait toujours si dĂ©tachĂ©, si mystĂ©rieux. Le poids de son hĂ©ritage Ă©tait bien plus lourd quâil ne lâavait imaginĂ©.
« Et pourquoi tu me dis tout ça maintenant ? » demanda Anibal, la voix brisée par la fatigue et le désespoir.
Juan Sebastian le regarda droit dans les yeux, déterminé.
« Parce que je veux mâen sortir, coach. Je veux quitter cette vie, ce pays, ce cartel. Et je pense que je peux vous aider Ă rĂ©cupĂ©rer votre femme. Mais pour ça, il va falloir quâon se serre les coudes, vous et moi. »
Anibal sentit une lueur dâespoir renaĂźtre en lui. Mais il savait que rien ne serait facile.
« Quâest-ce que tu proposes ? » murmura Anibal, dĂ©jĂ en train de peser les risques et les bĂ©nĂ©fices dans son esprit.
« Je peux parler Ă mon pĂšre, au cartel. Ils respectent ma voix parce quâils pensent que je suis encore sous leur contrĂŽle. Je vais leur dire que vous ĂȘtes prĂȘt Ă payer, mais pas 5 millions. Je peux les convaincre dâaccepter 2 millions et que vous cessiez de vous opposer Ă la vente du club. Mais en Ă©change, vous devez me promettre de mâaider Ă quitter ce pays. Je ne veux plus de cette vie. »
Le silence tomba lourdement entre les trois hommes. Javi regarda Anibal, prĂȘt Ă le soutenir dans nâimporte quelle dĂ©cision. Anibal, lui, sentait la tension monter en lui, mais aussi une dĂ©termination renaĂźtre.
« Tu penses vraiment pouvoir les convaincre ? » demanda Anibal, ses yeux cherchant un éclat de certitude dans ceux de Juan Sebastian.
« Je le crois. Ils ne veulent pas de problĂšmes, juste de lâargent et du contrĂŽle. Si vous cessez de vous opposer Ă eux, ils nâauront aucune raison de ne pas libĂ©rer votre femme. Mais une fois que tout sera fini, on devra partir, tous les deux. Loin dâici. »
Anibal hocha lentement la tĂȘte. Il nâavait pas beaucoup dâoptions, et cette opportunitĂ©, aussi dangereuse soit-elle, pourrait ĂȘtre sa seule chance de rĂ©cupĂ©rer Yessica.
« Dâaccord, Juan. Fais ce que tu dois faire. Et je te promets que je tâaiderai Ă quitter ce pays, Ă fuir ce cartel, quoi quâil en coĂ»te. »
Juan Sebastian acquiesça, soulagé de sentir que le coach lui faisait confiance.
« Merci, coach. Ensemble, on va sâen sortir. »
Javi, qui avait Ă©coutĂ© toute la conversation en silence, posa une main ferme sur lâĂ©paule de Juan Sebastian.
« On est tous dans le mĂȘme bateau maintenant. Fait pas le con dĂ©sormais. On fera ce quâil faut pour rĂ©ussir. »
La dĂ©termination retrouvĂ©e dans les yeux dâAnibal, combinĂ©e Ă la volontĂ© farouche de Juan Sebastian, formait un duo prĂȘt Ă tout pour survivre dans cet enfer. Le plan Ă©tait clair : jouer le jeu du cartel, finir la saison, et ensuite fuir. Ce nâĂ©tait pas la vie quâAnibal avait choisie, mais câĂ©tait la seule voie qui lui restait pour sauver ceux quâil aimait.
Je suis impressionné !
Sinon on est accrochĂ© Ă nos claviers en attendant de savoir si Anibal va sâen sortir !
Je ne sais pas pourquoi, mais je sens quâun sort funeste attend le jeune Anaya, et ce, quelque soit lâissue de cette situationâŠ
ohhhh jâai peur pour Anaya. Un jour ou lâautre le cartel lui retombera dessus. Il ne pourra plus revenir en Colombie et peut-ĂȘtre mĂȘme que ça ne suffira pasâŠ