Ca pue lâAmĂ©rique du Sud !!
Ou le pognon du moyen orient ?
Raciste
Résumé
@CaptainAmericka ça viens
@Rhino Jâai jamais fait lâAsie en plus
@Manthyz a voir jâai dĂ©jĂ fait brĂ©sil, argentine, Chili.
@Heisen a voir ce quâon va trouver.
@Sythax on aime lâargent ici
@toopil toi mĂȘme
LibĂ©rĂ© partiellement de la sanction europĂ©enne qui pesait sur lui, Anibal pouvait enfin entrevoir un retour sur les bancs de touche. Les semaines dâincertitude avaient Ă©tĂ© difficiles Ă gĂ©rer, mais avec la CONMEBOL et lâAFC autorisant son exercice en AmĂ©rique du Sud et en Asie, il pouvait commencer Ă reconstruire son avenir. Les souvenirs de ses succĂšs passĂ©s Ă©taient encore vivaces, mais lâentraĂźneur savait que lâombre de sa suspension en Europe et les problĂšmes entourant son ancien agent JosĂ© compliquaient tout retour.
La fin de la saison sud-amĂ©ricaine approchait, et certains clubs commencĂšrent Ă montrer de lâintĂ©rĂȘt. Des marques dâattention discrĂštes mais sĂ©rieuses vinrent des dirigeants de Santos, une institution lĂ©gendaire du football brĂ©silien, et du Vissel Kobe, un club japonais en pleine ascension qui visait une plus grande visibilitĂ© internationale. Anibal reçut Ă©galement des appels de responsables dâAl Ittihad, une des grandes puissances du football saoudien, ainsi que du Club AmĂ©rica, gĂ©ant mexicain dĂ©sireux de renforcer son influence sur le continent amĂ©ricain mais qui attendait une dĂ©cision de la CONCACAF.
Les contacts restĂšrent, pour lâinstant, informels. Les clubs savaient que sâengager publiquement avec Anibal Ă©tait un pari risquĂ©, car les rĂ©percussions de sa situation juridique nâĂ©taient pas encore totalement clarifiĂ©es. Si les confĂ©dĂ©rations sud-amĂ©ricaine et asiatique lui avaient ouvert une porte, la sanction de lâUEFA restait un poids lourd Ă porter, dâautant plus que la situation de son ancien agent JosĂ© jetait une ombre persistante sur ces nĂ©gociations. Les clubs intĂ©ressĂ©s se montraient donc prudents, Ă©vitant de sâengager avant dâavoir une certitude sur la possibilitĂ© de faire venir Anibal sans encombre.
Pourtant, Anibal ne se laissait pas abattre. Il continuait de rĂ©flĂ©chir Ă son futur avec prudence, soutenu par ceux qui croyaient encore en lui. Pour chaque club intĂ©ressĂ©, chaque appel discret, il voyait une lueur dâespoir. Il savait que les batailles Ă venir seraient complexes, que rien ne lui serait donnĂ© sans effort. Mais pour cet entraĂźneur aguerri, habituĂ© aux dĂ©fis, ces obstacles nâĂ©taient quâune nouvelle Ă©preuve Ă surmonter. Si un accord pouvait ĂȘtre trouvĂ© avec lâun de ces clubs, ce serait une nouvelle opportunitĂ© de montrer quâil pouvait encore briller, mĂȘme loin des projecteurs europĂ©ens.
En attendant, Anibal continuait de cultiver son amour pour le football, en assistant à des matchs comme le dernier entre Paris et Arsenal, en étudiant les équipes et les joueurs qui pourraient, un jour, devenir les siens. Sa passion pour le jeu restait intacte, tout comme son désir de prouver que, malgré les épreuves, il avait encore beaucoup à offrir au monde du football.

- - - Santos |
club - - - |
|
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- - - Santos |
Futebol Clube - - - |
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fondation | 1912 | |
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Camp Paulista | ![]() |
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Brasileirao | 5 Ăšme |
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Copa do Brasil | 1/4 de finale |
![]() |
Copa Libertadores | 1/8 de finale |
M Buteur / M Passeur | Evangelista (21 B) / G.Pirani (18 A) |

- - - socie |
Football club - - - |
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- - - Club de Futbol |
America - - - |
|
fondation | 1916 | |
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Liga MX Apertura | Tour préliminaire |
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Leagues Cup | Finale de Barrage |
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Championâs Cup Concacaf | 1er Tour |
M Buteur / M Passeur | L.Quilaleo (11 B) / M.Alarcon (6 A) |
Rendre sa grandeur à Santos, ça ce serait un défi a la hauteur du coach !
