:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@toopil ZIP IT

@Tiien on va essayer d’éviter ça.

@alesxgavi Non non il est fidèle le frérot :hoho:

@CaptainAmericka vous aimez trops la chatte les gars :sadpepe:

@Alexmilano B

- La Comnebol et l’AFA refusent d’étendre la décision -

Après des mois d’incertitude et de lutte pour rétablir son droit à exercer son métier, Anibal entrevoit enfin une lueur d’espoir. Sous l’impulsion de Rafaela Pimienta, son avocate tenace, une requête avait été déposée auprès des différentes confédérations du football mondial pour statuer sur l’extension ou non de la sanction infligée par l’UEFA au coach portugais.

L’enjeu était de taille : si certaines confédérations décidaient de suivre l’exemple de l’UEFA, Anibal verrait sa carrière définitivement compromise. En revanche, une décision favorable pourrait lui permettre de rebondir, malgré la suspension européenne.

Les premières réponses tombèrent rapidement. La CAF (Confédération Africaine de Football), la CONCACAF (Confédération de l’Amérique du Nord, Centrale et des Caraïbes) et l’OFC (Confédération Océanienne de Football) décidèrent de ne pas prendre de décision immédiate. Elles préférèrent attendre un examen approfondi du dossier avant de se prononcer. Cela laissait Anibal dans l’incertitude, mais au moins, il n’était pas encore définitivement écarté de ces régions.

Cependant, deux confédérations majeures se démarquèrent par leur rapidité et leur soutien implicite : la CONMEBOL (Confédération Sud-Américaine de Football) et l’AFC (Confédération Asiatique de Football). Après une évaluation rapide mais sérieuse de la situation, ces deux entités prirent la décision d’autoriser Anibal à exercer comme entraîneur sur leur territoire, malgré la suspension en vigueur en Europe. Cette décision représentait une véritable victoire pour le coach portugais, offrant de nouvelles perspectives à sa carrière.

Anibal pouvait désormais envisager un avenir sur les bancs de touche en Amérique du Sud ou en Asie, deux régions où le football est passionnément suivi et où des défis exaltants l’attendaient. Cette opportunité inespérée alimenta les rumeurs dans les coulisses du football mondial. Des clubs brésiliens et argentins, réputés pour leur exigence tactique et leur amour pour le jeu flamboyant, commencèrent à s’intéresser à son profil. En parallèle, des équipes japonaises, saoudiennes, et qataries, toujours avides de recruter des entraîneurs européens pour renforcer leur compétitivité, suivirent de près les évolutions de la situation.

Le téléphone d’Anibal, longtemps resté silencieux, recommença à vibrer. Pour Anibal, c’était une bouffée d’air frais, une chance de revenir sur le devant de la scène et de prouver à tous que son histoire dans le football était loin d’être terminée.

Dans les semaines qui suivirent, les spéculations s’intensifièrent. Du côté de l’Asie, des clubs comme Al-Hilal ou le Kashima Antlers, toujours en quête d’une plus grande visibilité internationale, considéraient également Anibal comme un choix potentiel pour leurs projets ambitieux. Mais Anibal restait difficile à joindre.

Anibal, quant à lui, restait prudent. Il savait que cette opportunité pourrait être sa dernière, et il n’était pas question de se précipiter. Mais une chose était certaine : malgré les tempêtes traversées, il n’avait jamais perdu de vue son amour pour le football. Cette flamme, ravivée par les récents événements, l’incitait à réfléchir sérieusement à son retour sur les bancs de touche. Pour Anibal, l’avenir s’éclairait, et il était prêt à saisir cette nouvelle chance avec la détermination qui l’avait toujours caractérisé.

- Chapitre 318 -
- Anibal décide d’aller au TAS -
- Chapitre 320 -
Coming SOON - 03/10
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