:storygreen: :s15: 🇵🇹 :grootsporting: O Leão de Lisboa

[Manthyz]

Sacrée saison, et quelle recrue !
As-tu réussi à le prolonger parce qu’il me semble qu’il n’avait signé qu’une saison …

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka clairement un crack ce buteur.

@VertPourToujours et c’est pas fini

@Rhino The Goal Machine

@Manthyz en fait on est qu’a la mi saison !

- Anibal convainc Bedoya de finir la saison -

Wilson Bedoya, défenseur central de 25 ans et international colombien, était au cœur des rumeurs de transfert ces dernières semaines. Courtisé par plusieurs clubs européens et sud-américains, Bedoya se trouvait à un carrefour de sa carrière. Le désir de rejoindre un défi plus important était palpable chez lui, notamment après une saison où il avait démontré toute l’étendue de son talent, aussi bien en club qu’en sélection. Son jeu solide, sa vision défensive et son leadership naturel faisaient de lui un joueur convoité sur le marché des transferts.

Toutefois, malgré cette tentation de s’envoler vers de nouveaux horizons, Anibal Guimarães, l’entraîneur d’Envigado FC, n’était pas prêt à laisser partir une pièce maîtresse de sa défense en pleine saison. Conscient des enjeux cruciaux qui se profilaient pour son équipe, Anibal savait que le départ de Bedoya pourrait affaiblir sérieusement les ambitions du club. Il a donc décidé de prendre les choses en main.

Anibal et Bedoya se sont rencontrés à plusieurs reprises pour discuter de la situation. Ces discussions n’étaient pas simplement tactiques ou techniques ; elles étaient aussi profondément humaines. Anibal, avec son charisme naturel et sa capacité à parler directement au cœur de ses joueurs, a su trouver les mots justes pour toucher Bedoya. Il lui a expliqué l’importance de son rôle dans l’équipe, non seulement pour les objectifs à court terme, mais aussi pour l’avenir du club. Anibal a souligné les perspectives qui s’ouvraient pour Envigado, une équipe en pleine ascension sous sa direction, et combien Bedoya était essentiel pour mener à bien cette mission.

Il ne s’agissait pas simplement de flatteries ou de promesses creuses. Anibal a été transparent avec Bedoya, reconnaissant le désir légitime du joueur de se confronter à des défis plus élevés. Mais il lui a demandé de rester jusqu’à la fin de la saison, de finir ce qu’il avait commencé avec ses coéquipiers, et de continuer à faire partie d’une aventure qui, selon Anibal, pourrait culminer avec des succès historiques pour Envigado.

Finalement, après plusieurs échanges passionnés et constructifs, Bedoya a été convaincu. Il a accepté de rester au club jusqu’à la fin de la saison, rassuré par le fait qu’il aurait toute latitude pour envisager un transfert vers un plus grand club à ce moment-là. Anibal lui a promis de ne pas se mettre en travers de son chemin si une offre intéressante se présentait, mais il l’a également encouragé à envisager la possibilité d’écrire un dernier chapitre glorieux avec Envigado avant de partir.

Ce compromis a été accueilli avec soulagement par les supporters d’Envigado, qui redoutaient de voir partir l’un de leurs piliers défensifs en pleine saison. Quant à Bedoya, il a retrouvé la sérénité, prêt à donner le meilleur de lui-même pour finir cette campagne en beauté. Pour Anibal, c’était une victoire supplémentaire, preuve de son influence et de sa capacité à maintenir l’unité dans un groupe qui, sous sa houlette, continuait de viser haut.

- Chapitre 337 - - La magie d’Ani fonctionne toujours -	- Chapitre 339 - Coming SOON - 15/10

[toopil]

Dans Bedoya, il y a bédo. Sympa pour un Colombien

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@toopil

- Envigado face à Zamora en 1/8eme de Sudamericana -

L’euphorie régnait dans les couloirs d’Envigado après la confirmation du tirage au sort pour les huitièmes de finale de la Copa Sudamericana. Anibal Guimarães voyait son équipe se diriger vers une épopée mémorable en compétition continentale. Le tirage avait réservé au club colombien un adversaire plus abordable : le Zamora FC, un club vénézuélien en pleine ascension, mais bien loin de la stature des mastodontes brésiliens comme Gremio ou Sao Paulo, que tout le monde espérait éviter à ce stade de la compétition.

