Réponses aux lecteurs
@Sythax clairement il est pas aidé. Tout ça alors qu’il aurait pu vivre la vie d’un coach lambda de niveau médian dans les basses divisions portugaises, quelle vie
@celiavalencia les cartels sont rarement des enfants de coeur faut reconnaitre. Il est coach pas super héros par contre
@Alexmilano on va essayer de la rĂ©cupĂ©rer dĂ©jĂ
@VertPourToujours ouais comme ça ils lui enverront la tête de sa femme ou son foetus
@alexgavi faut bien animer ce récit bah ouais mais les cons elle est pas jouable dans FM24
@CaptainAmericka ah ça Après qui dit que j’aurais pas été inspiré en Arabie Saoudite pour écrire des dingueries
@Manthyz ET SI
@toopil LA CHATTE LA CHAITE (calme toi benoît )
@Rhino c’est Anibal pas Rambo
@celiavalencia moi j’ai trouvé la bonne (enfin j’espère
)
Depuis son arrivée en Colombie, Anibal Guimarães, l’entraîneur portugais aux multiples succès, fait face à une situation de plus en plus intenable. Entraîner le club d’Envigado, situé en plein cœur d’une région marquée par la violence et la corruption, s’est révélé être bien plus qu’un simple défi sportif. Ces derniers jours, la pression exercée sur lui a atteint un niveau insoutenable.
Tout a commencé par une série de menaces implicites de la part du cartel Gallindo, l’une des organisations criminelles les plus redoutées du pays. Anibal, homme de principes, avait pris des mesures drastiques pour protéger les jeunes talents de son club des influences néfastes, notamment en interdisant l’accès des pseudo-agents, souvent liés au cartel, à son équipe. Sa position ferme et ses exigences éthiques l’ont rapidement mis dans la ligne de mire de ceux qui considèrent Envigado non pas comme un club de football, mais comme un outil de blanchiment d’argent.
La situation a empiré lorsque sa femme, Yessica, a été enlevée par les hommes du cartel. Cet acte d’une violence inouïe avait pour but de faire plier l’entraîneur, de le forcer à abandonner ses idéaux et à permettre au cartel de reprendre le contrôle total sur les transactions du club. Pour aggraver les choses, trois kilos de cocaïne ont été trouvés par la police dans la maison d’Anibal, un coup monté qui rappelait des épisodes sombres de son passé. Le message était clair : le cartel voulait lui faire comprendre qu’il était sous leur contrôle, à moins qu’il ne cède à leurs exigences.
Dans ce contexte, Rafaela Pimienta, l’avocate et conseillère d’Anibal, a reçu des appels du FBI américain, qui enquête activement sur les activités du cartel Gallindo. Le FBI espérait obtenir la collaboration d’Anibal pour renforcer son dossier contre l’organisation criminelle. Mais Anibal, en homme pragmatique et méfiant, savait qu’une coopération avec une agence gouvernementale américaine risquait de compliquer encore davantage sa situation.
Les options étaient limitées. Collaborer avec le FBI pourrait potentiellement exposer Anibal à des représailles encore plus sévères de la part du cartel, mettant non seulement sa vie en danger, mais aussi celle de sa femme, de son futur enfant, et de ses proches. De plus, il n’était pas certain que le FBI puisse réellement le protéger, même s’ils parvenaient à démanteler une partie du réseau Gallindo. L’expérience lui avait appris que dans ce type de guerre, les menaces ne disparaissent jamais vraiment.
En pleine réflexion, Anibal savait qu’il devait trouver une autre solution. Le temps pressait, chaque jour passé sans prendre une décision claire rapprochait sa famille du danger. Devait-il tenter de négocier directement avec le cartel, en espérant que sa position d’entraîneur respecté et ses contacts puissent l’aider à trouver un compromis ? Ou bien devait-il fuir, quitter la Colombie avec sa famille et abandonner ses ambitions pour leur sécurité ? Ces questions tournaient sans cesse dans son esprit, alors qu’il sentait le poids de la situation l’écraser.
Ce que la suite lui réservait, personne ne pouvait le dire. Mais une chose était certaine : Anibal Guimarães était à un tournant décisif de sa vie. Face à la cruauté du cartel Gallindo, à la tentation de la coopération avec le FBI, et à la peur croissante pour la sécurité de ses proches, il devait prendre une décision qui déterminerait non seulement son avenir, mais aussi celui de sa famille. La pression était à son comble, et le temps jouait contre lui.