Les clubs qui montrent de lâintĂ©rĂȘt sont plus quâintĂ©ressants !! Il y a de beaux noms Ă aller voir !
La Colombie pour remercier sa chĂ©rie de tout son soutien dans les moments sombresâŠ
Ca lui permettrait de reprendre la main, dâapprendre le foot SudAm avant de partir dans un gros club
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@Manthyz dĂ©fie super intĂ©ressant en vrai. Lâeffectif pue sa mĂšre par contre
@CaptainAmericka on va voir qui va poser une offre. Jâaime pas postuler, je prĂ©fĂšre attendre.
@VertPourToujours il baise la colombie tout les soirs si en plus il le fait professionnellement ça va devenir dangereux
Anibal se trouvait Ă un carrefour de sa carriĂšre, son avenir dans le football dĂ©sormais suspendu Ă des dĂ©cisions qui le dĂ©passaient. MalgrĂ© lâouverture partielle des confĂ©dĂ©rations sud-amĂ©ricaine et asiatique, la situation demeurait complexe. Et la nouvelle qui allait tomber, implacable, nâarrangerait rien.
Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS), aprĂšs avoir examinĂ© en profondeur la requĂȘte dâAnibal et les arguments de son avocate Rafaela Pimienta, rendit son verdict : la requĂȘte Ă©tait rejetĂ©e. Les juges considĂ©raient que les Ă©lĂ©ments du dossier Ă©taient suffisamment solides pour justifier la sanction Ă©mise par lâUEFA. LâentraĂźneur portugais, qui espĂ©rait un renversement de situation, se retrouvait donc confrontĂ© Ă une rĂ©alitĂ© implacable. La suspension en Europe, ainsi que dans les autres confĂ©dĂ©rations ayant choisi de suivre la dĂ©cision de lâUEFA, restait en place pour une durĂ©e de trois ans. Avec les mois difficiles dĂ©jĂ Ă©coulĂ©s, il lui restait encore plus de deux ans et demi Ă purger.
La nouvelle arriva comme un coup de massue pour Anibal. Les espoirs de voir cette suspension annulĂ©e sâĂ©taient envolĂ©s. Depuis des mois, il avait cherchĂ© Ă prouver son innocence, Ă dĂ©montrer quâil nâĂ©tait pas le coupable que lâUEFA et certains mĂ©dias voulaient dĂ©peindre. Mais Ă prĂ©sent, il se retrouvait face Ă une vĂ©ritĂ© brutale : le monde du football europĂ©en ne lâattendrait pas.
Dans les jours qui suivirent le verdict, Anibal resta cloĂźtrĂ© chez lui Ă Viana do Castelo, loin du tumulte mĂ©diatique. Les journalistes tentaient de le joindre, de lui arracher une dĂ©claration, mais il nây avait rien Ă dire. Tout ce quâil avait construit en Europe semblait lui Ă©chapper, son nom entachĂ©, son avenir incertain.
La douleur Ă©tait double : non seulement il voyait son rĂȘve europĂ©en sâĂ©loigner, mais il devait aussi composer avec le poids dâune carriĂšre suspendue en plein vol. Les offres potentielles en AmĂ©rique du Sud et en Asie, bien quâencourageantes, ne suffisaient pas Ă dissiper cette ombre. LâidĂ©e de devoir attendre encore des annĂ©es avant de pouvoir prĂ©tendre Ă un retour en Europe Ă©tait insupportable.
Pourtant, malgrĂ© le choc, Anibal savait quâil devait garder la tĂȘte froide. Rafaela Pimienta, toujours aussi combative, lâencouragea Ă ne pas baisser les bras. La bataille juridique en Europe Ă©tait peut-ĂȘtre perdue, mais il restait des territoires oĂč il pourrait encore exercer son talent. Le football ne se limitait pas Ă lâEurope, et des projets intĂ©ressants pouvaient voir le jour ailleurs. Mais pour Anibal, qui avait toujours rĂȘvĂ© des plus grands stades, câĂ©tait une maigre consolation.
Les jours passaient, et la rĂ©flexion sâimposait. Devait-il accepter une offre loin des projecteurs europĂ©ens ? Se rĂ©inventer, dĂ©couvrir dâautres horizons, ou bien attendre patiemment la fin de sa suspension, en espĂ©rant quâune fois celle-ci terminĂ©e, il retrouverait les terrains dâEurope ? Les questions Ă©taient nombreuses, les rĂ©ponses, elles, se faisaient attendre.