Pour Envigado, cette rencontre offrait une opportunité unique de se hisser dans le gratin du football sud-américain. Qualifié avec mérite après une campagne acharnée, le club voyait ce tirage comme une véritable porte ouverte vers les quarts de finale. Si le Zamora FC était une équipe respectable, la différence de niveau entre le football colombien et vénézuélien jouait en faveur d’Envigado, qui se présentait en favori de cette confrontation.

Dans les jours qui suivirent l’annonce du tirage, Anibal se montra plus concentré que jamais. Bien que ses récents ennuis personnels l’aient fragilisé, il voyait dans cette compétition un moyen de redorer son blason et de réaffirmer son génie tactique sur la scène sud-américaine. Les joueurs, de leur côté, étaient également motivés. Ils savaient qu’ils avaient l’opportunité de marquer l’histoire d’Envigado en accédant à des sommets inédits.

Durant la conférence de presse qui suivit le tirage, Anibal ne cacha pas sa satisfaction. « Nous savions que ce serait compliqué à ce stade de la compétition. Mais le tirage nous a épargné les grands clubs brésiliens, et c’est une chance que nous devons saisir. Zamora est un adversaire redoutable, mais nous avons tout ce qu’il faut pour les surmonter. »

L’objectif était clair : atteindre les quarts de finale et prouver que ce groupe de jeunes talents, mené par des joueurs comme Juan-Sebastian Anaya, pouvait rivaliser avec les grandes puissances du continent. Anaya, devenu une véritable révélation cette saison, incarnait cet esprit de conquête. À 21 ans, le jeune latéral offensif avait déjà attiré l’attention de plusieurs clubs européens. Il représentait à la fois l’espoir et l’ambition d’Envigado. Pour lui, cette Copa Sudamericana était une scène idéale pour prouver qu’il pouvait briller au-delà des frontières colombiennes.

Zamora FC, bien que moins prestigieux que ses voisins brésiliens, n’était pas un adversaire à prendre à la légère. Anibal en était conscient. « En compétition continentale, il n’y a pas de match facile. Zamora joue avec intensité et sait exploiter les erreurs de ses adversaires. Mais nous avons les moyens de les contenir et de développer notre jeu offensif. »

Le défi serait d’éviter les pièges de la sous-estimation, une leçon qu’Anibal avait apprise au fil des années. En analysant les vidéos des matchs du Zamora FC, il identifiait déjà les points faibles de l’équipe vénézuélienne : une défense parfois désorganisée et une incapacité à bien gérer la pression dans les moments cruciaux. Il comptait bien exploiter ces failles en s’appuyant sur la vitesse de ses flèches offensives, notamment Deivid Washington, le buteur brésilien récemment recruté.

Washington, en quête de renaissance après une période compliquée au Brésil, voyait cette confrontation comme l’occasion de prouver qu’il pouvait redevenir le tueur des surfaces qu’il avait été durant ses meilleures années aux Corinthians. Ses 188 buts en 11 saisons parlaient pour lui, et il comptait bien ajouter quelques réalisations à son compteur face au Zamora FC.

L’approche du match se fit dans un climat de concentration et de sérieux. Anibal intensifia les séances d’entraînement, en insistant sur la rigueur défensive et la fluidité des transitions offensives. Envigado avait toutes les cartes en main, mais il fallait éviter tout relâchement. La presse locale et les supporters croyaient de plus en plus à l’épopée, mais Anibal savait qu’il ne fallait surtout pas céder à l’euphorie.

En coulisses, les joueurs sentaient la montée en puissance de leur entraîneur, dont le charisme et l’intensité sur le terrain les inspiraient. « Coach Anibal nous pousse à donner le meilleur de nous-mêmes à chaque instant. Nous savons qu’il attend l’excellence, et c’est ce qui nous motive à viser toujours plus haut », confiait Wilson Bedoya, le pilier défensif de l’équipe, dans une interview avant la rencontre.

L’objectif était donc fixé. Envigado, avec un tirage favorable et une équipe en forme, pouvait légitimement rêver d’aller loin dans cette Copa Sudamericana. En cas de victoire contre Zamora, les quarts de finale marqueraient une nouvelle étape dans l’histoire du club. Anibal, malgré les récents tourments personnels et professionnels, voyait dans cette aventure une chance unique de laisser son empreinte dans le football sud-américain.

- Chapitre 338 - - Anibal convainc bedoya de finir la saison -	- Chapitre 340 - Coming SOON - 16/10

[Manthyz]

Une échéance importante à la fois pour le club et pour le coach, mais on y crois !

[CaptainAmericka]

Bon, faut pas se rater mais en effet, le tirage a été mignon avec toi ! Attention en cas de défaite par contre…

[VertPourToujours]

Bon allez on connais le personnage, ça va le faire

[alexgavi]

Que du positif en championnat, avec la victoire au bout. A la mi-temps du match retour, c’était mal embarqué pourtant. Bien joué !

La coupe continentale va mettre la lumière sur tes joueurs, il ne sera pas simple de les retenir en cas de grosses performances (Bedoya, Anaya). Après, d’autres prendront la relève

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka @Manthyz Vas t’on assurer ? La réponse de suite.

@VertPourToujours faut toujours se méfier de l’excès de confiance

@alexgavi J’ai essayé de blinder les contrats quand je pouvais mais quand tu vois qu’un Anaya c’est estimé à 2M$ avec une clause à 4 c’est cadeau même pour un club argentin/brésilien.

- En lice pour un grand chelem ? -

Après ce premier titre a peine 5 mois après son arrivée en Colombie, Anibal a déjà retrouvé l’ivresse des sacres. Pas le temps de se reposer par ailleurs car après un peu plus de trois semaines de trêve, le campeonato de Clausura débute avec la phase finale de la Sudamericana. La reprise du championnat a vu Envigado se déplacer à Cali pour affronter l’America. Les guerrilleros ont fait le travail en début de match. Deivid Washington a rapidement ouvert le score avant que le jeune Celemin ne mette sur orbite José Blanco pour le second but. La Mecanica a ensuite fait tomber les Jaguares avec un nouveau but de Washington.

Le brésilien particulièrement en forme a remis ça l’Atletico Nacional où il a été précédé par Castillo qui ouvrit le score après seulement quelques secondes. en fin de période Ramos profitait d’une offrande d’Anaya pour ajouter un nouveau but. Toutefois le club doute encore et a ainsi concédé le nul contre le Junior FC malgré un doublé de Blanco en grande forme pour ce retour de trève. Quelques jours plus tard, l’Envigado s’offrait un carton contre les Leones. Washington marquait encore tandis que c’était la revue des buteurs, Blanco, Oñate, Celemín et Chaverra participèrent à la fête.

En Sudamericana, le huitième d’aller réserva un vrai combat, Anibal avait choisit de mettre la pression d’entrée sur les vénézuéliens et cela paya dès la demi heure de jeu, Envigado menant rapidement de deux buts grâce à Washington et Ramos. Avec les titulaires au repos, Envigado a concédé le nul malgré un but de Washington. Lors du retour contre les vénézuéliens, Envigado s’est incliné mais l’honneur fut sauf la qualification en quart de finale étant acquise.