Pour lâinstant, une chose Ă©tait certaine : Anibal avait encore du chemin Ă parcourir avant de retrouver la sĂ©rĂ©nitĂ©. Ses proches, notamment son avocate Rafaela et son ancien capitaine et adjoint Javi Sanchez, continuaient de le soutenir, mais ils savaient que le combat nâĂ©tait pas terminĂ©. Pour Anibal, le football Ă©tait plus quâun mĂ©tier, câĂ©tait une passion, une raison de vivre. Et malgrĂ© tous les obstacles, il ne comptait pas abandonner.
Dur dur cette dĂ©cision. Difficile dâimaginer Anibal rester loin des terrains. Autant aller exercer son art ailleurs quâen Europe. Il y a de beaux projets qui lâattendent
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@Rhino câest un cas complexe.
Depuis plusieurs mois, Anibal traversait une pĂ©riode tumultueuse de sa vie. Suspendu de son mĂ©tier, contestĂ©, dĂ©nigrĂ©, il avait dĂ» faire face Ă une sĂ©rie dâĂ©preuves qui lâavaient laissĂ© dĂ©semparĂ© et Ă©puisĂ©. Son combat contre les sanctions, son exil forcĂ© de lâEurope, les incertitudes sur son avenir, et les approches informelles de clubs Ă©loignĂ©s de son rĂȘve initial lâavaient plongĂ© dans un profond questionnement existentiel.
La pression, autrefois source de motivation, devenait insupportable. Se sentant acculĂ© par les circonstances, Anibal envisageait de plus en plus sĂ©rieusement de tout arrĂȘter. LâidĂ©e de mettre fin Ă sa carriĂšre, de prendre sa retraite et de profiter dâune vie plus simple, commençait Ă germer en lui. AprĂšs tout, il avait accumulĂ© une fortune considĂ©rable au cours de ses annĂ©es dans le football, assez pour vivre confortablement, loin du stress et des attentes incessantes.
Câest dans ce contexte de doute quâil accueillit le retour de Yessica en Europe. Sa femme, revenue de Colombie aprĂšs avoir rĂ©glĂ© quelques affaires familiales, apporta un souffle de fraĂźcheur dans le quotidien morose dâAnibal. Sa prĂ©sence, son soutien indĂ©fectible, et sa maniĂšre de le ramener Ă lâessentiel lui firent entrevoir une lumiĂšre au bout du tunnel. Pourtant, malgrĂ© lâapaisement que lui procurait Yessica, les pensĂ©es sombres continuaient de lâassaillir.
Anibal se posait des questions cruciales : Valait-il vraiment la peine de se battre encore ? NâĂ©tait-il pas temps de tourner la page, de quitter le football avec ce quâil lui restait de dignitĂ© ? Le combat quâil menait depuis des mois ne semblait avoir ni fin ni solution. Chaque jour de suspension Ă©tait un rappel cruel de sa situation, un poids sur ses Ă©paules qui ne cessait de croĂźtre.
Les approches de clubs venus dâAsie ou dâAmĂ©rique du Sud, bien que flatteuses, ne parvenaient pas Ă combler le vide laissĂ© par lâEurope. Anibal ne se voyait pas sâexiler si loin, Ă devoir reconstruire une carriĂšre dans un environnement qui ne le passionnait pas autant que les stades europĂ©ens. Il aimait les grands dĂ©fis, mais il savait aussi quâil Ă©tait avant tout un homme de principes et de convictions. Aller lĂ oĂč son cĆur ne le portait pas ne ferait quâaggraver son malaise.
Câest en se confiant Ă Yessica que le dilemme se posa avec toute sa force. Un soir, alors quâils Ă©taient tous deux installĂ©s sur la terrasse de leur maison Ă Viana do Castelo, il exprima pour la premiĂšre fois Ă haute voix cette idĂ©e qui le taraudait : et si la retraite Ă©tait la meilleure option ?
Yessica, qui connaissait mieux que personne les tourments intĂ©rieurs de son mari, lâĂ©couta sans lâinterrompre. Elle comprenait ses doutes, sa fatigue, mais elle savait aussi quâAnibal nâĂ©tait pas prĂȘt Ă abandonner, pas encore. Il avait encore tant de choses Ă offrir au football, tant de rĂȘves non rĂ©alisĂ©s, tant de jeunes Ă inspirer. Elle lui rappela quâil avait toujours surmontĂ© les obstacles, quâil avait toujours su rebondir, mĂȘme dans les moments les plus sombres. Mais elle ne le pressa pas. Elle savait que la dĂ©cision devait venir de lui, quâil devait trouver sa propre voie, sa propre paix.
Anibal resta pensif. Les mots de Yessica rĂ©sonnaient en lui, mais il nâavait pas encore trouvĂ© la rĂ©ponse. Ce soir-lĂ , il se coucha sans avoir pris de dĂ©cision, mais avec une nouvelle perspective : peut-ĂȘtre que la retraite nâĂ©tait pas une fuite, mais une transition vers autre chose. Peut-ĂȘtre que le football ne devait plus ĂȘtre toute sa vie, mais seulement une partie de celle-ci. Quoi quâil en soit, il savait quâil devrait prendre une dĂ©cision bientĂŽt, pour lui, pour Yessica, pour sa propre tranquillitĂ© dâesprit.
La retraite alors que le gouvernement repousse lâaugmentation des retraites? Mauvais plan!
Aïe, coup dur pour le Portugais⊠Il peut pas reprendre une licence en foot loisir au pire ?
Il peut racheter un club et devenir président ?
Dur ce verdict, dâautant quâil reste encore deux ans et demi Ă la sentence. Il va falloir batailler dans les autres confĂ©dĂ©rations pour espĂ©rer pour pouvoir exercer sous dâautres cieux.
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@toopil Yâa plein dâautres taf quâentraineur et je peux ajouter dâautres personnages
@CaptainAmericka il pourrais mais yâa plein de mĂ©tiers proche aussi.
@Sythax Jâai pas Ă©tudiĂ© le verdict Ă ce point
@alexgavi dâabord il va se changer les idĂ©es et on verra ensuite.
AprĂšs des mois de lutte acharnĂ©e et de rĂ©flexions douloureuses sur son avenir, Anibal comprit quâil Ă©tait temps de faire une pause, de se ressourcer et de se reconnecter Ă ce qui comptait vraiment : son bonheur et celui de sa femme, Yessica. Depuis leur mariage, ils nâavaient jamais eu lâoccasion de profiter dâun vĂ©ritable voyage de noces, emportĂ©s par les tumultes de la carriĂšre dâAnibal.
CâĂ©tait lâoccasion idĂ©ale pour rĂ©parer cela. Anibal dĂ©cida de sâĂ©vader avec Yessica, loin des terrains de football et des pressions constantes, pour un voyage qui leur offrirait enfin la tranquillitĂ© quâils mĂ©ritaient.
Le couple choisit dâabord de sâenvoler pour le Costa Rica, un petit pays dâAmĂ©rique centrale reconnu pour sa biodiversitĂ© exceptionnelle et ses paysages Ă couper le souffle. DĂšs leur arrivĂ©e, Anibal et Yessica furent charmĂ©s par la chaleur des habitants et la beautĂ© naturelle qui les entourait. Ils se rendirent dans la rĂ©gion de Monteverde, cĂ©lĂšbre pour sa forĂȘt de nuages, oĂč ils purent se promener sur des ponts suspendus au-dessus dâune mer de verdure, entourĂ©s de la faune tropicale. Ils passĂšrent Ă©galement par le parc national Manuel Antonio, un vĂ©ritable havre de paix, oĂč la jungle luxuriante se fondait avec les plages de sable fin et les eaux cristallines de lâocĂ©an Pacifique. Pour Anibal, ce voyage au Costa Rica fut une redĂ©couverte de la nature et une vĂ©ritable bouffĂ©e dâair frais. Loin de la pression mĂ©diatique, il ressentit un apaisement profond, se reconnectant Ă la simplicitĂ© de la vie.
AprĂšs quelques jours de dĂ©tente et dâĂ©merveillement au Costa Rica, le couple prit la direction de la Colombie, terre natale de Yessica et pays quâAnibal connaissait peu. Bogota, leur premiĂšre Ă©tape, offrit Ă Anibal une expĂ©rience nouvelle. La ville, nichĂ©e Ă 2 600 mĂštres dâaltitude sur les hauts plateaux andins, dĂ©voilait une richesse culturelle et historique fascinante. Ensemble, ils arpentĂšrent les rues colorĂ©es de La Candelaria, le quartier historique, oĂč les murs peints de fresques murales racontaient lâhistoire du pays. Ils visitĂšrent Ă©galement le musĂ©e de lâOr, qui abrite la plus grande collection dâobjets en or prĂ©colombiens au monde, et furent impressionnĂ©s par lâartisanat et lâhĂ©ritage culturel des anciennes civilisations indigĂšnes.