		Date		Club	Score	Buteurs
	C1	16/7/2034		América de Cali	1 - 2	D.Washington (2), J.Blanco (16)
	C2	19/7/2034		Jaguares de Córdoba	0 - 1	D.Washington (52)
	C3	23/7/2034		Atlético Nacional	1 - 3	S.Castillo (1), D.Washington (17), J.Ramos (39)
	C4	26/7/2034		Junior FC	2 - 2	J.Blanco (35, 50)
	C5	29/7/2034		Leones F.C.	6 - 3	D.Washington (23), J.Blanco (42), E.Oñate (45+2, 55), D.Celemín (64), E-A.Chaverra (79)
	1/8	1/8/2034		Zamora F.C. (VEN)	0 - 2	D.Washington (23), J.Ramos (30)
	C6	6/8/2034		Once Caldas	1 - 1	D.Washington (62)
	1/8	9/8/2034		Zamora F.C. (VEN)	1 - 2	E.Oñate (5)

- Sorteo de Sudamericana - 1/4 finale -

Après une qualification plus difficile que prévu, la cantera de heroes a donc hérité du club argentin de Defensa y Justicia. A nouveau, Anibal hérite d’un tirage favorable au vu des clubs encore en course dans la compétition : Audax Italiano, Talleres, Botafogo, Internacional, America de Cali et Gremio. Au tour précédent les argentins de D&J ont fait tomber les Newells Old Boys avec un gros matchs retour malgré la présence en tribune d’un certain Leo Messi; présent pour galvaniser les joueurs de son club formateur.

Avant d’attaquer les quarts de finales de la Sudamericana, les guerrilleros ont fait tomber Llaneros avec une équipe remanié. Castillo s’est offert un doublé tandis que Luis Angel Diaz a marqué alors que Washington se reposait. Lors de l’aller de ce quart de finale, Envigado n’a laissé que peu de choses à son adversaire, Anibal a surpris son homologue argentin en alignant Luis-Angel Diaz en duo avec Deivid Washington. Les deux ont d’ailleurs inscrit un doublé chacun plein de classe.

Les hommes d’Anibal se sont ensuite penché sur la Copa Betplay avec un quatrième tour ayant pour valeur d’entrée en lice contre le Llaneros. Le match aller fut d’une violence inouie avec six buts inscrit dont un sublime triplé de Washington. Les stars locales Castillo, Blanco et Celemin ont ensuite parachevé le spectacle avec un but chacun. Lors du retour seul Washington a scoré, les têtes étant déjà aux autres échéances. Le club a d’ailleurs enchainé ensuite contre le Millionarios dans une victoire de haute lutte. Luis-Angel Diaz a inscrit un super doublé avant que Celemin n’y aille de son but. Avec cette nouvelle victoire, Envigado confirme sa grande forme en se positionnant troisième de ce tournoi de cloture avec plusieurs matchs en moins sur ses adversaires directes.

La période s’est terminé avec un quart de finale retour maitrisé des colombiens en Argentine. Wilson Bedoya a d’entrer rendu la confiance accordé par son coach en marquant après deux petites minutes de jeu. Quelques minutes plus tard Oñate mis fin au débat en transformant un penalty qui envoyait directement Envigado en demi finale de la Sudamericana.

		Date		Club	Score	Buteurs
	C7	13/8/2034		Llaneros FC	3 - 2	S.Castillo (15, 47), L-A.Díaz (35)
	1/4	16/8/2034		Defensa y Justicia	4 - 2	L-A.Díaz (19, 68), D.Washington (45+3, 52)
	T4	19/8/2034		Llaneros FC	6 - 2	D.Washington (1, 17, 45+2), S.Castillo (41), J.Blanco (51), D.Celemín (77)
	T4	23/8/2034		Llaneros FC	0 - 1	D.Washington (83)
	C8	26/8/2034		Millonarios	3 - 2	L-A.Díaz (pen 30, 69), D.Celemín (48)
	1/4	29/8/2034		Defensa y Justicia	0 - 2	W.Bedoya (2), E.Oñate (pen 5)