Mais ce qui toucha le plus Anibal fut sans doute lâaccueil chaleureux de la famille de Yessica. Ils sĂ©journĂšrent dans une grande maison familiale, entourĂ©s des oncles, tantes, cousins et cousines, qui firent tout pour quâil se sente chez lui. Les repas Ă©taient des moments de partage oĂč ils savouraient les plats typiques colombiens comme lâajiaco, une soupe traditionnelle Ă base de pommes de terre, de maĂŻs et de poulet, ou encore lâarepa, cette galette de maĂŻs si emblĂ©matique. Anibal se laissa porter par cette atmosphĂšre de convivialitĂ©, loin des regards indiscrets, profitant de chaque instant passĂ© avec les siens.
En Colombie, Anibal dĂ©couvrit un pays dâune incroyable diversitĂ©, tant au niveau des paysages que des cultures. Ils visitĂšrent aussi la rĂ©gion du cafĂ©, oĂč ils apprirent les secrets de la culture du cafĂ© colombien, reconnu comme lâun des meilleurs au monde. En parcourant les plantations, Anibal se laissa charmer par lâauthenticitĂ© de ces terres vallonnĂ©es et par la gentillesse des cultivateurs qui partageaient avec passion leur savoir-faire. Le climat agrĂ©able, les montagnes verdoyantes et la sĂ©rĂ©nitĂ© qui Ă©manait de ces lieux lui firent un bien immense.
Ce voyage, au-delĂ de ses dĂ©couvertes culturelles et naturelles, permit Ă Anibal de retrouver une forme de paix intĂ©rieure. En Colombie, il ne sentait plus le poids de sa notoriĂ©tĂ© europĂ©enne. Ici, il nâĂ©tait quâun homme parmi tant dâautres, un simple Ă©poux venu profiter de la vie avec sa femme et sa famille. Cette dĂ©connexion totale lui offrit une nouvelle perspective sur son avenir. Il comprit quâil Ă©tait essentiel de se recentrer sur ce qui comptait vraiment : lâamour, la famille, et la simplicitĂ©. CâĂ©tait peut-ĂȘtre cela, la clĂ© pour retrouver lâĂ©quilibre et lâĂ©nergie nĂ©cessaire Ă la suite de son parcours.
Ainsi, ce voyage fut bien plus quâune lune de miel pour Anibal et Yessica. Ce fut un vĂ©ritable renouveau, une renaissance pour le coach portugais. ArmĂ© de cette sĂ©rĂ©nitĂ© retrouvĂ©e, Anibal se sentait prĂȘt Ă envisager lâavenir avec calme et dĂ©termination. Loin du bruit et des rumeurs, il savait dĂ©sormais que, quelle que soit la suite, il ne serait jamais seul pour affronter les dĂ©fis.
Etape 1:
Etape 2:
Tu mâĂ©tonnes
se ressourcer , passer du temps en famille, voyager.
Que du bonheur
Ah, il vient de cocher « COLOMBIE » sur sa wish list !
Réponses aux lecteurs
@celiavalencia à coups sûr ça lui a fait du bien ce voyage.
@CaptainAmericka ou le Costa Rica
Anibal, encore assombri par les tourments de ces derniers mois, trouva finalement la force de se relever grĂące au soutien indĂ©fectible de son Ă©pouse, Yessica, et de son fidĂšle adjoint Javi. Tous deux, avec des approches diffĂ©rentes, le poussĂšrent Ă ne pas renoncer Ă son rĂȘve et Ă sa carriĂšre.
Yessica, par son amour et sa comprĂ©hension, savait que le football Ă©tait une part essentielle de son mari. Quant Ă Javi, il lui rappela la valeur quâil reprĂ©sentait en tant que coach et le potentiel immense quâil avait encore Ă offrir au football. Ensemble, ils firent renaĂźtre en Anibal une dĂ©termination quâil pensait avoir perdue.
Cependant, Anibal se retrouvait face Ă un obstacle majeur : sa carriĂšre restait bloquĂ©e par lâabsence dâun agent pour le reprĂ©senter. Son ancien agent, JosĂ©, ne pouvait plus agir en son nom, et la situation devenait de plus en plus complexe. Mais, au lieu de cĂ©der au dĂ©couragement, Anibal dĂ©cida dâagir avec stratĂ©gie. Il rĂ©alisa que la meilleure option serait de confier son avenir Ă quelquâun en qui il avait dĂ©jĂ une confiance immense, une personne qui avait prouvĂ© son dĂ©vouement Ă maintes reprises : Rafaela Pimienta, son avocate.
Rafaela Pimienta, connue pour sa pugnacitĂ© et sa maĂźtrise des arcanes juridiques du football, sâĂ©tait battue avec acharnement pour dĂ©fendre Anibal contre les sanctions. CâĂ©tait une femme tenace, brillante, qui connaissait parfaitement les mĂ©andres de lâindustrie du football. Anibal savait que, sâil devait se relancer, câĂ©tait elle qui pouvait lây aider. Elle ne se contentait pas de dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts juridiques ; elle comprenait aussi les subtilitĂ©s du marchĂ© des entraĂźneurs, les rĂ©seaux, et les stratĂ©gies nĂ©cessaires pour placer un coach au sommet. Elle avait Ă©tĂ© formĂ© par Mino Raiola, la lĂ©gende. Avait conseillĂ© les plus grands comme Zlatan Ibrahimovic, ERling Haaland ou Paul Pogba.
Sous les conseils avisĂ©s de JosĂ©, qui reconnaissait lui-mĂȘme la compĂ©tence et la force de caractĂšre de Rafaela, Anibal dĂ©cida de la rejoindre officiellement. CâĂ©tait la dĂ©cision la plus logique et la plus sage. Avec Rafaela Ă ses cĂŽtĂ©s, il disposait non seulement dâune avocate, mais aussi dâune agente capable de le reprĂ©senter dans les nĂ©gociations les plus dĂ©licates, et de lui ouvrir des portes qui lui Ă©taient dĂ©sormais fermĂ©es.
En prenant cette dĂ©cision, Anibal se sentait revigorĂ©. Pour la premiĂšre fois depuis longtemps, il avait lâimpression de reprendre le contrĂŽle de sa vie professionnelle. Il savait que le chemin serait encore long et semĂ© dâembĂ»ches, mais avec Rafaela et Javi Ă ses cĂŽtĂ©s, et Yessica en soutien, il pouvait envisager la suite avec plus de sĂ©rĂ©nitĂ©.
Anibal se plongea alors dans la rĂ©flexion sur son avenir. OĂč voulait-il aller ? Quel projet lâinspirait vraiment ? Il savait que les opportunitĂ©s ne manqueraient pas. Des clubs dâAmĂ©rique du Sud et dâAsie sâĂ©taient dĂ©jĂ manifestĂ©s, mais il ne voulait pas se prĂ©cipiter. Chaque choix devait ĂȘtre mĂ»rement rĂ©flĂ©chi, car il nâavait plus le droit Ă lâerreur. Anibal voulait un projet qui lui permette non seulement de revenir sur les terrains, mais aussi de se rĂ©inventer, de montrer au monde du football quâil Ă©tait bien plus quâun simple coach suspendu.
Dans les semaines qui suivirent, les discussions avec Rafaela se multipliĂšrent. Ensemble, ils analysĂšrent les propositions qui affluaient et dĂ©terminĂšrent celles qui correspondaient le mieux Ă ses ambitions. Anibal savait quâil ne sâagissait pas simplement de reprendre un poste, mais de revenir en force, de montrer Ă tous que la flamme en lui brĂ»lait encore, et plus intensĂ©ment que jamais.
Ainsi, Ă l**âaube de cette nouvelle phase de sa carriĂšre, Anibal Ă©tait prĂȘt Ă se battre Ă nouveau.** GrĂące Ă son cercle de soutien solide et Ă la persĂ©vĂ©rance quâil avait retrouvĂ©e, il savait que ce nâĂ©tait que le dĂ©but dâune nouvelle aventure. Et cette fois, il Ă©tait dĂ©terminĂ© Ă Ă©crire une nouvelle page, une page qui reflĂšterait la rĂ©silience, le talent et la passion qui avaient toujours Ă©tĂ© au cĆur de son parcours.
Le Sphinx renaĂźt de ses cendresâŠ
Il y en a bientĂŽt qui vont avoir le c⊠qui va les brulerâŠ