- Clasificación -

Clt		Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er		Independiente Santa Fe	9	7	0	2	20	9	+11	21
2e		Atlético Bucaramanga	11	6	3	2	22	12	+10	21
3e		Envigado	8	6	2	0	21	12	+9	20
4e		Junior FC	9	5	3	1	22	12	+10	18
5e		Independiente Medellín	7	5	1	1	23	8	+15	16
6e		Atlético Nacional	8	5	1	2	16	10	+6	16
7e		Once Caldas	10	4	3	3	10	10	0	15
8e		Boca Juniors de Cali	11	4	2	5	17	17	0	14
9e		Unión Magdalena	10	4	2	4	10	10	0	14
10e		Millonarios	8	4	1	3	12	9	+3	13
11e		Deportes Quindío	10	3	3	4	10	11	-1	12
12e		América de Cali	7	3	2	2	10	9	+1	11
13e		Leones F.C.	10	3	2	5	16	23	-7	11
14e		Depor FC	11	3	2	6	10	19	-9	11
15e		Alianza Petrolera	7	2	2	3	6	8	-2	8
16e		Llaneros FC	9	2	2	5	10	13	-3	8
17e		Deportivo Pereira	9	2	2	5	10	16	-6	8
18e		Jaguares de Córdoba	10	2	1	7	8	28	-20	7
19e		Águilas Doradas	9	1	2	6	9	17	-8	5
20e		Deportes Tolima	9	1	2	6	8	17	-9	5

- Sorteo de Sudamericana - Semi finales -

En demi finale, Envigado affrontera de nouveau un club argentin avec le Talleres qui s’est qualifié en éliminant consécutivement l’Independiente Medellin puis Audax Italiano. La marche semble haute pour les colombiens avec le troisième du championnat argentin. Mais à ce stade de la compétition il n’y a plus qu’une vérité : GAGNER et ça Anibal sait faire.

- Clasificación de goleadores -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Deivid	Washington	36	35	3
			Luis Ángel	Díaz	17 (22)	16	1
			Santiago	Castillo	43 (2)	12	10
			José	Blanco	43 (1)	11	18
			José	Ramos	40 (6)	11	14

- Clasificación de los pasadores -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			José	Blanco	43 (1)	11	18
			Juan Sebastián	Anaya	32	3	18
			José	Ramos	40 (6)	11	14
			Carlos	De Ávila	36	3	13
			Santiago	Castillo	43 (2)	12	10

- Chapitre 339 - - Envigado face à Zamora en Sudamericana -	- Chapitre 341 - Coming SOON - 17/10

[Tiien]

Ca va revenir en Europe avec le Milan AC, ca va rafler la Serie A, puis la LDC, puis la Coupe du Monde des Clubs pour finir par prendre une sélection et tout rafler.
Enfin grace à son réseau qu’il a conservé en Colombie où il a su faire prospérer son propre cartel, il rachètera la FIFA et fera buter tout le monde…

Je vais un peu loin???

[Manthyz]

Moi je vois plutôt une qualif en finale de copains Americana, mais au moment de la jouer, le coach apprend que sa femme est aux mains de la mafia qui a parié gros sur son adversaire, il devra choisir entre la vie de sa femme et son intégrité professionnel…

[toopil]

@Groot

A nouveau, Anibal hérite d’un tirage favorable au vu des clubs encore en course

ça sent le cocu

[CaptainAmericka]

Pas mal @Manthyz ton scénario ! Plausible et intéressant !

Par contre, là ça ne va plus… Washington qui passe les deux derniers matchs sans marquer, c’est la crise de confiance pour l’attaquant brésilien

[VertPourToujours]

Ça roule tout seul… Trop facile

[Rhino]

Anibal il n’a pas le temps. Quand il pose ses valises quelque part, c’est toujours pour tout casser

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Tiien, c’est un scénario intéressant mais le retour en Europe sera pas pour tout de suite. On a déjà un beau bordel à gérer en colombie.

@Manthyz j’ai un peu d’avance sur ton scénario je crois

@toopil dit pas ça

@CaptainAmericka Ouais il abuse après je l’économise un peu pour les gros matchs.

@VertPourToujours

@Rhino on est pas là pour enfiler des perles

- Le cartel réclame 5 millions de dollars à Ani -

Anibal Guimarães avait toujours su que le football en Colombie pouvait être un jeu dangereux, bien au-delà des terrains. Pourtant, rien ne l’avait préparé à ce qu’il s’apprêtait à affronter. Alors qu’il continuait de peser de tout son poids pour empêcher la vente du club d’Envigado au cartel Gallindo, une organisation criminelle notoire pour ses activités de trafic de drogue, les menaces contre lui prirent une tournure beaucoup plus sombre.

Les pressions s’étaient intensifiées. Un matin, Anibal fut réveillé par des coups violents à sa porte. La police colombienne, agissant sur une information anonyme, avait perquisitionné sa maison et découvert trois kilos de cocaïne soigneusement dissimulés dans son salon. Ce fut un choc pour l’entraîneur, qui savait que le cartel essayait de le piéger. Les souvenirs de ses difficultés passées et de son combat pour réhabiliter son image en Europe ressurgirent brutalement. Mais ce n’était que le début d’un cauchemar bien plus profond.

Peu de temps après, Anibal rentra chez lui après une garde à vue de 46h pour découvrir que sa femme, Yessica, avait disparu. Le cartel avait frappé. C’était une pratique tristement courante en Amérique du Sud : l’enlèvement comme moyen de pression. Mais pour Anibal, cela prit une dimension encore plus cruelle lorsqu’il trouva un test de grossesse positif laissé sur la table de sa salle à manger. Yessica portait leur enfant.

Le cartel Gallindo ne perdit pas de temps pour entrer en contact avec Anibal. Les exigences étaient claires et implacables : cinq millions de dollars en rançon et une promesse d’obéir à leurs ordres pour faciliter les transferts du club en guise de sanction. Il ne s’agissait pas seulement d’argent, mais de contrôle total sur le club et sur Anibal lui-même. Pour renforcer leur point, ils firent savoir à Anibal que sa femme, et leur enfant à naître, étaient en grand danger.

Face à une telle situation, Anibal fut submergé par une terreur qu’il n’avait jamais connue auparavant. Son esprit était assiégé par des pensées sombres, des images de ce qui pourrait arriver à Yessica, mais il ne pouvait se permettre de céder à la panique. Il savait que chaque décision qu’il prendrait dans les heures à venir serait cruciale, non seulement pour sa carrière, mais aussi pour la vie de sa famille.

Anibal se tourna vers ses contacts dans le football colombien, cherchant désespérément des alliés capables de l’aider à naviguer cette situation infernale. Il savait qu’il ne pouvait pas se fier uniquement à la police, qui, dans de telles affaires, était souvent corrompue ou impuissante face à la puissance des cartels. Il fallait qu’il trouve un moyen de sauver Yessica et de préserver ce qui restait de son intégrité.

Il pensa à Rafaela Pimienta, son avocate tenace, et à Javi Sanchez, son adjoint fidèle. Ces derniers avaient prouvé à maintes reprises leur loyauté et leur ingéniosité. Mais cela suffirait-il dans une situation où les règles du jeu étaient dictées par des criminels impitoyables ?

Luttant contre l’angoisse, Anibal se jura de ne pas abandonner. Il avait survécu à des tempêtes avant celle-ci, bien que rien ne soit comparable à ce qu’il vivait à ce moment précis. Il savait qu’il devait faire preuve de ruse, de résilience, et surtout, il devait garder son calme. Chaque mouvement devait être calculé. Il ne pouvait pas céder au désespoir, car c’était exactement ce que le cartel espérait.

Alors que la nuit tombait sur Medellin, Anibal commença à élaborer un plan. Un plan qui, il l’espérait, lui permettrait de retrouver sa femme et de sauver son avenir, non seulement dans le football, mais dans la vie elle-même.

- Chapitre 340 - - En lice pour le grand chelem -	- Chapitre 342 - Coming SOON - 17/10

[Sythax]

Pauvre Anibal !
Il lui en fait du courage pour passer à travers tout ça.

[celiavalencia]

arf… maudit cartel

Anibal super-man ?

[Alexmilano]

Hanlolo, bah faut récupérer madame et partir maintenant hein

[Manthyz]

@Groot

@Manthyz j’ai un peu d’avance sur ton scénario je crois